Francaisdefrance's Blog

15/03/2012

Des bus halal pour Sarko à Villepinte !

Mais non; vous ne rêvez pas. Ca se passe en France, en mars 2012…

Je pensais à une chose… Lors des deux tours du scrutin présidentiel, aurons-nous des bureaux de vote différents pour les hommes et les femmes ??? Non, parce qu’il faut s’attendre à tout, ces temps-ci…

FDF

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Le Canard Enchaîné révèle que le président-candidat aurait, pour sa grand-messe de Villepinte dimanche 11 mars, afin de remplir la salle, affrété des bus séparant les femmes et les hommes de confessions musulmanes.

Pour faire le plein, auraient été lancés des appels dans des salles de prières et diffusés des messages, pas seulement honteux mais aussi mensongers et racistes disant que François Hollande est « franc-maçon et prosioniste »

et qu’il veut « étouffer la religion ».

20/02/2012

Les sondages savent déjà qui sera le nouveau président des Français…

Ahhhhhhh, ces fameux sondages… Réalisés uniquement pour orienter à l’avance les électeurs. Les chiffres changent tous les jours. En principe, l’échantillonnage « sondé » représente mois de 100 personnes (à qui on fait voter ce qu’on veut).

A ce jour, nous n’aurionss plus que deux candidats en lice sortis des sondages et ils raflent pratiquement TOUT l’électorat… 

Alors faisons un pas dans le futur.

Nous sommes le soir du second tour. Là, ce ne sont plus les sondages qui parlent mais des voix sorties des urnes. Et à aujourd’hui, 63 jours avant on peut d’ores et déjà dire que le nouveau chef d’Etat élu démocratiquement est:

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Avouez que vous avez eu peur…

FDF

14/02/2012

Humour NON Raciste !!!

Si si; je sais faire aussi…

Ca me fait penser à un truc: la pub TV pour le camembert Président. Qui finit par « on ne plaisante pas avec le Président« … A peine voilée, la « menace »…

FDF

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Merci à Babette…

03/02/2012

Ah les cons ! La fille de Filip Dewinter pose en bikini et niqab pour le Vlaams Belang !

Ah là, chapeau bas. Fallait oser.

Respects, Filip !

Ca va re-brailler de plus belle chez les momos de Belgique. Enfin, les intégristes…

FDF

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An-Sofie Dewinter, la fille de Filip Dewinter, le chef de file du Vlaams Belang, pose en bikini et niqab sur les affiches de la prochaine campagne du parti d’extrême droite, menée en collaboration avec l’organisation « Vrouwen Tegen Islamisering » (soit « Les femmes contre l’islamisation »), présidée par sa sénatrice Anke Van dermeersch, ancienne Miss Belgique 1991.

« Liberté ou islam? Oser choisir! », tel est le slogan de la campagne, qui s’attaque à la « misogynie de l’islam » et entend défendre les droits des femmes. An-Sofie, l’une des trois filles de Filip Dewinter, âgée de 19 ans, en sera le « visage », masqué par un niqab. La jeune fille avait déjà prêté son image au Vlaams Belang en décembre 2007 pour une affiche diffusée lors des élections sociales.

« On en a parlé à table, à la maison, et je me suis proposée« , explique jeudi An-Sofie Dewinter dans le journal Het Laatste Nieuws. « Je le fais volontiers. Pour l’idée et pour soutenir papa », précise-t-elle. « Les risques et les critiques ne me font pas peur. Dans ce domaine, j’ai déjà tout eu. Jusqu’à des menaces de mort. On apprend à vivre avec », ajoute la jeune femme, qui n’a averti son copain de son implication qu’une fois que tout était réglé.

An-Sofie Dewinter est déjà membre des jeunesses Vlaams Belang ainsi que du parti lui-même, mais la possibilité d’une vraie carrière politique reste incertaine. De son côté, sa soeur aînée, Karolien, 23 ans et enceinte de six mois, poussera la liste VB à Merksem en 2012. La plus jeune des trois filles Dewinter est encore mineure. (7sur7)

Source: http://www.7sur7.be/

14/01/2012

Si les Français savaient, ils risqueraient de « mal voter »…

Et c’est là qu’est tout le problème. Ca peut se résumer en trois mois que l’on entend fréquemment: « la délinquance baisse« … Rectifions: les CHIFFRES que l’on nous balance montrent que la délinquance baisse; en outre, il s’agit de la délinquance routière.

L’art et la manière de savoir lire entre les lignes…  Françaises, Français: dormez tranquille et « votez bien », surtout.

FDF

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RENDONS UN HOMMAGE APPUYé  A TOUS NOS POLICIERS ET POLICIÈRES  QUI FONT UN TRAVAIL REMARQUABLE, SOUVENT AU PÉRIL DE LEURS VIES,  dans le mépris et l’ignorance voule…

JC JC…

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Le grand malaise des forces de l’ordre

Nos forces de l’ordre grondent dans l’ombre depuis des années mais les événements se succèdent, les décisions sont mal reçues par des femmes et des hommes de bonne volonté,  mal rémunérés et sans pouvoir, face à une société dont l’évolution fait peur.

Problème de réduction d’effectifs, manque d’une réelle considération, manque de moyens, manque de pouvoirs surtout…

Au total, ce sont près de 10 000 postes qui ont été supprimés des effectifs des forces de l’ordre en France au cours du dernier mandat présidentiel.

Fonctionnaires non remplacés, escadrons de gendarmerie dissous, écoles de police fermées, et bientôt, plusieurs Compagnies Républicaines de Sécurité connaitront le même sort.

A l’heure où les « incivilités » se multiplient et alors que chacun voit bien les difficultés que devra affronter le pays dans les années qui viennent, le dispositif de sécurité, lui, n’est pas à la hauteur des enjeux.

Mais l’amertume des hommes et femmes en charge de notre sécurité ne s’arrête pas là. Le recrutement aussi pose problème puisqu’à des gardiens de la paix formés et motivés, on préfère engager des « cadets de la république », et autres « Adjoints De Sécurité », personnels peu qualifiés, véritables « policiers à moindre coût ».

En dehors des soucis d’effectifs et de ressources humaines, les forces de l’ordre sont confrontées à un véritable mal-être au regard de leur emploi.

A quoi peut bien servir une police sans pouvoir ? Trop souvent, nos fonctionnaires ont la désagréable impression d’être passé du statut de « Gardien de la paix » à celui de collecteur d’impôts, tant la pression est grande de faire du chiffre et du timbre-amende auprès des automobilistes encore solvables pour remplir les caisses sempiternellement vides d’un Etat trop dispendieux.

Autre exemple, est-il du ressort des forces de police de faire le pied de grue au bas des immeubles pour simuler un semblant sérénité dans tel ou tel quartier, ne faisant par là que déplacer momentanément la délinquance et ses auteurs trop souvent récidivistes et impunis ?

Lorsqu’il ne s’agit plus que de donner l’apparence de la sécurité, c’est que l’on ne croit plus possible de rétablir durablement l’ordre et que l’on se promet des lendemains difficiles…

Enfin, nos institutions souffrent d’un manque évident de pouvoir et de considération. La peur du gendarme n’existe plus pour une part croissante de la population.

Il suffit pour s’en convaincre de mesurer l’évolution de l’intensité des confrontations dans les zones dites sensibles.  De plus en plus souvent ce sont de véritables embuscades qui sont tendues aux véhicules de police, scènes de guerre civile, événements d’une violence inouïe complètement passés sous silence par des médias aux ordres.

Imaginez que les Français sachent, ils risqueraient de mal voter !

JF Kennedy avait dit un jour pour justifier des crédits attribués au renseignement national des Etats-Unis : « Il est quelque chose qui coûte plus cher que le renseignement, c’est l’ignorance ». Peut-être cet adage s’applique-t-il assez à la situation de notre sureté publique. A force de voir dans ces services une variable d’ajustement budgétaire et un instrument du pouvoir, la facture pourrait s’avérer plus lourde que prévue…

Gérard HARDY

Source: http://www.rpf-site.fr/

27/12/2011

Révolutions arabes: islamistes: 1 Démocratie:0…

Abdelilah Benkirane, le visage de la haine..
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Ce mec me donne des nausées. Et ça ne vient pas des retombées du réveillon de Noël.
Prochaine étape: l’Occident! Soyons prêts à les recevoir dignement… Nous ne pouvons laisser l’hiver arabe atteindre l’Europe!
FDF
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À la faveur de leurs succès électoraux du Maroc à l’Égypte, ils vont diriger des gouvernements.

D’Alexandrie à Tanger, une vague islamiste submerge l’Afrique du Nord. Après la victoire d’Ennahda en Tunisie et le succès du Parti de la justice et du développement (PJD) au Maroc, les formations se réclamant de l’islam triomphent en Égypte. Le phénomèxne était attendu. L’ouverture des vannes démocratiques a libéré un mouvement qui était, jusqu’au printemps arabe, cadenassé. Mais son ampleur dérange. Les islamistes sont majoritaires en Égypte, un pays qui a toujours joué un rôle d’incubateur dans le monde arabe. Deux électeurs sur trois ont voté pour leurs candidats. Si les Frères musulmans tiennent le haut du pavé, ils devront d’une manière ou d’une autre composer avec les salafistes d’al-Nour, ces ultra-orthodoxes qui rêvent d’instaurer un État théocratique régi par la charia. Alors que les Frères tentent de rassurer laïques et chrétiens, les salafistes font savoir haut et fort qu’ils feraient bien du Caire un nouveau Kaboul taliban.

Transnational, le mouvement des Frères musulmans déborde sur la Libye en irriguant Benghazi, la ville d’où est partie la révolte contre Kadhafi. Il apparaît, ici aussi, comme une force qui, sur les décombres de la dictature, présente un visage plutôt modéré.

Attentisme en Algérie 

Structuré et présent sur le terrain, ce courant s’est ancré dans une société profondément conservatrice pratiquant un islam coutumier aux antipodes du djihadisme. Il devra composer dans sa course vers le pouvoir avec des facteurs régionaux, tribaux et personnels qui ont pris le pas sur les idéologies.

En Algérie, l’autre superpuissance pétrolière de la région, l’attentisme est de mise. Le régime en place depuis cinquante ans se sent pris dans un étau. Usé par la maladie, le président Bouteflika a lancé de timides réformes. Les islamo-conservateurs du Mouvement de la société pour la paix (MSP), qui ont depuis plus de dix ans des ministres au gouvernement, pourraient voir leur participation revue à la hausse après les législatives prévues en mai prochain. Mais le poids véritable des islamistes indépendants laminés par l’armée dans les années 1990 reste une énigme. Attentifs, les Algériens observent les expériences en cours chez leurs voisins avant de rejoindre une improbable «Union du Maghreb islamique».

Moins dogmatiques que les Frères musulmans égyptiens, les dirigeants tunisiens d’Ennahda et marocains du Parti de la justice et du développement (PJD) n’ont pas les moyens de gouverner seuls. Ils vont devoir s’allier avec des partis éloignés de leur mode de pensée, vont être confrontés avec la crise sociale aux principes de réalité et sont contraints de composer avec une société sécularisée, en Tunisie, et avec le roi, au Maroc. Leurs adversaires tablent sur une érosion qui devrait prendre des formes différentes selon les pays et les hommes. Ils se fient non plus aux saisons -qu’il s’agisse du printemps ou de l’automne arabe- mais aux années pour que les tendances s’inversent.

Source: http://www.lefigaro.fr/

14/12/2011

Bientôt les présidentielles… Cinquante-neuf députés dénoncent la « christianophobie »…

Photo d’illustration

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J’ai comme la curieuse impression que ce que pas mal de blog et sites diffusent « large » en ce moment devient soudainement « très porteur »…

Récupération politique? Mais non; n’allons pas jusque là. Mais les voix des chrétiens sont des voix…

Les blogs et sites en question qui ne font que de relayer des vérités depuis longtemps auraient ils soudainement la cote? En serait-ce fini (provisoirement) de la censure?

J’ai la vague impression que parmis ces députés, AUCUN n’est du PS… Mais ce n’est qu’une impression.
FDF

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 « Comment pouvons-nous admettre que l’argent du contribuable subventionne grassement des œuvres si contestables ? Accepterions-nous que l’impôt finance des scènes non respectueuses de l’islam ou du judaïsme ? ». Ses deux interrogations, faisant référence notamment à Gólgota Picnic, concluent un communiqué publié fin novembre par le député UMP de la huitième circonscription de l’Isère, Jacques Remiller. Depuis, cinquante-huit autres députés ont signé cet appel qui dénonce une montée du sentiment christianophobe en Orient, comme en Occident.

Pourquoi avoir produit ce communiqué et pourquoi à ce moment ?Il n’y a aucune relation entre la parution de ce communiqué et les échéances électorales que notre pays va prochainement connaître. Je suis président du groupe d’études à vocation internationale sur le Saint-siège. Avec près de soixante autres députés, nous avons estimé que la religion catholique était malmenée dans le monde ainsi qu’en France et que nous devions attirer l’attention des Français sur ce problème. On ne compte plus les cimetières profanés, les statues vandalisées dans les églises, les chrétiens persécutés dans le monde à cause de leur foi ou les caricatures du Christ dans l’art ou la presse. Tout cela est inadmissible et passe inaperçu. Or, quand l’Islam ou le judaïsme sont moqués, la France s’en émeut. Quid du christianisme ?Comment expliquez-vous cette différence de traitement entre les religions en France?Je crois que nous, chrétiens, avons trop laissé faire, trop laissé dire. C’est pourquoi nous avons décidé de réagir. Je me rends fréquemment à Rome. J’ai eu des échanges avec des membres de la Curie qui me font part de leur peine en constatant les attaques subies par l’Église qui est en France ; peine accentuée par l’absence de réaction des chrétiens.En quoi l’indignation de certaines personnes vous semble « très légitime » comme vous l’écrivez dans votre communiqué ?Je tiens à préciser que, contrairement à ce qui a été écrit dans la presse, je n’ai aucun lien avec les gens de Civitas. Je ne connaissais par leur existence avant que l’on m’associe, à tort, à eux. Je me situe comme un élu de la nation, un élu catholique. Avec cinquante-huit autres députés, nous souhaitons une prise de conscience de la part des plus hautes autorités françaises quant à la montée d’un sentiment christianophobe dans notre pays.La France, fille aînée de l’Église, s’est construite autour des valeurs du christianisme. Les religions font parties de notre culture, de nos institutions. Nous voulons conserver ses valeurs telles quelles.Concernant les spectacles (« Gólgota Picnic », « Sur le concept du visage du fils de Dieu ») qui ont récemment fait polémique en France, êtes-vous plus choqué par le contenu même de ces œuvres ou par le fait qu’elles aient bénéficié de subventions publiques ?

Je n’ai pas vu ces pièces et je n’ai pas l’intention d’aller les voir. À partir du moment où celles-ci blessent une partie de mes concitoyens, je pense qu’elles n’auraient pas dû être subventionnées. À ceux qui opposent la liberté d’expression et de création, je réponds que rares sont les pièces qui envoient les gens dans la rue.

Je juge plus efficace d’agir comme nous le faisons avec les autres députés que de descendre dans la rue. Nous voulons provoquer un débat public et je vais prochainement solliciter le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, pour que celui-ci s’exprime.

[N.D.L.R. : Interrogé sur la question, M. Mitterrand a répondu : « Je ne sais pas ce que c’est que cette notion de blasphème. On est dans un pays laïque et chacun a le droit de soutenir ses opinions. »)]

Source: http://www.famillechretienne.fr/

12/12/2011

Blagounette…

Si vous ne savez pas encore pour qui voter ne pas voter en 2012…

FDF

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Un homme entre dans un bar super High-Tech, de 4ème génération, avec écrans plasma et claviers digitalisés de partout. En plus c’est un robot qui sert à boire. L’homme s’installe confortablement et, dans la nanoseconde qui suit, le barman-robot s’approche et lui demande :

– Quel est votre QI ?

L’homme répond :

– 150

Alors, le robot lui sert un Whisky de 18 ans d’âge, et entame la conversation sur le réchauffement climatique, l’interdépendance environnementale, la physique quantique, les nanotechnologies etc.…

Au bout d’un moment, le client règle sa consommation (naturellement on-line avec sa carte de crédit), et sort. Il est vachement impressionné par ce qui vient de se passer, et décide de revenir tester le robot à nouveau.

C’est d’ailleurs ce qu’il fait le lendemain même. Il revient donc dans ce même bar, et le même scénario se reproduit. Il est à peine assis que le même barman-robot s’approche et lui demande:

– Quel est votre QI ?

Cette fois-ci, l’homme répond :

– 80

Immédiatement, le robot lui sert une bière et lui parle de foot, de tiercé, de ses plats favoris, de femmes etc.…

Au bout d’un moment, l’homme repart. Il est de plus en plus intrigué et décide de revenir à nouveau le jour suivant.

Le lendemain donc, même topo! Le barman-robot s’approche et demande :

– Quel est votre QI ?

Ce coup-là, l’homme répond :

– 20 je crois !

Alors, le robot lui sert un verre de gros Rouge et, en lui posant la main sur l’épaule, lui demande avec condescendance: :

– Alors, comme ça, on va voter Hollande en 2012 ?

Et merci à Vincent…

11/12/2011

Sardan (30) : Le conseil municipal anti-FN démissionne !

Et c’est reparti! Mais quelle bande de cons ! 

La propagande UMPS fait son sale boulot. Les maires ne sont même plus maîtres de leurs décisions. Celui-ci (Philippe Chagnolleau) donne sa signature à Marine Le Pen et tout de suite, c’est la guerre! Tous les prétextes sont bons pour le traîner dans la boue.

N’allez pas me dire que tout ça n’est pas instrumentalisé… Je l’avais précisé dans un précédent billet: le maire UMP d’une commune voisine de la mienne m’avait avoué en catimini qu’il avait reçu des « consignes » pour donner systématiquement sa signature au candidat UMP (Sarkö Ier ?) en vue des présidentielles et qu’on ne lui donnait pas d’autres choix…

La liberté de penser et d’expression en prend un bon coup. Ca frise le chantage. En fait, c’en est, du chantage…

Courage, Monsieur le maire de Sardan; tenez bon!

FDF

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Voir: http://youtu.be/xN7sEZCFzKA

07/12/2011

Droit de vote aux étrangers: ça bouge de tous cotés !

En plus des pétitions, une manif CONTRE le droit de vote aux étrangers. Dans ce pays démocratique ( http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mocratie ) qu’est la France, avec tous ces appels venant du peuple, le Sénat va t’il en tenir compte?  Rien de moins sur… C’est la Gauche qui décide; et la gauche « aime » les étrangers, surtout en vue des présidentielles. Vu qu’ils ne leur reste que ça comme électorat…

Prions en attendant le 8 décembre (pour ceux qui ne pourront manifester).

FDF

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Jeudi 8 décembre, Résistance républicaine appelle ses adhérents et sympathisants à aller manifester, à partir de 12h30, contre le droit de vote des étrangers, rue de Tournon, Paris 6, devant le

Notre association défend les fondamentaux de la République et, à ce titre, considère que le droit de vote ne peut être accordé qu’aux citoyens de nationalité française, conformément à l’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen 26 août 1789 :  » – Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. »

En effet, ne peuvent avoir de droits politiques que les individus attachés à la Nation par la nationalité, celle-ci donnant à la fois des droits et des devoirs concernant les autres citoyens. Puisque les citoyens français sont dépositaires de l’intérêt national, à ce titre ils doivent pouvoir voter pour choisir la « respublica ».

Il ne suffit pas de travailler et de payer ses impôts en France pour avoir le droit de décider de sa politique. En effet, que se passerait si les étrangers non européens avaient le droit de vote ?

Ce serait la fin de la notion de citoyenneté de notre pays, chacun de ceux qui y vit y aurait les mêmes droits sans avoir pour autant les mêmes devoirs. Si les étrangers veulent voter comme les Français, il leur appartient de prouver qu’ils aiment la France, reconnaissent ses valeurs, sont prêts à la défendre en demandant leur naturalisation.

Ce serait comme si vous hébergiez un ami pour lui rendre service pendant quelques mois, et que, au motif qu’il participe aux frais, il prenait le droit d’imposer sa vision de la décoration, de choisir vos amis et les vêtements de votre femme et vous interdisait la nourriture qui ne vous convient pas.

Accorder le droit de vote aux élections locales aux étrangers c’est leur permettre de peser sur l’élection du maire et des conseillers municipaux qui sont les électeurs des sénateurs. C’est donc leur permettre de participer, de fait, aux élections nationales réservées aux citoyens français et de choisir à leur place leurs lois voire leur constitution.


Accorder le droit de vote aux élections locales aux étrangers c’est leur permettre d’imposer, de fait, des traditions contraires aux nôtres, c’est leur permettre de faire voter des subventions sur des critères non pas d’intérêt commun mais sur des critères qui pourraient être communautaristes ou religieux, c’est leur permettre d’imposer peu à peu des salles et des piscines où hommes et femmes seraient séparés et c’est leur permettre d’imposer dans les cantines scolaires des revendications alimentaires pour en chasser le porc et y introduire le halal, qui contrevient avec la loi du 9 décembre 1905, puisque tout achat de halal finance une mosquée.

Pour toutes ces raisons, Résistance républicaine sera présente jeudi 8 décembre pour demander aux sénateurs de ne pas voter la proposition de loi qui va leur être présentée, au nom de la République, au nom de la France.

Christine Tasin

Présidente de Resistance republicaine

06/12/2011

Monde Arabe: le despotisme des dictateurs remplacé par celui des islamistes…

Bénissons Allah: une nouvelle secte vient de naître: les musulmans démocrates. Après les musulmans modérés, les musulmans intégristes, voici donc cette nouvelle branche du terrorisme mondial. Des muzz démocrates…

Antinomique, non ?

FDF

L’Hydre va renaître…

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Dessin de Dilem paru dans Liberté, Algérie.

Dessin de Dilem

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Le quotidien des Emirats évoque les raisons qui justifient ces craintes, ravivées par les premiers résultats des élections égyptiennes. Mais il note aussi une évolution positive vers des partis “musulmans-démocrates”.

Des voix de plus en plus nombreuses dans le monde arabe, mais aussi en Occident et dans les médias, s’inquiètent du possible remplacement du despotisme militaire des anciens régimes par un despotisme islamiste. Dans un pays comme la Tunisie, les islamistes ont remporté un peu plus de 40 % des sièges au Parlement, dans des élections dont personne ne conteste la sincérité. En Egypte, ils pourraient même en obtenir davantage [au premier tour des élections législatives, les listes islamistes ont obtenu 65 % des voix, réparties entre les Frères musulmans, 36,62 %, et les salafistes, 24,36 %].

Il y a de quoi justifier ces craintes. Les islamistes du monde arabe ne sont pas connus pour leur fibre démocratique. Historiquement, on peut même les classer comme totalitaires, influencés dès leur naissance par les mouvements fascistes européens. En Egypte, à l’époque de leur fondateur, Hassan Al-Banna, les Frères musulmans avaient pour mot d’ordre « Le Coran est notre Constitution« , pour marquer leurs réserves vis-à-vis des Constitutions occidentales. C’était bien avant que [le penseur islamiste égyptien exécuté en 1966] Sayyid Qutb ne développe la théorie de la hakimiya [la souveraineté de Dieu, par opposition à la souveraineté populaire] et de l’excommunication de ceux qui ne pensent pas comme lui. Ces théories ont plus tard inspiré des mouvements radicaux, comme Al-Qaida. Dans les années 1940, les Frères égyptiens ont versé dans le terrorisme, jusqu’à commettre une tentative d’assassinat contre Gamal Abdel Nasser en 1954, ce qui leur a ensuite valu de subir une répression.

Il suffit de rappeler qu’en Tunisie les islamistes ont lancé de l’acide sur les jambes de filles « impudiques » à l’université [dans les années 1980] et qu’en Syrie ils ont éliminé des cadres civils alaouites et commis des crimes à Hama en 1982, ce qui a préludé au massacre de la troisième ville de Syrie par le régime baasiste. Qui plus est, les islamistes, que ce soit en Egypte ou ailleurs, ne sont pas connus pour la défense des valeurs des Lumières en ce qui concerne les minorités religieuses ou les droits de la femme. Chaque fois qu’ils essaient de réviser leurs positions dans ces domaines, ils s’embrouillent un peu plus dans leurs contradictions. Si la question des droits de la femme est importante partout, celle concernant les minorités acquiert une importance particulière au Proche-Orient. En Syrie, où la dictature militaire a coïncidé avec un facteur confessionnel et minoritaire [le régime alaouite des baasistes], les ressentiments accumulés des décennies durant sont susceptibles, s’ils devaient s’exacerber, de détruire ce qui reste de cohésion nationale.

Mais d’autres facteurs sont plutôt rassurants. Car l’islam politique se trouve aujourd’hui dans une phase « post-Al-Qaida ». Et les autres formes de l’islam militant elles aussi ont connu un échec retentissant, comme dans le Soudan d’El-Béchir, l’Iran de Khomeyni et l’Afghanistan des talibans. Au lieu de quoi, c’est le modèle d’un islamisme allégé tel qu’il est pratiqué en Turquie qui sert de référence aux forces politiques arabes. Et ce modèle a réussi à concilier l’inspiration islamique, la démocratie parlementaire, l’appartenance à l’Otan et l’aspiration à intégrer l’Union européenne. Sans préjuger des chances de voir ce modèle turc s’appliquer dans le monde arabe et sans se prononcer sur la sincérité des déclarations d’intention, de plus en plus de gens parlent de partis « musulmans-démocrates » comme on parle de partis « chrétiens-démocrates » en Europe, misant davantage sur l’aspect culturel et éducatif.

A cela s’ajoute le rôle récent de l’Occident. L’expérience de l’Otan en Libye, soutenue par un pays musulman, la Turquie, a montré que l’Occident pouvait exercer une influence de manière positive. Aujourd’hui, au sein de l’opposition syrienne, les islamistes sont parmi les principaux demandeurs d’une protection [étrangère] des civils. Cela permet de parier sur un changement profond de la mentalité islamiste. Car la première chose dont les révolutions ont attesté, c’est que l’ennemi n’était plus l’étranger lointain, mais le tyran proche. Un tel environnement, davantage marqué par la confiance que par la suspicion, apaisera des sources de tensions [entre Islam et Occident] qui furent amplement exploitées par le passé.

D’autres évolutions positives au sein de la mouvance islamiste n’auront pas échappé aux spécialistes de l’islam politique, tels que les contacts établis durant les révoltes avec les libéraux, la gauche, les femmes et les chrétiens, ce qui ouvre sur un univers mental plus vaste que celui d’une cellule vivant dans le secret et obéissant à des règles indiscutables. A cela s’ajoute l’apparition de voix diverses et discordantes au sein même de cette mouvance.

Bref, on se trouve face à des éléments contradictoires et on ne saurait prédire l’avenir. Inutile d’ajouter que tous les islamistes n’auront pas les mêmes attitudes et que les pays où ils gouverneront n’adopteront pas la même ligne.

Source: http://www.courrierinternational.com/

27/11/2011

Maroc: les islamistes, aussi…

La pieuvre avance… A qui le tour, pour la démocratie version charia ?

FDF

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Maroc : une large victoire des islamistes se profile

Abdelilah Benkirane et les islamistes du Parti justice et développement (PJD) sont en tête des législatives de vendredi avec 80 sièges, selon des résultats partiels annoncés samedi par le ministre marocain de l'Intérieur Taib Cherkaoui.

Abdelilah Benkirane et les islamistes du Parti justice et développement (PJD) sont en tête des législatives de vendredi avec 80 sièges, selon des résultats partiels annoncés samedi par le ministre marocain de l’Intérieur Taib Cherkaoui. | AFP/Abdelhak Senna

Si les noms de 395 députés du parlement marocain seront  connus dimanche, les islamistes modérés du Parti de la justiceet du développement (PJD) sont en voie de remporter les législatives anticipées de vendredi. Une première dans ce pays. Le ministère de l’Intérieur a communiqué les premiers résultats officiels samedi en milieu d’après-midi : sur près des trois-quarts des circonscriptions, ce parti est déjà crédité de 88 sièges.

Après Ennahda en Tunisie, le Maroc devrait voir à son tour voir les islamistes devenir la première force politique du pays.

Fort de ce score historique, le mouvement d’Abdelilah Benkirane (qui était jusqu’ici le premier parti d’opposition avec 47 sièges) a annoncé qu’il était prêt à ouvrir des tractations avec d’autre formations pour former un gouvernement, notamment avec l’Istiqlal, le parti du Premier ministre actuel Abbas El Fassi, qui a obtenu 45 siège. Ce mouvement a accepté le dialogue, tout comme l’Union socialiste des forces populaire (USFP) et a priori le Parti du progrès et du socialisme (PPS).

Le Rassemblement national des indépendant (RNI) et le Parti authenticité et modernité (PAM), deux formations libérales proches du palais royal et membres de l’actuelle coalition gouvernementale, ont respectivement obtenu 38 et 33 sièges, selon les résultats officiels partiels. Aucun des deux partis ne souhaite entrer dans la coalition gouvernementale, selon lemonde.fr

Le Parti de la Justice et du Développement (PJD) veut rassurer l’OccidentAbdelilah Benkirane a assuré dans une interview au «Parisien» que «personne ne peut remettre en cause les libertés individuelles au Maroc». «Nous ne sommes pas pour l’instauration d’un régime religieux, pour le Califat, comme certains le laissent entendre. C’est absurde, nous sommes en 2011. On veut une vraie démocratie et une meilleure vie pour les Marocains», a poursuivi le leader du PJD, qui pourrait devenir le prochain chef du gouvernement. «L’essentiel de notre programme et de ceux qui vont gouverner avec nous aura deux axes: la démocratie et la bonne gouvernance», a affirmé sur France 24 le chef du PJD qui se veut à «référence islamique» et «monarchiste». L’actuel ministre de la Communication, Khalid Naciri, a déclaré samedi à l’attention de l’Occident : « N’ayez crainte ! Ce sont des islamistes BCBG ! Au Maroc, il y a suffisamment de verrous pour éviter tous débordements. »

Un pays marqué par le chômage des jeunes. Le prochain gouvernement sera confronté à un climat social marqué par un taux de chômage estimé à près de 30% chez les jeunes. Le Mouvement du 20 février, qui regroupe une partie d’entre eux, avait appelé au boycott du scrutin, ainsi que trois autres partis de gauche.

Une participation en hausse. Les 13,5 millions d’électeurs, sur une population de 35 millions d’habitants, avaient à choisir parmi quelque 7 100 candidats de 31 partis en lice. S’élevant à 45,4’%, la participation était en hausse par rapport au scrutin précédent (37% en 2007). Le ministre de l’Intérieur, Taib Cherkaoui, s’est félicité que le vote se soit déroulé «dans un contexte normal, et un climat de mobilisation et de responsabilité». Les Marocains étaient appelés à désigner leurs députés cinq mois après la réforme constitutionnelle voulue par le roi . Visant à démocratiser le système politique, cette réforme est une réponse du pouvoir au mouvement de contestation lancé par la jeunesse dans la foulée du printemps arabe.

Paris, «allié indéfectible». La France s’est réjouie samedi «du bon déroulement des premières élections législatives au Maroc depuis la révision de la constitution» en juillet et a renouvelé son soutien à un «pays ami» sans commenter la percée revendiquée par les islamistes, a indiqué le quai d’Orsay. Paris «se tient naturellement aux côtés du Maroc, pays ami et allié indéfectible, pour l’accompagner dans ses réformes et forme le voeu que la formation du futur gouvernement, dans le cadre de la nouvelle constitution, puisse s’accompagner de nouveaux progrès et de nouvelles réussites», a ajouté le porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

Source: http://www.leparisien.fr/

03/11/2011

Le vote des immigrés voulu par le PS sera un vote « ethnique » !!!

Et tout le danger vient de là. Alors préparons au pire ou……………… résistons !!!

Tiens, en passant, les villes de France dont les maires socialistes ont voté pour le vote des étrangers: (26 villes signent un appel pour le droit de vote des étrangers).

Ici:

  • Angers,

  • Aubervilliers,

  • Bègles,

  • Besançon,

  • Caen,

  • Chelles,

  • Clichy-la-Garenne,

  • Creil,

  • Erstein,

  • Grenoble,

  • Illkirch-Graffenstaden,

  • Les Ulis,

  • Lille,

  • Metz,

  • Montbéliard,

  • Nantes,

  • Paris,

  • Pau,

  • Périgueux,

  • Quimper,

  • Reims,

  • Rennes,

  • Rouen,

  • Saint-Denis,

  • Strasbourg,

  • Toulouse.

  • Félicitons chaudement ces élus qui ont choisi démocratiquement de brader NOTRE citoyenneté !

FDF

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« Ce sont des scènes de ghetto, cela ne se passe pas ainsi dans mon quartier », direz-vous en visionnant rapidement ce document, avant de passer à des sujets plus agréables.  Attention! la politique de l’autruche atteint là ses limites.
A mesure que la lèpre se propage, ceux qui le peuvent déménagent, les autres rasent les murs. A Marseille, le centre-ville traditionnel (Canebière comprise) est atteint; à Paris,  les quartiers avoisinant la Gare du Nord, parmi bien d’autres, sont entre LEURS mains. La France rurale est contaminée à son tour. Le mouvement ne peut que s’étendre: Tous les démographes indépendants savent et font savoir qu’ILS seront majoritaires en France avant le milieu du siècle. ILS auront pris le pouvoir politique bien avant, grâce au vote immigré qui sera avant tout un vote ethnique!
Si la tendance actuelle se poursuit, si rien n’est fait pour l’inverser, demain, si vous avez de la chance, il y aura peut-être de la place pour vos
 enfants dans un ghetto… de Souchiens réfractaires. On enverra des casques-bleus pour protéger ceux qui tardent à se convertir. La situation des chrétiens du Liban, celle des coptes d’Egypte et celle des Serbes du Kossovo  préfigure ce qui nous attend. 
Il n’y a pas d’enjeu plus crucial. N’accordez aucune confiance aux partis et hommes politiques qui nient cette évidence. Ils n’ont rien d’autre à proposer que le « métissage » et le « multicommunautarisme », c’est à dire le suicide ethnique et culturel, en guise de réponse à un problème dont ils sont pleinement responsables. »
R.S.

25/10/2011

Printemps arabe, chute des dictateurs, hiver islamiste… Un processus inévitable.

L’hirondelle n’annonce plus le printemps. Le jasmin non plus. La charia s’occupe de tout… Je plains tous ces peuples qui on cru à une démocratie à laquelle ils ne seront jamais prêts. Et à laquelle les islamistes les ont fait croire.

La Tunisie sombre dans le chaos régi par les intégristes; la Libye et l’Egypte suivent. Si ça pouvait faire réfléchir les autres… On peut toujours rêver.

Ci-dessous un excellent billet de Christophe Barbier (L’Express).

FDF

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« C’est une peur qui chemine alors que les armes se taisent et que s’élève le brouhaha des urnes. Une peur un peu honteuse, tant l’irénisme est de rigueur, et tenace aussi, le remords d’avoir si longtemps soutenu des dictateurs, avec, pour seule raison, cynique mais valable, d’être en sécurité sur nos rives. Une peur nourrie par les cris des coptes massacrés en Egypte, les premières élections en Tunisie et l’engagement du Conseil national de transition libyen à faire de la charia la « source première de la loi ». Cette peur, c’est celle de l’islamisme, celle d’un pouvoir barbu et liberticide, dont les imams psychopathes remplaceraient les militaires d’opérette et les despotes débauchés d’hier. 

Jamais cette crainte n’a abandonné les esprits occidentaux, même si le vacarme de la fête droits-de-l’hommiste l’a reléguée depuis janvier dans l’arrière-boutique de la foire-fouille sondagière. Elle ressort aujourd’hui parce que nous sommes dans un marécage idéologique, un entre-deux politique où les potentats sont déchus, mais les démocraties, pas encore installées. Balbutiantes et vacillantes, elles sont comme un enfant effrayé par ses premiers pas dans un monde vertigineux. Arabes et Occidentaux, tous épris de paix et de liberté, nous sentons que quelque chose a gagné, qui était juste, mais qu’autre chose aujourd’hui menace, qui est terrible. Et si rebelles et révoltés avaient oeuvré, à leur insu, pour préparer le règne des imams? Et si nous avions fourni, enfants béats de Danton et de Rousseau, le moteur démocratique au véhicule islamiste? S’imposer par une révolution ou une guerre civile n’est rien à côté d’élections gagnées: l’islamisme pourrait bien, demain, affirmer être légitime selon les critères mêmes de l’Occident. Que répondrons-nous?  

Craintes d’un nouveau scénario algérien

Aujourd’hui, les sirènes de l’optimisme chantent à tue-tête qu’il n’y a rien à craindre, que c’est un islam modéré, « intermédiaire », qui donne le la des nouveaux régimes, qu’il ne s’agit que d’invoquer des principes sans corseter la vie quotidienne ni bâillonner les libertés au berceau. Elles n’ont à la bouche que l’exemple de la Turquie, où islamisme et démocratie barbotent en harmonie dans le bain de miel de la prospérité économique. C’est oublier la cure de laïcité imposée jadis à son peuple par Kemal Atatürk, ce vaccin longue durée. Plutôt que le modèle turc, c’est le scénario algérien qui risque d’advenir. Il y a vingt ans, l’Algérie faillit tomber dans l’intégrisme par la fente des urnes, il fallut interrompre le processus électoral et engager la bataille armée. 

En Libye, la situation est la plus inquiétante. Le chef du CNT, Moustafa Abdeljalil s’est engagé à faire de la charia la « source première de la loi ».

C’est en Libye que la situation est la plus inquiétante, parce que l’on y touille un explosif cocktail de pétrole, de trafic d’armes et de bédouinisme, sous l’oeil avide et la griffe déjà sortie d’Aqmi la terroriste. Que feront de leur révolution réussie les héros de Misrata et de Benghazi? L’égout de Syrte a vomi un Kadhafi sanguinolent comme dernier déchet de la tyrannie: puisse le régime qui sortira des discussions tribales et des élections promises nous éviter la nostalgie de l’ordre tyrannique. »

Source: http://www.lexpress.fr/

Tunisie: les islamistes veulent s’allier avec la Gauche !

Tiens! C’est marrant; en France, c’est le contraire: ce sont les « gens » de Gauche qui accueillent les islamistes à bras ouverts (Je vous cite des noms? Pas la peine, hein ?). Voyez ce qui nous attend si en 2012… 

FDF

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Meeting d'Ennahda à la cité populaire d'Ezouhour, à  Sousse, avec le secrétaire général du parti, Hamadi Jebali.

Meeting d’Ennahda à la cité populaire d’Ezouhour, à Sousse, avec le secrétaire général du parti, Hamadi Jebali.Nicolas Fauqué / http://www.imagesd

Les islamistes en tête, suivis de deux partis de gauche : le visage de la future Assemblée constituante tunisienne s’esquissait lundi 24 octobre, au fur et à mesure des résultats annoncés par les partis, au lendemain d’un premier scrutin historique, neuf mois après la révolution tunisienne. Les résultats définitifs et officiels ne devaient pas être annoncés avant mardi par la commission électorale (ISIE) mais les premières tendances et déclarations confirmaient l’avancée d’Ennahda, attendue.

Le parti islamiste a immédiatement lancé un message pour « rassurer » les partenaires économiques de la Tunisie. « Nous espérons très rapidement revenir à la stabilité et à des conditions favorables à l’investissement », a déclaré Abdelhamid Jlassi, directeur du bureau exécutif.

« Nous respecterons les droits de la femme sur la base du code de statut personnel et de légalité entre les Tunisiens quels que soient leur religion, leur sexe ou leur appartenance sociale« , a ajouté Nourreddine Bhiri, membre de la direction du parti islamiste, en guise de réponse aux craintes du camp laïque.

>> Lire les réponses de Hamadi Jebali, secrétaire général d’Ennahda, aux internautes du Monde.fr, le 18 octobre : « L’essentiel est de respecter les libertés. »

ALLIANCE AVEC LES PARTIS LAÏCS

Au lendemain d’un scrutin marqué par une forte mobilisation, les islamistes ont été les premiers à annoncer leurs propres estimations : « environ 40 % des voix », a déclaré Samir Dilou, membre du bureau politique du mouvement. Soit au moins 60 sièges sur les 217 que comptera la future Assemblée constituante, a précisé un autre dirigeant du mouvement. Lundi soir, le directeur de campagne d’Ennahda (Renaissance), Abelhamid Jlassi, annonçait que le décompte des voix dépouillées jusqu’ici, affiché devant chaque bureau de vote, créditait le parti de 30 % des suffrages.

Considérés depuis plusieurs mois comme les grands favoris du scrutin, les islamistes, durement réprimés sous Ben Ali, feront, si ce résultat se confirme officiellement, leur entrée par la grande porte sur la scène politique tunisienne. Conscient qu’il doit nouer des alliances pour gouverner, le parti Ennahda a annoncé dès lundi soir qu’il était prêt à s’allier avec les deux partis de gauche qui se disputent la deuxième place : Ettakatol, emmené par le médecin et ancien opposant Mustapha Ben Jaffar, et le Congrès pour la république (CPR) de Moncef Marzouki.

« Nous sommes prêts à former une alliance avec le Congrès pour la république de Moncef Marzouki et l’Ettakatol de Moustapha Ben Jaafar puisque leurs opinions ne sont pas éloignées des nôtres et que ces deux partis ont obtenu un grand nombre de suffrages », a dit à Reuters Ali Larayd, membre du comité exécutif d’Ennahda. Selon les dirigeants d’Ettakatol, leur parti « arrivera en deuxième ou troisième position », avec « autour de 15 % des suffrages ».

>> Voir notre reportage interactif : « Paroles d’électeurs et de candidats »

Le CPR a réalisé une percée surprise, obtenant entre 15 et 16 % des voix, selon des estimations. « On espère être les seconds », a déclaré Moncef Marzouki, ancien opposant à Ben Ali longtemps exilé en France. Moncef Marzouki a démenti avoir pactisé avec les islamistes avant le vote, assurant qu’il n’y avait pas eu « d’alliance avant le vote », tout en se disant « absolument dans l’optique d’une participation à un gouvernement d’union nationale ».

RÉSULTATS DÉFINITIFS MARDI

Les Tunisiens ont élu dimanche une Assemblée constituante dont les 217 membres devront rédiger la nouvelle Constitution du pays et former un nouveau gouvernement provisoire avant des élections législatives et présidentielle prévues l’année prochaine. Aucun résultat officiel n’avait été publié lundi dans la soirée à l’exception du vote des Tunisiens de l’étranger, qui votaient avant dimanche. Sur les 18 sièges concernés, Ennahda en obtient 9, le Congrès pour la république 4, Ettakatol 3, le Pôle démocratique moderniste (gauche) 1 et la Liste pour la liberté et le développement (centre) 1.

La surprise est venue en revanche de la défaite du Parti démocrate progressiste (PDP, centre gauche), formation historique qui s’est posée pendant toute la campagne comme principale force alternative à Ennahda.

Laminé avec entre 8 et 10 % des voix selon les estimations non officielles, le PDP, fondé par Ahmed Néjib Chebbi, a pris acte de sa défaite. « Les tendances sont très claires. Le PDP est mal positionné. C’est la décision du peuple tunisien. Je m’incline devant ce choix. Je félicite ceux qui ont obtenu l’approbation du peuple tunisien », a déclaré la chef de ce parti, Maya Jribi. « Nous serons toujours là pour défendre une Tunisie moderne, prospère et modérée », a-t-elle poursuivi, estimant que le pays « était en train de vivre un tournant ».

Source: http://www.lemonde.fr/

22/10/2011

Suisse: “Stopper l’immigration massive” !


Avec un slogan pareil, ça devrait cartonner chez nos amis Suisse. Selon les résultats de la votation, il y en a qui devront prendre exemple…

FDF

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La droite nationaliste (UDC) est la grande favorite des législatives du 23 octobre. Son mot d’ordre rassemble : “Stopper l’immigration massive”.

Les populistes “prennent l’ascenseur”. À la veille des législatives de ce 23 octobre, cette expression suisse revient dans tous les journaux. Regroupée au sein de l’Union démocratique du centre (UDC) de Toni Brunner, la droite nationaliste a le vent en poupe. Le dernier sondage de la campagne lui donnait 29,3 % des suffrages, ce qui pourrait faire de l’UDC la première formation politique suisse à franchir la barre mythique des 30 % depuis 1919, date de l’introduction du suffrage proportionnel.

Les autres partis seraient loin derrière : 19,9 % des voix pour les socialistes, devant le Parti libéral-radical (15,2 %), le Parti démocrate-chrétien (14,2 %) et les Verts (9,3 %). Une fois élus, les nouveaux députés devront ensuite désigner, le 14 décembre, les sept membres du Conseil fédéral, l’exécutif suisse. Sous l’influence des populistes, ce nouveau Conseil pourrait modifier en profondeur la politique de la Suisse.

Fondée en 1971, l’UDC a longtemps plafonné autour de 11 % des voix. Son opposition à l’adhésion de la Suisse à l’Espace économique européen, lors du référendum de 1992, marque le début de son ascension, comme le montrent ses résultats électoraux : 15 % en 1995, 22,5 en 1999, 26,7 en 2003, 28,9 en 2007. Depuis ce dernier scrutin, l’UDC a enregistré d’autres succès retentissants.

Le 29 novembre 2009, sa proposition d’interdire la construction de minarets était approuvée par référendum : 57,5 %. Le 28 novembre 2010, les Suisses disaient oui à 52,9 % à l’expulsion de criminels ou de délinquants étrangers, mesure applicable aussi aux fraudeurs aux prestations sociales. Le 28 septembre dernier, les députés votaient une motion intitulée “Bas les masques”, présentée par le député UDC Oskar Freysinger. Elle vise à interdire le port de la burqa dans certains lieux publics et les transports en commun.

Moins audible sur de nouveaux thèmes de campagne – la crise de l’euro et le débat sur le nucléaire – , l’UDC s’est relancée grâce à deux décisions ré centes. En septembre, la Banque nationale décidait d’arrimer le franc suisse à l’euro, pour en finir avec une monnaie trop forte. Puis les députés votaient l’abandon définitif du nucléaire, à partir de 2034. Du coup, le débat s’est reporté sur l’immigration, cheval de bataille des populistes.

Son programme à ce sujet tient en trois points : le refus de toute adhésion à l’Union, le renvoi des criminels étrangers, l’arrêt de l’immigration massive. Ce thème a même remplacé celui de la réduction des impôts. « Nous avons le sentiment que ce qui préoccupe le plus les gens en ce moment, c’est l’immigration », analyse l’élu UDC Christoph Mörgeli. Ce 17 octobre, le parti annonçait avoir réuni assez de signatures pour organiser un référendum “contre l’immigration de masse”.

Il est vrai que c’est le pays européen qui compte la plus forte proportion d’étrangers sur son sol : 1,7 million de personnes, 22 % de la population. Ce ratio ne cesse de croître. Les statistiques récentes publiées par l’Office fédéral des migrations montrent que la population étrangère a encore augmenté de 2,9 % en un an. Les nouveaux immigrés proviennent majoritairement du Kosovo et des États de l’Union européenne.

Même l’“immigration qualifiée” suscite de nouveaux problèmes

L’UDC attribue ce phénomène aux accords européens de libre circulation, notamment ceux de Schengen entrés en vigueur en Suisse en 2008. Dans le Tessin, la Ligue des Tessinois, victorieuse des élections cantonales du 10 avril (30 % des voix), les rejette. Elle réclame « la construction d’un mur entre la Suisse et l’Italie » pour bloquer les 13 000 travailleurs transfrontaliers.

« Plus il y a de gens en Suisse et plus l’État a besoin d’infirmières ou d’enseignants, relève Toni Brunner, le chef de l’UDC. Dit de façon un peu caricaturale, les immigrés viennent en Suisse s’occuper d’autres immigrés. » La proportion de diplômés universitaires parmi les étrangers, passée de 21 à 56 % en quinze ans, est aussi une source d’inquiétude, comme le constate le journal le Temps : « Cette immigration qualifiée apporte de nouveaux problèmes : compétition accrue pour l’espace et le logement, flambée des prix de l’immobilier, engorgement des infrastructures… »

Michel Arnaud


Source: http://www.valeursactuelles.com/

18/10/2011

Belleville: les islamistes du Parti Ennahda expulsent par la force les partis concurrents, en les traitant de « koufars » (mécréants/infidèles)!

Il est rappelé aux immigrés Tunisiens qu’il serait bon d’aller régler leurs comptes dans leur propre pays. Le notre est suffisamment secoué en ce moment… Vos élections ne nous concernent pas. Et merci de ne pas vous mêler des nôtres!

FDF

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La campagne électorale tunisienne dégénère…à Belleville !!!

Voir: http://youtu.be/p-L6w2msmAM

Rappel : une tunisienne libérale prise à partie dans les rues de Paris par les islamistes (à partir de la min 27:35):

http://latelelibre.fr/index.php/2011/01/le-point-rouge-27-les-libertes-numeriques/

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Source: http://www.islamisation.fr/

14/10/2011

Les primaires socialistes en résumé…

Ca rejoint mon denier billet sur le sujet. Mais en photo, cette fois….

Clair, net et précis…

FDF

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No comment…

Bonus: http://youtu.be/1veiVbaTrlw

11/10/2011

Mayotte: le mauvais calcul électoral…

Il fallait s’y attendre. Mayotte se révolte. « On » a voulu, sans consulter le peuple Français, encore une fois, faire de Mayotte un nouveau département… C’était purement une manoeuvre électoraliste. Pour récupérer des voix, uniquement, en vue des élections.

Gros plouf; gros plantage.

Aujourd’hui Mayotte se révolte. Et quand une population comme celle de cette île (à majorité musulmane) se révolte, ça fait mal. Il est vrai que ce ne sont pas les moutons de l’Héxagone à qui on fait subir les pires des pires humiliations et que l’on ne considère même pas. On les méprise, on les oublie, ils ne sont bons qu’à payer et s’appauvrissent sans broncher. Il y a bien une ou deux manifs par ci par là, mais c’est du menu fretin. Français de souche: « bouclez la et crachez au bassinet! ». La pauvreté, vous allez vous y habituer.

Mais à Mayotte, les « nouveaux Français » en ont marre de se serrer la ceinture; et ils le font savoir… Et ce n’est que le début. Et si ce tsunami touchait le continent?

On peut toujours rêver…

En tout état de cause, nos Hautes Autorités sauront comment calmer la révolte venue d’Outre Mer: « on » va satisfaire leurs demandes; toutes leurs demandes. Après tout, ce sont ceux du continent qui vont en faire encore les frais. Et comme ces derniers sont masos, ça va passer tout seul; comme d’hab…

FDF

A Mayotte, quand on a faim, on a faim…

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Depuis plusieurs jours, l’île de Mayotte que des politiciens irresponsables ont, par misérable calcul électoral, et

sans avoir préalablement consulté le peuple français, transformé en département, vit un véritable climat

insurrectionnel.

Pour mémoire, ce Lampedusa d’outre-mer ne produit rien et l’immense majorité de sa population est au chômage

ou vit des prestations généreusement versées par la France ; à 60% ses habitants ne parlent que le swahili ou le

malgache, les musulmans polygames y sont majoritaires et sur 200 000 habitants, l’on compte au moins 60 000

immigrés clandestins. Quant à la maternité de Mamoudzou elle met au monde chaque année 7000 jeunes

compatriotes, dont 80% nés de mères immigrées originaires de toute l’Afrique orientale et jusqu’à la cuvette du

Congo[1].

Pour donner une apparence de légalité à cette départementalisation, les politiciens irresponsables qui nous

gouvernent ont organisé un simulacre de référendum concernant les seuls habitants de Mayotte, à l’exclusion des

Français métropolitains qui, pourtant, vont de leurs deniers, assurer le suivi de l’opération… Cette seule population

appelée à voter n’allant pas refuser les avantages sociaux promis par le nouveau statut de l’île, ce fut donc à 95%

qu’elle plébiscita la départementalisation, synonyme pour elle de RSA et d’alignement sur les prestations de

l’assistanat servies en Métropole.

Cette manne tardant à être concrétisées, nos « chers » nouveaux compatriotes ont entrepris de détruire avec

méthode les équipements ultra modernes payés par les Français hexagonaux. A la date de rédaction de ce texte,

l’île est ainsi en situation quasi insurrectionnelle. Une fois de plus impuissant et dépassé par les évènements, le

gouvernement français va, à quelques mois d’un scrutin dans lequel il joue sa survie, acheter la paix sociale en

acceptant les exigences des Mahorais qui seront soldées par les impôts des autres Français.

Face à ce véritable diktat qu’est la départementalisation de Mayotte, le plus incroyable est que, juridiquement, il

n’existe plus aucun moyen de revenir en arrière, c’est-à-dire au statut antérieur qui permettait de maintenir cette île

de l’océan indien dans l’ensemble français mais sans avoir à subir les conséquences dramatiques de cette

surréaliste départementalisation.

Bernard Lugan

09/10/2011

[1] Voir à ce sujet les nombreux articles et dossiers consacrés par l’Afrique Réelle à cette question

08/07/2011

Avenir morose pour la Tunisie si les islamistes s’en mêlent…

Le double langage… Un spécialité « maison » des islamistes…

FDF

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Tunisie: Ghannouchi, les islamistes tunisiens et le double langage


Dans un contexte politique marqué par la méfiance, la suspicion et même la peur, les partis, qu’ils soient islamistes ou sécularistes, devraient révéler le type de constitution qu’ils envisagent pour la Tunisie. 


« J’ai été à Tunis la semaine dernière (24 et 25 juin, Ndlr) pour participer à une conférence qui a réuni les principales tendances politiques désormais en compétition pour le pouvoir en Tunisie. Plusieurs chercheurs américains, spécialistes des transitions démocratiques ou d’islam politique étaient également là. La conférence était organisée par le Center for the Study of Islam and Democracy (Centre d’étude de l’islam et de la démocratie), think tank basé à Washington D.C. qui œuvre, depuis plus d’une décennie, à promouvoir la démocratie dans le monde musulman.

Les craintes suscitées par Ghannouchi et son parti
Cheikh Rached Ghannouchi a participé à la conférence. Il a parlé de sa vision de la Tunisie et de l’importance de reconnaître les longues et durables traditions non laïques des sociétés musulmanes. M. Ghannouchi, qui était en exil à Londres, est de retour en Tunisie après la révolution de jasmin, et il s’est déjà imposé comme la voix la plus dominante dans la politique tunisienne et son mouvement, Ennahdha (Renaissance) devrait être l’un des plus importants, sinon le plus important, parmi les acteurs de l’Assemblée constituante qui rédigera la nouvelle constitution de la Tunisie libre. Les élections pour cette Assemblée sont prévues pour le 23 octobre 2011.

Beaucoup d’intellectuels laïques et de politiciens en Tunisie craignent que M. Ghannouchi et son mouvement utilisent le processus démocratique dans le pays pour le transformer en un Etat islamique et s’attaquer aux libertés civiles et politiques de ceux qui ne partagent pas leur vision islamiste.
La Tunisie a fait des progrès considérables en accordant aux femmes des droits égaux et il y a une véritable crainte chez les jeunes femmes qu’Ennahdha puisse demander un jour à transformer la Tunisie en un autre Iran.
Inutile de dire qu’Ennahdha et ses leaders démentent ces allégations qui suscitent la peur, et soulignent qu’ils sont juste un parti différent, bien qu’il mette davantage l’accent sur le fait que la Tunisie est un pays musulman et pense que les valeurs islamiques peuvent contribuer beaucoup à mettre un peu plus de sagesse dans la gouvernance politique….

Suite et source: http://tinyurl.com/68qpt9a

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