Francaisdefrance's Blog

15/02/2010

Et chez nos voisins Italiens, c’est pas mieux…

Pour une fois, je fais un aparté afin de vous informer qu’ailleurs, la racaille musulmane fait « aussi » sa loi…

FDF


Italie : émeute musulmane à Milan

15 février 2010

L’homicide d’un jeune Égyptien à Milan samedi soir et l’émeute qui a suivi dans le quartier a comme origine le simple fait qu’à bord d’un autobus un Sud-Américain avait involontairement marché sur le pied d’un arabo-musulman. L’altercation qui a suivi a dégénéré ensuite dans la rue. C’est ce banal et imprévisible incident qui a déclenché un épisode de guérilla urbaine. Dimanche matin le calme était revenu et les habitants du quartier se promenaient tranquillement comme à l’accoutumée.

Alors que la brigade mobile de Milan continue d’enquêter sur l’homicide du jeune Égyptien, on a arrêté durant la nuit quatre personnes qui sont maintenant en garde à vue dans les cellules de sécurité de la préfecture en attente de vérifications. Par ailleurs un groupe de 37 Nord-Africains, des Égyptiens pour la plupart, ont été conduits au commissariat de la rue Fatebenefratelli et dix d’entre eux sont en situation irrégulière.

L’enquête.

Les inspecteurs de la troisième section de la brigade mobile se chargeront d’enquêter sur l’assassinat du jeune Égyptien, il aurait eu 20 ans en juillet prochain et il avait finalement obtenu vendredi dernier un permis de séjour après quatre ans de clandestinité.

Selon les dires des témoins directs de l’agression, l’élément déclencheur serait le suivant : vers 17 h 30, à bord de l’autobus 56, une simple querelle a commencé entre 3 jeunes Nord-Africains et 5 jeunes Sud-Américains, une altercation qui a débuté parce qu’un des Sud-Américains a marché, involontairement, sur le pied d’un des Égyptiens. Suivent les insultes et les injures et une fois descendus à l’arrêt “Padova-da Lodi” un des Sud-Américains a sorti un couteau et à commencer à frapper les “adversaires”.

Un des jeunes Égyptiens a reçu un coup à la hauteur du coeur et s’est écroulé dans une mare de sang près de l’entrée de l’immeuble situé au numéro civique 80 de la rue Padova, son ami ivoirien L. K. âgé de 21 ans a été blessé au bras et le troisième, le cousin de la victime, s’en est sorti indemne. Et pendant qu’ils aidaient la victime les agresseurs prirent la fuite.

La révolte.

En l’espace de quelques de minutes des dizaines d’immigrants nord-africains sont sortis des bars et des immeubles avoisinants et sont accourus afin de savoir ce qui s’était passé, s’informer sur l’identité de la victime et pour éventuellement  aider à emporter le cadavre. Entre-temps deux patrouilles et deux voitures des agents de police sont arrivés sur place et ont éloigné des lieux du délit une foule toujours plus nombreuse. Sur le trottoir en face quelqu’un s’est mis à prier pendant que d’autres maudissaient les “latinos” . Le niveau de colère est monté d’un cran et dans leur effort pour la contenir, les policiers ont commencer à agiter les matraques. Plusieurs Nord-Africains ont alors disparus dans les rues latérales. Au moins douze voitures à demi-détruites, plusieurs renversées. une dizaine de commerces et d’établissements dont les propriétaires sont Sud-Américains ont été attaqués et vandalisés dans plusieurs rues du quartier.

Selon Pier Luigi Bersani, chef du Parti Démocratique, l’émeute de Milan montre l’échec des politiques d’intégration et de sécurité du gouvernement : « C’est un incident très grave mais j’ai été choqué d’entendre les cris des politiciens de la droite, de la Lega, qu’est ce qu’il ne faut pas entendre !? Ce sont eux qui gouvernent le pays, la province de Lombardie et la ville de Milan, ils doivent se rendre compte de l’échec de leurs politiques d’intégration et de leurs politiques de sécurité nationale. Qu’ils ne rejettent pas la faute sur les autres. Si on veut travailler sérieusement pour affronter et surmonter les problèmes,» a ajouté le leader du PD, « on doit faire les choses sérieusement mais continuer à cultiver ( à alimenter ) ces problèmes pour obtenir l’approbation [de la populations ] mais sans jamais les résoudre, cela n’est plus acceptable.»

Quant au ministre Roberto Calderoli de la Lega Nord, il revendique la tolérance zéro et réplique durement au secrétaire du Parti Démocratique : «Les graves incidents survenus samedi soir à Milan entre des bandes rivales d’immigrants représentent le type de réponse que l’on doit donner à ceux qui s’obstinent à penser que l’intégration peut se faire au moyen de lois ou de décrets.»

Et il ajoute : « Ce qui est arrivé hier confirme que l’on est en train de payer pour les erreurs passées d’une idéologie erronée mais aussi pour les erreurs présentes de ceux qui pensent que l’intégration peut se réaliser en changeant les données numériques. (ou statistiques ? ) ». « Ce n’est que le lourd héritage des politiques de la gauche que nous sommes en train de payer, de ces politiques de portes ouvertes à tous. C’est pour cela que Bersani, le chef du PD, doit se taire et qu’il doit faire son mea culpa. Ces incidents de Milan nous envoient le signal qu’il y a ici la possibilité de se retrouver face à un problème de banlieue semblable à ce qui est arrivé en France et précisément maintenant alors que la France s’apprête à voter des loi plus rigides pour le contrôle de l’immigration. Ce qui montre la justesse des mesures mises en avant par notre gouvernement :

la tolérance zéro.


Source : Repubblica

Traduction Bivouac-id.

Nombreuses photos  ICI

Les couleurs de notre drapeau, vous savez: celui que certains brûlent…

Le 15 février 1794, la Convention décrète que «le pavillon sera formé des trois couleurs nationales disposées en trois bandes égales posées verticalement,…» Le peintre David suggère que le bleu soit fixé à la hampe. Ainsi naît le drapeau tricolore.

A chaque couleur son histoire

– La couleur rouge vient de ce que les rois de France, dans les heures de grand péril, brandissaient la bannière de Saint-Denis, rouge du sang du martyr. Cette tradition a été reprise par les Parisiens insurgés contre le roi Louis XVI, de sorte que le drapeau rouge est devenu le symbole mondial des luttes ouvrières !

– Le blanc est la couleur d’une écharpe que les chefs des armées et le roi en personne arboraient au combat, sous l’Ancien Régime, pour signaler leur grade. C’est seulement en 1815, sous la Restauration, qu’il est devenu le symbole de la monarchie.

– On repère le bleu dans les couleurs des bourgeois de Paris, au Moyen Âge, en association avec le rouge.

Les couleurs de la Nation

Rue Montorgueil, fête nationale du 30 juin (Claude Monet, 1878, musée du Louvre) >

Le 17 juillet 1789, peu après la prise de la Bastille, Louis XVI est accueilli à l’Hôtel de Ville par une foule arborant une cocarde aux couleurs de Paris, le bleu et le rouge. La Fayette remet au roi une cocarde semblable où il insère le blanc.

En 1848, après l’abdication de Louis-Philippe 1er, les républicains hésitent à conserver les trois couleurs et penchent pour le drapeau rouge.

Il faut toute l’éloquence d’Alphonse de Lamartine pour les conserver. Le 26 février 1848, à l’Hôtel de ville de Paris, le poète (58 ans) s’adresse en ces termes aux socialistes : «… le drapeau rouge, que vous-même rapportez, n’a jamais fait que le tour du Champ-de-Mars, traîné dans le sang du peuple en 1791 et 1793, et le drapeau tricolore a fait le tour du monde avec le nom, la gloire et la liberté de la patrie».

Source: herodote.net

Un lycéen agressé à coups de cutter par des « cagoulés » à Thiais!!!

15.02.10

Mais personne ne peut arrêter ça? Encore l’oeuvre de « chances pour la France », je pense.   L’élève a été blessé par quatre à six autres personnes « cagoulées »…

FDF


Un élève du lycée Guillaume-Apollinaire de Thiais (Val-de-Marne) a été blessé à coups de cutter ce lundi par quatre à six personnes qui se sont introduites à l’intérieur d’un gymnase proche de l’établissement, a indiqué à 20minutes.fr la préfecture de police du Val-de-Marne.

Blessé à l’oreille et roué de coups de pieds et de poings, le jeune homme, âgé de 17 ans, a été hospitalisé à Paris à l’hôpital Lariboisière (10e arrondissement). Ses jours ne seraient pas en danger, a indiqué une source policière à l’AFP.

Irruption de quatre six personnes masquées.

Les faits se sont déroulés en fin de matinée ce lundi dans le gymnase de ce lycée polyvalent de quelque 1.500 élèves. Quatre à six personnes, le visage masqué par des capuches, ont fait irruption dans le bâtiment et s’en sont pris à la victime, d’après la préfecture.

«Des professeurs et des élèves ont tenté de s’interposer, mais ils ont été aspergés de gaz lacrymogène par les agresseurs qui ont pris la fuite sans avoir pu être interpellés», a ajouté la préfecture.

Manifestation spontanée et suspension des cours.

Dans l’après-midi, l’ambiance était tendue, des élèves organisant une manifestation spontanée aux abords du lycée Guillaume-Apollinaire qui a été fermé tout le reste de la journée par le proviseur. Selon la préfecture, les cours reprendront mardi matin.

Ce nouvel incident intervient près de deux semaines après l’agression au couteau d’un élève de 14 ans dans le lycée Adolphe-Chérioux situé dans la ville voisine de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne).

Source: 20minutes.fr

Le voile intégral n’étant pas musulman, il peut être interdit.

C’est en tout cas ce que pense l’avocate iranienne Shirin Edabi, prix Nobel de la paix, comme le chef de guerre Obama, 2003.

Ce qui est particulièrement intéressant, c’est le fait qu’elle ait exprimé cette opinion lors d’une interview sur France Info. Cette femme pense donc que dans la mesure où quelque chose n’est pas prescrit par l’islam, la république française à le droit de l’interdire. Au train où vont les choses, le parlement européen, le lieu où quatre-vingt pour-cent des lois sont votées, va devoir engager des imams comme consultants pour déterminer si nos lois sont bien conformes avec les préceptes de la Charia.

Source…

Le consul général de Turquie en France fait du négationnisme !

Le négationnisme… C’est pas puni par nos lois, ça? Il n’y a pas un certain JM Le Pen qui en a déjà fait les frais, non? Mais pour un consul étranger sur notre sol, c’est permis. Que va faire la Justice, dans ce cas? Attendons… Et on verra si la préférence non-nationale est bien réelle.

FDF


lundi15 février 2010

Le consul général de Turquie rencontre les lycéens – Combourg

Avant d’ouvrir le festival Travelling Istanbul, le consul général de Turquie en France, Ugur Ariner, a été reçu au lycée Chateaubriand par le proviseur Dominique Boisramé, et Alain Monnier, professeur de lettres.

La Turquie est à plusieurs titres au programme des lycéens avant de répondre à leurs questions, Ugur Ariner a rappelé que son pays et la France « étaient amis depuis le XVI e siècle. » et donné son sentiment sur l’appartenance de la Turquie à l’Europe.

« Les Kurdes comme des frères »  Voir: http://kurde-moyen-orient.20minutes-blogs.fr/genocides-et-massacres

Politiquement « le pays repose sur des principes de laïcité, sur l’égalité, le pluralisme et le respect des droits de l’homme. » Culturellement « la Turquie a une philosophie de vie, elle a fait siennes les valeurs et le mode de vie de l’U.E ». Économiquement « c’est la 15 e plus grande économie mondiale, la sixième européenne. Son entrée dans l’U.E. ne va pas diminuer la part du gâteau, mais en augmenter le volume, » assure en souriant le consul général pour qui « l’appartenance de (son) pays à l’Europe a été plusieurs fois reconnue au cours des siècles passés. »

Un étudiant pose la question du génocide arménien. Ugur Ariner ne nie pas mais recadre : « Génocide implique une intention. Il s’agit d’un massacre, pas d’un génocide. Une commission d’historiens a été créée en 2009 pour décider. »

Une autre question sur les droits de la femme : « Sur le papier, elles ont tous les droits. » Le consul général insiste. « Elles sont en théorie les égales des hommes, mais des pressions existent dans certaines régions. C’est un problème d’éducation ; les femmes ont des droits mais ne le savent pas. Nous travaillons pour leur éducation. » Vient la question des minorités kurdes. Ceux-ci sont deux millions à Istanbul sur quinze millions d’habitants. « Nous avons des parlementaires kurdes. Il y aura un Kurdistan au nord d’un Irak partagé en trois avec au sud un Irak Sunnite et un Irak Chiite. La Turquie accepte les Kurdes comme des frères. »

À une question sur les atouts et les faiblesses de son pays, le consul général répond que la Turquie a des experts dans les relations économiques et commerciales en Europe et dans le monde ; que c’est un pays vaste et jeune qui peut nourrir son peuple et devient un pays industrialisé. Le consul général est prêt à aider ceux qui iraient dans son pays : « Allez voir de vos propres yeux, faites connaissance avec des Turcs et vous pourrez juger. »

(FDF: non merci…)


Source: Ouest-France et vu sur http://www.armenews.com/article.php3?id_article=58387

Les « non musulmans » ne sont plus les bienvenus chez QUICK !!!

Une dernière tentative d’islamisation, les muzz ??? Ca ne marchera pas!

FDF


14 février 2010

fapubs93

La chaîne de restaurants QUICK, indirectement détenue par l’Etat Français et donc par les Français eux-mêmes, franchit un pas supplémentaire dans la satisfaction des revendications communautaristes des musulmans.

Ainsi à ROUBAIX, les hamburgers traditionnels au bacon ont été purement et simplement retirés du menu et uniquement remplacés par des hamburgers halal à la dinde…
Les clients non musulmans n’ont donc désormais même plus le choix…ce qui est tout à fait scandaleux, même si l’enseigne se défend maladroitement des pressions qu’elle a subies en prétextant une « expérimentation » momentanée…
Comme quoi l’intégration, ça marche !
Les français « de souche » de Roubaix sont maintenant intégrés à l’islam puisqu’ils mangent tous halal !
Prochaine revendication que l’on peut imaginer : une salle de restauration pour les hommes et une pour les femmes (voilées si possible) et QUICK bien sûr expérimentera…

Et si nous décidions de ne plus mettre nos pieds -de cochons- chez ces gens-là ?


Source: nationspresse.info

Les muzz se rebiffent… « Manifester ne suffit plus! » Gare…

On dirait que la peur change de camp… Après l’invasion, les tentatives d’islamisation, la stigmatisation, la « religion » d’amour, de paix et de tolérance montre enfin son vrai visage? Celui de la violence et de l’appel à un certain jihad? Il semblerait que oui… Ils nous préparent une révolution style 1789???

FDF

Lu sur saphirnews.com:

Islamophobie en France.

Par Abdelaziz Chaambi*

Islamophobie en France : manifester ne suffit plus
Tout le monde a constaté , même les sourds et les non-voyants, qu’une vague islamophobe toujours plus grande déferle sur notre pays avec des dégâts considérables pour les populations victimes mais aussi pour la cohésion sociale et notre fameuse identité nationale.

A l’image d’un tsunami, cette vague destructrice a bien une origine que la majorité de la classe politique feint d’ignorer, alors qu’elle en est elle-même en très grande partie responsable.

Depuis le début des années 1980 jusqu’à aujourd’hui, les hommes et femmes politiques de droite et de gauche ont diabolisé l’islam et les musulmans (FDF: et c’est pas fini…), que ce soit dans les quartiers, dans les usines ,dans les foyers de travailleurs, dans les établissements scolaires et même dans la rue. (FDF: en fait, partout où règne la violence, l’insécurité, le racisme anti-blancs et anti-Occident, la délinquance, etc…).

De Pierre Mauroy, qui islamisait déjà la question sociale de nos parents en lutte dans les usines pour leurs droits de salariés, en passant par le bruit et les odeurs de Chirac, puis « les femmes voilées, femmes violées » de Ségolène en passant par les moutons dans la baignoire de Sarkozy, et pour finir, plus près de chez nous, les propos essentialisants de Nadine Morano sur le jeune musulman ou André Gérin sur la burqa, ont bien constitué, à partir du plus haut sommet de l’Etat, le socle et la culture commune qui ont permis ces déchaînements racistes et islamophobes.

Les gouvernements successifs n’ont rien trouvé de mieux que de nous pondre une loi d’exception le 15 mars 2004 pour stigmatiser définitivement une partie de la population française(???), en encourageant les replis communautaires qui n’ont fait qu’augmenter depuis.

Un fond postcolonial, raciste et islamophobe, couplé à la lepénisation des esprits et à des calculs politiciens, n’a fait que traduire dans les faits un subconscient collectif dans lequel l’arabo-musulman reste l’Autre, l’indésirable, et, si besoin, en temps de crise, le bouc émissaire. Nos chers médias et certains intellectuels peu scrupuleux n’ont fait que souffler sur les braises !

Donc notre situation ne serait qu’une suite logique, me diriez vous ? Oui, mais ce qui l’est moins, c’est l’attitude des citoyens français de confession musulmane et des imams, responsables et autres pseudo-représentants du culte musulman qui ont choisi de brader leur dignité, soit en courant derrière ces partis de l’extrême droite à l’extrême gauche, pour avoir une petite place ou une égalité illusoire, soit en s’attablant à tout prix dans les salons de la République pour y avaler toutes sortes de couleuvres, et servir de caution à une politique d’Etat, qui consiste à museler, à contrôler l’islam de France et à le formater selon les désideratas des tenants du pouvoir et des dominants.

La question palestinienne, la guerre en Afghanistan, les révoltes des quartiers populaires, la liberté d’expression dans les mosquées, le droit d’affirmer sa foi conformément à la laïcité, la liberté d’aller et de venir sont sacrifiés sur l’autel de la représentativité et de ce qu’on appelle naïvement l’islam de France ou moins naïvement l’islam modéré.

Combien d’imams ont été expulsés de France ( FDF: ah oui, celui d’Orange, le proxènète, celui de Vénissieux? Des bon exemples…) sans jugement et sous des prétextes fallacieux dans l’indifférence de ces pseudo-représentants ou responsables (malheureusement, parfois, grâce à leur excès de zèle et leur servilité pour prétendument trier le bon grain de l’ivraie) ? Combien de musulmans engagés ont perdu leur travail ? Combien de musulmanes portant le voile sont obligées de s’humilier quotidiennement pour aller travailler ou étudier en quittant leur foulard ? Combien de musulmans sont fichés simplement parce qu’ils ne mangent pas de viande de porc, ne boivent pas d’alcool, ou font la prière ou s’absentent le jour de l’Aïd ? Combien d’imams et responsables de mosquées ont reçu l’ordre d’aller en préfecture recevoir les injonctions de la ministre de l’Intérieur lors des massacres de Gaza ? Même la transmission de la prière du vendredi est censurée et brouillée sur une radio communautaire, lorsque l’imam s’aventure à faire des invocations pour le peuple palestinien !

Face à ces dérives sécuritaires et cette gestion néocoloniale de l’islam de France, nos chers responsables, qui auraient pu saisir les tribunaux ou interpeller leurs tuteurs politiques au gouvernement lorsqu’un fonctionnaire des Renseignements généraux décide sur ordre du préfet de ficher le personnel musulman de la ville de Lyon et du conseil régional Rhône-Alpes, n’ont rien trouvé de mieux que d’aller boire le café au ministère de l’Intérieur, et rester bien dociles en créant un précédent à la Vichy.

Comment peut-on accepter de cautionner par son silence ou sa complicité de telles pratiques gouvernementales dignes, en effet, de Vichy et de la chasse aux Juifs avant-guerre, et venir ensuite prétendre défendre la communauté musulmane ou lutter contre l’islamophobie ? Il est vrai que lorsqu’on a mis un doigt dans l’engrenage, le système vous broie, comme l’avait dit François Mitterand !

Comment peut-on nous dire, comme certains responsables musulmans, que la loi du 15 mars 2004 (traitée par Jean-Michel Belorgey de loi scélérate, et qui reste foncièrement injuste et discriminatoire) doit être acceptée et que maintenant qu’elle est votée il faut lui obéir ? A croire que certains n’attendaient que cela pour faire fleurir les écoles privées musulmanes, qui bien que répondant partiellement aux besoins des jeunes filles exclues est en train de favoriser le communautarisme et la sélection par l’argent.

Aujourd’hui, les responsables de mosquées et d’associations musulmanes doivent prendre leur responsabilités et avoir le courage de s’opposer, je dirai même se révolter, contre ce traitement discriminatoire par la République et ses représentants de l’islam et des musulmans de France. Ils doivent, comme nous l’avons fait et continuons à le faire, dénoncer les atteintes à la laïcité que commet le pouvoir actuel en s’immisçant dans les affaires musulmanes directement ou à travers les consulats étrangers. Ils doivent dénoncer la politique de la peur qui pèse plus particulièrement sur les titulaires de cartes de résident parmi ceux qui refusent de collaborer avec la police ou d’autres services en vue de criminaliser leurs frères, ou faire expulser ceux qui ne prônent pas un islam soumis aux injonctions des politiques impérialistes et colonialistes de l’Occident.

Ordonnons le boycott des relations entre l’Etat, les musulmans et leurs représentants réels ou supposés, en exigeant que la République nous traite de manière égalitaire dans le respect strict de la loi et du cadre laïc et démocratique qui doit régir tous les citoyens. Refusons de répondre aux enquêteurs qui viennent régulièrement prendre la température dans nos mosquées ou nos quartiers, refusons les invitations piégées et intéressées de tel ou tel élu de droite ou de gauche, qui ne nous sollicite que comme pions dans son jeu d’échec politique et sa stratégie électoraliste. Soyons libres de toute pression et de tout chantage ou appât du gain et nous aurons tout à gagner !

Refusons les appels directs ou indirects des médias et autres personnalités politiques qui nous sollicitent après nous avoir diabolisés et jetés en pâture sur la place publique, pour ensuite nous dire : aidez-nous à lutter contre les extrémistes et autres intégristes.

Nous ne voulons pas de privilèges, en sommant le gouvernement ou nos hommes et femmes politiques à venir faire allégeance lors de telle ou telle cérémonie, ni obtenir des passe-droits, ni d’instaurer des bachagas pour parler en notre nom, nous émettre des fatwas pour tel ou tel événement ou nous prêcher la bonne parole du maître, mais nous voulons simplement le respect de nos droits constitutionnels et notre indépendance : l’islam de France sera libre ou ne sera pas.
Obtenir la nationalité française, une carte de résident ou un emploi ou un avantage social au détriment de nos principes n’est, en effet ,pas digne et risque de se payer très cher ici et dans l’au-delà.

* Abdelaziz Chaambi est président de la Coordination contre le racisme et l’islamophobie : www.crifrance.com

Faut-il enseigner l’islam à l’école en Alsace-Moselle ? Quelle question…

14/02/2010

Le débat sur l’enseignement de l’islam dans le public, au même titre que les autres religions, divise les candidats aux régionales.

Un exemplaire du Coran en arabe (Zskdan/Flickr)

Sur le papier, ils sont obligatoires. Dans la pratique, on peut en être exempté sur simple demande. En Alsace-Moselle, les cours de religion font partie des enseignements dispensés par les écoles primaires et collèges publics.

Dans ces trois départements (Haut-Rhin, Bas-Rhin et Moselle), le judaïsme, le catholicisme, le luthéranisme et le réformisme, cultes reconnus par le Concordat de 1802, sont organisés par le droit local.

En 1871, lorsque l’Alsace-Moselle tombe dans le giron allemand, le Concordat n’est pas abrogé. Lorsque la France récupère l’Alsace-Lorraine en 1918, elle n’abolit pas le régime concordataire, malgré la loi de séparation de l’Église et de l’État de 1905.

En 2003, la commission de réflexion sur l’application du principe de laïcité dans la République [ou commission Stasi] recommande dans son rapport :

« En Alsace-Moselle, [d’]inclure l’islam au titre des enseignements religieux proposés et laisser ouvert le choix de suivre ou non un enseignement religieux. »

Si cette proposition n’aboutit pas, celle d’interdire les symboles religieux à l’école deviendra une loi en 2004.

Deux ans plus tard, le député UMP François Grosdidier dépose une proposition de loi visant à intégrer le culte musulman dans le droit concordataire d’Alsace et de Moselle :

« On estime à 109 000 le nombre des musulmans en Alsace-Moselle, soit davantage que les membres de l’Église réformée ou que les israélites. Est-il acceptable qu’en 2006, les musulmans, également citoyens et contribuables, soient exclus du droit applicable en Alsace-Moselle au seul motif qu’ils n’étaient pas présents sur le territoire en 1801 ? »

Ces deux tentatives étant restées lettres mortes, les conseils régionaux du culte musulman (CRCM) de Lorraine et d’Alsace vont proposer, d’ici la rentrée 2011, un programme détaillé de cours sur l’islam, préparé par une commission spéciale.

Driss Ayachour, président du CRCM d’Alsace, explique qu’il faut « combler un vide » auprès de « cette génération de jeunes qui n’ont jamais vu leur pays d’origine » :

« L’ignorance envenime le vivre ensemble. Nous voulons enseigner un islam de tolérance et de respect de l’autre. Sitôt que cette commission termine le programme, nous effectuerons les démarches nécessaires. »

Seule une loi peut intégrer le culte musulman dans le Concordat. Mais il est possible d’agir à l’échelon régional. Pour préparer le terrain, des « classes pilotes » avaient ainsi été envisagées par l’ex-président UMP de la région, Adrian Zeller, décédé en août 2009.


Qui pour lancer/enterrer le projet parmi les candidats aux élections régionales de 2010 ?

Les pour

Jean-Yves Causer, issu du courant Les Alternatifs, partenaire du Front de gauche et tête de liste en Alsace, dit ne pas être « sectaire » :

« Je suis non seulement favorable à l’introduction de cours d’islam à l’école mais aussi à la création d’une faculté d’État de religion musulmane. À Strasbourg, il y a une faculté d’État catholique, une faculté d’État protestante…. C’est absolument anormal qu’il n’y est pas de fac d’État musulmane. »

Yann Wehrling, tête de liste du MoDem en Alsace, explique n’avoir « aucun problème avec ça » :

« Il n’y a aucune raison pour que l’islam ne bénéficie pas du même droit que les trois religions concernées par le Concordat [judaïsme, catholicisme et protestantisme, ndlr] . Il faut être réaliste et correct : la communauté musulmane est importante sur le territoire alsacien. »

Les mitigés

Pour Arlette Grosskost, co-listière de Philippe Richert pour l’Alsace et membre de la mission d’information sur la burqa, les « préalables » sont nombreux :

« L’enseignement du fait religieux doit être encadré : il faut d’abord créer une chaire de l’islam dans les facultés de théologie [de Strasbourg, ndlr]. L’enseignement religieux expérimental n’est pas de la compétence de la région, contrairement, par exemple, à la participation financière dans la construction de lieux cultuels. »

Jacques Fernique, tête de liste Europe Ecologie en Alsace, explique que l’enseignement religieux n’est pas de toute façon « une pratique massive » :

« Dans le primaire, les cours de religion sont en perte de vitesse au niveau de la fréquentation. Et si on quitte le primaire pour le collège, le nombre d’enfants concernés dégringole à la vitesse grand V. Ce n’est pas du prosélytisme. Assurer la survivance d’un droit local, c’est différent de construire du nouveau. »

Pour Jacques Bigot, tête de liste PS en Alsace, il faut d’abord que le rectorat effectue un audit pour savoir qui pratique effectivement les cours de religion :

« On ne pourra pas, à l’infini, traiter de manière égalitaire la deuxième religion du territoire. Mais on risque de renforcer l’enseignement religieux alors qu’il disparaît. »

Les contre

Étienne Hodara, septième candidat de la liste Lutte Ouvrière en Lorraine, refuse toute extension du Concordat dont LO souhaite la « suppression » :

« C’est un anachronisme en Alsace-Moselle. Nous comprenons le point de vue des musulmans, mais nous sommes pour la séparation de l’Église et de l’État, et contre le financement du culte par l’État. La religion est une affaire privée et donc, il ne doit y avoir aucun cours de religion à l’école. »

Patrick Binder, tête de liste FN en Alsace, est favorable au statu quo de cette « exception alsacienne » :

« Nous ne sommes pas vraiment en France en Alsace. Nous sommes d’abord en Alsace. Le Concordat fait partie de l’identité du territoire alsacien, qui est une terre de tradition chrétienne. L’islam, qui est présente depuis quoi ? 20 ans ? 30 ans ? n’y a pas sa place, en tout cas historiquement. Et je lance un pavé dans la mare : on devrait étendre le Concordat au territoire français pour montrer que nous défendons notre culture et nos traditions. »

Dans un communiqué publié sur le site Web Alsace d’Abord, Jacques Cordonnier, tête de liste de ce mouvement régionaliste, explique que les Alsaciens « ne veulent pas que l’on touche au régime concordataire » :

« Les arguments de modernité et d’égalité des religions avancés par les partisans de l’extension à l’islam du statut local sont fallacieux […] Le mouvement régionaliste Alsace d’Abord demande que les Alsaciens soient démocratiquement consultés par référendum préalablement à toute décision qui pourrait dénaturer le statut concordataire auquel ils sont attachés. »

Au moment de la publication de cette article, Yann Zimmermann, tête de liste NPA en Alsace, et Jacques Bigot, tête de liste PS en Alsace, n’ont pu être joints par téléphone.

Addendum le 15/2 . Ajout de l’avis de Jacques Bigot, tête de liste PS en Alsace, dans « Les Mitigés ».


Source: rue89.com

Liberté de penser: MAM veut-elle qu’on censure Zemmour ?

Causeur s’est procuré la lettre du Garde des Sceaux à RTL:

Publié le 15 février

Affaire Zemmour : Michèle Alliot-Marie écrit au Syndicat de la Magistrature.

Affaire Zemmour : Michèle Alliot-Marie écrit au Syndicat de la Magistrature.

On la croyait du genre chêne. On finit par se demander si MAM n’est pas plutôt faite sur le modèle roseau. En tout cas, Mme le Garde des Sceaux semble prête à ployer devant le Syndicat de la Magistrature. Fleuron du néogauchisme judiciaire, celui-ci n’avait pas apprécié de voir son idéologie et ses pratiques fortement mises en cause par Eric Zemmour lors de sa chronique matinale sur RTL le 26 janvier 2010. Comme son comparse majoritaire et plus droitier, l’USM – il s’en était ému auprès de la ministre. Dans un courrier adressé à la présidente du SM, Clarisse Taron, dont Causeur s’est, comme on dit, procuré la copie, Michelle Alliot-Marie se joint au chœur des magistrats pleureuses et précise qu’elle a fait part de son indignation au directeur de la rédaction de RTL, “en lui rappelant que la liberté de ton et d’analyse qui caractérisent ce journaliste ne pouvaient cependant pas conduire à tenir des propos d’une part dénués de fondement et d’autre part portant atteinte à l’honneur de magistrats qui ont rendu leurs décisions en stricte application de la loi”.

Tout cela n’a, dira-t-on, aucune importance. On imagine qu’à RTL, la lettre n’a guère dû émouvoir ses destinataires et qu’elle a fort normalement fini au panier. On dira aussi que MAM est autant dans son rôle aujourd’hui en défendant les juges qu’elle l’était hier en défendant les flics et avant-hier les militaires. Sauf qu’au-delà de ces histoires de boutique, on a l’impression que le Garde des Sceaux penche aujourd’hui du côté de ceux pour qui le pouvoir a toujours tort et qui réclament sans cesse plus de laxisme, en matière de délinquance comme de politique migratoire.

Rappelons que Zemmour pointait une certaine propension des juges de la liberté et de la détention à casser systématiquement les arrêtés d’expulsion pris par l’administration à l’encontre des étrangers en situation irrégulière, au nom des droits de la personne que le Léviathan mettrait en danger du seul fait de son existence de monstre froid, insensible à la souffrance des migrants.

On n’ouvrira pas ici le débat sur les contradictions des politiques de l’immigration et la complexité labyrinthique du droit des étrangers. Observons simplement que quoi qu’en disent les contempteurs de l’Etat sécuritaire et xénophobe, notre Etat de droit garantit aux étrangers frappés par un arrêté de reconduite à la frontière un véritable arsenal de recours. Qu’il soit permis ici de s’en réjouir et de trouver d’autant plus horripilante la posture d’indignation professionnelle arborée par certaines belles âmes appointées sur les ondes du service public qui peuvent dénoncer sans crainte d’embastillement, et cela en dépit du climat liberticide qui sévit depuis l’élection de Nicolas Sarkozy, le néopétainisme de Besson et autres Brice Hortefeux.

En matière d’expulsions, il est difficile de nier les effets pervers de la politique du chiffre. Elle met sous pression les services policiers et administratifs concernés, d’où le nombre grandissant de procédures mal ficelées. Reste que Zemmour a raison quand il affirme que la ligne de conduite de certains juges résulte davantage d’un engagement idéologique que du simple respect tatillon du droit. Ce corporatisme de gauche consiste à se draper confortablement dans la vertueuse robe de juge, symbole de dignité et de discernement, pour pilonner l’Etat supposément subordonné aux caprices du pouvoir.

D’un côté le juge des libertés garant des droits subjectifs, de l’autre une administration préfectorale et des services de police coercitifs et insensibles aux drames humains, avec leur cortège de fonctionnaires zélés mettant en œuvre la traque, voire les rafles, des “sans-papiers” : ce raccourci caricatural tient lieu de toute pensée sur le sujet, depuis la pétition des cinéastes de 1996 et les manifs où de dérisoires protestataires n’hésitaient pas à porter des étoiles jaunes pour dénoncer la prétendue similitude entre l’Etat républicain et celui de Vichy.

N’en doutons pas, ce scénario qui oppose le juge garant des libertés individuelles et le policier qui serait leur fossoyeur est tout prêt à resservir dans le débat sur les gardes à vue. Or, la Garde des Sceaux milite pour une réforme qui convienne aux sirènes droit-de-l’hommistes qui, si elle est adoptée, ne pourra qu’entraver le travail de la police.

On notera que ces amoureux des libertés individuelles n’hésitent pas à demander à la Garde des Sceaux de prendre des sanctions contre le vilain petit mouton noir nommé Zemmour. Et que fait MAM ? Elle souscrit à leur effroi suscité par cette mise en cause, elle apporte son soutien aux magistrats blessés par une parole de citoyen libre. En un mot, elle pactise avec ceux qui représentent un obstacle évident à toute réforme de la procédure pénale, qui constitue pourtant l’objectif qui lui a été assigné par l’Elysée.

Quel contraste entre cette mollassonnerie et l’image martiale d’une garde des Sceaux venus remettre un peu de rigueur au sein d’une Chancellerie désorientée par les caprices de la très glamour Rachida ! Le gaullisme dont elle se réclame doit être, comme elle le dit, très rénové pour inspirer pareille flexibilité face à une organisation syndicale qui semble polariser le débat au sein du Ministère de la Justice. C’est un peu comme si le Président de la République devait demander à Henri Guaino de tenir compte des derniers commentaires d’Olivier Besancenot pour écrire un discours sur le partage de la valeur ajoutée.

Dans la même registre, MAM s’est lancée depuis quelques semaines dans une regrettable surenchère polémique à l’endroit de Brice Hortefeux Ministre de l’Intérieur qui paie sans doute ainsi le fait d’être un ami du Président et l’hôte de cette Place Beauvau qu’elle ne voulait pas quitter : un jour, telle une austère surveillante générale, elle lui dispense des conseils sur la manière d’éradiquer le hooliganisme, un autre elle fait état de son scepticisme quant à l’aggravation des sanctions pénales dans le cas de crimes contre des personnes âgées et vulnérables. Du reste Hortefeux l’a finement renvoyée dans ses cordes, en constatant avec regret le manque de sérieux de son cabinet puisque cette proposition avait été votée par la commission des lois à l’Assemblée nationale.

Comment faut-il comprendre cette souplesse face au gauchisme judiciaire et cette dureté face au sarkozysme ? L’explication est très éloignée des principes et plus proche des cuisines, aux senteurs électoralistes et politiciennes dans la droite ligne de la IVe. MAM entend être la seule à incarner la continuité d’un chiraquisme sans Chirac qui n’aurait pas basculé chez Villepin. De ce point de vue, il faut exhumer une séquence de sa biographie politique. Cela se passe à l’approche de l’élection présidentielle de 1995, quand MAM refuse de choisir entre le Premier Ministre de l’époque Edouard Balladur et celui qui fut son mentor politique Jacques Chirac. Il est vrai qu’elle est alors elle-même Ministre de la Jeunesse et des sports du gouvernement conduit par Edouard. Elle tentera alors de faire la passerelle entre balladuriens et chiraquiens. Cette neutralité lui vaudra de voir cette offre de pacification transversale consacrée par l’obtention d’un surnom éponyme.

Tacticienne et femme d’appareil, on ne saurait le lui contester. Mais ces qualités indiscutables ne sont pas les attributs d’une femme d’Etat. Et son style d’autorité un peu revêche masque une plasticité idéologique certaine comme l’a montré l’émouvant exercice de compassion auquel elle s’est livrée à l’endroit du Syndicat de la Magistrature. Faut-il s’attendre à une cogestion du Ministère de la Justice partagée avec le bien nommé SM, comme à l’Education Nationale avec la FSU. En tout cas, elle prend bien soin de ne pas effaroucher coteries et corporatismes surtout quand ils sont bienpensants donc de gauche. Mais peut-être que tout cela ne masque, finalement, qu’une absence de pensée et d’orientation.

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La lettre de Michèle Alliot-Marie au Syndicat de la Magistrature

“Paris, le 28 janvier 2010,
Madame la Présidente,
Vous avez attiré mon attention sur les propos tenus par M. Eric Zemmour sur la radiot RTL le 26 janvier 2010, en déconçant leur caractère outrancier et la mise en cause inacceptable de magistrats, en particulier à la suite des décisions rendues par des juges des libertés et de la détention ayant eu à connaître de la situation d’étrangers en situation irrégulière.
Comme vous, j’ai été choquée par cette mise en cause, et je tiens à exprimer mon soutien aux magistrats directement visés et plus largement à l’ensemble des magistrats qui ont pu légitimement être blessés par ces propos excessifs.
J’ai fait part au directeur de la rédaction de RTL de mon indignation à la suite de ces propos, en lui rappelant que la liberté de ton et d’analyse qui caractérisent ce journaliste ne pouvaient cependant pas conduire à tenir des propos d’une part dénués de fondement et d’autre part portant atteinte à l’honneur de magistrats qui ont rendu leurs décisions en stricte application de la loi.
Je vous prie de croire, Madame la Présidente, à l’assurance de ma considération distinguée.
[et de mon souvenir fidèle et cordial]

Michèle Alliot-Marie”

Source citée en début de post.

Si j’étais policier…

Lundi 15 Février 2010

La police est en crise : détestée par une partie de la population, fustigée par les médias, ignorée par le gouvernement… Philippe Bilger – un juriste pourtant – prend leur parti et leur défense. Il a raison, ils en ont besoin…

davidsonscott15 - Flickr - CC
Si j’étais policier…

J’en aurais assez. Je serais fatigué. Lassé d’entendre sans cesse les mêmes accusations, les mêmes récriminations, les mêmes injustices.

Je n’en pourrais plus d’être écartelé chaque jour entre le besoin qu’on a de moi, de l’ordre et de l’autorité que je représente et l’hostilité qu’on éprouve à l’égard de la police et de la contrainte nécessaire qu’elle doit exercer. On me veut ou on me déteste ?

J’aurais envie de dire, à ceux qui m’obligent à frôler les murs dans le quartier où j’habite, aux professionnels de l’indignation et de la société théorique, à toutes les bonnes consciences heureuses d’avoir avec mes collègues et moi des boucs émissaires idéaux, qu’ils n’ont qu’à prendre ma place, mon service et mes responsabilités. Qu’ils fassent « mon boulot » et on verra si leur angélisme ne s’imprégnera pas alors d’un peu de réalisme !

Je ne supporterais plus d’être toujours et à tout coup traité de coupable. On dirait que la police patrouille, interpelle, se bat, est frappée et outragée par plaisir. Il n’y aurait que des pacifiques partout et nous aurions tort de nous mêler de ce que notre mission implique. Moi aussi, je voudrais pouvoir bénéficier de la présomption d’innocence et sentir, en ma faveur, la grande houle systématique des droits de l’homme, des syndicats, des avocats et des humanistes patentés. Mais coupable d’entrée de jeu, je devrais encore m’estimer chanceux si on ne me renvoie pas devant le tribunal correctionnel.

Je serais dégoûté d’être abandonné en rase République par ceux qui auraient dû être nos alliés naturels, les politiques, les juges, les citoyens honnêtes, les partisans d’une société à peu près vivable où l’ordre ne serait que le moyen de la justice. Les magistrats, toutes tendances confondues, qui se croient d’une essence supérieure à la nôtre. Nous aurions les mains sales et noires et eux auraient l’esprit et la morale propres. Forcément, puisque le réel passe à travers nous et ne les atteint qu’épuré et filtré. Les politiques fluctuent à notre égard au gré de l’imprévisibilité sociale. Poussant les feux quand l’opinion publique est scandalisée par un crime. Prétendant réguler et désarmer quand des avocats protestent,  quand des journalistes sont placés en garde à vue et que la démagogie ordonne de suivre, alors qu’un Etat responsable choisit ses actions et ses abstentions et n’est pas mû par un réflexe de Pavlov.

Je me révolterais devant ces incidents, parfois ces tragédies qui naissent souvent parce qu’un jeune homme, dans des cités où l’on a à peine le droit d’entrer, a commis un délit ou un crime et que, poursuivi légitimement par la police, il va chuter, être blessé ou malheureusement parfois mourir. Immédiatement, on va oublier la cause pour ne s’attacher qu’à la conséquence dont la charge sera exclusivement imputée à la police. Les médias montreront la famille éplorée de la victime qui nous traînera dans la boue en direct. Il faudrait accepter cela sans réagir ? Comme si le drame occultait l’équité et même le bon sens ?

Je m’éloignerais de nos meilleurs ennemis : les journalistes. Qu’on leur parle ou non, peu importe. Il y a pour eux quelque chose de plus fondamental que la bonne foi policière : le fait que la police ne peut pas être de bonne foi. Ce n’est pas vrai seulement pour les publications de gauche, voire gauchistes qui ont besoin de « se faire » la police par une sorte d’hygiène à parfum anarchiste ou vaguement révolutionnaire. Ce l’est aussi pour les journaux conservateurs ou « apolitiques », tant avec une complaisance masochiste le petit monde médiatique éprouve le besoin de crier d’une seule voix, d’écrire d’une seule plume. Ces contempteurs au quotidien ne seront pas les derniers à nous fustiger lorsque nous interviendrons avec dix secondes de retard à la fin de manifestations où eux aussi auront été pris à partie par des voyous.

Je dénoncerais ces projets de réforme qui parlent du travail des policiers sans les solliciter le moins du monde, comme si ceux-ci n’étaient pas là disponibles, légitimes pour traiter de ce qu’ils connaissent au quotidien. C’est D’ABORD eux qu’il aurait fallu écouter, comprendre et consulter sur la garde à vue.

Je tournerais en dérision, si j’avais le courage d’en rire, ce débat qui a été imposé à l’Etat, qu’il n’a pas du tout initié et qui sous le feu conjugué de l’humanisme européen et de la formidable pression du barreau va sans doute aboutir à une côte mal taillée tant le fait d’ouvrir une porte, sans véritable nécessité, vous condamne à des acrobaties intellectuelles (Le Monde, Le Parisien, Le Figaro, nouvelobs.com). On aboutit à ce paradoxe que, par crainte de nos réactions, on nous rend hommage tout en affirmant – comme la garde des Sceaux – qu’on ne va toucher que « le cadre légal » qui en l’occurrence est tout. Jean-Marie Bockel, lui,  sent bien la difficulté ! Autrement dit, on n’a rien à nous reprocher, on exige de nous des résultats, la garde à vue offre des garanties et est adaptée à la majorité des personnes interpellées mais il convient pourtant de la modifier. Des dysfonctionnements singuliers vont être le prétexte pour une agitation législative plurielle. Que l’avocat, puisque la garde à vue est souvent efficace, souhaite y imposer sa présence, rien de plus normal, mais que le pouvoir politique lui emboîte le pas sans s’interroger… Il y aura sans doute des manifestations de policiers, banderoles et slogans à l’appui mais le processus est enclenché. A tel point que notre défenseur Brice Hortefeux, vaillant et déterminé, a été obligé d’admettre qu’il n’était pas « hostile à une réforme » mais à certaines conditions (JDD.fr). Il y a tout de même aussi des magistrats, contrairement à ce qu’on veut faire croire, qui n’applaudissent pas cette évolution prétendue inéluctable. Celle-ci  semble faire perdre le sens commun à certains juges qui dispensent de peine parce que la garde à vue aurait été « indigne ».

Où va-t-on ? En réalité, mais il y faudrait du courage politique et de la constance professionnelle, plutôt que de modifier les règles il faudrait un contrôle vigilant et impitoyable des gardes à vue et l’exclusion des fonctionnaires de police qui les déshonorent soit par paresse – combien d’actes négligés !- soit à cause d’une violence inadmissible. Mais une telle démarche serait infiniment plus ardue et éprouvante que de faire voter une nouvelle loi ! Nous serions nombreux à approuver une telle rigueur. Elle nous dispenserait du procès global qui nous est intenté à cause de quelques-uns. Ce qui est sûr pour les policiers, c’est que les moyens de la lutte contre l’insécurité vont subtilement être infléchis, atténués mais  que l’on continuera pourtant à réclamer une police réactive partout et favorisant  l’émergence d’un degré zéro de délinquance, ce qui est à la fois impossible et absurde. Travailler plus et mieux avec moins, comment faire ?

Je m’opposerais à tous les donneurs de leçons. Aux vertus qu’on exige de nous, connaîtrait-on beaucoup de politiques, de magistrats,  d’avocats et de journalistes dignes d’être policiers ? Je sais que parmi nous il n’y a pas que des « aigles » et qu’il est dangereux de donner du pouvoir à des médiocres. Mais là aussi qu’attend-on ? Comme dans la magistrature qui a aussi ses incompréhensibles protections, nous avons nos « brebis galeuses ». Il faut s’en débarrasser. Rien cependant n’autorise qui que ce soit à se poser en face de nous comme modèle éthique.  La fonction de policier est une charge, un honneur, parfois une souffrance. Auxiliaire  de tranquillité publique et de démocratie, comme les magistrats et les avocats sont auxiliaires de justice. Rien de plus, rien de moins.

Si j’étais policier…

Source: marianne2.fr

Financement de la mosquée de Cannes: contradictions entre les médias…

Comment après ce genre de bourdes, croire encore aux infos des médias? Les Français intéressés par le sujet ne savent plus à quel « saint » se vouer… Une seule chose est sûre: la fameuse loi de 1905 (lire: http://tinyurl.com/yfc4f7f) est bafouée, encore une fois…

FDF

Qui croire?  Nice-Matin ou FR3 Côte d’Azur?


Nice-Matin:
http://tinyurl.com/yzwlpx4

FR3:
http://tinyurl.com/ydnlfsk

Alors, les vraies infos, où sont’elles???

Cannes: l’Arabie Saoudite « (se) paye » la mosquée de La Bocca !

NON aux enclaves Saoudiennes en France !!!

Maquette de la mosquée de La Bocca

Vieille histoire que celle du projet de mosquerne=mosquée+caserne à Cannes-la Bocca (vous vous rappelez  « Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats » dixit Erdogan premier ministre turc actuel).

Pour recadrer cette affaire voici un ancien article de saphirnews daté du 9 Janvier 2007 : http://tinyurl.com/yzt9cum où l’adresse complète de la future mosquée est indiquée.

La première action SITA contre la mosquée de La Bocca à cette page: http://coranix.org/action/cannes.htm En visionnant la vidéo (Reportage France2, 26 septembre 2006) apparait le nom (D L)  de celui qui pilote depuis 2006 au nom de la municipalité cannoise le projet de mosquée de La Bocca. On y apprend aussi que le terrain a été cédé pour 1 euro symbolique.

Coranix s’en souvient encore à cette ancienne page qui date de 2006: http://coranix.org/action/cannes/f3_archive.htm où il est clairement dit dans le document audio au début de la page :  » …  La municipalité va fournir un terrain à La Bocca… » ce qui  est déjà en totale infraction avec la loi de 1905.

Depuis 3 ans et demi (permis de construire accordé le 25/09/2007) le projet était arrrêté faute de financement et ce n’est que  tout récemment qu’un miracle se produisit digne des contes des mille et une nuits. Un généreux donateur qui tient à rester anonyme a offert à l’AMBC  (Association Musulmane du Bassin Cannois) une somme de l’ordre des 2 000 000€ permettant la construction de l’édifice. Anonyme oui mais pas pour le maire à qui l’AMCB a donné le chèque. Secret de polichinelle. Qui a bien pu signer ce chèque? C’est un Saoudien comme l’indique la journaliste de FR3 sans donner sa source dans ce document vidéo de FR3 du 8 Février 2010: http://tinyurl.com/ycv7gmw

Remarquez au passage, dans cette vidéo,  le panneau légal de la future construction, à la rubrique nature des travaux il est indiqué construction neuve au lieu de mosquée.

Est-ce de l’information ou de la rétention d’information? Rappelons que ce panneau légal doit être visible et informatif car il a pour but d’aviser  le voisinage de cette construction et de sa nature. Ce panneau n’est donc pas réglementaire. C’est bien la preuve que la municipalité est bien au courant que  les Cannois ne veulent pas de cette mosquée et qu’elle est parfaitement désireuse de passer outre la volonté populaire.

Nos gouvernants nous rebattent les oreilles avec un islam qui serait l’islam de France donc par définition éloigné de toute influence étrangère et qu’observons-nous à Cannes La Bocca une municipalité dont les pratiques sont obscures à plus d’un titre:

1) Fourniture du terrain pour 1 euro symbolique, la loi de 1905 est clairement bafouée.

2) Non conformité du panneau chargé d’informer que c’est bien une mosquée qui va être construite.

3) Des fonds étrangers pour « aider » au développement à  l’islam DE France. La municipalité devait-elle accepter ces fonds? Moralement non sauf à vouloir accepter un bastion de l’islam le plus rétrograde, le wahhabisme d’Arabie Saoudite,  sur la commune de La Bocca. Qui peut croire que le généreux donateur n’a pas exigé de contreparties comme par exemple d’imposer un imam Saoudien favorable aux punitions barbares ayant cours en Arabie saoudite.

Courageusement le Maire a refilé la patate chaude au Préfet qui a fait le mort. Dans nos administrations dès que le mot islam est prononcé c’est alerte à Malibu.

Tous aux abris!

Source: http://tinyurl.com/ydnlfsk

Obernai: Croissant tordu, croissant foutu…

Quatre Alsaciens tordent le croissant de la mosquée d’Obernai

14 février 2010

La délinquance bat son plein à Obernai! Les actes criminels aussi! A mon avis, ça doit être l’oeuvre de skins, car à Obernai, la bière coule à flots… Et les skins et la bière font généralement bon ménage. En revanche, on ne sait pas si ils aiment les croissants. Une chose est sûre, celui de la mosquée d’Obernai, ils ont du mal à le digérer…

FDF


Stigmatisation: La mosquée d’Obernai a été « visée par une dégradation »  dans la nuit de vendredi à samedi, ce qui a amené une protestation du Conseil français du culte musulman (CFCM). Quatre jeunes gens sont montés sur le toit et ont tordu le support du croissant métallique, symbole de l’islam qui surplombe le bâtiment, a-t-on appris à la gendarmerie.

Ils ont pris la fuite. Une enquête a été confiée à la brigade locale. Cette mosquée, inaugurée en janvier 2009 et fréquentée par la communauté turque, avait déjà été visée pendant sa construction en septembre 2008. Des inconnus avaient jeté un bloc de pierre contre la vitre de la salle de prière et arraché son croissant doré.

Le CFCM s’est déclaré dans un communiqué “fortement indigné” et a rappelé que d’autres dégradations du même type frappent régulièrement des édifices musulmans. Il “exhorte les pouvoirs publics à tout mettre en oeuvre pour arrêter et punir (NDLR: et mettre à mort, aussi, selon la charia?) les coupables de ces profanations qui fragilisent le vivre ensemble et la cohésion nationale” et répète sa demande de création d’une mission d’information sur la montée de l’islamophobie.

Suite

D’après  fdesouche.com

En 2011, un nouveau minaret dans le ciel de Nantes !

Une « votation », comme en Suisse, et vite !!! Ah zut, j’oubliais, en France, on ne demande pas l’avis du peuple; surtout pas…

FDF

Rappel: « Les mosquées sont nos casernes,
les citoyens nos soldats,
les coupoles nos casques,

les minarets nos baïonnettes »

(Erdogan, premier ministre de la Turquie)




14/02/2010

NANTES/NAONED

La première pierre avait été posée en mai de l’année dernière. Depuis, les travaux de construction de la mosquée située à Nantes au bord du parc de Mauve, à proximité du quartier Malakoff, un quartier réputé « sensible » de Nantes, ont bien avancé.  Après la mosquée dite « des Turcs» ,  un nouveau minaret dans le ciel de Nantes.

En 2011, un nouveau minaret dans le ciel de Nantes
« Un lieu majeur du paysage nantais »…

L’ensemble cultuel proprement dit – la mosquée – comprendra une grande salle de prière d’une surface de 650 m² surmontée d’une coupole à 14 mètres de hauteur ; des salles d’ablutions ; un espace d’accueil ; une salle polyvalente de 200 personnes venant en extension de la salle de prières ; des locaux de service ; et enfin  les locaux de l’imam et le bureau de l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF), dont fait partie l’Association Islamique de l’Ouest de la France (A.I.O.F) qui pilote ce projet.

Un vaste ensemble « culturel » de trois étages complétera la mosquée, avec tout d’abord des locaux d’accompagnement en sortie de la salle de prières, notamment une bibliothèque et une cafétéria ; des locaux destinés à la formation, soit cinq salles de cours, un atelier (enfants, artisanat, art, lecture, …) un espace « petite enfance », un espace détente (préparation goûters enfants, …), une librairie, des locaux gestion (un bureau pour l’association « socioculturelle » et un bureau enseignant) ; enfin des locaux d’hébergement : un studio pour le gardien et des studios pour les invités.

La construction de l’ensemble, d’une superficie totale de 3100 m², devrait être terminée en 2011. A cette date, un nouveau minaret de 17 m de haut, construit en béton habillé de verre, dominera le quartier rénové de Malakoff. Un « modèle d’intégration », pour les architectes et urbanistes chargés du projet. Comme l’indique sur son site l’Association Islamique de l’Ouest de la France (A.I.O.F), qui ne cache pas sa volonté d’auto-affirmation : « Ce projet exprimera en outre le niveau de représentativité du centre qui est amené à devenir un lieu majeur du paysage nantais, de portée symbolique, lieu référent au sein de la ville et de la région. »

Le budget de cette mosquée est estimé à 4,5 millions d’euros. Le financement ? Officiellement par les dons des très nombreux fidèles de la ville ; mais surtout par l’Etat, puisque lesdits dons sont déductibles pour les deux tiers de l’impôt sur le revenu ; enfin par les contribuables nantais, la municipalité socialiste de Nantes ayant cru bon d’allouer une subvention de 200 000 euros pour financer la partie « culturelle » de l’édifice.

Un bel exemple de détournement de l’esprit de la loi de 1905.


L’Union des Organisations Islamistes de France est réputée pour être une institution proche des Frères musulmans, groupement panislamiste dont est issu le n°2 d’Al-Qaïda. Dans cette nouvelle mosquée nantaise il est prévu qu’on enseignera bien sûr l’islam, mais aussi « les valeurs de citoyenneté, d’entraide, d’ouverture sur les autres ». Il est permis de rêver.


Source: Novopress.info, 2010.

Dans une crèche, la HALDE défend le voile d’une employée !!!

Payés à rien f….., mais quel « beau geste » pour notre identité nationale!!!

FDF


13 février 2010

Le site Riposte Laïque s’est procuré un courrier du service juridique de la HALDE essayant d’intimider la directrice d’une crèche ayant licencié une employée musulmane qui faisait du prosélytisme religieux sur son lieu de travail. La marraine de cette crèche associative de la banlieue parisienne serait selon Riposte Laïque Elisabeth Badinter…

C’est devenu une histoire tristement banale. Dans une ville populaire de la région parisienne, avec un fort taux d’immigration, une crèche associative, dont la marraine est Elisabeth Badinter, s’est montée et développée depuis 20 ans. 19 salariés, 50 places par jour, un budget financé par différents fonds publics. La volonté de former le personnel, et de donner en priorité du travail aux personnes de la cité. Cette crèche est ouverte 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, pour permettre aux familles monoparentales, avec des horaires décalés, de pouvoir assurer la garde des enfants sans devoir payer une nourrice à domicile au prix bien plus élevé.

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Source: fdesouche.com