Francaisdefrance's Blog

19/02/2010

Burqa: en France, nous sommes vraiment des c… !

Ce n’est pas une histoire Belge, mais, nous pourrions nous en inspirer.

En Belgique et au Luxembourg, c’est tout simple : pas de ségrégation religieuse, mais une simple loi sur la sécurité afin que les personnes, mal intentionnées, ne déjouent pas les caméras de surveillance :

Voici le texte de loi belge voté en 2005:

« Hors le temps du carnaval, nul ne peut se montrer masqué ou travesti dans les rues. Sans autorisation de l’autorité compétente, il est interdit sur le domaine public de se dissimuler le visage par des grimages, le port d’un masque ou tout autre moyen, à l’exception du « temps du carnaval« . (*)

En France

on va créer des commissions, on va discuter (droits de l’Homme, SOS racisme, CRIF écolos, socialos en manque de programme électoral, les petits enfants de SOS Racisme (si si, ça existe…) pour finalement aboutir à l’autoriser, sans l’autoriser, tout en l’acceptant sous certaines conditions, pour ne pas froisser nos chers « envahisseurs » au cas où ils se mettraient en colère…… mais on le dit avec beaucoup de gesticulations


Et on se moque des Belges……
Mais ils sont moins cons…  que nous !!!!!
(*)

«  Chez nous », en France, c’est carnaval toute l’année

La Turquie est en Europe !!!

EADS et sept pays européens s’accordent enfin sur le partage du surcoût de l’A400M

LE MONDE | 17.02.10

Accord en vue. Après plusieurs semaines de négociations intensives, les sept pays clients de l’A400M (Allemagne, France, Royaume-Uni, Espagne, Turquie, Belgique et Luxembourg) et EADS, maison mère d’Airbus, ont trouvé un terrain d’entente pour prendre en charge le surcoût de cet avion de transport militaire. Le dérapage de 5,2 milliards d’euros sera réparti entre les Etats, 3,5 milliards, et EADS, 1,7 milliard, qui s’ajouteront aux 2,4milliards d’euros déjà provisionnés par le groupe franco-allemand.

Cette sortie de crise était saluée, mercredi 17 février, en Bourse, où le titre EADS s’appréciait de 5,11 % à 14,50 euros à l’ouverture.

S’il reste des modalités à régler pour une annonce attendue le 24 février, date du sommet des ministres de la défense de l’Union européenne (UE), ou peut-être avant, l’essentiel est sauvé : le plus important programme militaire européen ira à son terme. Sans doute faudra-t-il tirer les leçons de ce projet qui, au nom de l’indépendance européenne, a failli se transformer en fiasco.

Quand, en 2003, les sept pays décident d’acheter 180 Airbus A400M, cet appareil n’existe pas encore, contrairement à ses concurrents américains. Ce n’est qu’un avion de papier doté de technologies très sophistiquées. Il s’annonce moins cher que le C130J Hercules de Lockheed ou le C17 de Boeing. Pour emporter le marché, Airbus propose un prix fixe de 20 milliards d’euros.

SAVOIR STRATÉGIQUE

A la demande des clients, l’avionneur renonce à acheter un moteur nord-américain pour s’équiper d’un turbopropulseur européen à concevoir à partir de zéro.

L’objectif est de se réapproprier un savoir stratégique. Pour être en phase avec les besoins des pays, notamment la France – qui veut remplacer sa flotte de Transall à bout de souffle –, l’avionneur promet de livrer le premier modèle six ans et demi plus tard, en 2009. Ce délai est très court car il faut généralement dix à quinze ans pour concevoir un avion militaire.

De fait, l’A400M a pris du retard, les premières livraisons étant décalées à 2013. Si chacun se rejette la faute, les responsabilités de ces retards sont imputables aux clients comme à l’industriel.

Tout d’abord, le défaut des programmes européens est de répartir la charge de travail dans les pays en fonction de la valeur de la commande de chacun. A cette contrainte de la règle « du retour géographique », la Cour des comptes, dans son rapport publié le 9 février, dénonce l’« effet pervers » que produit le souci de certains pays de voir leur industrie progresser. Cela les conduit « paradoxalement à se porter candidats pour des travaux dans des secteurs pour lesquels leur compétence est à développer ». Ce fut le cas pour la motorisation.

Les critiques sont également vives à l’encontre d’EADS, plus préoccupé alors par les déboires de l’A380. « L’industriel a sous-estimé les difficultés techniques du programme », rappelait le 8 février le délégué général de l’armement Laurent Collet-Billon. Le groupe a réagi dès 2009 en rattachant à Airbus sa division militaire jusque-là indépendante et gérée par les Espagnols.

DÉFI

Reste maintenant le plus dur, pour l’avionneur : garantir la fabrication et ne plus se permettre le moindre retard. C’est un vrai défi, car ce programme s’ajoute à deux autres très stratégiques : le premier est d’achever de remettre sur les rails l’A380; le second est de lancer la fabrication du futur modèle long-courrier A350XWB, dont la mise en service est attendue pour 2013.

Sans parler des travaux pour faire évoluer l’avion phare du groupe, l’A320. Tout cela requiert énormément d’ingénieurs et la crainte est de ne pas en avoir assez à affecter à tous ces programmes.

D’où les menaces répétées de Tom Enders, patron d’Airbus, au cours des négociations sur l’avion de transport militaire d’arrêter l’A400 M pour se consacrer pleinement aux activités civiles.

Ces propos ont été vite tempérés par son patron, Louis Gallois. Pour le président exécutif d’EADS, il est exclu de renoncer, car avec l’A400M se joue toute la capacité d’EADS à développer une activité militaire. Et, au-delà, celle de l’Europe à se doter d’une industrie de défense.

Source: http://tinyurl.com/yfoan9j

La mairie de Paris partenaire du « premier gratuit musulman »?

18.02.2010

Salam News se définit comme le « 1er gratuit des cultures musulmanes ». Diffusé à plus de 100 000 exemplaires dans les principales villes de France, « grâce à un réseau exclusif de plus de 800 points de distribution », il a déjà publié 12 numéros.

Côté éditorial, trouve des entretiens avec des « people » musulmans ( Ribery, Yasid Sabeg,Yamina Benguigui…) et un dossier dans chaque numéro sur une mosquée française, fusse-t-elle radicale comme celle de Tareq Oubrou à Bordeaux.

Côté partenaires , on retrouve les incontournables de l’alimentaire halal comme Casino, Panzani, des entreprises communautaires comme Mobi-Sud, le n° 1 du transfert d’argent vers le bled Money-Gram…et la Mairie de Paris !

Quelle est la nature de ce partenariat, financier comme pour Casino ? Pourquoi la mairie ne soutient pas également le premier gratuit catholique L’1visible?

Discrimination positive? Qu’en pense la Halde ?


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Les minarets? Un véritable danger…

Filed under: coran,intégrisme,islam,minarets,mosquée,musulmans,stigmatisation — francaisdefrance @ 22:24
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Un minaret s’effondre au Maroc faisant au moins deux morts!

Un minaret vieux de quatre siècles s’est effondré à Meknès, au Maroc, tuant deux personnes et blessant plus de 40 fidèles, ont rapporté des témoins et des sources médicales. Lire la suite l’article

Selon un témoin, quelque 80 personnes se trouveraient toujours sous les décombres.

« Nous avons reçu deux morts et de nombreuses personnes blessées ont été hospitalisées », a dit une porte-parole de l’hôpital Mohammed V de Meknès, à 140 km au sud-ouest de Rabat, où le minaret de la mosquée Lalla Khenata s’est effondré.

Deux responsables de l’hôpital de la ville ont indiqué que le nombre de blessés dépassait 40.

Selon l’agence officielle Map, une personne a été tuée et on dénombre une trentaine de blessés.

Quelque 300 fidèles étaient réunis dans la mosquée pour les prières du vendredi après-midi. Alors que l’imam était sur le point d’entamer son prêche, le minaret s’est effondré, a raconté par téléphone à Reuters Khaled Rahmouni, un habitant du quartier de Bal el Bardiyine, où se trouve la mosquée.

Quelque 80 fidèles se trouvent toujours sous les décombres et les sauveteurs, aidés par des soldats, travaillent d’arrache pied pour les dégager, a ajouté Rahmouni.


vu sur http://fr.news.yahoo.com/4/20100219/twl-maroc-minaret-bd5ae06.html

Super Pédago prend la vie du bon côté…

Pas mal…

FDF


19 février 2010

Toute ressemblance avec Philippe Meirieu serait purement fortuite.

Solution à la violence à l’école

17 février 2010

Pour SOS Éducation, il faut avant tout restaurer l’autorité des professeurs.

Tous les portiques et caméras de surveillance ne suffiront pas à rétablir le calme dans les établissements scolaires.

Selon les analyses des experts de SOS Éducation, si les enfants ou jeunes adultes en arrivent aux mains ou aux couteaux au sein même de l’école, c’est parce qu’on a laissé s’installer l’indiscipline, la violence verbale, la violence physique, dans la plupart des établissements, qui ne peuvent que dégénérer sur des violences graves.

Pour remettre des limites dans les écoles, il faut restaurer l’autorité et le prestige des professeurs, qui n’ont aujourd’hui plus les moyens de se faire respecter, et de protéger les élèves de la violence des autres.

« La situation est si grave, l’autorité des professeurs a été à ce point sapée, qu’ils sont eux-mêmes victimes, de plus en plus souvent, de violences », explique Aldric Boulangé, porte-parole de SOS Éducation. « Tant que leur autorité n’aura pas été restaurée, il est illusoire d’espérer que les élèves retrouvent la sécurité ».

Dernier appel de SOS Éducation lancé à Luc Chatel : 28 septembre 2009, Monsieur le Ministre, d’autres solutions à la violence existent.

SOS Éducation regroupe des parents et des professeurs qui travaillent ensemble pour défendre l’école.

L’islam a déjà gagné? Pas sûr…

Il faut être plusieurs à combattre pour savoir lequel à gagné…

FDF

vendredi 19 février 2010


On va encore me dire que j’exagère, que je suis excessif, et que tout ce qui est excessif est insignifiant. Ceux qui disent cela sont généralement les plus tièdes, que Dieu vômit comme il est bon de le rappeler. Oui, je l’affirme aujourd’hui 19 février 2010, l’islam a déjà gagné la partie, en France en tout cas. Pourquoi ?
C’est simple : on ne parle déjà plus que de lui. Aujourd’hui c’est la polémique sur le quick halal. Hier c’était la burqa, avant-hier les caricatures ou l’affaire Redeker. Oh certes, on pourrait se réjouir que le débat sur l’islam ne soit pas interdit, mais en réalité ce n’est pas de cela dont il s’agit. Il s’agit de l’envahissement de l’espace public par une religion qui est aussi idéologie politique, puisqu’en 1400 ans d’existence, l’islam n’a toujours pas fait son aggiornamento laïc.
On voit bien comment l’espace public, qui était envahi de Shoah, d’antisémitisme et de judaïsme est désormais envahi d’islam, de Mahomet et de Coran. Voilà pourquoi, principalement, je critiquais la judéomanie en 2006, et je critique l’islamomanie aujourd’hui. Il faut être à la page, et ne pas s’enfermer dans une idéologie, quelle qu’elle soit. Il faut ancrer son analyse dans le réel, qui est le seul indicateur du chemin à suivre. Or le réel a changé rapidement, en 2 ans à peine, et l’islam a pris la première place des sujets débattus dans le pays, et je vous l’annonce la gorge serrée, il ne la lâchera plus avant des centaines d’années. A moins d’un sursaut national qui paraît encore bien improbable, mais restons optimiste.
Alors évidemment, on pourra m’adresser exactement le même reproche : tu ne parles que d’islam ! Mais d’une part c’est exagéré, l’islam ne représentant même pas un tiers des sujets abordés sur ce blog. Et d’autre part comment ne pas parler de ce tsunami qui déferle, et qui emporte tout sur son passage ? Les musulmans eux-mêmes sont pris en otage par cette déferlante : le climat de suspicion généralisée les enferme dans une identité qu’ils ne réclament pas pour la plupart, ce qui entraîne un repli communautaire, ce qui entraîne une suspicion généralisée envers les musulmans qui ne s’intègrent pas aussi bien que les autres. Cercle vicieux imparable.
Comment le casser, et éviter ainsi la guerre civile qui vient ? C’est simple. Comme je l’explique dans mon interview par Génération FA8, l’Etat doit de manière urgente organiser un grand sanhédrin pour l’islam, et être ferme envers nos principes et nos valeurs afin que les représentants de l’islam en France les accepte. Dès lors, il n’y aura que deux situations.
La première, le happy end, l’islam s’intègre dans la France éternelle, les musulmans avec lui, la suspicion disparaît et on construit ensemble une société commune, une et indivisible.
La seconde, les représentants musulmans refusent de faire l’aggiornamento laïc de leur religion politique, et là encore deux solutions émergent.
La première, l’islam devient officiellement une secte, au même titre que la scientologie, la théosophie ou le Mandarom. Les musulmans pratiquent chez eux, un moratoire interdit de construire de nouvelles mosquées, et les sommes données par l’Etat au culte musulman doivent être rendu à l’Etat. L’immigration musulmane doit être stoppée, et les musulmans pratiquant font l’objet d’une vigilance particulière des autorités, et renvoyés dans leur pays d’origine au premier crime ou délit commis sur le territoire national. Le terrorisme musulman risque de se développer à vitesse grand V, de même que la guerre civile.
La seconde, la plus acceptable à mon sens, est de proposer aux musulmans de faire un choix entre l’apostasie s’ils veulent rester en France, et le départ libre pour un pays musulman de leur choix s’ils veulent continuer de pratiquer librement leur religion politique.

La République française est ouverte à toutes les races, toutes les cultures, mais elle ne peut se permettre de garder en son sein une population dont la minorité agissante fait tout pour renverser la démocratie et instaurer la charia, et dont la majorité représente une justification électoraliste et politique pour laisser l’islam le plus rétrograde se développer dans notre pays. L’apostasie de l’islam permet de différencier les musulmans culturels, non pratiquants, qui n’auront aucun mal à apostasier, et les musulmans pratiquants, qui ne doivent pas être limités dans leur pratique de leur religion politique, mais hors de France. Notre pays n’est pas en mesure d’intégrer une religion politique qui compterait tant de fidèles, ce qui est en grande partie un fantasme de politicien en manque de voix.
Différencier les musulmans culturels des musulmans pratiquants est la meilleure manière d’éviter la guerre civile, qui est encore une fois la menace qui nous attend si nous continuons comme aujourd’hui. Les mesures nécessaires à prendre, et pour le grand sanhédrin, et pour la proposition du choix entre l’apostasie et le départ si le sanhédrin se passe mal, nécessitent un courage dont aucun homme ou femme politique actuellement aux responsabilités ne semblent pouvoir faire preuve. Ces mesures peuvent paraître dures ou brutales, en fait elles sont préventives d’un mal bien plus grave, car potentiellement déclencheur d’une 3è guerre mondiale. Tirons les leçons du passé : il fallait attaquer Hitler dès 1933. La politique est toujours le choix du moindre mal, ceux qui préfèrent apaiser les choses plutôt que d’agir pour éviter le pire sont les héritiers des Munichois. Gouverner, c’est prévoir, or nous avons la chance d’avoir toutes les cartes en main, pour une fois. »


Publié par Jean Robin sur: tatamis.blogspot.com

Tout-halal, pratiques commerciales et règles publiques: réactions des internautes…

HAMBURGERS - Tout-halal, pratiques commerciales et règles publiques

Dans huit villes françaises, la chaîne de restauration rapide Quick propose exclusivement des hamburgers halal © Cyril SOLLIER / MAXPPP

Dans huit de ses établissements, la chaîne de restauration rapide Quick a modifié la composition de ses menus pour proposer exclusivement de la viande halal. Une initiative qui n’a pas laissé nos internautes inertes.


Ce choix commercial est-il un « détail sans importance » érigé en « scandale » par les « paranoïaques de l’islamisation » ( Raph ) ? Ou bien est-ce un « petit pas » ( caram14 ) dans l’intrusion d’une « pratique religieuse dans la vie politique et dans la vie économique », avec pour horizon une « islamisation rampante de la société » ( hélène ) ?

Le tout-halal, un manquement aux usages, à la laïcité et à la morale

Nos internautes développent deux axes d’attaques, souvent assorties d’un quasi-appel au boycott de l’enseigne de restauration rapide.

Tout d’abord, une dénonciation du choix de Quick d' »imposer exclusivement ce genre de menu » ( minos ). « Quick aurait dû proposer des sandwichs halal en plus de sa carte habituelle, et non en exclusivité » ( Shaman ). Car les clients sont pris en « otages », « les non-musulmans sont soumis aux prescriptions religieuses » de l’islam, et « cela doit être combattu avec la dernière énergie » ( turgot ).

La seconde protestation prolonge la précédente : « Consommer halal, c’est payer l’impôt islamique, vu qu’une partie du prix payé est reversée à un organisme de certification halal : mosquées de Paris, Lyon ou Marseille. Consommer halal, c’est donc subventionner l’islam. C’est cela le problème » ( @007@). « Il est inacceptable que dans un pays laïque, l’ensemble des clients d’une chaîne de restauration soit assujetti à la redevance aux autorités religieuses » ( Abner de Sabatier ). Euphorbia , « élevée dans la religion musulmane », s’inquiète de « l’opacité de la gestion de cette taxe », et déplore la mise en place d’une « forme de communautarisme ».

La pratique commerciale semble ici enfreindre la morale : Quick, « sans scrupule pour se faire de l’argent » ( neydavout ), finit par « décider de la morale publique » et « ça ne va pas : le commercial ne doit pas dicter la règle publique » (Clair).

Manger halal, serait-ce incorporer en soi un peu d’islam ?

Des peurs par extrapolations ? écolo croit voir « le lent grignotage de notre pays et de ses coutumes par d’autres religions et d’autres cultures ». « Bientôt nous serons obligés de faire la prière… et de vivre à leur manière », ( gafete ). « Dans cent ans, nos femmes seront de nouveau en train de brosser les parquets, voilées, et enfermées » ( gotan ). « C’est quoi la prochaine étape : l’apprentissage du Coran à partir du CP ? » ( ali baba ). « Bientôt, plus de saucisson, plus de jambon, plus de pâté de foie ni pâté de campagne, plus de pieds panés, plus de saucisses, plus de choucroute ni cassoulet » ( crux ). « Et ma fille aura un joli voile dans son menu enfant » ( Iggy ). « Bientôt, je devrai continuer mon expatriation dans mon propre pays » ( Honest Iago ).

« Ne pas en faire une pendule à 13 coups » ( wikings61 )

Mais enfin, l’heure est-elle si grave ? « Ce restaurant n’a fait que s’adapter à la zone de chalandise » ( Busipo ), « Quick a ciblé une clientèle musulmane pour faire du chiffre, ils prennent aussi le risque de perdre les autres clients, c’est leur choix. La classe politique aime bien se noyer dans un verre d’eau » ( ptdnice ).

Les Quick qui servent une viande halal sont implantés « là où la population musulmane est majoritaire », « ça s’appelle le jeu de l’offre et la demande », ( quoidautre ). (Barnabé) justifie l’exclusivité halal par des commodités de gestion : « Pour un restaurant, c’est beaucoup plus simple de s’approvisionner auprès d’un seul fournisseur. » Donc « arrêtons un peu les débats improductifs » ( samirlaine ), « il ne faut tout de même pas faire d’excès de zèle, ça concerne huit restau’ seulement » ( Freeway ).

De plus, les saveurs, pensent certains internautes, ne sont pas sensiblement modifiées par le mode d’abattage des animaux : « On ne vous dirait pas que c’est du halal, vous ne le sauriez même pas » ( steph ) ; et puis, les clients ne sont pas captifs : « On a toujours le choix d’aller ailleurs » ( Tartanpion ).

Dans cette optique, on ne voit aucune discrimination, juste une offre différenciée, à l’image de ce que proposent tous les autres commerces. L’affaire est ici perçue comme une « campagne anti-musulmans qui sent vraiment mauvais le populisme » ( alex54 ). Le débat rappelle à alien la guerre que se livrent, dans Les Voyages de Gulliver , « deux peuples voisins opposés sur la méthode de dégustation des oeufs ».

Pourquoi maintenant ?

Mais au fait, pourquoi une décision commerciale, qui remonte au 30 novembre 2009, a-t-elle une telle résonance aujourd’hui, quand tant de restaurants, de supermarchés, de boutiques proposent, et depuis longtemps, viandes halal ou kascher sans troubler leur clientèle ?
« Quelle est la valeur supérieure… religieuse, philosophique, sanitaire, morale, économique, sociale, intellectuelle, festive, ou autre, d’un aliment halal… pour qu’on s’y précipite ou qu’on le fuie ? », écrit, un peu provocateur, pensiero .

Enjeu politique ?

« Pourquoi maintenant ? Une seule réponse : 14 et 21 mars 2010 [date des élections régionales] » ( Elisa ). Les explications cheminent : « Quick a été racheté par l’État français. Le capital de la société est détenu majoritairement par CDC Capital Investissement, elle-même filiale de la Caisse des dépôts et consignations, donc par l’État français. Donc à quelques mois des élections… », écrit (le moms ), qui appelle à ne pas « se laisser dominer par les émotions, car les informations popularisées ne sont pas le fruit du hasard ». L’allusion transparaît : la décision commerciale pourrait avoir été encouragée par des politiques qui « tenteraient d’en faire faire une affaire d’État et une pseudopreuve de l’islamisation de la société » (Pit’).

Fatalité des faiblesses humaines ?

« Décidément, l’humain ne peut pas rester tranquille. Il lui faut éternellement des boucs émissaires » ( Nicole ).

Pour réfléchir plus en profondeur, denis.w.cousin conseille la lecture de Melnitz , de Charles Lewinsky.
Le roman « retrace le destin, depuis la fin du XIXe siècle, jusqu’au seuil de la Seconde Guerre mondiale, d’une famille juive vivant à Endingen, en Argovie, l’une des seules communes helvétiques où les juifs étaient autorisés à résider. Lewinsky mentionne la campagne, en 1893, autour de l’initiative populaire qui prévoyait d’interdire l’abattage rituel des animaux, lancée par la Société de protection des animaux et des mouvements antisémites. La population accepte à 60 % des voix le projet que refuse le Parlement. Le livre raconte le racisme poli, suivi de la haine qui, soudain, explose, les débats qui commencent par « je suis un ami des juifs » et qui finissent par « il faut leur donner un avertissement ». La conclusion : « Nous allons changer nos lois pour que vous n’ayez d’autre choix que de ne pas les respecter. »


FDF: Bien dit!


Source: l’équipe de modération de lepoint.fr

Après les « nique ta mère », voici les « nique la France ». Et vive la mixité !

« Nique la France », une chanson haineuse, qui prépare la guerre civile…


vendredi 19 février 2010

Dans la rhétorique anti-française, un grand pas supplémentaire vient d’être franchi par le clip rap de trois individus ayant pris pour nom : « Zone d’expression populaire ». Les premières notes révèlent un mélange de musette et de rap : mixité des musiques ; sur la scène commencent à s’activer les trois chanteurs, le dénommé Saïdou Dias du groupe « Ministère des affaires populaires » et deux seniors qui se font appeler Busta Robert et MC Jean-Pierre : mixité des cultures et mixité des générations.

Tout cela semble sympathiquement de bon augure. On déchante vite avec le refrain, entonné d’emblée : « Nique la France et son passé colonialiste, ses odeurs, ses relents, et ses réflexes paternalistes. Nique la France et son histoire impérialiste, ses murs, ses remparts, et ses délires capitalistes ». « Nique la France », c’est le titre de cette charmante bluette, accessible sur Dailymotion depuis fin janvier.

http://www.dailymotion.com/video/xbz3sp_nique-la-france-le-clip_music

Après le refrain, avec le rythme des mélopées propres au rap, les couplets vont se succéder, dans la même veine, par exemple : « tu découvres que tu vis chez les gros cons, les rastos (racistes), qui n’ont jamais enlevé leur costume de colon » ou bien, avec tout autant de délicatesse : « c’que j’en pense de leur identité nationale, de leur Marianne, de leur drapeau, et de leur hymne à deux balles, j’vais pas t’faire un dessin, ça risque d’être indécent, de voir comment j’me torche avec leurs symboles écœurants ».

La France en prend pour son grade. Sont visés « les nazillons » et les « bidochons décomplexés », mais aussi le Français moyen, ce « petit bourgeois, démocrate, républicain, [dont le] pays est puant et raciste et assassin » : rien que ça… Les assauts anti-français vont de pair avec un anti-intellectualisme digne de l’extrême droite la plus rétrograde. Cela donne : « et y’a des intellos, des p’tits fachos à lunettes, des têtes à claques », le couplet se poursuivant par une très élégante attaque ad hominem : « comme la connasse de Fourest, qui propage et alimente la haine du musulman et du banlieusard avec leurs discours stigmatisants ».

Je n’ai donné là que quelques morceaux choisis. Le reste est du même tonneau. L’ensemble est abject et l’on est sidéré qu’une telle abjection ait pu être mise en chanson et largement diffusée, sans jusqu’à présent susciter grande réaction. Evidemment, en visionnant cette chose, on commence par jouer au jeu de la transposition et on se demande s’il serait possible d’entendre l’équivalent avec un autre pays : « Nique l’Algérie… » ou une religion : « Nique l’islam, et son histoire expansionniste, ses odeurs, ses relents, et ses réflexes terroristes ».

Mais rapidement l’on se rassure. La crainte d’une condamnation, par fatwa et par l’action de nos vigilants MRAP, Ligue des Droits de l’Homme et tutti quanti, dissuaderait vite le plus téméraire des contempteurs ; étant entendu que la vigilance de nos associations s’avère bien sélective, celles-ci se complaisant dans un silence radio lorsqu’il s’agit de niquer la France…

Mais n’en restons pas à la réaction scandalisée. Les auteurs du brûlot n’en seraient que plus ravis. L’analyse du contenu et de la mise en scène est bien plus intéressante.

Arrêtons-nous d’abord sur l’intention première qui a donné le titre du morceau : « Nique la France ». Dans le travail de légitimation des comportements anti-français de plus en plus fréquents (Marseillaise sifflée, drapeaux tricolores incendiés, jeunes agressés parce que Français « blancs »…), cette chanson arrive à point nommé. Mais non, semble nous dire le truculent ZEP, les anti-français ne sont pas racistes, ils ne font que réagir au racisme de la France ; laquelle est durablement, ontologiquement pourrait-on dire, marquée par son passé colonial. Il nous faudrait comprendre que, à jamais, il y a des victimes – les anti-français de l’intérieur – et des racistes – les dits Français –, et quoi que puissent perpétrer les premiers, en incivisme, en violence, en destruction…, ils sont de toute façon les victimes, et quoi que puissent subir les autres, ils sont de toute façon les responsables.

Il y a là un bel exemple de cet essentialisme qui conduit au racisme le plus pur, mais ZEP n’en a cure. Pour le trio, il convient de montrer que « Nique la France » n’est pas une insulte regrettable de quelques jeunes déboussolés ; « Nique la France » est plus que cela, mieux que cela : c’est un vrai mot d’ordre, parfaitement légitime, et même à promouvoir. La mise en scène ensuite : un « beur » plutôt jeune ; deux « blancs » plutôt vieux (au moins sexagénaires en tout cas). La ficelle est grosse. Mais il est utile de la bien mettre en évidence. Le « Nique la France » ne serait pas l’apanage des jeunes issus de l’immigration africaine. Il s’est trouvé des Français « de souche », de l’ancienne génération qui plus est, pour partager ce même slogan.

Le « Nique la France » voudrait alors se faire passer pour une revendication politique et non la marque d’une hostilité inter-éthnique. On veut nous dire : qui est antiraciste, qui s’oppose à l’impérialisme et aux « délires capitalistes » ne peut qu’être contre la France. Comme si justement le racisme, l’impérialisme, et le capitalisme s’incarnaient totalement, ontologiquement ai-je encore envie de dire, dans ce pays qu’est la France. Que l’argument soit énoncé par des Français « de souche » n’en renforce pas la valeur. S’il est stupide dans la bouche d’un beur, il l’est tout autant exprimé par quiconque.

Quand on les voit se trémousser nos deux retraités gauchistes, MC Jean-Pierre avec son survêtement vert couleur Algérie, eux au premier plan, le jeune Saïd à l’arrière, ricanant, manipulateur ( ?), on ne peut s’empêcher de se demander – avec une certaine compassion, je dois dire – comment deux hommes de cet âge, formés, on l’imagine, à l’école de la République, peuvent en arriver à éructer de pareilles vilénies. D’autant que – mais s’en sont-ils vraiment rendu compte ? –, le parolier leur fait parfois employer un « nous » auto-culpabilisateur. L’un des deux dit ainsi : « le racisme est dans nos souvenirs (…) il est dans nos mémoires ; impossible de s’en défaire ». Tel le pécheur s’auto-flagellant, le vieux papy qui s’est persuadé de son racisme, tente misérablement de se racheter en maltraitant la souche d’où il provient.

Mais un autre registre est également mobilisé pour les besoins de la cause anti-française. Face aux diverses forfaitures de notre pays, la principale étant bien sûr un racisme congénital, le devoir s’impose. La chanson nous en précise les termes : « c’est mon devoir d’insolence, mon devoir d’irrévérence, mon devoir d’impolitesse, mon devoir de résistance ». Le mot est lâché : résistance. Dans une France glauque, nauséabonde, livrée… aux Français, heureusement s’est constituée une résistance. Tels les résistants qui firent face à la barbarie nazie, de nouveaux résistants, anti-racistes cette fois, se sont levés. ZEP aime jouer avec les paradoxes : quand l’ancien résistant résistait à l’occupant, le nouveau s’oppose au national. L’inversion est scélérate, mais l’on n’a que trop compris le but de la manœuvre : conforter les niqueurs de France et troubler un peu plus leurs victimes.

Autre ficelle utilisée : des cibles à géométrie variable. Comme le parolier, on restera volontiers sur ses gardes quand « les nazillons sont lâchés ». Le combat contre le racisme est un noble combat et l’on veut y prendre part. Mais bientôt ce ne sont plus les seuls racistes français qui sont visés, ce sont les Français tout court, quasiment dans leur ensemble – sauf bien sûr les fameux « résistants » – : peu à peu, en effet, sont mis sur la sellette : le « petit socialiste hypocrite » et « manipulateur », les « démocrates, républicains », et évidemment l’ensemble des « beaufs » et « bidochons » que semblent être majoritairement les Français.

Pour amplifier cet effet déstabilisant, la chanson fait varier les pronoms personnels : la 3e personne du pluriel d’abord, par exemple sous-jacente aux« bidochons décomplexés », puis un « tu » pris à partie : « ton pays est puant et raciste et assassin », sachant que ce « tu » est lui-même mis dans la peau d’un « petit-bourgeois démocrate ». Mais subrepticement c’est le « nous » qui finit par arriver : « le racisme est dans nos mémoires » : la parole est prononcé par l’un des deux seniors, je l’ai dit, et nous invite ainsi à un exercice collectif d’expiation. Les articles sont aussi importants : il n’est pas dit qu’autour de nous, il y a « des » gros cons, mais que l’on vit chez « les » gros cons. Le « des » permettrait de différencier selon la réalité des conduites ; le « l es » amalgame et accuse définitivement. Les individus malfaisants ne servent que d’appât : c’est bien l’ensemble de la population nationale que ZEP veut prendre dans sa nasse.

Et c’est bien cela qui est recherché : le bloc contre bloc. Les bons fils de l’immigration et leurs alliés antiracistes – des antiracistes qui en l’occurrence ont troqué l’universalisme de la valeur pour la défense inconditionnelle d’un camp – contre « la France » ; une France nécessairement mauvaise, pervertie par un passé puant, qui lui tient à la peau. Il y a de la déclaration de guerre dans cette chanson : une guerre avec ses combattants (ces brûleurs d’écoles et de drapeaux tricolores), ses idéologues bellicistes, ses héros et ses hérauts ; une guerre qu’ils diront peut-être aller dans le sens de l’Histoire, à moins qu’ils n’en fassent une « guerre sainte »…

Piqué à Riposte Laique

Pour JF Coppé: le burger halal de chez Quick est une réforme…

Nous voilà bien. L’affaire « Quick halal » tombe dans la série des réformes… C’est vraiment du « n’importe quoi »!

FDF

Copé juge «excessive» la polémique sur le burger halal

18/02/2010

Invité du « Talk Orange-Le Figaro », le président du groupe UMP plaide pour la poursuite des réformes:


Vidéo: http://tinyurl.com/yjmkk5e

Piqûre de rappel… Les Français de plus en plus hostiles aux mosquées.

Si les Suisses ne s’étaient préoccupés des minarets, la France les aurait probablement ignorés. Mais une fois le sujet lancé, l’opinion s’est enflammée. Quelque 46 % des Français interrogés par l’Ifop sont favorables à leur interdiction. Près de 40 % les acceptent et 14 % ne se prononcent pas. «Les Français sont partagés, note le responsable du sondage Jérôme Fourquet. Mais la crispation autour de l’islam n’a jamais été aussi forte.»

Addendum :
IFOP : IFOPas nous prendre que pour des imbéciles !Français contre les mosquées: 41% ? NON c’est 68%Source : http://www.lefigaro.fr/assets/pdf/Sondage-minaret.pdfVoilà ce qu’un institut de sondages rigoureux et qui ne cherche pas à égarer ses lecteurs aurait dû publier : 41% des Français ayant participé au sondage sont contre les mosquées. 40% ne se sont pas prononcés c’est à dire n’ont répondu ni par oui ni par non. Par conséquent un calcul d’arithmétique élémentaire indiquant que sur 100 personnes sondées 41 disent non à la mosquée sur 100-40 qui se sont prononcées donne les calculs suivants 41/(100-40) = 41/60 = 0,683…ce que l’on arrondit à 68/100 = 68% . Donc en fait plus de 68% des Français ayant exprimé une opinion en répondant oui ou non sont contre les mosquées. Autrement dit si ce sondage était traduit en langage de résultats électoraux le score serait 68% de Français sont contre les mosquées et 32% pour.On est loin des 41% annoncés. L’IFOP ne ment pas directement mais plutôt par omission. L’IFOP dissimule, truque, insinue…on est là très loin de la rigueur scientifique qu’on serait en droit d’attendre d’un institut de sondages.Tous les détails sur les embrouilles de l’IFOP à cette page : http://tinyurl.com/yl7kgzf ite sur lefigaro.fr

Sources : rebelles.info

Dhimmitude: L’UMP complice des Turcs pour le « plus beau minaret d’Europe » ?

« Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats. » (Erdogan, 1er ministre de la Turquie)




18/02/10
STRASBOURG

Hier dans la capitale alsacienne, un mystérieux Conseil de la jeunesse pluriculturelle (Cojep) a lancé un concours photographique « du plus beau minaret d’Europe » pour « témoigner de la présence pacifique et universelle de l’islam » sur le continent et lutter « contre les peurs et préjugés ». Niant « vouloir provoquer », le Cojep et ses associés, le British Council et l’Imcose (Initiative musulmane pour la cohésion sociale européenne), prétendent œuvrer pour une « meilleure cohésion sociale ».

Après enquête, il s’avère que ce Conseil de la jeunesse pluriculturelle est né en 1985 à Strasbourg sous le nom de… Jeunes Turcs. Comme le mouvement qui, réformateur au départ, se mua en structure racialiste et organisa, une fois parvenu au pouvoir, le génocide arménien ! Il est des références historiques étonnantes… De Jeunes Turcs (de Belfort), l’association contemporaine s’est muée, à la fin des années 1980, en Fédération nationale des associations omnisports des Jeunes Turcs de France, puis, en 1992, en Conseil de la jeunesse pluriculturelle de France (Cojep), transférant son siège à Strasbourg. Et depuis 2003 existe un Cojep International, dont le siège est lui aussi en Alsace.

Voilà qui donne un éclairage un peu moins « citoyen » aux déclarations de principe du Cojep – comme : « Ceux qui sont pour l’honneur des hommes doivent créer de nouvelles plateformes sans se soucier des différences de couleurs de croyances ou d’ethnies » –, et jette une ombre (celle des « mosquées casernes » et des « minarets baïonnettes » vantées par Recep Tayyip Erdogan (photo), le Premier ministre turc ?) sur l’explication donnée à ce concours de photos du « plus beau minaret d’Europe » par le Cojep, ex-Jeunes Turcs :

« Les mosquées ainsi que leurs minarets participent désormais à l’esthétique de nos paysages urbains. Elles sont le reflet de la présence musulmane dans nos villes et véhiculent un message commun de vivre ensemble, de paix et de respect en compagnie des autres confessions et convictions. Il est toutefois regrettable que, dernièrement, certains politiciens populistes et une partie des médias aient fait de la question des minarets une problématique destinée à restreindre les droits fondamentaux. Cette situation a débouché sur des attaques envers les minorités ethniques et religieuses et la propagation des crimes de haines visant les musulmans en Europe. Il est primordial que la présence pacifique et universelle de l’Islam soit visible et ses fidèles puissent être en mesure de pratiquer leur religion ouvertement comme c’est le cas pour les autres religions. »

Le lauréat du concours photographique, dont la photo sera publiée sur le site des Journées Européennes du Patrimoine qui se tiendront à Istanbul à l’automne 2010, sera choisi par un jury « multiconfessionnel, multiethnique et regroupant des membres de divers horizons ». Parmi les vingt-deux membres : un rabbin, une théologienne protestante suisse, un prêtre de l’Église anglicane et des représentants du Conseil de l’Europe. Savent-ils vraiment à qui ils ont affaire ?

Il y a quelques jours, l’organisation a lancé sa branche étudiante, le Cojep Univ. En présence du président du Cojep International, Ali Gedikoglu (ci-contre), de celui de l’Union des entrepreneurs franco-turcs (Uneft), de l’attaché d’éducation au consulat… turc et de Mevlut Cavusoglu, le président (turc) de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE)

A l’origine du concours photographique se trouve le responsable du Cojep pour le Grand-Est, un certain Kadir Guzle, âgé de 30 ans (ci-contre). Il est conseiller municipal d’Obernai, dans le Bas-Rhin, cité dotée d’une mosquée. Il a été élu sur la liste du maire, Bernard Fischer, membre de l’UMP.

Source: alsace.novopress.info

Rêves d’Orient. Reims: Le minaret sortira aux beaux jours…

Le minaret: signe de la domination islamique… Qu’approuvent nos élus. Amis Suisses, au secours!

FDF

18 février 2010

La construction du minaret a été bloquée à cause des intempéries.

La construction du minaret a été bloquée à cause des intempéries.

On en a beaucoup parlé au moment de la « votation » en Suisse « contre » les minarets. Et à l’époque, fin 2009, on l’attendait pour janvier 2010. Or, à ce jour, le minaret de la grande mosquée de Reims, érigée sous l’égide de l’Amcir, n’est toujours pas sorti de terre.
D’après le recteur Kotbi, pas de souci majeur. Simplement, la longue période hivernale que nous venons de traverser a « plombé » le calendrier d’un mois. Dès que les conditions de construction seront redevenues convenables, les travaux du minaret reprendront.
En revanche, à l’arrière du bâtiment, on peut apercevoir des « croissants » en béton. Il ne s’agit pas du symbole du monde musulman répété à l’infini pour le plaisir. Mais la forme a néanmoins été reprise pour constituer le support du futur dôme. Celui-ci sera soutenu par 12 pièces.
Pour mémoire, cette mosquée coûtera près de 5 M€, pour 3.754 m2 bâtis sur un terrain de 4.600 m2. Elle disposera d’un parking de 200 places dont la réalisation coûtera 340.000 €. Le financement est assuré en totalité par la communauté musulmane de l’Amcir, mais la Ville de Reims et le Conseil général de la Marne se sont portés garants pour les emprunts.
L’achèvement des travaux est attendu pour la fin 2010.


Source: lunion.presse.fr

« Ils » n’ont plus que ce mot à la bouche: « stigmatisation »…

Ca c’est fort! « Ils » NOUS  imposent LEUR façon de se nourrir et en plus, « ils » se sentent stigmatisés si on se révolte! On est chez nous, oui ou m…. !!!

FDF

Quick halal : l’islam stigmatisé (CFCM)

18/02/2010

Chems-Eddine Hafiz, vice-président du CFCM s’interroge sur la « stigmatisation récurrente de l’islam » à propos du débat suscité par l’ouverture de restaurants Quick exclusivement halal.

« La situation est très préoccupante », dit-il. « La communauté musulmane fait partie de la communauté nationale. Il faut aujourd’hui chercher à comprendre ce qui se passe: est-ce qu’il n’y a pas quelque part des hommes politiques qui sont en train d’utiliser cette stigmatisation récurrente de l’islam ? »

« Face à des échéances électorales, on s’aperçoit rapidement que dès que la question de l’islam se pose, il y a une certaine unanimité qui se fait qui est quelque part préoccupante », estime M. Hafiz. Il y a environ six millions de musulmans en France, même s’ils ne consomment pas tous halal « en tout état de cause, il y a un marché » (…) « à mon avis Quick va s’engouffrer dans cette brèche, et peut-être que d’autres comme Mc Donald et caetera le feront ».

De son côté le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, interrogé par l’AFP, estime que « la diversité de l’offre doit être respectée » mais qu' »il n’y a pas de mal à ce qu’une entreprise choisisse un créneau qui lui semble économiquement porteur ». « Il s’agit de liberté d’entreprise et d’évolution de la société, la définition de l’offre appartient à l’entreprise », ajoute-t-il en soulignant qu’à Roubaix, « la communauté musulmane est particulièrement importante ».

Source: lefigaro.fr

Courrier: le « ras le bol » d’un prof…

Reçu par mail… J’approuve entièrement les vérités énoncées par ce prof concernant l’origine de ce ras le bol: racaille, déchets de l’immigration, etc… Et encore, ce monsieur ne parle que des exactions commises par cette vermine dans le milieu scolaire…

Ca mérite attention.

FDF

« J’en ai par-dessus la tête de subir les jérémiades de mes collègues (hé oui!), de les entendre se lamenter du fond du trou qu’ils creusent eux-mêmes depuis Jules Ferry. Adolphe Chérioux à Vitry, Guillaume Apollinaire à Thiais, et tous les autres, passés et surtout à venir. Ils se mettent en grève et défilent «contre la violence» en se gardant bien de nommer les violents. Tout ce qu’ils savent faire, c’est exiger plus de surveillants. Ces momies intellectuelles sont incapables de voir que la solution ne réside pas dans le « plus » mais dans le moins: pas moins d’élèves mais moins de parasites, de déchets, de vermine. C’est-à-dire la déportation massive de toute la racaille immigrée hyper-criminogène (avec ou sans carte dite d’identité) qui nous insulte, nous agresse, nous viole, nous tue, nous déculture, nous appauvrit financièrement, intellectuellement et moralement, nous décivilise!Les agressions au cutter ou à la batte de baseball et les braquages quotidiens de bijouteries e tutti quanti, c’est la même chose, ce sont les mêmes hordes barbares qui ravagent l’Europe. Dehors, toute cette pourriture! Tous dehors! Ce qui, dans bien des cas, diminuera au moins de moitié les effectifs de nombre de nos établissements poubelles; et on se retrouvera entre nous, chez nous, dans la France française d’il y a cinquante ans où il faisait bon vivre, riches de nos ressemblances, et enfin libres de respirer, de dire ce qu‘on pense, comme les Russes savent le faire encore un peu aujourd’hui. Dans le JT de France 2, j’ai entendu une de ces zombies avec qui j’ai -hélas – passé trois décennies de ma vie à essayer de travailler. Elle a failli esquisser un début d’explication au saccage de notre école: « Nous accueillons toute une population qu’on n’accueillait pas avant… », mais s’est bien vite reprise pour ne pas être soupçonnée d‘ « incitation à la haine raciale », comme on dit : « … et c’est bien! Et c’est bien! » Mais alors, si c’est bien, qu’elle la ferme! Qu’ils la ferment tous! Et que ces jobards continuent à faire semblant d’enseigner à ceux qui ne font pas semblant de les insulter, de leur cracher dessus, de les poignarder en classe, voire chez eux. Et qu’ils ne s’étonnent pas si, d’aventure, ayant tenté de se défendre, ce sont eux qui sont placés en garde à vue… »

Luc-Jean Poldiléo

Rescapé des lycées antinationaux

62000 ARRABS

Immigration choisie: Faites comme je dis…

Pas peur, le préfet… Il va se retrouver vite fait muté… en Corse, par exemple…

FDF


Le préfet de police refusait de naturaliser l’aïeul de Nicolas Sarkozy!!!


18.02.10
Andrée et Nicolas Sarkozy visitent l'armée de soldats en terre cuite du mausolée de Xi'an, en Chine le 25 novembre 2007.
Andrée et Nicolas Sarkozy visitent l’armée de soldats en terre cuite du mausolée de Xi’an, en Chine le 25 novembre 2007./LUDOVIC-POOL/SIPA

 » En 1924, la politique d’immigration «choisie» a failli empêcher au grand-père maternel du Président de devenir français…

Un parallèle troublant. Alors que le gouvernement rend de plus en plus drastiques les procédures de renouvellement de documents de nationalité française et privilégie l’immigration choisie, Le Nouvel observateur révèle ce jeudi que le grand-père maternel de Nicolas Sarkozy, immigré provenant de la ville grecque de Salonique, a failli ne pas devenir Français.

Né en 1890, Aron Benedict Mallah est arrivé en France en 1905, et a servi comme médecin militaire pour la France lors de la Première Guerre mondiale. Il voulait devenir Français, et son dossier administratif de naturalisation retrouvé par l’hebdomadaire, et jamais publié jusqu’ici, comporte une lettre du préfet de police de Paris en 1924, ajournant sa demande.

Politique d’immigration «choisie»

«Bien que les renseignements recueillis sur M. Mallah ne soient pas défavorables, j’estime qu’en l’absence de titres sérieux à la faveur sollicitée, il convient d’ajourner l’examen de sa demande et celle de sa femme», écrivait alors le Préfet.

La femme de Benedict Mallah, Adèle Bouvier, était française à l’origine mais, à l’époque, on perdait cette nationalité en épousant un étranger. Le refus de la préfecture de police, non motivé, semble fondé par une préoccupation de l’époque, la volonté de choisir les immigrés suivant leur profession. Finalement, le couple a obtenu la nationalité française sur décision du ministère de la Justice. Nicolas Sarkozy n’a pas souhaité répondre aux questions du Nouvel observateur sur ses origines, dit le magazine. »

Source: 20minutes.fr

Le maire de Roubaix porte plainte contre Quick pour «discrimination».

18.02.10

Discrimination positive: en plein dedans! Les voilà qui cherchent à nous imposer leur « nourriture »? Remarquez, on peut boycotter les Quick halal; mais ça deviendra vite des repaires d’islamistes d’où ils pourront formater des plans anti-Occident en toute impunité, car ils y seront regroupés…
On va voir si la préférence non-nationale habituelle de la HALDE va encore se mettre en route…
FDF

L’édile a déjà saisi la Halde alors que la polémique ne finit pas d’enfler…


La dinde fumée de Quick ne passe vraiment pas. La mairie de Roubaix a déposé une plainte pour «discrimination» contre la chaîne de restauration rapide qui a remplacé dans certains de ses restaurants – dont un situé dans la ville voisine de Lille – le bacon par de la viande fumée dans le cadre d’une expérimentation visant la communauté musulmane.
«Je souhaite que Quick sorte par le haut de cette affaire. Je ne fais de procès d’intention à personne mais souhaite faire respecter une offre commerciale non discriminatoire. Je mets en avant une position de droit en disant oui à une offre halal mais non exclusive, a expliqué le maire de Roubaix René Vandierendonck à la Voix du Nord. Je ne céderai pas d’un pouce et explorerai toutes les voies juridiques avec un avocat».

«Les musulmans roubaisiens n’apprécient pas d’être stigmatisés»

Toujours selon le quotidien, René Vandierendonck a déjà saisi la Halde (Haute Autorité de lutte contres les discriminations). Il a également informé la Caisse des dépôts, principal actionnaire de Quick, et envisage un arrêté municipal.

«Les musulmans roubaisiens n’ont pas fait pression sur Quick pour avoir cette exclusivité et n’apprécient pas d’être stigmatisés. Même la grande mosquée de Paris ne demande pas cela !», juge-t-il encore.

Une pratique expérimentale

Depuis cet automne, à Argenteuil, Marseille et Roubaix notamment, certains restaurants Quick ne servent plus, à titre expérimental, que des hamburgers halal halal ou à la dinde fumée au lieu du bacon.

Objectif: «valider l’intérêt commercial et la faisabilité technique» d’une offre halal, alors que le marché de l’alimentation halal en France est évalué à près de 4 milliards d’euros. «Suivre les évolutions du marché, chercher à y répondre et faire des tests en conséquence font partie du mode normal de fonctionnement» d’une entreprise commerciale, selon le groupe.

La polémique enfle…

D’autres voix se sont élevées ce jeudi, en plus de celles de Jacques Myard et Lionnel Luca. Marine Le Pen accuse « l’État de lever l’impôt islamique». Xavier Bertrand, secrétaire général de l’UMP, «n’apprécie pas tout ce qui peut s’apparenter à du communautarisme», alors que Richard Mallié, député des Bouches-du-Rhône, «s’associe totalement au maire de Roubaix dans ce combat républicain».
«Il existe suffisamment de boucheries et de magasin halal et de rayons spécialisés dans les grandes surfaces pour ne pas imposer l’absence de choix dans ces points de vente», estime-t-il.

Le député UMP du Rhône Philippe Meunier a lui dénoncé le menu halal servi au repas du Nouvel An de la mairie de Saint-Priest, près de Lyon. «Avec cette nouvelle affaire, nous dépassons maintenant toutes les bornes en obligeant les non-musulmans à consommer de la viande halal», a-t-il écrit dans un communiqué.

Une polémique d’«une importance voisine de zéro»

Seul le député UMP du Nord, Christian Vanneste, a jugé que cette polémique avait une «importance voisine de zéro». «L’existence de magasins proposant des produits liés aux interdits religieux n’est pas nouvelle. Il y a des boucheries halal et des épiceries casher depuis fort longtemps, sans qu’on en fasse une montagne», a-t-il estimé.

Pour le mouvement patronal Ethic, qui prône une valorisation humaine de l’entreprise, «ce choix halal résulte (…) de la rencontre entre l’offre et la demande et d’un choix marketing. Que ce choix réponde à (…) une tradition culturelle ou religieuse, relève de la liberté d’entreprendre».

«Beaucoup de tapage pour une question purement commerciale»

Le président du CFCM (Conseil français du culte musulman) Mohammed Moussaoui a estimé qu’il fallait «rester raisonnable». «Des restaurants qui ne servent que du halal ou que du casher, ça existe depuis toujours», a-t-il dit.

Pour Fouad Alaoui, président de l’Union des organisations islamiques de France, un produit halal est une «viande qui provient d’un animal égorgé, qui n’est pas mélangée avec des produits illicites en islam (alcool et porc)». «Rien n’empêchait Quick de proposer du halal à côté de ses produits habituels(…). C’est leur affaire mais c’est beaucoup de tapage pour une question purement commerciale».

La mairie de Marseille consulte ses Quick

Dans ce sens, la mairie de Marseille s’est entretenue avec la direction des deux Quick exclusivement halal et l’a incitée à proposer simultanément des produits halal et non halal.

Le patron des députés UMP Jean-François Copé a également jugé «un peu excessive» la polémique halal. «Il y a en France des restaurants (…) qui servent des produits exclusivement dédiés à une communauté», a-t-il déclaré au Figaro-Le Talk-Orange. Et d’ajouter: «Bien sûr je préférerais que dans les Quick concernés on puisse ne pas avoir que de la viande halal».

Source: 20minutes.fr

En seconde, le monde musulman pourrait disparaître des programmes d’Histoire…

Si il pouvait disparaître tout court… On peut rêver.

Et bien en voilà une bonne nouvelle. Vu que la « religion » d’amour et de paix ne nous cause que des ennuis, autant ne plus intoxiquer nos enfants avec… Mais cela me semble un peu bizarre, à l’heure où les adeptes de l’islam jouent la carte de la stigmatisation à fond, aidés en cela par nos Hautes  Instances… Trop beau pour être vrai et tout à fait contradictoire avec cet « amour » soudain de certains de nos élus pour les fanatiques du coran en pleine période électorale… Mais il n’y a pas de fumée sans feu…

FDF

18.02.10
Des collégiens dans une salle de classe.
Des collégiens dans une salle de classe./LE MOINE MICHEL/SIPA

Mais… Le ministère de l’Education dément…


Une nouvelle bombe dans le débat sur l’identité nationale? Dans le nouveau programme d’histoire de  la classe de seconde,  «la civilisation musulmane» serait remplacée par «l’Occident chrétien médieval» croit savoir Rue89.

Plus précisément, le chapitre intitulé «La Méditerranée au XIIe siècle: carrefour des civilisations», serait remplacé par «La civilisation rurale dans l’Occident chrétien médiéval, du IXe au XIIIe siècle», selon le site.

L’Education nationale, de son côté, dément ces informations. Interrogé par le Nouvelobs.com, le ministère assure que les programmes, qui seront adoptés en septembre prochain, ne sont pas encore arrêtés, le texte final devant «être présenté au Conseil supérieur de l’éducation le 1er avril».


Source: 20minutes.fr

Petit dessin… Au goût du jour…

Clair, comme message, non?

FDF