Francaisdefrance's Blog

03/02/2012

Petite leçon de socialisme…

A l’intention du Parti Socialiste et de ses sympathisants. Et sans rancune…

FDF

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Il avait voté « socialiste »…

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Un  professeur d’économie dans un lycée  annonce fièrement  qu’il n’a jamais vu un  seul de ses élèves échouer, à  l’exception  d’une année, où ce fut la classe entière  qui  a connu  l’échec.

 Cette  classe était entièrement convaincue  que le socialisme  était une idéologie qui  fonctionnait, et que personne  n’était ni  pauvre ni riche !
Un  système égalitaire  parfait.
Le  professeur dit lors  :
« OK   donc, nous allons mener une expérience du  socialisme  dans cette classe. A chaque  contrôle, on fera la moyenne  de toutes les  notes et chacun recevra cette note. Ainsi   personne ne ratera son contrôle et personne  ne  caracolera en tête avec de très  bonnes   notes. »
Après  le 1er contrôle, on fit la moyenne  de la classe et tout  le monde obtint un  13/20.
Les   élèves qui avaient travaillé dur n’étaient pas  très  heureux au contraire de ceux qui  n’avaient rien fait et  qui, eux, étaient  ravis.  A  l’approche du 2ème contrôle, les élèves  qui avaient peu  travaillé en firent encore  moins tandis que ceux qui  s’étaient donné  de la peine pour le 1er test décidèrent  de  lever le pied et de moins travailler. La moyenne  de  ce contrôle fut de 9/20 !    Personne n’était   satisfait…
Quand  arriva le 3ème contrôle, la moyenne  tomba à 5/20. Les  notes ne remontèrent  jamais, alors que fusaient  remarques  acerbes, accusations et noms d’oiseaux,  dans  une atmosphère épouvantable, où plus  personne ne voulait  faire quoi que ce soit  si cela devait être au bénéfice  de  quelqu’un  d’autre.
A  leur grande surprise, tous ratèrent leur examen  final.  Le professeur leur expliqua alors  que le socialisme  finit toujours mal car,  quand la récompense est  importante,  l’effort pour l’obtenir est tout aussi   important, tandis que, si on confisque les  récompenses,  plus personne ne cherche ni  n’essaie de   réussir.

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Les  choses sont aussi simples que  çà.
Voici  un petit extrait  d’un  discours qui résume parfaitement les   choses. « 
Tout  ce qu’un individu reçoit sans  rien faire pour l’obtenir,  un autre  individu a dû travailler « pour le produire  sans  en tirer profit.  
« Quand  la moitié d’un peuple croit qu’il  ne sert à rien de  faire des efforts car  l’autre moitié les fera pour elle,  et  quand cette dernière moitié se dit qu’il ne sert  à  rien d’en faire car ils bénéficieront à  d’autres, cela  mes amis, s’appelle le  déclin et la fin d’une nation. 

On  n’accroit pas les biens en les   divisant. »

Dr.   Adrian Rogers,  1931

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Merci à JC JC…

01/12/2011

Allemagne: on ne prie pas dans les écoles; on apprend !

Image d’illustration

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Ca ne s’est pas encore vu en France, ça. A moins qu’on nous l’ait caché, comme d’hab… Et puis, les écoles coraniques, c’est pas fait pour les chiens !
FDF

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Les prières d’un lycéen musulman «troublent l’ordre» scolaire.

Le tribunal administratif fédéral de Leipzig a refusé mercredi, en dernière instance, à un lycéen musulman le droit de faire sa prière à l’école. Alors âgé de 14 ans, Yunus M. avait commencé à prier entre les cours en 2007 dans une école berlinoise, soucieux de se conformer aux préceptes de l’islam, qui prévoit cinq prières quotidiennes. Son geste avait lancé un débat en Allemagne sur l’opportunité d’autoriser les élèves à prier dans l’enceinte d’une école. Le jugement du tribunal de Leipzig, qui fera jurisprudence, était donc très attendu outre Rhin.

«Un lycéen n’est pas autorisé à faire ses prières à l’école en dehors des heures de cours si cela doit troubler l’ordre au sein de l’établissement», a estimé le tribunal. La prière reste autorisée dans plusieurs États régionaux allemands au sein des cours de religion.

Séparation de l’Église et de l’État 

Yunus faisait appel d’un jugement d’un tribunal de Berlin, qui lui avait retiré en 2010 l’autorisation de faire ses prières dans une salle spéciale durant les pauses. Les juges avaient alors estimé que l’école était le lieu de rencontre de «nombreuses religions et croyances différentes» et qu’il y avait également des élèves athées. Ce «pluralisme» portant en lui «un potentiel conflictuel important», l’école doit être la garante de la neutralité religieuse, a confirmé la cour de Leipzig.

En 2009, le lycée berlinois accueillant Yunus M. avait été contraint en première instance de mettre à sa disposition une pièce pour qu’il puisse y faire ses prières. Le tribunal avait alors justifié son jugement par la liberté religieuse, garantie dans la loi fondamentale allemande. En deux ans le lycéen n’avait utilisé la pièce qu’une douzaine de fois, selon Brigitte Burchardt, la directrice du Diesterweg Gymnasium de Wedding à Berlin. Elle affirme que la mise à disposition d’une salle avait perturbé l’organisation au sein de l’établissement et que l’affaire avait provoqué des troubles, près de 90 % des élèves de son établissement étant d’origine étrangère. Cinq religions y cohabitent. «Si tous les élèves se mettent à prier, l’école n’a plus qu’à fermer ses portes», estime Frau Burchardt.

En novembre 2007, le jeune garçon s’était agenouillé en direction de La Mecque dans un couloir du Diesterweg Gymnasium avec sept camarades, pour y faire sa prière. Une enseignante avait alerté la directrice, alors que d’autres élèves assistaient à l’événement et se disaient choqués. Brigitte Burchardt avait attendu la fin de la prière avant d’expliquer aux élèves que leur geste était contraire à la séparation entre l’Église et l’État et qu’il avait perturbé leurs camarades de classe.

Les parents des sept autres élèves concernés avaient accepté son argument. Seuls ceux de Yunus s’étaient décidés à porter l’affaire devant les tribunaux… Le lycéen devra désormais se concentrer sur les épreuves de son Abitur, le baccalauréat allemand, qu’il présente cette année.

Source: http://www.lefigaro.fr/

25/11/2011

L’école continue à « s’ouvrir à la vie »: la prière musulmane IMPOSEE aux élèves de 5e !

On n’attend pas que nos enfants aient grandi: on les endoctrine tant qu’ils sont malléables et corvéables… Quelle honte. Enfin, la honte est pour ceux qui laissent faire ça. Et nous les premiers.

Si on continue de ne pas s’insurger, nos petites têtes blondes vont tôt ou tard apprendre le maniement des ceintures d’explosifs…

FDF

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Selon que vous serez puissant ou misérable, apprenions-nous en classe de 6ème ou de 5ème, avec ce bon Monsieur Jean de La Fontaine…

En 2011, le fabuliste, critique acerbe des défauts et des tares de la société de son temps, pourrait écrire : selon que vous serez musulman ou tous les autres, les jugements des cours de justices, les avis professionnels des adhérents et des Présidents des syndicats de magistratures, des médias leurs courtisans, et aussi ceux des ministres devenus des exécutants, vous feront pour les mêmes faits ou pour des faits approchant, « blanc ou noir », coupable ou excusable et donc… innocent ou coupable.

On se souviendra du scandale et de la honte des sanctions décidées à l’encontre d’une enseignante d’Histoire d’un établissement secondaire de Nancy.

Catherine Ventura Pederzoli avait en effet eut l’outrecuidance partisane, l’inconvenance sectaire, « l’autocentrage communautariste », de prononcer quatorze fois le mot « shoah », pendant un cours d’Histoire auquel assistaient deux braves pandores d’inspecteurs de l’éducation nationale*1

Nos deux inspecteurs ne purent retenir leur indignation légitime…

Pareille instrumentalisation, scandaleusement partisane, de l’enseignement de l’Histoire ne pouvait continuer plus longtemps. Pensez, employer un mot hébreu *1 dans une classe de France… Rendez-vous compte, utiliser un hébraïsme, un mot choisi par les Juifs eux-mêmes pour désigner un phénomène les concernant, pour qualifier une action d’ État encore inconnue jusqu’alors dans l’histoire humaine, à savoir : quatre années de traque quotidienne d’une population toute entière, les pauvres comme les riches, les riches autant que les pauvres, les femmes et les enfants autant que les hommes, les vieillards et les moribonds autant que les jeunes et les biens portant, puis deux de ces quatre années pendant lesquelles on choisira de privilégier, sur les trains de munitions et de troupes fraiches, les convois destinés à remplir la chambre à gaz d’Auschwitz.

Les témoignages écrits laissés et retrouvés, des ghettos « transférés » et « transportés », disent : ces moribonds exécutés dans leur lit de mort, ces paralytiques jetés d’une fenêtre avec leur fauteuil, ces gamins faméliques tués d’une balle dans la tête, sans autre forme de procès, parce qu’ils avaient ramené, ces « rats », un peu de provisions, depuis la ville polonaise contiguë, pour que leur famille affamée tienne encore quelques jours.

Quatre années d’enfermement sans vivre, quatre années de souffrances multiples, de fusillades, quatre années d’arrestations et de déportations- pour finir enfermés entre des miradors et des barbelés électrifiés, mis en esclavage, « nourri » de soupe claire ou d’épluchures de patates, pour travailler quelques temps pis qu’un forçat et mourir d’épuisement, ou pour être directement envoyés à la chambre à gaz.

Rien de très spécifique donc, rien qu’un « génocide » comme un autre, pensaient nos deux braves bougres d’inspecteurs, étouffant d’impatience devant l’inconvenance partiale de l’enseignante.

Ils ne le lui firent pas dire deux fois. On connaît la suite

Depuis, de l’eau a coulé, sous le pont de l’édifice scolaire vermoulu, qui prend eau de partout et menace de s’effondrer.

L’école poursuit néanmoins à « s’ouvrir sur la vie ».

Apprendre l’arithmétique, faire les quatre opérations de base, pfu !! Quelle importance ? Les enfants n’ont-ils pas tous une calculette, pourquoi leur embarrasser l’esprit avec les tables de multiplication ?

Apprendre l’histoire du pays ? Quel intérêt, puisque le pays est destiné à être dissout, coûte que coûte, dans cette extraordinaire « Europe » de l’euro et de la bureaucratie bruxelloise qui sait tout sur tout et décide de tout pour tout. Essayons donc d’inventer une « Histoire » globale.

Venez au fait, va-t-on me dire. Où voulez vous en venir ?

Où je veux en venir ? S’il est devenu sectaire, « communautariste » même, d’employer un mot hébreu, Shoah, pour désigner la mise à mort planifiée et industrialisée de toute une population, les Juifs de tous les pays, par toute la machinerie étatique d’une nation, l’Allemagne, et par l’association à cette besogne de mise à mort des structures policières et économiques des États conquis et soumis par celle-ci, -extermination à laquelle se sont volontairement associés le Mufti Husseini et ses acolytes-, il n’est pas du tout sectaire, il n’est pas du tout communautariste… « D’imprégner » les enfants scolarisés, aux senteurs et aux émotions spirituelles de l’islam. C’est recommandé, même. C’est l’ouverture, bien comprise, sur la « diversité » et sur « l’interculturalité ».

C’est ainsi que les élèves de classe de 5ème du collège Saint-Pierre des Essarts de la Roche sur Yon ont été emmenés visiter une mosquée.

C’est ainsi aussi qu’après un échange avec un monsieur Ali Ben Saada, aumônier près d’une maison d’arrêt, on les a fait se mettre en position de prière, sur les tapis prévus à cet effet…

On se demandera peut-être : comment aurait réagi les élèves et les parents d’élèves musulmans si on les avait emmenés dans une église ou une synagogue et qu’on leur ait demandé de s’y mettre en position de prière chrétienne ou juive, après ou avant avoir échangé avec le Pasteur, le Rabbin ou le Curé?

On connaît tous la réponse : Quelques véhicules et des poubelles de la Roche-sur-Yon auraient spontanément pris feu… des imams saoudiens, tunisiens, égyptiens, auraient prononcé des discours belliqueux. Ces hommes de religion de paix auraient dénoncé l’entreprise « américano-sioniste », visant à lutter contre l’islam, en cherchant hypocritement, par la ruse, à provoquer « l’apostasie », à favoriser la conversion de jeunes musulmans à une autre religion que la « vraie ».

Que va-t-il se passer ?

L’administration centrale du ministère, l’inspection générale, les « syndicats » d’enseignants, que vont-il faire ? Que vont dire, les uns et les autres ?

Vont-ils crier au scandale, vont-ils s émouvoir de la grossière violation de la liberté de conscience, celle de jeunes collégiens vendéens ? Vont-ils dénoncer la démolition, consciente ou inconsciente, de la laïcité qui est un des moyens pour la garantir ?

A l’inverse, FSU et tutti quanti, administration centrale, ministère, médias, vont-ils trouver tout à fait convenable une honteuse besogne d’endoctrinement religieux ?

Vont-ils même en féliciter les auteurs, comme étant d’audacieux précurseurs de la nouvelle laïcité parfumée à l’interculturalité, favorisant « la diversité » et le nouveau « vivre ensemble »?

Comme je le disais plus haut, on pourrait parler d’information concernant  le phénomène religieux, on pourrait parler de parcours scolaire neutre et non d’endoctrinement, si… si les mêmes élèves étaient emmenés, dans les mêmes conditions, dans une église, un temple, une synagogue, à une réunion de l’union des athées ou visiter le grand-orient ou un autre ordre franc-maçon, etc.

Nous connaissons tous la réponse de tous ceux que nous évoquions : vous n’y pensez pas ! Il ne s’agit pas de donner des informations neutres et pluralistes, il s’agit seulement du « vivre ensemble » et de « l’interculturel ». Il ne s’agit que de connaître, pour les jeunes chrétiens et/ou athées, ce qui fait foi, et loi absolue s’imposant à la conscience de leurs condisciples ou voisins musulmans. Il ne s’agit que de se mettre en situation, pour mieux comprendre et admettre de laisser l’espace revendiqué par leurs émotions et croyances…

Par contre, inviter les jeunes voisins et les condisciples musulmans a s’informer et à se mettre eux aussi en situation de comprendre ce qui amène l’émotion religieuse chrétienne, bouddhiste, juive, ou la conviction irréligieuse, ah ça, vous n’y pensez pas ! Ce serait les offenser. Ce serait aussi les « stigmatiser », les discriminer, puisque leur culture, qu’il faudrait « religieusement » respecter, -sans quoi on serait raciste-, ne les autorise pas à s’intéresser à des données non-religieuses ou religieuses autres.

Ce serait de l’impérialisme culturel. Ce serait du pur et simple et ignoble… néocolonialisme !!

En d’autres termes et pour résumer : Selon que vous serez imam ou autre chose, curé, rabbin, frère trois points, vous serez déclarés : innocent ou coupable, vous aurez ou vous n’aurez pas le droit « d’imprégner » les enfants scolarisés de vos croyances ou de vos convictions.

Quand même, mes concitoyens et concitoyennes, vous ne trouvez pas que cela commence à faire beaucoup, trop même ?

1789 avait répondu à la problématique de Jean de La Fontaine. Faudra-t-il nous aussi attendre quatre vingt ans, avant de briser le système oppressif que certains mettent en œuvre aujourd’hui pour liquider l’héritage de nos anciens ?

Alain Rubin

*1 en 2011, on devrait plutôt parler de « l’inéducation antinationale ».

En effet, pour ne pas offenser les croyances religieuses et autres des enfants de populations accueillies dans notre pays, le pouvoir scolaire, soutenu en cela par des « syndicalistes » de cette profession, débarrasse l’enseignement du « superflu » faisant perdurer d’éventuelles causes de gêne : Le français est devenu comme une survivance. On peut le parler et l’écrire comme on veut, ce serait sans importance.

On peut donc cesser de se comprendre ; et la République « une et indivisible » doit devenir un souvenir d’une époque révolue destinée à l’oubli.

L’ Histoire doit cesser d’être l’enseignement d’une chronologie précise d’événements politiques, de phénomènes sociaux et de découvertes scientifiques et d’innovation technologiques datées, pour devenir un fourre-tout idéologique, une mélasse « transverse ».  On ne devrait plus savoir qui étaient les deux hommes qui ont calculé la vitesse de la lumière, où, quand et comment, parce que l’on devrait ânonner que l’Europe et le monde doivent leurs connaissances et leur technologie à « Al Andalûs »  et à la religion mahométane.

Pour ne pas choquer, Charles Martel n’a plus jamais arrêté les Arabes à Poitiers. Après ce non-événement de 732, il n’y a plus eu deux siècles de guerres locales et de dévastations, dans les régions méridionales du pays, guerres résultant des actions de brigandages, pillardes et esclavagistes, des débris des armées djihadistes. On ne saura donc plus, on ne devra plus savoir, et c’est un ordre, -ouverture à la diversité oblige-, pourquoi il existe en France un massif des maures.

On parlera de l’esclavage, mais seulement pour fustiger le colonialisme européen qui y mit fin.

On parlera d’empires africains, mais on ne dira pas qu’ils furent impactés et profondément remaniés par la conquête arabo-musulmane de l’Afrique.

On ne devra surtout pas dire aux élèves, qui pourraient en être choqués : que ces empires africains deviendront des organisations « étatiques » de courtiers, à base essentiellement clanique, des organisations de courtiers militaro-esclavagistes vendant de la chair humaine noire aux razzieurs arabes, puis aux négociants européens. On ne devra surtout pas dire que le Soudan de Khartoum  reste, en 2011, une vaste plaque tournante négrière et l’héritier de cette terrible époque.

Beaucoup d’autres choses devront désormais disparaître des livres et des cours d’Histoire, et surtout ne pas s’y inviter…

Si l’on avait dû suivre le raisonnement tortueux de nos deux pandores déguisés en inspecteurs contrôlant le contenu et les méthodes de l’enseignement : en donnant un cours d’Histoire abordant les deux révolutions russes, il aurait fallu prohiber le mot soviet pour le remplacer par conseil.

Comme le mot hébreu shoah, le mot russe, soviet, est passé dans toutes les langues. Pratiquement toutes les langues connaissent et disent « soviet », lorsqu’elles veulent parler d’une forme particulière de représentation élue et révocable, d’abord organisation d’ouvriers, puis de paysans et de soldats ; elles distinguent, à juste titre, cette représentation d’autres qui s’en approchent mais présentent des différences et n’ont pas exactement le même contenu ni les mêmes effets sur la société. Le mot République lui-même…

Source: http://ripostelaique.com/

10/10/2011

Islamisation: une école d’Angoulême devient une mosquée !

Et une étape de plus dans l’islamisation de notre pays. Et encore une fois, la municipalité se montre fort complaisante… A mon avis, le simple fait de baisser le prix de vente de l’école qui deviendra une mosquée tombe sous le coup de la loi de 1905…

FDF

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« La Ville vend l’ancienne école Marcel-Pagnol, mise à disposition depuis 2007, à l’association des musulmans de Charente pour 102.000 €. Un achat rendu possible par les dons. Jusque-là, on ne voulait pas faire les importants travaux nécessaires parce que le lieu ne nous appartenait pas.

  • Kader Bouazza montre les huisseries qu’il va falloir changer en priorité dans la salle de prière de la mosquée, rue de la Charité.

  • Kader Bouazza montre les huisseries qu’il va falloir changer en priorité dans la salle de prière de la mosquée, rue de la Charité.Un premier exploit financier qui en appelle d’autres. Lundi, la Ville d’Angoulême officialisera en conseil municipal le rachat de la mosquée de Basseau, rue de la Charité, par l’association des musulmans de Charente. Pour devenir propriétaire de l’ancienne école Marcel-Pagnol mise à sa disposition depuis 2007, la communauté s’est cotisée pendant plus d’un an, jusqu’à réunir les 102.000 €, le prix de vente proposée par la mairie.

À l’intérieur de la salle de prière cette semaine, une petite affiche sur le panneau d’information fait le point sur les sommes récoltées. Ainsi, au 25 août, la somme était de 82.000 €. «ça n’a pas été facile, mais entre la vieille dame qui accepte de donner cinq euros de sa modeste retraite et le soutien des mosquées de la région ou de celle de Paris, on a réussi. Cette solidarité est formidable», se félicite Kader Bouazza, le président de l’association, également président du conseil du culte musulman dans le Grand-Ouest.

Désormais, les musulmans d’Angoulême ont un lieu de culte qui leur appartient. Et ça change tout, en particulier pour moderniser et isoler le bâtiment. «Jusque-là, on ne voulait pas faire les importants travaux nécessaires parce que le lieu ne nous appartenait pas», poursuit Kader Bouazza, même si des travaux «d’urgence d’un montant de 25.000 à 30.000 €» avaient déjà été faits par la communauté.

Mais l’exploit est appelé à se répéter. Il va falloir trouver une somme au moins équivalente à l’achat pour moderniser le lieu. C’est aussi une des raisons pour laquelle la mairie a accepté de baisser le prix de vente de 170.000 € (l’estimation des Domaines) à 102.000 €. Huisseries et isolation d’abord pour en finir avec «l’été très chaud et l’hiver très froid à l’intérieur», mais aussi agrandissement du lieu de prière, font partie des objectifs.

L’exemple de Rochefort pour baisser les coûts

«Les fidèles sont de plus en plus nombreux, autour de 350 un vendredi de prière, et certains sont obligés de rester dehors. On doit donc agrandir», poursuit Kader Bouazza, qui peut compter pour l’instant sur environ 350 m2, salle des femmes comprises. Désormais, la totalité du bâtiment est propriété de l’association, soit 750 m2.

Kader Bouzza peut se féliciter du chemin parcouru depuis les premiers locaux mis à disposition de la communauté en 1979 (lire l’encadré).

Mais après avoir mis la main à la poche, les musulmans d’Angoulême pourraient aussi mettre la main à la pâte, comme à Rochefort. En 2009, les musulmans de là-bas ont construit bénévolement leur mosquée sur un terrain loué à la mairie 50 € par an. Ce qui a abaissé le coût de l’édifice religieux à 300.000 € environ. Avec des dons des fidèles mais aussi des mosquées voisines, dont Angoulême. «Nous aussi, on va essayer de sortir la brouette et le ciment et profiter des compétences de chacun», explique Kader Bouazza. »

Source: http://www.charentelibre.fr/
Photos: Photo Phil Messelet

16/07/2011

Espagne: la « religion » de tolérance fait ses preuves…

Ce sont vraiment des malades… Tiens; cadeau:

FDF

18/06/2011

Dans le 9-3, ce sont les élèves et leurs parents qui font la loi. Celle de la République n’a plus cours….

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Ce genre de problème est rencontré par bon nombre d’enseignants. Et partout en France. Le vrai, de problème, c’est que l’on ne l’ ébruite pas… Défendu! Sinon: représailles… République bananière, quoi…

FDF

Lila

Professeur d’allemand dans un collège du 9-3, d’origine kabyle, Lila est sanctionnée par l’Education nationale pour s’être opposée au prosélytisme des élèves.

L’an dernier, la Journée de la jupe défrisait la chronique. Le ministre de l’Education nationale s’était même fait un devoir d’assurer que son administration, ce n’était pas ça. Que dans les salles sanctuarisées où l’on dispense la connaissance, les crispations identitaires, comme on dit, ne pénétraient pas. L’intégration passe par l’école de la République, n’est-il pas ?

Lila A., tout comme Isabelle Adjani qui incarnait la prof du film, est bien placée pour le savoir : elle est kabyle, aux cheveux noirs et aux yeux noirs, à la peau mate. « D’origine kabyle », précise-t-elle, « mais française ». Depuis 2001, elle est professeur d’allemand titulaire au collège Marie-Curie aux Lilas. La ville qui porte son nom. Cet amusant clin d’œil amusant de l’existence qui fleure bon le charme français a viré à l’aigre. Le bouquet est fané.

En 2004, Lila ne milite pas chez Ni Putes Ni Soumises mais publie un article, dans les pages Rebonds de Libération, pour l’interdiction du voile islamique à l’école, contre le port de signe ostentatoire d’appartenance religieuse et contre l’avis du SNES qui, à l’époque, s’y oppose résolument.

Les principaux sont impuissants, le rectorat ne veut pas de vagues, les profs ont peur

En République, nul n’est censé ignorer la loi. Mais qui l’applique dans l’Education nationale ? Manifestement pas certains établissements de Seine-Saint-Denis, selon Pascal Brun, président du syndicat départemental de la CFTC : « Le cas de Madame A. est symptomatique du laxisme républicain face aux pressions médiatiques et parentales exercées sur les enseignants dans les banlieues où la population est majoritairement musulmane. L’Education nationale y peine, en toute logique, à gérer la laïcité et elle nie totalement ce qui se passe en essayant de faire passer Madame A. pour folle. Les principaux des collèges n’ont pas les outils pour faire régner la loi et le rectorat semble redouter les révoltes. Quant aux professeurs, la plupart se taisent par crainte de représailles. Madame A. s’est élevée contre ça. Elle en paie le prix : l’Administration se range toujours du côté du plus fort. »

Accusée par le rectorat de mettre en danger ses élèves sur la foi d’un dossier à charge sans autres preuves que des lettres calomniatrices, Lila a été reléguée au placard pendant cinq mois consécutifs et amputée de la moitié de son salaire par la suite. Un congé d’office au mépris de la loi et des procédures, en vertu d’un décret de 1921 applicable pendant un mois maximum et rédigé pour protéger les élèves de la contagion de professeurs atteints de tuberculose ou de « maladie mentale ».

Soumise à deux expertises médicales ordonnées par la hiérarchie et qui ont conclu en faveur de sa normalité psychique, elle est victime d’une véritable cabale. On l’accuse d’avoir renversé des tables et des chaises, sectionné un câble télé (ce qu’aucun élève ne ferait gratuitement, « imagine » une collègue) et agressé des élèves. Elle subit avertissements, convocations absurdes, harcèlements de toutes sortes et menaces de sanctions disciplinaires. Maltraitances dont celle qui l’affecte par-dessus tout est l’allégation de violences envers des élèves avec qui, hormis quelques fauteurs de troubles, elle a toujours entretenu d’excellents rapports.

Son crime ? Boire en classe pendant le Ramadan, et avoir signifié à une élève prosélyte que la religion n’entre pas à l’école. Cinq ans après avoir honni le voile islamique dans les établissements, c’est de la récidive sans doute. Pour les parents d’élèves concernés, cela porte un nom : « non-respect de la laïcité » ! Il y aurait sans nul doute avantage à rappeler le sens d’une telle notion. Je suggérerais bien à l’académie de Créteil, à laquelle appartient l’établissement, de publier un Petit traité de laïcité pratique à l’école plutôt que de faire rédiger un dictionnaire des mots français par de jeunes « apprenants » en mal de vocabulaire.

Le keffieh, accessoire de mode…

Mais encore : avoir tenu tête à l’ancienne principale – stratégiquement mutée depuis dans la région de ses vœux premiers – en invitant au collège d’anciens déportés et en organisant un voyage à Berlin et Sachsenhausen. Ce sera d’ailleurs le seul du genre, la déléguée du SNES ayant fait annuler le suivant, prévu à Munich avec visite du camp de Dachau. Ceci allant avec peut-être avec cela, l’appel au boycott d’Israël initié par Euro-Palestine que la FSU (dont le SNES est l’un des fondateurs et membres) a signé, en mai 2009. Allez savoir.

Et enfin : avoir été soutenue par Miodrag I., un collègue homosexuel originaire d’Europe de l’Est, professeur de latin et de lettres classiques qui – ô intolérance ! – a osé interdire le port du keffieh dans ses classes. Congé d’office, le placard est égalitaire. Et le keffieh « n’est absolument pas un signe politique, mais un simple accessoire de mode, au même titre que les tee-shirts à l’effigie du Che ».

Vous ne rêvez pas

Exit la circulaire Jean Zay du 31 décembre 1936 : « Quant aux élèves, il faut qu’un avertissement collectif et solennel leur soit donné et que ceux d’entre eux qui, malgré cet avertissement, troubleraient l’ordre des établissements d’instruction publique en se faisant à un titre quelconque les auxiliaires de propagandistes politiques, soient l’objet de sanctions sans indulgence. L’intérêt supérieur de la paix à l’intérieur de nos établissements d’enseignement passera avant toute autre considération. » Dorénavant, c’est bien connu, le keffieh c’est cool, Coco ! Il n’y a qu’à voir son usage éminemment fashion dans les manifs et les altercations avec les forces de l’ordre…

Miodrag a reçu quant à lui un courrier officiel lui interdisant d’interdire au motif d’intrusion dans la vie privée des têtes blondes. « Les porteurs de keffieh sont les enfants des profs bobos », précise l’enseignant.

Que Miodrag ait essuyé des insultes homophobes, que Lila ait été maudite au nom d’Allah, ce n’est probablement que justice. De cela comme du reste, Lila ne s’expliquera pas : elle n’a pas été convoquée pour sa défense dans le bureau du principal et elle est désavouée par le rectorat. La conclusion s’impose : dans le 9-3, ce sont les élèves et leurs parents qui font la loi. Celle de la République n’a plus cours…


07/06/2011

Peur sur l’école…


Selon VSD, 46% des parents auraient peur d’envoyer leurs enfants à l’école. Voici un extrait de l’article :

Une succession de faits divers ultra-violents frappe le milieu scolaire. ­Policiers, enseignants et parents s’inquiètent.

Mercredi 25 mai, 8 h 40. Un élève de 15 ans est tabassé, coupé au visage et visé par un pistolet électrique devant son collège de Saint-Ouen (93). Il sera transporté dans un état critique à l’hôpital alors que la police recherche ses agresseurs. Une affaire, une de plus, survenue quelques jours après la très violente agression dont a été victime  Love, 14 ans, le 11 mai, à la sortie du collège Pablo-Picasso, à Garges-lès-Gonesse (95) (lire VSD n° 1760). Deux exemples qui s’ajoutent à la longue liste des faits d’ultra-violence en milieu scolaire. Alors que le collégien de Pablo-Picasso est toujours dans le coma, trois mineurs ont été mis en examen pour tentative d’homicide aggravé après leur arrestation. Dans ce même collège de banlieue, le principal avait déjà été sauvagement agressé, en mars 2009, en voulant s’opposer à l’intrusion d’un groupe de jeunes dans les locaux.

Tabassages collectifs entre élèves, insultes, violences contre les personnels enseignants ou des responsables d’établissement. Il n’est pas un jour sans que les synthèses de la police et de la gendarmerie mentionnent de tels faits, parfois d’une extrême gravité. Telle la mort du jeune Hakim Haddi, 18 ans, poignardé en janvier 2010 dans l’enceinte du lycée Darius-Milhaud, au Kremlin-Bicêtre (94).

Plus récemment et parmi de très nombreuses affaires, le commissariat de Laval (53) a été saisi par le parquet d’investigations sur des faits de violences répétées et même d’une agression sexuelle dont auraient été victimes des enfants de 4 à 6 ans, dans une école primaire. D’après le rapport d’enquête, ces brimades d’élèves de CM1 et de CM2 avaient lieu quasi quotidiennement dans les toilettes de l’établissement. Une dizaine d’enfants, ainsi que des parents et du personnel enseignant ont été auditionnés mi-avril par la brigade de sûreté urbaine. Un dossier hors normes, du fait de l’âge des protagonistes, mais qui n’a pu donner lieu à aucune poursuite judiciaire, la majorité pénale étant fixée en France à 13 ans.

Retrouvez sur le site « Souffrance des profs » de nombreux témoignages de professeurs confrontés à la violence.

Source: http://soseducation.wordpress.com/2011/06/06/peur-sur-lecole/

20/05/2011

En France, à Lille, les collabos du PS banalisent l’islam à l’école…

Une petite vidéo pour vous rafraîchir la mémoire… En ces périodes où l’on parle beaucoup du Parti Socialiste…

Marine; VITE !!!

FDF

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Lire:

07/05/2011

Education: les professionnels du futur…

Je les plains, les enseignants. Franchement, je les plains. Il faut rouvrir les maisons de redressement; ce serait un bon début… Ce qui suit est un témoignage. Mais on pourrait en trouver des centaines, des milliers, du même genre.

FDF

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Insomnies et désespoir… sont mon quotidien, combien d’années vais-je le supporter ?

Sincèrement, le plus difficile à vivre, ce n’est pas le niveau des élèves, leurs difficultés scolaires ou leur situation d’échec, non, le plus difficile, voire l’inacceptable, c’est leur indifférence sur tout, leur manque de motivation, leur mépris vis-à-vis du système éducatif et de nous-mêmes. Ils sont incapables de faire une phrase sans aligner 2 ou 3 grossièretés, incapables d’écrire une phrase sans 10 fautes d’orthographe, incapables de dire merci, bonjour ou bonne journée…

Oui, c’est déprimant car je ne retrouve plus le pourquoi de mon combat, je ne retrouve plus d’énergie pour me battre à leur côté…

Leur centre d’intérêt, leur monde tourne autour de leur portable à 350 euros !! Très utile pour tricher, ils enregistrent directement le contenu de nos cours !!! Je pense que ce qui fait l’effet d’un « acide au quotidien » = leurs paroles acerbes, leurs commentaires gratuits « Bah, Madame, fallait rester chez vous » ou « C’est bon, pfff, je me gratte, putain « . J’ai renvoyé sur le champ cette élèves de CSS, avec en prime 2 heures de retenue et un entretien avec le CPE… Ses camarades n’ont pas compris la sanction, ils ont essayé de négocier pour que je retire la sanction etc.

C’est épuisant et déprimant !!! Et c’est l’avenir de demain, puisque ces jeunes sont les professionnels du futur !!!

vu sur http://souffrancedesprofs.com/?p=762

20/04/2011

Le PS souhaite l’enseignement de l’arabe dès le collège !

Dans le sud, à Montpellier, on a demandé aux enseignants d’apprendre l’arabe pour se faire comprendre des élèves en retard de vitesse !!
Pour développer les langues et les cultures régionales en Languedoc-Roussillon la commission permanente a réparti une enveloppe de….
97 200 EUROS C’est sur le journal gratuit « Vivre en Languedoc Roussillon »
à la page 20 le titre de la page « C’est voté ! »
donc on ne peut plus rien dire et voilà où passe l’argent au lieu d’aider les jeunes et les gens de l’Aude où il n’y a plus d’entreprise
Qui s’est soucié de savoir si les bretons, les auvergnats, les provençaux, les Asaciens etc…
se sont remis de l’interdiction, à une certaine époque de parler leur patois !!!
et dans ces conditions là, il faudrait prévoir aussi l’apprentissage de l’italien, de l’espagnol, du chinois, etc..


Le Parti Socialiste du Nord a organisé un point presse pour rappeler que la langue arabe est devenue incontournable et qu¹il faut pouvoir la proposer comme première langue vivante dès le collège.

Maintenant nous savons par qui, les socialistes comptent être élus.

On pourra aussi apprendre à lire le Coran au Catéchisme aussi !

06/04/2011

Images de tolérance à l’école coranique de Grisy-Suisnes…

Peut-être avez-vous oublié cette vidéo?


Ce reportage a été interdit d’ antenne pour ne pas « blesser » les  musulmans….
Trois journalistes de Canal + de l’émission « 90 minutes » s’étaient présentés devant les grilles d’une école coranique du mouvement Tabligh, installée au château de Ville-Maindans à Grisy-Suisnes (Seine-et-Marne)… Voir la suite des « évènements »…


Maintenant que nous sommes entrés (depuis hier) dans le débat sur l’islam la laïcité,  il faudrait en profiter pour  demander à nouveau des explications officielles sur ce genre d’agissements. C’est le moment ou jamais…

FDF.

Reportage ici: http://www.youtube.com/watch?v=2wdUp3f-ISQ

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Merci à Gérard pour ce petit rappel…

30/03/2011

Violences scolaires: qui d’autre veut pousser le Ministre à agir ?

Excellent et tellement vrai. Bon nombre d’enseignants peuvent vous en parler… J’ai signé la pétition. Faites de même. Merci pour eux.

FDF

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Si vous avez des enfants à l’école,
et que vous souhaitez dormir tranquille,
ne regardez PAS cette vidéo !

http://www.soseducation.com/9mois

Cordialement,

Eric Galland
Responsable des relations
parents et professeurs de
SOS Éducation

P.S. Vous apprendrez des choses
difficiles à croire… Sauf si vous êtes
malheureusement déjà concerné.

Vous pouvez alors signer la pétition :
http://www.soseducation.com/9mois

27/03/2011

Magnifique analyse-vidéo de l’Education Nationale par une vraie journaliste: tout est dit et expliqué.

Fort intéressant, en fait…
FDF

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Lire: http://dai.ly/hmvDc6

24/03/2011

FDF indisponible quelques jours…

Bonjour à vous, ami(e)s lectrices et lecteurs.

Je serai en « indisponibilité » les 3-4 jours qui viennent…

Mais je ferai de mon mieux pour alimenter (ou donner les commandes à d’autres « résistants ») ce blog.

Les publications seront moins nombreuses et moins régulières jusqu’à lundi, voire mardi prochain.

Je vous prie de bien vouloir m’en excuser.

A bientôt, donc.

Amitiés.

FDF

23/03/2011

Il ne faudrait pas oublier que c’est à « eux » de s’adapter… Pas à nous!

Ca me plait bien, ça, qui reflète exactement la pensée de beaucoup de vrais français…

FDF

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Nous sommes bien comme on est, de plus, nous pouvons très bien nous passer d’eux.
Ils ne nous causent que des problèmes….
Qu’ils repartent donc dans leurs pays (d’origine).
Tout est cassé là-bas : ils ont du boulot !
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Z comme……..
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Al-Kanz nous rejoue la carte de la stigmatisation… Sortez vous mouchoirs…

FDF

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Lire:

Islamophobie : des robes jugées « trop ostentatoires »

Le voile n’est pas un problème, le halal n’est pas un problème, les prières ne sont pas un problème, l’arabe n’est pas un problème. Le problème, ce sont les musulmans. Quoi qu’ils fassent, quelles que soient les concessions qu’ils accepteront de faire, la haine de ceux qu’ils sont, la haine de ce en quoi ils croient demeurera. L’islamophobie actuelle, qu’elle soit étatique ou ordinaire, n’est pas conjecturelle. Elle ne s’éteindra pas avec la fin des cantonales ni même après la présidentielle. Pas un jour sans que la basse politique ne vienne éclabousser le débat public de son purin. Pas un jour sans qu’on ne puisse ouvrir un journal, allumer sa télévision, consulter un site d’information sans que l’islamophobie la plus fétide ne vous saute aux visages. Le climat est si délétère que tenir une comptabilité des actes et des propos islamophobes est en passe de devenir une activité à plein temps. La France est malade, malade de ses démagogues qui ont décidé de la séquestrer plutôt que de la soigner, la chérir et l’aimer.

La situation est si grave, que même le CRIF (conseil représentatif des institutions juives de France), qui pendant des années a soufflé sur les braises, a décidé de taper du poing sur la table (voir CRIF : « le musulman a pris la place tenue hier par le juif »). Hier, les islamophobes taisaient leur haine. Aujourd’hui ils la disent, ils la clament, ils la vocifèrent. Partout en France, le racisme ordinaire devient coutumier et s’installe. Mercredi dernier, nous apprenions, par exemple, que la proviseure adjointe d’un lycée de Saint-Ouen, près de Paris, le lycée Auguste-Blanqui, fichait ses élèves musulmanes. Pas toutes. Seules celles dont on ne voit jamais ni décolleté ni jambes ni la moindre courbe sont dans le collimateur de cette fonctionnaire. Convoquées, les lycéennes se sont entendu dire qu’elles devaient venir en cours « en jean et en T-shirt comme tout le monde » sous peine d’être exclues du lycée. Leur crime ? porter des robes longues unies, des robes jugées « trop ostentatoires ». Pour la direction du lycée, le délit est constitué, la proviseur et son adjointe veulent donc sanctionner.

Le CCIF (collectif contre l’islamophobie en France) a vivement condamné cet énième acte islamophobe. Le CFCM ne dira rien ou fera tout au plus une déclaration timorée, si tant est évidemment que l’UMP et le président l’y autorise. La mosquée de Paris réagira peut-être à condition que ce ne soit pas Dalil Boubakeur qui, après une déclaration courageuse, puis la visite du maire de banlieue Jean-François Copé, a retourné sa veste, suscitant une immense colère dans les différentes fédérations régionales de la GMP (grande mosquée de Paris).

Il reste les musulmans, les simples particuliers, ceux qui sont tous les jours en première ligne, ceux qui sont sur le front. Ceux-là doivent réagir, ceux-là doivent agir. Des manifestations sont prévues début avril pour dénoncer le débat de la honte, le débat contre l’islam. Si vous êtes de ceux qui y participeront, nous vous invitons à télécharger l’affiche ci-dessous (en cliquant – clic droit de la souris, puis « enregistrer sous » – sur le lien suivant : Robes trop ostentatoires). Pour l’agrandir, cliquez sur l’image. Si vous ne prévoyez pas de manifester, il vous est toujours possible de diffuser au plus grand nombre cette affiche. Faites-le. Envoyez-la par mail. Mettez-la sur votre mur Facebook, sur votre mur Twitter. Imprimez-la ne serait qu’en quelques exemplaires et mettez-la dans la boîte aux lettres de dix de vos voisins. Ne faites rien, faites juste cela. C’est l’effort de toutes et tous, de chacune et de chacun, qui pourra contenir et faire reculer l’islamophobie. C’est en agissant tous que nous permettront in cha’a-Llah que cet après-midi, demain, la semaine prochaine, les islamophobes auront plus de scrupules à islamophober en rond. Nous sommes tous des victimes potentielles, nous sommes tous des cibles choisies. Protégeons-nous, agissons.

Source: http://www.al-kanz.org/

Un conseil: ravalez votre haine, intégrez vous ou partez. Comme il est cité plus haut, c’est chez vous que vous avez à vous investir pour aider vos « cousins ». Vous manquez de courage pour le faire? On peut vous assister. Ah non, c’est vrai, vous y êtes déjà…

FDF

01/03/2011

« Ouvrez une école, vous fermerez une prison. »

C’est de……………………. Victor Hugo.

Je ne suis pas trop d’accord sur ce genre de pétition qui en fait cherche des excuses aux horribles méfaits de ce genre de meurtrier. Je serais pour une justice plus expéditive. Ce type est parfaitement conscient de ses actes. C’est trop facile de cacher sa barbarie sous le couvert de son éducation « défaillante ».

Il doit payer pour ça; surtout que, par son mutisme, il en rajoute à la douleur des proches de Laëtitia. Mais bon, je relaye tout de même. Si ça pouvait servir à éviter ce genre de choses. Mais j’ai bien peur que non… Tout mon soutien à cette famille dans la peine la plus pénible.

FDF

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Il avait raison : manquer l’éducation
d’un enfant peut avoir des conséquences
graves.

Alors à l’heure où la France entière
pleure la mort de Laëtitia Perrais, à
Nantes, SOS Éducation s’associe
à la douleur de la famille, et rappelle

à quel point, dans cette affaire, l’absence
de repères sociaux et moraux dont
souffre l’assassin « présumé »  Tony Meilhon
a eu des conséquences dramatiques.


Pour ne pas rester sans rien faire face
à ce drame
, nous vous invitons à regarder

cette vidéo, entièrement gratuite, qui a été
préparée par l’Institut pour la Justice :

http://www.institutpourlajustice.com/video/index.html

Cette vidéo appelle à signer une pétition
au Président Nicolas Sarkozy, en hommage
à Laetitia. Nous espérons que vous souhaiterez
la signer, vous aussi.

Bien cordialement,
Vincent Laarman


14/02/2011

Caméra cachée dans le système scolaire musulman en Grande-Bretagne.

Ne riez pas. C’est sans doute pareil dans les écoles coraniques en France (que nos élus se font un honneur de subventionner avec notre argent)… Ahhhhhhhhhhhh, cette « religion » d’amour, de paix et de tolérance…

FDF

 



 

La scène se passe dans une grande salle du type que l’on peut trouver dans une école ordinaire. Des garçons âgés de 11 ans et plus, sont assis en tailleur sur le sol en lignes droites.

Ils font face à l’avant de la salle et écoutent attentivement. Mais ce n’est pas un cours ordinaire. Celui qui captive l’attention des enfants est un homme en robe islamique coiffé d’une calotte qui caresse sa longue barbe noire pendant qu’il parle.

«Vous  n’êtes pas comme les non-musulmans, dehors» dit le professeur, en montrant la fenêtre. «Toutes ces choses diaboliques que vous voyez dans les rues, ces gens qui ne portent pas le hijab correctement, ces gens qui fument. . . vous devez détester tout cela, vous devriez détester marcher dans cette rue. “

Il appelle les non-musulmans «kouffar», un terme souvent péjoratif qui signifie mécréant ou un infidèle.

Bienvenue dans l’une des écoles religieuses islamiques les plus réputées en Grande-Bretagne, l’une des 2.000 écoles au minimum de ce type en Grande-Bretagne,  qui enseignent à plein temps pour certaines, ou à temps partiel pour d’autres.

Elles témoignent de l’essor d’un système éducatif parallèle.

Cette école est le lycée Darul Uloom islamic à Birmingham, un institut indépendant avec plus d’élèves inscrit que sa capacité ne le permet.

Les écoles Ulooms Darul sont des écoles islamique de renommée mondiale, et leur objectif est de produire la prochaine génération de leaders musulmans.

En fait, ces écoles ont été décrites comme l’«ENA de l’Islam».

Cette école est tenue d’enseigner la tolérance et le respect des autres religions, par des inspections. Mais l’émission “Dispactches” de la chaîne de télévision Channel 4 a filmé en caméra cachée à l’intérieur de l’école – et, a découvert qu’au contraire, c’est l’apartheid religieux et de la ségrégation sociale qui sont enseignés aux enfants musulmans.(…)

Et nous avons rencontré des élèves  qui disent que les «mécréants» sont «les pires créatures» et que les musulmans qui adoptent des manières soi-disant non-musulmanes, telles que le rasage, le fait de danser, d’écouter de la musique et – dans le cas des femmes – d’oter leur foulard, seront torturés dans l’au-delà avec une fouche avec un manche de fer.

En 2009, cette école avait été encensée par les équipes d’inspection approuvées par le gouvernement pour ses enseignements interreligieux. Le rapport dit que «les élèves apprennent sur les croyances et les pratiques d’autres religions et on leur apprend à faire preuve de respect envers les autres religions».

Source : Daily Mail via Weasel Zippers Traduction Bivouac-id.

05/02/2011

Copé favorable aussi à l’enseignement de la langue arabe.

Mais qu’est-ce qu’ils ont tous, en ce moment? C’est une fixation sur l’enseignement obligatoire de la langue arabe à l’école? On croit rêver. C’est de la récupération politique. Et évidemment, sans demander aux parents d’élèves « français de souche » si ça leur convient. Pratiques écoeurantes!

Ils pensent, les élections approchant, que faire du lèche babouches leur apportera les voix qui vont leur manquer? On se rabat sur les muzz pour se faire élire, c’est ça? Quelle rabaissement! Quel avilissement! Il est certain qu’avec des projets politiques pareils, les vrais français vont glisser le bon bulletin dans les urnes… Marine Le Pen; vite !!!

FDF

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Vidéo:

02/02/2011

Une école musulmane à Aulnay-sous-Bois !

Et c’est parti pour l’enseignement de la charia, de la christianophobie et de la conquête violente du monde Occidental!

FDF

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ecole aulnay sous bois Une école musulmane à Aulnay sous Bois

Si tout se déroule comme prévu, une école privée musulmane devrait ouvrir ses portes en septembre 2011 à Aulnay-sous-Bois.

L’association Esperance Musulmane Jeunesse Française a signé une convention avec le maire de la ville pour utiliser l’ancienne école de Bougainville. Cet ancien bâtiment de l’éducation nationale » a fermé ses portes en 2007 suite à la diminution de ses effectifs, conséquence du Projet de Rénovation Urbain de la ville.

D’ici une à deux semaine, l’EMJF devrait commencer les quelques travaux et emménager dans cette école qui compte une douzaine de classe de 60 m2 chacune.

L’association compte aujourd’hui 1000 adhérents qui assistent aux cours proposés le mercredi, samedi et dimanche dans les locaux actuels. Autant d’élèves qui potentiellement pourront bientôt s’inscrire pour la rentrée 2011.

Les dirigeants du projet sont pour le moment dans l’attente de l’agrément de l’éducation national, une étape indispensable qui devrait se faire sans difficulté puisque la nouvelle école s’ouvrira dans un ancien établissement scolaire du ministère de l’éducation nationale. L’étape suivante et loin d’être la plus simple sera de trouver des subventions afin que le prix de l’année scolaire soit le plus abordable possible.

Dans le cas d’une école privée de ce type, l’année scolaire niveau primaire s’estime à 2500€ par an et par élève. D’où la nécessité de trouver des aides, des mécènes et des sponsors qui permettront de couvrir une partie des frais.

En attendant, l’EMJF fait un appel aux dons à ses adhérents et aux musulmans de France, un coup de pouce qui permettrait d’amortir les frais de démarrage.

La convention signée avec le Maire est valide aujourd’hui, mais qu’en sera-t-il pour le prochain maire. « Ceci n’est qu’une étape, en parallèle nous cherchons un terrain afin d’y construire un complexe qui assurera la pérennité de l’école» souligne l’EMJF.

Nous attendons avec impatience, l’ouverture de l’école Philippe Grenier, médecin et homme politique qui fut le premier député musulman de l’histoire de France.

Vous pouvez soutenir la création de cette nouvelle école via l’évènement Facebook.

Il est également possible d’envoyer vos chéques, contacter…

30/01/2011

Les défis de l’intégration à l’école…

Et le premier qui fera une quelconque relation entre immigration et illétrisme sera passé par les armes !

FDF

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La rapport du Haut Conseil à l’Intégration remis vendredi 28 janvier au premier ministre témoigne de la montée du communautarisme, de pressions religieuses, de la violence et de l’illettrisme à l’école.

En plus de lancer 50 propositions pour mieux intégrer les enfants issus de l’immigration, le HCI admet que les populations immigrées sont largement visées par les mesures d’assistanat développées dans l’éducation. Internats d’excellence, busing, éducation prioritaire1, ACSÉ : « les populations immigrées ou issues de l’immigration comptent parmi le public visé et sont les premiers bénéficiaires de ces dispositifs. »
On apprendra également que 3 100 000 personnes vivant en France sont en situation d’illettrisme.
1 : évaluée à 1 milliard d’euros par le ministère de l’éducation nationale (source : Rapport HCI page 46).

L’école est en effet perçue comme l’école de la France par des jeunes en perte de repères, qui se vivent comme Algériens, Marocains, Camerounais… avant d’être Français.
Les habitants des cités, souvent immigrés, seraient les opprimés d’hier, concentrés dans des ghettos, rejetés de la vie économique et de la réussite, tandis qu’au-dehors, les Français, assimilés aux Blancs, se partageraient les richesses.
Plus gravement, les filles sont soumises à la pression des garçons, notamment des frères, au prétexte de la religion et du fait qu’elles doivent « être respectées » .

À lire absolument !

Extraits :

  • « L’école donne des signes de souffrance. Elle est aujourd’hui le lieu de revendications nouvelles qui ressortissent à l’expression du communautarisme, d’une identité religieuse, voire, au rejet de la culture et des valeurs de la République française. «
  • « L’école est fortement exposée, dans certains quartiers populaires, aux tensions ethnoculturelles. Le communautarisme progresse avec des demandes d’aménagements de différentes natures pour tenir compte de pratiques religieuses ou supposées telles. En outre, la fracture culturelle qui peut exister entre certains immigrés et la grande majorité de la population crée de profonds malentendus sur la mission de l’école en termes d’intégration sociale et culturelle à la nation française. «
  • Sur certains territoires, ce vague héritage du tiers-mondisme trouve parfois des échos au sein même du corps enseignant, quelques uns de ses membres confortant les élèves dans un statut de victime, d’autant plus quand ils sont habitants des quartiers. Cette vision de l’histoire peut parfois servir de justification aux rapports sociaux : les habitants des cités, souvent immigrés, seraient les opprimés d’hier, concentrés dans des ghettos, rejetés de la vie économique et de la réussite, tandis qu’au-dehors, les Français, assimilés aux Blancs, se partageraient les richesses. Le sentiment de ne pas appartenir à la communauté nationale est partagé : chacun se définit par la nationalité d’origine de ses parents avant de se sentir Français.
  • Localement, les acteurs rencontrés livrent leurs inquiétudes face à la multiplication de faits de violence qui témoignent de rejets d’un système qui renvoie ces populations en marge de la société et de la montée de communautarismes identitaires.
  • Des enseignants se plaignent de ne pas être relayés par leur hiérarchie, devant le mot d’ordre de « ne pas faire de vagues ». Les équipes enseignantes peuvent paraître démoralisées et en plein désarroi par  rapport à leur mission d’intégration sociale et culturelle. « La  victimisation des élèves par les parents, les victimisations racistes et les menaces de saisine de la Halde « musèlent les discours » nous précise-t-on. Les enseignants disent se sentir « seuls » face aux problèmes qu’ils rencontrent. Ces difficultés se croisent souvent avec une islamisation des quartiers et provoquent au sein de l »école des tensions et pressions communautaires fortes qu’elle peine à endiguer.
  • Certaines classes des établissements des quartiers où la mixité sociale et ethnique est absente, se revendiquent comme étant « 100% musulmanes ». La religion est affichée ouvertement et chaque élève se définit ou est défini par rapport à ses origines nationales, ethniques et religieuses, s’enfermant ainsi dans une assignation. Dans ces contextes, il devient difficile pour les équipes éducatives de contrer les pressions religieuses.
  • L’enseignement de l’histoire : le « roman national » contesté : La France est depuis longtemps un pays d’immigration. Pour des générations d’enfants d’immigrés, la remise en question de l’histoire  ne s’est pas posée. La formule bien connue de « nos ancêtres les Gaulois », aujourd’hui considérée comme assimilatrice, était conçue comme un moyen d’intégrer dans une même histoire des écoliers venus de pays différents. (…)
    Or, depuis plusieurs années, dans un nombre croissant d’établissements, les cours d’histoire sont le lieu de contestations ou d’affrontements, de mise en concurrence de mémoires particulières qui témoignent du refus de partager une histoire commune.  Les sujets difficiles portent sur ce qui apparaît comme une concurrence des mémoires ou une difficulté à gérer une « contradiction dans le sentiment d’appartenance ».  Auditionnée par le HCI, l’association des professeurs d’histoire-géographie (APHG) fait état des incidents qui ont émaillé les cours de collèges de la région parisienne, notamment sur la question de l’extermination des Juifs d’Europe.
    Trois questions provoquent des tensions dans certains établissements :
    – l’enseignement du fait religieux ;
    – l’extermination des Juifs d’Europe ;
    – le Proche-Orient (le conflit israélo-palestinien).
    On peut y ajouter la décolonisation, notamment la guerre d’Algérie et les Etats-Unis (guerre
    du Golfe, guerre d’Irak, attentats de septembre 2001).
  • Il n’est plus rare que, dès l’école primaire, des parties du programme soient refusées : alors que le programme d’histoire en CM1 prévoit expressément « les Gaulois, la romanisation de la Gaule et la christianisation du monde gallo-romain », au même titre que l’étude « des conflits et échanges en méditerranée au Moyen Âge : les Croisades, la découverte d’une autre civilisation, l’islam »,  des enseignants se voient systématiquement opposés un refus de parents musulmans à l’étude, par leurs enfants, de la christianisation. Les mouvements migratoires, conséquences des Croisades sont remis en cause au prétexte que les Chevaliers n’ont pas existé ou que dans le meilleur des cas, ils n’ont jamais atteint le Proche-Orient ! Qui imaginerait que l’éducation musicale soit contestée ? Pourtant, des enfants refusent de chanter dans une chorale ou de  jouer de la flûte à bec au prétexte d’une interdiction religieuse.
    Ainsi, la pression religieuse s’invite au sein des cours et dans la contestation ou l’évitement de certains contenus d’enseignement. Ainsi, les cours de gymnastique et de piscine sont-ils évités par des jeunes filles qui ne peuvent être en mixité avec les garçons. Ces dispenses d’enseignement, parfois justifiées par des dérogations médicales « de complaisance », pose le problème du vivre ensemble entre filles et garçons. Il arrive que des enseignants, désemparés devant le peu d’élèves à la piscine lors du ramadan, cherchent auprès de l’imam le plus proche
    la justification religieuse à pouvoir suivre les cours dispensés. Par une volonté de bien faire, ces enseignants contreviennent alors au principe de laïcité et inscrivent de fait  la religion comme ayant force de loi.  Si des contenus sont contestés ou refusés, d’autres sont demandés qui portent sur le pays d’origine et non pas sur celui d’accueil.
  • Dans le cadre de l’éducation civique, juridique et sociale, au lycée, le débat argumenté est de plus en plus difficile à mettre en place dans les établissements à forte population d’origine étrangère par crainte d’affrontements identitaires. Depuis peu, les professeurs du domaine scientifique ne sont pas davantage à l’abri de contestations qu’ils doivent sans cesse contrer. L’évolutionnisme est remis en cause au profit d’une action divine ou créationniste imposée par  l’élève, sans argumentation. Loin d’être marginales, ces contestations sont suffisamment récurrentes pour être remarquées et nous avoir été signalées au cours de nos auditions comme perturbant le bon déroulement des cours.
  • Plus gravement, les filles sont soumises à la pression des garçons, notamment des frères, au prétexte de la religion et du fait qu’elles doivent « être respectées ». Comme un enseignant nous 99 l’a fait remarquer « une fille, ça circule ». Les filles sont chez elles, dans l’intimité des appartements, elles ne peuvent pas rester jouer dehors après la classe. Difficile dans ces conditions d’exister, et beaucoup constatent que les filles payent aussi le fait de jouer le jeu de l’intégration scolaire. Plus sérieuses en classe, elles obtiennent de meilleurs résultats, au grand
    damne des garçons qui leur font payer par une étroite surveillance, voire en leur reprochant d’être des « collabos ».
  • Des revendications religieuses se font jour : demande de pause pour la rupture du jeûne lors du Ramadan, rupture du jeûne de professeurs musulmans avec leurs élèves dans un collège du Nord de Paris, refus
    de représentation de figures humaines en cours de dessin… L’antisémitisme est souvent exprimé anonymement et peut se manifester lors des cours consacrés à l’enseignement du génocide des Juifs : plaisanteries déplacées, refus de voir des films comme  Nuit et Brouillard. Les tensions viennent souvent d’élèves qui s’affirment
    musulmans. L’antiaméricanisme est souvent lié à l’antisémitisme.
  • La langue française parfois rejetée. La non-maîtrise du français laisse la place à d’autres langues ou langages.
    De nombreux témoignages s’accordent à dire qu’un grand nombre de jeunes vivant dans les quartiers défavorisés ne disposent que d’un éventail de vocabulaire  restreint et qu’ils  perçoivent le français utilisé par l’enseignant comme une  langue étrangère et incompréhensible. Le langage qu’ils utilisent est circonscrit à un territoire et mélange  dans une même phrase des mots empruntés à des langues étrangères, à des mots français et au verlan. Les jeunes des quartiers ont ainsi développé ce que les linguistes appellent le principe « d’économie linguistique », réduisant leur vocabulaire à un nombre limité de mots, ce qui leur permet de communiquer entre eux dans un espace dont ils n’envisagent pas de sortir.
    D’autre part, leur langage exclut de la communication les interlocuteurs qui ne partagent pas l’implicite commun au groupe. A cet égard, on peut regretter que certains enseignants aient pu faire preuve de complaisance à l’égard du langage des cités, le considérant comme un moyen d’expression culturelle à part
    entière. (…) Des contre-langages émergent pour accompagner un marquage identitaire.
  • Une exposition renforcée à l’illettrisme. La rareté des mots, ou leur nombre limité, la méconnaissance de ceux qui sont introduits dans une conversation ou dans un texte quand ce n’est pas l’incompréhension complète du texte lui-même, traduisent un phénomène qui s’amplifie et qui marginalise des populations de plus en plus nombreuses. Les tests proposés aux  journées d’appel pour la défense (JAPD) en portent témoignages. L’illettrisme ne recule pas et marque tout particulièrement les populations issues de l’immigration comme celles du quart-monde, qui, de ce fait, sont empêchées pour certaines catégories d’entre  elles, d’entrer convenablement dans les compétences de base d’une part, d’assurer un parcours légitime de formation et de promotion professionnelle et sociale  d’autre part. Si l’étude  de référence de l’INSEE indique que 3 100 000 personnes vivant en France sont en situation d’illettrisme, l’attention doit se porter sur la répartition de ces personnes : plus d’un quart (26 %) des allocataires du RMI sont en situation d’illettrisme. Parmi  les personnes allocataires du RMI, la proportion des personnes en situation d’illettrisme est donc trois fois plus élevée que dans l’ensemble de la population concernée. Et plus important encore, une personne sur cinq (20%) qui utilisaient une langue étrangère ou régionale à la maison à 5 ans est en situation d’illettrisme contre seulement 8% de celles qui utilisaient exclusivement le Français au même âge.
  • Susceptibles de renforcer les références communautaires, les Enseignements des Langues et Cultures d’Origine (ELCO) peuvent conduire au communautarisme alors que la République qui doit être enseignée ne peut pas être un conglomérat de groupes. Certains interlocuteurs craignent même que certains ELCO deviennent des « catéchismes islamiques. »
  • L’école est en effet perçue comme l’école de la France par des jeunes en perte de repères, qui se vivent comme Algériens, Marocains, Camerounais… avant d’être Français. Ni d’ici, ni de là-bas, ils s’enferment dans une vision idéalisée de leur origine et revendiquent leur altérité au travers de leur religion. Des enseignants ont pu être traités de « sales Français » et la culture française et ses valeurs rejetées. Le rapport Obin notait déjà qu’ »un grand nombre d’élèves d’origine maghrébine, Français, voire de parents français, la majorité sans doute dans
    certains établissements, se vivent comme étrangers à la communauté nationale, opposant à tout propos deux catégories : les « Français » et « nous ».
  • « On mesure toute l’importance du choix des textes laissé à l’appréciation du professeur qui, poursuivant les objectifs affichés du programme dont celui de la formation d’une pensée autonome, peut mettre l’accent sur les valeurs de notre société démocratique ou tout simplement se soumettre aux aléas d’une classe dont quelques éléments ne maîtrisent pas encore tous les leviers de la pensée individuelle voire la rejettent au nom d’un communautarisme identitaire. C’est ainsi que peut se creuser ou s’entretenir un écart entre des établissements périphériques qui, pour capter un auditoire parfois rétif ont plus mis l’accent sur des formes nouvelles d’expression (rap, slam), et des établissements accueillant des élèves issus de milieux favorisés qui restent attachés à travailler des expressions littéraires ou des auteurs plus « classiques ». Cette liberté de choix, permettant à l’enseignant d’adapter sa pédagogie au public enseigné, peut être source de discrimination et d’enfermement culturels si elle n’est pas suffisamment encadrée. »

Source : Rapport 2011 du HCI : « Les défis de  l’intégration à l’école » (fichier PDF 1,7 Mo).

D’après: http://www.defrancisation.com/

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