Francaisdefrance's Blog

25/02/2010

Prières musulmanes dans la rue: à Toulouse aussi…

L’invasion progresse… Le cancer vert se répand… Insidieusement, sournoisement…

FDF

Vidéo ci-dessous:


http://www.youtube.com/watch?v=pR1PCOUsTN0&feature=player_embedded

Le Time: Quick halal, le « French brouhaha ».

Nos amis d’Outre-Manche se posent trop de questions… A l’islamisation de la France, les Français répondent par l’islamophobie. Quoi de plus normal???

FDF

quick france hamburger halal (SIPA)

(SIPA)

mercredi 24 février 2010

Pour le Time, la polémique sur les hamburgers halal de Quick montre une forme d’islamophobie en France, après le débat sur l’identité nationale et celui sur la burqua.

La polémique sur les hamburgers halal proposés dans 8 restaurants Quick depuis le 30 novembre dernier tourne à l’anti-islamisme pour le Time qui titre: « Halal Burgers? Another French Brouhaha over Islam ».

Alors que Quick expériemente à des fins purement commerciales depuis quelques mois des restaurants avec des hamburgers 100% halal, la polémique est ressortie à quelques jours des élections régionales.

« D’abord, la France a assisté à une comédie avec le débat parlementaire sur la burqua. Puis le président Sarkozy a soutenu le débat sur l’identité nationale, un sujet qui stigmatise les immigrants et les musulmans selon ses détracteurs. Maintenant, la France renoue avec ce qui apparaît une obsession mentale que l’on pourrait dénommer de l’islamophobie. », écrit le journaliste du magazine américain.

Le maire (PS) de Roubaix, René Vandierendonck, avait relancé la controverse en jugeant que le Quick de sa ville pratiquait « une discrimination contre les non-musulmans ». L’UMP avait également fait part des ses réticences. Quant au FN, il jugeait la situation « inadmissible ».

Source: e24.fr/economie/france

JMLP: «Un gouvernement de cohabitation».

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Lire: http://www.lefigaro.fr/le-talk/2010/02/23/01021-20100223ARTFIG00605-jean-marie-le-pen-invite-du-talk-orange-le-figaro-.php

Sarkozy : le Gabon, «partenaire modèle». Normal, le Gabon regorge de pétrole…

Filed under: Soumission — francaisdefrance @ 14:11
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Les pires régimes du monde: La dynastie Bongo

Sarkö cire les pompes de Ali Bongo… Pour du pétrole. Mais il « oublie » les génocides… Le sang a une odeur. L’argent, pas.

Lire: http://www.bdpgabon.org/articles/2006/01/16/genocide-au-gabon-omar-bongo-tuera-au-moins-161000-gabonais-au-cours-des-sept-prochaines-annees/

FDF

24/02/2010

Ali Bongo présente sa mère à Nicolas Sarkozy, mercredi, à Franceville, à 700 kilomètres de Libreville, la capitale, qu'il a rejointe ensuite.
Ali Bongo présente sa mère à Nicolas Sarkozy, mercredi, à Franceville, à 700 kilomètres de Libreville, la capitale, qu’il a rejointe ensuite. Crédits photo : AP

Affichant son soutien au président Ali Bongo, il promet des relations «exemplaires».

Aux yeux de Nicolas Sarkozy, la rénovation des relations entre la France et l’Afrique passe nécessairement par le Gabon, son plus fidèle allié sur le continent. Il s’y était rendu une première fois, peu après son entrée à l’Élysée, en juillet 2007. Il y est retourné en juin dernier, à l’occasion des obsèques d’Omar Bongo, le doyen de la «Françafrique», au pouvoir pendant quatre décennies. Il y est revenu mercredi pour apporter son soutien à son fils Ali et plaider en faveur de la «refondation des relations privilégiées entre nos deux pays».

Ces relations, «nous souhaitons qu’elles soient exemplaires», a insisté le chef de l’État dans le discours qu’il a prononcé, mercredi, à Libreville. «Moins de mauvaises habitudes, des progrès plus concrets, des projets privilégiés», a préconisé le président de la République, en se prononçant encore pour des «relations décomplexées». «Il n’existe plus de pré carré et je ne le regrette pas», a encore déclaré Nicolas Sarkozy, en écho à Ali Bongo qui, quelques instants plus tôt, avait affirmé : «La politique des tutorats, des réseaux et des leçons est dépassée.»

Le chef de l’État a chaleureusement appuyé l’action du nouveau président gabonais, élu le 30 août dernier lors d’un scrutin sur lequel pèse le soupçon de fraudes. «La France sera à vos côtés», lui a-t-il assuré. Il s’est toutefois défendu d’avoir pesé dans le vote. «Je défie quiconque de pouvoir démontrer que la France avait un candidat», a affirmé Nicolas Sarkozy.

Avec le Gabon, comme avec les autres pays du continent, le mot-clé mis en avant est celui de «partenariat». Nicolas Sarkozy a souligné son intention de travailler avec ce pays appartenant au G28 et membre du Conseil de sécurité en 2010 et 2011. Un allié à ne pas négliger dans la perspective de débats cruciaux, sur l’Iran notamment.

Symbole de la «nouvelle relation» franco-gabonaise, un «plan d’action pour la mise en œuvre d’un partenariat stratégique», englobant tous les domaines de la coopération et donnant un coup de jeune à des textes remontant pour certains à l’indépendance, il y a tout juste cinquante ans.

Accord de défense

Paris avait annoncé il y a quelques jours que la base militaire française de Libreville serait maintenue, contrairement à celle de Dakar. Un nouvel accord de défense a également été signé mercredi, le précédent datant d’août 1960. Ce document «sera déposé sur les bureaux de nos deux Parlements, il sera publié, il n’y aura pas de clauses secrètes», a déclaré Nicolas Sarkozy en faisant allusion aux agréments, jamais rendus publics, par lesquels la France s’autorisait à jouer le «gendarme» en Afrique. «Nous voulons travailler dans la transparence, dans l’équilibre, main dans la main», a encore assuré le président de la République. Il s’est entretenu, mercredi, avec des représentants de l’opposition, autre gage du renouveau en cours.

Sur le passé, la page ne se tourne malgré tout que lentement – trop pour certains. C’est que Nicolas Sarkozy veut faire rimer «rupture» avec «fidélité», voire continuité. En témoigne son accueil, «à l’ancienne», mercredi à Franceville, le fief des Bongo, à 700 kilomètres de Libreville, la capitale, qu’il n’a rejointe qu’ensuite.

L’hommage a Omar, le père, aura précédé le soutien à Ali, le fils. En début de matinée, le chef de l’État s’est incliné sur la sépulture de «Papa». À l’aéroport, les danseurs emplumés et les tam-tams lui ont fait la fête. «Opération France-Afrique, au beau fixe. Amitié franco-gabonaise, au beau fixe», chantait notamment un groupe de musiciens.

Un peu à l’écart, un homme observe la scène. Maître Robert Bourgi est un des hommes clés de la Françafrique. «Invité personnel» du président français, c’est dans l’hélicoptère d’Ali Bongo qu’il a rejoint Franceville. «Nicolas Sarkozy est réellement l’homme de la rupture, affirme-t-il. Vous ne voulez pas me croire, et pourtant je suis bien placé pour le savoir…»

Source: lefigaro.fr

Laxisme = Des mineurs de plus en plus violents… On bouge ou quoi?

Des mineurs de plus en plus violents

Des policiers devant un lycée de Marseille


Sur fond de violences scolaires, la police s’inquiète de l’augmentation de la violence des mineurs. Après l’agression sauvage d’un quinquagénaire torturé toute une nuit à son domicile par trois adolescentes, la Direction centrale de la sécurité publique (DCSP) a rédigé une note confidentielle à laquelle
Le Point a eu accès. Titrée L’action de la sécurité publique dans la lutte contre une délinquance juvénile de plus en plus violente , elle détaille, chiffres à l’appui, l’ampleur de cette hausse. Sur la seule première quinzaine du mois de février, dix affaires de violences graves ont eu pour auteurs des mineurs de 15 ans ou moins, le plus jeune ayant 11 ans. Et la note d’expliquer que ces jeunes délinquants « n’hésitent plus à s’opposer aux forces de l’ordre lors de leur interpellation ». Extraits :


Trois jeunes qui viennent d’attaquer des locaux commerciaux sont interpellés. À l’ouverture de l’établissement, ils ont menacé un employé en lui mettant un couteau sous la gorge pour qu’il leur remette la caisse. Le plus jeune est remis en liberté sous contrôle judiciaire.


Interpellation de trois jeunes filles de 14, 15 et 17 ans. On les accuse d’avoir séquestré à son domicile un quinquagénaire et de l’avoir torturé toute la nuit pour lui extorquer le code de sa carte de crédit. Lors de son audition, l’homme a expliqué avoir été déshabillé et bâillonné par ses tortionnaires qui l’ont frappé à coups de marteau et de ceinture avant de le brûler à la tête avec des cigarettes et de lui verser de l’eau bouillante sur les jambes. Ses bourreaux ont ensuite tenté de le violer avec un manche à balai. La plus jeune l’a contraint à se masturber avant de maculer son propre tee-shirt de son sperme, en le menaçant de déposer plainte pour viol. Les trois mineures ont été placées en détention provisoire.


Sept jeunes, dont trois mineurs, sont interpellés pour avoir agressé, le même jour, trois passants et leur avoir dérobé un portefeuille et un téléphone portable. Deux des victimes se voient délivrer des interruptions de travail de 2 et 4 jours. Les majeurs ont écopé de 5 mois de prison avec sursis. Quant aux trois mineurs, les deux plus âgés ont été remis à leurs parents après leur mise en examen, tandis que leur complice de 14 ans a été placé dans un foyer.


Une bande de dix jeunes, en majorité des mineurs, est interpellée pour quatre agressions violentes contre des homosexuels. Le plus jeune avait 13 ans. Il a été convoqué devant le juge des enfants.


Une bande de quinze délinquants, dont sept mineurs, est interpellée dans le quartier sensible d’Empalo. La bande qui sévissait depuis juin 2009 avait à son palmarès 18 vols avec violence. Deux mineurs, particulièrement virulents, âgés de 15 ans ont été remis en liberté en attendant leur jugement.


Lors d’un chahut dans un bus, un collégien de 15 ans porte un coup de couteau à un adolescent de 17 ans qui lui reprochait de lui avoir pris son bonnet. Touchée à l’aine, la victime, sauvée in extremis par l’intervention des secours, s’en est tirée après quinze jours d’hospitalisation. Jugé en comparution immédiate, le mineur a été placé en foyer sous contrôle judiciaire.


Dans le quartier sensible des Neiges, un mineur de 14 ans est interpellé pour avoir, avec d’autres jeunes, mis le feu à plusieurs voitures et conteneurs à poubelles. Ils voulaient protester contre le suicide, en prison, d’un copain de leur quartier. L’adolescent a été convoqué devant le juge des enfants le 13 mars prochain.


À 6 heures, un boulanger est agressé à coups de batte de base-ball, après avoir surpris des jeunes qui lui volaient des bonbons. Rapidement interpellés, les quatre auteurs, âgés de 14 et 15 ans, ont été remis en liberté après leur garde à vue.


Trois mineurs interpellés, dont deux de 13 et 15 ans, pour cinq vols avec violences et une tentative de vol, tous commis entre le 8 décembre 2009 et le 16 janvier 2010. Après leur garde à vue, les trois mineurs ont été remis en liberté en attendant leur convocation le 9 mars par le juge des enfants pour leur mise en examen.


Le 2 février, à 9 h 25, Minirou D, 11 ans, frappe d’un coup de poing un enseignant et le menace parce que ce dernier vient de s’interposer dans sa bagarre avec un autre élève. Le prof qui s’est vu délivrer par son médecin un jour d’arrêt de travail a porté plainte. Le mineur après avoir été entendu par la police a été remis en liberté, et l’affaire laissée à l’appréciation du parquet.


Quatre enfants de 11 ans sont interpellés devant une école primaire alors qu’ils sont en train de tirer avec des pistolets à billes. Trois jours plus tôt, des écoliers, dont deux de 9 ans, avaient déjà été victimes de tirs. Quatre plaintes avaient été déposées. Après avoir été auditionnés, les mineurs mis en cause ont été remis à leurs parents.


Ouahind H, 12 ans, se présente avec sa mère au commissariat. Il reconnaît avoir agressé pour un « regard mal placé » un autre enfant de 13 ans à la sortie de la synagogue. La victime qui souffre d’une fracture de la hanche s’est vu prescrire 60 jours d’ITT. L’auteur, mis en examen, a été remis à ses parents.

Manquait plus que ça: Malek Boutih pressenti à la présidence de la Halde!

Français de souche (ou « souchiens ») planquez-vous!!! La police anti-Français se dote d’un chef ! Cette préférence non-nationale commence à peser… On va le payer, bientôt, tout ça…

FDF

Qui est-il, exactement? http://fr.wikipedia.org/wiki/Malek_Boutih

24/02/2010


Déchéance pour la France…

L’ancien président de SOS Racisme pourrait succéder mi-mars à Louis Schweitzer à la tête de la Haute autorité de lutte contre les discriminations.

L’horizon s’éclaircit un peu pour Malek Boutih. Dépourvu de toute fonction importante à la direction du PS depuis fin 2008, l’ancien président de SOS Racisme pourrait rebondir dans les prochains jours en prenant la présidence de la Halde. Le 8 mars, Louis Schweitzer quittera en effet son bureau de la rue Saint-Georges, après cinq années de mandature. Et pour lui succéder, l’Elysée lorgnerait singulièrement sur Boutih, un «pro-Royal» régulièrement présenté par ses camarades socialistes comme «Sarko compatible». Selon son entourage, sa nomination pourrait être officialisée dès lundi.

Rue de Solférino, Malek Boutih, 45 ans, est devenu indésirable depuis longtemps. Nommé en 2003 secrétaire national du parti sur les questions de société, puis chargé deux ans plus tard de la lutte contre le racisme, son rapport sur l’immigration – dans lequel il se prononce en faveur de quotas et de flux migratoires régulés – est enterré en 2005 par la direction du PS. Proche de Julien Dray, il soutient dès 2006 la candidature de Ségolène Royal à l’investiture socialiste pour l’élection présidentielle de 2007. Une position qui lui vaut, après le congrès de Reims et sa bataille intestine, de perdre son secrétariat national.

«Premier des sarkozystes»

Depuis, Boutih n’a eu de cesse de taper sur la direction du PS. Epinglant début 2009 le contre-plan de relance de Martine Aubry à qui il reprochait de reprendre des «recettes usées». Critiquant régulièrement un PS «bunkerisé» et «autiste». Taclant un parti qui «n’a plus de rapport avec la réalité sociale du pays». Votant plus récemment contre l’investiture d’Hélène Mandroux en Languedoc-Roussillon, dans laquelle il voyait «une utilisation du racisme pour des manœuvres d’appareil». Des critiques qui lui ont valu d’être publiquement taxé par ses camarades socialistes de «premier des sarkozystes».

Le 8 mars – à une semaine du premier tour des régionales -, son affectation à la présidence de la Halde pourrait donc être un geste d’ouverture supplémentaire de la part de Nicolas Sarkozy, après les nominations de Didier Migaud à la présidence de la Cour des comptes et de Michel Charasse au Conseil constitutionnel. Contacté par Lefigaro.fr, ni l’intéressé ni l’Elysée n’acceptent pour l’instant de communiquer sur le sujet. Déjà annoncé au gouvernement en 2007 pour un secrétariat d’Etat à la Politique de la ville, puis l’année suivante pour une mission sur la diversité, ce fils d’immigrés algériens avait finalement refusé les invitations respectives, notamment sous la pression de son ami Julien Dray. Avant de rapidement faire part de son intérêt pour la présidence de la Halde. «Ça m’intéresse et je l’ai fait savoir. Le président veut des nominations [de personnes issues de la diversité, NDLR] à des postes importants. Je le prends au mot», lance-t-il dans la presse dès décembre 2008.

«Malek s’emmerde au PS»

Face à lui, seul circule le nom de Fadela Amara, dont le sort au sein du gouvernement, à l’occasion du remaniement d’après-régionales, semble plus qu’incertain. Très critiquée au sein de la majorité et en chute dans les dernières enquêtes de popularité, la secrétaire d’Etat à la Ville aurait pris plus d’un wagon de retard sur Malek Boutih.

Au Parti socialiste, la probable nomination de l’ancien président de SOS Racisme à la tête de la Halde semble plutôt bien accueillie. «C’est une bonne chose pour lui. On a beau ne pas être toujours d’accord sur tout, je dois lui accorder une vraie compétence sur les questions de discriminations», affirme Pouria Amirshahi, secrétaire national du PS aux Droits de l’Homme. «Je pense que Malek s’emmerde au PS, et qu’il est à une étape où il a envie de s’engager dans un nouveau combat, d’être utile autrement», poursuit Amirshahi, qui accusait Boutih il y a à peine plus d’un an d’«applaudir Sarkozy à chacune de ses déclarations» et de «marcher sur les pas de ceux qui, comme Bockel et Besson, ont fait le lit de la droite – avant d’y finir carrément».

Source: lefigaro

Résistance: Du porc, vite !!! Partout!

Je crois qu’il est grand temps temps d’arrêter, là. Cette invasion islamique par la bouffe halal commence à bien faire. Ce n’est plus les mosquées qui vont être « souillées », ce sont les restos-dhimmis qui imposent leur bouffe immonde à ceux qui ne souhaitent pas en consommer.

FDF


Le marché du halal s’étend, entre convoitise et suspicion, sournoisement, comme le pratique l’islam…

25/02/2010

Il y a cinq ans ouvrait à Clichy-sous-bois (Seine-Saint-Denis) le «BKM», un fast-food pffrant de la nourriture halal dans un décor proche des habituelles chaînes de fast-food américaines.

Beurk !!!

Les restaurants confessionnels fleurissent, en particulier les fast-foods.

L’offre «tout halal» du Quick de Roubaix est maintenant sous l’œil de la justice. Deux particuliers ont saisi la Haldedéposé plainte pour «discrimination» jeudi dernier contre l’enseigne Quick, dont huit restaurants en France expérimentent des hamburgers garnis de viande de bœuf venant de bêtes abattues selon le rite halal et où la dinde fumée a remplacé le bacon. Le parquet de Lille a ouvert une enquête préliminaire pour vérifier les conditions d’affichage, le service proposé aux clients et auditionner les protagonistes. Mais la discrimination pourrait être difficile à établir. Les huit fast-foods concernés servent encore de la bière et des produits non halal à base de poisson ou de fromage, s’est défendu le groupe. «Quick n’exclut personne. On n’interdit pas à un musulman ou à un non-musulman de rentrer dans un restaurant.»

L’école touchée

L’émoi des premiers jours s’est heurté à la liberté du commerce. Les restaurants confessionnels fleurissent, et notamment les fast-foods halal. Le chiffre d’affaires du secteur de l’alimentation halal est évalué à 5,5 milliards d’euros en 2010, dont 1 milliard pour la restauration rapide, sachant que 5 millions de musulmans environ vivent en France, selon une étude du cabinet de conseil Solis.

Au-delà des sandwicheries spécialisées ou des kebabs, les chaînes de restauration rapide ne sont pas en reste. «La viande (exclusivement du poulet, NDLR) que nous vendons est halal», rappelle par exemple l’enseigne KFC, qui compte près de 100 restaurants en France. Mais KFC est régulièrement accusé de contourner les règles halal, en étourdissant les poulets avant leur mort, ce qui n’est pas accepté par un certain nombre de religieux. Des forums entiers sont consacrés à ces questions, car le halal est entouré de soupçon, faute d’une norme religieuse claire et d’une filière transparente.

Même ainsi, l’essor de l’alimentation halal se poursuit. Près de 60 % des «personnes d’origine musulmane», pratiquantes ou non, achètent systématiquement de la viande halal, selon une enquête Ifop révélée par Le Figaro en janvier. La progression du marché est essentiellement soutenue par la première génération des immigrés, avec «un rapport étroit à la religion». Mais, à l’instar de Quick, une nouvelle offre se développe à destination des générations suivantes qui ont «la culture de la grande surface, celle du fast-food», ­estime Abbas Bendali du cabinet Solis. Les adolescents se montrent souvent friands de halal, dans un bricolage identitaire.

La demande de viande confessionnelle touche aussi l’école. Mais la doctrine semble stabilisée, selon Christophe Herbert, qui dirige l’Association nationale des directeurs de la restauration municipale : la plupart des cantines offrent un plat de substitution les jours où le porc est au menu. Certaines villes vont plus loin et proposent des menus quotidiens sans viande, comme à Roubaix ou à Lyon. Un quart des enfants du primaire l’ont choisi, explique l’adjoint à la scolarité, Yves Fournel : «Depuis, je n’ai plus de demande de halal.»


LIRE AUSSI :

» La grande distribution a l’appétit halal

» Nous avons déjà mangé casher ou halal

» L’essor d’une offre halal française

» De la viande halal vendue comme non-halal

Source: lefigaro.fr

Vous avez dit « égalité des chances »? Je dis: discrimination positive…

Discrimination positive: http://www.eleves.ens.fr/pollens/seminaire/seances/discrimination/synthesediscrimination.htm

Abandonner ceux qui s’abandonnent eux-mêmes ?

Le Figaro : « La justice confirme que l’accusation la plus lourde portée contre la tête de liste PS dans le Val-d’Oise par ses adversaires UMP est fausse. » Ce qui tendrait à valider les autres.

Au vu de la difficulté de figurer sur une liste, pour des gens qui n’ont ni casier, ni casserole et qui disposent d’un parcours éducatif exemplaire, je trouve désormais la course aux personnes d’origine étrangère hautement scandaleuse.

La segmentation politique bat son plein : mieux vaut donc à présent être estampillé « d’origine étrangère » avec casier et sans diplôme, qu’ identifié comme Français sans casier judiciaire et avec diplômes. Je peux d’ailleurs vous dire que nombre de personnes issues de l’immigration ne sont pas considérées comme Françaises par le monde politique et par les médias, qui ne les considèrent que comme « minorités visibles ». Il y aurait, là aussi, matière à réfléchir sur ce que signifie concrètement être ouvert aux autres et les considérer comme des égaux. Ceux qui apparaissent de prime abord comme ouverts sont parfois très loin de l’être. La politique d’égalité des chances telle que nous la voyons se déployer depuis de nombreuses années cache souvent la pire des exclusions.

Dans les estampillés « d’origine française », j’inclus évidemment les personnes issues de l’immigration qui se sont parfaitement intégrées. D’ailleurs, le comportement des politiques et des médias à leur égard est assez éloquent : ces personnes ne les intéressent pas. Cela constitue, paradoxalement, la meilleure preuve qu’à leurs yeux, ces personnes sont devenues françaises. Une autre qualité également très prisée dans le monde politique est d’être passé par une association de lutte contre le racisme supposé des Français.

Certains parmi vous l’ont déjà évoqué : c’est bien la peur qui guide désormais de nombreux politiques. Ces derniers voient les populations d’origine étrangère comme étant capables de grande violence. Ils pensent donc qu’il leur faut absolument « l’Africain » ou « l’Arabe » qui saura entrer dans « leurs » quartiers et les calmer. Moralité, si les Français souhaitent que les politiques s’intéressent de nouveau aux Français, il faut que ces derniers soient craints ! Elle n’est pas belle, la régression démocratique ?

Dans tous les cas, le silence des Français, et le fait qu’ils avalent toutes les couleuvres, joue contre eux et contre la France, donc en définitive contre tout le monde : Français et non Français. Le peuple pense encore être souverain, quand il a déjà perdu une grande partie de sa souveraineté. De quel véritable choix disposent en effet les électeurs ? Quand ils votent, ils le font bien souvent par défaut, ou encore pour faire barrage à ceux qu’ils jugent pires que leurs concurrents. Peut-on raisonnablement appeler cela un choix ? Mais comme j’ai déjà eu l’occasion de le préciser, ce sont les citoyens qui sont artisans de leur malheur, puisqu’ils ne votent que pour les « vus à la télé », ou « vus dans les magazines people », ou « a ses entrées à Paris ».

« Abandonnez ceux qui s’abandonnent eux-mêmes » (Shakespeare). Peut-on sauver un peuple du suicide s’il a décidé de se laisser mourir ? C’est LA question qui se pose. Je n’ai pas la réponse. Il arrive que l’entreprise me paraisse hors de portée. Il y a en effet tellement de forces qui se conjuguent dans le même sens, opposé aux intérêts de la France et des Français. Dans ces conditions, seul le peuple détient les clés de son propre destin. Mais le peuple ne dit rien et continue de baisser la tête. Si Marc Bloch revenait, il décèlerait probablement de nouveau le goût amer de l’étrange défaite. L’histoire ne serait donc qu’un éternel recommencement ? Espérons que cette fois encore, la France en sorte vivante. C’est le véritable enjeu. Pour cette raison, notre devoir est de continuer à travailler au réveil des consciences, avant qu’il ne soit trop tard. Oui, éviter de se rendre complices d’un crime contre l’humanité : la disparition d’une civilisation.

Mon billet peut sembler pessimiste. Il ne l’est pas. Il est simplement réaliste. Seule la hauteur du défi peut faire que le peuple français sorte de sa léthargie et s’engage politiquement. Les Français ont souvent montré, et leur histoire le prouve, qu’ils savent être au rendez-vous des grandes causes. C’est donc l’Histoire qui nous dira s’ils ont considéré que leur vie méritait d’être érigée en grande cause.

vu sur http://puzzledelintegration.blogspirit.com/archive/2010/02/24/abandonner-ceux-s-abandonnet-eux-memes.html

Que devient le premier aumônier musulman de l’armée Française? Labes, labes…

L’islamisation dans nos forces armées suit son petit bonhomme de chemin…Et l’aumônier suit et applique les « enseignements » coraniques à la lettre. On est mal…

FDF


Soufiane El Bariki un mulhousien est le premier aumônier musulman de l’état major de la région Sud-Ouest

à 33 ans, ce Saint-Cyrien occupe à Bordeaux son troisième poste en tant qu'aumônier militaire musulman. (photo claude petit)

Accrochés sur les fourreaux d’épaule, ses galons le présentent : un rameau d’olivier surmonté d’un croissant. L’aumônier régional musulman (originaire de Mulhouse) Soufiane El Bariki reçoit dans son bureau de la caserne Xaintrailles, à Bordeaux, dont il partage le secrétariat avec ses trois collègues, catholique, protestant et juif. Il est le premier à occuper ce poste à l’état-major de la zone de défense Sud-Ouest. La création de l’aumônerie musulmane date d’un décret du 16 mars 2005. L’aumônier en chef a été nommé à Paris en juin 2006. Ses adjoints ont été affectés aux quatre armes : terre, air, mer, gendarmerie. Ceux qui sont nommés à la tête des régions s’occupent de tous les militaires, quel que soit leur insigne. Et Soufiane El Bariki ne chôme pas. Il ne reste jamais très longtemps entre ses quatre murs. Il est ravi.

De la faculté à l’armée

Ses parents, originaires du Maroc, sont venus travailler dans les usines de sidérurgie alsaciennes en 1975.
( Sa mére Saadia El Bariki est une membre active au sein de notre association et notre Mosquée As Salam, elle est chargée de l’organisation  des évenements au sein de la mosquée ( Iftar Ramadan, Mariage, Naissance, Ikram, etc …) et membre de la Commission Femme )
Soufiane est né à Mulhouse de. Il y a fait ses études et enseigné à l’université les sciences économiques et juridiques. Des fourmis dans les pieds, l’envie d’action et de responsabilité le poussent à frapper à la porte de l’armée de terre. Formé à l’école des officiers de Saint-Cyr Coëtquidan, le voilà affecté au 12e régiment d’artillerie à Haguenau. « D’abord directeur adjoint du pôle restauration -hôtellerie-loisirs, je gérais 120 personnes, y compris le suivi de leur carrière. C’était comme une PME. » Puis il s’occupe du budget du régiment. Des postes qui lui conviennent.

Jusqu’au jour où le décret promulgue la création de l’aumônerie musulmane. Les trois autres existaient depuis 1880. « J’ai postulé aussitôt. » Soufiane avait aussi décroché un certificat d’études de la religion musulmane à la mosquée de Saint-Fons, près de Lyon. « Je ne pensais pas m’en servir. » Un bon sésame. L’uniforme d’aumônier est à sa taille, estime le jury, qui, séduit par ses références théologiques, lui offre un premier poste à Draguignan, dans le Var, puis au Tchad. Bordeaux sera sa troisième affectation. La première mission de Soufiane : conseiller le commandement sur toutes les questions liées au culte.


Accompagnement spirituel

Pas toujours facile d’observer le ramadan sur un théâtre d’opération. « Il y a des horaires à respecter pour le début du jeûne et sa rupture. Mais cela ne doit rien désorganiser. J’explique donc que la religion musulmane est ferme dans ses principes mais souple dans ses pratiques : une dérogation est possible dans le cadre du travail pour que la religion soit en adéquation totale avec les obligations de service exigées par l’institution. Le militaire peut interrompre le jeûne à condition de le rattraper. Idem pour la prière du voyageur. »

Soufiane joue aussi un rôle important auprès des personnels qui peuvent faire appel à lui pour célébrer un mariage ou un enterrement. « Un accompagnement spirituel souvent réclamé avec l’éloignement. » Et surtout, il écoute : « Mon bureau est ouvert à tout le monde. »

Aujourd’hui, il doit participer à une cérémonie chez les gendarmes de Battesti puis filer à la BA 106 de Mérignac pour répondre à des interrogations sur la nourriture halal. Le lendemain, il sera appelé à La Rochelle. « Depuis qu’on sait que je suis là, on me sollicite énormément. »

source: mosquee-salam-mulhouse.over-blog.com

Le journal fascislamique JEUNE AFRIQUE se réjouit de l’islamisation de Marseille en s’ingérant dans ses affaires intérieures…

Incitation à l’islamisation…

FDF

Marseille et son minaret…

Image de synthèse du futur patio principal. Ouverture prévue en 2011<Image de synthèse du futur patio principal.
Il aura fallu un siècle de débats et de polémiques pour que la cité phocéenne ait sa grande mosquée. Enfin !

« La grande mosquée ? C’est un rêve, mais j’y croirai vraiment quand le bâtiment sera sorti de terre ! » s’exclame Abdelhadi, un vieux musulman du quartier de la Porte-d’Aix, à Marseille. Comme nombre de ses coreligionnaires, Abdelhadi est à la fois sceptique et plein d’espoir. Certes, le permis de construire pour la « mosquée-cathédrale » qui doit s’élever dans les quartiers Nord de la ville a été délivré en novembre dernier par le maire, Jean-Claude Gaudin. Mais on parle du projet depuis si longtemps – il n’a cessé d’être reporté depuis le début du XXe siècle – que l’attentisme l’emporte encore sur la joie.

300 000 musulmans

Abdelhadi fréquente assidûment la mosquée Ettaqwa. Fondée en 1975, c’est le plus ancien des 67 lieux de culte déclarés que compte actuellement la cité phocéenne. Un nombre largement insuffisant pour les quelque 300 000 musulmans marseillais – dont près de 50 000 pratiquants. « Le vendredi, rien que dans le quartier Belsunce, deux rues sont presque entièrement bloquées pour la prière », indique Makhete Cissé, président dans la région de la Fédération française des associations islamiques d’Afrique, des Comores et des Antilles.

« C’est un vrai scandale qu’il n’y ait toujours pas de grande mosquée à Marseille, alors qu’il y en a une à Lyon, Lille, Roubaix ou Évry », s’insurge de son côté Soheib Bencheikh, l’ex-grand mufti de Marseille. Nommé en 1995, cet islamologue libéral est aujourd’hui chercheur à l’École pratique des hautes études et au Collège de France. « Quand je suis arrivé à Marseille, dit-il, c’était le premier mandat de Gaudin. Alors que son prédécesseur était favorable à la mosquée, il a bloqué le projet pendant six ans.

“Ici, c’est le clocher”, répétait-il, ou “d’accord pour une mosquée, mais à Marrakech” ! »


En 2001, au début de son deuxième mandat, Gaudin change son fusil d’épaule. En clair, son « non » à la mosquée ne lui a pas permis d’engranger des voix de l’extrême droite, qui a réalisé un score de 18 % aux élections municipales. Sans doute sait-il aussi – sans qu’il ait pris le risque d’en faire un thème de campagne – qu’une majorité de Marseillais est favorable à la grande mosquée : 57 % selon un sondage publié quelques mois plus tard (un chiffre montant à 82 % chez les jeunes).

Enfin, grâce à sa conversion au projet, le maire tente de séduire les quelque 30 % de Marseillais musulmans. Avec un certain succès. « On trouve de plus en plus de musulmans votant à droite, notamment au sein de la communauté comorienne », affirme Élisabeth Saïd, conseillère municipale socialiste. Aux municipales de mars 2008, Gaudin conserve son fauteuil de justesse.

Apparemment, ce sont les divisions au sein de la communauté musulmane qui ont freiné le projet. C’est l’avis notamment de Makhete Cissé, qui est aussi vice-président de l’association La Mosquée de Marseille, chargée de mener à bien la construction de l’édifice. Un discours que reprennent en cœur les fonctionnaires de la mairie.

Mais Soheib Bencheikh propose une analyse bien différente. Selon lui, cette lenteur s’explique par la volonté de la mairie « d’organiser la pagaille pour maîtriser le projet dans son intégralité ». « Le maire a cherché à faire émerger deux tendances antagonistes qui se neutraliseraient : la mienne, libérale, avec le Collectif des associations musulmanes de Marseille (CAMM), et celle, rigoriste, de l’imam Mourad Zerfaoui, du Conseil des imams de Marseille et ses environs (Cime) », ajoute-t-il. Bien sûr, les deux associations ne parviennent pas à s’entendre et le grand mufti démissionne en 2005.

Après cet échec, Gaudin va pouvoir s’appuyer sur un consensus mou pour mener à bien « son » projet. L’association La Mosquée de Marseille, créée en 2006, répond à la loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État et non à celle de 1901 sur la liberté d’association. Elle ne peut donc prétendre à aucune aide publique, comme la cession d’un terrain municipal pour 1 euro symbolique. La future mosquée sera donc construite dans le nord de la ville, sur le terrain des anciens abattoirs loué à la mairie pour 24 000 euros par an, selon un bail emphytéotique de cinquante ans. Loin du centre-ville, qui offrait pourtant de nombreuses possibilités grâce à l’immense projet de restructuration baptisé Euro-Méditerranée.

Montant du projet : 22 millions d’euros

« Cela pose un problème en droit musulman, puisqu’une mosquée ne peut pas théoriquement être située sur un terrain loué ou prêté », indique Bencheikh. « Rien n’empêche la municipalité de le vendre plus tard », répond-on à la mairie de Marseille. Prix estimé : plus de 2 millions d’euros…

La seconde exigence de la mairie portait sur la signature d’une convention interdisant tout financement extérieur au-delà de 30 % de l’investissement. « Il s’agit d’éviter une quelconque influence étrangère », argumente Makhete Cissé, qui mise toutefois sur une participation de l’Algérie, du Maroc et de la Turquie notamment. « Ailleurs en France, le financement de grandes mosquées par un seul État n’a jamais posé problème ! » répond Bencheikh.

Pour Abderrahmane Ghoul, secrétaire général de La Mosquée de Marseille, c’est plutôt le prix du projet qui pose problème : 22 millions d’euros. « Nous sommes à environ 4 000 euros le m2, c’est très au-dessous de beaucoup d’ouvrages de cette importance », estime cependant l’architecte Maxime Repaux. Le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem), en cours de construction à Marseille, coûte 1,5 fois plus cher.

Pas encore construite, la mosquée n’en a donc pas fini avec la polémique. La première pierre devrait être posée en mai prochain. Les premiers appels à la prière sont prévus en 2011, voire 2012. Si le maire ne change pas d’avis.

Source: laic-de-marseille.allmyblog.com

Insolite: entretien avec un ancien prédicateur musulman converti à l’orthodoxie

mercredi 24 février 2010

Le weblog Orthodoxologie a mis en ligne la traduction d’un entretien avec un ancien prédicateur musulman converti à l’orthodoxie. Outre le récit de son parcours, c’est un témoignage sur l’islam souvent différent de ce que l’on entend ou lit habituellement sur ce sujet. Ainsi il dit:  » (…) en Arabie et dans d’autres pays, peut-être la plupart des musulmans vont à la mosquée, non parce que leur foi les y encourage à le faire, mais parce qu’ils sont obligés de le faire sous la pression des lois et coutumes (…) Les musulmans d’aujourd’hui ont une religiosité bien moindre qu’on ne le croit dans le monde chrétien. Dans les pays musulmans il y a beaucoup de mosquées on y dit les prières cinq fois par jour, mais excepté le vendredi personne ne va à la mosquée. »

« Dans les pays musulmans, de nombreuses personnes cherchent la vérité, c’est pour cela que la mission chrétienne va croître. La plupart propagent le christianisme chez les amis, et récemment il y a une des chaînes de télévision et beaucoup plus de sites Internet dédiés à la mission parmi les musulmans. En général, beaucoup de musulmans s’éloignent de l’islam, et ceci est particulièrement visible dans les pays occidentaux. » D’autre part, il minimise le nombre des conversations à l’islam: « J’ai été impliqué dans la mission de l’islam chez les Britanniques et je peux dire que le nombre de convertis à l’islam est minime. Lors des prières du vendredi dans le centre de Londres à la mosquée le nombre de musulmans britanniques est peut-être de 1% (…) Quand certains musulmans disent que l’islam est la religion à plus forte croissance dans le monde, les imams de Londres disent que cette croissance est principalement liée à la fécondité, mais il n’y a pas de mission. Je ne doute pas que le christianisme soit beaucoup plus fort en tant que mission. »


Sources: en russe (avec d’autres éléments apportés lors des débats),  Orthodoxologie (intégralité de la traduction)