Francaisdefrance's Blog

06/03/2012

François Hollande, la gauche et l’extrême gauche mettent notre nationalité en danger.

Seconde passe… Pour les clicks et accès, c’est ici: http://www.nationalite-citoyennete-identite.com/assises-la-france-en-danger/

FDF

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Acceptez-vous de les laisser faire sans réagir ?

Une lettre de Catherine Blein, présidente de l’association Citoyenneté, Nationalité, Identité


 

Chères et chers compatriotes,

Quand en octobre dernier j’ai entendu à la télévision un hiérarque socialiste expliquer qu’une des premières mesures que le Sénat passé à gauche allait voter était l’octroi du droit de vote aux étrangers, mon sang n’a fait qu’un tour. J’en suis certaine, vous avez réagi comme moi.

Pourquoi les socialistes veulent-ils donner le droit de vote aux étrangers ?
Pour assurer à long terme la main-mise de la gauche et de l’extrême-gauche, la patronne du PS applique à la lettre le précepte du stalinien Bertold Brecht : « Si le peuple ne vous convient pas, changez le peuple ». Comment comptent-ils s’y prendre ? En octroyant le droit de vote aux étrangers, première étape avant une régularisation massive des clandestins, prélude à des naturalisations à la va-vite. Est-ce vraiment ce que vous voulez ?
Si nous ne faisons rien, cette machination politicienne misérable condamne la France à disparaître dans les vingt à trente ans. Si cette catastrophe se produit, soyez-en sûrs, les socialistes ne verseront pas une larme. Au contraire. Martine Aubry fait déjà l’éloge de la « nation métissée ».

 

La France c’est une réalité, pas des papiers
Vous et moi sommes d’accord. Non, la France ce n’est pas « un idéal auquel on adhère » comme le disait Jacques Delors. La France est un vrai peuple, réunissant des êtres de chair et de sang, partageant une synthèse entre la culture antique et le catholicisme.
Sur ce terreau, une histoire riche a fait de nous ce que nous sommes. La France est l’héritage accumulé par des générations de Français, pas un jouet entre les mains de la gauche.
Non, M. Hollande. Je ne veux pas changer d’identité, de civilisation. Je veux être une Française et une Européenne comme l’ont été mes parents avant moi. Et je veux surtout que mes enfants et mes petits-enfants soient des Français comme moi.

 Inscrivez vous aux assises
« La France en danger »
 

Une pétition qui a permis à notre voix de Français ordinaires de se faire entendre

Révoltée par cette obsession de dégrader cette France que vous et moi avons reçue en héritage de nos parents, j’ai mis en ligne une pétition pour protester contre ce projet suicidaire d’accorder le droit de vote aux étrangers non européens.
Nos concitoyens ont été nombreux à répondre positivement à mon message. Des personnes comme vous et moi, ont créé des comités pour agir localement. Très rapidement, en Normandie, en Ile-de-France, en Provence, à Nice, à Angers, en Bretagne… Bref, un peu partout en France, les énergies se sont mobilisées pour conjurer la menace.

La création de l’association Nationalité, Citoyenneté, Identité
Pour monter en puissance et grâce aux conseils et à l’aide pratique de pétitionnaires, nous avons déposé les statuts de l’association « Nationalité, Citoyenneté, Identité » (NCI). Cette structure nous permet de poursuivre et de développer l’élan auquel tant de Français ont contribué voici quelques semaines en signant notre pétition. Nous nous ferons entendre afin d’interdire à la gauche et à la droite de brader notre citoyenneté. Ces réponses des Français sont un encouragement à poursuivre nos actions. Après avoir beaucoup réfléchi, il nous semble vital d’obliger les présidentiables de droite à apporter des réponses nettes à la question de la nationalité qui met en jeu notre avenir. Comment alors interpeller ces candidats et les forcer à prendre position contre les lubies de la gauche ? Les conseils de professionnels de la communication, de journalistes connus qui nous appuient discrètement, nous ont convaincus qu’il fallait programmer un « Grenelle de la nationalité ».

Signez la pétition contre le droit de vote aux étrangers: (http://www.nationalite-citoyennete-identite.com/assises-la-france-en-danger/)
 

Avec votre aide : nous allons infléchir le cours des présidentielles
Pour réussir, nous avons organisé des assises nationales : « la France en danger » qui vont avoir lieu le samedi 10 mars à Paris. Depuis, c’est la course contre la montre. Des bénévoles ont passé Paris et sa région au peigne fin pour dénicher une salle en mesure d’accueillir mille personnes en toute sécurité. De mon côté, je me suis attelée à la recherche des hommes et des femmes acceptant de parler de la réalité du fait national et de l’importance vitale de sa préservation. Toutefois, ce grand rendez-vous qui concrétise les espérances de millions de Français ne peut réussir sans votre aide, nous devons être les plus nombreux possible à l’Espace Charenton pour que les candidats, les médias et tous les Français entendent nos propositions pour sauver notre citoyenneté et notre identité.

 Inscrivez vous aux assises « La France en danger »
 

Aujourd’hui, je vous demande de nous donner le coup de pouce qui va nous permettre de transformer l’essai en vous inscrivant aux assisses et en signant notre pétition.

Pour vous inscrire, cliquez ici:( http://www.nationalite-citoyennete-identite.com/assises-la-france-en-danger/)
Deux gestes simples grâce auxquels nous serons en mesure de mettre les candidats se réclamant des valeurs de la France au pied du mur afin que celui qui sera élu dans quelques semaines tienne les promesses qu’il aura faites aux Français. D’avance, merci !
 
Catherine Blein
Présidente de l’association Citoyenneté, Nationalité, Identité
BP 10432
22200 Guingamp
06-40-57-03-31
nationalite.nci@gmail.com

N.B. : pour marquer l’événement, nous avons produit un livre exceptionnel qui réunit des textes de chacun des orateurs présents.
Pour toute contribution d’un montant supérieur à 30 euros, nous serons heureux de vous adresser à titre de remerciement cet ouvrage de collection qui marque un grand moment de la renaissance française face aux dangers qui nous guettent.
Cette fois, avec votre don le plus généreux, c’est vous qui changez l’histoire de notre pays.
L’avenir s’écrira avec nous.
Pour nous aider financièrement et recevoir votre livre événement, cliquez ici: http://www.nationalite-citoyennete-identite.com/assises-la-france-en-danger/

07/12/2011

Droit de vote aux étrangers: ça bouge de tous cotés !

En plus des pétitions, une manif CONTRE le droit de vote aux étrangers. Dans ce pays démocratique ( http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocratie ) qu’est la France, avec tous ces appels venant du peuple, le Sénat va t’il en tenir compte?  Rien de moins sur… C’est la Gauche qui décide; et la gauche « aime » les étrangers, surtout en vue des présidentielles. Vu qu’ils ne leur reste que ça comme électorat…

Prions en attendant le 8 décembre (pour ceux qui ne pourront manifester).

FDF

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Jeudi 8 décembre, Résistance républicaine appelle ses adhérents et sympathisants à aller manifester, à partir de 12h30, contre le droit de vote des étrangers, rue de Tournon, Paris 6, devant le

Notre association défend les fondamentaux de la République et, à ce titre, considère que le droit de vote ne peut être accordé qu’aux citoyens de nationalité française, conformément à l’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen 26 août 1789 :  » – Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. »

En effet, ne peuvent avoir de droits politiques que les individus attachés à la Nation par la nationalité, celle-ci donnant à la fois des droits et des devoirs concernant les autres citoyens. Puisque les citoyens français sont dépositaires de l’intérêt national, à ce titre ils doivent pouvoir voter pour choisir la « respublica ».

Il ne suffit pas de travailler et de payer ses impôts en France pour avoir le droit de décider de sa politique. En effet, que se passerait si les étrangers non européens avaient le droit de vote ?

Ce serait la fin de la notion de citoyenneté de notre pays, chacun de ceux qui y vit y aurait les mêmes droits sans avoir pour autant les mêmes devoirs. Si les étrangers veulent voter comme les Français, il leur appartient de prouver qu’ils aiment la France, reconnaissent ses valeurs, sont prêts à la défendre en demandant leur naturalisation.

Ce serait comme si vous hébergiez un ami pour lui rendre service pendant quelques mois, et que, au motif qu’il participe aux frais, il prenait le droit d’imposer sa vision de la décoration, de choisir vos amis et les vêtements de votre femme et vous interdisait la nourriture qui ne vous convient pas.

Accorder le droit de vote aux élections locales aux étrangers c’est leur permettre de peser sur l’élection du maire et des conseillers municipaux qui sont les électeurs des sénateurs. C’est donc leur permettre de participer, de fait, aux élections nationales réservées aux citoyens français et de choisir à leur place leurs lois voire leur constitution.


Accorder le droit de vote aux élections locales aux étrangers c’est leur permettre d’imposer, de fait, des traditions contraires aux nôtres, c’est leur permettre de faire voter des subventions sur des critères non pas d’intérêt commun mais sur des critères qui pourraient être communautaristes ou religieux, c’est leur permettre d’imposer peu à peu des salles et des piscines où hommes et femmes seraient séparés et c’est leur permettre d’imposer dans les cantines scolaires des revendications alimentaires pour en chasser le porc et y introduire le halal, qui contrevient avec la loi du 9 décembre 1905, puisque tout achat de halal finance une mosquée.

Pour toutes ces raisons, Résistance républicaine sera présente jeudi 8 décembre pour demander aux sénateurs de ne pas voter la proposition de loi qui va leur être présentée, au nom de la République, au nom de la France.

Christine Tasin

Présidente de Resistance republicaine

06/12/2011

Le droit de vote aux étrangers: c’est pour dans DEUX jours…

Si le texte est approuvé au Sénat (qui a basculé à gauche, je vous rappelle), ça va être tendu en France … Ca devrait même chauffer…

Le PS est est à racler les « fonds de tiroir » pour les présidentielles. Si Hollande passe, ce sera grâce aux étrangers. La France doit être dirigée par des Français et c’est légitime !

Alors en 2012:


FDF

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Nos belles âmes veulent accorder le droit de vote aux immigrés non-français, dans un premier temps aux élections locales… Avec l’espoir de récupérer leurs voix.
Or, il est clair que les immigrés  (« Français » ou étrangers) ne voteront ni droite, ni gauche. ILS voteront ethnique et religieux!
Souvenez-vous: avant le milieu du présent siècle, si nous laissons faire, ILS seront majoritaires.
Signez, transférez cette pétition… En attendant mieux.
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Là:
Dans 2 jours, les sénateurs socialistes vont tenter de faire adopter par le sénat une proposition de loi constitutionnelle afin d’accorder le droit de vote et d’éligibilité aux étrangers non-ressortissants de l’Union européenne. Depuis quelques jours, l’UNI a lancé une pétition contre cette proposition. Celle-ci, a, d’ores et déjà, rassemblé plus de 36 000 signataires.
Nous n’avons plus que quelques jours pour nous faire entendre. C’est pourquoi, je vous prie de signer et de faire signer cette pétition contre le droit de vote des étrangers, mais aussi d’écrire, grâce à ce formulaire, au sénateur socialiste le plus proche de chez vous pour les inciter à ne pas voter ce texte.  
Je vous remercie pour votre mobilisation.
Olivier Vial
Président de l’UNI

Voici le texte de la pétition.

Pétition contre le droit de vote aux étrangers

Quelques heures seulement après avoir remporté la majorité au sénat, les socialistes annonçaient que leur première loi consisterait à accorder le droit de vote aux étrangers.

Cela risque, malheureusement, d’être chose faite dès le 8 décembre prochain ! A cette date, les sénateurs se prononceront sur une proposition de loi constitutionnelle, visant à accorder le droit de vote et d’éligibilité aux étrangers non-ressortissants de l’Union européenne résidant en France (n° 329, 1999-2000).

Refusons le cynisme socialiste

Avec la crise qui frappe la France, n’y avait-il pas d’autres priorités ? Était-ce réellement le débat le plus urgent ?

Pour les socialistes, il est évident que cela l’était ! Très cyniquement, ils ont fait leurs petits calculs. En juin dernier, la fondation Terra nova, organisation très proche du PS, publiait une note établissant la stratégie électorale de la gauche pour les prochaines élections. On pouvait y lire, notamment :

 » La France de la diversité est presque intégralement à gauche. L’auto-positionnement des individus révèle un alignement des Français d’origine immigrée à gauche – de l’ordre de 80-20. On retrouve des scores de cette ampleur dans les bureaux de vote des quartiers populaires. »

Les socialistes ont poussé encore plus loin cette analyse en établissant une véritable cartographie électorale en fonction de la nationalité des étrangers. Toujours dans cette note, on peut lire que le vote en faveur de la gauche  » se vérifie quelle que soit l’origine nationale. Il est le plus massif pour les Français d’origine africaine (tant sub-saharienne que maghrébine) et se renforce nettement pour la seconde génération par rapport à la première (de l’ordre de 10 points). La seule exception est la première génération d’origine asiatique, qui reste polarisée à droite par anticommunisme. »

Dès lors, on comprend mieux la détermination des socialistes qui ,en plus de proposer un tel texte au sénat, ont fait de cette proposition un point clé de leur projet présidentiel ! Ils espèrent ainsi se constituer une nouvelle clientèle électorale plus fidèle et plus facile à manoeuvrer que l’électorat populaire qui lui a tourné le dos.

Ne bradons pas la citoyenneté française qui s’incarne dans le droit de vote !

Malheureusement ce cynisme électoral risque de mettre à terre un des derniers fondements de notre modèle républicain. Depuis des siècles, la citoyenneté française s’incarne dans le droit de vote qui fait le lien entre la citoyenneté et la nationalité.

Accorder le droit de vote aux étrangers serait un coup de canif de plus dans notre modèle républicain déjà bien fragile !

Parce que nous ne pouvons pas accepter qu’un étranger qui n’a jamais souhaité devenir Français, en faisant l’effort sincère de s’intégrer, puisse, malgré tout, voter et être élu en France, nous devons nous mobiliser pour dire non au droit de vote des étrangers.

Nous n’avons que quelques jours pour faire comprendre à la classe politique française que le droit de vote doit rester conditionné à la citoyenneté et donc à la nationalité.

C’est pourquoi, je vous invite à signer et faire signer cette pétition contre le droit de vote des étrangers.

Aidez-nous également à faire signer massivement cette pétition en la diffusant à tous vos contacts.

28/11/2011

Mobilisons-nous contre le droit de vote des étrangers (Bis).

Avant que ça passe au Sénat, le 8 décembre, continuons à nous défendre! Les socialistes veulent (et peuvent) faire passer cette loi.

FDF

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  POUR SIGNER LA PÉTITION http://www.uni.asso.fr/spip.php?article10303


Chers amis,
Vous avez été plus de 150 000 à nous soutenir quand nous avons lancé notre pétition pour défendre Eric Zemmour. Grâce à vous, nous avons réussi à faire entendre la voix de millions de français que les médias trop souvent ignorent.
Aujourd’hui, nous avons à nouveau besoin de votre soutien pour nous opposer au droit de vote des étrangers. Le 8 décembre prochain, la majorité socialiste au sénat compte légiférer dans ce sens. Nous n’avons que quelques jours pour nous faire entendre.
C’est pourquoi, je vous prie de signer et de faire signer cette pétition contre le droit de vote des étrangers.
En vous remerciant.
Olivier Vial
Président de l’UNI

Voici le texte de la pétition.

Pétition contre le droit de vote aux étrangers

Quelques heures seulement après avoir remporté la majorité au sénat, les socialistes annonçaient que leur première loi consisterait à accorder le droit de vote aux étrangers.

Cela risque, malheureusement, d’être chose faite dès le 8 décembre prochain ! A cette date, les sénateurs se prononceront sur une proposition de loi constitutionnelle, visant à accorder le droit de vote et d’éligibilité aux étrangers non-ressortissants de l’Union européenne résidant en France (n° 329, 1999-2000).

Refusons le cynisme socialiste

Avec la crise qui frappe la France, n’y avait-il pas d’autres priorités ? Était-ce réellement le débat le plus urgent ?

Pour les socialistes, il est évident que cela l’était ! Très cyniquement, ils ont fait leurs petits calculs. En juin dernier, la fondation Terra nova, organisation très proche du PS, publiait une note établissant la stratégie électorale de la gauche pour les prochaines élections. On pouvait y lire, notamment :

 » La France de la diversité est presque intégralement à gauche. L’auto-positionnement des individus révèle un alignement des Français d’origine immigrée à gauche – de l’ordre de 80-20. On retrouve des scores de cette ampleur dans les bureaux de vote des quartiers populaires. »

Les socialistes ont poussé encore plus loin cette analyse en établissant une véritable cartographie électorale en fonction de la nationalité des étrangers. Toujours dans cette note, on peut lire que le vote en faveur de la gauche  » se vérifie quelle que soit l’origine nationale. Il est le plus massif pour les Français d’origine africaine (tant sub-saharienne que maghrébine) et se renforce nettement pour la seconde génération par rapport à la première (de l’ordre de 10 points). La seule exception est la première génération d’origine asiatique, qui reste polarisée à droite par anticommunisme. »

Dès lors, on comprend mieux la détermination des socialistes qui ,en plus de proposer un tel texte au sénat, ont fait de cette proposition un point clé de leur projet présidentiel ! Ils espèrent ainsi se constituer une nouvelle clientèle électorale plus fidèle et plus facile à manoeuvrer que l’électorat populaire qui lui a tourné le dos.

Ne bradons pas la citoyenneté française qui s’incarne dans le droit de vote

Malheureusement ce cynisme électoral risque de mettre à terre un des derniers fondements de notre modèle républicain. Depuis des siècles, la citoyenneté française s’incarne dans le droit de vote qui fait le lien entre la citoyenneté et la nationalité.

Accorder le droit de vote aux étrangers serait un coup de canif de plus dans notre modèle républicain déjà bien fragile !

Parce que nous ne pouvons pas accepter qu’un étranger qui n’a jamais souhaité devenir Français, en faisant l’effort sincère de s’intégrer,  puisse, malgré tout, voter et être élu en France, nous devons nous mobiliser pour dire non au droit de vote des étrangers.

Nous n’avons que quelques jours pour faire comprendre à la classe politique française que le droit de vote doit rester conditionné à la citoyenneté et donc à la nationalité.

C’est pourquoi, je vous invite à signer et faire signer cette pétition contre le droit de vote des étrangers.

Aidez-nous également à faire signer massivement cette pétition en la diffusant à tous vos contacts.

05/07/2011

C’est pas bon « l’immigration »…


Il est certain que quiconque se voit attribuer le dossier de l’immigration est assis sans cesse sur des charbons ardents… Et pourquoi? A t’on peur d’aborder le problème? A t’on peur de heurter certaines minorités? A t’on peur de fâcher certaines communautés? C’est vrai qu’un « loupé » en ce domaine pourrait faire perdre bon nombre de voix électorales bien précieuses…

Messieurs les politiques: arrêtez de tourner en rond et prenez des décisions; fermes et définitives !

FDF

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Lionnel Luca quitte son poste à l’UMP

Lionnel Luca, député UMP des Alpes-Maritimes, vient de démissionner de son poste de secrétaire national à l’immigration de l’UMP. «J’ai envoyé ma lettre de démission à Jean-François Copé car je ne suis pas en cohérence avec l’UMP sur ces questions» confie Lionnel Luca au Figaro.

Membre actif du collectif de la Droite Populaire, il déplore «la frilosité» de l’UMP, notamment sur le problème des binationaux ou sur celui de la démarche volontaire pour acquérir la nationalité française. Il regrette aussi de ne pas avoir été associé à la préparation de la convention que tiendra jeudi l’UMP sur l’immigration. «Sur la binationalité, on aurait pu ouvrir un débat, de façon à ce qu’elle soit à géométrie variable. Autant il est normal que des citoyens européens puissent avoir une double nationalité, autant on peut s’étonner que ceux qui ont été colonisés veuillent à tout prix conserver la nationalité de leur colonisateur» ajoute-t-il «sans vouloir stigmatiser personne».

La Droite populaire avait réclamé en vain la suppression de la double nationalité, et le retour à la loi Pasqua de 1993 pour obliger les jeunes immigrés de plus de 18 ans à faire une démarche volontaire pour acquérir la nationalité française, comme cela existe pour les mineurs.

Source: http://www.lefigaro.fr/

03/02/2011

Malika Sorel : Non à la double nationalité pour les élus !

Quoi de plus légitime. Un élu français devrait avoir au moins la pudeur envers le peuple d’afficher clairement sa nationalité exclusivement française

FDF

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Non à la double nationalité pour les élus et hauts serviteurs de l’État français.

Par Malika Sorel

Je suis totalement opposée au fait que des personnes qui possèdent une double nationalité puissent accéder à quelque fonction d’élu que ce soit, même au niveau local, ainsi qu’à toute fonction gouvernementale ou dans la haute administration publique française. Bien entendu, mon propos concerne tous les Français quelle que soit leur origine, donc y compris ceux d’origine européenne, comme Frédéric Mitterrand.

Par ailleurs, au sujet de la suppression de la double nationalité, j’y suis pour ma part, en l’état actuel des choses, opposée, car cela rendrait impossible tout recours juridique à la déchéance de la nationalité française ; la France ne peut en effet fabriquer des apatrides. Si la double nationalité venait à être supprimée, une écrasante majorité des extra-européens opteraient, pour des raisons évidentes, pour la nationalité française qui de toute façon n’engage en rien leur identité : « Les enfants nés en France sont généralement de nationalité française, à l’exception d’une minorité (4,5%) […] Évelyne Ribert observe que la décision va de soi pour la plupart des adolescents, qui estiment que la carte d’identité nationale est indispensable pour faire sa vie en France, sans que cela engage leur propre identité. »[1]

Les critères de déchéance de la nationalité française restent aujourd’hui à établir. Le critère récemment adopté, qui consiste à déchoir toute personne « naturalisée depuis moins de dix ans condamnée pour meurtre d’agents dépositaires de l’autorité publique », et qui ne concerne, dans les faits, que trois pelés et un tondu, ne répond pas au problème de fond que les élites politiques françaises ont largement contribué à créer.

Reçu par mail…

17/10/2010

Surprenant Robert Ménard…

Robert Ménard recevait le Père Guy Gilbert. Immigration, islam et nationalité, bienvenue dans le monde des bisounours. Une vidéo qui décoiffe…

FDF

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http://www.youtube.com/v/s-OelXfSnN8?fs=1&hl=fr_FR
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Source: un « ami résistant »…

07/10/2010

Vous êtes Français, prouvez-le !

Pas de panique chez les personnes concernées! C’est le titre d’un livre… Vous avez eu peur, hein?

Mais les nouvelles dispositions du ministère de l’Intérieur sont réelles, elles… Les « recalés de la nationalité » ne vont pas être à la fête… Ca évitera des attributions de droits injustifiées, entre autres… On va peut-être y trouver un moyen de désendetter un peu la France? J’entends d’ici brailler les assocs bobos-gauchos… Les rouages de la machine à fabriquer des non-français sont grippés.

FDF

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20 % des Français sont susceptibles de devoir justifier  leur nationalité française au moment de renouveler leurs papiers d'identité./ Photo DDM.
20 % des Français sont susceptibles de devoir justifier leur nationalité française au moment de renouveler leurs papiers d’identité./ Photo DDM.
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Depuis janvier 2009 qui n’est pas né sur le sol français doit prouver sa nationalité sur quatre générations. Une machine à fabriquer des non-Français s’est mise en marche et les témoignages des recalés de la nationalité s’accumulent.

Longtemps, l’administration a été bonne fille. Il suffisait de produire ses papiers périmés, carte d’identité ou passeport, pour en obtenir de nouveaux. Malgré une légère et toute récente accalmie depuis janvier 2009 et les nouvelles dispositions du ministère de l’Intérieur, qui n’est pas né sur le sol français doit prouver sa nationalité sur quatre générations. Cette exigence dont les exemples se multiplient est ressentie comme une manifestation de défiance de l’État français envers ces « Français pas comme les autres ». Et ils sont légion: 12 millions de personnes, 20 % de la population. La pédopsychiatre parisienne, Dominique Décant-Paoli, comme beaucoup de descendants d’anciens colonisés, s’est soudain sentie refoulée. « En l’espace d’une matinée, la violence et la souffrance ont resurgi dans ma mémoire et avec elles, le souvenir d’un certain lexique colonial. J’ai revécu la misère ordinaire du sous-homme, de l’opprimé, de toutes celles et ceux qui doivent prouver qu’ils sont dignes d’être Français et se doivent de toujours en faire plus pour le mériter » explique-t-elle, après avoir essuyé un refus de renouvellement de carte d’identité.

Peu avant sa mort, Georges Charpak, notre prix Nobel de physique, né en Pologne et naturalisé Français en 1946 aurait été, dit-on, confronté à ces rigueurs administratives.

Une machine à fabriquer des non-Français s’est mise en marche et les témoignages des « recalés de la nationalité française s’accumulent. La journaliste Catherine Coroller en a même fait un livre , «Vous êtes Français? Prouvez-le.» Elle y écrit: « En 2010, en France, un nom à consonance israélite éveille les soupçons de l’administration, un militaire noir n’est pas un Français comme les autres, un sous-préfet peut enjoindre à un Français de naissance de demander une carte de séjour. En 2010, en France, si les hasards de la vie vous ont fait naître à l’étranger ou si votre histoire familiale trouve ses racines à l’étranger, y compris les anciennes colonies, un acte aussi banal qu’une demande de passeport vire au calvaire et à l’humiliation. Il vous faudra alors prouver que vous êtes français, mais comment prouver une évidence qui vous accompagne depuis la naissance ? »

Pourtant aujourd’hui, devant l’exaspération croissante, le ministère de l’Intérieur affirme, contre toute évidence, que l’administration est moins tatillonne.


Le chiffre : 45

jours > Délai d’obtention. Malgré l’amélioration du traitement des demandes de renouvellement de cartes d’identité, le délai d’obtention des nouveaux papiers peut s’étirer jusqu’à 45 jours.

« Certaines catégories de personnes continuent de rencontrer des problèmes, particulièrement celles originaires d’Algérie. » Isabelle Denise, responsable du service juridique de la Ligue des droits de l’homme.


témoin : Rama Yade, secrétaire d’état à la Jeunesse et aux Sports

« Je me suis sentie fragilisée »

Vous êtes née au Sénégal. Votre arrivée en France en 1987 a été suivie d’une naturalisation. Vous êtes-vous sentie menacée dans votre nationalité ?

Je regardais les informations dans mon canapé, en vacances dans le Vaucluse, quand le président de la République a prononcé le discours de Grenoble qui en parlait. Mon sang n’a fait qu’un tour et je me suis précipitée sur mes papiers. Mon premier réflexe a été de vérifier que j’étais naturalisée depuis plus de dix ans. Douze ans. C’est bien, ai-je pensé, avant de mesurer combien je m’étais sentie fragilisée et qu’il y avait là quelque chose qui n’allait pas. Je me suis soudain demandée qui j’étais, d’où je venais.

Pensez -vous qu’il y a deux catégories de Français ?

La société française a choisi d’être duale, avec d’un côté ceux qui sont protégés des risques, grâce à leurs statuts et les autres sont des challengers. Résultat, il y a de l’amertume et toutes sortes de difficultés. Comment faire aimer la République à ceux que l’on tient à l’écart ? C’est un vrai problème, un problème de fond que je pose dans mon livre.* Les élites dirigeantes actuelles ne sont tout simplement pas en mesure d’inverser la tendance.

Que faire pour sortir de cette dualité ?

Il faut restaurer l’amour de la nation qui n’a jamais cessé de se bâtir, de grandir, de s’assembler, et la fierté d’être Français. Pour cela, c’est en la jeunesse qu’il faut croire. C’est elle qui tient entre ses mains une part du succès de notre pays, qui peut lui rendre son élan vital. Il lui revient d’apporter un nouveau chapitre à notre histoire et à notre mémoire communes. C’est elle qui peut sortir la France du repli national et de sa mélancolie dont les difficultés pour obtenir des papiers ou les conserver sont une expression.

« Lettre à la Jeunesse (Grasset). Essai, 135 pages.


Maria Pilar: « Une situation ubuesque »

Maria Pilar : » Je suis née à une époque où il ne faisait pas bon naître : à la fin de la guerre civile espagnole, en Catalogne espagnole. Mon village qui portait un nom de saint a été débaptisé sous le régime de la Géneralitat comme tous les villages dont le nom faisait référence à la religion. J’ai donc un acte de naissance original dans tous les sens du terme : il est estampillé du sceau de la Généralitat mais le village qu’il mentionne n’existe aujourd’hui sur aucune carte d’état-major puisqu’il a retrouvé son nom d’origine à la reconquête franquiste. Bien sûr les transcriptions du registre en temps de guerre ont été transférées sur le registre général. Mais il est très difficile auprès d’une administration française de faire valoir cet état de fait.

Mon père était de nationalité française, il faisait partie des brigades internationales. Mon grand-père maternel et ma mère m’ont déclarée sous son nom à la mairie du village et au consulat général de Barcelone qui a délivré à ma mère un laissez-passer où j’étais reconnue de nationalité française. Mon père n’était plus là, il avait fui l’avancée des troupes franquistes. Quand il s’est agi de renouveler mes papiers d’identité, à l’âge de vingt ans, j’ai effectué des recherches sur mon père auprès de la mairie de Tunis où il était né d’un père français, et d’une mère immigrée italienne. L’acte de naissance tunisien ne comporte pas les lieux d’origine de mes grands-parents paternels, ni d’ailleurs la mention de la mort de mon père, revenu à Tunis après l’Espagne. à partir de là, j’ai totalement perdu sa trace, ce qui a abouti parfois à des situations ubuesques. Moi demandant à l’administration française de me fournir des précisions sur son parcours et la date de sa mort, et l’administration me demandant de lui fournir la date du décès. Par contre j’ai eu affaire à des fonctionnaires compatissants au ministère des Armées. Ils m’ont aidée à une époque où on pouvait expliquer son cas au téléphone, sans être renvoyée de bureau en bureau. Je ne compte pas le nombre de courriers envoyés. La difficulté demeure de prouver que mon père était Français né à Tunis, alors que je n’ai jamais pu retrouver la trace de ses propres parents nés sur le sol français.

Je vis en France depuis l’âge de trois mois, mais mon seul viatique est un document du consulat général de Barcelone où mon père s’était inscrit lorsqu’il avait émigré de Tunis à Barcelone et qui me reconnaît sujette de la République française. »


Sept ans de prison pour les « mariages gris »

30 000 euros d’amende et sept ans de prison : voilà ce qu’il en coûtera désormais à tous ceux qui se risqueraient au « mariage gris », qualifié par Éric Besson « d’escroquerie sentimentale à but migratoire ». Ainsi l’a voulu le ministre de l’Immigration, ainsi l’Assemblée nationale l’a suivi en adoptant mardi soir dans le cadre du projet sur l’immigration, une mesure prévoyant de punir ces unions. Les députés de gauche comme les députés UMP Étienne Pinte et Françoise Hostalier, ont demandé la suppression de cette disposition. En vain.

Jusque-là, on connaissait le mariage mixte (84 000 en 2008) qui, selon le ministre sont « un enrichissement pour notre société ». On connaissait aussi le mariage blanc, union de complaisance entre une personne de nationalité étrangère et une autre de nationalité française visant pour la première, à obtenir la nationalité française. La pratique est réprimée depuis 2003. Ce sera pire pour les « gris » à savoir quand un étranger convole avec un ou une Française en lui dissimulant qu’il se marie dans le seul but d’acquérir un titre de séjour, puis la nationalité française. Selon le ministre, « le mariage gris » est en effet « une fraude aux règles d’entrée et de séjour sur notre territoire, et d’accès à notre nationalité », mais aussi « une atteinte à l’institution du mariage », et un « abus de faiblesse » qui créé des « situations de souffrances individuelles, de blessures profondes ».

« Comment décidera-t-on qu’un étranger a volontairement trompé son conjoint sur ses sentiments », a interrogé Étienne Pinte en soulignant que « certains couples mixtes sont déjà confrontés à un parcours du combattant ». Toute la question est là, en effet.


témoignages

Tracasseries ordinaires au service de l’état civil

Les frères Guissé : A l’automne 2009, Ounoussou Guissé, brigadier au 1er régiment des hussards parachutistes de Tarbes, ayant servi au Tchad et en Afghanistan, est convoqué devant le tribunal de grande instance pour y répondre de sa nationalité. Né au Sénégal il est Français par filiation. L’administration ne l’a pas contesté jusque-là et lui a délivré comme à son frère Amara, des papiers français. En 2007 , les deux frères reçoivent une lettre recommandée les informant qu’ils n’ont plus la nationalité française. Ounoussou a réussi à rétablir sa situation. Pas Amara. Lui aussi ancien militaire, la nationalité française continue de lui être refusée.

Christian Messina : Ce fonctionnaire de police, métier réservé aux nationaux, ce titulaire d’une carte d’identité sécurisée et d’un passeport est né au Cameroun. Il est noir et tient sa nationalité de son père naturalisé. Lorsqu’il veut faire établir des papiers pour ses enfants de 4 et 6 ans, nés à Fréjus, la mairie de Créteil, lui réclame un certificat de nationalité. Mais lorsqu’il le produit, le fonctionaire exige désormais ceux de ses enfants !

Abdelkrim Fodil : L’administration lui ayant contesté la nationalité de son père, ce quinquagénaire s’est retrouvé sans papiers. Quand il est rentré dans sa cité, les enfants lui ont crié, « Eh ! tonton, t’es pas Français ? Et nous, qu’est-ce qu’on est ? »


À lire

Notre consœur Catherine Coroller, journaliste à Libération chargée de la rubrique immigration/intégration, a publié un livre intitulé « Vous êtes Français ? Prouvez-le ! » aux éditions Denoël. Elle y raconte comment un acte aussi banal qu’une demande de passeport peut virer au calvaire et à l’humiliation. Elle met en lumière que pour beaucoup de Français nés à l’étranger, il faut prouver leur nationalité. La journaliste a accumulé des témoignages pour dénoncer ce que Brice Hortefeux nomme des « tracas administratifs ».

Source: http://tinyurl.com/28d3fgo

06/10/2010

La nouvelle filière d’immigration…

Alors que les hommes et femmes politiques, en Europe, ne cessent d’évoquer le faible taux d’emploi des populations issues de l’immigration extra-européenne et, dans le même temps, la forte baisse d’activité due à une crise économique dont de nombreux spécialistes s’accordent à dire qu’elle sera durable, ces mêmes hommes et femmes politiques n’ont pas trouvé d’idée plus intelligente que de créer une nouvelle filière d’immigration de travail, qui s’accompagnera d’une nouvelle filière d’immigration familiale puisque, d’après les textes, les conjoints et enfants bénéficieront immédiatement d’une carte de séjour.

Le projet de loi Immigration, Intégration, Nationalité actuellement en discussion à l’Assemblée Nationale vise, entre autres, à transposer dans le droit français la directive européenne 2009/50/CE, mieux connue sous le nom de « carte bleue européenne ». Cette transposition s’impose à la France en vertu des traités européens.

Parce qu’elle est devenue quasi-impuissante à se saisir des sujets de fond, notre Assemblée nationale a joué ces derniers jours une pièce de théâtre dont le thème était la déchéance de la nationalité pour les meurtriers de policiers. Comme si cela se produisait chaque jour, et qu’il était donc urgent de légiférer. Je ne sous-estime en aucun cas la gravité d’un tel acte, mais je considère que le problème est posé à l’envers. Il faut en effet s’interroger sur les raisons de l’octroi de l’identité française à des personnes qui ne portent pas cette identité.

Voici un extrait de la Directive 2009/50/CE du Conseil du 25 mai 2009 établissant les conditions d’entrée et de séjour des ressortissants de pays tiers aux fins d’un emploi hautement qualifié :

« La présente directive détermine les conditions et les procédures d’entrée des ressortissants de pays tiers hautement qualifiés. Elle crée une carte bleue européenne et définit les conditions et les droits de séjour dans l’État membre qui a délivré la carte bleue ainsi que dans les autres États membres.

La présente directive a pour but de renforcer les capacités de l’Union européenne à attirer les ressortissants de pays tiers aux fins d’emplois hautement qualifiés. Il s’agit non seulement de renforcer la compétitivité dans le cadre de la stratégie de Lisbonne, mais aussi de limiter la fuite des cerveaux. Elle consiste à :

  • faciliter l’admission de ces ressortissants en harmonisant les conditions d’entrée et de séjour dans l’Union européenne ;
  • simplifier les procédures d’admission ;
  • améliorer le statut juridique de ceux déjà présents sur le territoire des États membres.

La directive s’applique aux ressortissants hautement qualifiés de pays tiers qui souhaitent être admis sur le territoire d’un État membre pour une période de plus de trois mois pour un emploi. Elle s’applique également aux membres de leur famille. »

Selon le Mensuel d’AGEFI Luxembourg : « Pour atteindre ces objectifs, la directive entend faciliter l’admission des travailleurs hautement qualifiés et de leur famille :

  • en instituant une procédure d’admission accélérée, et
  • en leur reconnaissant des droits sociaux et économiques équivalents à ceux des ressortissants de leur État membre d’accueil dans un certain nombre de domaines. »

Savez-vous ce que les « élites » qui dirigent l’Union Européenne appellent « hautement qualifié » ? Être titulaire de « tout diplôme, certificat ou autre titre de formation » bac+3 minimum d’un institut reconnu comme établissement d’enseignement supérieur par le pays d’origine. On croit rêver. Quand 190 000 jeunes quittent chaque année le système éducatif français sans aucune qualification, il ne viendrait à l’idée de personne de se concentrer en priorité sur ce volet ? Dans le même temps, des cerveaux français hautement qualifiés (bac+5 et au-delà, et notamment les doctorants et chercheurs) font le choix de l’Amérique, qui leur offre la possibilité d’exercer leurs talents. Où est la cohérence de la classe politique dans ce dossier ?

Cette directive pénalise non seulement les sociétés d’accueil, mais également les sociétés d’origine puisqu’elle organise, de manière officielle, la fuite des classes moyennes de ces pays, les seules qui auraient été capables, un jour, de participer à leur redressement ; et je pense là tout particulièrement à l’ensemble du continent africain. Cela participera, à terme, à intensifier encore davantage le flux des migrations du Sud vers le Nord. Les peuples européens sont donc perdants sur toute la ligne ! Ils sont victimes, bien malgré eux, de la conjonction de multiples intérêts.

Il y aurait encore beaucoup à dire sur ce projet de loi Immigration, Intégration, Nationalité. Dans son intitulé figure le terme « Intégration ». Or, cette dimension est le parent pauvre du projet de loi. Ni la question de l’école qui souffre, ni même le rôle des parents de l’immigration ne sont abordés.

Dans le Monde daté du 26-27 septembre dernier, Édouard Balladur, ancien Premier ministre, prédit que « l’Europe à 27 est vouée à la confusion et à l’échec » : « les 27 pays ont des régimes sociaux et juridiques très différents ; nous portons le poids d’un élargissement qui a été décidé trop hâtivement ; la liberté de circulation pour des populations relevant de pays qui ne sont pas capables de contrôler efficacement leurs frontières donne lieu à des difficultés insurmontables […] Ce n’est pas mettre la société sous tension que de la placer devant les réalités. La sécurité, la libre circulation en Europe, l’immigration clandestine, sont des problèmes essentiels qu’on ne peut éluder sous prétexte qu’il faudrait laisser l’opinion publique en repos, d’autant qu’elle ne l’est pas, et que les Français sont bien conscients de ce qui est en cause. […] Nos partenaires devraient être appelés à la lucidité. L’Europe à 27 est vouée à la confusion à et l’échec. Elle souffre de défauts que le traité de Lisbonne n’a pas corrigés […] Que faire ? Revenir sur le principe de la libre circulation, ériger de nouvelles barrières ? »

J’entends et lis très souvent que, du fait du vieillissement de l’Europe, l’Union Européenne doit faire appel à l’immigration pour son repeuplement. Cela représente ni plus ni moins qu’une entreprise de substitution de peuples:

« Monsieur le Premier ministre Édouard Balladur, il vous faut convaincre le Président de la République d’avoir le courage de refuser la transcription de directives fruits d’une Europe qui a perdu la raison, d’une Europe qui pense pouvoir se construire sur la dépouille de ses peuples. S’il est un domaine pour lequel le principe de subsidiarité doit être appliqué, c’est bien celui de la sauvegarde de la cohésion sociale et nationale. Il ne faut pas craindre l’épreuve de force, car l’Europe ne pourra se construire sans la France ! »

De nos jours encore, les raisons qui ont poussé Louis XV à céder la Nouvelle-France suscitent l’incompréhension devant si peu de perspicacité géostratégique. Mais depuis quarante ans, que font nos dirigeants ? Non seulement ils cèdent des pans entiers de la Métropole (les territoires perdus de la République), mais de plus ils y déversent chaque année des sommes considérables.

Vous m’écrivez souvent pour me demander ce qu’il conviendrait de faire. En l’état actuel du rapport de forces, voici quelques conseils :

  • vous investir dans le réveil des consciences pour sortir au plus vite les citoyens de l’anesthésie dans laquelle plus de trente années de lavage de cerveau les ont plongés : Internet constitue un formidable outil à la disposition des citoyens ;
  • aider ceux que vous croisez à retrouver confiance en ce qu’ils sont ;
  • écrire aux personnalités politiques pour exprimer ce que vous ressentez, car elles ne fonctionnent qu’à la crainte de ne pas être élues ou réélues (si les Français sont devenus la variable d’ajustement, c’est parce qu’ils n’inspirent guère de crainte à la classe politique) ;
  • apprendre à bien décrypter le positionnement des personnalités politiques afin de ne plus leur donner de chèque en blanc. Ne vous fiez plus aux discours sur les valeurs républicaines, car certains les utilisent pour porter en réalité un projet qui travaille à affaiblir, voire détruire, ces principes et valeurs ;
  • rejeter les discours défaitistes sur le prétendu déclin de l’Ouest. Ils participent à inoculer le virus du découragement et du fatalisme aux peuples européens ;
  • voter, là où vous vous trouvez, pour celui ou celle qui vous semble le moins pire par rapport aux intérêts de la France et du peuple français, même s’il ou elle n’est pas de votre sensibilité politique. Veiller à ne pas contribuer à donner quelque pouvoir d’action ou d’influence à des opposants aux principes fondamentaux de la société française. Même lorsque le choix vous semble impossible, ne vous abstenez pas, car l’abstention peut profiter à un opposant à la France ;
  • ne plus donner un seul de vos sous à la presse qui propage l’idéologie dite de la « bien-pensance ». Lisez-la directement sur la Toile si vous le souhaitez, mais ne participez surtout pas à l’engraisser en la finançant.

Ce n’est qu’au prix d’une mobilisation et d’une vigilance de chaque instant que nous pourrons voir renaître un jour une vraie démocratie. Une démocratie où nous élirons des personnalités qui nous représentent vraiment, où nous aurons le choix parmi de vrais projets au service de la France, et non une démocratie factice où nous sommes astreints, très souvent, à choisir par défaut les moins pires…

Source: http://tinyurl.com/22tl79b

21/09/2010

Avant d’enlever la nationalité, il suffit de ne pas la donner !

Venu de Suisse, toujours d’actualité… Nos voisins nous gâtent; ils n’ont pas tort…

FDF

La France voisine ose reposer la question de la déchéance de la nationalité. Est ce par électoralisme ?  Le fond du problème, à mon sens, n’est pas la recherche de popularité.

Souvenez-vous, il y a quelques années, lors de sa campagne à l’élection présidentielle française, Jacques CHIRAC avait avancé la thèse de la « fracture sociale ».

Aujourd’hui, sans se tromper, on peut avancer la thèse de la « fracture de crédibilité ».

Le « politiquement correct » des partis repris par les élus a creusé un abîme d’incompréhension entre les citoyennes, citoyens et la classe politique. Car ceux qui subissent au quotidien les injustices sont ceux qui respectent les lois, les us et coutumes locales.

Et nous, en Suisse ?  Simplement une prison de Champ Dollon surpopulation carcérale avec plus de 600 détenus pour 270 places « officielles ». Dans ces détenus, plus de 60 % sont des étrangers n’ayant aucune attache dans notre pays.

En novembre 2010, l’initiative UDC pour le renvoi des criminels étrangers vous sera soumise en votation. Il est temps de regarder ce qui se passe ailleurs avant que cela ne devienne également notre quotidien.

Le titre de ce blog est tiré d’une interview d’Eric Zemmour.  Elle est jointe à ce texte.


Cette question de la déchéance de la nationalité a suscité fantasme et délires estivaux. On a évoqué Vichy et le sort des juifs persécutés. On a seulement oublié que la déchéance de la nationalité a toujours existé dans la République et que le Conseil Constitutionnel l’a déjà béni.


Ceux sont les socialistes qui en 1998 en ont restreint le champ d’application au seul terrorisme. On nous a fait croire qu’on allait créer des apatrides par milliers alors que les conventions internationales nous l’interdisent formellement…

Suite et source: http://tinyurl.com/35xx7xf

12/09/2010

Un petit tour en Belgique et trois Roms reviennent en France en toute légalité…

Expulsions de Roms… Laissez moi rire. Ca a au moins l’effet d’endormir le peuple de France concernant  les affaires qui secouent notre République ces temps-ci… Vous voyez à quoi je fais allusion, non?

FDF

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Un petit tour en Belgique et trois Roms reviennent en France en toute légalité…

12.09.2010

 Les trois Roms ont passé quelques instants de l'autre côté de la frontière avant de revenir. PHOTO PIERRE LE MASSON

Les trois Roms ont passé quelques instants de l’autre côté de la frontière avant de revenir. PHOTO PIERRE LE MASSON
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Trois petits tours et puis reviennent ! Hier, trois Roms, frappés par un arrêté de reconduite à la frontière, ont respecté à la lettre l’ordre du préfet. Avec leur avocat roubaisien et sous l’oeil d’un huissier de justice lillois, ils sont effectivement sortis du territoire national à Armentières… pour y revenir une minute plus tard, en situation régulière.

Ils sont arrivés dans leur campement de Villeneuve-d’Ascq il y a trois semaines. « J’ai un souci à la jambe droite. J’ai peur d’être amputé en Roumanie. Ma femme a été opérée trois fois à la gorge », affirme Marin, au côté de Nastasia. S’ils sont venus en France, « c’est parce que les hôpitaux sont gratuits pour eux. Après ils retourneront en Roumanie », traduit l’interprète de ce couple de Roms.

« Les médecins nous traitent bien, mais les policiers sont très agressifs. Ils nous arrêtent dans la rue. Je leur montre ma jambe, mais ils ne comprennent pas. Ils veulent à tout prix m’expulser. »

Une faille exploitée

C’est ce qui a alerté Norbert Clément et Antoine Berthe. Et pour venir en aide à ces personnes, les deux avocats roubaisiens ont trouvé une faille : si ces Roms, ressortissants de l’Union européenne, font l’objet d’une reconduite à la frontière, l’arrêté ne précise pas laquelle !

Alors hier, vers 11 heures, c’est au bout de l’avenue Léon-Blum à Armentières que les avocats les ont déposés. Avec eux, ils sont sortis du territoire, ce qu’un huissier de justice a constaté, avant de les raccompagner à quelques mètres de là, de notre côté de la frontière. « Ils ont le droit à nouveau de se rendre en France car ils ne sont plus visés par quelque arrêté que ce soit. Ils ne troubleront pas l’ordre public ! » En clair, ils ont le droit de séjourner pour trois mois en France car « leur situation est régularisée ».

Pour autant, Me Clément le reconnaît. « c’est absurde, mais ce sont les lois, la politique qu’on leur impose qui sont absurdes.

Même si la décision était illégale, il fallait l’exécuter. » L’avocat roubaisien insiste. « On ne réglera pas le problème rom ou des étrangers avec de grandes déclarations, des coups de menton et des bruits de bottes. » Alors, cette action, « c’était la démonstration que tout ce que l’on fait au plus haut niveau ne sert à rien », clame l’avocat qui a entrepris ce passage de frontière le jour même où le Parlement européen a demandé à la France de suspendre les expulsions de Roms.

Légal

C’est manifestement la première fois en France que cette subtilité juridique est exploitée. Mais Mes Clément et Berthe savent bien que cela ne durera pas. « Le gouvernement a prévu un amendement qui indique que le fait de revenir pour des séjours de trois mois pourra être sanctionné. Cela démontre que ce que nous venons de faire est légal. On fait avec tous les moyens à notre disposition. Il y en a d’autres », prévient Norbert Clément.

Hier, après cette opération pour le moins insolite, les deux avocats roubaisiens ont confié les trois Roms à l’association qui leur vient en aide au quotidien.

« Le préfet va être prévenu que vous êtes en situation régulière, leur a-t-il répété. Et si jamais vous étiez arrêtés et que les policiers par erreur voulaient vous reconduire, vous m’appelez et on fera le nécessaire… »

Source: http://tinyurl.com/35e2hod

26/08/2010

Régulièrement des juges déchoient des citoyens de leurs droits civiques. Cela se fait sans bruit, ni fureur, ni caméras, ni micros…

Les Français seraient-ils, dans l’esprit du Conseil Constitutionnel, des sous-hommes ?

Aucune des éminences du Cons. Cons. (Conseil Constitutionnel) n’a jamais déclaré ces déchéances contraires à la Constitution, bien qu’elles établissent une discrimination entre les citoyens ayant des droits et ceux qui en sont privés. Des juristes et des non-juristes zélés aimeraient même que la déchéance des droits civiques soit plus fréquemment prononcée, en particulier à l’encontre d’hommes politiques qui ont violé les lois qu’ils ont pourtant votées.

Régulièrement des juges déchoient des citoyens de leurs droits de propriété. Cela se fait en douce, sans bruit, ni fureur, bien que la propriété ait été déclarée en 1789 « droit naturel et imprescriptible » de l’homme. Aucune des éminences du Cons Cons ne juge les déchéances de cette sorte anticonstitutionnelles.

Régulièrement, des juges déchoient des citoyens de leurs droits de paternité ou de maternité. Aucune des éminences du Cons Cons n’a jamais protesté contre ces déchéances, bien qu’elles privent des femmes et des hommes de leurs droits de père ou de mère. Il en va de même des mises sous tutelle, etc.

Régulièrement, des juges déchoient tel ou tel étranger d’une nationalité française acquise illégalement ou dont il est fait un usage abusif ou criminel, comme cela est prévu dans le Code civil et dans tous les textes de loi. La loi donnant libéralement des droits, elle peut légitimement retirer quelques-uns de ces droits à ceux qui s’en montrent indignes.

Or, alors que la déchéance des droits civiques ne suscite ni colère, ni réprobation, ni indignation, ni condamnation, ni manifestation de haine et qu’elle laisse les éminences du Cons Cons impassibles, la seule annonce d’une extension de la déchéance de nationalité aux criminels d’origine étrangère qui font la guerre à l’Etat de droit, à la France et aux représentants de la République, fait monter au créneau les mêmes éminences, silencieuses sur tous les cas de déchéance : cris d’orfraie, indignations outrées, virils haussements de menton, amples mouvements de toge, reductio ad hitlerum petainem Goebbelsem immodem bestiam, no pasaran, Guernica, Auschwitz, etc. La première éminence vers qui micros et caméras se sont tournés avec une complaisance suspecte est le professeur en tout et de tout, véritable Diafoirus de la bonne conscience, encore plus décoré en certitudes qu’un maréchal soviétique, et qui, parce qu’il porte le nom d’une citadelle, se tient pour le dernier rempart contre la barbarie, non pas celle qui s’attaque à l’Etat de droit, mais celle qui a ou aurait le front de défendre l’Etat de droit. Tout déchéance de nationalité serait contraire à la constitution, parce qu’elle contreviendrait au principe de l’égalité des citoyens en droits.

Ah bon ! Et la déchéance des droits civiques n’est-elle pas conforme à la constitution ? Et la déchéance des droits parentaux ? Et la déchéance de propriété ? Et les mises sous tutelle ? Et la liberté d’expression interdite aux militaires ? Etc. etc. etc. etc. Et la désignation des membres du Cons Cons ? Ces éminences n’ont pas été nommées au poste qu’elles occupent à la suite d’un concours public, républicain et égalitaire, mais parce qu’elles bénéficient de protections, parce qu’elles sont pistonnées, parce qu’elles jouissent de recommandations ou parce qu’elles ont rendu d’éminents services à tel ou tel politicien, suivant la règle archaïque, quelque peu mafieuse, du donnant donnant. Pourquoi les si vertueux Cons Cons ne jugent-ils pas contraire à la Constitution leur propre désignation, qui, de toute évidence, viole le principe de l’égalité en droits énoncé en 1789 et l’article 6 de la même Déclaration : « Tous les citoyens, étant égaux aux yeux (de la loi), sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » ?

Les Cons Cons sont tous éminents, si éminents que l’on n’en voit pas le fond… Il est un exercice auquel ils devraient se livrer plus souvent : relire les textes fondamentaux qui ont valeur constitutionnelle, et les comparer aux lois, au droit, aux politiques, aux faits actuels. En 1902, des Françaises et des Français membres de congrégations qui n’avaient pas l’heur de plaire à ceux qui gouvernaient alors la République ont été expulsés de France. On ne sache pas qu’un siècle plus tard le Cons Cons ait exprimé le moindre regret pour ces actes, qui étaient tenus, sous la république triomphante, pour le summum de la justice et du droit. Ainsi va la République, ainsi va la France, ainsi va le monde.

La Déclaration des droits de l’homme de 1789, alors que la France avait pour régime politique la monarchie absolue de droit divin, est devenue un principe constitutionnel de la République depuis 1945. Que lit-on dans cette Déclaration ? Dans l’article 2, il est dit que « le but de toute association politique » est de conserver ces droits naturels et imprescriptibles de l’homme que sont la propriété, la liberté, la sûreté (synonyme ancien de sécurité), la résistance à l’oppression. Ces droits sont « naturels » ; ils existent avant même l’établissement d’une société et avant tout droit. Ils sont imprescriptibles. Il semble que l’un d’entre eux au moins, la sécurité, et même la résistance à l’oppression, soient caducs, prescrits, jetés aux oubliettes et n’ont plus cours en France depuis plus de trente ans. Or, les Cons Cons ne mouftent pas mot sur cette violation intolérable d’un principe constitutionnel, qu’ils tolèrent (la violation, pas le principe) en toute bonne conscience. On ne dit rien. C’est motus et bouche cousue.

L’article 3 pose que « le principe de toute souveraineté réside essentiellement (comprendre : par essence) dans la Nation » et que « nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément ». Les commissaires politiques de l’UE doivent bien rigoler quand ils lisent, si tant est qu’ils le fassent ou qu’ils sachent lire, cet article. Eux, ils détiennent plus de parcelles de la souveraineté de la France que l’ensemble du peuple français. Ce principe a beau être au fondement de toute constitution, il n’en est pas moins mort. La constitutionnalité ne l’a en rien préservé de la caducité. Il ne semble pas que les éminences du Cons Cons s’en soient jamais émues.

L’article 11 pose que « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ». Or, depuis près de trente ans, non seulement il n’est plus interdit d’interdire, mais encore il est même fortement recommandé de criminaliser la communication des pensées et des opinions. En un mot, les citoyens sont contraints de se taire, sinon au poste, garde à vue, mise en examen, inculpation. Il ne semble pas que les éminences du Cons Cons et leur maître à penser de la Citadelle se soient un jour inquiétés de cette déchéance de la liberté de communication ou aient essayé de conserver aux Français leurs droits naturels et imprescriptibles d’hommes.

Ces Français seraient-ils, dans leur esprit, des sous-hommes, juste au-dessous des chiens, taht el kelab, des souchiens en somme ?

Source : La Croix

01/08/2010

Déchéance de nationalité : Hortefeux veut aller plus loin; mais il ne faut pas se tromper de sens…

Mais la France, mon pote, elle t’aimera quand tu la respectera…
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J’ai ma petite idée, là dessus… Et si on instaurait une nationalité à points? Comme le permis du même nom. On attribue ce permis à TOUS les jeunes issus de l’immigration (ou moins jeunes, déjà connus des services de Police, comme on dit…) et à chaque acte d’incivilité, tac! on ôte tant de points… Et quand le délinquant n’a plus de points sur son permis, c’est retour au bled, ferme et définitif! En même temps, on « assainit » nos prisons. Reste à attribuer le nombre de points retirés par acte de délinquance. Mais ça, on devrait savoir faire… Un permis de nationalité… Ca me laisse rêveur. Pas vous? En outre, l’effet est garanti. Vous en connaissez beaucoup, vous, des automobilistes qui voient leur permis de conduire fondre comme neige au soleil et qui continuent à commettre des infractions (mis à par, encore et toujours, les racailles qui roulent sans permis, sans assurance, etc….)? On les aura, ces semeurs de merde, on les aura.
M. Hortefeux, reprenez cette idée, il n’y a pas de copyright… C’est « cadeau », pour vous. Mais faites en bon usage…
FDF
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01/08/2010

Interrogé sur le cas de Lies Hebbadj, soupçonné de polygamie, Brice Hortefeux a indiqué que «des déchéances de nationalité doivent pouvoir être prononcées dans de telles situations mais aussi en cas d'excision, de traite d'êtres humains ou d'actes de délinquance grave».

Interrogé sur le cas de Lies Hebbadj, soupçonné de polygamie, Brice Hortefeux a indiqué que «des déchéances de nationalité doivent pouvoir être prononcées dans de telles situations mais aussi en cas d’excision, de traite d’êtres humains ou d’actes de délinquance grave». Crédits photo : REUTERS

Suite à la proposition du chef de l’Etat de retirer la nationalité aux délinquants qui mettent en péril la vie des policiers, le ministre de l’Intérieur veut étendre les possibilités aux cas d’excision, de traite d’êtres humains et d’«actes de délinquance grave».

Le durcissement de la majorité sur les questions de sécurité se confirme. Dans la ligne des annonces du chef de l’Etat, le ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux propose d’aller plus loin dans les possibilités de déchéance de nationalité. Il a ainsi confié au Parisien que «des déchéances de nationalité doivent pouvoir être prononcées aussi en cas d’appel au travail illégal, d’excision, de traite d’êtres humains ou d’actes de délinquance grave».

Vendredi Nicolas Sarkozy préconisait de retirer la nationalité française à toute personne d’origine étrangère qui aurait «volontairement porté atteinte» à la vie d’un policier, d’un gendarme, ou de tout autre «dépositaire de l’autorité publique». A l’issue de l’affaire Lies Hebbadj, il avait déjà été question d’élargir le retrait de citoyenneté aux auteurs de polygamie et de fraudes aux prestations sociales. Ces nouveaux motifs vont nécessiter une réforme de la législation. Actuellement, la procédure de déchéance de nationalité française est strictement encadrée. Elle concerne des personnes coupables de terrorisme ou d’espionnage. Une personne naturalisée peut également perdre sa nationalité française si elle a été acquise par «mensonge ou par fraude».

«Nous laissons au PS l’inertie, l’angélisme et l’idéologie»

Conscient de ces limites, le ministre de l’Intérieur a confirmé que les nouvelles dispositions évoquées par le chef de l’Etat figureront dans le projet de loi sur la sécurité intérieure qui sera examinée au Sénat le 7 septembre et dans celui sur l’immigration qui présenté «en septembre à l’Assemblée». Le projet d’Eric Besson prévoit notamment le durcissement des conditions d’entrée en France et la création d’une zone d’attente spéciale en cas d’arrivée massive de réfugiés. «Les annonces du président de la République pourraient faire l’objet d’amendements et être portées par ce projet de loi», expliquait-on samedi ministère de l’Immigration.

Cette surenchère de Brice Hortefeux comme la proposition du député UMP Eric Ciottipolémique déclenchée par les annonces de Nicolas Sarkozy. LE PS a notamment dénoncé un «renvoi aux heures les plus sombres de l’histoire» de la France. Cette perspective n’ébranle pas le ministre de l’Intérieur qui veut se placer au dessus de cette controverse. Reprenant l’expression de Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux a redit que le gouvernement «menait une guerre nationale contre l’insécurité». «Nous sommes du coté des victimes et n’avons qu’un seul ennemi : les crapules qui empoisonnent la vie des honnêtes gens», s’est défendu le ministre. «Nous laissons au PS l’inertie, l’angélisme et l’idéologie». «Ces mesures sont justes, attendues et efficaces», s’est-il justifié avant de conclure «je ne suis pas dans le commentaire mais dans l’action».

Source: http://tinyurl.com/27wsfnv