Francaisdefrance's Blog

09/12/2011

Droit de vote des étrangers: c’est NOTRE France qu’on assassine !

sénat1Ils veulent brader NOS lois? On ne va pas se laisser faire. La France n’est pas à vendre!

FDF

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Résistance républicaine était présente ce midi devant le Sénat, pour témoigner de son opposition au Droit de vote des étrangers, au nom de la citoyenneté, de l’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme et du Citoyen de 1789 et du principe de précaution : devant l’islamisation de la France, il est suicidaire d’offrir sur un plateau à des millions de gens qui refusent intégration et assimilation la possibilité d’imposer des pratiques communautaristes dans nos villes et villages. Bien qu’en milieu de semaine, une trentaine de nos militants avaient réussi à se libérer et ils étaient là, rassemblés sous notre drapeau, pour témoigner de nos soucis de républicains. Nous ne pouvons que regretter, une fois de plus, d’avoir été la seule association présente. L’on peut aussi se demander où étaient ceux, nombreux, de l’UMP ou du Nouveau Centre qui s’opposent à cette loi...

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Nous avons été beaucoup interviewés et filmés, sans doute qu’il n’en restera pas grand-chose, comme d’habitude avec des medias d’une complaisance ahurissante envers ceux qui usurpent le nom de la gauche et qui ont oublié depuis longtemps que pour Jaurès la nation (et donc les droits et devoirs liés à la nationalité) était une valeur de gauche…  

Exemple typique du traitement des medias, cette video tournée par Libération.  

Sur 3 minutes 49, 1 minute 10 pour Marine le Pen (et quelques gros plans sur Résistance républicaine) et le reste pour les pro-loi… Rien d’autre à dire.

Le discours de Marine le Pen a été remarquable, elle a rappelé les essentiels, le lien entre citoyenneté et vote,  les risques liés aux islamistes, et  fustigé la politique électoraliste de « la gauche » qui, comme le rappelle ouvertement le site Terra Nova, a délibérément abandonné les ouvriers –indignes d’elle- pour caresser  dans le sens du poil les populations d’origine immigrée.   

 En face, les arguments des pro-loi sont terrifiants, et il faut reconnaître que les Verts d’Europe Ecologie, menés par Eva Joly et Esther Benbassa sont affligeants, leurs seuls arguments étant « ça fait trente ans qu’on en parle », ou bien « il faut donner plus de voix aux étrangers pour qu’ils s’intègrent plus » (personne ne voyant la perversion de l’argument puisque c’est au contraire quand on est intégré, mieux, assimilé, que l’on peut postuler et demander la nationalité française… Qui a jamais vu que donner des droits aux élèves dans les collèges les obligeait à respecter leurs devoirs ??? Le parallèle peut sembler saugrenu, voire hors-sujet, mais il mérite d’être médité).

Mais le comble de l’ignominie revient à François Rebsamen, qui reprend la tarte à la crème récemment inventée à l’échelon européen d’une « citoyenneté de résidence », ce qui est une monstruosité en terme constitutionnel ! On se prend à rêver d’Athènes et du statut de « métèque », étranger autorisé à résider, qui n’avait donc aucun des droits du citoyen, et pour cause, puisque c’est le citoyen qui va mettre ses biens et sa vie en danger pour protéger son pays quand celui-ci est en danger et non le métèque. Et que nous nous croyions à l’abri des guerres ne nous les épargnera pas en cette époque de crise économique, d’immigration à grande échelle, de crise énergétique et de lutte pour la puissance, nucléaire ou économique. On rappellera également que les devoirs des citoyens sont de prendre en charge le bien commun, l’avenir de la nation, de veiller à ce que son histoire et ses traditions perdurent et soient transmises. Cela ne peut être le cas de ceux qui, bien qu’ils vivent depuis 5, 10 ou 20 ans en France, continuent de penser que leur patrie est ailleurs, que leur culture d’origine est meilleure que la nôtre et que cette dernière doit s’effacer et, pire encore, disparaître devant la leur, au nom de principes soi-disant religieux…  Quant à prétendre que le communautarisme dont nous voyons les méfaits serait encouragé par l’absence de citoyenneté de résidence comme Rebsamen ose le sous-entendre, c’est une monstruosité de mauvaise foi et une monstruosité tout court. Nos immigrés italiens, portugais, espagnols et polonais qui sont venus s’installer en France en très grand nombre au cours du XXème siècle n’ont jamais eu de droit de vote. Pourtant, ils ont donné des prénoms français à leurs enfants, pourtant ils se sont battus pour que les dits enfants parlent français, même à la maison, pourtant ils  ont voulu se mêler aux autres habitants de notre pays, pourtant ils ont voulu s’intégrer et s’assimiler et y sont parvenus… Ils ont même demandé et obtenu la nationalité française, pour un grand nombre d’entre eux. Etonnant, non ? 

   Bref, avec le droit de vote des étrangers c’est la France qu’on assassine.  Et les assassins osent nous parler de République et osent  fustiger Marine le Pen parce qu’elle ne veut pas qu’on brade nos droits, afin qu’il reste quelque chose aux Français dans la bérézina actuelle…

Il faut dire qu’entendre  celui qui a osé inaugurer une mosquée aux côtés d’une fillette voilée parler des risques de « communautariser le débat public » ne nous rassure pas… 

Les ennemis de la France sont nombreux, mais nous les connaissons…

Source: http://christinetasin.over-blog.fr/

3 commentaires »

  1. Je ne suis né qu’à la fin des années 40 et ne les ai que trop connues par mes parents,mes oncles,tantes et grand parents.
    J’en ai retenu ceci : c’étaient des « gentils » socialistes qui étaient au pouvoir,qui ont collaboré avec les boches (certains se sont enrichis).Ils ont fait envoyer des résistants,des juifs,des curés et même des communistes dans les camps de la mort..
    Même les journaux de l’époque étaient des pourris/collabos (la Dépêche de Toulouse) .Avec d’autres , ils aimaient les grands titres « TERRORISTES »
    « ASSASSINS » .
    Les juges qui envoyaient des résistants en prison ou à l’abattoir se faisaient « sécher » au coin des rues …La belle époque en somme.
    La grande majorité (socialiste) levait la main en chantant :
    « MARÉCHAL NOUS VOILA ! »
    Et puis (chez nous ,dans le Sud Ouest ) les villes se sont libérées toutes seules !
    Communistes et gaullistes confondus fraternisant :
    c’étaient des patriotes !
    DE plus,quelques uns n’étaient même pas français !
    Espagnols réfugiés de Franco ;italiens réfugiés de Mussolini ,Polonais réfugiés d’Hitler .
    Ce n’étaient pas des connards qui voulaient voter ,seulement pour nous emmerder.
    Il n’y a que sur ce blog que je puisse m’exprimer!
    Merci FDF !

    Commentaire par henri — 09/12/2011 @ 20:09 | Réponse

  2. Et, ensuite,il y a eu l’ ÉPURATION !

    Commentaire par henri — 09/12/2011 @ 20:12 | Réponse

  3. Scoop : Attaque éclair, en bande, d’une rame de métro aux heures de pointe
    janvier 1st, 2012 Jean-Patrick Grumberg | Commentaires: 63

    L’information qui suit m’a été communiquée par une de nos lectrice, laquelle avait retranscrit les propos tenus par un ami à elle. Après insistance, elle m’a communiqué les coordonnées de l’ami en question, que j’ai pu interviewer hier 31 décembre, et qui m’a relaté les faits suivants.

    « Je m’appelle Christian Armbruster, je vis dans le 93, et je suis comédien et metteur en scène. J’ai été le témoin d’une des ces agressions. Aucun média n’en a encore fait état, c’est le black-out total, est-ce à cause des élections, je ne sais pas »

    Christian Ambruster : « Ca s’est passé sur la ligne 4, Pte d’Orléans – Pte de Clignancourt, à la station Barbès, Mardi 20 décembre 2011 vers 18h. »

    CA : « A 18h, en pleine heure de pointe, la rame est arrivée totalement vide en station (!). Ca nous a fait tout drôle. La raison, on l’a compris plus tard, c’est que tous ses occupants avaient été pris en otage et attaqués, et ils étaient descendus terrorisés à la station précédente »

    CA : « je n’ai pas vécu l’attaque, mais uniquement les conséquences de l’attaque, à savoir l’évacuation express et totale par la RATP de la station Barbès. Au moment de monter dans le wagon, une voie dans les haut parleurs a crié : « Ne montez pas dans la rame, il y a eu une agression ». Nous sommes tous sortis, un peu surpris, et surtout sans rien comprendre. On se demandait si c’était un accident, une grève. Ce n’est qu’après, que j’ai réalisé que j’avais vu les agresseurs, courant par dizaines au loin dans le tunnel… »

    CA : « Le lendemain, en arrivant au théâtre, je raconte mon histoire, dans la loge, et là, une collègue comédienne m’a dit : « ça m’est arrivé à moi aussi ! Des gangs d’agresseurs, à plusieurs dizaines, qui formaient un véritable MUR d’obstruction devant les portes des wagons du métro au moment où elles s’ouvrent. Ils se sont engouffré dans la totalité de la rame à quatre à cinq individus par porte, sachant qu’il y a quatre portes par wagon, et cinq wagons par rame. Ils ont dépouillé ensuite tout le monde le plus vite possible, avant de s’enfuir par les voies en courant sur les rails à travers les tunnels, pour éviter les sorties usuelles des stations du métro. »

    CA : « Je dois avouer que je rencontre un grand scepticisme quand je raconte ces événements… à croire que je fabule, que j’exagère, que je colporte des rumeurs malsaines anti-banlieues, etc… sauf avec les gens qui l’ont vécu, ou qui ont des proches qui l’ont vécu… et qui se sentent comme soulagés d’entendre que certaines personnes les croient et confirment leurs propos »

    CA : « donc j’étais dans la loge, et le fait d’en avoir parlé, c’est comme si les langues se sont déliées. Un autre collègue comédien m’a raconté : « c’est arrivé au conjoint d’une amie à moi, qui a réussi à se cacher derrière un strapontin, et a réussi à descendre avant que les agresseurs aient pu racketter tous les voyageurs, faute de temps. Il a été épargné, mais très choqué. Il était tout tremblant. Tout le monde a été dépouillé, ils ont tout ramassé, passeports, cartes de crédits, tout, comme dans les westerns »

    CA : « ma collègue a repris : « Moi c’est sur la ligne 14, St-Lazare – Olympiades – Bibliothèque François Mitterrand, c’est une ligne automatisée sans conducteur… Les agresseurs se tenaient sur le quai à trois ou quatre par issue (face aux portes vitrées).

    Quand celles-ci se sont ouvertes, ils se sont couvert le visage d’une cagoule, et ils ont repoussé les voyageurs à l’intérieur en les empêchant de descendre ; puis ils ont dépouillé tout le monde dès la fermeture des portes et le départ de la rame, en les menaçant de couteaux et de revolvers… Ceux qui n’obtempèrent pas se sont fait molester, blesser à l’arme blanche, et ils ont même tiré une balle vers le sol »

    CA : « on dirait qu’ils interviennent exprès aux heures de pointes pour semer la confusion »

    CA : « donc en discutant dans la loge, voilà ce que mon collègue m’a raconté.
    « C’était le RER A : Direction Chessy / Marne-La-Vallée. Un ami à moi allait travailler à Disney… Il y a eu l’irruption soudaine d’une grande quantité d’agresseurs qui ont racketté les voyageurs. Dans ce cas précis, la police, prévenue, est intervenue à la station suivante. Mais juste avant que les portes ne s’ouvrent, les agresseurs ont fait des signes aux passagers, le pouce qui mime l’égorgement au niveau de la glotte, comme quoi, s’ils osaient ouvrir leur gueule… Quand les portes se sont ouvertes, les agresseurs se sont mêlés aux passagers paniqués qui descendaient, et ont joué les victimes en sortant eux-mêmes paniqués… puis ils ont fuit en courant sur les quais comme s’ils avaient eu une peur bleue… »

    CA : « mon collègue m’a dit, décidément, ça devient le Far West ».

    CA : « et puis, ils sont tellement en nombre, ils sont très très nombreux, comme si c’était tout un gang, ce n’est pas comme le soir, quand des noirs rentrent dans un wagon presque vide. Là ils sont tellement nombreux, avec des cagoules, qu’on comprend vite qu’il n’y a rien à faire »

    CA : « et le pompon, c’est que le lendemain, j’entends une émission à la radio, ou l’invité explique que les installations de caméras de surveillance violent la vie privée des gens. J’avais envie de les appeler pour leur raconter mon histoire »

    JPG : « oui, les caméras de surveillance, elles violent la vie privée des délinquants, ça ne fait aucun doute. Et il est vrai qu’on se soucie bien plus de la vie privée des agresseurs que de la protection des gens »

    CA : « j’habite dans le 93, je sais ce que c’est, mais là, ça dépasse tout ce que je connaissais ».

    Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
    © Jean-Patrick Grumberg pour http://www.Dreuz.info

    Commentaire par fdgsdfg — 02/01/2012 @ 13:27 | Réponse


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