Francaisdefrance's Blog

09/11/2011

Enseignement de langue arabe et culture d’origine pendant les heures de cours !!!

Dans un sens, c’est normal. « ILS » n’arrivent pas à s’intégrer (ils ne veulent pas s’intégrer…). « ILS » ne savent pas parler et encore moins écrire le français, donc… En outre notre système éducatif en souffre. Nos propres enfants en souffrent. Les enseignants en souffrent.

Mais ce qui l’est moins, c’est que nos hautes instances veulent que l’on s’adapte à eux; et non le contraire, comme le veut la logique et une certaine notoriété de NOTRE République. On passe encore pour de beaux benêts…

FDF

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Que veulent-ils, tous ces gens-là ? Que la France disparaisse, langue et biens. Et elle disparaîtra sous les coups des nouveaux arrivants qu’on aura encouragés à la mépriser et à la détester.

Nos élites sont peut-être cyniquement masochistes, pas les Français…

Source: http://christinetasin.over-blog.fr/

11/12/2010

Encore deux disparitions « inquiétantes » à Nantes… Appel à témoins.

Bizarre…

Ca me rappelle étrangement l’affaire récente de ce jeune étudiant de 16 ans disparu et retrouvé tabassé et égorgé à Belfort, mains liées dans le dos… Pas vous? Souhaitons que l’issue de ces deux disparitions ne soient pas identique.

FDF

Deux jeunes hommes ont disparu vendredi et samedi dernier, à 24 heures d’intervalle, en sortant de la même boîte de nuit. Des recherches sont en cours.

Le parquet de Nantes préfère ne parler que d’une «troublante coïncidence» pour l’instant. Le jeudi 2 décembre, Rémy Calmejane, un étudiant de 19 ans en Sciences et techniques des activités physiques et sportives (Staps), se rend avec des amis au Calysto, une boîte de nuit située près des bords de Loire, à Nantes. Vers 4 heures du matin, fatigué, il quitte les lieux. Ses parents signalent sa disparition le lendemain matin. Le vendredi 3 décembre au soir, un autre étudiant, Grégoire Rigault, âgé de 24 ans, se rend au même établissement. Il s’en va là encore vers 4 heures, et le même scénario se reproduit : Grégoire Rigault n’a plus été revu. Dans les deux cas, le parquet a ouvert une enquête pour «disparition inquiétante».

Rémy Calmejane a disparu vendredi 3 décembre à 4 heures.
Rémy Calmejane a disparu vendredi 3 décembre à 4 heures.

Des nombreux moyens ont été utilisés pour tenter de retrouver la trace des deux jeunes gens. Une portion de la Loire a été inspectée par des plongeurs et survolée en hélicoptère. Un chien de la gendarmerie a suivi la trace de Rémy Calmejane jusqu’à la gare maritime de la ville, sans qu’il soit établi si le jeune homme était passé par là pour venir ou repartir, rapporte Ouest-France.

Mauvaise rencontre ou chute mortelle ?

Le procureur de la République de Nantes Xavier Ronsin a déclaré jeudi soir que «les recherches menées [dans la journée] par les pompiers et les gendarmes avec des plongeurs, ainsi que des chiens, n’ont rien donné». Elles doivent se poursuivre ce vendredi, ainsi que les auditions. Pour l’instant, aucun élément ne permet d’exclure ou de privilégier la piste criminelle ou accidentelle, a précisé le magistrat. Interrogé sur un possible lien entre les jeunes hommes, il a précisé qu’»il n’a pas été établi procéduralement que les deux disparus se connaissaient».

Grégoire Rigault n'a plus été revue depuis le 4 décembre, à 4 heures.
Grégoire Rigault n’a plus été revue depuis le 4 décembre, à 4 heures. Crédits photo : HO/AFP

Pierre Calmejane, le père de Rémy, assure pour sa part que les deux jeunes ne se connaissaient pas. Il soutient aussi que son fils «n’est pas tombé à l’eau tout seul» et qu’il a dû faire une mauvaise rencontre. «C’est un étudiant bon vivant, qui n’a pas de problème de fugue ou de tendance suicidaire», a-t-il expliqué. «Il avait bu, c’est clair, mais selon ses copains, il ne titubait pas, il pouvait marcher». Depuis vendredi, son portable est sur messagerie et sa carte bleue muette.

De son côté, Grégoire Rigault, qui étudiait pour devenir expert-comptable, devait passer son permis de conduire pour la deuxième fois lundi mais il ne s’est jamais présenté à l’épreuve. «Quoi qu’il arrive, il n’aurait jamais fait ça», estime un proche cité par Le Parisien. Un appel à témoin a été lancé par la police judiciaire de Nantes ( 02 53 46 70 00).

Source: http://www.lefigaro.fr/

03/12/2010

Pierre, 16 ans, retrouvé mort, les mains liées dans le dos: la famille « appelle à l’apaisement »…

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Dernière minute entendue à 19h00 aux infos: Pierre a été égorgé !!! CQFD… Pauvre gosse. Fumiers de racailles!

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Cette sordide affaire me laisse perplexe… En visitant le site d’un quotidien local, on peut lire que la famille de ce jeune homme en appelle au calme. C’est tout de même bizarre. Ce genre de réaction est habituellement celle de la famille d’un jeune « issu de l’immigration » de banlieue « tombé » en fuyant les forces de l’ordre; dans quel cas, « on » ne manque pas de faire semblant de tout mettre en oeuvre pour éviter les émeutes habituelles qui s’ensuivent. Les cas sont nombreux… Et la stigmatisation bat son plein. Dans ce cas de figure, mieux vaut abandonner une éventuelle affaire de drogue. De la barbarie gratuite serait plus adaptée; mais ça n’engage que moi.

Mais là, ce qu’on ne vous dit pas, c’est que Pierre était difficilement identifiable vu l’acharnement avec lequel on l’a frappé au visage. Ces « méthodes » sont caractéristiques d’une certaine délinquance ultra violente et raciste anti-blancs très présente du coté de Belfort…

Si la famille « en appelle au calme », c’est que de larges soupçons pèsent sur le ou les agresseurs. Et à mon avis, la tendance à calmer les esprits est en train de s’inverser… Il y en a, du coté de Belfort, qui doivent raser les murs. Et si la peur était (enfin) en train de changer de camp?

FDF

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Les amis de Pierre ont créé une page Facebook en son hommage, d'où provient cette photographie.
Les amis de Pierre ont créé une page Facebook en son hommage, d’où provient cette photographie.

Ce lycéen de Belfort avait disparu depuis samedi. La PJ enquête sur ce mystérieux meurtre.

Les photos de lui, diffusées sur Facebook, laissent l’image d’un ado rêveur, teint rose et cheveux en bataille. Pierre N., 16 ans, issu d’une famille «sans histoire», a été retrouvé mort, mercredi, les mains liées dans le dos, le corps tuméfié, à proximité d’une salle de concert installée dans les fortifications de Belfort. Un passant avait d’abord trouvé son sac, avant qu’une battue soit organisée par la police de la ville. Le jeune homme habitait non loin de Montbéliard (Doubs), à Dampierre-les-Bois, mais était scolarisé en première au lycée Condorcet, grand établissement connu de tous les Belfortains. Pierre n’avait pas réapparu depuis samedi dernier. Une enquête pour «disparition inquiétante» avait été ouverte par le parquet.

La piste criminelle ne fait malheureusement aucun doute dans cette affaire qui suscite une vive émotion dans la région. Très vite, des rumeurs ont circulé sur un possible meurtre en lien avec de mauvaises fréquentations dans le milieu des petits dealers du secteur. Mais, pour l’heure, les enquêteurs de la PJ de Dijon, saisis dans le cadre d’une instruction ouverte par un juge de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Montbéliard, se gardent bien de confirmer cette hypothèse.

Cellule d’aide psychologique

Le procureur local a, pour sa part, assuré que la victime était «un jeune sans histoire, issu d’une famille sans histoire». La direction du lycée Condorcet le décrit, elle aussi, comme «un garçon très apprécié, autant par les professeurs que par les élèves». Il était «exemplaire, discret et intelligent», a même souligné Gabriel Lienhard, le proviseur de l’établissement, où une cellule d’aide psychologique a été mise en place à destination des élèves, mais aussi des professeurs, très choqués par cette disparition.

Les amis de la victime se sont rendus ce jeudi aux abords du lieu où son corps a été retrouvé, pour lui rendre hommage. Le maire de Belfort et le préfet les avaient préalablement rencontrés en signe de soutien. Aucun des ados qui disent avoir côtoyé Pierre au lycée ne reprend à son compte la piste du règlement de comptes sur fond de drogue avancé par certains journaux locaux.

Source: http://www.lefigaro.fr

Une autopsie devait être réalisée ce jeudi pour déterminer si l’adolescent est mort de froid ou à la suite des coups qu’il a reçus. L’affaire est suivie de près au ministère de l’Intérieur.

Etrange disparition…

On a besoin de vous. Ne sommes nous pas le pays de la solidarité?

FDF

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ATTENTION !
252 apiculteurs ont déjà été signalés par erreur.
Merci d’être plus attentifs…

17/09/2010

Muhamad Rachid, 4 ans, égorgé. Un drame familial?

17 sept 2010

Ca dépasse l’entendement. Je suis horrifié!

FDF

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Un garçonnet égorgé en Belgique !

Le corps d’un enfant de quatre ans et demi, égorgé, a été découvert mercredi à proximité de son domicile à Braine-l’Alleud. La Justice privilégie la thèse d’un drame familial alors que la mère de l’enfant a été privée de liberté.

Le corps du petit Muhamad Rachid a été découvert par des joggeuses en début de soirée dans un quartier d’habitations sociales de cette petite ville située à une vingtaine de kilomètres au sud de Bruxelles où l’enfant résidait avec sa mère et sa soeur de 16 ans, a indiqué le parquet de Nivelles, chargé de l’enquête.

« On a des éléments troublants, dans la mesure où le corps a été retrouvé très près du domicile où il vivait, dans un lieu très fréquenté, ce qui laisse supposer que le corps n’a pas été déposé longtemps avant », a déclaré le procureur de Nivelles, Jean-Claude Elslander. Il semble que l’enfant n’a pas été tué sur place car « on ne trouve aucune trace de lutte ou de sang », a-t-il ajouté.

« Tout ça, le fait que les explications qui sont données sont à vérifier, c’est le moins que l’on puisse faire, nous fait dire que, vraisemblablement, la solution se trouve dans la sphère familiale », a encore déclaré M. Elslander. « Rien ne permet de mettre en cause des tiers », a-t-il ajouté.

Mère en détention
La mère de l’enfant, d’origine syrienne selon l’agence Belga, a été entendue dans la matinée. Placée sous tranquillisants, elle devait à nouveau être interrogée dans l’après-midi, assistée d’un interprète, et est à ce stade privée de liberté, a pour sa part indiqué la télévision RTL-TVI.

Le père de l’enfant a également été entendu, mais il ne serait pas en cause, selon les premiers éléments de l’enquête, a indiqué l’agence Belga. Une autopsie du corps de l’enfant doit être réalisée pour déterminer notamment le moment de son décès.

Le garçonnet n’était enfin pas allé à l’école mercredi, selon le parquet, qui a également évoqué un contexte de séparation difficile entre la mère et le père de l’enfant.

Sa disparition avait été signalée à la police par sa soeur mercredi vers 20h10. Celle-ci a expliqué être rentrée vers 19H30 (17H30 GMT) et que sa mère lui avait alors dit que l’enfant avait disparu quand il jouait dans le jardin.

Source: http://tinyurl.com/244yn2q