
Et ça continue! Au point où l’on arrive, il falloir un policier (ou une brigade) dans chaque collège, lycée, école. Mais « ON » diminue les effectifs… Et puis, ce n’est pas… jouable. Encore un coup à faire de la provocation. Seconde solution: punir d’une façon exemplaire et par tous les moyens dont la justice dispose, les parents de ces racailles, lesquels ne semblent pas préoccupés par le civisme et le respect ni la loi.
En tout état de cause, il va falloir agir, vite!Je sais, je sais, on est en pleine campagne des Régionales. Donc il faut « contenter » tout le monde… Mais de là à continuer sans vergogne la pratique du laxisme volontaire… Le coup de l’autruche, on a déjà donné et on en voit de plus en plus les conséquences.
FDF
02/02/2010
Un adolescent a été hospitalisé après avoir été agressé à l’intérieur de son établissement, où au moins un coup de feu a été entendu. Deux mineurs suspects ont été interpellés.

Un lycéen de 14 ans scolarisé au lycée polyvalent Adolphe-Chérioux de Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, a été agressé au sein-même de son établissement, mardi matin. Le jeune homme a été passé à tabac par au moins sept personnes, qui avaient pris soin de dissimuler leur visage. La victime aurait reçu un coup de couteau dans la cuisse, souffrirait d’une plaie à l’oreille et aurait les yeux tuméfiés par les gaz lacrymogènes, a indiqué une source judiciaire. Son état n’est toutefois pas jugé préoccupant.
Un coup de feu a par ailleurs été entendu par des témoins, mais aucune blessure par arme à feu n’a été constatée. Il semblerait que l’arme utilisée ait été un pistolet à grenailles, «sans doute pour impressionner», estime une source policière.
Les motifs de l’agression, révélée par leparisien.fr, tout comme l’âge et le nombre exact des protagonistes n’ont pas encore pu être déterminés. Deux mineurs suspects ont toutefois été interpellés peu après les faits. L’un d’eux était en possession d’une bombe lacrymogène. La Sûreté territoriale est chargée de l’enquête.
Un précédent il y a trois semaines
Cette agression survient au lendemain de l’annonce de l’accélération du plan de sécurisation des établissements scolaires, par le ministre de l’Education, Luc Chatel. Il a ainsi annoncé que la mise en place des équipes mobiles de sécurité (EMS), mesure phare du dispositif, sera achevée d’ici au 31 mars.
Le 10 janvier dernier, un lycéen du Kremin-Bicêtre dans le même département, avait déjà trouvé la mort, après avoir été poignardé dans son établissement. Son agresseur présumé, un camarade de lycée, avait été placé en garde à vue. La querelle entre les deux élèves aurait concerné la soeur de la victime.
D’après une info du Figaro