Francaisdefrance's Blog

11/06/2011

Violence antiflics en augmentation… 19 policiers blessés en 2010 par la racaille !

Il va falloir vraiment faire quelque chose; de « concret »… Avant que l’on commence à compter les morts…

FDF

.

La police aux Tarterêts : « Au mieux, on nous dit “enculés” »

S’il assure que « la police a changé », l’un de ses hommes, interrogé par Rue89, déplore « une volonté de tuer » dans la cité.

Trois policiers français regardent un immeuble de Corbeil-Essonnes (Essonne), novembre 2005 (Franck Prevel/Reuters).

Une fois de plus, la même histoire a été rejouée au pied des tours grises de l’une des pires cités de France : des voyous excités et des policiers surarmés et fatigués se sont fait la guerre. Et ce dimanche 5 juin, aux Tarterêts à Corbeil-Essonnes (Essonne), un projectile perdu a gravement blessé une enfant qui passait par là. Une enquête est en cours pour déterminer s’il s’agit d’un tir policier – une balle de flashball – ou d’autre chose.

L’émotion a été vive dans la cité, même si les habitants sont habitués à ces échauffourées quasi quotidiennes. Depuis janvier 2011, 21 policiers ont été blessés dans cette cité. Une violence antiflics en augmentation : en 2010, sur l’année entière, 19 ont été blessés.

Peu de policiers acceptent de témoigner. La pression de leur hiérarchie et l’approche de la présidentielle – « trop sensible » – les dissuadent de parler. L’un d’entre eux a pourtant accepté de nous raconter le quotidien de la police des Tarterêts.

Un policier de Corbeil-Essonnes : « Il y a une volonté de tuer »

Ils sont une centaine au commissariat de Corbeil-Essonnes, dont une trentaine à la BST, la brigade spéciale de terrain, mise en place par l’ex-ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux, en remplacement des unités territoriales de quartier (Uteq). Ce dimanche-là, ils accompagnent les pompiers appelés pour des feux de véhicules :

« Les pompiers ne vont plus jamais seuls dans ce quartier. La police les accompagne systématiquement. C’était un guet-apens. Ça se passe toujours comme ça : on appelle pour un feu de poubelle ou de voiture et des dizaines d’individus fondent sur les policiers dès qu’ils ont mis le pied à terre. Parfois, ils s’y mettent à cinquante. Il y a une volonté de tuer. »

Bruno Piriou, élu communiste de la ville, et candidat malheureux aux municipales, présage le pire dans ce quartier si rien n’est fait :

« On est dans une logique guerrière. Si on ne se penche pas sérieusement sur ce problème, il y aura des morts. »…

Suite et source: http://www.rue89.com/2011/06/10/la-police-aux-tarterets-au-mieux-on-nous-dit-encules-208603

07/06/2011

Société multiculturelle = Société multiconflictuelle…

Le FN l’avait prédit…

Nouvel exemple de l’échec cuisant de l’intégration de masse, mercredi, dans l’Essonne,  des « jeunes » du quartier des Tarterêts de Corbeil-Essonnes ont tendu une embuscade particulièrement violente à un véhicule des forces de l’ordre. Philippe Capon, secrétaire général d’Unsa Police, a affirmé sur Europe 1 que les policiers ont eu affaire « à des jeunes qui sont des tueurs de flics potentiels. Il y a la volonté de tuer ». Pendant ce temps à Sevran (Seine-Saint-Denis), l’intensification des règlements de compte entre bandes de dealers, -une fillette à été blessée par balle lors d’un échange de tirs entre racailles- incitent certains élus de gauche à demander l’intervention de l’armée !

Société multiculturelle, société multiconflictuelle : cet adage a été également illustré ces derniers jours par les émeutes générées à la suite de l’arrestation dans une maison culturelle kurde de terroristes présumés du PKK, à Arnouville dans le Val d’Oise. La manifestation organisée par les kurdes dans cette même ville hier a reçu le soutien d’ élus de gauche comme la communiste Sylvie Jean, Didier Vaillant, maire PS de Villiers-le-Bel, ou encore François Pupponi, député-maire socialiste de Sarcelles. Un rassemblement qui s’est terminé par le saccage de véhicules par une cinquantaine de casseurs.

Cette situation d’accroissement des violences dans les banlieues plurielles, sur fond de repli communautaire et de gangstérisme mafieux avait été prédite de longue date par le FN comme le fruit empoisonné de flux migratoires incontrôlés.

Cette dénonciation des conséquences de l’immigration de peuplement sur notre sol, la défense du concept de préférence nationale n’empêchent pas les nationaux de manifester leur solidarité en dehors de nos frontières avec les peuples victimes de situations dramatiques. Ce qui n’a pas eu l’heur de plaire au site de Bernard-Henry Lévy et de la revue éponyme « La règle du je(u) » qui a violemment attaqué le vote par le groupe FN du Conseil régional de Rhône-Alpes, présidé par Bruno Gollnisch, d’une motion présentée au nom d’Europe Ecologie/Les Verts par l’élue Alexandra Cusey.

Sous la plume de Bernard Schalscha, (article repris sur certains sites communautaires) La Régle du jeu s’émeut ainsi que « lors de la séance du 27 mai, le Conseil régional de Rhône-Alpes ait adopté un voeu de soutien à l’initiative «Un bateau français pour Gaza engagée par le Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens ». Et ce par la grâce d’une « ahurissante coalition regroupant, aux côtés de ces deux formations, le Parti socialiste, le PRG et… le Front National ». « L’UMP et un élu PS se sont abstenus. »

Soulignant toutefois que «l’initiative de la Région Rhône-Alpes ne saurait s’apparenter à un soutien aux extrémismes quels qu’ils soient mais à un soutien à la société civile de Gaza et au respect du droit international», le document n’en demande pas moins, entre autres, que «le gouvernement français facilite cette action et agisse pour la levée du blocus de Gaza».

Cet article indique encore que « le Front National s’est promptement engouffré dans cette douteuse solidarité avec les Palestiniens, qui fait écho au soutien qu’il avait apporté à Saddam Hussein. » Sur le même ton larmoyant l’auteur tente cependant de rassurer ses amis : « Heureusement, le vœu adopté par la région Rhône-Alpes a toutefois suscité un tollé dans les hautes sphères du PS »…même si Strauss-Kahn est resté étrangement silencieux sur le sujet !

« Localement, les élus socialistes se justifient en expliquant qu’il existait de toute façon une majorité pour le voter. Étrange argument, qui convaincra sans doute difficilement Martine Aubry, et encore moins Richard Prasquier, le président du CRIF, qui a d’ores et déjà été saisi de cette alliance Verts-Roses-Rouges-Bruns » (sic).

Rappelons que le FN, notamment par la voix de Marine Le Pen, avait condamné l’attaque de la flottille humanitaire turque au large de Gaza par les commandos israéliens en mai 2010. Et que loin des mauvais fantasmes véhiculés par certains, la position du Front National au sujet du conflit israélo-palestinien ne souffre d’aucune ambiguïté : l’affirmation du droit du peuple palestinien, comme du peuple israélien à un Etat, à vivre en paix au sein de frontières sûres et reconnues. Ce qui est certes beaucoup plus facile à dire qu’à transposer concrètement pour les parties concernées.

Source: http://www.gollnisch.com/

06/11/2010

Pourquoi la criminalité gratuite vient elle toujours de la même ethnie?

Eh allez! Ca va renforcer le racisme! Et les assocs bobos-gauchos vont s’en donner à coeur joie… C’est tout de même pas de notre faute si ce fou est d’origine maghrébine, non? Ce n’est d’ailleurs pas de notre faute si la pluspart des actes criminels ont des auteurs d’origine maghrébine… Si quelqu’un arrive à me prouver le contraire… Dans le cas qui nous intéresse, le mec il a DES avocats. Oui oui, DES avocats; et ils vont faire appel. Dingue!

FDF

Abdelkader Gridda a été condamné par la cour d’assises du Haut-Rhin pour avoir tué un homme et blessé 15 personnes en fonçant délibérément en voiture dans la foule lors d’une fête de village en Alsace le 30 juin 2007.

Pour les jurés, l’intention de tuer du chauffard ne fait aucun doute. Abdelkader Gridda a été condamné jeudi à 20 ans de réclusion criminelle, dont 13 de sûreté, par la cour d’assises du Haut-Rhin pour avoir tué un homme et blessé 15 autres personnes en fonçant délibérément en voiture, il y a trois ans dans la foule lors d’une fête de village en Alsace.

La cour a reconnu coupable le jeune homme, âgé de 22 ans au moment des faits, de «meurtre» et «tentative de meurtre». Elle n’a pas retenu la demande émise par la défense de requalifier les faits en violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Elle est même allée au-delà des réquisitions de l’avocat général, qui avait réclamé entre 16 à 18 ans de réclusion.

Le samedi 30 juin 2007, vers les trois heures du matin, Abdelkader Gridda, furieux selon l’accusation d’avoir été expulsé à plusieurs reprises de la fête «Humpafascht» de Berrwiller, commune de 1.000 habitants, avait foncé, ivre et sous l’emprise de cannabis, dans la foule. Il avait frappé de plein fouet plusieurs personnes avant de s’enfuir. Une patrouille de gendarmerie l’avait alors pris en chasse avant de rapidement l’interpeller.

«Je n’ai jamais eu l’intention de tuer qui que ce soit»

Jeudi, les jurés ont refusé de prendre en compte la défense du jeune homme, qui plaidait l’accident. Selon elle, c’est un projectile qui serait à l’origine du drame. Pris de panique, le jeune conducteur aurait alors accéléré et se serait recroquevillé derrière son volant, sans se rendre compte qu’il percutait des piétons dans sa course folle. Avant que la cour ne se retire pour délibérer, Abdelkader Gridda a tenu à prendre la parole : «Je sais que j’ai fait du mal. Mais je n’ai jamais eu l’intention de tuer qui que ce soit. Je demande pardon à tous ceux à qui j’ai fait du tort ainsi qu’à leurs familles.»

L’avocat général avait consacré une grande partie de sa plaidoirie jeudi matin à réfuter cette théorie. «Il a percuté deux groupes de personnes. Un premier groupe, de six personnes, les plus gravement blessées. On aurait pu penser que cela suffisait. Mais il en percute trois encore, vingt-cinq ou trente mètres plus loin», avait rapporté Pascal Schultz. La vitesse du véhicule de Abdelkader Gridda au moment où il percute la foule «caractérise la volonté de tuer», avait-il estimé. «Il passe la première, la seconde, arrive à 50, 60 km/h droit sur les personnes qui se trouvent sur la chaussée, à aucun moment il ne freine».

Le verdict a été accueilli par des applaudissements des parties civiles alors que les proches du condamné se sont effondrés en larmes. Les avocats d’Abdelkadder Gridda ont fait part de leur intention de faire appel.

Source: http://tinyurl.com/2fjoxur