Francaisdefrance's Blog

16/01/2012

« Pour sauver leur fond de commerce, les antiracistes ont dénaturé le mot racisme » !

Le racisme, c’est « à la tête du client »… On peut être taxé de raciste pour un mot, un texte, une parole, un regard de reproche à un « jeune de banlieue », un avis contraire à l’islamisme, une dénonciation des actes barbares commis par des islamistes et/ou des musulmans, en s’offusquant que l’on brule notre drapeau national, que l’on salisse nos églises, nos monuments aux morts, nos cimetières, en se révoltant contre des « jeunes » qui caillassent nos forces de police, en mettant au jour les actes de barbaries commis par des gens « issus de l’immigration » sur notre terre de France, etc… La liste est loin d’être exhaustive.

En revanche, un mutisme complet est constaté sur le racisme anti-blancs… Car il est plus présent qu’on ne pourrait le croire…

La lutte anti-raciste n’est pas l’apanage de quelques associations fort bien subventionnées pour traîner le « blanc » dans la boue et le faire payer afin de renflouer leurs caisses. C’est pourtant ce qui se passe, en France, chez NOUS.

Il est temps d’inverser la vapeur. Le Français gronde; le peuple gronde et ça, ce n’est pas un bon signe.

FDF

.

Les dirigeants de l’E-zine RIPOSTE LAIQUE (http://ripostelaique.com/ ) Pierre Cassen, et Pascal Hilout passeront donc devant la 17e chambre correctionnelle, le vendredi 3 février, à partir de 13 h 30, au Palais de Justice de Paris. Leur crime : pour le premier, avoir assumé, en tant que rédacteur en chef, la responsabilité de deux éditos, dont l’écriture d’un d’entre eux. Pour le second, avoir, sous le nom de Cyrano, écrit le deuxième. Ont-ils formulé des choses graves ? Nous vous laissons en juger, en lisant ces deux articles, repris par le site « Poste de Veille » :

http://www.postedeveille.ca/2011/01/france-la-ligue-des-droits-de-lhomme-veut-condamner-riposte-la%C3%AFque-au-goulag.html

Selon la Ligue des Droits de l’Homme, initiatrice de la plainte, soutenue par le MRAP, la LICRA et le CCIF, ces deux textes constitueraient une incitation à la haine « à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».

Le philosophe Radu Stoenescu ne résumait-il pas la réalité de ce procès, dans un article intitulé « Pour sauver leur fond de commerce, les antiracistes ont dénaturé le mot racisme »

Nous sentons monter une exaspération, une colère sourde, contre ces associations qui, vivant largement des subventions publiques, ont perverti le légitime combat antiraciste, en le transformant en idéologie sectaire, au service du multiculturalisme et de l’islamisation. Les Français ne supportent plus que la moindre critique de l’islam, la moindre allusion aux origines de la majorité des délinquants soit immédiatement qualifiée de « racistes ». Cela leur est d’autant plus insupportable que nombre d’entre eux subissent, dans leur quotidien, des agressions verbales ou physiques, en raison de leur origine ou de la couleur de leur peau, et que, dans ces cas là, les prétendues associations antiracistes brillent par leur silence, théorisant la doctrine d’un Sopo ou d’une Bouteldja affirmant que le racisme anti-blanc n’existerait pas !

Faut-il rappeler que la LDH, qui a instruit ce procès, a un budget de 2 millions d’euros l’année. On peut penser que la LICRA et le MRAP tournent aux environs de 1 million d’euros l’année. Quant au quatrième compère, le Collectif contre l’Islamophobie en France (CCIF), honteusement reconnu d’utilité publique, il ne cache pas, par la bouche de son président, le but des procès qu’il intente, et ses besoins d’argent !

On peut, sans se tromper, affirmer que le rapport de forces financier entre Riposte Laïque et ses accusateurs se situe de un à mille. Le journal n’a aucun permanent, ils en ont plusieurs dizaines. Il n’a pas de local, ils bénéficient de dizaines de bureaux à Paris et en province. RL ne touche aucune subvention, les leurs se comptent en centaines de milliers d’euros chaque année, que cela vienne de l’État ou des collectivités locales. Quand ils organisent une initiative comme « L’apéro saucisson-pinard » ou « Les assises internationales sur l’islamisation de nos pays », ils les autofinancent, ils bénéficient, eux, malgré leurs subventions, de participations exceptionnelles qui remplissent encore davantage leurs caisses. Ils n’ont jamais cherché à faire interdire une de leurs actions, ou appeler à des contre-manifestations, quand ils multiplient menaces et intimidations. Les Résistants ne peuvent multiplier les procès à répétition, malgré toutes les calomnies, menaces et insultes subies (voir entre autres l’article le plus ignoble, de Fiammetta Venner paru dans une revue de la Licra, ou celui de Bernard Henry Levy qui vaut une mise en examen de son auteur, suite à une plainte du Bloc Identitaire), ils ont à leur disposition des avocats capables de multiplier intimidations et plaintes contre leurs adversaires. Cassen et Hiloul jouent leur peau dans ce procès, pour eux, c’est une goutte d’eau dans l’océan.

C’est leur logique inquisitrice qui a amené devant les tribunaux des personnes respectables comme Michel Houellebecq, Fanny Truchelut, Éric Zemmour, Marie-Neige Sardin, aujourd’hui Pierre Cassen et Pascal Hilout, et combien d’autres de malheureux concitoyens, salis, calomniés, insultés et parfois ruinés par les nouveaux Torquemada de l’antiracisme. Leur crime : ne pas aimer l’islam, le message peu amical qu’il véhicule sur notre territoire, et oser le dire !

Ce procès révolte nombre de nos amis, et plus largement des lecteurs qui, bien que ne partageant pas toujours les écrits de Riposte Laïque, connaissent Pierre et Pascal. Chacun sait que leur place n’est pas devant un tribunal. Personne ne les imagine tenir le moindre propos raciste. Chacun comprend que les maîtres-censeurs, incarnation d’un effrayant totalitarisme de la pensée, battu politiquement, veulent « se faire » Riposte Laïque, en frappant à la caisse. Ils rêvent de faire taire définitivement un journal qui les dérange, et à qui ils ne pardonnent pas une liberté de ton, voire parfois un humour totalement étranger à leur dogmatisme.

Le 3 février, nous faisons confiance à Pierre, Pascal, et à Maître Joseph Scipilliti, pour défendre l’honneur de Riposte Laïque, et hisser haut nos valeurs fondatrices : laïcité, république, nation, droit des femmes, liberté de conscience, démocratie, droit au blasphème, et surtout, amour de la France de Voltaire.

Source: http://ripostelaique.com/

28/11/2011

Une femme condamnée à se faire endoctriner dans une mosquée au Canada !

EST CE QUE LES MUSULMANS  QUI CRACHENT SUR LES ÉGLISES  SONT CONDAMNéS A APPRENDRE LE CHRISTIANISME?

.

Révoltant. On devrait, en France, organiser un concours d’arrachage de niqabs; avec récompense à la clef, bien entendu. Il existe une loi qui considère comme une infraction le fait de porter ce déguisement dans les lieux publics, non? On soulagerait d’une part la justice et la police; et, d’autre part, on se ferait grandement plaisir, non?

Bon; on risquerait des travaux d’intérêt général dans une mosquée comme punition. Mais pour une fois que l’on aurait un pied chez l’envahisseur…

Mais non; j’déconne… (pas tant que ça…).

FDF

.


Une femme, qui a plaidé coupable d’agression pour avoir tiré le niqab d’une musulmane dans un centre commercial de Mississauga en Ontario, a reçu une sentence suspendue vendredi.


Une Ontarienne a arraché le niqab d’une musulmane dans un centre commercial, ce qui est condamnable. Par contre, on ne devrait pas punir l’agression contre la liberté religieuse d’une musulmane en bafouant la liberté de conscience d’une non musulmane.

Sur Facebook, mon ami Pierre a écrit ce commentaire très pertinent : «En Chine, du temps de Mao, on appelait ça de la rééducation…»

___________________
Une femme qui a plaidé coupable d’agression pour avoir tiré le voile facial d’une musulmane dans un centre commercial de Mississauga en Ontario a reçu une sentence suspendue vendredi.


Rosemarie-creswell

Rosemarie Creswell [photo] a plaidé coupable d’agression après que la caméra de sécurité du centre commercial l’a montrée en train d’arracher le voile facial traditionnel d’Inas Kadri, appelé niqab, au Centre Sheridan de Mississauga en août 2010. Kadri était accompagnée de ses deux jeunes enfants au moment de l’attaque.

Kadri affirme que deux femmes se sont approchées d’elle et que l’une d’elles a commencé à l’admonester. «Elle a critiqué ma religion, mon voile facial et ma présence au Canada», a déclaré Kadri à l’émission Metro Morning sur la radio de CBC vendredi. «Ce fut un choc».


Le juge Ian Cowan a condamné Creswell à une peine avec sursis et à un an de probation et de service communautaire. Cela signifie qu’elle aura un casier judicaire mais qu’elle ne sera pas emprisonnée. «À quoi pensiez-vous… », a-t-il dit. On ne peut pas tolérer que des gens soient agressés à cause de leur différence».


Le juge a proposé que Creswell accomplisse une partie de ses travaux communautaires dans une mosquée locale afin d’en apprendre davantage sur l’islam.

Source :  Niqab assault case ends in suspended sentence, CBC, 25 novembre 2011. Extrait traduit par Poste de veille

Source: http://www.postedeveille.ca

17/06/2011

Les « sans-culotte » arboraient ils comme emblème un « torche-cul » ???

Lu sur Riposte Laïque… Pas mal.

FDF

.

Un « torche-cul » le drapeau tricolore ?

Nous portons à la connaissance de nos lecteurs cette magnifique réponse qu’avait faite Léon Landini, un des fondateurs du comité Valmy, à Christian Eyschen, l’ineffable secrétaire de la Libre Pensée, qui avait qualifié le drapeau tricolore de « torche-cul ». Un texte inoubliable, que nous recommandons à tous nos lecteurs.

Depuis la parution sur le mensuel « LA RAISON » N° 537, d’un article déjà fort ancien signé par Jean Zay et intitulé « Le drapeau », un débat parait s’être institué entre nos camarades et diverses autres personnes. Ne pouvant rester silencieux sur un problème et sur certaines affirmations qui me paraissent offensantes, je ne peux m’empêcher de donner mon sentiment sur ce sujet.

Je voudrais surtout intervenir sur la réponse de Christian Eyschen, (rédacteur en chef de la revue La Raison) à Annie Lacroix-Riz lorsqu’il écrit : « chacun est libre d’aimer ou pas le drapeau tricolore et la Marseillaise. En ce domaine comme dans d’autres, la Libre Pensée pratique le respect de la liberté de conscience…. Je partage tout à fait ce point de vue … « le patriotisme est le dernier refuge de la canaille » … et je ne me lève jamais quand passe la Marseillaise ».

Permets-moi cher Christian de te faire remarquer que traiter de « torche-cul » un drapeau, qui pour moi (et sans doute pour beaucoup d’autres) représente quelque chose d’important, ce n’est pas : « pratiquer le respect de la liberté de conscience », comme tu l’affirmes. Je suis convaincu, que si quelqu’un t’avais demandé de faire paraître un article sur ta revue dans lequel on traite le drapeau rouge et l’Internationale (que tu défends avec acharnement) de torche-cul, tu aurais très vraisemblablement refusé en disant et avec juste raison, que l’utilisation d’un pareil langage offenserait de nombreux adhérents de la Libre Pensée. Si comme tu le dis, je suis libre d’aimer la Marseillaise et le drapeau tricolore, il n’y a aucune raison que je permette à quelqu’un d’offenser ces symboles sans réagir fermement.

Venons-en maintenant au fond du problème. Il convient de mettre en évidence que la Marseillaise n’est pas uniquement un hymne français, mais un chant révolutionnaire de la première heure, qui a été repris et adopté par nombre de révolutionnaires de tous les continents. En voici quelques exemples :

– Le drapeau tricolore et la Marseillaise étaient l’emblème et le chant des sans culottes, qui à Valmy vainquirent la coalition royale accouru pour écraser la République française. Arboraient-ils un « torche-cul » ?

– Vers 1900, ceux qui en Russie chantaient la Marseillaise en public étaient arrêtés et déportés par la police du tsar.

– Après la révolution d’octobre en 1917, les bolchevicks l’adoptèrent pour hymne, avant de reprendre un autre chant révolutionnaire : L’Internationale.

– En 1931, à l’avènement de la Seconde République espagnole, les espagnols accueillirent le nouveau régime en chantant la Marseillaise, dans une version espagnole ou catalane.

– En 1940, dans la France occupée c’est au chant de la Marseillaise que les 27 fusillés de Châteaubriant furent emmenés au poteau d’exécution.
– C’est à Auschwitz, que 300 françaises pénétrèrent dans ce camp de la mort en chantant la Marseillaise, défit antinazi incomparable, ce qui redonna du cœur au ventre à l’ensemble des déportés.

– Combien de résistants, militants communistes furent fusillés poings levés, en chantant la Marseillaise et en criant vive le Parti communiste. Un grand nombre d’entre eux auraient considéré comme un honneur d’être ensevelis dans un drapeau tricolore.

– Il me semble utile de rappeler, (ce que beaucoup ignorent) que L’Internationale a été écrite par Eugène Pottier pendant la révolte de la commune de 1871 sur l’air de la Marseillaise et, qu’aujourd’hui encore on peut très bien mettre les paroles de L’Internationale sur la Marseillaise et vice et versa….

Suite et source: http://ripostelaique.com/un-torche-cul-le-drapeau-tricolore.html