Francaisdefrance's Blog

28/02/2010

Racaille: encore une « incivilité »…

C’est malheureusement chose courante, en France, quand les pompiers ou même la Police ont des interventions à faire dans les « quartiers »… Mais avec la presse muselée, vous n’êtes pas informés…

FDF




Un pompier frappé par la racaille en pleine opération de sauvetage

28/02/2010
MONTPELLIER (NOVOPRESS) :

Le capitaine des pompiers de Montpellier n’en revient pas : « En vingt-cinq ans, je n’ai jamais vu ça. Je ne comprends pas cette réaction d’abruti. » Quand les pompiers sont arrivés, ils ont reçu des canettes, des insultes.
Pire : lorsqu’un soldat du feu s’est retrouvé en difficulté alors qu’il était en train de sauver l’une des victimes, l’un de ses collègues a volé à son secours en allant chercher une échelle. Et quand il est arrivé, l’invraisemblable s’est produit : « J’ai pris deux coups de poing derrière la tête alors que j’avais l’échelle en main, les insultes pleuvaient. Si j’étais tombé au sol, la victime y restait et mon collègue aussi. »
Il a néanmoins réussi son opération de sauvetage. Et il a déposé plainte, hier.

Information parue sur Le Salon beige sous le titre : Les voyous sont des barbares.

Provocation: La candidate voilée du NPA se présentera bien aux élections régionales!

Provocation et préférence non-nationale: voilà qui va remonter le moral aux musulmans-communistes…

FDF

25/02/2010

Mardi, le tribunal administratif de Marseille, qui devait à nouveau statuer sur la légalité de la liste du NPA dans le Vaucluse a donné la même réponse que le 17 février dernier.La présence de cette femme portant un foulard sur les cheveux, ne constitue aucunement une atteinte au principe de laïcité, selon la décision rendue par le tribunal administratif. (NDLR: exemple parfait de notre justice à préférence non-nationale…).

A la suite de cette décision, Jacques Hauyé, tête de liste vauclusienne pour les régionales a déclaré:

« Je suis bien entendu content de cette décision. Cela me satisfait que la justice soit allée dans ce sens ».

Tout en ajoutant:

« Au niveau juridique, cela ne me paraissait pas fondé ».

Rappel:

Le premier recours, en date du 17 février dernier, avait été déposé par l’association de solidarité avec les femmes arabes.

Déboutée la semaine dernière, l’association avait de nouveau saisi la justice dimanche dernier.

Un second recours auquel s’était joint l’association Ni putes ni soumises.

Délinquance: La délicate lutte contre les «vols à la portière»…

Gentils, les conseils… Mais à la violence de la délinquance, on va répondre, par des moyens « appropriés » et efficaces. Cacher ses effets personnels susceptibles d’être volés ne sert pas à grand-chose… Ces ordures iraient jusqu’à tuer pour voler (il y a déjà plein de cas, mais chutttt). Vous me suivez, là??? Lisez les commentaires, en bas de page, au niveau de la source…

FDF

26/02/2010

Rôdant sur les tronçons en travaux ou aux abords des tunnels, les voleurs profitent de ralentissements dus aux embouteillages pour passer à l’action. Crédits photo : Le Figaro

Rôdant sur les tronçons en travaux ou aux abords des tunnels, les voleurs profitent de ralentissements dus aux embouteillages pour passer à l'action.

Ces violentes agressions visant les automobilistes sont fréquentes entre l’aéroport de Roissy et Paris.

La rocambolesque affaire du vol, pour un préjudice déclaré de 4,5 millions d’euros de bijoux, dont a été victime l’héritière du maire de Kiev circulant en berline le 15 février dernier sur l’A1, a jeté une lumière crue sur un fléau endémique. Surnommé « vol à l’italienne » ou encore « vol à la portière », il met en scène au moins deux individus confondant les routes avec un terrain de chasse d’un genre particulier. À pied ou sur des scooters volés ou faussement plaqués, ils sélectionnent leurs victimes avec méthode : en général, des femmes dans des véhicules de luxe, des touristes lestés de devises circulant à bord de taxis et, parfois, des voitures diplomatiques…

Rôdant sur les tronçons en travaux ou aux abords des tunnels, ils profitent de ralentissements dus aux embouteillages pour passer à l’action. À l’aide d’un brise-glace, d’un culot de bougie automobile, de petits silex voire d’une massette, l’un des voyous fait voler en éclats le pare-brise ou une vitre arrière quand les portières sont verrouillées. Il passe le bras dans l’habitacle – quand il n’y engouffre pas – et s’empare des valeurs, manteaux ou sacs à main laissés en évidence. Son complice s’interpose en cas de résistance et le binôme s’esquive en slalomant entre les files. L’attaque n’excède guère les deux minutes.

« Une délinquance difficile à traiter »

« Le 22 janvier dernier, vers 19 h 30, au retour d’un salon de la décoration à Villepinte, je roulais au pas sur l’autoroute A1 quand j’ai vu un type en capuche courir devant mon capot, témoigne Véronique, chef d’entreprise de communication. À peine le temps de m’exclamer, l’inconnu venait de casser le carreau d’une Porsche Cayenne sur la file d’à côté, immatriculée à l’étranger et occupée par quatre personnes. Une femme à l’arrière, tétanisée, n’a pas eu la force de hurler quand on lui a arraché son sac. Le voleur a disparu dans un souffle derrière un talus, où se trouve un squat. Maintenant, même au volant de ma petite japonaise, j’ai peur lorsque je repasse dans le secteur. » « Très déterminés, ces délinquants n’hésitent pas à violenter les plus récalcitrants, note un responsable de la sûreté territoriale de Seine-Saint-Denis, département où ce type d’agressions est courant. Une femme a récemment failli perdre un doigt en s’accrochant à l’anse de son sac. »

« Apparus en France dans les années 1990, les vols à la portière ont explosé au début des années 2000, notamment dans la capitale, rappelle-t-on à la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP). Jusqu’en 2005, il pouvait y avoir une douzaine de faits par jour ! » Depuis, la mobilisation d’un groupe spécialisé au sein du Service d’investigation transversale a fait chuter les faits constatés de 54 % une seule année. « Cette délinquance est difficile à traiter car les auteurs restant non identifiables par les victimes sidérées par l’agression. Cependant, plusieurs équipes ont été démantelées », se félicite un commissaire parisien. En mars 2008, un gang de quinze personnes – dont trois mineurs -, interchangeables au gré des circonstances et utilisant des motos volées, avait été confondu en Seine-Saint-Denis après une étourdissante série de 88 agressions ! « Depuis 2007, cette délinquance poursuit sa baisse mais semble avoir atteint un seuil plancher, précise la Préfecture de police. Les vols à l’arraché et à “l’italienne” recensés sont passés en Ile-de-France de 1 145 à 1 022 faits entre 2007 et l’année dernière . »

Outre l’A1 entre l’aéroport de Roissy et Paris, en particulier le tunnel du Landy vers Saint-Denis et la porte de la Chapelle, la RN1 à hauteur de Pierrefitte ou encore le centre-ville d’Aubervilliers sont décrits comme des « abcès de fixation récurrents » en région parisienne. En province, seule la Côte d’Azur, notamment en été, supporterait la comparaison. De manière préventive, les forces de l’ordre prodiguent quelques conseils. À commencer par « cacher les sacs sous le siège passager » ou les placer « avec prudence, le long des jambes du conducteur ». Du bon sens, pour éviter le drame.

Source: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/02/27/01016-20100227ARTFIG00117-la-delicate-lutte-contre-les-vols-a-la-portiere-.php

Djamilla Bouhired: une fellagha aux frais de la princesse « France ». Honteux!

Eh oui. C’est ça la France…  Lamentable!

FDF

Harcelé au lycée, il est obligé de retourner… au collège!

La connerie a des limites…

FDF

28/02/2010

Un élève de seconde du Val-de-Marne, qui voulait changer de lycée après avoir subi des violences régulières, s’est retrouvé rétrogradé par l’académie en classe de troisième.

Retour à la case collège! Un lycéen de seconde dans le Val-de-Marne, qui avait demandé à changer d’établissement après avoir subi des violences répétées sur le chemin du lycée, s’est vu affecter par l’académie dans un collège, en classe de troisième.

A la fin du collège, brevet en poche après une scolarité sans accroc, Florent*, 15 ans, demande à entrer en seconde technologique et choisit la filière climatisation. Le jeune habitant de Villeneuve-le-Roi est affecté au lycée professionnel Maximilien-Perret d’Alfortville. Mais à la rentrée de septembre, les choses se gâtent. Florent est régulièrement pris à partie à la sortie du lycée, victime de menaces et d’injures. De guerre lasse, il finit par déposer une main courante au commissariat, avant de demander un changement d’établissement. Fin décembre, il reçoit de la part de l’académie du Val-de-Marne une notification d’affectation… en classe de troisième ! Depuis la rentrée de janvier, Florent se retrouve donc à nouveau sur les bancs du collège.

«Il est révolté par cette décision, qui l’empêche de mener à bien sa scolarité, alors que c’est un élève sérieux qui avait un projet», décrit l’avocat de la famille, Me Romain Sabon, qui réclame une réaffectation en seconde et des moyens supplémentaires pour que le jeune homme puisse terminer l’année scolaire dans de bonnes conditions. «Il faut qu’il retourne à la place qui est la sienne, en seconde, mais il faut aussi faire en sorte qu’il ne la redouble pas», insiste l’avocat, qui réclame une solution «inspirée et créative».

«C’est une opération qui a raté»

Du côté de l’académie, on reconnaît l’erreur. «C’est une opération qui a raté», avoue d’emblée Didier Jouault, inspecteur d’académie du Val-de-Marne, joint par lefigaro.fr. «En principe, on n’accepte jamais les demandes de changement de lycée en cours d’année, pour éviter les caprices, explique-t-il. Mais dans cette situation, nous avions donné notre accord». Cette situation, c’est une petite guerre de bandes qui crée depuis quelques mois un sentiment d’insécurité à Alfortville, dans le nord du département. «Il s’agit de groupes de jeunes qui traînent» précise Didier Jouault, et qui s’en prennent notamment aux jeunes d’autres villes comme Florent. «Nous avions dans ces conditions accepté la demande du jeune Florent mais une erreur a été faite par un de nos fonctionnaires, qui n’aurait pas dû avoir lieu». La famille, désemparée, ayant tardé à réagir, la situation s’est prolongée durant deux mois.

«Nous allons rencontrer ce jeune, avec sa famille, en début de semaine prochaine afin de trouver une solution», promet l’inspecteur d’académie, qui assure que Florent pourra réintégrer une seconde dès la rentrée de mars. «On verra alors avec le proviseur de son lycée comment on peut l’aider, pour qu’il ne se retrouve pas en difficulté scolaire à cause d’une erreur de l’administration», ajoute-t-il. Reste pour Florent à se trouver un autre projet d’avenir, puisque la seule filière climatisation de son département est celle d’Alfortville.

* le prénom a été modifié

Source: lefigaro.fr

Propaganda pour le financement de la mosquée de Tours…

Décidément, rien ne les arrêtera. Quoique…

FDF

28 fév 2010

Mosquée de Tours : un spot de pub pour collecter des dons

Vidéo
(Lu sur: al-kanz.org): « C’est une première qui nous ravit. Une association musulmane, responsable de la construction de la mosquée de Tours, a décidé d’utiliser Internet pour doper sa récolte de dons. Non pas simplement en mettant en ligne un site Internet, mais en réalisant un spot de pub, assez bien ficelé. Seul hic et non des moindres, le spot qui s’adresse aux musulmans de France est… en langue arabe.

A contrario, le film qui présente la maquette de la mosquée est moins réjouissant. On constate une fois encore que c’est la course à la superficie. Partout en France, les associations musulmanes se lancent dans des projets énormes, coûtant plusieurs millions d’euros. Souvent soutenus par les élus locaux – les maires veulent leur mosquée-cathédrale -, ces futurs édifices répondent très souvent à une nécessité ; ce qui n’est pas le cas de leur gigantisme. Aujourd’hui, si en France on construit des mosquées coûtant 4, 5, 6 millions d’euros, c’est à cause du système aussi ubuesque que scandaleux qui fonde le CFCM : plus un courant (UOIF, Mosquée de Paris, etc.) aura sous sa tutelle des mosquées dont la superficie est importante, plus il sera représenté au sein du CFCM. La démocratie, qu’on aime tant évoquer pour fustiger les musulmans, ne doit pas leur être appliquée. Pour eux la seule équation qui vaille, c’est tant de m² valent tant de délégués habilités à voter lors des élections qui désignent les représentants qui siègeront au CFCM. D’où la course folle de toutes ces associations qui ont un tel projet : tout le monde veut une grande mosquée. Sous la bénédiction et les pressions de l’État français.

C’est ainsi que des responsables d’association, trop peu armés pour gérer ce genre de projets, se retrouvent rapidement submergés ; ce qui explique que construire une mosquée en France prenne plusieurs années. L’abnégation des fidèles qui arpentent inlassablement les allées des marchés pour récolter quelques pièces auprès des particuliers ne suffit en effet pas à couvrir les millions d’euros nécessaires à la construction de ces mosquées-cathédrales. »

Si le sujet vous intéresse, nous vous conseillons vivement la lecture de l’article suivant : Nicolas Sarkozy rappelle à l’ordre la Grande Mosquée de Paris

Les islamistes veulent commencer à envahir la Pologne !

C’est pas vrai! « ILS » suivent les traces pas par pas d’un certain dictateur nazi… Nous revoilà 70 ans en arrière…

FDF

Lire: http://www.swietapolska.com/news/swpolska3299.html

Mosquée de Drancy: des « piliers » bien fragiles…

Comment pourrait ‘il en être autrement pour un peuple qui ne prône que l’amour, la paix et la tolérance…

FDF

Les tensions restent fortes autour de la mosquée de Drancy

27.02.10

L’imam de Drancy, Hassen Chalghoumi, est en vacances en Tunisie (FDF: il se planque, plutôt…), mais son « cas » agite toujours les milieux musulmans de Seine-Saint-Denis et embarrasse les pouvoirs publics. Vendredi 26 février, comme toutes les fins de semaine depuis près d’un mois, un groupuscule antisioniste, le collectif Cheikh Yassine (du nom du responsable du Hamas tué par l’armée israélienne à Gaza en 2004) est venu demander à la mosquée le départ de l’imam.

La semaine précédente, ces mêmes militants avaient pénétré dans le lieu de culte, contre l’avis de certains fidèles ; l’imam avait déposé plainte pour troubles à l’ordre public et menaces de mort. Le maire (Nouveau Centre) Jean-Christophe Lagarde s’étonne que ces manifestations à répétition puissent se tenir sans intervention des forces de l’ordre.

Un mois après les déclarations de M. Chalghoumi en faveur d’une loi contre le port du voile intégral, la situation à la mosquée de Drancy demeure tendue et confuse. Ses prises de position, venant après des propos peu appréciés par les musulmans sur les « débordements » liés aux manifestations contre l’offensive israélienne à Gaza en janvier 2009, ont provoqué la désapprobation de nombre de musulmans, exaspérés par le débat sur la burqa vécu comme « une stigmatisation ».

Elles ont surtout jeté la lumière sur cet homme atypique. Placé par le maire à la tête de l’association qui gère la mosquée, il se revendique en marge des institutions musulmanes et proche de la communauté juive. « Imam républicain » autoproclamé, M. Chalghoumi est devenu la cible privilégiée de ceux qui, à l’instar des militants du groupuscule Cheikh Yassine, refusent un « islam de France » et condamnent ceux qui « épousent la cause sioniste ». En se prononçant sur le voile intégral, M. Chalghoumi s’est aussi mis à dos les salafistes, qui défendent cette tenue.

« Silence »

Aujourd’hui, certains de ses fidèles lui reprochent d’avoir « trop parlé » sur des sujets sensibles et d’avoir mis la mosquée de Drancy au centre des tensions. « Ils ne demandent pas forcément son départ mais son silence », soulignent des observateurs. « Il ne faut plus qu’il s’exprime seul, car il n’est pas seul à défendre ses positions », estime un de ses soutiens. « Le problème, c’est que maintenant, ses proches aussi rencontrent des difficultés dans leurs mosquées », constate Mohammed Henniche, président de l’Union des associations musulmanes du département (UAM 93), impliqué dans les discussions en cours pour trouver une « sortie par le haut » à cette situation. Une mise à l’écart de M. Chalghoumi signerait la victoire des plus radicaux.

Dans ce contexte, la publication du livre que M. Chalghoumi devait publier en mars aux éditions du Cherche-Midi est reportée « de plusieurs mois ». « Le manuscrit n’est pas prêt « , affirme son éditeur. D’autres jugent que l’ouvrage annoncé comme « critique » sur l’organisation de l’islam en France n’aurait pas contribué à apaiser les esprits.

Source: lemonde.fr

Quick: nostalgie…

Je vous parle d’un temps que les Quick halal ne peuvent pas connaître…

28 Février 2010

Jérôme Leroy, de Causeur.fr, a eu la chance de connaître le Quick de Roubaix à l’époque où il servait encore du bacon à des lycéens plus préoccupés par leur avenir que par leur passé. Comme quoi les madeleines peuvent ressembler à des cheeseburgers.

«J’avais une ferme en Afrique», comme le dit magnifiquement Meryl Streep incarnant Karen Blixen dans l’inoubliable Out of Africa.

De manière beaucoup moins glamour, j’en conviens, moi, j’avais un Quick à Roubaix. Il se trouve que cet établissement de restauration rapide qui est surtout par les temps qui courent entrain de restaurer rapidement le communautarisme, je l’ai très bien connu. Le collège où j’enseignais était à deux encablures et je n’ai jamais supporté les cantines des établissements scolaires. Ce n’est pas souvent bon, on a l’air, même dans le Nord, d’un criminel de guerre si on veut accompagner sa saucisse lentilles avec une bière et surtout, surtout, il faut déjeuner avec des profs. Faire cours à des élèves, même difficiles, je voulais bien, j’y trouvais même un certain bonheur mais devoir partager une crème caramel avec les mutants vingtenaires sortis des IUFM, il y a des limites à ce qu’un homme peut endurer.
J’allais donc au Quick, à ce Quick-là, précisément, disons une ou deux fois par mois quand les collègues avec qui je m’entendais bien (il y en avait tout de même quelques-uns qui appartenaient encore à une génération non-implantée) n’avaient pas cours et n’étaient pas disponibles pour un sandwich-rillettes et une Chimay rouge dans un des bistrots de la Grand’ Place.

Lire la suite sur Causeur.fr.