Francaisdefrance's Blog

16/02/2010

Plan alerte; une fois n’est pas coutume…

Non, je ne suis pas raciste, comme on me l’a déjà mis en pleine tronche sur ce blog. Je ne supporte simplement pas la perte de notre identité nationale abjectement approuvée par nos hautes instances et tous ceux qui en profitent: les islamistes intégristes (de toutes façons, il n’y a que ça, les « modérés, ça n’existe pas),  les clandestins, la racaille issue de l’immigration et autres sangsues de notre patrie.

C’est pourquoi je n’hésite pas à relayer ce « Plan Alerte ». C’est un gosse; il n’y est pour rien…

FDF


Plan Alerte enlèvement déclenché après la disparition d’un bébé à Fontenay-sous-Bois

16.02.10 à 19h43
Photomontage d'Ibrahima Nacir Doucoure, le petit garçon âgé de 18 mois, enlevé le 16 février 2009 à Fontenay-sous-Bois, et de son ravisseur présumé, Mahamadou Doucoure.
Photomontage d’Ibrahima Nacir Doucoure, le petit garçon âgé de 18 mois, enlevé le 16 février 2009 à Fontenay-sous-Bois, et de son ravisseur présumé, Mahamadou Doucoure./DR

DERNIERE MINUTE: Il est «susceptible de se trouver en danger» avec son ravisseur…

Le plan Alerte enlèvement a été déclenché mardi en début de soirée pour l’enlèvement d’un bébé de 18 mois à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne) a annoncé la direction de la police judiciaire à Paris.

Selon le site de l’Alerte Enlèvement, il s’agit d’«Ibrahima Nacir Doucoure, petit garçon âgé de 18 mois, métis de type africain, chevelure abondante, vêtu d’un pyjama bleu». Il a été enlevé ce mardi entre 8 h et 8h30 du domicile familial situé à Fontenay-sous-Bois, 25, avenue des Olympiades. Il est «susceptible de se trouver en danger avec Mahamadou Doucoure», son père.

L’alerte déclenchée après que la découverte du corps de la mère.

Selon une source judiciaire, l’alerte a été déclenchée après que les policiers ont retrouvé mardi matin le corps de la mère du bébé, âgée de 26 ans. Lardée de coups de couteau et baignant dans son sang, celle-ci gisait morte dans son appartement.

Les policiers avaient été appelés par des témoins en raison du comportement suspect de l’homme, l’ancien concubin de la victime, pensant avoir à faire à un cambriolage. L’homme, père du bébé, est activement recherché par la police. La jeune femme vivait avec son père et son frère qui étaient partis travailler mardi matin.

Le suspect, âgé de 28 ans, connu des services de police, est mis en examen pour une affaire de viol en réunion qui est toujours à l’instruction, a-t-on indiqué de source judiciaire.

Si vous localisez l’enfant ou le suspect, n’intervenez pas vous-même, appelez immédiatement la police le 0.805.201.000 envoyez un courriel à l’adresse suivante: pppj-enlevement@interieur.gouv.fr.


D’après une info de 20minutes.fr

Fonds de tiroirs chez la racaille pour Cohn-Bendit en banlieue…

Cohn-Bendit chasse sur les terres de Fadéla Amara…

Pas de honte, le « vert luisant »… Il va jusque dans les cités « fabriques de la haine » chercher des voix parmi les racailles qui haïssent la France. En fait, il n’ a jamais eu honte de rien. C’est pas pire que l’UMP  qui va régulariser des clandestins Afghans très vite pour qu’ils puissent voter (voir un post d’hier sur ce sujet) . Pauvre France… Au fait, on parle BEAUCOUP MOINS de l’Identité Nationale, en ce moment…

FDF

Les écolos se la jouent «happy foot» en banlieue

16.02.10

REGIONALES

Une partie de foot entre les candidats d’Europe Ecologie et des ados de Vaulx-en-Velin était animée par Daniel Cohn-Bendit en personne…

Pas de maillot, ni de short, mais du bagout. Daniel Cohn-Bendit, qui se revendique «conseiller politique de la campagne» d’Europe Ecologie (EE) pour les élections régionales, était à Vaulx-en-Velin (Rhône) ce mardi pour donner le coup d’envoi d’un match de foot entre gosses du quartier et quelques candidats locaux. Un «Happy foot», plus exactement, car chez les écolos, on veut de «la joie et de la tolérance», résume très sérieusement Daniel Cohn-Bendit.
«Et monsieur vous allez jouer avec nous ?», lui lance un petit. « J’ai été opéré de la hanche. Ca fait trois ans que je ne joue plus. Mais promis je reviendrai cet été», rétorque Daniel Cohn-Bendit venu pour «parler aux jeunes». Il les amadoue avec des pronostics sur le match de la soirée OL-Real Madrid, puis reprend son discours politique.
74% des jeunes envisagent de s’abstenir aux régionales
«C’est quoi le lien entre le foot et la politique ?» se hasarde Choukri, 16 ans, en première année de Bac pro. «On vient pour dire que dans les banlieues, il n’y a pas que les voitures qui brûlent. On est là pour parler de votre quotidien et expliquer pourquoi il faut voter aux régionales.» Le chef de liste EE de Rhône-Alpes, Philippe Meirieu, rappelle que 74% des jeunes disent vouloir s’abstenir pour les élections régionales. Le pédagogue a préféré rester sur le banc de touche pour répondre aux questions de chacun. Le foot, ce n’est pas trop sa tasse de thé. Mais après quelques conseils de Dany, il avoue vouloir se «mettre à marquer des buts en politique et dans le foot en même temps.»

Après un quart d’heure de match, le résultat est sans appel: Vaulx-en-Velin: 2, Europe Ecologie: 0. Les candidats sont fairplay et donnent volontiers leurs maillots verts. «Ils sont vieux mais ils jouent bien», analyse Serkan, 11 ans, les joues encore rouges. Sur le bord du terrain, Cohn-Bendit ne parle déjà plus que de politique. Et se met à tacler le MoDem (ici). «Nous voulons nous établir comme la troisième force politique du pays. Une force incontournable du pays avec des nouvelles idées de partenariats. Mais pour certains barons du PS, c’est encore dur à admettre», relève-t-il.

Source: 20minutes.fr

Saint-Étienne : des tags anti-français face à la mosquée…

15.02.2010

« Religion » d’amour, de paix et de tolérance

De nouveaux tags sont apparus aujourd’hui dans le quartier du Soleil à Saint-Étienne, mais cette fois face à la mosquée. Le support est une partie du mur d’enceinte du parc d’attraction pour enfants à l’enseigne de «Le Pass Partout».

C’est en arrivant, vers 14 heures que la fillette d’Olivier Richard, le gérant, a vu l’inscription en lettres capitales : «NIK LES FRANCAIS».
Le gérant dit ne pas «avoir fait attention le matin». Il n’est donc pas certain du moment où l’inscription a pu apparaître.
On sait que la veille, près de 700 personnes étaient rassemblées à la grande mosquée pour protester contre les tags racistes inscrits une semaine plus tôt sur les murs du bâtiment religieux. Il est vraisemblable que quelqu’un aurait aperçu cette annotation si elle avait déjà été présente.
Le gérant a appelé la police municipale en début d’après-midi qui, à son tour, a alerté les services municipaux afin que l’inscription soit effacée au plus vite.


Ceci est bien moins important que la profanation de la mosquée à leurs yeux , pas de mots du type raciste , haine … Seuls les ennemis de l’Europe sont dignes des médias pour avoir une propagande égale à leur haine .

( Source la tribune le progrès )

La crise politique perdure entre la France et l’Algérie. Ca vous étonne ?

Encore un acte de soumission… A genoux devant Boutéflika… C’est bien du Kouchner, ça.

FDF

15.02.10

Bernard Kouchner veut se rendre en Algérie sans tarder et apaiser la crise politique entre Paris et Alger. Dans un message transmis début février à Mourad Medelci, son homologue algérien, le ministre français des affaires étrangères a proposé d’effectuer en mars le déplacement à Alger. Une précédente visite, prévue à la mi-janvier, avait été reportée d’un commun accord tant elle risquait de n’être qu’un long catalogue des sujets de friction entre les deux pays. Les autorités algériennes n’ont pas encore communiqué leur réponse. « Une visite ne vaut que par ses résultats », dit prudemment M. Medelci, interrogé par Le Monde.

Le Quai d’Orsay était-il informé que l’Algérie (comme l’Afghanistan, le Pakistan, le Yémen, la Syrie, l’Iran et le Mali) avait été placée, en février 2009, sur une liste de pays dont les ressortissants étaient signalés à la police dès lors qu’ils réservaient un billet d’avion pour la France ? Sous couvert d’anonymat, des diplomates assurent que non.

« Nous l’avons appris en même temps que les Algériens et que l’Elysée, en décembre, assurent-ils. Comment aurions-nous pu en informer les autorités algériennes ? » Contacté par Le Monde, le ministère de l’intérieur français n’a pas donné suite à nos questions.

Alger ne veut pas s’immiscer dans cette querelle franco-française. « A nos yeux, le ministère des affaires étrangères est le canal privilégié pour traiter ce type de question », fait valoir Mourad Medelci, le ministre algérien des affaires étrangères.

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Que les relations politiques – à l’inverse des échanges économiques – soient exécrables entre Alger et Paris, il suffit pour s’en convaincre d’observer de part et d’autre les visites de ministres ou de personnalités. Elles sont réduites à peu de chose.

Le chef de l’Etat algérien, Abdelaziz Bouteflika, devait effectuer une visite officielle en France en 2009. Elle n’a pas eu lieu et « elle n’est pas inscrite au calendrier », reconnaît le ministre algérien, alors que M. Bouteflika s’est (brièvement) rendu en décembre en Espagne. Certes, le président algérien, en route pour le sommet de Copenhague, s’est arrêté à Paris, en décembre, mais il s’agissait d’un séjour privé. Et il n’a duré que quelques heures.

Depuis la visite à Alger du premier ministre François Fillon, en juin 2008, aucun ministre français n’a rencontré M. Bouteflika – pas même un membre du gouvernement porteur d’un message de Nicolas Sarkozy. Au mieux, ils ont été reçus par le chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia.

Certains, qui souhaitaient se rendre en Algérie, ont même été priés de rester en France. Ils étaient indésirables à Alger. Ce fut le cas de Brice Hortefeux, le ministre de l’intérieur, et d’Eric Besson, en charge de l’identité nationale.

Un « ami » historique de l’Algérie, Pierre Joxe, membre du Conseil constitutionnel, n’a pas été mieux traité. Reçu à Alger à la fin janvier, il n’a pu, malgré des demandes réitérées, rencontrer le président algérien, alors que ce dernier lui avait adressé ses voeux à l’occasion du Nouvel An. Il a été reçu par le ministre de l’intérieur.

Quelques mois auparavant, Edith Cresson, l’ancien chef du gouvernement venu inaugurer le pavillon français de la foire d’Alger, n’avait eu droit à aucune rencontre officielle. « Elle est restée deux jours à Alger à tourner en rond », raconte un diplomate en poste à Alger, sous couvert d’anonymat. Et d’ajouter : « Il y a une volonté de boycotter les responsables français, spécialement de la part du président Bouteflika. »

Pour expliquer le « long tunnel » dans lequel se trouvent les relations franco-algériennes, des diplomates français invoquent « l’immobilisme d’un pouvoir algérien qui rappelle l’époque Brejnev en Union soviétique » et « les luttes de pouvoir » attisées au sommet de l’Etat algérien par les rumeurs récurrentes sur la santé du chef de l’Etat.

Il n’empêche que des raisons plus substantielles nourrissent, côté algérien, « le froid » entre les deux capitales dont parle le chef de la diplomatie algérienne. « Il y a des dossiers qui font mal », lance M. Medelci.

Celui de l’assassinat des moines de Tibéhirine en 1996 n’est pas le moindre. Les religieux ont-ils été victimes d’islamistes, d’une bavure de l’armée ou d’une manipulation des services de renseignements algériens ? A défaut de répondre à la question, la déclassification récente de documents par l’administration française a ranimé les passions. « Pourquoi à nouveau vouloir jeter un rideau de doute ? », s’interroge le chef du FLN, l’ancien parti unique, Abdelaziz Belkhadem.

Autre sujet de crispation, « l’affaire Hasseni », du nom de ce diplomate algérien interpellé en France en 2008 et placé sous contrôle judiciaire dans l’enquête sur l’assassinat d’un opposant algérien, l’avocat Ali Mecili, en avril 1987 à Paris. Alger plaide depuis le début l’innocence du haut fonctionnaire. « Ce dossier a été géré de façon inacceptable (par Paris)« , ajoute le ministre des affaires étrangères.

Attendue par Alger, l’annonce, il y a quelques jours, que le parquet de Paris avait requis un non-lieu en faveur du diplomate algérien aurait dû logiquement apaiser les tensions entre les deux capitales. Sauf qu’entre-temps, une nouvelle pomme de discorde est apparue. Elle a surgi avec la révélation, fin décembre 2009, par M. Hortefeux, que l’Algérie, avec six autres pays, faisait l’objet depuis des mois de mesures restrictives s’agissant de l’entrée de ses ressortissants en France.

« L’Algérie n’a pas à être sur cette liste. C’est inacceptable et nous ne l’accepterons pas », prévient le chef de la diplomatie algérienne. Même son de cloche au siège du FLN. « La France, explique M. Belkadem (qui a aussi rang de ministre d’Etat), parle de partenariat d’exception mais nous traite de façon discriminatoire. Si Paris persiste, il y aura des mesures de réciprocité. »

M. Medelci ne va pas aussi loin : « On n’exercera pas de chantage, assure-t-il, mais il est hors de question d’accepter l’inacceptable, même si je me place sur le seul terrain politique. » Et d’ajouter, sibyllin : « Pour l’instant ».

Source: lemonde.fr

Aucun bus ne circule à Amiens et ce n’est pas à cause de la neige…

Encore des « chances pour la France » ? Certainement. Mais l’info c’est bien; agir, c’est mieux… Soutenons cette grève bien légitime de ces chauffeurs! Il y en a franchement marre. Que faire? Un policier dans chaque bus? Non, deux! Mais on aura du mal d’en trouver quand on sait que notre cher président Sarkö Ier en a besoin d’environ 500 à chacun de ses déplacements; et Dieu sait si ils sont nombreux, ses déplacements pour brasser de l’air…

La racaille, on va leur faire peur; ils ne vont pas aimer… Et quand quelques uns d’entre eux se seront faits massacrer par des Français qui en ont ras le bol, on va pouvoir respirer beaucoup mieux un peu partout, croyez-moi. Qu’est-ce que ce pays où la racaille fait sa loi et terrorise tout le monde?

FDF

16/02/2010

Aucun bus ne circulait ce matin sur les 27 lignes du réseau Amétis dans l’agglomération d’Amiens, les chauffeurs ayant fait jouer leur droit de retrait après l’agression d’un de leurs collègues lundi soir, a-t-on appris auprès de la direction.

Hier vers 21H30 au terminus du quartier sensible d’Etouvie, deux personnes cagoulées ont mis en joue le chauffeur avec une carabine pour lui dérober la caisse qui ne contenait que 30 euros. Le conducteur a également été frappé avec un coup de poing américain et a été blessé au nez et à la lèvre. Son état n’a pas nécessité d’hospitalisation.

Un passager, qui s’était interposé, a été frappé d’un coup de crosse. Ce matin, des représentants syndicaux et des membres du Comité hygiène, sécurité et conditions de travail (CHSCT) rencontraient la direction.

Source: lefigaro.fr

L’affaire de l‘Imam de Drancy est loin d’être terminée…

Rififi autour de la mosquée de Drancy

16 février 2010

Comme le confirment les images (voir source) et contrairement à ce que pourrait laisser supposer le silence des médias sur le sujet depuis quelques jours, l’affaire de l‘Imam de Drancy est loin d’être terminée…

Situation assez cocasse quand on se souvient que le 6 septembre 2008,  Jean-Christophe Lagarde, député-maire-dhimmi de Drancy, avait déclaré«OUI, je vous ai volontairement caché que ce serait une mosquée. Je voulais montrer la normalité d’un tel projet. Contrairement à tous ces maires qui annoncent dans les médias qu’ils veulent une mosquée, moi, je l’ai. Je n’ai pas voulu l’annoncer à la population car cela aurait forcément créé des tensions. De cette façon, son ouverture n’a fait peur à personne. Comme nous le voulions, c’est un lieu d’intégration et d’ouverture.»

Le Collectif Cheikh Yassine organisait ce samedi 13 Février 2010 un rassemblement devant la mairie de Drancy suivi d’un débat à l’intérieur de la Mosquée Al Nour. Voici l’appel que lançait le Collectif il y a maintenant une semaine :

Rendez-vous le samedi 13 février à partir de 14 heures devant la mairie de Drancy pour un rassemblement « citoyen dans le respect de la loi et des valeurs de la République française« .
Un débat sur la question de l’avenir de l’Islam en France sera organisé dans la mosquée après le rassemblement.

Le rassemblement devant la mairie s’est bien passé malgré le froid qui était au rendez-vous et une cérémonie de mariage qui était organisé au même moment. ( Voir la première partie de la vidéo ci dessous )

Jean Christophe Lagarde ( maire de Drancy ) n’était pas présent mais des agents de la mairie suivaient, de loin, le rassemblement.

suite

Vidéos et source: http://www.fdesouche.com/articles/99312

Que des burgers halal dans 8 Quick : « Quick doit être équitable avec tous ses consommateurs »!

Quelle bande d’enfoirés, chez Quick! Des dhimmis, d’un autre genre… Ne vendre QUE de la viande halal, c’est de la ségrégation! Et même les muzz se plaignent car ces burgers, rien d’officiel ne prouve qu’ils sont « halal », car Quick ne commente pas ce problème… Car, il faut le savoir, chaque client achetant et chaque enseigne vendant de la nourriture « halal » se doit de verser une taxe à une trouble association islamique de certification qui elle-même reverse à un « pot commun » utilisé à propager l’islam en Occident par l’intermédiaire de fonds versés pour la construction de mosquées, par exemple… Pour faire court: on achète « halal » = on finance les mosquées! Pas beau, ça?

Une seule solution pour l’instant: boycotter Quick et leur faire de la « contre-pub »! En espérant que Mac Do ne suive pas ce triste exemple de préférence non-nationale dans le domaine de l’alimentation…

FDF

lundi 15 février 2010

En ne proposant que des burgers halal dans quelques restaurants, Quick a voulu séduire sa clientèle musulmane. Le bilan est mitigé.

« Je suis sûr que ces burgers ne sont pas halal », s’indigne un représentant de la Grande Mosquée de Paris, contacté par Le Post. Et Kamel Chibout d’ajouter : « C’est malheureux que Quick ne fasse plus de sandwich au bacon. »

Hé oui, le bacon, c’est fini dans 8 restaurants Quick de France. « Tous nos burgers sont désormais halal, qu’ils soient au boeuf ou à la dinde », explique au Post.fr un employé du Quick de Buchelay, dans les Yvelines, concerné par cette « expérimentation », dixit la direction de Quick France.

« Les clients sont contents », poursuit l’employé de Quick, qui reconnaît aussi que « des fois, on a des petites réactions de mécontents, mais on ne peut pas plaire à tout le monde. »


Parmi les mécontents, il faut compter Marine Le Pen. « Est-ce que c’est normal que tous les gens qui viennent au Quick soient obligés, par l’intermédiaire de cette viande halal, de verser une taxe aux organismes islamiques de certification ? », demande la vice-présidente du FN, sur Canal+. « Ceux qui ne veulent pas manger halal n’auront même pas le choix. Je trouve cela inadmissible. »


Contacté par Le Post, Kamel Chibout, président de la fédération régionale du Grand Est, de la Grande Mosquée de Paris, répond à Marine Le Pen, et demande à Quick de réintroduire le sandwich au bacon.

Que pensez-vous de la décision de Quick de ne proposer que des burgers halal ?

« Le problème, c’est qu’on n’est pas sûr que ce soit vraiment halal. Le halal est certifié par qui ? Si Quick fait quelque chose, il faut le faire sérieusement, avec des religieux. Le mot ’halal’ est entendu partout, mais est-ce que c’est vraiment halal ? Beaucoup de musulmans en doutent. »

Pourquoi ça ne serait pas halal, si Quick le dit ?

« Il faut que la viande soit égorgée selon les rites musulmans, qu’il y ait des traçabilités, des contrôleurs désignés par une institution musulmane… Si on abattait tous les poulets à la main, il faudrait beaucoup de personnel, et ça coûte cher. En France, il n’y a aucune transparence sur le halal. »

Ne craignez-vous pas que l’initiative de Quick soulève des rancoeurs contre la communauté musulmane ?

« Si, Quick stigmatise la communauté musulmane. C’est malheureux que Quick ne fasse plus de sandwich au bacon. Je comprends les consommateurs qui ne sont pas musulmans et qui ne sont pas contents. Il faut que Quick soit équitable vis-à-vis de tous les consommateurs, même les non-musulmans. C’est un coup de communication de Quick, tout simplement. »

Vous pensez que Quick devrait réintroduire le bacon ?

« Oui, je dis à Quick de remettre le sandwich au bacon sur le marché, par respect envers tous les consommateurs. J’appelle aussi les trois grandes mosquées, celles de Paris, Évry et Lyon, à prendre en main cette question du halal, et de créer une commission nationale qui travaillerait sur la certification du halal. »

Que répondez-vous à Marine Le Pen, qui s’indigne que les consommateurs paient une taxe aux organismes islamiques ?

« Il est vrai que la taxe est répercutée sur le consommateur. Mais nous sommes tous des consommateurs. On paie tous des taxes sur des produits qu’on ne consomme pas. Par exemple, celui qui paie des impôts pour les routes et qui n’a pas de voiture, il va aussi protester ? Nous sommes tous des citoyens français. Chacun a le libre choix de sa religion, certes, mais nous sommes solidaires. »

Quick a affirmé que cette expérimentation durerait 6 mois, dans les restaurants de Argenteuil et Garges-lès-Gonesse (Val-d’Oise), Buchelay (Yvelines), deux à Marseille (Bouches-du-Rhône), Roubaix (Nord), Toulouse (Haute-Garonne), Villeurbanne (Rhône).

Commentaire FLJ : Ce qu’oublie Kamal Chibout, c’est que la France est une république laïque qui (théoriquement) ne finance pas les religions. Ce que peuvent faire les consommateurs qui refusent la taxe halal sur leurs hamburgers, c’est aller ailleurs… (mais pas chez KFC qui ne vend que du halal !).


Source: Aude Baron de La rédaction du Post


PS: d’un autre coté, si Quick réussit à faire avaler du « non-halal » aux muzz en leur faisant croire que c’en est, il va y avoir des morts…

FDF

Stigmatisons gaiement. Sorgues: la mosquée des Griffons recouvertes d’insultes racistes.

Ca commence à bien faire! C’est mosquées sur mosquées maintenant qui sont la cible de tags et autres croix gammées! C’est une pandémie ou quoi? Bref, ce qui est bizarre c’est que l’on a du mal de trouver les coupables… A se demander si l’effet de stigmatisation qui a pris un bel essort n’encourage pas quelques « bonnes volontés » à pratiquer l’autoflagellation (on a bien eu des cas, chez nous les chrétiens, avec les adeptes de l’Opus Dei, mais là, c’était physique…), histoire de changer un peu la façon dont les musulmans, apparemment « mal aimés » depuis peu, peuvent se faire de la pub… Mais cette réflexion n’engage que moi.

Mais mathématiquement parlant, plus il y aura de mosquées, plus il y aura de cas semblables d’islamophobie affichée. Et, à mon avis, ça va aller logiquement en empirant; tant que l’on ne trouvera pas des coupables à chaque dégradation… Un jour, peut-être, la communauté muzz va se rendre compte qu’elle en a fait un peu trop pour le compte de l’islamisation par tous les moyens de l’Occident et que… ça commence à bien faire.

FDF

15/02/10

« Il est 15 h 30, ce lundi, à la cité des Griffons lorsque les premiers fidèles et l’Imam arrivent pour la troisième prière de la journée. Les regards sont baissés car, pour ces hommes d’une cinquantaine d’années, c’est “la honte” qui prédomine. Dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 février, une main haineuse a tracé à la bombe des mots d’un autre siècle :”enculé de bougnes”, “les Arabes dehors” ainsi qu’une croix gammée. Les injures sont restées sur les murs tout le week-end et ce lundi entre midi et deux heures, le gardien de la mosquée Es Souna a passé un coup de rouleau pour effacer “la honte”.

À la gendarmerie de Sorgues, le commandant “n’a pas été avisé” (???) et, en poste depuis 8 ans à Sorgues, “voit ça pour la première fois sur cette mosquée”.

Entre 200 et 400 fidèles viennent prier dans ce lieu qui dispense aussi des cours d’alphabétisation aux femmes. Si les “papas” comme les appellent les jeunes du quartier préfèrent être fatalistes, les jeunes adultes comme Nadia, infirmière, sont en colère. “On peut pas laisser faire ça, il faut porter plainte” répètent-ils. Ils ne veulent pas courber l’échine mais ne veulent pas tomber non plus dans une plainte qui serait vécue comme une revendication religieuse. C’est donc par le biais de deux associations : le MRAP et la FMF (fédération pour la mixité française, présidée par Akim Mimoum) qu’une plainte devrait être déposée ce jour contre ces inscriptions ouvertement racistes. “Nous espérons aussi que le Conseil Français du culte musulman se saisisse de cette affaire” indiquait hier Akim Mimoum. »

D’abord, on ne dit pas « BOUGNE », ont dit « personnes issues de l’immigration et adeptes de l’idéologie d’amour, de paix et de tolérance »… »Bougnoule » est un qualificatif utilisé durant la seconde guerre mondiale par les Allemands à l’encontre des Français occupés… Un comble, non?

FDF


Source: avignews.com