Francaisdefrance's Blog

17/02/2010

Violences à l’école: l’exemple brésilien.

Et on attend quoi, en France?

FDF

Éric Debarbieux est le président de l’Observatoire international de la violence à l’école, cité par Luc Chatel comme l’une des organisations qui participera aux états généraux sur la violence.

Morceau choisi :
 » Dans certaines des pires favelas du Brésil, la violence qui domine le quartier n’entre pas à l’école. L’école est protégée par les parents qui y sont très actifs. En France on perçoit trop souvent les familles comme des adversaires de l’école. »

l’intégralité de l’interview est sur http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/02/17/01016-20100217ARTFIG00550-debarbieuxune-spirale-infernale-de-la-violence-.php

Burger halal chez Quick: la liberté de manger…

Il est vrai que là, on dépasse l’islamisation. C’est la charia, ou le Diktat, comme le dit Marine Le Pen…

Et on va laisser passer ça? Si personne ne bouge, on est foutus!

FDF

A Roubaix, le burger halal déchaîne les politiques…

17/02/2010

Le Quick de Roubaix est le seul établissement d'une chaîne de restauration rapide de la ville.
Le Quick de Roubaix est le seul établissement d’une chaîne de restauration rapide de la ville. Crédits photo : AFP

Depuis novembre, la chaîne de restauration rapide Quick a remplacé le bacon par de la dinde fumée dans huit de ses établissements. A Roubaix, le maire PS réagit face à une offre qu’il juge «discriminatoire». Le Front National parle lui de «diktat».

Depuis le 30 novembre dernier, impossible de déguster un Strong Bacon au Quick de Roubaix. Et pour cause : dans la commune du Nord-Pas-de-Calais comme dans sept autres villes françaises, la chaîne de restauration rapide a décidé d’interdire à titre expérimental le bacon. En le remplaçant, dans tous ses sandwichs, par de la dinde fumée.

A la base, le fast food voulait proposer un choix à ses clients entre un menu classique et un sa version halal. Mais la direction de Quick France explique avoir voulu «se concentrer sur une seule chose à la fois», peut-on lire dans La Voix du Nord. Résultat : la viande de porc a été rayée de la carte.

Pendant deux mois, la mesure a bénéficié d’un écho assez limité, Quick communiquant très peu sur cette expérimentation. Mais à l’approche des élections régionales, cette mesure prend un tour très politique. Premier à monter au créneau, René Vandierendonck, le maire de Roubaix et vice-président sortant du conseil régional. Il évoquait samedi dans La Voix du Nord une mesure «discriminatoire». «Quick est la seule enseigne nationale de fast food à Roubaix. Ce n’est pas normal qu’un seul produit halal soit mis à la disposition des consommateurs», explique-t-il mercredi au figaro.fr. «Je dis oui à la diversité, et non à l’exclusivité». Le maire, qui assure être en négociation avec la direction régionale de Quick, se dit «prêt à saisir la Haute autorité de lutte contre les discriminations (Halde)», si la chaîne tarde à revenir sur sa position.

Visées électoralistes

Dimanche, Marine Le Pen est elle aussi venue alimenter la polémique en dénonçant un «diktat » sur Canal+. La vice-présidente du Front nationale, tête de liste aux régionales dans le Nord-Pas-de-Calais, estime «que chacun soit à sa place. Il faut que les musulmans expriment leur désir de vivre leur foi personnelle dans la sphère privée, sans empiéter dans la sphère publique.»

A un mois du premier tour des régionales, le menu unique de Quick se retrouve donc au cœur de la campagne dans le Nord-Pas-de-Calais. René Vandierendonck se défend de faire le jeu du Front National. «Contrairement au FN, je ne réfute pas à Quick le droit d’avoir une offre halal, surtout à Roubaix, où la population musulmane est importante. Je présume qu’on peut obtenir à l’amiable un retour à la diversité.» Le maire de Roubaix réfute aussi de toute visée électoraliste. «Je connais bien la question de la diversité. J’ai siégé dès 2001 au Haut conseil à l’intégration et j’ai participé à un rapport sur l’islam en France». René Vandierendonck se contente selon lui de «relayer auprès de Quick ce que tous les consommateurs de Roubaix pensent».

Mais pour Marine Le Pen, le maire de Roubaix est conscient de l’intérêt électoral d’une telle affaire. «Il ne s’est jamais prononcé sur la question. Et là, il fait une grande annonce qui d’ailleurs ne tient pas juridiquement. C’est grotesque !», tempête la tête de liste FN, interrogée par lefigaro.fr. La vice-présidente du parti frontiste va plus loin en assurant que «le PS et l’UMP, qui cautionnent la soumission de la population à la loi islamique, craignent le FN. Ils ne comprendront le message que par le vote». Réponse le 14 mars, lors du premier tour des régionales.

Source: lefigaro.fr

Un concours du plus beau minaret est lancé !

16/02/2010
Incroyable mais vrai! Voici une nouvelle forme d’islamisation de l’Europe. Mais d’où ils sortent tout ça???
FDF

Le concours photographique « du plus beau minaret d’Europe » a été lancé aujourd’hui à Strasbourg par une ONG pour « témoigner de la présence pacifique et universelle de l’Islam » sur le continent et « lutter contre les peurs et préjugés », selon les organisateurs.

« Nous ne sommes pas dans une démarche de provocation, bien au contraire, mais dans la recherche de cohésion sociale et d’intégration », a indiqué à le vice-président de COJEP International, Veysel Filiz, une ONG qui a un statut participatif auprès du Conseil de l’Europe et qui est partenaire de l’OSCE.

Le British Council et l’IMCOSE (Initiative musulmane pour la cohésion sociale européenne) sont avec le COJEP (Conseil de la jeunesse pluriculturelle) les coorganisateurs de ce concours qui va déterminer parmi les minarets contemporains les plus beaux spécimens européens.

Les photos devront être envoyées au plus tard le 15 avril et les mosquées devront y joindre les spécifications telles que la hauteur, largeur, date de construction de l’édifice ou nom de l’architecte.

Un jury « multiconfessionnel, multiethnique et regroupant des membres de divers horizons » déterminera les lauréats à Strasbourg le 19 avril. Parmi les 22 membres du jury, on trouve un rabbin, une théologienne protestante suisse, un prêtre de l’Eglise anglicane et des représentants du conseil de l’Europe.

Source: lefigaro.f

Alors, qu’est-ce qu’il nous fait, Besson?

Mercredi 17 février 2010

Après les rumeurs d’une possible conversion à l’islam, M.Besson affirme : « Je déplore d’avoir à démentir une conversion à une religion pour laquelle j’ai par ailleurs du respect, je suis très attaché au caractère laïc de notre République ».


La dépêche AFP nous apprend que le ministre a indiqué avoir chargé son avocat « d’étudier les conditions dans lesquelles des poursuites pourraient être engagées sur le fondement de l’atteinte à la vie privée ».


Selon Jeuneafrique du 17/02/2010 la conversion n’est exigé que si le mariage à lieu en Tunisie.

Sans rapport avec cette rumeur de M.Besson.Tout le monde peut appeler un consulat tunisien et demander si pour épouser une tunisienne musulmane il faut se convertir. L’auteur de ces lignes le confirme après des essais réalisé à des consulats en France. La « Tunisie laïque » exige la conversion d’un non-musulman pour épouser une musulmane sur son sol.

Imaginez que pour épouser un Français une non-catholique doive se convertir, diriez vous que la France serait laïque?


Source: laiciste.over-blog.com

La parole vaut ce que vaut l’Homme . L’Homme vaut ce que vaut sa parole.

Je n’ai pas (encore) la source, mais c’est tellement… réaliste que ce n’en n’est pas surprenant du tout.

FDF

EFFARANT !!!!!!!

« La parole vaut ce que vaut l’Homme . L’Homme vaut ce que vaut sa parole Voici ce que vient de déclarer > Mohamed Sabaoui, jeune sociologue de l’université catholique de Lille, d’origine algérienne, naturalisé français ; Ceci est plus que prometteur.!. Je cite: «Notre invasion pacifique au niveau européen n’est pas encore parvenue à son terme. Nous entendons agir dans tous les pays simultanément. Comme vous nous faites de plus en plus de place, il serait stupide de notre part de ne pas en profiter. Nous serons votre Cheval de Troie. Les Droits de l’homme dont vous vous réclamez, vous en êtes devenus les otages. Ainsi, par exemple, si vous deviez vous adresser à moi en Algérie, ou en Arabie Saoudite, comme je vous parle maintenant, vous seriez, dans le meilleur des cas, arrêtés sur-le-champ. Vous autres Français n’êtes pas en mesure d’imposer le respect à nos jeunes. Pourquoi respecteraient-ils un pays qui capitule devant eux ? On ne respecte que ce qu’on craint. Lorsque nous aurons le pouvoir, vous ne verrez plus un seul de nos jeunes mettre le feu à une voiture ou braquer un magasin… Les Arabes savent que la punition inexorable que mérite, chez nous le voleur, c’est l’amputation d’une main ». Et, toujours du même Mohamed Sabaoui lors d’une interview récente : Les lois de votre République ne sont pas conformes à celles du Coran et ne doivent pas être imposées aux musulmans, qui ne peuvent être gouvernés que par la Charia. Nous allons donc oeuvrer pour prendre ce pouvoir qui nous est dû. Nous allons commencer par Roubaix, qui est actuellement une ville musulmane à plus de 60 %. Lors des futures élections municipales, nous mobiliserons nos effectifs, et le prochain maire sera musulman. Après négociation avec l’État et la Région, nous déclarerons Roubaix enclave musulmane indépendante comme le KOSOVO et nous imposerons la Charia (loi de Dieu) à l’ensemble des habitants. La minorité chrétienne aura le statut de Dhimmis. Ce sera une catégorie à part qui pourra racheter ses libertés et droits par un impôt spécial. En outre, nous ferons ce qu’il faut pour les amener par la persuasion dans notre giron. Des dizaines de milliers de Français ont déjà embrassé l’Islam de plein gré comme Frank RIBERY, GARAUDY et d’autres, pourquoi pas les chrétiens de Roubaix ? Et puis avec l’entrée prochaine de la TURQUIE en Europe, c’est plus 80 millions de Musulmans qui circuleront librement et se chargeront d’Islamiser toute l’Europe. Actuellement à l’université de Lille, nous mettons sur pied des brigades de la foi, chargées de ‘convertir’ les Roubaisiens récalcitrants chrétiens, ou juifs, pour les faire rentrer dans notre religion, car c’est Dieu qui le veut ! Si nous sommes les plus forts, c’est que Dieu l’a voulu. Nous n’avons pas les contraintes de l’obligation chrétienne de porter assistance, à l’orphelin, aux faibles et handicapés. Voir votre Soeur EMMANUELLE. Nous pouvons et devons, au contraire, les écraser s’ils constituent un obstacle, surtout si ce sont des infidèles ». Une réalité que beaucoup prennent pour de la fiction, et rigolent en lisant mais c’est la vérité future….. »

A MEDITER …………. Longuement ! A faire circuler largement !!!!!!

Les expulsions de clandestins: ça nous coûte cher; très cher…

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 11:27

L’efficace Hortefeux…

2010 : déjà 32 Marocains qui rentraient chez eux expulsés…

15/02/2010

Des Marocains en route vers le Maroc arrêtés par la police française à la frontière franco-espagnole, placés en rétention, pour finalement être expulsés vers leur pays alors qu’ils en prenaient la route… Cela peut sembler complètement absurde. C’est pourtant arrivé à 32 d’entre eux depuis le début de l’année.

En avril 2009, la Cimade avait déjà alerté Rue89. À l’époque, treize Marocains venaient d’être interpellés à bord de plusieurs bus à destination de leur pays d’origine, en possession d’un titre de transport mais pas d’un titre de séjour valable dans l’espace Schenghen. La police aux frontières gardant le silence, le cabinet d’Eric Besson, au ministère de l’Immigration, avait alors justifié ce zèle nouveau.

Techniquement, la France est en effet redevable vis-à-vis de ses partenaires d’interpeller des clandestins sur le sol communautaire. Et Paris estime que rien ne dit que ces Marocains, qui se bornaient à transiter d’Italie vers le Sud, ne seraient pas descendus du bus quelque part en Espagne.

32 cas en six semaines : du jamais vu pour la Cimade

Aux yeux de la Cimade, il s’agissait déjà d’une pratique absurdement zélote de la part des fonctionnaires français. Depuis le début de cette année 2010, la pratique a repris de plus belle. Selon Clémence Viannaye, salariée de la Cimade au CRA de Perpignan, 32 Marocains cheminant vers leur pays d’origine ont été interpellés depuis le 1er janvier. Et envoyés en rétention.

Trois d’entre eux se trouvaient à bord d’une voiture. Difficile d’affirmer avec certitude qu’ils auraient traversé pour de bon toute l’Espagne à destination du détroit de Gibraltar. Mais les 29 autres avaient bien fait l’achat d’un billet de bus nominatif. Destination : le Maroc.

32 cas en six semaines, ce serait du jamais vu selon la Cimade. Après un court passage en rétention, ils ont tous été rapatriés au Maroc. En bateau ou en avion. Aux frais du contribuable français, et en dépit du billet qu’ils avaient déjà réglé. Précisons au passage qu’un très officiel rapport du Sénat estime qu’une expulsion coûte en moyenne 20 970 euros – transport, rétention et escorte de sécurité inclus.

Au moins quatre d’entre eux, arrivés au centre de rétention les mains dans les poches, ont protesté contre le fait qu’ils avaient dû abandonner leurs bagages dans les soutes du bus.

vu sur http://www.rue89.com/2010/02/15/2010-deja-32-marocains-qui-rentraient-chez-eux-expulses-138658

Toul et la menace islamiste…

17.02.2010

Une Charia décomplexée à la mosquée de Toul

Toul, ville de Moselle de 16 000 habitants à l’ouest de Nancy, aurait simplement dû rester connue pour sa cathédrale St-Etienne, ses fortifications de Vauban, sa commanderie des Templiers et sa longue vocation militaire, continuée aujourd’hui par la présence du  516ème régiment du train. Figure de la ville, le général Bigeard y possède même son avenue, fait rare pour une personnalité encore vivante et qui n’a pas encore rendu les armes, ses derniers livres étant deux appels au sursaut patriotique poignants contre le délitement de la France…dont la menace islamiste tient une grosse part au chapitre.

Mais voilà, Toul fait depuis peu parler d’elle dans un autre domaine, celui des faits divers…liés justement à la menace islamiste. Rappellez-vous, nous avions été un des seuls médiats à en parler : le 2 juillet 2009, la chapelle de la Croix-de-Metz subit une attaque en règle . « C’est décidé, je pars. Ça devient insupportable. Depuis pratiquement une semaine, c’est tous les soirs ! », l’abbé Noël n’en pouvait plus. Un groupe de jeunes allochtones lancèrent pendant plusieurs jours pierres et cailloux, voire parpaings. Son compteur électrique fut saboté. « Depuis un an, je dirais que ce genre d’incident se produit irrégulièrement. Mais depuis mercredi dernier, ça ne s’arrête plus ou presque. A chaque fois, à partir de 21 h 30… »

Après s’être rendu au commissariat de police pour évoquer ces faits, il rapporte dépité:  « Cette fois, ils m’ont menacé verbalement, en me disant ” On aura ta peau ! “ ». Surtout, un étendart noir fut déployé sur la croix surplombant la chapelle : il n’est sorti qu’en temps de guerre en islam…il s’agit bien d’une agression fomentée par des musulmans radicaux voulant déloger le prêtre trop proche de leur quartier devenu terre d’islam (Dar-al Islam). Et l’abbé est effectivement parti…les islamistes ont gagné.

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Si cette histoire scandaleuse n’a pas eu le retentissement médiatique qu’elle aurait dû avoir, en revanche, la profanation de la mosquée de Toul qui a suivi, un mois après dans la nuit du 18 au 19 août a suscité l’indignation de tous les grands médiats et nombre de communiqués de responsables politiques. Les profanateurs ne se sont pas contentés des inscriptions « La France aux Français » et « Marre des bougnoules » mais sont allés jusqu’à peindre des croix gammés, ignorant certainement tout de l’alliance historique des autorités nazies et musumanes durant la seconde guerre mondiale. Oeuvre de jeunes à faible niveau culturel acceptant mal la transformation de leur ville en médina, ils ont été retrouvés par la police,  qui n’a pas employé le même zèle professionel lorsqu’il s’agissait d’enquêter sur les bourreaux de la chapelle…
Mais parlons plus précisément de la mosquée de Toul, tout d’abord de son recteur, Amine Nedji, président du  Conseil Régional du Culte Musulman  de la Région  Lorraine depuis 2003. Cet intellectuel, directeur du Département de « Psychopharmacologie » dans un Centre de Recherche Scientifique à Nancy (depuis 1999) , dirige également dans ses activités islamiques le site Internet de réflexion www.al-wassat.com, dont la lecture est très instructive. Un article intitulé La sanction en islam expose le plus tranquillement du monde la supériorité des lois islamiques sur les lois démocratiques, et se présente comme une attaque frontale envers  les républiques laïques, allant jusqu’à justifier des sanctions contre les apostats qui quitteraient l’islam, soit le b.a.b.a de la charia sunnite.
 » Dans la législation islamique, la sanction peut être définie comme suit : « La sanction est une punition infligée à l’être humain pour un acte qui va à l’encontre de la législation. » (Hâchiyat At-Tahâwî ‘alâ ad-dourri al-moukhtâr, Tome 2, p.288.)
Le magistrat et jurisconsulte ‘Abdelqâder ‘Oûda, que Dieu agrée son âme, explique ce terme de la manière suivante dans son œuvre At-Tachrî‘ al-jinâ’î al-islâmî (Le Code pénal en Islam, Tome 1, p.609) : « La sanction est une punition décrétée pour l’intérêt du groupe contre une désobéissance face à une injonction ou une proscription du Législateur. »

– « al-hadd : الحَدّ » : cette catégorie inclut des formes de punitions immuables prescrites par Le Législateur (Dieu), tirées du Coran et de la sunna. Ces châtiments appartiennent à Dieu. Ils ont pour but de préserver l’intérêt public et ils ne peuvent en aucun cas être allégés, alourdis ou délaissés. Parmi ces délits se trouvent :
● la rébellion ;
le fait de boire de l’alcool ;
● le vol à main armée ;
● le vol ou brigandage ;
● les relations sexuelles illicites ;
l’apostasie ;
● les accusations diffamatoires de promiscuité.

(…)
La législation islamique a pour but d’instaurer une société idéale où règne la justice et la promotion de la vertu. Des limites claires marquent la frontière entre le licite et l’illicite, et des peines sévères sanctionnent les transgressions. La mise en place de sanctions qui préviennent au mieux les infractions aux lois permet de protéger les obligations sociales qui assurent la cohésion entre les être humains. Sans ce genre de sanctions, la turpitude s’étalerait, la filiation disparaitrait et personne ne se sentirait en sécurité ni pour ses biens ni pour son honneur. Combattre ces maux par l’autorité divine ― autorité suprême ― est la seule manière de protéger la famille et conséquemment la société de la propagation des pires calamités sociales : l’adultère et la diffamation. »
(…)

La charîa, un système inhumain ?

La plupart des systèmes pénaux des sociétés contemporaines sont basés sur le sentiment social et en dépendent. En Islam, le cadre législatif s’appuie sur la Révélation divine. Aucune liberté de manœuvre n’est laissée aux passions humaines : les lois émanent du Créateur ― Infiniment Sage et Miséricordieux ― Qui connaît les affaires de ce monde bien mieux que les êtres humains. Vouloir atteindre la justice sans avoir recours à l’aide divine aboutit à une impasse, car toutes les autres sources de savoir et de théories sont entachées par l’imperfection humaine. » Source

Soit une condamnation sans équivoque des systèmes démocratiques occidentaux !

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A l’heure ou les intellectuels, journalistes et homme politiques français commentent avec effroi l’anniversaire de l’avènement de la république islamique d’ Iran, ils feraient bien de se préoccuper du projet de société similaire voulu par des responsables musulmans, pourtant présentés comme ayant toutes les garanties d’un islam dit « modéré’ et « du juste milieu » : Amine Nedji est en effet non seulement responsable régional du très officiel CRCM (représentation régionale du Conseil Français du Culte Musulman créé par nicolas Sarkozy) mais est également un proche de Mohammed Moussaoui, président très médiatique et supposé lui aussi modéré du CFCM.  En effet, si Mohammed Moussaoui dirige le Rassemblement des Musulmans de France (RMF), Amine Nedji fait partie de l’élite de cette fédération en ayant un siège à son bureau, tout comme 10 autres Marocains (le RMF est une courroie de transmission du royaume chérifien) sur lesquels les services de renseignement français seraient inspirés de travailler.
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Alors que Mohammed Moussaoui vient de donner une ridicule leçon de morale aux Français dans une tribune du Monde où il dénonce « une instrumentalisation politique de la religion musulmane, présentée par certains comme une menace pour la cohésion nationale et le vivre ensemble », ce qui est pourtant une évidence, il ferait mieux de s’expliquer sur les positionnements de son proche collaborateur. Pour lui « dans l’imaginaire collectif, la présence musulmane sur le sol français est assimilée à une présence étrangère qui vient perturber le paysage français »…venant de quelqu’un ayant la nationalité marocaine, parler de présence étrangère « imaginaire » est vraiment grotesque.
Désormais, les gouvernements français qui se succèderont auront deux options :
– Soit prendre conscience que la colonisation musulmane de la France est en train de créer un pays à deux vitesses, l’un républicain composé d’autochtones et de populations d’origine immigrée et assimilée; l’autre composé d’enclaves musulmanes où des populations affirment de manière décomplexée qu’il faut subordonner les lois « impies » des hommes aux lois coraniques, et qui brandissent leur patriotisme étanger comme un droit à la différence. Il faudra alors, afin de sauver l’unité française, se priver des Nedji et les Moussaoui qui ont obtenu des titres de séjour de manière très curieuse, ainsi que les cadres étrangers des autres fédérations islamistes de France (UOIF, Milli Gorus).
– Soit continuer à prétendre contre toute vraisemblance, que l’islam est une simple religion, et non un totalitarisme politique à vernis religieux, qu’un islam de France va émerger et que les masses musulmanes sont loyales envers notre pays, alors que la Oumma est une internationale solidaire. Ce déni de réalité nous prépare à la multiplication des scenari type Toul, où des musulmans revendicatifs et parfois violent provoqueront des réactions, certes pas toujours défendables, de Français excédés de subir en silence l’invasion légale de leur territoire.
Comme le dit le maire de Montfermeil Xavier Lemoine, pourtant UMP au quotidien Haaretz en juin 2006 : « Ce sera eux ou nous. S’ils gagnent, on est morts. Moi je suis catholique, Français et fier de l’être, et je n’ai pas l’intention de vivre comme un dhimmi (un non-musulman bénéficiant d’un statut particulier dans les pays musulmans) dans mon propre pays. Nous sommes différents d’eux et ces gens ne représentent pas la France. »
Tant que le gouvernement français ne prend pas des mesures drastiques pour contrer l’offensive démographique et idéologique islamiste, je recommande à mes lecteurs de voter pour les listes du Bloc identitaire aux prochaines élections régionales ( Ligue du Sud, Ligue du Midi, Alsace d’Abord).

Il est temps de choisir son camp et de « nommer l’ennemi » (Carl Schmitt). La collaboration avec le camp d’en face est désormais claire à l’UMPS qui subventionne des mosquées islamistes. Voir les cas de Strasbourg, Bordeaux, Mulhouse, Créteil, Nantes etc. Les preuves sont irréfutables et nombreuses, aucun parti politique n’a osé me trainer en justice pour diffamation depuis 2006. Signe qu’ils ont très peur d’un grand déballage public de leurs turpitudes…

D’après un billet de islamisation.fr (http://tinyurl.com/yh6hxws)

C’est sympa de leur part: L’islam s’ouvre à la langue française.

Réaction bien tardive… La moindre des choses, quand on est immigré ou issu de l’immigration, c’est d’apprendre la langue du pays d’accueil, non? Si ils veulent « s’intégrer », comme ils disent, c’est le premier pas à franchir; mais il n’y a qu’eux qui disent vouloir s’intégrer… On ne nous a pas demandé notre avis, à nous, les Français de souche, si nous étions d’accord pour les accepter. Accueillir, c’est une chose, se faire envahir en est une autre…

FDF

A l’heure des dernières gesticulations du débat sur l’identité nationale, Azzedine Gaci est, avec Kamel Kabtane et la Grande Mosquée de Lyon, à l’initiative de l’enseignement de la langue française pour six imams de la région. Une nécessité impérieuse pour le président du Conseil Régional du Culte Musulman, qui doit permettre aux imams de prêcher pour tous, et plus seulement pour les arabophones. Car dans les mosquées, on parle dorénavant et en majorité le français. Cette initiative, qui vise à remettre l’imam au centre de la mécanique de culte, vise aussi à assécher les islams connexes, et parfois radicaux. Interview d’Azzedine Gaci.

Lyon Mag : Cette volonté de faire apprendre le français aux imams est une initiative qui a été lancée l’année dernière ?

Azzedine Gaci : Cette expérience a été lancée au mois de mars 2009 suite à une à une rencontre avec le préfet Gérault. Nous discutions de ce qui était fait pour les nouveaux arrivants, les nouveaux immigrants, en particulier sur l’apprentissage du français. J’ai profité de cette occasion pour que quelque chose soit fait pour les imams de France, notamment ceux qui officient dans la région Rhône-Alpes. Pour la plupart, ils ne parlaient pas français.
J’ai souligné que c’était peut-être l’occasion de leur apprendre le français pour qu’ils puissent traduire une partie des prêches qu’ils font le vendredi. Le préfet a saisi l’occasion. Sa réponse a été spontanée et il m’a même engagé à commencer dès le lendemain. J’ai pris contact avec certains imams, six en tout. Il fallait absolument que les imams en question aient eu une formation d’imam dans leur pays d’origine ou en France. Les classes ont ainsi été composées. L’imam est le premier guide spirituel de la communauté musulmane, il y a donc un certain respect entre eux. Il fallait les mettre ensemble pour pouvoir réussir cette expérience. Lire suite de l’article

Source : Lyonmag.com – 15/02/2010

Narbonne. Nouvelle initiative pour le projet de (future)mosquée.

Et encore une! Enfin, encore un « projet »…

FDF

15 février 2010

Nouvelle initiative pour le projet de mosquéeUne cinquantaine? Ils sont…. vingt et un.

Narbonne possède plusieurs salles de prière mais aucune mosquée ! Pas possible, à l’époque où on vit…


« Une cinquantaine de personnes ont assisté, samedi au Foyer Léo-Lagrange, à la première réunion publique consacrée au projet de mosquée à Narbonne. Ces musulmans répondaient à l’invitation de l’association « Fraternité narbonnaise » (Fran) créée pour fédérer les associations cultuelles et culturelles existantes. Fédérer est, en effet, la condition sine qua non exigée par la Ville afin de fournir le terrain nécessaire à ce lieu de culte (lieu de culte? Et la loi de 1905, alors?) qui manque ici.
Mais la tâche est plus difficile qu’il n’y paraît. Principalement, on le sait (Midi Libre du 22 janvier) parce que « l’Association cultuelle et éducative », dont le siège est à Saint-Jean Saint-Pierre , porte son propre projet depuis de longues années. Elle a acheté un terrain sur l’avenue de Bordeaux et vient d’obtenir
un permis de démolir (*).
Mais, avec ses 240 m 2 , la salle de prière prévue est jugée trop petite. Alors que le nombre de fidèles est évalué entre 2 000 et 3 000 pour le Grand Narbonne.
L’un d’eux, aux cheveux gris, semble résumer le sentiment général : « Nous, les anciens, nous voyons nos enfants faire désormais partie intégrante de la société, bien mieux que nous. Ils ont besoin d’un lieu qui leur convienne. C’est-à-dire dans la transparence, sans avoir à prier dans les caves ».
Quant à Abdu Rachédi, il manifeste une impatience que beaucoup partagent : « La première association musulmane a été créée à Narbonne en 1984. Depuis nous n’avons pas une mosquée digne de ce nom ! C’est pas normal que les gens soient obligés de prier dehors ! Que les politiques prennent leurs responsabilités ».
« C’est à nous de faire entendre notre voix » renchérit Mohamed Bendriss.
Mustapha invite ses coreligionnaires à l’autocritique : « Le maire n’y est pour rien. C’est nous qui n’arrivons pas à nous entendre. Il faut qu’on s’entende sinon nous n’arriverons à rien ». Constatant l’absence de consensus, Jacques Bascou avait, en effet, décrété que le projet de céder le terrain était en « stand-by ».
Pour faire avancer les choses, l’assemblée de samedi a décidé de désigner trois de ses membres afin d’aller voir, une fois encore, les responsables de l’association de Saint-Jean Saint-Pierre.
Ali Oualagha, et Amar Dous, respectivement président et vice-président de « Fran », espèrent que l’initiative sera fructueuse. Mais ajoutent : « Il faudra être patients. C’est un projet qui ne verra pas le jour avant plusieurs années ». »

(*) La ville avait proposé à l’association de lui racheter son terrain afin de la dédommager. Sans succès.


(NDLR: nous, on n’est pas pressés non plus…).


Source: midilibre.com