La gauche dénonce une instrumentalisation de ce fait divers, conférence de presse, protestations indignées de la femme voilée et de l’époux, réception des membres du CFCM à Matignon, Tariq Ramadan en profite pour sortir de l’oubli afin de donner des leçons de valeurs au gouvernement, jusqu’à ce que l’on apprenne que cette jeune femme serait la quatrième épouse d’un islamiste, père de douze enfants, qui a obtenu la nationalité française en 1999 par mariage.
C’est toujours le même scénario, un politicien est chargé de faire « l’opposant », il fait mine d’être choqué, en omettant d’expliquer que c’est lui et son parti qui ont soutenu et continuent à soutenir l’immigration massive qui est bien la seule véritable cause de telles dérives communautaristes auxquelles doivent s’adapter les français sans que leur avis ne leur soit demandé.
Il est facile de dénoncer la polygamie, alors que cela fait des années que les services sociaux et les caisses d’allocations familiales en étaient parfaitement informés. La chaine hiérarchique serait elle inexistante dans l’administration française ? Tout le monde se repasse la patate chaude, et fait mine de découvrir qu’il y a un problème quand une affaire ou sont impliquées les pratiques de l’islam fait fait surface.
On aurait tort de croire à des dérives marginales, inévitables, sinon excusables, Ces pratiques courantes et admises, communautarisent et minent la société française. Et toujours au centre du problème : l’islam
Cette affaire de niqab au volant et de polygamie ne sont que la partie émergée d’un iceberg. Il faut savoir que de nombreux musulmans et musulmanes de France, revendiquent :
– Le droit aux filles pratiquantes de ne pas aller en cours de sport et sans pénalisation pour leurs examens.
– Contestent les cours de biologies (« C’est Allah qui a crée l’homme » crièrent des lycéens de Lille)
– Exigent des horaires réservés dans les piscines municipales.
– Revendiquent le droit aux filles pratiquantes de choisir le sexe de leur examinateur ou professeur et d’être accompagné de leur mari à leur examen.
– Contestent la capacité d’un professeur « de culture occidentale » de « juger le travail d’un étudiant musulman ».
– Réclament une modification de la loi de 1905 pour faire financer les mosquées par l’Etat français, donc par l’impôt
– Réclament des jours de congés supplémentaires correspondants à LEURS fêtes islamiques.
– Exigent la suppression du porc des cantines scolaires pour TOUS les élèves, musulmans ou non.
– Demandent aux écoles primaires de ne plus fêter Noël.
– Réclament des salles de prières dans nos collèges, nos lycées et nos universités
– Réclament une révision de nos livres d’histoire pour y intégrer l’histoire de leur pays ainsi que leur religion.
– Demandent aux écoles, universités et lieux de travail des horaires aménagés pour leurs 5 prières quotidiennes.
– Exigent de pouvoir pratiquer des métiers publics (administration, hôpitaux, écoles, justice) avec un voile islamique etc…
Il y a une réelle pression politique pour forcer les Français à accepter l’islam. Les termes « stigmatisation, islamophobie et racisme » sont désormais systématiquement usités des lors qu’une pratique religieuse musulmane qui rentre en contradiction des valeurs occidentales est pointée du doigt.
Lies Hebbadj a au moins le mérite de l’avouer, ce n’est pas à lui de se conformer à la République, mais bien la République qui doit se conformer à l’Islam (du moins à sa vision de l’islam).