Francaisdefrance's Blog

07/12/2011

Droit de vote aux étrangers: ça bouge de tous cotés !

En plus des pétitions, une manif CONTRE le droit de vote aux étrangers. Dans ce pays démocratique ( http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocratie ) qu’est la France, avec tous ces appels venant du peuple, le Sénat va t’il en tenir compte?  Rien de moins sur… C’est la Gauche qui décide; et la gauche « aime » les étrangers, surtout en vue des présidentielles. Vu qu’ils ne leur reste que ça comme électorat…

Prions en attendant le 8 décembre (pour ceux qui ne pourront manifester).

FDF

.

Jeudi 8 décembre, Résistance républicaine appelle ses adhérents et sympathisants à aller manifester, à partir de 12h30, contre le droit de vote des étrangers, rue de Tournon, Paris 6, devant le

Notre association défend les fondamentaux de la République et, à ce titre, considère que le droit de vote ne peut être accordé qu’aux citoyens de nationalité française, conformément à l’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen 26 août 1789 :  » – Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. »

En effet, ne peuvent avoir de droits politiques que les individus attachés à la Nation par la nationalité, celle-ci donnant à la fois des droits et des devoirs concernant les autres citoyens. Puisque les citoyens français sont dépositaires de l’intérêt national, à ce titre ils doivent pouvoir voter pour choisir la « respublica ».

Il ne suffit pas de travailler et de payer ses impôts en France pour avoir le droit de décider de sa politique. En effet, que se passerait si les étrangers non européens avaient le droit de vote ?

Ce serait la fin de la notion de citoyenneté de notre pays, chacun de ceux qui y vit y aurait les mêmes droits sans avoir pour autant les mêmes devoirs. Si les étrangers veulent voter comme les Français, il leur appartient de prouver qu’ils aiment la France, reconnaissent ses valeurs, sont prêts à la défendre en demandant leur naturalisation.

Ce serait comme si vous hébergiez un ami pour lui rendre service pendant quelques mois, et que, au motif qu’il participe aux frais, il prenait le droit d’imposer sa vision de la décoration, de choisir vos amis et les vêtements de votre femme et vous interdisait la nourriture qui ne vous convient pas.

Accorder le droit de vote aux élections locales aux étrangers c’est leur permettre de peser sur l’élection du maire et des conseillers municipaux qui sont les électeurs des sénateurs. C’est donc leur permettre de participer, de fait, aux élections nationales réservées aux citoyens français et de choisir à leur place leurs lois voire leur constitution.


Accorder le droit de vote aux élections locales aux étrangers c’est leur permettre d’imposer, de fait, des traditions contraires aux nôtres, c’est leur permettre de faire voter des subventions sur des critères non pas d’intérêt commun mais sur des critères qui pourraient être communautaristes ou religieux, c’est leur permettre d’imposer peu à peu des salles et des piscines où hommes et femmes seraient séparés et c’est leur permettre d’imposer dans les cantines scolaires des revendications alimentaires pour en chasser le porc et y introduire le halal, qui contrevient avec la loi du 9 décembre 1905, puisque tout achat de halal finance une mosquée.

Pour toutes ces raisons, Résistance républicaine sera présente jeudi 8 décembre pour demander aux sénateurs de ne pas voter la proposition de loi qui va leur être présentée, au nom de la République, au nom de la France.

Christine Tasin

Présidente de Resistance republicaine

13/05/2011

Un étranger en situation irrégulière qui refuse de quitter le territoire français ne pourra plus être emprisonné. On en fait quoi, alors?

On va à la catastrophe… Il reste une seule solution: fermer nos frontières à ces gens là. J’entends d’ici les associations pro-clandestins brailler si la France devient hermétique aux sans-papiers. Et sans manifester pour le seul plaisir de faire semblant d’humanisme, qu’ils montrent l’exemple en accueillant eux-même les clandestins à leur domicile. Ils vont vite en revenir…

Pas de prison? Ok, les nôtres sont pleines; en majorité de délinquants « issus de  l’immigration », comme on dit… Mais les « clandés » lâchés en pleine nature, ça va assurer grave…

Et en ce qui concerne les sans-papiers qui refusent de partir, il faudrait savoir si c’est la loi du pays « d’accueil » qui prime sur celle du droit européen. Apparemment non. Mais force est de constater que nous avons les moyens d’accueillir toute la misère du monde; pendant que les Français de souche font les poubelles pour se nourrir. Lamentable.

FDF

.

Pas de prison pour les sans- papiers qui refusent de partir…

Le fait pour un étranger de refuser de quitter la France tout en n’ayant pas de papiers en règle ne peut plus être un motif d’emprisonnement. C’est le sens d’une circulaire diffusée jeudi par la Chancellerie et consultée par l’AFP.

La consigne est une application d’un arrêt de la cour de justice de l’Union européenne. Saisie par un tribunal italien, celle-ci a jugé illégale le 28 avril dernier la détention d’un migrant en situation irrégulière s’il refuse de quitter le pays. Cet arrêt découle de la «directive retour» européenne de 2008 sur les modalités de reconduite à la frontière, qui prévoit des mesures coercitives proportionnées et graduées. Selon cette directive, la rétention administrative est l’ultime recours, l’emprisonnement étant considéré comme incompatible avec l’objectif d’éloigner un étranger.

Prison pour les comportements violents ou les fraudes avérées

«Afin de se conformer à la décision du 28 avril», la circulaire française demande aux parquets de ne placer en garde à vue et de ne poursuivre un étranger qui refuse de quitter le territoire qu’en cas de «comportements de violence envers les personnes dépositaires de l’autorité publique ou de fraudes avérées (faux documents administratifs), détachables de l’infraction de séjour irrégulier ou de soustraction à une mesure d’éloignement.»

L’arrêt, estime en revanche la Chancellerie, ne fait pas obstacle au placement en garde à vue des étrangers sur la base du code d’entrée et de séjour des étrangers et du droit d’asile, ni aux mesures de rétention qui peuvent en découler. Mais dans ce cas, la circulaire recommande «de s’attacher à caractériser un défaut manifeste de coopération dans la phase d’identification se déroulant pendant la rétention administrative ou de résistance à l’exécution de la procédure forcée d’éloignement».

Pour justifier sa décision, le texte de la Chancellerie explique que l’arrêt européen du 28 avril produisait «des divergences d’interprétation entre diverses cours d’appel» en France, où la loi prévoit que le séjour illégal et la soustraction à la reconduite sont passibles de prison. En application de cet arrêt, des décisions de remise en liberté avaient en effet été rendues à Nîmes, Rennes et Toulouse. D’autres, défavorables aux étrangers, avaient en revanche été prononcées à Paris et Marseille.

Avec AFP

Source: http://www.lefigaro.fr/

23/01/2011

L’Algérie au fond du trou. Ses dirigeants continuent à creuser…

Abdelaziz Bouteflika est mal barré… Et il n’est pas le seul, là-bas, au Maghreb… La région s’embrase. Seul hic: « ils » vont tous rappliquer chez nous. Il nous reste peu de temps pour revoir à fond nos lois d’immigration. Le coup des « vases communicants », on connaît. Marine, vite !!!

FDF

.

 

 

On le voudrait, qu’on ne pourrait pas rester indifférent à ce qui se passe en ce moment en Tunisie ou en Algérie. Ne serait-ce que parce que quand ça va mal au Maghreb, c’est toujours sur la France que ça retombe. Et ça se termine toujours par l’arrivée sur notre sol, décidément bien accueillant, de nouvelles vagues d’immigrés désespérés, qui, après un premier élan de remerciements émus et sincères pour le pays qui les accueille, ne tarderont pas, sous la houlette de nos associations « pousse au crime » de défense du droit des autres, à se plaindre qu’on ne leur « donne » pas assez.

Je ne vais pas m’éterniser sur cet aspect-là des révoltes maghrébines, les médias en ont débattu en long, en large et en travers, et vous savez à quoi vous en tenir. Non, ce que je voudrais partager avec vous aujourd’hui, ce sont les réflexions qui me sont venues à la lecture d’un article de l’Express de la semaine dernière qui portait, entre autres, sur la situation économique de l’Algérie. Parce que figurez-vous que le sort de mon pays de naissance m’intéresse encore, même si comme beaucoup des lecteurs de Notre Journal j’en aie été viré comme un malpropre. Oui, l’Algérie m’intéresse, parce que son avenir ou son absence d’avenir a un impact direct sur l’avenir de mes enfants. Elle m’intéresse, parce qu’on a beau dire, beau faire, nos racines, nous les conservons toute notre vie accrochées à nos semelles.

– !- !- !- !- !- !-

Je suis retourné il y a quelques années en Algérie, où je n’avais pas mis les pieds depuis 1962, et j’ai été ému comme jamais. Emu et infiniment triste, non pas à cause de réminiscences de l’Algérie perdue – ma vie de petit Pied-Noir, il y a longtemps que j’en ai fait mon deuil. Mais ému par l’Algérie d’aujourd’hui, et par le sort désespérant qui est fait à ses habitants par un pouvoir intéressé à son seul profit. Parce que ces habitants-là, si on y réfléchit, ont été nourris de la même terre que moi. Quelque part, ils sont mes frères de lait.

J’ai voyagé un peu partout à travers le monde, et jamais, nulle part, je n’ai rencontré de gens aussi tristes, aussi désenchantés, aussi désespérés de l’avenir qu’en Algérie. Que ce soit au Cambodge, où les Khmers Rouges ont pourtant exterminé le quart de la population en quatre ans, en Birmanie ou même en Iran, où le mot « droit » n’existe pas, les gens espèrent, travaillent, se battent pour un avenir meilleur. A Oran, dans un café près du lycée Pasteur (anciennement Lamoricière), des professeurs m’avaient dit leur désespoir : pour eux, il était clair qu’il n’y avait pas d’avenir tant que le FLN serait au pouvoir. Et pour eux, le FLN était au pouvoir pour au moins cinq cents ans, parce qu’il détenait la force, avec l’armée, l’argent, avec le pétrole, le gaz et les métaux rares, et la connaissance, avec les enfants de ses dirigeants qui, eux, faisaient leurs études dans les meilleures universités américaines ou britanniques, pendant que les écoles algériennes fournissaient un savoir au rabais, quand elles n’étaient pas fermées au profit d’écoles coraniques. Alors il ne leur restait plus que le visa pour la France ou, à défaut, la « harraga » (brûler ses papiers et partir pour l’Europe sur un rafiot improbable, avec autant de chances de mourir en route que d’arriver).

L’Algérie, aujourd’hui, est au fond du trou : 97% des recettes de l’Etat viennent des hydrocarbures, et près de la moitié des algériens, quand ils travaillent, travaillent, sans aucune protection sociale, pour l’économie souterraine. Le salaire moyen est de 150 euros. L’Algérie importe entre 50 et 100% de sa consommation de base, céréales, lait, huile ou sucre. Le taux de fécondité est passé de près de 8 enfants par femme en 1960 à un peu plus de 2 en 2010, non pas pour des raisons culturelles, mais parce que les jeunes gens ne peuvent pas se marier, faute de logement et de travail. Et pendant que la population survit dans la misère, sans espoir, et avec une jeunesse qui « tient les murs », le budget du pays est excédentaire, ses réserves de change dépassent les 120 milliards d’euro, et ses dirigeants sont tous multi-millionnaires en euros. Et quand sous la pression de la rue le gouvernement se décide enfin à entreprendre des grands travaux, routes ou constructions, il fait appel à de la main d’œuvre chinoise, parce que la main d’œuvre algérienne est sous qualifiée et ne sait pas travailler !

– !- !- !- !- !- !-

Tenez, pendant que j’étais en Algérie, j’ai eu l’occasion de constater à quel point tout tombait en ruine. L’hôtel que nous avions réservé à Oran nous avait été recommandé essentiellement parce qu’il était le seul à proposer de l’eau courante 24 heures sur 24 ! A Oran, qui en manque dramatiquement, près de 50% de l’eau potable se perd dans des canalisations usées, rouillées, percées de toute part. Dans la salle de bains de ma chambre, la chasse d’eau coulait à gros bouillons, et le robinet d’arrêt tournait à vide. Tous les robinets fuyaient. Pour obtenir de l’eau chaude, il fallait faire couler l’eau au minimum 10 mn. Le même constat dans toutes les chambres. Quand quelques jours auraient suffi à un plombier pour que plus une seule goutte d’eau ne se perde… Mais voilà ! Comme me l’avait expliqué, fataliste, le directeur de l’hôtel, pour faire venir un plombier, il faut en trouver un. Et des plombiers, il n’y en a pas, parce qu’il n’y a ni école, ni artisans plombiers pour former les jeunes ! Et c’est vrai pour à peu près tous les métiers…

Alors comment s’étonner que quand vous vous promenez sur le boulevard Front de Mer à Oran, tous les jeunes que vous croisez vous quémandent une recommandation qui les aiderait à obtenir le fameux visa. Leur seul espoir, leur seul rêve, c’est de partir. (lire le roman de Tahar Ben Jelloun, « partir »).

Tout ça pour ça. Et dire que si l’Algérie avait suivi l’exemple de l’Afrique du Sud, elle serait aujourd’hui un des dix pays les plus riches du monde (Claude Allègre, sur France 5). Quel gâchis !

Pour finir, et pour en revenir aux révoltes actuelles, je n’ai aucune idée de ce que la Tunisie ou l’Algérie vont devenir. Par contre je sais ce qu’elles ne vont pas être : des Démocraties. Parce que la notion de démocratie est totalement étrangère aux Arabes et encore plus aux musulmans, et parce qu’il n’y a pas d’exemple en ce monde de révolution qui ait profité in fine au peuple à qui on l’a fait faire.

Source: http://notrejournal.info/

15/05/2009

Crier «Sarkozy, je te vois» est un «tapage injurieux diurne»…

Filed under: Uncategorized — francaisdefrance @ 12:28
Tags: , , ,
Mais quand c’est Sarko qui insulte quelqu’un en disant « casse-toi, pauv’con! », c’est normal, pour un chef d’Etat… On y arrive tout doucement, au règne de l’arbitraire…
15.05.09

MARSEILLE – Un enseignant de 47 ans doit comparaître mardi prochain…

La phrase de trop? Un enseignant de 47 ans doit comparaître mardi prochain devant le tribunal de police pour avoir crié à deux reprises: «Sarkozy, je te vois!», alors qu’il assistait à un contrôle de police un peu musclé à son goût en gare Saint-Charles, à Marseille, le 27 février 2008. Les policiers avaient alors estimé que l’homme avait porté atteinte à la tranquillité publique, et lui avait dressé un procès-verbal.

Surprise, début avril, le prof est cité à comparaître pour «tapage injurieux diurne», délit passible d’amende. Son avocat ne s’interdit pas de demander une reconstitution in situ et de mesurer le niveau de décibels « dans une gare, en pleine heure de pointe».

Source: http://www.20minutes.fr