Francaisdefrance's Blog

16/01/2012

« Pour sauver leur fond de commerce, les antiracistes ont dénaturé le mot racisme » !

Le racisme, c’est « à la tête du client »… On peut être taxé de raciste pour un mot, un texte, une parole, un regard de reproche à un « jeune de banlieue », un avis contraire à l’islamisme, une dénonciation des actes barbares commis par des islamistes et/ou des musulmans, en s’offusquant que l’on brule notre drapeau national, que l’on salisse nos églises, nos monuments aux morts, nos cimetières, en se révoltant contre des « jeunes » qui caillassent nos forces de police, en mettant au jour les actes de barbaries commis par des gens « issus de l’immigration » sur notre terre de France, etc… La liste est loin d’être exhaustive.

En revanche, un mutisme complet est constaté sur le racisme anti-blancs… Car il est plus présent qu’on ne pourrait le croire…

La lutte anti-raciste n’est pas l’apanage de quelques associations fort bien subventionnées pour traîner le « blanc » dans la boue et le faire payer afin de renflouer leurs caisses. C’est pourtant ce qui se passe, en France, chez NOUS.

Il est temps d’inverser la vapeur. Le Français gronde; le peuple gronde et ça, ce n’est pas un bon signe.

FDF

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Les dirigeants de l’E-zine RIPOSTE LAIQUE (http://ripostelaique.com/ ) Pierre Cassen, et Pascal Hilout passeront donc devant la 17e chambre correctionnelle, le vendredi 3 février, à partir de 13 h 30, au Palais de Justice de Paris. Leur crime : pour le premier, avoir assumé, en tant que rédacteur en chef, la responsabilité de deux éditos, dont l’écriture d’un d’entre eux. Pour le second, avoir, sous le nom de Cyrano, écrit le deuxième. Ont-ils formulé des choses graves ? Nous vous laissons en juger, en lisant ces deux articles, repris par le site « Poste de Veille » :

http://www.postedeveille.ca/2011/01/france-la-ligue-des-droits-de-lhomme-veut-condamner-riposte-la%C3%AFque-au-goulag.html

Selon la Ligue des Droits de l’Homme, initiatrice de la plainte, soutenue par le MRAP, la LICRA et le CCIF, ces deux textes constitueraient une incitation à la haine « à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».

Le philosophe Radu Stoenescu ne résumait-il pas la réalité de ce procès, dans un article intitulé « Pour sauver leur fond de commerce, les antiracistes ont dénaturé le mot racisme »

Nous sentons monter une exaspération, une colère sourde, contre ces associations qui, vivant largement des subventions publiques, ont perverti le légitime combat antiraciste, en le transformant en idéologie sectaire, au service du multiculturalisme et de l’islamisation. Les Français ne supportent plus que la moindre critique de l’islam, la moindre allusion aux origines de la majorité des délinquants soit immédiatement qualifiée de « racistes ». Cela leur est d’autant plus insupportable que nombre d’entre eux subissent, dans leur quotidien, des agressions verbales ou physiques, en raison de leur origine ou de la couleur de leur peau, et que, dans ces cas là, les prétendues associations antiracistes brillent par leur silence, théorisant la doctrine d’un Sopo ou d’une Bouteldja affirmant que le racisme anti-blanc n’existerait pas !

Faut-il rappeler que la LDH, qui a instruit ce procès, a un budget de 2 millions d’euros l’année. On peut penser que la LICRA et le MRAP tournent aux environs de 1 million d’euros l’année. Quant au quatrième compère, le Collectif contre l’Islamophobie en France (CCIF), honteusement reconnu d’utilité publique, il ne cache pas, par la bouche de son président, le but des procès qu’il intente, et ses besoins d’argent !

On peut, sans se tromper, affirmer que le rapport de forces financier entre Riposte Laïque et ses accusateurs se situe de un à mille. Le journal n’a aucun permanent, ils en ont plusieurs dizaines. Il n’a pas de local, ils bénéficient de dizaines de bureaux à Paris et en province. RL ne touche aucune subvention, les leurs se comptent en centaines de milliers d’euros chaque année, que cela vienne de l’État ou des collectivités locales. Quand ils organisent une initiative comme « L’apéro saucisson-pinard » ou « Les assises internationales sur l’islamisation de nos pays », ils les autofinancent, ils bénéficient, eux, malgré leurs subventions, de participations exceptionnelles qui remplissent encore davantage leurs caisses. Ils n’ont jamais cherché à faire interdire une de leurs actions, ou appeler à des contre-manifestations, quand ils multiplient menaces et intimidations. Les Résistants ne peuvent multiplier les procès à répétition, malgré toutes les calomnies, menaces et insultes subies (voir entre autres l’article le plus ignoble, de Fiammetta Venner paru dans une revue de la Licra, ou celui de Bernard Henry Levy qui vaut une mise en examen de son auteur, suite à une plainte du Bloc Identitaire), ils ont à leur disposition des avocats capables de multiplier intimidations et plaintes contre leurs adversaires. Cassen et Hiloul jouent leur peau dans ce procès, pour eux, c’est une goutte d’eau dans l’océan.

C’est leur logique inquisitrice qui a amené devant les tribunaux des personnes respectables comme Michel Houellebecq, Fanny Truchelut, Éric Zemmour, Marie-Neige Sardin, aujourd’hui Pierre Cassen et Pascal Hilout, et combien d’autres de malheureux concitoyens, salis, calomniés, insultés et parfois ruinés par les nouveaux Torquemada de l’antiracisme. Leur crime : ne pas aimer l’islam, le message peu amical qu’il véhicule sur notre territoire, et oser le dire !

Ce procès révolte nombre de nos amis, et plus largement des lecteurs qui, bien que ne partageant pas toujours les écrits de Riposte Laïque, connaissent Pierre et Pascal. Chacun sait que leur place n’est pas devant un tribunal. Personne ne les imagine tenir le moindre propos raciste. Chacun comprend que les maîtres-censeurs, incarnation d’un effrayant totalitarisme de la pensée, battu politiquement, veulent « se faire » Riposte Laïque, en frappant à la caisse. Ils rêvent de faire taire définitivement un journal qui les dérange, et à qui ils ne pardonnent pas une liberté de ton, voire parfois un humour totalement étranger à leur dogmatisme.

Le 3 février, nous faisons confiance à Pierre, Pascal, et à Maître Joseph Scipilliti, pour défendre l’honneur de Riposte Laïque, et hisser haut nos valeurs fondatrices : laïcité, république, nation, droit des femmes, liberté de conscience, démocratie, droit au blasphème, et surtout, amour de la France de Voltaire.

Source: http://ripostelaique.com/

03/12/2011

Les Français en voie de disparition, mais chut…

Encore une intervention mémorable de Zemmour…

Que de vérités. Et il y en a que le sujet fâche… Ils ne doivent pas être Français.

FDF

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http://youtu.be/3A1dXlqB7VI

04/11/2011

On m’a fait une chanson ! Si si…

J’en suis très ému: un momo m’a fait une chanson… Enfin à moi mais aussi à destination de toutes celles et ceux qui partagent ma sensibilité. Merci, Jean-Edouard. C’est beau.

Dommage que tu mélanges un peu tout. Enfin; continue de « niquer » (d’évoquer le mot, du moins…); ça doit certainement te faire du bien. Mais attention: à ce point là, tu vas te ruiner la santé.

Tu sais: on t’aime aussi, Jean-Edouard…

FDF

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Jean edouard mouloud commented on Zemmour condamné et des sous-merdes crachent sur la France en toute impunité…

Moi je suis entièrement d’accord avec toi et je vais faire une chanson qui est aussi une réaction légitime puisqu’on est en démocratie et qu’on peut tout dire sans vexer, ni être condamné.
Elle s’appel « nique ta mère petit raciste haineux »
Nique ta race parce que tu crois pouvoir être représentatif d’un peuple
Nique ta race parce que vous êtes qu’une poignée de nationaliste inutile
Nique ta race et accepte que le français intégré soit d’une autre confession
Nique ta race parce que Kasher ça te dérange pas mais halal oui!
Nique ta race quand toi et tes aïeux ont spoliés et piétiné tu trouves ça normal
Nique ta race parce qu’elle aurait du t’éduquer au lieu de faire la pute
Nique ta race parce que 10 % de la population est musulmane et française
Nique ta race parce que ton énergie viens de ces mêmes que tu hais
Nique ta race parce qu’en échange de leur exploitation ils ont des clopinettes
Nique ta race parce que tu devrais te souvenir qu’ils sont mort pour que tu soit pas chleu
Nique ta race parce que tu parle de 3000 fantômes, mais pas des milliers de palestiniens
Nique ta race parce qu’en 2001 c’est un complot et qu’en 2009 c’est un génocide
Nique ta race parce que t’es un facho et qui regrette surement que le reich ne règne pas
Nique ta race parce que t’es surement comme zemmour un français de souche impure
Nique ta race parce que la France c’est la liberté d’expression et la diversité.

 

More information about Jean edouard mouloud

IP: 90.50.249.75, ABordeaux-158-1-6-75.w90-50.abo.wanadoo.fr
E-mail : zboubi@hotmail.fr
URL:
Whois: http://whois.arin.net/rest/ip/90.50.249.75

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Merci à toi, Jean-Edouard. je te rends ton amour:

Touche toi, mon pote !

FDF

15/10/2011

Z comme Zemmour : “islam et démocratie” [vidéo]

Pour celles et ceux qui n’ont pas écouté l’émission. La voici en images…

FDF

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Eric Zemmour : « islam et démocratie »

http://www.dailymotion.com/video/xlndma_eric-zemmour-islam-et-democratie_news?start=134#from=embed

Éric Zemmour réagit aux persécutions dont sont l’objet les Coptes en Égypte.

12/10/2011

La vérité qui blesse…

Banlieues : Eric Zemmour assimile islam et délinquance…

Et Dieu sait si il a raison. On en a la preuve tous les jours, pour ceux qui s’intéressent au phénomène.

Mais voilà; chez Oumma.com, on s’insurge. Normal, ils sont directement touchés… La relation de cause à effet est pourtant tellement flagrante…

FDF

Un bel exemple… Vous l’avez reconnu ? « La Fouine »…

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« Récidive. Samedi, le chroniqueur Eric Zemmour a tenu des propos singuliers sur l’antenne d’I Télé en dressant un parallèle entre regain de la délinquance en banlieue et pratique accrue de l’islam.

Sollicité à propos d’une déclaration du ministre de l’Intérieur selon lequel il n’y avait « pas de zone de non-droit » en France, le journaliste du Figaro a développé-sans l’étayer par des faits précis- une corrélation entre la seconde religion du pays et l’accroissement du banditisme dans les quartiers populaires : « C’est souvent le droit du plus fort….souvent le droit des bandes. On nous explique dans Le Monde que c’est parfois le droit de l’islam ». Eric Zemmour fait là référence à l’article du quotidien faisant état d’un rapport dirigé par le chercheur Gilles Kepel et dévoilé la semaine dernière par l’Institut Montaigne.

Le polémiste renchérit : « L’ordre est maintenu par d’autres. Par les clans, par les voyous, parfois par l’imam… Il y a un ordre concurrent, un ordre qui s’est substitué à l’ordre républicain ». D’ordinaire plus conciliant, son interlocuteur Nicolas Domenach du journal Marianne a vivement marqué son désaccord en lui rappelant, au-delà de son « glissement abusif », que le rapport ne contenait aucunement son analyse associant délinquance et islam. Cela n’empêchera pas Eric Zemmour de vouloir conclure de manière péremptoire sur son idée-maîtresse : l’intensification de la pratique religieuse et le repli communautaire constituent, à ses yeux, la cause
 et non la conséquence- de la « ghettoïsation ».

Après son dérapage relatif à l’origine ethnique des trafiquants, son approbation-condamnée par la justice- de la discrimination à l’embauche et sa récente incitation au contrôle « normal des Arabes et des Noirs » par la police, l’homme évincé de France 2 continue de propager un discours idéologique sous couvert de journalisme politique. Déjà ravis par sa dernière interview complaisante de Marine Le Pen, ses admirateurs qui lui vouent un culte systématique -notamment les lecteurs des sites Fdesouche, Riposte laïque et Enquête&Débat devraient être rassurés : l’invité régulier des déjeuners de l’Elysée et des colloques de l’UMP n’a rien perdu de son militantisme islamophobe. Quant au Conseil français du culte musulman, son silence est -comme à l’accoutumée- à la mesure du vacarme causé ailleurs par son homologue du CRIF : assourdissant. »

Source: oumma.com

Bonus: http://youtu.be/yNv70E2MOX8

13/06/2011

Démocratie à la française…

« Faut pas dire ci, faut pas dire ça »; que de vérités, que l’on peut constater tous les jours. Et on laisse faire; en bons « franchouillards » que nous sommes…

FDF

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La NON-démocratie française : comment les libertés sont muselées ?

« Vous n’avez pas le droit de dire ça », voilà une formule qu’on entend bien souvent sur les médias. « On ne peut que soutenir cette demande », voilà ce qui motive bien des votes dans les assemblées politiques. Mais alors que reste-t-il alors de la liberté de débat et de la liberté de décisions ? Polémia fait le point.

« Vous n’avez pas le droit de dire cela »

« Vous n’avez pas le droit de dire cela » : à la radio et à la télévision, c’est la phrase clé des défenseurs du politiquement correct : Domenach, Aphatie et autres Joffrin en usent et en abusent. Et gare à ceux qui s’écartent de l’oukase !

Frédéric Taddeï a tenté d’ouvrir les horizons intellectuels de son émission Ce soir ou jamais : France 3 a décidé de diviser son temps d’antenne par quatre. Eric Zemmour a osé déclarer « La plupart des trafiquants de drogue sont noirs ou arabes » : France 2 l’a viré de l’émission On n’est pas couché dont il était la vedette. Et selon l’Express Robert Ménard serait chassé de RTL à la rentrée. Il est vrai que l’ancien président de Reporters sans frontières s’était mis en tête de défendre la liberté d’expression non seulement en Chine et en Iran mais aussi en France : quelle idée ! Dans les médias la machine à épurer fonctionne à plein régime.

Les sanctions pleuvent sur les dissidents

Les politiques n’y échappent pas. Christian Vanneste, qui combat l’homosexualisme militant, a été diabolisé bien qu’il ait gagné en Cassation les procès qui lui étaient faits.

Chantal Brunel, député UMP de Seine-et-Marne, paie au prix fort sa déclaration où elle suggérait de remettre dans des bateaux les clandestins de Lampedusa : son mari vient d’être mis en cause pour abus de biens sociaux à propos des élections législatives de 2002. Peut-être des irrégularités ont-elles été commises, mais pourquoi les poursuivre maintenant et seulement maintenant, alors que les faits supposés remontent à 2002 et la dénonciation à 2004 ? Et pourquoi seulement celles-là ?

De même on vient de s’aviser que la situation administrative de Luc Ferry serait irrégulière. Voici le fait générateur de cette découverte : Luc Ferry a brisé l’omerta en évoquant un ancien ministre qui aurait été « poissé » à Marrakech avec des mineurs. Immédiatement, le Canard enchainé a joué son rôle de garde-chiourme du Système !

En France, le volume du Code pénal a doublé en trente ans : cela n’a guère contribué à rétablir la sécurité publique mais cela aide à « tenir » les gens. Quiconque sort des clous du politiquement correct s’expose à une mise en cause médiatico–judiciaire. A contrario, et jusqu’à son accident new-yorkais, DSK a bénéficié d’une immunité médiatico-judiciaire sans faille malgré ses frasques sexuelles et le financement scabreux de ses campagnes politiques par Euro-RSCG.

« On ne peut que soutenir cette demande » : cette phrase-valise sert souvent dans les assemblées parlementaires ou les conseils locaux pour justifier l’attribution de subventions. Il suffit que l’association demanderesse soit politiquement correcte pour obtenir sans examen sérieux l’argent qu’elle réclame : associations immigrationistes, lobby antiraciste, mouvements culturels en rupture avec les traditions, mouvance homosexualiste se financent ainsi sur le dos des contribuables. Sur ces sujets-là, il n’y a pas de débat possible dans les assemblées sauf sur des amendements… d’augmentation des crédits proposés. Ceux des élus, qui au fond d’eux-mêmes, au PS ou à l’UMP, sont défavorables à certaines subventions, se taisent ou se terrent. Pour ne pas risquer d’être diabolisés.

Résultat : les élus votent des subventions à des associations qui paient des avocats qui les poursuivent pour limiter la liberté de parole des politiques ; et lorsque l’Etat défend devant un tribunal l’expulsion d’un étranger clandestin, il n’a pas d’argent pour se payer un avocat ; mais il en a donné à l’association qui paye… l’avocat du clandestin.

La démocratie suppose la libre et équitable confrontation des idées et des volontés. En France, ces conditions ne sont pas remplies. La démocratie y est un leurre, la NON-démocratie est la règle.


vu sur http://www.polemia.com/article.php?id=3864

25/05/2011

Y’en a qui n’ont pas grand-chose à f…..

Voyez plutôt:

FDF

(Et si on mettait en place un Awards des racistes anti-blancs? Pas la peine, il y aurait trop de prétendants au palmarès…).

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Humour noir et rire jaune : le palmarès des Y’a Bons Awards

Les Indivisibles ont décerne lundi soir à Paris leurs prix pour des propos jugés discriminatoires et racistes, tenus par des personnalités du monde politique ou intellectuel français.

Dénoncer les propos tenus dans les médias par des personnalités du monde politique ou intellectuel français contre les Noirs, les Arabes, les immigrés, l’islam, ou encore les habitants des banlieues : tel est le but des Y’a Bon Awards, une cérémonie de remise de prix parodique créée par Les Indivisibles. Comme une invitation à une catharsis, cette association a réuni lundi 23 mai au Cabaret Sauvage, pour la troisième année consécutive, tous ceux qui ont préféré rire de ces propos plutôt qu’en pleurer.

Un jury composé de 14 personnalités, dont l’ex-président de l’OM Pape Diouf, le cinéaste Radu Mihaileanu, la chanteuse Princess Erika, l’écrivain Rachid Djaïdani ou encore l’humoriste Didier Porte, ont décerné des trophées en forme de banane dans six catégories dont le point d’orgue fut le Y’a Bon Award « Pour l’ensemble de son œuvre ». Cette sorte de palme d’or des propos discriminatoires et racistes, décernée à une personnalité qui aura particulièrement marqué l’année écoulée, est allée à Eric Zemmour.

La soirée présentée par Raphal Yem, l’animateur de l’émission Canal Street, commence par un petit sketch. Lors d’une interview, une fausse militante de l’UMP, qui, dans un discours d’une apparente banalité sur le sport par exemple, sort des énormités de racisme et d’intolérance. Chaque déclaration de l’interviewée se ponctue par le rappel des origines asiatiques de Raphal, rebaptisé Monsieur Chinois ou encore Monsieur Vermicelle, provoquant les premiers rires dans l’assemblée. Si ce sketch n’est que pure invention, il donne le ton de la soirée et n’est qu’un amuse-gueule de ce qui reste à venir, à savoir le pire. Car la réalité et donc la force des propos sélectionnés pour cette compétition, prononcés par des personnalités connues dans des tribunes publiques que sont les médias, vont dépasser de très loin cette petite fiction.

La première catégorie, « Finalement c’est pas si dur de dire un truc raciste » couronne le nez, Jean-Paul Guerlain, héritier des parfums du même nom et qui avait déclaré lors du Journal télévisé de France 2, à une heure de grande écoute : « Pour une fois, je me suis mis à travailler comme un nègre. Je ne sais pas si les nègres ont toujours tellement travaillé, mais enfin… », coiffant ainsi sur le poteau les autres nominés, Brice Hortefeux, Jacques Séguéla, John Galliano ou encore Olivier Jay. Chaque remise de prix étant entrecoupée d’une animation, Raphal, rebondissant sur l’actualité des récentes polémiques dans le football français, tient à présenter le profil de l’équipe de France du futur. Débarque alors sur la Marseillaise une équipe entièrement composée de joueurs d’origine asiatique. Effet de surprise et hilarité générale garanties dans le public.

La seconde catégorie intitulée « Les Envahisseurs » n’a pu départager deux de ses quatre nominés. Le public entièrement acquis à la cause des Y’a Bon Awards et qui réagit souvent en écoutant les sélectionnés en course pour la Banane d’Or par des invectives comme « On est Français ! », accueille avec un tonnerre de « Ouuuuooh » ou de sifflets les propos du gagnant ex-æquo avec Pascal Bruckner, à savoir ceux de Bruno Larebière, rédacteur en chef du journal Minute.

Ce  dernier avait déclaré dans l’émission « Ménard sans interdit » sur I-Télé : « Je me demande s’il n’était pas plus facile de circuler en 1940 sous occupation Allemande que de circuler à la Goutte d’Or un vendredi. » Puis, quand Bruno Larebière sort en plus de son drapeau bleu-blanc-rouge un saucisson qu’il exhibe comme les deux symboles de la nouvelle résistance française, le Cabaret sauvage lui fait un triomphe de rires et d’applaudissements ironiques. Le coup du saucisson intronisé nouvelle Croix de Lorraine restera, sans doute, pour de nombreux participants, dans les annales des Y’a Bons toutes catégories confondues…

Quatre autres catégories ont ensuite récompensé Robert Ménard, Eric Zemmour donc, le trio de l’émission de RTL « On refait le monde », Michel Godet, Elisabeth Levy et Ivan Rioufol, puis les deux membres de l’UMP Chantal Brunel et Benjamin Lancar, très remarqué par le public dans la catégorie « Meilleur espoir ». Les animations qui auront particulièrement diverti le public, sont le karaoké « en rebeu » de la chanson « Savoir aimer » de Florent Pagny (clin d’œil à sa déclaration sur le fait que « ça le dérangeait que son fils parle rebeu à la maison »), mais surtout le sketch d’un jeune humoriste de 14 ans originaire du Blanc-Mesnil (93), Stéphane Bak, qui a conquis la foule par ses vannes et sa prestation digne des plus grands professionnels du stand-up.

Après les déclarations et le salut final sur scène de tous les invités et membres du jury, le Cabaret sauvage a du mal à se vider, le public semblant comme revigoré par cet entre-soi politico-humoristique. Chacun y va de son commentaire sur le palmarès. Un multi-nominé reparti bredouille revient sur de nombreuses lèvres. Beaucoup sont en effet déçus que Claude Guéant n’ait pas été récompensé « Pour l’ensemble de son œuvre ».

Cela semble être aussi le cas de Benoît Hamon, le porte-parole du Parti socialiste, seul politique à avoir fait le déplacement et extrêmement sollicité par les médias présents. Pour lui, les déclarations du ministre de l’intérieur « font mal aux gens et à la République ». A la question « Avez-vous passé une bonne soirée ? », sa réponse est positive. L’humour de la soirée qu’il dit avoir beaucoup apprécié lui aurait évité « la nausée » à l’écoute de cet enchaînement de petites phrases…

Les Indivisibles, ce groupe de militants qui compte plus de 250 membres actifs et dont le but est de déconstruire, notamment grâce à l’humour et l’ironie, les préjugés ethno-raciaux, et en premier lieu celui qui nie ou dévalorise l’identité des Françaises et des Français non-blancs, semblent avoir réussi leur pari du soir. Apporter une bouffée d’air frais en faisant rire les participants tout en dénonçant clichés, petites phrases, saillies discriminatoires et préjugés qui, pour l’association, sont « des discours malodorants qui ont bien souvent rendu l’espace public et médiatique irrespirable ».


Lu sur: http://yahoo.bondyblog.fr/

29/04/2011

Ruquier, Nicolas Bedos, Michel Drucker; ces animateurs qui nous prennent pour des cons…

Relevé dans Le Post…

FDF

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Est-ce qu’une chaîne de télévision, qui plus est nationale donc payée par nos redevances (en l’occurrence France2) ne devrait-elle pas être tenue pour responsable des propos « déplacés », c’est le moins qu’on puisse dire, prononcés par des animateurs  qui se prennent pour la conscience de la France et, surtout, nous prennent pour des cons, insultent le président de la République et censurent le débat électoral de leur propre chef ?

Trois exemples parmi tant d’autres :

Nicolas Bedos qui souhaite atteindre la popularité gauchiste de son père mais n’en prend pas le chemin en traitant le chef de l’état de « VRP cocaïné » dans l’émission de Giesbert.

Laurent Ruquier dans son émission « On n’est pas couché » affirmant que : « Les musulmans quand ils prient se tournent vers la Mecque et Marine Le Pen quand elle parle se tourne vers les CONS ». Traiter de cons impunément des centaines de milliers d’électeurs français cela fait rire n’est-ce pas ? Rirait-il autant si nous le traitions nous de…… je préfère ne pas l’écrire mais les centaines de milliers de cons me comprendront. (Je souhaiterais connaître l’opinion d’Eric Zemmour sur les propos de son « patron »).

Michel Drucker lui, faisant preuve de son courage légendaire de fabricant de pommade, refuse de recevoir Marine Le Pen – de quel droit on se le demande – mais peut-être est-ce par crainte qu’elle ne l’interroge sur le brillant parcours de son père ?

CONS nous le sommes certes pour entretenir une télévision nationale qui nous prend pour des CONS…

23/04/2011

8 000 euros pour avoir contesté « Piss Christ » !!!

On croyait avoir tout vu… Ben non… Mais dans quel pays vit  on ???


Plongeons des représentations de Mahomet dans des excréments et faisons en une « oeuvre d’art »…  On attend la suite…

FDF


En France, contester juridiquement – et donc pacifiquement – le ‘Piss Christ’ coûte 8’000 euros. Oui : 8’000 euros. En effet, une association a été condamnée à 8’000 euros, pour avoir simplement demandé, en justice, le retrait, de l’espace public, des représentations du ‘Piss Christ’.

Pour ce qui me concerne, perché sur ma montagne ensoleillée, je me suis posé, à moi-même, la question – complètement idiote d’ailleurs – de savoir, combien cela aurait coûté, en Suisse ou en Autriche par exemple, de recruter, un casseur albanais, pour démolir un quelconque ‘Piss Christ’ ou un vulgaire ‘Caca Jésus’ ?

80 euros ? 800 euros ? Pas plus en tous les cas. Un casseur albanais qui, s’il avait été pris sur le fait, n’aurait rencontré aucune difficulté, à raconter, qu’il est un déséquilibré ; et qu’il s’est livré – malgré lui – à un acte isolé qui ne se reproduira plus. Pour 800 euros, il vous la jouerait – comme ça – sans hésiter. Pas de souci.

Mais revenons à l’association qui – en France – a été condamnée à 8’000 euros, pour avoir simplement demandé, en justice, le retrait, de l’espace public, des représentations du ‘Piss Christ’.

A ce propos, Paul Ohlott relate : « L’Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne (AGRIF) vient d’être condamnée à verser 5’000 euros de dommages et intérêts, ainsi que 3’000 euros de participation aux frais de justice du défenseur, pour avoir demandé le retrait de l’espace public des représentations du ‘Piss Christ’, l’œuvre controversée d’Andres Serrano ».

Paul Ohlott : « ‘L’AGRIF est en quelque sorte sanctionnée pour s’être adressée à la justice’, résume avec humour son Président Bernard Antony. Au cours du procès, l’avocat de l’AGRIF, Me Hervé de Lépinau a plaidé que ‘les chrétiens en ont assez d’être outragés et insultés’, avant d’appeler à cesser le jeu de ‘ceux qui font de la provocation à moindre frais avec l’argent du contribuable’ ».

Paul Ohlott : « Lorsque la défense a parlé de liberté artistique, Me Lépinau s’est étonné de constater que ‘le monde artistique ne joue pas avec l’islam’, rappelant au passage l’affaire du Strasbourgeois ayant uriné sur un exemplaire du Coran, et contre lequel le Parquet à requis 3 mois de prison avec sursis et 1’000 euros d’amende ».

Paul Ohlott : « Me Tricoire, avocat de la Collection Lambert, a estimé qu’il n’y a ‘aucun rapport entre l’œuvre d’Andres Serrano et le fait d’uriner sur un Coran’. Une conviction qui sera suivie par les juges ».

Me Agnès Tricoire, conseil de la collection Lambert, s’est félicitée de cette « condamnation très lourde ». « C’est historique et c’est un désaveu cinglant », a en outre osé déclarer Me Agnès Tricoire.

L’Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne (AGRIF) a réagi comme suit (extraits) : « Que de beau monde ce matin dans la salle d’audience du Palais de justice d’Avignon. Outre le directeur de la Collection Lambert, il y avait là un ancien vice-Président communiste de la Région PACA, l’actuel vice-Président, communiste lui-aussi, chargé des affaires culturelles au Conseil général de Vaucluse ».

L’AGRIF : « Il ne manquait qu’un représentant de la Ville d’Avignon et la liste des généreux mécènes, qui tiennent à bout de bras la Collection Lambert avec un million d’euros annuel pris dans la poche du contribuable, aurait été complète. Dehors, une cinquantaine de soutiens du musée d’art contemporain avignonnais font le pied de grue, tenus à bonnes distances par un cordon de police : banderoles et autocollants de la CGT, drapeau des anarchistes du CNT, le public habituel de l’extrême-gauche est venu soutenir les bobos millionnaires des réseaux friqués de l’art contemporain ».

L’AGRIF : « Il doit bien rigoler, le richissime Yvon Lambert, de les voir parader, ces prolos d’opérettes, instituteurs en congés, fonctionnaires en crédit d’heures syndicales, squatters anti-système appointés à la CAF et matriculés au RSA. L’AGRIF fait appel de ce jugement ».

De son côté, le Cardinal- archevêque Philippe Barbarin, Archevêque de Lyon et Primat des Gaules, avait qualifié d’offense la photographie de Serrano représentant un crucifix trempé dans l’urine. « C’est une blessure profonde pour nous, surtout en cette Semaine Sainte, car elle touche ’Celui qui nous a aimés jusqu’à l’extrême’ », avait-il déclaré. Il avait également demandé le retrait de l’œuvre, ainsi que l’avait fait l’Evêque d’Avignon, Mgr Jean-Pierre Cattenoz.

Eric Zemmour déplore, dans sa chronique matinale, la haine contre les catholiques, et, il précise que malgré la cathophobie ambiante : « Il est tellement plus commode de dénoncer les affreux catholiques intégristes ».

Le quotidien français de gauche Le Monde a fait semblant de s’interroger et s’est même mis à titrer  : « Qui sont ces catholiques intégristes mobilisés contre le Piss Christ ? », décrivant ainsi, malgré la question, tous les catholiques comme des intégristes et comme des coupables.

Je ne m’y connais pas en guerres de religions, en guerres civiles, et, surtout, ce n’est pas mon problème, là-haut, sur ma montagne. Mais avec des gens comme Me Agnès Tricoire, Yvon Lambert et Andres Serrano, il ne faudra pas non plus trop s’étonner, si, un jour, en France, les ‘Piss Christ’ et autres ‘Caca Jésus’ se font débiter à la hache. Car on dirait, que c’est, tout de même, nettement moins onéreux, que de recourir, à la justice. En France, voulais-je écrire. Pas partout.

Avec l’autorisation de Michel Garroté, Copyright 2011 http://drzz.fr/

http://actualitechretienne.wordpress.com/2011/04/21/piss-christ-defendre-la-foi-des-chretiens-peut-couter-cher/

http://bernard-antony.blogspot.com/2011/04/le-jugement-davignon-impressions.html

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/04/19/mgr-barbarin-deplore-une-offense

20/04/2011

Islamisation de la France: qui l’aurait cru, il y a quelques décennies,

Lu dans la presse : Neutralité laïque ou racines chrétiennes ?

 


Fallait-il, ou pas, organiser au sein de l’UMP, à l’instigation de Nicolas Sarkozy, un débat sur la laïcité et la place de l’islam ? A priori, la question n’aurait pas dû se poser : pourquoi un parti politique, quel qu’il soit, s’interdirait-il de débattre d’un quelconque sujet de société ?

Si la querelle a été si vive, c’est précisément parce qu’il ne s’agissait pas d’un sujet quelconque : derrière la laïcité, ce dont il s’agissait de débattre, c’était de l’islam et de sa place dans la société française. Or l’implantation de la religion musulmane en France métropolitaine est une conséquence de l’immigration de peuplement et du regroupement familial légalisé en 1976 par Valéry Giscard d’Estaing et son premier ministre JacquesChirac. Auparavant existait, certes, la Grande mosquée à Paris, depuis 1920 ; mais n’importe quel Parisien aurait haussé les épaules si on lui avait alors prédit que trente-six ans plus tard, la capitale compterait pas moins de 75 mosquées, pour s’en tenir à celles que recense le Guide des mosquées de France (1). Et cependant, des musulmans transforment encore certaines rues parisiennes en mosquées à ciel ouvert !

Deux articles, publiés sur le site ou dans le magazine Valeurs Actuelles, reviennent sur ce débat tronqué en développant une réflexion intéressante sur ce que le journaliste Eric Zemmour appelle « l’autre versant du débat sur l’islam », à savoir les racines chrétiennes de la France, qu’il n’aurait pas été inutile de mettre en avant pour éviter l’accusation d’« islamophobie », qui sont venues aussi bien de la gauche que de la droite, observe le journaliste, où François Fillon, Alain Juppé, Rama Yade, Jean-Louis Borloo ou encore le conseiller à la « diversité » de Nicolas Sarkozy, Abderrahmane Dahmane, ont dénoncé les risques de « dérapage »d’un débat qu’ils jugeaient « inutile ».

A l’exception du chef de l’Etat, qui a osé rappeler que « les racines de la France sont essentiellement chrétiennes » (au Latran, le 20 décembre 2007) et célébrer « l’apport de la chrétienté à notre civilisation » (au Puy-en-Velay, le 3 mars 2011), la droite semble réticente à aborder ce thème, alors que « chez les croyants comme chez les incroyants, chaque jour plus nombreux sont ceux qui s’irritent du déni de mémoire dont est victime le christianisme en France comme en Europe », observe encore Laurent Dandrieu. Cette réticence est d’autant plus surprenante que « l’apport décisif du christianisme à la civilisation européenne relève de l’évidence historique », constate le journaliste, qui souligne que le christianisme est « la matrice de laquelle sont nées les grandes valeurs dont se réclame la République, à commencer par la laïcité, mais aussi l’égalité, la démocratie, les droits de l’homme (…) Toute la question est de savoir, s’il ne s’agit pas, comme le disait Chesterton, de valeurs chrétiennes « devenues folles »pour avoir été coupées de leur source originelle. »

Or, « la meilleure preuve de l’ambiguïté de ces références aux racines chrétiennes qui n’irriguent plus vraiment la pensée, écrit Laurent Dandrieu, est la difficulté de la laïcité française à trouver sa juste distance par rapport à l’islam. »

Le christianisme exclu du débat public ?

Ainsi Nicolas Sarkozy lui-même, partisan d’une une laïcité « positive » ou « ouverte », « ne cesse de parler de l’apport « des religions »à la vie publique, laissant entendre que toutes les religions seraient équivalentes à cet égard », poursuit Laurent Dandrieu. « Ce concept “des religions” empêche de penser l’islam dans sa spécificité. Alors qu’en 1990, le RPR et l’UDF concluaient à une « incompatibilité entre l’islam et nos lois« (…), aujourd’hui la classe politique dans sa quasi-totalité préfère conclure comme Nicolas Sarkozy le faisait dans son livre [La République, les Religions, l’Espérance, publié en 2004, ndlr] qu’ »il est évident que l’islam est conciliable avec la République » (Laurent Wauquiez). »

« Mais cette cécité volontaire conduit à mettre sur le même plan un christianisme qui a inventé la laïcité et un islam pour qui la séparation du temporel et du spirituel est au moins problématique », commente le journaliste. Et le débat risque vite « de réactiver, malgré les discours théoriques sur les racines chrétiennes et la « culture majoritaire », un laïcisme pur et dur qui aboutirait à exclure toute expression religieuse, y compris chrétienne, de l’espace public. »

On le voit bien « quand Marine Le Pen, au congrès de Tours, déclare : « Aucun culte ne doit empiéter sur la sphère publique ; la foi doit rester une affaire strictement privée » ; ou quand Claude Guéant souhaite que ni les usagers ni les agents du service public ne portent de « signes religieux », comment la laïcité-neutralité empêcherait-elle que de telles règles soient opposables également aux chrétiens ? »

« Pis : comment les catholiques n’auraient-ils pas le sentiment d’une duperie quand on leur parle, comme récemment le secrétaire d’État au Logement Benoist Apparu, d’utiliser ou d’assouplir la loi de 1905 pour permettre aux musulmans de disposer de mosquées, alors que cette même loi fut conçue et utilisée pour restreindre l’influence de l’Église ? (…) Les catholiques pourraient voir une forme de double langage dans la coexistence d’un discours sur les racines chrétiennes parallèlement à des actes qui, eux, viseraient uni que ment à permettre à l’islam d’effectuer son « rattrapage »sur la religion chrétienne, suivant l’expression utilisée par Nicolas Sarkozy dans son livre de 2004, qui préconisait une forme de discrimination positive en faveur du financement de l’islam. »

Laurent Dandrieu rappelle que, dans une tribune contre le financement public des mosquées publiée dans Valeurs actuelles en 2007, Paul-Marie Coûteaux réclamait quant à lui une « préférence religieuse »pour le catholicisme : « Au regard de ce qui a fait la France et les Français, il n’y a pas égalité des religions. Conséquemment, il ne saurait y avoir d’égalité de devoirs de l’État envers les cultes. » »

La laïcité, religion d’Etat

Le deuxième article publié par Valeurs Actuelles est signé par Chantal Delsol et s’intitule « L’hypocrisie de la laïcité ».

« Le débat est surréaliste pour savoir si nous devons affirmer ou infirmer nos racines chrétiennes. Comme si cela n’était pas tout simplement de l’Histoire, pour commencer ! » On peut, certes, refuser d’en parler. « On peut tenter de les noyer (ainsi un ancien président avait prétendu que l’Europe était aussi musulmane que chrétienne). Mais on ne peut empêcher que nous en soyons pétris. Or mieux vaut être conscients de ce dont nous sommes pétris : cela nous rend plus intelligents et plus prêts à affronter l’avenir. »

Au contraire, la laïcité à la française, constate Chantal Delsol, « participe d’un espoir de déracinement général, visant à faire des individus des citoyens à l’état pur, nourris exclusivement d’universel. Il faut que les enfants des provinces cessent de parler le patois et il faut aussi taire l’appartenance religieuse. Comme si nous pouvions n’appartenir qu’à la République, une et indivisible ; comme si nous n’avions pas (et en premier lieu !) des origines familiales, un lieu de naissance, une province sur terre et peut-être une autre au ciel. Il faut être idéologue comme un Français pour défendre un rêve si loufoque, qu’aucun peuple ne nous envie, même si naturellement nous souhaiterions l’exporter partout. »

« Pour être de vrais citoyens, il nous faut nous débarrasser de nos appartenances particulières ou faire comme si elles n’existaient pas ». Cette volonté de déraciner en « arrachant les signes visibles d’appartenance » est en effet une triste exception française : il ne faut pas s’étonner, poursuit Chantal Delsol, « que la France ait été le seul pays à refuser radicalement la mention des racines chrétiennes dans la Constitution européenne ». Nos voisins européens distinguent le spirituel du temporel sans vouloir à toute force étouffer le premier au profit du second…

Suite et source: http://tinyurl.com/3hfgrfl

19/04/2011

Robert Ménard écrase Pascale Clark : le prochain sur la liste, c’est moi…

Une vidéo pour le moins « décoiffante »… Et pourtant, qu’est-ce qu’il a raison, Robert Ménard… Mais face aux médias, quand on ose parler de l’extrême Droite, c’est la diabolisation qui prend le dessus. Quand on évoque la vérité, c’est idem... Pauvre France. Les médias sont bien « brieffés ».
FDF

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Voir: http://www.lepost.fr/article/2011/04/19/2470846_robert-menard-ecrase-pascale-clark-le-prochain-sur-la-liste-c-est-moi.html#xtor=EPR-344-[NL_1144]-20110419

14/04/2011

Les suspects de la bien-pensance…

Nous sommes les cinq salopards !

La bien-pensance médiatique s’affole et dresse ses listes de suspects.

Elle en a déjà trouvé… cinq : Eric Zemmour, Elisabeth Lévy, Robert Ménard, Eric Brunet et votre serviteur. Après Le Nouvel Observateur, Le Monde a consacré sa page 3, la semaine dernière, à ces journalistes qui mettraient la France en péril, sous le titre: « Profession : réactionnaire« . A lire ce qui s’écrit sur nous, nous monopoliserions les médias à des fins de subversions extrémistes (de droite, of course).

C’est nous faire trop d’honneur. Il est vrai que ces sycophantes à la mine sévère savent de quoi ils parlent: ils se sont copiés et épaulés durant des décennies. Nous aurions sûrement des leçons de solidarité de caste et d’entrisme à apprendre d’eux, nous cinq qui n’avons jamais trouvé utile de nous rencontrer ensemble pour échafauder je ne sais quelle stratégie ou même pour boire un verre. Il se trouve plus simplement que ce que l’on dit, chacun à sa manière, semble correspondre à une attente de l’opinion. Il va falloir que les comités de vigilance et de salut public se fassent une raison: ils ont effectivement perdu le monopole de la parole.

Pourtant, leurs pratiques dénonciatrices de petits propriétaires spoliés restent encore efficaces. C’est ainsi que Maxime Tandonnet, conseiller à l’immigration auprès de Nicolas Sarkozy, a été prié cette semaine de suspendre pratiquement son blog, épinglé par un site du Monde.fr consacré à la droite extrême. C’est Xavier Musca, secrétaire général de l’Elysée, qui a pris cette décision. Elle est d’autant plus regrettable que le blog de Tandonnet, ouvert il y a peu, était vite devenu une mine d’informations et d’analyses compétentes, introuvables dans les médias traditionnels. Dernièrement, il témoignait du double discours de la gauche sur l’immigration en rappelant que tel député socialiste, très remonté en séance, admettait à la buvette la gravité du sujet. Mais c’est un texte prônant le recours au référendum pour contourner les multiples freins à l’application d’une politique souveraine qui lui a valu le reproche, sur le site du Monde, de reprendre l’argumentaire du FN, le référendum étant considéré, parait-il, comme « un vrai marqueur d’extrême droite ».

Donc, si je comprends bien: vouloir défendre la laïcité fait le jeu de Marine Le Pen. Souhaiter des référendums sur de grands sujets de société fait le jeu de Marine Le Pen. Se faire l’écho d’une opinion n’ayant pas accès aux médias, critiquer la mondialisation, s’inquiéter du communautarisme fait le jeu de Marine Le Pen. Mais ne voient-ils pas, ces maitres censeurs obsédés par Le Pen, qu’ils sont les meilleurs soutiens de la candidate, en s’enfermant dans des caricatures d’apparatchiks au service d’une presse soviétoïde ?

Malika Sorel, autre esprit libre, se voit également écartée des médias qui la sollicitent, quand elle ne leur répond pas ce que la pensée conforme veut entendre. Elle a d’ailleurs refusé de cautionner le rapport présenté ce mercredi (« La France sait-elle encore intégrer les immigrés ?« ) par le Haut conseil à l’intégration dont elle est membre. « L’intégration en France, ça marche ! » peut-on y lire, au milieu de considérations rabâchées et de clichés.

Oui, la bien-pensance est entrée en résistance…

Source: http://www.claudereichman.com/articles/rioufolcinqsalopards.htm

26/03/2011

Cantonales 2011: le dernier baroud d’honneur de l’UMP au PS…

Ca vient aussi de chez oumma.com… Ils ne loupent pas nos politiques et pour une fois, je les approuve. Nous passons pour de tristes sires, entre un UMP en pleine débandade et un PS qui ne sait plus à quoi s’accrocher… Pour accumuler autant de conneries à la suite, il faut être au moins au PS… S’acoquiner avec Tariq Ramadan sous les yeux des Français à la veille des cantonales, c’est du suicide. Et l’UMP a l’affût des dérapages de leur ennemis habituels s’en donnent à coeur joie. Mais bon; il est un peu tard.

La voix de la France, c’est demain, dans les urnes. Et l’on risque d’avoir de belles surprises…

FDF

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Pétition du Nouvel Observateur : Jean-François Copé voit rouge devant les signatures de Tariq Ramadan et Martine Aubry…


« Le petit théâtre de la vie politique ne nous épargne aucun spectacle affligeant, ni celui, vaudevillesque, de ses règlements de compte à OK Corral, ni celui, mélo-dramatique, de la mise en scène de l’effroi populaire.

Sur cette scène bouillonnante, qu’un seul scrutin électoral, même le plus enraciné dans le terroir, suffit à rendre volcanique, les acteurs rivalisent de populisme, à travers des tirades enflammées qui haranguent des électeurs tourneboulés, dictant non seulement leur conscience, mais aussi désignant leurs croque-mitaines…

De cette lave nationaliste en fusion, qui désagrège les valeurs républicaines sur son passage, Jean-François Copé, l’impétueux leader de l’UMP, est passé maître dans l’art d’embraser le débat démocratique. Aussi, à la veille du second tour des cantonales, attendant une brèche dans laquelle s’engouffrer pour piquer au vif le PS, son sang n’a fait qu’un tour lorsque, dans l’appel contre le « Débat-procès sur la laïcité » publié par le Nouvel Observateur, son regard scrutateur a repéré une juxtaposition de signatures inconciliables : celles de Martine Aubry et de Laurent Fabius aux côtés du méchant loup… Tariq Ramadan !

Quelle aubaine pour l’artisan de la dérive droitière de l’UMP qui, drapé dans une indignation affectée, a aussitôt accusé le PS de « perdre son âme » en étant ainsi associé au personnage maléfique préféré de nos médias : l’islamologue suisse, dont la prétendue filiation avec les Frères musulmans, en dépit de ses nombreuses prestations télévisuelles, ne cesse de le précéder, à moins qu’elle ne le poursuive, en tous les cas lui colle irrémédiablement à la peau !

Craignant l’opprobre, Martine Aubry et Laurent Fabius ont aussitôt fait profil bas, obtempérant aux coups de semonce de leur meilleur ennemi, en retirant leur sceau personnel de la pétition, tout en exigeant que le gouvernement « renonce » au débat sur la laïcité. Un dernier baroud d’honneur…

Le petit théâtre de la vie politique, ses intrigues grossières, ses coups bas très bas, son hypocrisie insondable comme un puits sans fond, et sa nouvelle cheville ouvrière Umpiste de la pensée unique insidieuse, Jean-François Copé, qui en plus d’être un moralisateur bon teint, fabrique nos Barbe Bleue, tout en offrant des tribunes à l’un des pires Père fouettard qui flagelle sans retenue notre société anxiogène : le triste sire, non pas légendaire mais bien réel, ainsi que l’atteste sa condamnation pour « incitation à la discrimination raciale », Eric Zemmour… »

Vu sur oumma.com

18/03/2011

Judiciarisation de la parole publique: l’affaire Zemmour ressurgit.

Il n’y a que la vérité qui blesse…

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La CGT, les « cocos », quoi, en perte de vitesse, ne savent plus à quoi se raccrocher pour que l’on parle d’eux sans qu’ils passent pour des demeurés. Les voilà qui s’en prennent à Zemmour, maintenant. C’est très « mode ». Et encore une fois, ils vont l’avoir « profond »…

FDF

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Affaire Zemmour : la CGT envoie une lettre ouverte au PDG de France Télévisions

« L’affaire Zemmour » rebondit à France Télévisions. Dans une lettre ouverte, rendue publique mardi 15 mars, la CGT du groupe public s’indigne du « silence assourdissant » de Rémy Pflimlin, le PDG, qui a décidé de ne pas sanctionner le journaliste Eric Zemmour, après sa condamnation, le 1er mars par le tribunal correctionnel de Paris, pour provocation à la discrimination raciale, en raison de ses propos sur « les Noirs et les Arabes » tenus dans des émission de Canal+ et France Ô.

Le chroniqueur (qui collabore chaque semaine à l’émission « On est pas couché » de Laurent Ruquier sur France 2) avait affirmé dans une émission de la chaîne cryptée que « la plupart des trafiquants sont noirs et arabes, c’est comme ça, c’est un fait », et répété sur France Ô (chaîne appartenant à France Télévisions) qu’on avait « le droit » de refuser un emploi à des Arabes ou des Noirs.

Suite à la décision du tribunal, M. Pflimlin, avait demandé à France Ô de diffuser la publication de cette condamnation, mais n’avait pas suspendu M. Zemmour pour sa participation à l’émission de Laurent Ruquier. M. Pflimlin s’en est justifié à l’AFP en expliquant qu’il se « refusait à porter une appréciation sur les propos d’Éric Zemmour dans d’autres enceintes que France Télévisions ».

Une position qui avait choqué SOS Racisme, par ailleurs membre du comité de la diversité de France Télévisions. Dans une lettre ouverte à M. Pflimlin, son président Dominique Sopo soulignait que « de par sa caractéristique de service public, le groupe France Télévisions se doit, comme vous l’avez à maintes fois exprimé, d’adopter un comportement exemplaire et citoyen ». Il ajoutait : « J’imagine que France Télévisions ne se contentera pas d’un rappel général à la nécessaire éthique dont doivent faire montre les animateurs, collaborateurs et journalistes de la chaîne «  et n’en restera pas à  » une action purement déclarative ».

Dans sa lettre ouverte, la CGT écrit que « les mots portent leurs choses ». Le syndicat souligne que « les milliers de salariés qui travaillent à France Télévisions attendent un communiqué interne qui clarifie votre position, quand un juge a condamné l’incitation à la discrimination raciale sur nos antennes ». Le syndicat ajoute : « Vous n’êtes pas un enfant pour ignorer que, malheureusement, l’histoire trop souvent se répète. Vous vous devez donc de cesser cet attentisme coupable. (…) Nous n’acceptons plus votre discrétion en interne quand, dans le même temps, vous administrez la bonne parole dans les médias privés, rappelant combien vous êtes attaché aux principes de la République ».

Contactée par Le Monde, la direction de France Télévisions réaffirme que M. Zemmour ne sera pas sanctionné et rappelle que le président de France Télévisions a demandé à l’ensemble des directeurs de chaîne du service public de veiller à ce que de tels propos ne soient plus tenus sur leurs antennes.

Invité, après sa condamnation, par le groupe UMP de l’Assemblée nationale, M. Zemmour avait dénoncé « la judiciarisation de la parole publique », et la « terreur moralisatrice ». « La liberté d’expression, c’est la liberté d’avoir tort », avait-il proclamé en demandant aux élus UMP de « supprimer » notamment les lois mémorielles, et « l’action pénale pour les associations anti-racistes ».

Source: http://www.lemonde.fr/

15/03/2011

Et c’est maintenant qu’ils s’en aperçoivent…

Cantonales 2011.

Ca pue la récupération politique à plein nez, ça. J’espére que cette fois, les Français auront compris les manoeuvres électorales de l’ UMP. En ce qui concerne le PS, leur position pro-islamique étant des plus claires, le débat sera vite clos. Et les sous-partis qui suivent comme des petits chiens, laissons-les aboyer tout seuls dans leur coin…

FDF

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La délinquance : question sous-jacente du débat sur l’islam…

Le président de la République a annoncé l’organisation d’un débat sur la place de l’islam en France. L’UMP justifie l’utilité de ce débat avançant notamment que certaines pratiques de l’islam posent des problèmes à notre République laïque. Le sujet ne laisse pas indifférent : les réactions ont été nombreuses à droite comme à gauche. Entre ceux qui pensent qu’il représente un danger parce qu’il peut diviser les Français et ceux qui au contraire considèrent qu’il ne faut pas laisser le monopole du sujet au Front national, le clivage est prononcé. L’islam est aujourd’hui un sujet, à tort ou à raison, qui intéresse la classe politique.

Pourtant, l’islam est présent depuis le Moyen-Age en France. De la conquête de l’Hispanie au VIIIe siècle jusqu’à l’installation en France de réfugiés fuyant la Reconquista en Espagne, la présence de musulmans n’est pas nouvelle. Cependant, la crise économique combinée à un nouveau flux migratoire a peu à peu poussé la question de l’islam au cœur des débats. Certains éditorialistes, personnages publiques et responsables politiques, évoquent très régulièrement la question de l’islam en France, aujourd’hui deuxième religion du pays.

Si les arguments de la présidence et du parti majoritaire quant à l’organisation de ce débat sont tout à fait recevables, il est manifeste qu’une autre question est sous-jacente : celle de la délinquance dans la population musulmane. On observe en réalité une sorte de confusion entre la figure du musulman (parfois islamiste) et celle du délinquant. Certaines personnes d’origine musulmane, souvent modestes et habitants des banlieues défavorisées, posent des difficultés. La question est donc moins la place de l’islam que la réponse à apporter à cette délinquance.

DISTINGUER LA CORRÉLATION DE LA CAUSALITÉ

A ce propos, Eric Zemmour a déclaré que la majorité des délinquants étaient Arabes ou Noirs. Même s’il n’existe pas de statistiques ethniques en France, il est vraisemblable, notamment au vu de certaines notes ministérielles, que cette affirmation ne soit pas une contre-vérité. De même, alors que j’ai dernièrement publié un essai sur le racisme anti-Français en banlieue, certains ont mis l’accent sur la corrélation entre la religion musulmane et ce racisme, aussi porté par des individus se réclamant musulmans.

Cependant, il convient de distinguer la corrélation (il se trouve que des délinquants sont musulmans) de la relation de causalité qui n’existe pas : ce n’est pas parce qu’ils sont musulmans que la délinquance ou le racisme sont générés. L’origine du phénomène, dans les deux cas, est sociale. Bien que la présence musulmane a pris une nouvelle ampleur et qu’elle peut effectivement poser des problèmes nouveaux à un pays de tradition non-musulmane, il semble que le débat prioritaire se situe autre part.

DES PROBLÈMES SOCIAUX QUI APPELLENT À DES RÉPONSES SOCIALES

En effet, ces problèmes sur la pratique de l’islam paraissent marginaux. Sans nier que les jeunes habitants de quartiers défavorisées, souvent musulmans, sont sur-représentés dans l’expression de certains problèmes (délinquance, racisme anti-Français), il serait bon de ne pas faire de la question religieuse le sujet central.

Dans ce cadre, plusieurs pistes mériteraient d’être étudiées. Le sentiment de ne pas appartenir à la nation, la délinquance et le racisme « anti-blanc » sont liés à une forme de démission de l’Etat dans sa mission éducative et dans le respect des lois. La qualité des établissements scolaires dans certaines banlieues est médiocre, certains professeurs essayant d’adapter le savoir à leur auditoire. Il arrive qu’on étudie des textes de chansons de rap alors que les élèves des beaux quartiers acquièrent plus facilement une culture plus classique. Les habitants des banlieues pauvres sont donc doublement défavorisées : de par leur condition sociale et le manque de savoir acquis à l’école et qui demeure un moyen privilégié de s’affranchir de sa classe sociale.

Par ailleurs, le volet répressif ne doit pas être négligé. L’Etat éprouve des difficultés à s’imposer dans certains quartiers. L’exemple du manque de places dans les prisons est significatif : des condamnations ne sont pas appliquées faute de places. Certains juges hésitent à envoyer ces jeunes en prison par peur de l’effet « école du crime ». Il serait donc bon d’assurer la sécurité de nos concitoyens, non seulement à travers l’action policière mais aussi grâce à un système judiciaire qui disposerait de davantage de places en prisons, plus humaines et donc plus susceptibles d’encourager la réinsertion.

L’exigence dans le savoir et la fermeté dans le respect des lois pourraient constituer les deux piliers d’une réponse sociale qui mettrait la question de la pratique de l’islam (aux sous-entendus potentiellement lourds de conséquences) au second plan.

Source: http://www.lemonde.fr/

04/03/2011

Eric Zemmour ovationné par des élus UMP !!!

Va y, Eric. Nous sommes avec toi.

Il a tapé là où ça fait mal, Zemmour. J’en connais un qui doit « taper de la talonnette »… Le vent de la révolte souffle. Le PS s’éparpille en guerres fratricides. L’UMP perd toute crédibilité avec un changement radical de cap de la part de certains de ses élus. Et qui va en profiter? C’est Marine Le Pen… Ouf. Il était temps.

FDF

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Le journaliste Eric Zemmour, condamné pour provocation à la discrimination raciale, a été chaudement applaudi lors d’un débat de l’UMP dont il était l’invité mercredi 2 mars. « La liberté d’expression, c’est la liberté d’avoir tort », a-t-il proclamé lors d’un long discours lu à la tribune, devant un parterre d’élus, dont Jean-François Copé et l’organisateur, Hervé Novelli, brièvement rejoints par le ministre de la défense, Gérard Longuet.

Se comparant à un « taureau » dans « une arène médiatique et judiciaire », le journaliste n’a voulu retenir qu’une « seule phrase de l’arrêt » du tribunal qui, a-t-il dit, l’a « interloqué ». « J’aurais, selon les magistrats, ‘dépassé les limites autorisées du droit à la liberté d’expression' ». « Je crois savoir ce qu’est la liberté d’expression », a poursuivi le journaliste, citant Montaigne, Voltaire et Zola, « mais je ne sais pas ce que sont les limites de la liberté d’expression, où elles se situent, qui les fixe, comment et au nom de quoi on les fixe ».

« LÉGISLATIONS LIBERTICIDES »

La liberté d’expression « fut une lente conquête historique (…) et il nous faudrait sacrifier ce combat séculaire sur l’autel judiciaire », a-t-il dit. Et d’ajouter : « C’est désormais le code pénal qui régirait les règles de bienséance de la parole publique ».

« La République, de Gambetta au général de Gaulle, a très bien vécu sans ces législations liberticides », a affirmé l’éditorialiste en citant notamment la loi Gayssot (visant à réprimer « tout propos raciste, antisémite ou xénophobe ») et la loi Taubira (reconnaissant l’esclavage comme un crime contre l’humanité).

SUPPRIMER LES SUBVENTIONS DES ASSOCIATIONS ANTI-RACISTES

Il s’est ensuite tourné vers les élus UMP pour les appeler à « supprimer » notamment les lois mémorielles, et « l’action pénale pour les associations anti-racistes ». Et d’ajouter sous les applaudissements : « Et pendant que vous y êtes, si vous pouviez supprimer leurs subventions, cela ferait du bien au budget de l’Etat ».

Le 18 février, le chroniqueur a été condamné à 2 000 euros avec sursis pour provocation à la discrimination raciale.

Source: http://www.lemonde.fr/

23/02/2011

La France est notre lieu, notre contexte, notre terre. C’est notre Histoire….

Plein les dents ! Excellent !!!

FDF

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Nous n’avons pas l’intention de nous laisser faire !

Enfin des députés s’indignent de leur gouvernent. Bravo venez renforcer les rangs de Marine Vive le front National.

Aux prochaines Elections une grande victoire nous attends un pour tous et tous pour le parti de MARINE !!!!!!

58 députés condamnent la dérive judiciaire contre la liberté d’expression!

Lionnel Luca, député UMP des Alpes-Maritimes, dans un communiqué signé par 58 députés UMP du « Collectif pour la Liberté d’expression » :

« La condamnation (avec sursis !) d’Eric Zemmour illustre la dérive judiciaire contre la liberté d’expression dans notre pays qui interdit à un journaliste de parler« .

« Dans le même temps, certains rappeurs qui insultent la France et les Français et appellent au meurtre des forces de l’ordre ne sont pas condamnés au nom de la création culturelle. Cherchez l’erreur. Cette dérive judicaire qui précède la dérive totalitaire impose désormais la révision des lois qui la permettent« .

Les personnalités du Collectif pour la Liberté d’expression et Collectif de la droite Populaire sont : Lionnel LUCA, Christian VANNESTE, Elie ABOUD, Yves ALBARELLO, Brigitte BAREGES, Patrick BEAUDOUIN, Gabriel BIANCHERI, Claude BODIN, Jean-Claude BOUCHET, Loïc BOUVARD, Valérie BOYER, Françoise BRANGET, Patrice CALMEJANE, Bernard CARAYON, Bernard DEBRE, Jean-Pierre DECOOL, Nicolas DHUICQ, Eric DIARD, Michel DIEFENBACHER, Jacques DOMERGUE, Paul DURIEU, Jean-Michel FERRAND, Marie-Louise FORT, Sauveur GANDOLFI SCHEIT, Jean-Paul GARRAUD, Jean-Pierre GEORGES, Franck GILARD, Georges GINESTA, Arlette GROSSKOST, Christophe GUILLOTEAU, Françoise HOSTALIER, Jacqueline IRLES, Maryse JOISSAINS-MASINI, Patrick LABAUNE, Jean Marc LEFRANC, Marc LE FUR, Daniel MACH, Richard MALLIE Christine MARIN, Philippe MEUNIER, Jean-Claude MIGNON, Pierre MOREL A L’HUISSIER, Georges MOTHRON, Alain MOYNE BRESSAND, Jacques MYARD, Jean-Marc NESME, Eric RAOULT, Jean ROATTA, Jean-Marc ROUBAUD, Jean-Pierre SCHOSTECK, Daniel SPAGNOU, Michel TERROT, Dominique TIAN, Jean TIBERI, François VANNSON, Patrice VERCHERE, Philippe VITEL, Michel VOISIN.

Face à la pression judiciaire que SOS RACISME met sur les responsables et militants de l’UNI dans le cadre de l’affaire ZEMMOUR, nous suspendons temporairement l’ajout de commentaire.

La France est notre lieu, notre contexte, notre terre. C’est notre Histoire.

Les français sont égaux devant la loi donc il ne faut pas venir revendiquer ce qui n’est pas. La loi de 1905 est déterminante, incontournable et non négociable : elle est le fruit d’une lutte de plusieurs centaines d’années. Et ce n’est pas des intervenants extérieurs et récents qui vont y changer quoi que ce soit. Ils sont tout simplement venus trop tard.

Personne ne les a forcé à venir et s’ils viennent, ils constatent quoi ?

Qu’on n’a pas pensé à eux ? Et alors, ou est le problème ? Après l’heure, c’est plus l’heure :

les français ne sont pas devenus musulmans mais certains musulmans sont devenus français mais il sont venus après 1905, donc pas de troubles à l’ordre public et donc pas de lieux de cultes. Et qu’ils ne viennent pas nous réclamer d’égalité car là il n’y en a pas : on était en France avant vous, excusez du peu !!!

Et on fait ce que bon nous semble chez nous, voilà tout. Et notre patrimoine intègre ces 1905 ans de christianisme, voilà tout, nos églises, c’est notre patrimoine culturel, immobilier. On ne va pas tout raser comme des nihilistes ou par un abrutissement pire que celui que l’on voulait nous imposer.

On a réfléchi à la question des religions et ce, globalement, et on a pensé qu’il valait mieux séparer le religieux du pouvoir car cela nous avait mis en difficulté pendant de nombreux siècles. C’est le problème des français issus de l’émigration musulmane car, refusant l’assimilation, ils veulent changer nos lois.

Impossible, on a payé un lourd tribut pour cette liberté. Et il n’est pas question de recommencer, on a appris de nos erreurs, apprenez des vôtres.

Etre français, c’est simple et évident : nous parlons de nos devoirs pas de nos droits, nous vous laissons ça. Être français, c’est réclamer le devoir de mémoire qui s’impose à nous. La France est ce qu’elle est parce que des français (ses) se sont battus pour cela.

Je revendique l’héritage de Clovis, Charles Martel, Louis XIV, Napoléon et Charles de Gaulle pour ne citer que ceux-là. Je revendique et j’assume car c’est là mon devoir de citoyen français né sur le sol français. Je n’ai nulle part où aller, c’est ma terre, elle vit en moi et son histoire avec. Et je ne partirai pas, moi. Ca ne va pas en France, la situation est pourrie, je ne fuirai pas mes responsabilités : je me battrai pour que la pensée de Voltaire perdure, pour que ma langue vive, pour que mon esprit soit toujours l’esprit des lumières. J’ai un rôle à jouer dans mon monde, le monde contemporain. Si je veux que cela change, que l’honnêteté vainque, que l’honneur retrouve sa place avec la courtoisie et le respect de l’autre alors, je combattrai.

Vous ne passerez pas.

Je résisterai aussi longtemps qu’il le faudra et je vaincrai car j’ai derrière moi 2000 ans d’histoire de France. J’ai dans mon sang de quoi vous affronter et c’est cela qui vous fait peur : nous avons bâti une civilisation qui existe encore et toujours, nous avons dans notre culture des diamants éternels et, non, nous n’attendons pas d’un irréel que le travail soit fait à notre place et non, nous n’attendons pas que d’autres viennent exploiter nos terres pour leur en soustraire le bénéfice.

Nous avons pris notre destin en main depuis bien plus longtemps que vous et nous avons apporté à l’humanité bien plus que vous tous réunis. Que cela vous plaise ou non. Nous sommes non seulement plus anciens mais encore bien plus forts que vous car nous avons appris à pardonner et à tendre la main.

Alors, on arrête là, la coupe est pleine et la démonstration par trop facile : nous avons commis des erreurs, certes mais le gain par rapport aux pertes est sans commune mesure et nous revendiquons tout cet héritage. Je ne cracherai pas sur les tombes de mes ancêtres à cause d’une analyse anachronique, c’est inutile et stérile. Je regarde l’avenir avec bonheur car je sais ce que nous avons fait. Vous avez vendus vos frères, vos avez stigmatisé vos femmes , vous prônez la haine et le mensonge, vous détruisez et voulez réduire à votre mesure le monde mais, non, ça ne marche pas car le monde ne vous a pas attendu, il vous ignore. Vous avez définitivement perdu car vous ne savez pas construire, vous ne savez que détruire, pleurer et attendre que ça tombe.

Ca va tomber…

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En un mot: dégagez !

FDF

16/02/2011

L’inoubliable plaidoierie de l’avocat d’Eric Zemmour.

Dire la vérité ne plait pas forcément. Mais comme dit le proverbe, ça blesse. Et en outre, maintenant ça paye… Leçon à retenir pour certains… Enfin un avocat efficace; bravo à Me Pardo! Et bon courage à toi, Eric. Tu as tout notre soutien.

FDF

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« Il a fallu trois jours. Trois jours éprouvants, magnifiques, révoltants, touchants. Trois jours épuisants, pour en arriver aux plaidoiries, à cet instant où les avocats de l’accusation se sont levés, les uns après les autres, pour condamner unanimement un homme et son message de courage et de vérité.

Sans la moindre surprise, ils ont joué la carte du pathos et de l’insulte. Assimilant Zemmour à un négationniste, évoquant les-heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire, alternant envolées lyriques censées mettre la larme à l’œil d’un auditoire pourtant exaspéré, et accusations grossières contre un journaliste payant le prix de son audace.

La salle suait d’indignation refoulée, et nous nous regardions sans cesse, consternés par un tel étalage de haine et de mensonges. Devant nous, Mylène Zemmour, immobile, que nous plaignions silencieusement, et Zemmour, trop loin pour être observable.

Le procureur se lève enfin, et requiert deux condamnations sur trois. Délit de provocation à la discrimination. Délit de diffamation raciale. Nous sommes abasourdis. Il faut croire que la cause de Zemmour nous est très chère, pour que nous ayons ainsi oublié, pendant quelques heures, que le poids de l’idéologie n’enlèverait pas, en quelques heures, la menace symbolique qui pèse sur lui.

Arrive enfin le moment tant attendu, la plaidoirie de Maître Olivier Pardo. Ténor du barreau, il n’en est pas à sa première affaire délicate. Et les trois jours passés nous ont donné la mesure de son intelligence, de sa finesse et de son redoutable charisme. Il est de la lignée spirituelle des grands avocats. Mais sa tâche est terrible, en tant qu’ami et en tant que plaideur. Nous savons tous, nous sentons tous que c’est un tournant historique qui s’annonce. Il ne s’agit pas d’un énième et banal procès à la XVIIème. Le procès Zemmour signe la fin de trente années de silence forcé, trente années d’une idéologie triomphante qui a plié sous son joug des millions de Français, trente années durant lesquelles les rares voix discordantes étaient reléguées au placard.

Et maître Pardo se lève. Il se lève et ne s’arrêtera pas. Deux heures durant, avec une puissance de voix et de ton et d’âme remarquables, il va dénoncer le problème de fond, celui d’une France coupée en deux, de ces « deux façons de dire le réel ». Il va rappeler que la plupart des témoins interrogés ont tous pointé du doigt les mêmes faits que ceux désignés par Zemmour : « Et chaque fois, chaque fois, la même formule chez nos témoins : Zemmour dit le réel. ! »

Et il ironise, il rappelle des débats précédents, entre Zemmour et Wolton. Le tribunal n’a pas l’air de le connaître, alors Pardo se régale : « Dominique Wolton, c’est un sociologue. Il déteste Zemmour encore plus que les parties civiles. » Rires étouffés dans l’assemblée. Gueule magnifique de Dominique Sopo, qui sort passer sa rage sur une cigarette.

Et toujours, toujours, Pardo en revient au réel, rappelle l’incapacité physique de Louis Schweitzer à prononcer les mots Noirs et Arabes, alors qu’un des avocats de l’accusation, a, dans sa plaidoirie, abondamment usé de l’image d’une petite fille Noire avec ses tresses, persécutée par le racisme. Pardo en rajoute, pour la plus grande délectation du public : « Et la petite fille Noire, avec ses tresses, elle est bien Noire, elle, elle a bien des tresses ?! »

Maître Pardo fait une pause, et rappelle, sur un ton grave, le problème qui sous-tend ce procès : « Ce sont deux approches de la société française qui se confrontent. Le débat, pour Zemmour, ce n’est pas la discrimination, c’est l’égalité. » Il évoque le soutien de Malek Boutih, les positions de Malika Sorel, dresse une nouvelle fois le catalogue des preuves des propos avancés par Zemmour.

Il hausse le ton, monte en puissance : « Si vous empêchez Zemmour de parler, si vous le condamnez, vous faites le choix de maintenir le couvercle sur la marmite, vous prenez la responsabilité qu’elle explose. » Il martèle ses mots, riant des parties civiles qui « font comme dans la série Mentalist, où on devine le criminel d’après ses attitudes physiques ». Il s’amuse : « Zemmour a croisé les bras en parlant, alors il est raciste ?! » Il dénonce l’hypocrisie de l’accusation qui fait de Zemmour une star de la télé, alors même que les associations antiracistes sont pratiquement nées du pouvoir médiatique qu’elles détiennent, rappelle les concerts très médiatisés de Sos Racisme : « C’est la télé qui vous a faits, la télé ! Et ce qui est fracassant pour vous, c’est que, tous les samedis soirs, vous devez vous taper Eric Zemmour à la télé. Alors aujourd’hui, forcément, vous vous sentez comme une femme trompée. »

Et puis Pardo sort un papier, et lit les mots proférés par le rappeur Morsay dans une « interview » :« J’espère que sa fille se fait bien niquer par des Noirs et des Arabes, comme ça au moins il aura un bébé d’un Noir ou d’un Arabe, et comme cela il n’aimera pas sa propre fille, ce fils de pute. Moi je te dis, si c’est un raciste, nique sa mère. J’ai que çà à dire en vrai à cet enculé, et reste un enculé, T’es vraiment un enculé. Mais si j’entends parler que t’as un de tes enfants qui a le même nom de famille que toi, qui a dépassé les 20 ans, une meuf, je la niquerais bien, et puis j’essaierai bien de lui montrer comme je vis… » Le tribunal n’est pas à l’aise, et même Sopo détourne son visage, lorsque, la citation terminée, Pardo se tourne vers l’accusation et tonne : « Cette réalité-là, jamais, jamais vous n’en parlez ! »

Quelques phrases, encore, quelques sentences puissantes pour clore cette plaidoirie qui avait été ouverte par « Je défends ici l’honneur et la liberté d’expression d’un journaliste. ». Nous nous levons, et sortons de la salle. Dehors, c’est une ovation. Cinq paumés de « Touche pas à mon pote » ont sorti leurs petits autocollants et essaient de huer Zemmour de leurs pauvres moyens. Hélas pour eux, la foule venue applaudir le journaliste gueule autrement plus fort qu’eux. Cela se soldera, plus tard, dans le métro, par des insultes de leur part, allant de « Bande de tapettes, sales tafioles » à un « Sale Pute » élégamment jeté par une excitée à une paisible retraitée venue soutenir Zemmour, et qui nous racontait le parcours de ses parents immigrés italiens…

Demeure alors, le soir et les jours qui suivent, le sentiment d’avoir passé trois jours exaltants. Demeure une reconnaissance infinie à Zemmour – et à ses proches – qui ont vécu des heures ignominieuses. Demeure une profonde gratitude à son avocat, à sa plaidoirie qui sauvera peut-être Zemmour et quoi qu’il arrive restera au cœur de nos mémoires. Demeure aussi l’angoisse de l’attente du jugement. Le 18 février, à 13h30, il nous faudra être nombreux à leurs côtés. »

Myriam Picard

04/02/2011

Eric Zemmour : « Les arabes détestent la France » !

La preuve en vidéo…

FDF

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20/01/2011

Enorme !!! La « tartufferie » de Sopo…

En 2005, Dominique Sopo, président de SOS Racisme tenait des propos similaires à ceux d’Eric Zemmour pour lesquels il le poursuit en justice aujourd’hui.

 

Extrait du livre “SOS antiracisme” (éditions Denoël), écrit en 2005 par le président de SOS Racisme, Dominique Sopo…

“L’exemple du traitement de la surdélinquance des étrangers et des jeunes issus de l’immigration est ici éclairant. Longtemps nié en France, ce phénomène n’en était et n’en demeure pas moins réel.[…] Nier une évidence, c’est s’interdire d’en offrir une analyse.”

Il existe en France, un antiracisme bien-pensant. Il est dangereux, car dévoyé. […] Il repose sur une relation viciée, dès le départ, entre d’”ex-colons” et d’”-ex-indigènes”. Il se nourrit principalement de cette culpabilité blanche. Il est une perpétuelle action de repentir. L’étranger ainsi canonisé, la béatitude peut suivre.” 4ème de couverture.

” Il faut souligner que dans la conception exotique de l’antiracisme, l’Etranger est privé de sa propre définition et d’une libre détermination. Il n’est plus un sujet agissant mai un objet de compassion. ” p 14

Le discours victimaire occupe pourtant une place loin d’être négligeable chez ceux qui se réfèrent au discours antiraciste. Il l’occupe d’autant plus qu’il est adossé à une lecture marxisante de la société : d’un côté les oppresseurs, de l’autre les opprimés.” P 22

Pour cela, les islamistes savaient pouvoir compter en Europe sur un allié de poids : la mauvaise conscience post coloniale. Le discours antiraciste fut alors dévoyé en prenant en compte cet élément majeur. Pour échapper à toutes critiques de leurs visées réactionnaires et de leurs stratégies d’influence, ces extrémistes entreprirent, en dénaturant profondément la philosophie et les mots de l’antiracisme, de dénoncer une “islamophobie” dont la moindre critique à leur égard aurait été le signe. ” p.78

Ces propos, sur le fond, ne sont guère différents de ceux tenus par Eric Zemmour pour lesquels il est poursuivi, notamment par SOS Racisme. L’UNI dénonce cette tartufferie et demande à SOS Racisme de retirer leur constitution de partie civile contre Eric Zemmour qui n’a fait qu’exprimer le même point de vue que le président de SOS Racisme en 2005.

Continuons notre mobilisation en faveur de la liberté d’expression

Depuis le début de la polémique suite aux propos d’Eric Zemmour, l’UNI a multiplié les actions en faveur du journaliste.. Vous avez été déjà plus de 82 000 personnes à signer notre pétition de soutien à Eric Zemmour. Aujourd’hui, nous devons dénoncer le double discours de SOS racisme en faisant connaître au plus grand nombre les écrits de leur président. Je vous invite à diffuser autour de vous ce message.

Source: UNI

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