Francaisdefrance's Blog

03/03/2012

La Rochelle: reprendre une vie normale, sans la racaille…

Je parie que les « terroristes » en question sont encore des « chances pour la France »… A l’âge de la retraite, en plus, on aimerait que ça se passe paisiblement, la vie.

Ben non; et toujours à cause de certains individus, toujours les mêmes.

On ne doit plus vivre dans la peur, en France. Et la solution est facile…

Bon courage à ce couple…

FDF

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La Rochelle : des retraités vivent terrorisés par une bande

Monique et Jean-Pierre Gaultier pensaient se simplifier la vie en emménageant rue Robespierre. Ils vivent dans la peur.

Au 46, rue Robespierre, une tête surgit furtivement de derrière un voilage blanc. Quelques instants plus tard, Monique Gaultier ouvre la porte de son appartement en rez-de-chaussée, jetant furtivement un œil de droite et de gauche. Elle referme aussitôt derrière son visiteur. « On ne sait jamais », lance-t-elle l’air inquiet.

Cette retraitée de 63 ans et son mari, Jean-Pierre, 67 ans, vivent dans ce logement social de trois pièces depuis six mois. « Je ne dors plus depuis qu’on est arrivés, avoue Monique. Un de mes voisins, un jeune d’une petite vingtaine d’année je crois, nous menace de mort. » Aujourd’hui, le couple est à bout.

Tout a commencé à leur arrivée. Après avoir vécu plusieurs années dans un logement social de la rue Alphonse-Baudin, le couple doit déménager. Monique a des problèmes de santé et ne peut plus grimper les quatre étages. Habitat 17, bailleur social, leur trouve alors un F3 en rez-de-chaussée, rue Robespierre. Ils sont ravis, mais déchantent bien vite.

Menaces, détériorations

Dès les premiers soirs, des jeunes, dont leur voisin, occupent le hall d’entrée toute la nuit. Jean-Pierre se décide, au bout de quelques jours, à ouvrir sa porte contre laquelle des coups sont donnés à intervalle régulier. « Je leur ai demandé de rentrer chez eux ou de faire moins de bruit, se rappelle-t-il. Mais ils m’ont répondu : « Toi, le vieux, tu nous fais chier. Retourne te coucher et si t’es pas content, vas en maison de retraite ». » Monique regarde son mari : « Si on avait l’argent pour la maison de retraite, on ne serait pas dans un logement social. »

Puis ce furent les menaces. Les « On va te faire la peau, la vieille » se répètent jour et nuit, assortis de noms d’oiseaux. « Un soir, alors qu’une amie venue dîner chez nous a voulu repartir, les jeunes l’en ont empêchée. Ils sont restés dans le hall toute la nuit et bloquaient la sortie. Elle a dû dormir chez nous. »

La peur tenaille désormais Monique et Jean-Pierre. « Parfois, quand je reviens des courses, ils sont devant l’immeuble, décrit Monique. Ils m’encerclent, rient, se moquent de moi. J’ai peur qu’ils me frappent. » Et puis, ajoute la retraitée en voyant son époux entouré de ses deux petits chiens, « ce n’est pas Jean-Pierre qui pourra nous défendre contre ces jeunes, grands et forts. »

Mais cela ne s’arrête pas là. La bande de jeunes, une quinzaine d’après Chantal Murat, directrice de clientèle pour Habitat 17, dégradent et salissent les locaux. « Ils crachent par terre, lancent leurs bouteilles d’alcool vides, fument dans le hall, énumère Monique. Un jour, ils ont même jeté des excréments sur la vitre de notre appartement. » La voix de la sexagénaire se brise. Elle baisse les yeux pour masquer ses larmes. Jean-Pierre reste debout à ses côtés. Impuissant.

Du côté des autres locataires, la loi du silence semble s’être imposée. « Sans doute par égard pour la mère du jeune homme, avance Chantal Murat. Cela fait plus de dix ans qu’elle vit ici. Mais il dérange tout le monde. » La directrice de clientèle d’Habitat 17 va même plus loin. « Ce groupe de jeunes, qui se déplace d’immeuble en immeuble, pose un vrai problème d’ordre public, affirme-t-elle. Il est intolérable que des gens vivent dans cette situation, ils ont droit, comme la loi l’exige, à la jouissance paisible de leur habitat. »

Chantal Murat avoue que le « sentiment d’impuissance face à ce type de situation est terrible », aussi bien pour les habitants que pour le bailleur. « La médiation a échoué, Monique et Jean-Pierre Gaultier ont porté plainte et la police a convoqué le jeune homme, explique-t-elle. Mais, jusqu’à présent, je n’ai pas l’impression que les rondes de police aient eu un impact sur ces jeunes gens. »

Du côté de la police nationale, on estime qu’il n’y a pas de recrudescence de la délinquance dans le quartier de Villeneuve-les-Salines mais que « les rondes ont été renforcées ». Et, dans la mesure où une plainte a été déposée, « la police va faire son travail ».

Chantal Murat estime que seules quatre solutions peuvent conduire à la résolution du conflit. « Nous pouvons déménager les Gaultier. Nous allons leur proposer deux F3, l’un sur Villeneuve-les-Salines, l’autre à Aytré. Ce sera la fin de la peur pour eux, mais cela ne résoudra en rien le problème du 46, rue Robespierre. »

Pour la directrice clientèle d’Habitat 17, la meilleure solution serait un éclatement du groupe, « ce qui paraît visiblement impossible ». « Nous voyons avec les associations de quartier si un lieu de rassemblement peut leur être proposé, explique-t-elle. Ainsi qu’un suivi pour les amener vers la réinsertion. » Et si rien n’aboutit, ce sera la « solution extrême » : l’expropriation du jeune homme et de sa mère, par la constitution d’un dossier comprenant les dépôts de plainte des voisins, des éléments de preuves, etc. « Ce serait très long et douloureux. Nous aimerions ne pas en arriver là, insiste Chantal Murat. J’ai rencontré la mère du jeune homme qui prend peu à peu conscience du comportement de son fils, mais elle n’a aucun ascendant sur lui. »

Monique et Jean-Pierre attendent beaucoup d’Habitat 17. Ils ont hâte de reprendre une vie normale, « pour recommencer à voir famille et amis ».

Source: http://www.sudouest.fr/

04/02/2012

Pour vous faire peur…

On m’a transmis cette coupure de presse. Ca fait peur… Et c’est fait pour.

Une nouvelle forme d’attaque à la liberté d’expression: on fait peur aux gens afin qu’ils la bouclent.

Vous lisez ce qui suit et c’est la panique à bord. On arrête tout et on rentre dans le rang. Et la police de la pensée est contente. Toujours ça de moins à surveiller.

A propos; vous êtes vous demandé le nombre « d’espions » nécessaires pour surveiller tout ce petit grand monde qui nous informe de la vérité ? Le Pôle Emploi peut fermer.

Ahhhhhhhhhhhhhhh, propagande, quand tu nous tient… Il faut arrêter de nous prendre pour des benêts. Tous les régimes totalitaires et despotiques ont employé ce genre de méthode.

FDF

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L’info censée nous faire peur:

Merci à DB…

10/12/2011

« ILS » ont peur…

Et « ILS » ont raison d’avoir peur… A force de trop tirer sur la ficelle.

Témoin cet article paru chez Oumma.com qui reflète bien cette peur déguisée en élucubrations sur-phrasées dignes d’animaux traqués. Jusqu’à mélanger République et islam; exemple d’une incompatibilité plus que logique.

Et pourtant, la résistance ne traque personne; elle tente de faire savoir la réalité. Et ça, « ILS » n’aiment pas…

FDF

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De l’islamophobie à l’islamoparanoïa

LA DÉRÉLICTION DU LANGAGE ISLAMO-RÉPUBLICAIN

Face à la difficulté du repérage clinique de la paranoïa, du fait de sa cohérence logique, le célèbre psychiatre-psychanalyste Jacques Lacan a défini un nouveau critère diagnostique de la psychose : « la présence de troubles du langage » (7). Le néologisme en est le prototype : le délirant a besoin de créer de nouveaux mots pour penser et communiquer la néo-réalité imaginaire qu’il est le seul à vivre. Mais dans un délire collectif, les sujets possèdent déjà une langue commune, qu’ils réutilisent en la subvertissant de sa signification originelle. Et l’islamoparanoïa est précisément cela : un révisionnisme sémantique systématique des signifiants fondateurs de la République et de l’islam.

La « laïcité » a subi une terrible inversion sémantique qui en fait désormais le plus perverti des concepts républicains. L’article premier de la loi de 1905, dite de séparation des Eglises et de l’Etat, l’avait défini comme une obligation de l’Etat, requis d’ « assurer la liberté de conscience » et « le libre exercice des cultes », lesquelles supposent la liberté d’expression religieuse des citoyens, y compris par le port de tenues et signes religieux dans l’espace public. Cette obligation s’est inversée en quelques années, la laïcité devenant un devoir incombant aux seuls citoyens, sommés d’être « neutres », désubjectivés, d’exercer leur liberté religieuse dans le seul domaine où elle n’a plus de sens, parce qu’elle va de soi : la « sphère privée ». Dérive totalitaire transformant les citoyens en marionnettes désubjectivées, malléables à merci.

Le « voile » islamique (hijab) a subi une inversion sémantique similaire. Le drame de la loi anti-voile de 2004 n’est pas tant d’avoir interdit le port d’une tenue traditionnelle que d’avoir nié que cette tenue en soit une en en faisant un « signe religieux ostensible ». La signification du voile s’en est, depuis, trouvée inversée : il ne sert plus à « voiler, cacher » (hajaba) une partie du corps – avec ce que tout vêtement signifie d’un rapport au corps et à la sexualité dont chacun est libre en démocratie, y compris les adolescentes – mais, avec l’adjectif quasi néologique « ostensible », à « montrer, exhiber » son appartenance religieuse !

Ce révisionnisme a ouvert la porte à nombre de dérives. Au début de l’année 2010, au lycée Auguste Blanqui de Saint-Ouen, des lycéennes se sont retrouvées exclues de cours, sans grand émoi dans l’opinion publique, au seul motif qu’elles étaient habillées, ont expliqué les responsables pédagogiques, de « longues robes noires » : décider que devient « signe religieux ostensible » tout vêtement en usage dans tel groupe religieux, c’est ce que, dans le jargon psychiatrique, on nomme précisément un « trouble du langage ».

On peut multiplier à l’envie le répertoire de cette déréliction du langage dans le discours sur l’islam. La « chari’a », nom de la Loi en islam, correspond, dans l’imaginaire collectif, à une Anti-Loi, une Loi antinomique, autorisant la décharge sans limites de toutes les pulsions sexuelles et agressives de l’homme (polygamie, répudiation et lapidation des femmes, main coupée du voleur, meurtre de l’infidèle). On s’obstine à traduire « jihâd » par « guerre sainte », quand bien même les islamologues s’épuisent à rappeler qu’il signifie littéralement « effort » vers Dieu, que l’archétype en est, conformément à un célèbre hadîth, le « Grand Jihâd », la lutte spirituelle contre l’égo passionnel.

Quant à la religion musulmane, le psychanalyste Fethi Benslama constate même qu’il n’existe plus, depuis la fin des années 90, de signifiant pour la désigner : le terme « islamisme », qui depuis le XVIIe siècle avait cette fonction, a été confisqué au profit de la nomination des mouvements politiques activistes et extrémistesii. Ne subsiste, partant, qu’un terme fourre-tout, « islam », lieu de tous les malentendus, désignant, selon le contexte, le dogme, les peuples, la civilisation, voire les dérives extrémistes (8)de cette foi, et qui, in fine, est devenu le nom d’un frisson. L’ensemble de ces dérives sémantiques explique qu’il n’est plus possible de parler sereinement de l’islam dans l’espace social, le langage perverti nous plongeant d’emblée dans le malentendu.

L’« ISLAMOPARANOÏA » : LA CRISE SYMBOLIQUE DE L’OCCIDENT

Ce négationnisme linguistique nous indique que nous sommes bien dans le processus d’exclusion propre aux psychoses, celui que Lacan, par opposition au « refoulement » névrotique, a théorisé, dans une thèse devenue célèbre, comme « forclusion du Nom-du-Père » (9). Le psychanalyste indique par cette expression que le sujet délirant se met à décompenser au moment où il rencontre dans sa vie des signifiants liés au registre sémantique de la paternité en tant qu’il est le registre de la Loi symbolique.

Ces signifiants, inassimilables pour son psychisme, en sont alors « forclos », exclus. Or l’islamoparanoïa se réactive précisément chaque fois qu’un fait d’actualité amène la conscience « occidentale » à rencontrer en l’islam cette dimension patriarcale de la Loi : en témoignent la récurrente butée sur la question de la chari’a, mais aussi sur les interdits sexuels (le voile), les obligations rituelles (prière du vendredi, construction de mosquées), les interdits alimentaires (le halal, l’alcool).

Les élites européennes sont ainsi devenues psychiquement incapables de concevoir que des femmes puissent décider librement de fixer des limites à leur propre sexualité en se voilant, par quoi elles signifient aux hommes que s’ils veulent avoir quelque commerce sexuel avec elles, ils devront en passer par la Loi symbolique, à savoir le mariage. Dès lors, intellectuels, politiciens et médias n’ont d’autre possibilité que de délirer en voyant dans le voile un symbole de soumission, subi ou inconscient, ou un signe prosélyte.

Les mêmes ne peuvent non plus admettre que des hommes soient à ce point animés de spiritualité qu’ils préfèrent se prosterner, faute de place dans les mosquées, dans des rues sordides, plutôt que de renoncer à l’obligation rituelle de la prière du vendredi. C’est, énoncent-ils doctement, un geste d’affirmation identitaire, alors qu’au contraire, pour la majorité des fidèles, prier dans ces conditions constitue une humiliation narcissique.

Nous vivons dans des sociétés post-modernes, marquées par ce que le psychiatre-psychanalyste Charles Melman nomme le « libéralisme psychique »(10), où plus aucune limite ne doit venir contrarier le désir, autrement dit l’assouvissement des pulsions sexuelles, scopiques (désir de voir et d’être vu) et alimentaires. Partant, une religion, qui tel l’islam, continue d’articuler ces pulsions aux interdits d’une loi morale est devenue pour beaucoup incompréhensible, inassimilable, forclose. Et c’est pourquoi son nom même – tout comme le nom de son rejet – est désormais forclos, aboli, ce qui conduit Fethi Benslama à l’écrire désormais en le barrant : islamisme (11). Il y a donc bien un « choc des civilisations » : non pas, cependant, entre l’Islam et l’Occident, mais au sein de la civilisation occidentale, qui a mis en œuvre, assez récemment, une « nouvelle économie psychique » (12), liée à la fin des idéologies, au désenchantement du monde et à la déchristianisation.

Dans cette « société du spectacle », pour reprendre le titre du célèbre ouvrage de Guy Debord, où l’idolâtrie de l’image et de l’émotion s’est substituée au Verbe des religions monothéistes – en tant que Logos grec, simultanément « parole » et « raison » -, une religion qui demeure symboliquement structurée par l’interdit de la représentation et le primat de la raison est devenue anachronique.

L’islamoparanoïa n’est peut-être alors qu’un nom de la « psychose sociale », cette « actualité paranoïaque » (13), qui en tant que nouveau « malaise dans la civilisation » a pris la place de la névrose sociale de jadis. Au pessimisme de Freud voyant l’Homme réduit à l’insatisfaction du fait de la loi morale et religieuse succède désormais, à l’inverse, la promesse d’un bonheur absolu faite par l’économie et les techno-sciences, où la jouissance sans limites a remplacé le désir en tant qu’articulé à la Loi.

L’ISLAMOPARANOÏA : LA CRISE NARCISSIQUE DE L’EUROPE

Pourtant, ce libéralisme psychique, qui est le fondement du libéralisme économique, concerne l’ensemble du « monde occidental » et ne suffit pas à expliquer la rupture que constitue l’islamoparanoïa européenne avec l’islamophobie américaine. Certes, la permanence d’une forme sentimentale de la religiosité au pays de l’Oncle Sam y maintient un certain ordonnancement pseudo-symbolique, pseudo-patriarcal, du lien social, et rend la présence de l’islam moins anachronique. Mais si cette crise du symbolisme est plus marquée dans la vieille Europe, c’est qu’elle se traduit, s’historicise, par une crise narcissique identitaire.

Pour le comprendre, il importe de repérer la nature de l’angoisse inconsciente sous-jacente à cette islamoparanoïa. Un sondage IFOP pour Le Monde, paru en décembre 2010, nous la dévoile sans ambiguïté : l’islam est, pour plus de 40% des Français et des Allemands, « plutôt une menace pour l’identité de notre pays ». Une telle angoisse identitaire est propre au psychotique. Le névrosé ne se sent menacé dans son identité, même face au serpent ou à la foule qui l’angoisse. Le psychotique en revanche est taraudé par une angoisse mortifère, dite « de destruction » ou « de morcellement ». Là où chacun voit dans le miroir une image unifiée de soi-même, lui n’y voit qu’une image brisée, un corps morcelé, il a sans cesse peur de perdre son identité. Il a échoué à l’épreuve de ce que Lacan nommait le « stade du miroir », par laquelle chacun, normalement, se dote de la dose nécessaire et suffisante de narcissisme dont il a besoin pour vivre.

Or c’est bien une telle crise narcissique, identitaire, qui s’exprime à travers l’islamoparanoïa européenne depuis le début des années 2000 et qui se cristallise autour du « débat sur l’identité nationale ». L’idée s’est répandue partout que l’islam menace l’identité nationale, risque d’éradiquer la démocratie, les valeurs républicaines, la laïcité, l’égalité des sexes. L’anéantissement de soi par invasion de l’Autre est devenu un thème récurrent : Marine le Pen assimile les prières de rue à « l’occupation du territoire », Claude Guéant juge que « l’accroissement du nombre de fidèles (musulmans) et un certain nombre de comportements posent problème », l’ « islamisation de l’Europe » est devenue une certitude. Cette angoisse identitaire est nouvelle. Elle n’existait pas dans le racisme des années 70 ou 80 où l’immigré musulman, avec la fin du plein emploi, était perçu comme un simple rival économique, venant « manger le pain des français ». Nous sommes ainsi passés de l’islamophobie économique à l’islamoparanoïa identitaire.

Le célèbre psychanalyste anglais Winnicott rassurait ses patients psychotiques en leur disant qu’ils n’avaient à craindre de personne une destruction d’eux-mêmes, puisque leur identité, ils l’avaient déjà perdue, ils étaient déjà morts psychiquement : l’angoisse de morcellement est la « la crainte d’un effondrement qui a déjà été éprouvé » (14). Cette thèse s’accorde parfaitement au constat fait par Raphaël Liogier, Professeur à Sciences Po Aix, Directeur de l’Observatoire du religieux, pour lequel « l’islamophobie » est devenue le « symptôme » d’une « décadence européenne » déjà consommée (15).

Pour le sociologue, les années 2000 marquent un « tournant » où la « crise économique et sociale » de l’Europe des années 80 s’est mutée en une « crise symbolique », narcissique, liée à la globalisation. D’une part, à l’international, l’Europe a vu s’effondrer son autorité morale et politique – en témoigne le conflit irakien – au même titre que son économie, dépassée par l’Inde et la Chine. D’autre part, en interne, l’échec des différents processus d’unification (Euromed, Union Méditerranéenne, Constitution européenne) a créé des angoisses identitaires au sein des nations esseulées : chacune a pris conscience de son insignifiance en tant que nation sur la scène internationale. Et la France plus que tout autre, qui a en outre perdu son prestige intellectuel et culturel d’antan.

La haine du musulman a alors pour fonction de restaurer le narcissisme brisé des nations européennes. Freud avait vu juste, qui définissait le délire comme une « tentative de guérison une reconstruction » (16) . Incapable de s’identifier positivement à une Loi symbolique commune au travers d’un Idéal collectif – religieux, moral, rationnel, juridique ou politique -, les peuples européens n’ont d’autre choix que de se doter d’une identité en négatif qui consiste à nier la Loi patriarcale de l’islam. Prenant la tête de la « croisée », la France cherche alors à retrouver sa position patriarcale de « Patrie des Droits de l’Homme » et des « Lumières », en votant, au nom de ces mêmes fondements symboliques, des lois d’exception contre les musulmans.

LA « MUSLIM PRIDE » : UNE THÉRAPIE SOCIALE CONTRE L’ISLAMOPANOÏA

La renomination que nous proposons du racisme antimusulman par le terme « islamoparanoïa » en lieu et place de l’ « islamophobie » a pour enjeu fondamental de définir une politique militante spécifique. Un diagnostic différentiel n’a de sens qu’à déboucher sur une thérapeutique différenciée. La « Muslim Pride », telle que l’a théorisée Raphaël Liogier dans son appel programmatique lancé en avril 2011 (17), nous semble en mesure d’incarner cette thérapie sociale qu’il est urgent et nécessaire de mettre en œuvre pour lutter contre l’islamoparanoïa.

La voie de la guérison suppose que la France et l’Europe retrouvent confiance en leurs valeurs citoyennes, leurs lois et leurs institutions. Mais dans ce climat passionnel, irrationnel, où prime le déni de la réalité, les solutions qui passent par la voie de la raison sont d’emblée vouées à l’échec. C’est qu’on ne soigne pas le délirant en tentant de lui démontrer le caractère déraisonnable de son propos et de ses conduites. Dès lors, qu’il s’agisse de la négociation diplomatique avec l’Etat français, ou du combat juridique pour permettre aux jeunes filles et femmes voilées discriminées à l’école ou au travail de recouvrer leur droit, ou encore de la participation à des débats télévisés, où quoi qu’il dise, le musulman n’est là qu’à titre de bouc émissaire d’un

spectacle de mise à mort, toutes ces stratégies défensives, si elles sont nécessaires, ne peuvent suffire à changer la donne.Il est par ailleurs indifférent au paranoïaque que son persécuteur se taise ou réagisse. S’il se tait, c’est la « preuve » qu’il « complote » en secret contre la République ! S’il se montre citoyen, il est accusé de tenir un « double discours » ! S’il manifeste son mécontentement, il est taxé de « communautariste » !

Seul un grand mouvement social fondé sur l’émotion sera à même de fixer des limites symboliques au déchainement des passions. La « Muslim Pride » propose ainsi de se jouer avec humour des préjugés sur l’islam et de substituer au « musulman métaphysique » les musulmans réels dans leur diversité sociale, ethnique, culturelle et cultuelle. Cette Muslim Pride sera d’abord culturelle, artistique, avant que d’être politique. Puisque la raison est impuissante à renouer le contact avec la réalité déniée de l’islam, peut-être l’émotion artistique y parviendra-t-elle, par l’entremise de la musique, d’expositions, de films, de pièces de théâtre, etc.

L’enjeu est de taille : il s’agit pour les citoyens, quelles que soient leurs confessions ou absence de confessions et leurs orientation politiques, d’oser, à travers la défense de la pratique de l’islam, réhabiliter une certaine idée de la République et de l’identité européenne, celle où le lien social repose non sur l’exclusion – communautariste – du dissemblable, mais sur la reconnaissance de l’altérité, qu’elle soit sexuelle, religieuse, philosophique ou politique. La si souvent décriée fraternité islamique pourra t’elle s’unir à la si souvent oubliée fraternité républicaine ? Une « Muslim Pride » pour faire de « Liberté, égalité, fraternité » l’isthme qui conjoint l’Islam et la République ? Tout dépendra de l’aptitude des musulmans et de leurs grandes organisations à sortir de leur dépression collective, traumatique et réactionnelle à l’islamoparanoïa, où la honte d’être soi, l’aboulie de la volonté, l’apathie et l’inertie, les laissent depuis une dizaine d’années totalement impassibles face à la persécution institutionnalisée.

Source: Oumma.com

26/11/2011

On parle de plus en plus de milices privées…

Et ce n’est pas un hasard… Les Français en ont plus que marre de la racaille de tous poils. Depuis le temps que je dis que la France gronde.

La police est débordée et dispose de moyens très limités. La justice est trop laxiste. Les délits de récidive explosent.

Le peuple, fatalement, va faire du ménage lui-même. Mais là, on risque d’en voir les effets…

Sarközy a rangé son kärcher; du moins, il ne l’a jamais sorti. Il ne faudra pas venir pleurer si les écuries d’Augias subissent un nettoyage complet; en désespoir de cause…

FDF

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Les habitants sont exaspérés par le vandalisme récurrent qu’ils subissent. (Archives ML)

« Ça va très mal se terminer », lance ce résident de la tour numéro deux de la Gayonne les yeux rougis par le manque de sommeil.

« Si la police et les responsables locaux ne prennent pas la mesure de notre désespoir nous allons en venir aux mains. Pire encore. J’ai passé la nuit avec une arme dans ma voiture pour la défendre. L’idée d’une milice privée est en train de naître tout autour des tours et nous ne répondrons pas des dégâts. Nous ne sommes plus en sécurité dans nos appartements. Nos véhicules sont menacés et nous acculés. »

Trop de dégâts

En quelques mots, ce riverain, qui tient à son anonymat de peur des représailles, décrit bien l’ambiance qui règne à la Gayonne. Depuis quelques jours une dizaine de véhicules ont été détruits ou abîmés. Les appartements sont la cible de jets de pierres et le hall d’entrée de la tour 2 a fait les frais, mardi soir, de la bêtise de quatre jeunes qui s’en sont dans un premier temps pris à des véhicules puis aux portes d’entrée du hall.

Les assurances n’assurent plus

« Nos assurances ne souhaitent plus nous assurer« , déplore cette mère de famille qui affiche cinq dégâts sur sa voiture depuis le mois d’août. Celle-ci insiste sur le fait que son assurance habitation sera dénoncée par sa compagnie le 1er janvier prochain à moins qu’elle n’accepte une augmentation de sa prime conséquente.

« Je n’ai absolument pas les moyens de payer plus cher. Nous sommes en difficultés et ces jeunes finissent de nous enfoncer. En plus, ma fille refuse de dormir dans sa chambre depuis qu’un incendie a menacé nos fenêtres. »

Il y a 30 ans « Nous étions des privilégiés ! »

« Quand nous nous sommes installés dans ces appartements, il y a des années nous étions des privilégiés, assure Bernard qui va souffler sa 29e année de présence dans la tour. Aujourd’hui rien ne va plus, nous sommes inquiets. Nous vivons dans la crainte des agressions et des vols. Ce n’est pas normal. Nous payons pour un certain nombre de services que l’on n’est pas en mesure de nous assurer. »

La semaine dernière en rentrant sa voiture dans un garage, une résidente s’est faite caillasser par des jeunes depuis la passerelle. Une autre s’est fait arracher son sac à main, devant son gamin, et alors qu’elle déchargeait ses courses.

« Je suis pied-noir et je n’ai jamais connu que ces tours quand je suis arrivée à Béziers. Ces derniers temps, je ne sors plus avec des bijoux de peur de me faire agresser. »

Rondes des policiers

Mardi soir, les policiers sont intervenus sur place. Des rondes vont se multiplier pour rassurer les habitants et éloigner les fauteurs de troubles.

Source: http://www.midilibre.fr/


01/11/2011

Le combat féministe est à mener avec énergie contre les intégrismes religieux; mais pas n’importe lesquels…

Rejoignez-nous dans la lutte contre l’instauration de la charia! Pour l’instant, elle ne touche que certains pays peuplés d’arriérés et gouvernés par des fous d’Allah. Mais elle est aux portes de l’Occident…

FDF

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http://www.dailymotion.com/video/xhbp5g_afghanistan-les-amants-lapides-aout-2010_news

AFGHANISTAN : LES AMANTS LAPIDÉS (Août 2010)

Accusés d’adultère, elle et son amant ont été lapidés par les talibans et une foule de villageois survoltés. Elle avait 22 ans, lui 26.
Elle tente de s’extraire du trou mais ses bourreaux la repoussent impitoyablement. Certains ont même le sourire aux lèvres. Quand la lapidation se termine, un faible sanglot s’échappe encore de la suppliciée.

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Voilà où pourrait nous mener cette idéloloie qu’est la charia, entre autres réjouissances,  si nous la laissons entrer sur nos terres comme « ILS »  veulent le faire   selon leurs « ORDRES DIVINS » MAIS NEANMOINS BARBARES  et arriérés –   rassurez-vous, les rejouissances, il y en au aussi pour vous dans la CHARIA :  LES MAINS COUPEES, LA DECAPITATION  et plein d’autres choses extrêmement sympathiques.

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http://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/la-charia-est-une-abomination-103208

La charia est une abomination !

> Ce ne sont pas des dictateurs qui ont été chassés du pouvoir par une révolution.

> Ce sont en Irak et en Libye des peuples qui ont subi les bombardements….

> Ce sont les peuples qui ont souffert et subi la violence venant de l’impérialisme.

> La peur, la violence et l’intégrisme règnent à Bagdad et à Tripoli, le nouveau pouvoir installé par les Obama et autres Sarkozy va s’inspirer de la charia.

> C’est quoi la charia sinon un régression sociale et une violence codifiée faite aux femmes.

> Chahdort Djavann, avec sa plume acerbe nous rappelle, preuves à l’appui ce que signifie pour les femmes de survivre au pays de la charia !

« La Muette »

de Chahdortt Djavann

ré-édité en juin 2011

éditions J’ai lu

125 pages

4,80 €

Être femme au pays des mollahs…

Le Moyen âge est bien loin partout sauf dans certains pays comme l’Iran des Mollahs où règne la terreur… Malgré la chape de plomb, malgré la peur de la répression, des informations commencent à circuler, comme ce manuscrit envoyé par une journaliste à l’auteure pour qu’elle en fasse bon usage.

L’héroïne, une jeune fille de 15 ans va être pendue, c’est inéluctable, elle le sait.

Il lui faudra la complicité de son jeune gardien pour que son histoire tragique puisse franchir les frontières et être ré-écrite avec force par celle qui continue avec talent à combattre l’intégrisme religieux.

C’est l’histoire de l’amour impossible car jugée adultère entre une femme, la Muette, et un jeune homme… Il n’est pas bon de violer la loi islamique qui veut que l’on soit vouée quand on est femme à devenir l’épouse soumise à un homme que l’on n’a pas choisi.

La muette s’est murée dans le silence qui lui servait de refuge.

Elle bravait avec obstination la bêtise et n’hésitait pas à désobéir aux diktats qui veulent que la femme ne soit qu’un objet qu’on cache aux hommes.

« La joie, la tristesse, la haine, l’amour, la tendresse, la colère, l’indignation, l’espoir et le désespoir s’exprimaient dans son regard, dans chacun des traits de son visage, dans sa façon de se lever et de partir ou alors de rester, d’écouter et de vous caresser d’un seul regard. »

L’une est condamnée et exécutée pendant que l’autre, sa nièce bien aimée attend dans sa prison la pendaison, inéluctable

> Mais qu’a donc fait cette adolescente de 15 ans qui, mariée de force à 13 ans, est emprisonnée à 14 pour être exécutée par ceux ci ont décidé une fois pour toute que la condition de la femme était chargée de larmes, de sang et de peur.

> Cette histoire émouvante ne contient ni artifice, ni description… Il n’y a que des faits qui se suffisent à eux-mêmes pour monter à tous les adeptes du relativisme culturel la face et l’envers de ce pays où un régime archaïque lapide et pend des femmes coupables de ne pas avoir respecté la charia.

L’auteure nous montre et nous démontre que le combat féministe est à mener avec énergie contre les intégrismes religieux ….

Jean-François Chalot

Merci à JC JC…

24/10/2011

Trop, c’est trop! Encore un chauffeur de bus victime de la racaille !

On va finir par les armer, les chauffeurs de bus, les contrôleurs dans les trains! Quand il y a « tentative de meurtre », commme dans ce cas, il faut qu’il y ait « légitime défense »! Sauver sa peau, c’est un réflexe naturel… C’est l’instinct de survie. Surtout dans ce genre de criminalité barbare et gratuite.

Ces types au service du public sont de plus en plus victimes d’agressions de la part de la racaille, quand il n’y laissent pas leur peau… Ca commence à bien faire. L’insécurité gagne encore plus de terrain. Une seule solution, désormais: la riposte. Comme la prévention ne fonctionne pas…

FDF

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« Alors que les socialistes ont choisi leur candidat François Hollande dimanche soir, vingt-quatre heures plus tôt, c’est un chauffeur de la RATP qui a été choisi comme victime par des délinquants masqués, à Asnières. Son bus a été attaqué et incendié aux Courtilles, avant que les malfaiteurs ne s’en prennent à cet agent RATP pour l’asperger d’essence mais, heureusement, sans parvenir à l’enflammer.

Cet évènement intervient après une série d’atteintes à la sécurité de nombreux de nos citoyens à Asnières, notamment après l’agression d’un autre chauffeur de bus, le 2 août 2011, qui s’était fait tabassé par une dizaine de jeunes délinquants, à la gare routière d’Asnières. A la suite de ces deux évènements, les lignes de bus ont été détournées provisoirement de leurs trajectoires habituelles.
C’en est trop !

Les Français en ont assez de vivre dans cette insécurité. Les Asniérois en ont assez d’avoir peur à chaque fois qu’ils sortent de chez eux. Désormais plus aucun quartier d’Asnières n’est épargné, puisque de nombreux citoyens se plaignent d’agressions à répétition, même dans des quartiers réputés calmes. Il faut inverser le camp de la peur. Il faut agir enfin. Qui peut croire aux mensonges du maire d’Asnières, ou de monsieur le président de la République, lorsqu’ils prétendent faire baisser les chiffres de l’insécurité ? Leurs chiffres ne baissent que sur leurs papiers, mais en réalité, ce sont de plus en plus de Français qui souffrent de cette inaction totale, tant de la part du gouvernement actuel que de notre maire local. Peut-on croire que le PS fera quelque chose, puisqu’aucun des deux finalistes à la primaire socialiste n’a ne serait-ce qu’évoqué le sujet de l’insécurité ?

Il faut en finir avec l’impunité totale des délinquants, même s’ils sont jeunes. La jeunesse n’excuse pas tout. Il faut donner les moyens à la police d’agir, et cesser de supprimer des postes de policiers comme le fait Nicolas Sarkozy depuis son arrivée au pouvoir ( – 16.000 policiers et gendarmes). A la justice de condamner et de faire exécuter les peines (plus de 80.000 peines de prison non purgées). Il faut condamner puis, une fois la peine purgée, expulser les criminels étrangers, et condamner sans faiblesse les nationaux. Il faut que la République reprenne le pouvoir dans tous ses quartiers. Les Français doivent à nouveau pouvoir sortir de chez eux sans crainte. Ils doivent être en sécurité partout en France. Car la sécurité est la première des libertés… »


Source: http://www.nationspresse.info/

11/07/2011

Aubry: la vérité fait peur et le mensonge rassure !

Mme Aubry veut faire peur aux webmestres?
Et favoriser l’islamisation de NOTRE France, ce n’est pas un délit, peut-être ? (non-assistance de la République en danger…) On pourrait assister à une nouvelle version de l’arroseur arrosé, non?
Cacher les vérités par les censures n’aura d’autres effets que d’amplifier les vérités cachées qui débloqueront des scandales tôt ou tard dans l’opinion publique ! Censurer est une forme de lâcheté face à la vérité ! Attention aux retours de bâton !

FDF/Bab

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Rumeurs sur Martine Aubry: « qu’elle porte plainte », déclare Xavier Bertrand

Rumeurs sur Martine Aubry: "qu'elle porte plainte", déclare Xavier Bertrand

Je suis la « croqueuse de webmestres »…

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Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a déclaré dimanche à propos des rumeurs concernant Martine Aubry que si la candidate à la primaire PS « s’estime diffamée qu’elle porte l’affaire en justice ».

Invité du « Forum » Radio J, M. Bertrand a fait valoir qu’on était « sur un terrain juridique » et qu’on ne devait « pas être sur un terrain politique ».

La maire de Lille, en congé de sa fonction de première secrétaire du PS pour cause de candidature à la primaire socialiste, a affirmé vendredi avoir écrit aux sites internet qui propageaient des rumeurs sur sa santé et sur son mari, l’avocat Jean-Louis Brochen, le présentant comme islamiste, pour leur demander de retirer ces allégations, faute de quoi elle porterait plainte.

« Si Mme Aubry s’estime attaquée par des rumeurs sur internet qu’elle porte plainte. Voilà ce qui permet de mettre un terme à toutes les attaques possibles », a insisté le ministre, en conseillant à Mme Aubry de « rester sur le terrain juridique ».

Pour lui, « la campagne qui s’ouvrira pour la présidentielle devra être une campagne d’un bon niveau ». Et pour que cela soit le cas, il a estimé que cela « devra dire également que les socialistes changent d’attitude ».

« Je veux bien tout ce que l’on veut mais pas de recevoir des leçons. Quand Mme Aubry, dans un discours, comparaît le président de la République à M. Madoff, c’était d’une indécence sans pareil. Quand il y a eu des attaques sans précédent contre la personne d’Eric Woerth, c’était pareil ».

Interrogé sur l’évocation par certains socialistes d’un « complot » contre Dominique Strauss-Kahn mené par la droite, Xavier Bertrand a répondu que cela n’avait « aucun sens ».

Source: http://www.lepoint.fr/

18/06/2011

Délinquance: Villeneuve sur Lot est devenu un ENFER !

Ce fut une ville agréable, avant l’arrivée de la racaille…

Témoignage récupéré sur un forum… Le pire est que c’est pareil dans beaucoup (trop) de villes françaises.

FDF

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« Personne n’ose sortir dans cette ville, je crois que la place a été faite à la délinquance et on ne peut même plus se promener seul, entre amis ou en famille sans y être agressé verbalement ou physiquement. La vidéosurveillance, on s’en FOUT !! ce qu’il faut, c’est des effectifs de police en permanence qui patrouillent et une justice qui interdise enfin le port d’armes blanches ! A votre avis, pourquoi les jeunes ont pratiquement TOUS un couteau sur eux ? ce n’est pas pour aller à la pêche ou chercher les cèpes : il faut arrêter les conneries 5 min et organiser des fouilles corporelles en mettant de lourdes amendes à ceux qui ont un couteau sur eux !!!
L’autre soir en me promenant à villeneuve, certains ont dit : « Villeneuve appartient à l’Algérie et plus à la France » ! moi je suis resté scandalisé…
Tout ça pour dire que Villeneuve sur Lot est devenu un véritable ENFER à cause de « jeunes » »qui sèment la terreur et qui n’ont pas peur de tuer !! Réveillez-vous, l’heure est grave !!!!!!!!!! »

07/06/2011

Peur sur l’école…


Selon VSD, 46% des parents auraient peur d’envoyer leurs enfants à l’école. Voici un extrait de l’article :

Une succession de faits divers ultra-violents frappe le milieu scolaire. ­Policiers, enseignants et parents s’inquiètent.

Mercredi 25 mai, 8 h 40. Un élève de 15 ans est tabassé, coupé au visage et visé par un pistolet électrique devant son collège de Saint-Ouen (93). Il sera transporté dans un état critique à l’hôpital alors que la police recherche ses agresseurs. Une affaire, une de plus, survenue quelques jours après la très violente agression dont a été victime  Love, 14 ans, le 11 mai, à la sortie du collège Pablo-Picasso, à Garges-lès-Gonesse (95) (lire VSD n° 1760). Deux exemples qui s’ajoutent à la longue liste des faits d’ultra-violence en milieu scolaire. Alors que le collégien de Pablo-Picasso est toujours dans le coma, trois mineurs ont été mis en examen pour tentative d’homicide aggravé après leur arrestation. Dans ce même collège de banlieue, le principal avait déjà été sauvagement agressé, en mars 2009, en voulant s’opposer à l’intrusion d’un groupe de jeunes dans les locaux.

Tabassages collectifs entre élèves, insultes, violences contre les personnels enseignants ou des responsables d’établissement. Il n’est pas un jour sans que les synthèses de la police et de la gendarmerie mentionnent de tels faits, parfois d’une extrême gravité. Telle la mort du jeune Hakim Haddi, 18 ans, poignardé en janvier 2010 dans l’enceinte du lycée Darius-Milhaud, au Kremlin-Bicêtre (94).

Plus récemment et parmi de très nombreuses affaires, le commissariat de Laval (53) a été saisi par le parquet d’investigations sur des faits de violences répétées et même d’une agression sexuelle dont auraient été victimes des enfants de 4 à 6 ans, dans une école primaire. D’après le rapport d’enquête, ces brimades d’élèves de CM1 et de CM2 avaient lieu quasi quotidiennement dans les toilettes de l’établissement. Une dizaine d’enfants, ainsi que des parents et du personnel enseignant ont été auditionnés mi-avril par la brigade de sûreté urbaine. Un dossier hors normes, du fait de l’âge des protagonistes, mais qui n’a pu donner lieu à aucune poursuite judiciaire, la majorité pénale étant fixée en France à 13 ans.

Retrouvez sur le site « Souffrance des profs » de nombreux témoignages de professeurs confrontés à la violence.

Source: http://soseducation.wordpress.com/2011/06/06/peur-sur-lecole/

03/06/2011

Enseignants: la rentrée 2011/2012 ne sera pas sous le signe de la sérénité…

Cet article, relai d’une pétition de SOS Education, a été annulé à cause de ce commentaire:
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Commentaire :

« Je vous prie de bien vouloir ôter de toute urgence de votre pétition mon nom, obtenu sans mon consentement. Contrairement à la règle républicaine que vous vous targuez de défendre, vous n’avez demandé aucune confirmation de ma signature sur mon adresse e-mail. »

Il y a des personnes, comme ça, qui signent des pétitions mais veulent pas que ça se sache. Quand on s’engage, on a le courage de la faire jusqu’au bout. En outre, cette injonction m’est adressée, alors que si on avait lu correctement le billet, on aurait du comprendre que c’est SOS Education qui a recueilli les signatures et les noms, les a publiés et donc je n’ai aucun pouvoir auprès de cette organisme pour effacer quoi que ce soit. Je conseille à la personne qui a fait le commentaire ci-dessus de s’adresser directement à SOS Education et de lui faire part directement de ses griefs… Pour moi, c’est d’une logique implacable… 
FDF

14/05/2011

Le vote ouvrier de plus en plus tourné vers le FN: une logique implaquable.


Vote ouvrier et crise criminelle


Dans la culture chinoise, la notion de “bon ami” est cruciale car elle permet la vie sociale : entre “bons amis”, on se dit tout, la franchise est de rigueur. Adoptons donc cette culture millénaire et parlons franc, entre bons amis, aux dirigeants de la droite. Qu’à la future élection présidentielle, 36 % des ouvriers disent vouloir voter pour Marine Le Pen – la presse parle même de “plébiscite ouvrier” – n’est pas étonnant.

Que ces ouvriers voulant voter Le Pen aient plus que doublé depuis la présidentielle de 2007, ne surprend pas davantage.

Le diagnostic est même enfantin à poser : les ouvriers vivent, et sont condamnés à vivre, dans des quartiers toujours plus ravagés par une criminalité sans cesse plus grave – et ils ne le supportent plus. Pour l’essentiel, leur vote est ainsi un pur appel de détresse. Que des socialistes de salon et autres bobos gauche caviar osent ici parler de “repli” est carrément infâme – car il ne s’agit pas d’états d’âme ou de tourments fictifs – mais de peur, pour sa vie et celle des siens.

Que se passe-t-il en effet dans les fameux “quartiers populaires” ? Ceci : début avril, « quatre hommes cagoulés, habillés de noir et portant des gilets pare-balles investissent un pavillon de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Ils forcent Bilal, 20 ans, à s’agenouiller dans le salon familial, et – devant ses parents – lui tirent deux balles de 9 mm dans la tête ». Dans le même département, les braquages s’enchaînent au quotidien – trois bijouteries en trois jours à la fin avril.

Le 9-3 n’a pas le monopole des homicides. À la fin avril encore, Nordine (23 ans) est abattu à Chelles (Seine-et-Marne) par un “proche”, pour un motif “toujours inconnu”. Paris n’est pas épargné. Encore à la fin avril, des “gens du voyage”, certes “sédentarisés” mais pas apaisés pour autant, s’entretuent à la Kalachnikov, en plein jour, en pleine rue, dans le populaire XIVe arrondissement : 2 morts, un blessé grave. Dans le même temps, un incendie criminel et prémédité fait 5 morts et 6 blessés graves dans le non moins populaire XIXe arrondissement.

Cela tous les jours, à longueur d’année, et sans répit, dans ces mêmes “quartiers populaires”. Pourquoi ce déchaînement criminel, qui terrorise les populations ouvrières de toutes origines ? Parce que – quelles qu’en soient les causes et les responsabilités réelles – la justice ne fait plus son travail : de l’aveu même du ministère de la Justice, « 100 000 peines de prison ne sont pas exécutées », les peines prononcées étant « en attente d’exécution ». Traduisons : par dizaines de milliers, des bandits sont dans les rues, libres de voler, voire de tuer. Où cette situation est-elle le pire ? Dans les ressorts de justice de Bobigny, Évry, Pontoise, Marseille, Lille, etc.

Parce qu’aussi, une partie de la police peine à s’adapter. D’abord, ces propos médiatiques un peu troublants, car montrant un net déficit d’expertise entre enquêteurs « ne négligeant aucune hypothèse » et porte-parole ne tenant pas pour « spécialement privilégiée » la piste d’un règlement de comptes. Certes, la police réagit du mieux qu’elle peut – mais cela suffit-il ? Elle attrape les malfaiteurs qu’elle voit – , mais alors c’est trop tard, le crime est commis. Pour preuve, observons la Seine-Saint-Denis, l’oeil du cyclone criminel. Le préfet court d’une scène de crime à l’autre – il remporte même “le tableau d’honneur en termes de réactivité”. Réagir – réactivité : c’est bien sûr là où le bât blesse. Qui a jamais gagné une bataille en laissant l’initiative à l’ennemi ? En se bornant à réagir ?

Faute de renseignement criminel pointu et précoce, la situation ne peut qu’empirer. Il faut ici un effort massif – l’État doit en savoir le plus possible et le plus tôt possible sur l’action, les effectifs et les préparatifs des gangs commettant l’essentiel des crimes inquiétant la population. Et ce, pour les surprendre en flagrant délit, les démanteler, les mettre pour de bon hors d’état de nuire. Telle devrait être la mission reine de la Direction centrale du renseignement intérieur. Or on sent cette belle machine policière plutôt absente du combat, pourtant décisif, du renseignement criminel.

Tel est l’engrenage crucial : pas de renseignement intérieur efficace en matière criminelle, pas de progrès possible dans la lutte contre les gangs – donc reflux toujours plus massif des votes populaires vers ce qui est, à l’instant, la seule posture politique anticriminelle déterminée. Ce problème est d’évidence politique. C’est au sommet de l’État que doit se décider et se conduire la grande bataille préventive anticrime, vouée à pacifier les quartiers populaires. Avec des généraux qui veulent se battre. 

Xavier Raufer


Source: http://www.valeursactuelles.com/parlons-vrai/parlons-vrai/vote-ouvrier-et-crise-criminelle20110512.html

12/04/2011

L’islam est devenu un symbole de peur; consciemment…

Encore un excellent billet du « webrésistant »…

FDF

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L’islam c’est la peur

http://sitamnesty.files.wordpress.com/2011/01/2011_annee_internationale_de_la_verite_sur_l-islam.jpg

Traduction exclusive d’un article de Bob Smith (ici).

Est-ce que vous porteriez un T-shirt avec une caricature de Mahomet ?

Vous pourriez dans le Montana mais n’essayez pas à La Mecque.

Pourquoi ?

Parce que le monde islamique enseigne à un petit nombre de ses croyants les plus dévots qu’il est bien de tuer. Et les tueurs islamiques ont été entraînés à tuer quiconque insulte Allah et/ou Mahomet.

Dans le Montana vous avez de bonnes chances qu’aucun de ces tueurs islamiques ne vous voient.

A La Mecque vous ne dureriez pas cinq minutes. Un des tueurs de l’Islam apparaîtrait de nulle part et vous tuerait, c’est aussi simple que ça.

Vous ne me croyez pas ? Demandez à n’importe quel Musulman !

Cet article traite de ces tueurs islamiques et de la peur qu’ils génèrent.

La société islamique est  prise dans un  cycle infini et auto-réplicateur de violence et de peur, mené par les croyants les plus dévots. Ce cycle fonctionne ainsi:

La Violence

Chaque génération de croyant les plus dévots entraîne la suivante qu’il est bon et licite d’employer la violence au nom de l’islam. Le cycle infini commence ainsi car ces dévots reçoivent aussi l’instruction de tuer quiconque tente de modifier ou arrêter l’enseignement de cette violence.

La Peur

Parce (1) que ces tueurs potentiels sont entraînés partout dans le monde islamique, sont répartis parmi la population islamique (Oumma) et ne sont pas aisément identifiables, cela signifie que n’importe quel dévot musulman, partout dans le monde peut être un de ces tueurs. Tout Musulman est conscient de cette menace potentielle (peur) venant de ces dévots fanatiques. En conséquence tous les Musulmans subissent la peur qui mène le système.

La violence et le peur créée par ces dévots fanatiques a un profond effet sur l’islam. Il est au cœur de ce que l’islam est devenu. Le cycle violence/peur est responsable de tous les aberrations de la société islamique. Cela explique pourquoi les Musulmans semblent si pieux (peur d’une réaction à leur encontre venant des fidèles les plus dévots). Cela explique pourquoi les Musulmans ne quittent pas leur religion et pourquoi ils ne s’intègrent pas quand ils émigrent (les tueurs ont appris qu’il faut tuer quiconque quitte l’islam). Cela explique pourquoi les Musulmans du Maroc ou des Philippines déclenchent des émeutes à propos de caricatures ou d’un simple commentaire du Pape (les tueurs lancent le mouvement et les autres suivent pour avoir l’air pieux aussi).

Fort-Hood-jihadist.jpg

Le cycle violence/peur  crée une profonde cicatrice psychique sur la société musulmane et est responsable de  ce qu’est l’islam. Comprendre ce cycle violence/peur est la clef qui permet de comprendre l’islam. Aucune tentative pour gérer la violence islamique ne pourra jamais aboutir si elle n’attaque pas les causes de ce cycle infernal.

Décrire ce système violence/peur – les tueurs islamiques – et sa nature cyclique est difficile à cause d’un certain nombre de raisons. En premier et principalement, ce système est gigantesque. Alors même qu’il est étalé aux yeux de tous, le côté unique et l’échelle-même de son gigantisme le rend difficile à voir. De plus, la plupart des Musulmans ( et des défenseurs de l’islam) nient l’existence des tueurs islamiques. Parce que ces tueurs, étant répartis plus ou moins partout dans la société islamique, ne sont généralement pas repérés avant d’avoir commis leurs actes de violence, il est difficile de relier ces tueurs indépendants à un  système cyclique spécifiquement islamique. Du fait de son caractère cyclique, le point de départ de ce système est difficile à identifier.

Commençons par  étudier la peur créée par ces tueurs.

La peur islamique

La peur islamique est facile à comprendre et ressentir une fois que vous savez quoi chercher.  Examinons attentivement deux scénarii de peur islamique. Le premier cas est celui du T-shirt portant une caricature de Mahomet évoqué plus haut. Le second est celui du meurtre de Théo Van Gogh à Amsterdam et des publications des caricatures de Mahomet qui suivirent.

Scénario du T-shirt

Il est aisé de comprendre comment une personne vivant dans le Montana peut porter sans peur un T-shirt avec une caricature de Mahomet. Il n’y a presque pas de musulmans dans le département de la Creuse. La chance d’être repéré par un tueur islamique est donc presque inexistante. En conséquence les gens ne sont pas intimidés. Le coefficient de peur islamique dans la Creuse est  faible.

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Mais à Dearborn dans le Michigan la situation est différente. Dearborn à une population musulmane importante.  Porter un T-shirt avec une caricature de Mahomet peut se révéler risqué. Quelque part dans cette population musulmane, un Musulman dévot peut se sentir offensé et ce sentiment peut mener à un acte de violence. En conséquence,  certaines personnes se sentiront intimidées. Le coefficient de peur islamique à Dearborn est moyen.

Maintenant portons ce scénario dans une population musulmane encore plus importante, disons dans la partie musulmane de Londres. Cet endroit compte plus d’un million de musulmans et vous pouvez être sûrs que quelque part dans cette communauté il y a des tueurs islamiques. Considérant les attaques à la bombe de Londres avec plus de 50 morts ainsi que les différentes tentatives d’attaques déjouées, il est facile d’imaginer un musulman dévot offensé par le T-shirt dans ces zones. En conséquence un grand nombre de personnes renonceront à porter le T-shirt. Le coefficient de peur islamique à Londres est fort.

Et au final imaginons la peur que vous ressentiriez dans une société 100% musulmane ou presque. Imaginez-vous portant le T-shirt dans les rues de La Mecque (2), Le Caire ou Téhéran. La peur serait intense. En fait – comme je l’indiquait plus haut – Vous ne dureriez pas cinq minutes. Un des tueurs islamique apparaitrait comme venu de nulle part et vous tuerait. En conséquence toute personne raisonnable renoncerait à porter un tel T-shirt. Le coefficient de peur islamique à La Mecque, Le Caire ou Téhéran est exceptionnellement fort.

Deux notes : (1) Dans un endroit comme La Mecque, le Caire ou Téhéran, le tueur  ne serait, plus que probablement, même pas inquiété après vous avoir tué, il ne passerait même pas en procès. A la mosquée locale il serait traité avec respect pour avoir défendu l’islam. (2) Si vous êtes un non-musulman  à La Mecque, vous êtes tué – les non-musulmans ne sont pas tolérés dans La Mecque.

J’ai choisi ce scénario du T-shirt pour deux raisons simples. Premièrement, il est vrai ( je défie quiconque de prouver le contraire avec la méthode suivante : Mettez un T-shirt avec une caricature de Mahomet et allez à Téhéran. Faites-alors une vidéo de cela et postez-le sur YouTube) et en deuxième il est facile à comprendre, le Montana – presque pas de Musulmans – pas de peur islamique. La Mecque, Le Caire, Téhéran  -presque que des Musulmans- une peur islamique exceptionnellement forte.  C’est absolument évident – plus grand est le pourcentage de musulmans dans une situation donnée – plus grand est le coefficient de peur islamique.

La chose la plus importante qu’il faut retenir de ce scénario est ici. Qu’est-ce qui provoque cette peur ? La réponse est la suivante : Il y a une peur réelle qu’un musulman vraiment dévot sorti d’on ne sais où vienne vous tuer (Cela a son importance. Gardez-le à l’esprit).

Le meurtre de Théo Van Gogh et les caricatures de Mahomet

Maintenant examinons le meurtre de Théo Van Gogh à Amsterdam et les raisons conséquentes de la publication des caricatures de Mahomet.

Théo Van Gogh a réalisé un film critiquant la manière dont l’islam traite les femmes. Van Gogh fut assassiné par un tueur islamique nommé Mohammed Bouyeri. Selon les rapports publiés, M. Bouyeri déclara à la cour lors de son procès que Van Gogh avait insulté l’islam. « Ce qui m’a décidé à faire ce que j’ai fait, fût uniquement ma foi » déclara M. Bouyeri, « J’ai été motivé par la loi qui me commandait de couper la tête de quiconque insulte Allah et son Prophète.»

van gogh theo 2004

En réalité M. Bouyeri à fait deux choses. Premièrement il a tué Théo Van Gogh. Mais encore plus important, il a contribué à répandre la peur islamique (la peur qu’un musulman dévot profondément fanatique apparaisse, venu de nulle part, et vous tue) dans les parties de l’Europe où vivent maintenant beaucoup de Musulmans (alors même s’ils ne sont que 10% de la population).

La peur islamique provoquée par le meurtre de Van Gogh fût en partie la raison pour laquelle Flemming Rose, directeur de la publication du journal danois Jyllands-Posten,  publia les caricatures de Mahomet.

M. Rose déclara le 19 févier 2006 dans un article du Washington Post qu’il « commanda les caricatures en réponse à plusieurs incidents d’autocensure survenus en Europe, causés par  des peurs grandissantes et des sentiments d’intimidations dès qu’on traite des problèmes liés à l’islam. … Notre but était simplement de repousser les limites auto-imposées à l’expression qui semblaient se resserrer. »

Flemming Rose était en train de décrire le phénomène de peur islamique ( la peur qu’un musulman profondément croyant sorte de nulle part et vous tue). Exactement la même chose que ce qui était décrit dans le scénario du T-shirt.

La peur islamique en chiffres

Regardons maintenant cette réalité de la peur islamique en Europe décrite par Flemming Rose et voyons si cela peut nous aider  à comprendre la peur à l’intérieur d’une société presque 100% musulmane.

Gardez à l’esprit que les Musulmans représentent moins de 10% de la population Européenne. Toutefois, même quand les Musulmans ne représentent qu’un si petit pourcentage de la population générale, la présence potentielle de tueurs islamiques a eu l’effet, selon Flemming Rose,  de créer des «limites auto-imposées à l’expression qui semblaient se resserrer. »

Réfléchissez à propos de ce fait. Les Européens, qui ont été élevés dans la croyance à la libre expression, vivant dans des sociétés libres et ouvertes, ont peur de critiquer l’islam alors que les musulmans ne représentent que moins de 10%  de la population.

Alors maintenant pensez à ce que ce doit être que de vivre dans une société musulmane où à peu près 100% de la population est musulmane. Le facteur de peur musulmane doit être au moins dix fois plus élevé.

Imaginez une société pratiquement 100% musulmane, une société dans laquelle des tueurs religieux invisibles, comme Bouyeri, rôdent littéralement partout. La libre expression et la critique de l’islam à l’intérieur d’une société musulmane est à pas grand-chose près impossible.  Interdites par la peur islamique. Interdites par la peur d’invisibles tueurs religieux.

Cette incapacité à pouvoir critiquer l’islam dans une société musulmane est une des principales raisons pour lesquelles l’islam reste bloqué dans son éternel cycle de violence. Les Musulmans peuvent clairement voir la violence autour d’eux. Mais ils savent très bien que toute critique sur ce sujet peut attirer l’attention d’un tueur comme Mohammed Bouyeri. En conséquence la plupart des Musulmans vivent dans la peur d’un système qui les empêche de réagir. A l’intérieur d’un système sur lequel ils n’ont aucun contrôle.

Maintenant nous commençons à avoir une idée de ce qu’est la peur islamique, voyons à présent qui sont ces tueurs islamiques.

Qui sont les tueurs ?

Avant de commencer à parler des tueurs islamiques, évoquons un trait commun à toutes les religions. Ilya tous les degrés de croyance parmi les fidèles des religions. Certains sont seulement des croyants peu convaincus et d’autre sont très dévots. Par convenance, imaginons une ligne horizontale appelée « échelle de croyance. » Sur celle-ci nous répartirons les croyants du moins dévot au plus dévot.

A l’extrême gauche nous placerons les moins dévots, parmi ceux-ci certains sont si peu croyants qu’ils peuvent presque être considérés comme des athées. A la partie droite se trouvent les croyants les plus dévots.

—————————- échelle de croyance ————————–

Moins dévot ————————————————– Plus dévot

—–1——2——3——4——5——6——7——8——9——10—–

Les tueurs islamique viennent des rangs des croyants les plus dévots de l’islam. Sur l’échelle de croyance ces croyants seraient quelque part entre 9.75 et 10. Ces croyants, quand certains faits et conditions sont rassemblés seraient capables d’accomplir des actes de violence au nom de l’islam.

Ces croyants les plus dévots ont été religieusement entraînés à croire aux nombreux appels à la violence présents dans les enseignements islamiques. Le Coran et la Sunna, les bases fondatrices de l’islam, contiennent de nombreux appels à la violence. De plus, les savants de l’islam, l’infrastructure religieuse, les fatwas et les normes sociétales légitiment l’usage de la violence au nom de l’islam. Les croyants les plus dévots de l’islam acceptent cela comme vrai le fait d’avoir l’autorisation donnée par Allah de perpétrer des actes de violence au bénéfice de l’islam. (Exactement comme M. Bouyeri cité plus haut.)

Numériquement parlant, ces dévots fervents – ceux prêts à agir violemment au nom de l’islam – représentent entre 0.1% et 10 % de la population musulmane générale.  Entre un sur mille et un sur dix.

coupeur_de_tete.jpg

La population musulmane étant actuellement d’environ 1.3 milliard, cela signifie que le nombre potentiel de tueurs se situe entre 1.3 million et 130 millions; Même avec l’estimation minimum, les 1.3 millions de tueurs représentent une menace énorme. A 130 millions, la menace dépasse les bornes de l‘imaginable.

Cette large variation dans le nombre de tueurs potentiels est causée par un certain nombre de facteurs. En premier, la majorité de ces tueurs ne se sont jamais inscrits dans une organisation, il est donc parfaitement impossible de savoir exactement combien ils sont. De plus, la plupart agissent au nom d’une foi religieuse intense qui peut évoluer d’un jour à l’autre.  Il y a aussi le fait que la structure de l’islam n’a pas d’autorité centrale; un croyant dévot peut donc n’importe quand peut décider sur sa seule initiative de passer à l’action. Additionnellement, certains considérations islamiques (telles que la défense de l’islam contre ce qui est ressenti -exemple : l’Iraq – comme des menaces) peuvent persuader un pourcentage plus important de dévots d’aller remplir leurs obligations religieuses.

Pour rendre les choses encore pires, au-delà même du nombre, même limité,  des musulmans dévots fanatiques – ceux capables de commettre des violences au nom de l’islam –  il y a un second groupe qui augmente et amplifie l’effet de ces tueurs. Ce sont les sympathisants et ceux qui approuvent la violence religieuse.

Les sympathisants

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Ces sympathisants (de 8 à 9.75 sur l’échelle de croyance) agissent de fait comme les yeux et les oreilles des tueurs. Même si les sympathisants et ceux qui approuvent le recours à la violence n’ont pas eux-mêmes la volonté de commettre des actes violents, ils acceptent de les soutenir. Ils acceptent aussi de parler à propos de ce qu’ils voient. Quand les sympathisants et les dévots fanatiques se rassemblent à la mosquée, ils discutent. Ce qui permet aux tueurs de rassembler des informations. Cela permet à la peur islamique d se répandre largement.

sympathisants En simple nombre, la combinaison des sympathisants et des dévots fanatiques représente probablement quelque chose comme 20% de la population musulmane générale. Ce qui veut dire qu’une personne sur cinq est soit un tueur soit un sympathisant.  Parce qu’il est impossible de les identifier, la présence des sympathisants contribue au coefficient de peur islamique.

Imaginez être un Musulman dans le scénario précédent. Chaque fois que vous êtes avec cinq amis ou plus vous pouvez être statistiquement en présence d’un de ces tueurs religieux ou d’un de leurs sympathisants. Est-ce que vous oseriez dans ces conditions parler librement de problèmes religieux sans être «sûrs» de vos amis ?

A cause du principe islamique de Taqiyya (mensonge au nom de la promotion ou de la défense de l’islam) la plupart des  Musulmans refusent de reconnaitre l’existence de ce « groupe » de tueurs. De plus, les tueurs n’hésiteraient pas à tuer ceux qui révèleraient leur existence et les critiqueraient. En général les Non-Musulmans ne se rendent pas compte de l’existence de ces tueurs à cause d’une combinaison d’ignorance et de politiquement correct. Le voile de «légitimité religieuse» drapé autour de l’islam contribue pour une bonne part à une vision confuse du problème.

_40761679_1bouyeriap203c-copie-1.jpg Ces tueurs peuvent être indépendants, sans organisation comme Mohammed Bouyeri, l’assassin de Théo Van Gogh à Amsterdam. Ces tueurs indépendants agissent comme des «agents libres» auto-désignés. Sous la loi islamique ils reçoivent le pouvoir de faire respecter la Charia. Parce qu’ils sont hors de tout groupe organisé,  qu’ils ont la capacité à rester indétectables jusqu’au passage à l’acte, qu’ils sont répartis dans toute la société islamique et à cause de leur nombre, ces tueurs potentiels «indépendants»sont responsables d’une énorme part de la peur dans la société musulmane. Quand ces tueurs «indépendants» agissent dans le monde non-musulman, leurs actions sont habituellement vues comme des actes criminels, déconnectés des appels à la violence islamiques.

airportterrorists 450x300Les tueurs de l’islam peuvent aussi être organisés dans des groupes de toutes tailles et de toutes natures – d’une cellule de deux hommes à une organisation comme Al-Qaïda, le Jihad Islamique, le Hamas, le Hezbollah ou d’autres organisations terroristes. Ces groupes peuvent agir seuls ou conjointement avec d’autres groupes ou individus. Leurs actions ne requièrent aucune autorité centrale mais peuvent être coordonnées avec d’autres groupes. N’importe quel «agent libre» peut créer sa propre organisation. La taille et la capacité d’action ne sont limitées que par les talents d’organisateur des individus impliqués. Tout ou partie de ces groupes peut recevoir de l’aide d’autres groupes. Très régulièrement, des gouvernements musulmans soutiennent discrètement beaucoup de ces groupes en prétendant officiellement n’avoir aucun lien avec eux. (photo: gang terroriste musulman arrêté à Londre en 2008)

Malgré le fait que les tueurs proviennent de l’extrême droite de l’échelle de croyance, certains croyants moins dévots succombent aussi à ce qui est appelé «le syndrome soudain du jihadiste.» Sous certaines circonstances, ils peuvent basculer dans la violence.

Les tueurs de l’islam peuvent agir de manière anonyme.  Comme les tueurs qui posent des bombes dans les endroits publics ou ceux qui à moto, jettent une grenade dans la foule. D’autres tueurs agissent fièrement et commettent leurs méfaits ouvertement, comme Mohamed Bouyeri l’assassin de van Gogh.

Certains tueurs islamiques sont faciles à repérer. On les trouve habituellement dans les journaux télévisés. Les 19 hommes de l’attentat du 11 septembre étaient des tueurs islamiques. Le flot incessant de porteurs de bombes suicides en Iraq et Afghanistan sont des tueurs islamiques. Les hommes qui se firent sauter à Londres dans les transports étaient des tueurs islamiques. Les meurtriers de Belson faisaient partie du groupe aussi.

beheaded_girl.jpg En Thaïlande des tueurs islamiques décapitent des écolières et abattent les ouvriers dans les plantations. Aux Philippines ils placent des bombes dans les ferries et les marchés. En Espagne c’est dans les transports. En Jordanie ils attaquent les mariages et  tuent les professeurs des collèges. En Egypte ils tirent sur les touristes près des pyramides, placent des bombes dans les hôtels et assassinent le président Anwar Sadate.

En Inde, les tueurs ont frappé Mumbai à de nombreuses reprises et ont rendu la vie misérable au Cachemire. En Afrique les tueurs islamiques travaillent au Kenya en mettant des bombes à l’ambassade américaine. Au Soudan ils sont responsables des massacres du Darfour. Au Liban ils envoient des roquettes sur Israël. En Argentine ils attaquent l’ambassade d’Israël.

Même aux USA les tueurs islamiques agissent. Nidal Malik Hasan tue 13 soldats et en blesse 30 à Fort Hood.  John Allen Muhammad tire sur  dix personnes dans la zone de Washington DC. A Salt Lake City Sulejmen Talovic tue  cinq personnes dans un centre commercial. A Seattle Naveed Afzal Haq en tue une et fait quatre blessés. A l’université de Caroline du Nord à Capel Hill, un diplômé iranien Mohammed Reza Taheri-azar, jette sa voiture sur des étudiants. (Note : On voudrait nous faire croire que ces actes sont des actes criminels isolés, mais la réalité est autre : Ces actes font tous partie de ce que vous pouvez attendre du système de violence cyclique de l’islam.)

Partout sur la surface du globe où vous trouvez des musulmans, vous trouverez aussi les tueurs de l’islam. Parce que ces tueurs sont répartis dans toute la société islamique; plus il y a de musulmans, plus il y a de tueurs.

Le type de «travail» accompli par les tueurs islamiques dépends du pourcentage de musulmans présents dans la société dans laquelle ils opèrent.

Dans la société musulmane leur principale tâche est de maintenir l’islam vivant. Ils y travaillent en tuant ceux qui insultent Allah ou insultent Mahomet, critiquent ou tentent de changer l’islam, essayent de quitter l’islam (C’est pourquoi les Musulmans semblent si pieux, ne quittent pas l’islam et que les modérés ne prennent pas la parole.) dans la société musulmane ils ont aussi pour fonction d’améliorer le respect de la Charia et d’en forcer l’application.  En Afghanistan les tueurs plastiquent les écoles de filles pour imposer leur idéal d’état islamique.  En Egypte ils tuèrent Sadate parce qu’il était allé contre la loi islamique en essayant de faire la Paix avec Israël.

Aux endroits où la société musulmane entre en contact avec une société non-musulmane, comme c’est le cas actuellement en Europe, une des premières tâches des tueurs est de s’assurer que les musulmans ne s’assimilent pas dans la société hôte. (maintenir l’islam vivant .) Leurs autres tâches consistent à terroriser les non-musulmans jusqu’à ce qu’ils se convertissent ou acceptent les règles de le Charia. Cette œuvre de terreur peut prendre la forme d’actes criminels ou d’une guérilla perpétuelle de basse intensité.  Des exemples récents de cette dernière méthode sont : le Cachemire, les Balkans, la Thaïlande, Les Philippines, l’Afrique Sub-saharienne, et maintenant l’Europe.

QuranRifle11-1-.jpg Les tueurs sont majoritairement des jeunes hommes, ainsi que quelques femmes récemment, mais en faible nombre. Ils viennent de tous les milieux économiques et sociaux. La pauvreté n’est pas une cause mais est un facteur facilitant pour les croyants dévots cherchant des nouvelles «recrues.»

Ce système trouve même un moyen d’utiliser la puissance destructrice de ses jeunes asociaux en rupture de banc. Ils peuvent pratiquer leurs activités destructrices sur les non-musulmans sous forme de viols, d’agressions et violences diverses tout en recevant des réactions favorables des dévots fanatiques. C’est pourquoi les prisons Européennes ont un pourcentage si haut d’occupants musulmans.

La triste réalité concernant les tueurs de l’islam est la suivante : L’islam parce qu’il revendique continuellement une légitimité religieuse,  peut compter en tant que système, d’un gigantesque soutien gratuit, invisible, composé d’individus hautement motivés, dévots, non organisés , prêts à agir , répandus dans le monde entier, et prêts à tuer pour maintenir l’islam tel qu’il est.

Ces croyants dévots sont en réalité une armée fantôme invisible et non-conventionnelle. Une armée dans laquelle personne n’a besoin d’ordres et tout le monde sait exactement quoi faire. Une armée que personne ne contrôle réellement. Une armée aussi mortelle qu’une armée réelle.

Comment le système entraîne-t-il continuellement les tueurs ?

Nous avons maintenant une idée de ce qu’est la peur islamique et de qui sont certains des tueurs islamiques. Voyons à présent d’où ils viennent et  quelques unes des règles, règlements, traditions sociales et normes sociétales qui créent le cycle éternel et auto-reproducteur de la violence islamique.

(Cette sélection de règles et autres ne représente qu’une infime fraction des directives qui contrôlent l’islam. En réalité, le système islamique est comme une «tempête parfaite» avec, littéralement, des milliers de directives allant toutes dans le même sens pour maintenir l’islam tel qu’il est.  Les directives que j’ai choisi de citer ici sont les plus évidentes à voir et à comprendre.)

L’islam n’est pas qu’une religion. C’est un système social complet (de nombreux auteurs l’ont qualifié de système totalitaire.)

documents ESWLa Charia comprend des règles pour presque tout, de la naissance à la mort. Une large portion de ces règles ont pour fonction de perpétuer l’islam lui-même.

Une règle clef décrète qu’un enfant né de Musulmans est automatiquement Musulman. Cela signifie qu’aucun Musulman (à part les convertis) n’a son mot à dire dans son appartenance à l’islam. Cela signifie aussi qu’aucun parent n’a d’avis à avoir sur le fait que ses enfants soient Musulmans. Cela assure un flot continu de futurs potentiels croyants dévots – les prochaines générations de tueurs islamiques.

Une autre règle importante dit : « L’islam est plus important que la famille. » Parce que les familles musulmanes étendues sont généralement nombreuses, il est difficile d’imaginer une famille sans  un croyant profondément dévot (un tueur potentiel), ou un sympathisant. Cela signifie que dans chaque famille étendue ou presque, le croyant le plus dévot s’assure que le reste de la famille est correctement islamique.  Cela signifie aussi que les parents recevront des pressions de la part d’autres membres de la famille pou être sûr que tous les enfants soient exposés aux dogmes islamiques. En conséquence tous les enfants reçoivent l’endoctrinement islamique depuis la naissance.

Une fois que l’enfant atteint l’âge scolaire, l’endoctrinement devient institutionnalisé,. Cela commence dans la plus petite classe et continue durant toute la scolarité. Malgré que toutes les écoles ne soient pas strictement islamiques, toutes les écoles dans une société islamique obligent tous leurs élèves à étudier des sujets islamiques.

Dans les pays islamiques les plus pauvres dans lesquels l’éducation publique peut ne pas exister, ou ne pas être gratuite, il y a souvent des écoles islamiques. La plupart de ces écoles islamiques sont gratuites. Ce que ces écoles enseignent est beaucoup plus islamiquement intense.

madrasas Il y a aussi les milliers de madrasas (plus de 20 000 rien qu’au Pakistan) enseignant à des millions d’étudiants dispersés dans le monde islamique. Ces madrasas enseignent une forme rigide de l’islam. Cela peut inclure la mémorisation par cœur du Coran , et l’enseignement de textes islamiques appelant les fidèles à user de violence au nom de l’islam.
A l’intérieur du système éducatif, les croyants dévots  et les sympathisants font sentir leur présence.  Quiconque tentant de modérer l’enseignement des textes islamiques risque la colère d’un tueur invisible.
Dans le temps que les enfants mettent à devenir des adultes, un petit pourcentage deviendra les dévots fanatiques de leur génération et environ 20% les sympathisants. Parce que le système éducatif musulman est dispersé dans tout le monde islamique, ces dévots et leurs sympathisants sont, comme précédemment mentionné, présents partout. Et le cycle de Violence/Peur continue.
( Note: C’est bien sût une chose regrettable que les Musulmans enseignent cette haine à l’intérieur de leur propre sociétés, mais certains immigrés enseignent la même haine juste sous le nez de leurs hôtes européens naïfs. Les attaques à la bombe de Londres en 2005 en sont un parfait exemple. Je ne crois pas que les jeunes tueurs islamiques de cet attaque aient reçu leurs motivations à l’intérieur du système éducatif politiquement correct britannique.  La même chose peut être dite à l’occasion de la tentative désamorcée d’attentat de Juin 2006 au canada.  Les terroristes n’avaient pas appris la haine du Canada au sein du système éducatif canadien.  (de nombreux rapports d’enquête confirment ce point.)

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Malheureusement, l’endoctrinement des enfants est seulement le début d’un processus continu qui a pour but l’islamisation complète des individus. A l’intérieur d’une société islamique l’endoctrinement et le renforcement doctrinal est littéralement omniprésent.

Examinons quelques pratiques et croyances communes qui font parties de ce système cyclique. Gardez à l’esprit que ce sont des sujets sensibles capables d’attirer l’attention des tueurs invisibles et que, de peur de ces tueurs, personne ne remet en cause les points suivants.

Cinq fois par jour, les Musulmans sont appelés à la prière. Ces prières agissent comme un rappel constant aux plus dévots qu’ils ont la responsabilité de garder l’islam pur.  C’est aussi un rappel constant aux moins dévots – ne remettez pas en question l’islam –  les tueurs islamiques sont partout.  Ces appels à la prière aident à maintenir le coefficient de peur à un niveau élevé.
Dans une société musulmane, parce que tout le monde est conscient de la présence indétectable des tueurs, pratiquement personne n’ose prendre la parole pour critiquer l’islam. Ce phénomène a lieu dans toutes les couches de la société. De la place du marché au bureau,  de l’épicerie au marchand de chaussures,  de la course de chameau à la course automobile, de la bibliothèque au centre commercial, personne ne parle en mal de quoi que ce soit d’islamique.
Les journaux, radios et télévisions dans les sociétés musulmanes produisent continuellement des histoires véhiculant  une perspective islamiquement correcte.  A cause d’une audience potentielle importante, les reporters des médias risquent des problèmes avec un nombre potentiellement élevé de tueurs anonymes pour chaque petite erreur de jugement; Du coup personne ne veut prendre le risque d’une critique, même minime, d’un sujet islamique.
Pour rendre les choses encore pire, les médias prennent aussi un rôle actif dans la promotion de le doctrine islamique. De nombreuses organisations indépendantes, qui surveillent les médias islamiques, font mention d’articles incitant les Musulmans à la violence et incitant à la haine envers les non-Musulmans.
Voici une liste d’éléments, réaffirmés quotidiennement, que personne ne conteste – à cause de la peur.
Le Coran est « la parole parfaite de Dieu » – cela signifie qu’il ne peut être critiqué ou changé.
Mahomet était l’humain parfait – Le fait qu’il ait été un meurtrier, un bandit, un violeur de femmes et d’enfant est passé sous silence. L’incapacité des Musulmans à parler de ceci rationnellement est la cause de certains comportements étranges.
Tous les humains doivent s’efforcer d’être comme Mahomet. Ceci provoque chez les musulmans dévots des comportements fanatiques et absurdes.
Mentir pour  le bien de l’islam est une bonne chose – Encore des raisons pour des comportements erratiques.
L’islam est la seule vraie religion. Toutes les autres sont « fausses. » – Cette croyance est à tel point martelée dans la conscience collective musulmane que même les croyants peu convaincus l‘acceptent.
L’islam inclue une forme de double langage à la façon 1984 – L’islam est la liberté de Dieu, La Démocratie est la tyrannie de l’homme.

freedom go to hell

La supériorité musulmane. Les Musulmans sont de droit supérieurs à tous les autres. Ceci est cru par un large pourcentage des Musulmans, y compris par un bon nombre des croyants peu convaincus.
Les non-musulmans sont inférieurs. Ceci est cru par un large pourcentage des Musulmans. (Bien sûr les non-Musulmans peuvent changer leur état en se convertissant à l’islam.)
Le monde entier doit devenir musulman. Allah l’a dit, ce doit être vrai.
Tout dénigrement de l’islam, de Mahomet ou du Coran  est puni de mort – de la main d’un tueur invisible.
L’islam est parfait – pas de contestation, pas de changement, on ne peut le quitter – Tout le monde est prévenu que si ils font un des trois – ils peuvent être tués.
L’islam est plus important que la famille.
Les membres de la famille doivent tuer ceux qui quittent l’islam.
Les membres de la famille, si ils sont non-croyants, n’ont rien en commun avec vous et doivent être abandonnés ou ignorés.
Tuer et les autres crimes faits au nom de l’islam ne sont habituellement jamais punis.
Les vrais amis ne peuvent être que musulmans – C’est une des raisons pour lesquelles les Musulmans ne peuvent s’assimiler quand ils émigrent  dans des sociétés non-musulmanes.

Tous les Musulmans ont l’obligation de répandre ou d’aider à répandre l’Islam.
Si un Musulman ne peut mener le Jihad, la loi islamique lui fait obligation à aider au Jihad d’une autre manière.
L’islam est une entité politique – L’islam est l’état.
Ce système élève la religion – l’islam – au pinacle de la conscience musulmane.

Et il y a en plus l’infrastructure des mosquées.

Les mosquées et imams ont un important rôle à jouer dans le système cyclique de l’islam. Les mosquées agissent comme un rappel constant de l’islam avec leurs cinq appels à la prière quotidiens.  Les imams sont les points centraux de la majorité des dévots et sympathisants. Ils renforcent la doctrine islamique (y compris tout ce qui précède) et encouragent les dévots à s’assurer de son application.

Un des plus étranges phénomènes de l’islam est le suivant, les mosquées deviennent les cloaques intellectuels de l’islam. Seuls les plus dévots des croyants arrivent aux position de d’autorité.  Ces personnes sont les plus susceptibles de croire aux appels à la violence de l’islam, l’incapacité à rationaliser quoi que ce soit à propos de l’islam atteint son sommet au sein des mosquées. Il y a de nombreux cas d’imams ayant été tués par leurs propres fidèles pour n’avoir pas été assez conservateurs.

Comment la peur, les tueurs et les règles créent un cycle complet.

Tous ces éléments viennent ensemble, l’ordre n’est pas important. Tout le monde est endoctriné lors de l’enfance. L’endoctrinement se poursuit à l’âge adulte. Tout le monde parle toujours positivement de l’islam. Personne ne dit jamais rien de mal à propos de l’islam. Il y a un flot continu de prêche décrivant les tares du monde non-musulman. Il y a un prêche important vantant la perfection islamique.

Les membres des familles s’espionnent les uns les autres. Les amis surveillent les amis. Les imams entretiennent le mouvement cyclique. Les plus dévots des croyants – avec le concours des sympathisants – s’assurent que tous les Musulmans restent dans la norme attendue.  Les questions raisonnables ne sont jamais posées.  Les croyances absurdes sont renforcées. Et constamment une armée de tueurs invisibles s’assure que tout ceci continue.

Ainsi fonctionne le cycle auto-reproducteur. La peur empêche quiconque de contester le système. Personne ne contestant le système cela entraîne l’acceptation de celui-ci. Parce que tout le monde accepte le système c’est que celui-ci doit être bon. Parce que les croyants vantent le système, personne n’entend jamais que des  louanges à l’islam. Personne n’entend jamais de critiques à propos de l’islam. Personne ne le quitte. Personne ne le questionne. Personne ne le critique. Tous les enfants sont intégrés  au système.

Encore, encore et encore, comme un disque rayé. Le système reproduit la même chose, sans fin. L’islam, en tant que société est piégé dans un cycle auto-reproducteur de violence et de peur.

Et maintenant  ?

Ce système cyclique, tel que je l’ai décrit, fonctionne en islam depuis le temps de Mahomet. Et comme la plupart des systèmes il y a un mécanisme de contrôle. La peur qui dirige l’islam, dépend directement de la quantité d’argent  disponible pour l’infrastructure mosquées/imams. Depuis l’embargo des années 70, la quantité d’argent pompée par les producteurs de pétrole a été multipliée des centaines de fois. Ceci a permis aux états producteurs de pétrole de déverser des quantités astronomiques de milliards dans l’infrastructure d‘endoctrinement.

Cet argent a été utilisé pour augmenter  de manière très importante le nombre de mosquées dans le monde musulman. Ceci inclue les milliers de nouvelles mosquées dans le monde occidental. Ces sommes ont aussi été utilisées à former des imams  afin de prêcher la forme la plus conservatrice de l’islam.

Quand vous appuyez sur l’accélérateur il y a un court délai – environ ¼ de seconde – avant que la voiture accélère. Quand les états producteurs de pétrole injectent de l’argent dans l’infrastructure d’endoctrinement musulman – les mosquées – il y a un court délai – environ 20-30 ans – et vous avez plus de super dévots fanatiques.

Alors aujourd’hui nous récoltons la moisson de violence issue des graines de haine et de peur plantées depuis les 30 dernières années.

Bob Smith


Commentaire de VV&D  :

Cet article nous paraît intéressant parce qu’il tente d’exposer une composante de l’islam rarement conceptualisée et exposée en tant que telle alors même qu’elle est perçue de manière plus où moins confuse par tout le monde (on comprend sans explication qu’il est peu raisonnable de porter un T-shirt critiquant l’islam à Téhéran ou à La Mecque).

Cette composante que l’islam, d’une manière ou d’une autre, irradie autour de lui c’est la peur.

Une peur diffuse, un sentiment de menace, parfois difficile à expliquer, ressenti par une majorité de ceux qui ont a côtoyer l’islam ou qui y sont confrontés.
Pour ceux qui ne connaissent pas la doctrine islamique, la Charia, ce sentiment de malaise à propos de l’islam est que «quelque chose ne va pas» avec l’islam.

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Pour ceux qui sont informés et qui savent relier les faits sans connections apparentes (la construction d’une mosquée, une jeune fille portant un foulard islamique, un étalage de viande hallal dans le supermarché local, etc…) l’inquiétude est fondée sur le constat que le cycle «endoctrinement/violence/peur» de l’islam est en train de s’enclencher dans leur voisinage.
Ce que beaucoup de gens ignorent, ou négligent quand ils en ont connaissance, c’est que la doctrine islamique pose comme devoir pour chaque musulman «d’ordonner le convenable et d’interdire le blâmable» (Coran, sourate 3; 114).

Ordonner et interdire, et non pas «suggérer et déconseiller;»

Ordonner et interdire sont des verbes impliquant la coercition.

Or la coercition implique la menace et/ou le recours à quelque forme de rétorsion en cas désobéissance. Tout cela nous ramène finalement à la peur. La peur de ce qui peut se produire si vous ne vous conformez pas à ce que la doctrine de l’islam ordonne ou interdit (un musulman dévot sort d’on ne sais où et vous tue.)

Bien sûr ce Musulman dévot ne va pas toujours vous tuer, il peut -juste- vous agresser physiquement, vous insulter, menacer de brûler votre maison ou votre voiture (Oskar Freysinger, l‘homme qui à fait interdire les minarets en Suisse à eu sa maison incendiée), vous envoyer des insultes et des menaces par téléphone ou par courrier électronique.

Le spectre des «rétorsions» n’a comme limite que l’imagination ou les moyens techniques des dévots fanatiques qui vous ont pris pour cible, mais cela ne change rien au fait qu’ils utilisent la violence pour générer la peur et cela au nom de l’islam.

11 sept

Le père, le frère ou le cousin qui frappe ou menace une femme de sa famille utilise la violence physique ou mentale pour générer la peur au nom de l’islam parce qu’il a appris qu’il fallait le faire, parce qu’il est bon et licite d’utiliser la violence et la peur pour modifier la conduite d’autrui au nom de l’islam.

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La peur est un des constituant principaux de la doctrine musulmane, la Charia. Elle  peut être dirigée en interne, contre les Musulmans eux-mêmes, afin d’en obtenir la soumission (peur de tortures éternelles en Enfer ou peur de châtiments terrestres de la part d’autres Musulmans), mais elle peut aussi être dirigée vers l’extérieur, vers les non-Musulmans, afin d’en obtenir la soumission aux règles de la Charia et une attitude «respectueuse».

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La peur est tissée dans la trame de l’islam parce que la Charia indique que la violence est légitime quand il faut «ordonner le convenable et interdire le blâmable» et que des musulmans dévots un peu partout dans le monde croient cela et le mettent en application avec les résultats qu’on sait.

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Et ton Seigneur révéla aux Anges : « Je suis avec vous : affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts. Ce, parce qu’ils ont désobéi à Allah et à Son messager. » Et quiconque désobéit à Allah et à Son messager… Allah est certainement dur en punition!

(Coran sourate 8; 12 et 13)

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Les vrais croyants sont ceux dont les cœurs frémissent quand on mentionne Allah. Et quand Ses versets leur sont récités, cela fait augmenter leur foi. Et ils placent leur confiance en leur Seigneur.

(Coran sourate 8; 2)

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Nous finirons ce commentaire par un reportage anglais qui illustre parfaitement le cycle « endoctrinement/violence/peur » à l’oeuvre dans nos sociétés avec en prime un bel exercice de Takkiya (mensonge islamique) par l’imam à la fin du reportage.

En effet, pour protéger l’islam il affirme sans sourciller l’exact inverse de la doctrine islamique (Charia). Ce que le journaliste a découvert dans les livres est la doctrine officielle de l’islam, reconnue, acceptée et enseignée par toutes les autorités religieuses musulmanes y compris en France (mais jamais devant les non-Musulmans, bien sûr).

Voici la preuve tirée du manuel de loi islamique certifié (1991) par l’université Al-Azhar du Caire :

Pages 595-96

« Quitter l’islam est la plus hideuse forme de mécréance et la pire… Quand un individu pubère et sain d’esprit apostasie volontairement de l’islam, il mérite d’être tué. Dans un tel cas, il est obligatoire… de lui demander de se repenter et de retourner à l’islam. Si il accepte cela est accepté, mais si il refuse il est immédiatement tué. »

Source: http://webresistant.over-blog.com/

08/03/2011

Les muzz ont les pétoches…

Leurs imams aussi. Et ils ont raison de les avoir…

FDF

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Pétition d’imams contre le débat sur l’islam !

Brèves…

PAKISTAN
Les chrétiens du Pakistan ont observé trois jours de deuil après l’assassinat de Shahbaz Bhatti, le ministre des minorités religieuses. (Catho.be) Ce catholique, militant résolu de la liberté religieuse, est mort comme un « martyr » selon le cardinal Jean-Louis Tauran, en charge du dialogue interreligieux au Vatican, qui s’est dit très ému par la lecture d’un texte présenté comme son testament spirituel. « Je ne cherche pas la popularité, je ne veux pas de positions de pouvoir. Je veux seulement une place aux pieds de Jésus (…) Ce désir est si fort en moi que je me considérerai comme un privilégié si – dans mon effort et dans cette bataille qui est la mienne pour aider les nécessiteux, les pauvres, les chrétiens persécutés du Pakistan – Jésus voulait accepter le sacrifice de ma vie », écrivait Shahbaz Bhatti dans ce texte écrit en 2008.

> Pour le porte-parole du Vatican, le Père Federico Lombardi, la loi pakistanaise sur le blasphème « en soi, est vraiment un blasphème parce qu’elle est la cause, au nom de Dieu, d’injustice et de mort ». (Zenit.org)

> « Je demande au Seigneur Jésus que le bouleversant sacrifice de la vie du ministre pakistanais Shahbaz Bhatti réveille dans les consciences le courage et l’engagement à respecter la liberté religieuse de tous les hommes, et ainsi, de promouvoir une dignité égale pour tous », a déclaré le pape Benoît XVI lors de la prière de l’Angélus dimanche.

ISLAM
> Un collectif regroupant des personnalités musulmanes, dont le grand imam de Bordeaux Oubrou Tareq et le recteur de la mosquée de Villeurbanne Gaci Azzedine, lance une pétition contre le débat sur l’islam annoncé par l’UMP.

> « L’islam est compatible avec les lois de la République, à condition que les musulmans le veuillent » mais soulève des « difficultés objectives », a déclaré le cardinal Barbarin dans un entretien au journal Le Monde.

> La proposition de Jean-François Copé d’interdire les prêches en arabe pour les musulmans est absurde (l’arabe est la langue du Coran) et contraire aux droits fondamentaux, démontre le journaliste Henrik Lindell.

POLITIQUE
Reprochant à Nicolas Sarkozy de se contenter de beaux discours sur l’héritage chrétien et non d’actes concrets, Christine Boutin, présidente du Parti chrétien démocrate, a lancé une pétition pour la reconnaissance des racines chrétiennes de l’Europe. (via StreetPress.com)


BIOÉTHIQUE
Michel Onfray défend sa vision d’une « bioéthique libertaire » qui, si elle « n’a pas grand chose à voir avec le christianisme » s’oppose elle-aussi au « bébé-médicament« . « L’athée laïque que je suis, mais qui aime par-dessus tout les Lumières, ne choisit pas le camp de la laïcité quand elle est obscurantiste, mais celui des Lumières, fussent-elles chrétiennes », conclut le philosophe dans une tribune publiée dans Le Monde ce week-end.

Source: http://www.lavie.fr/

06/03/2011

Marine Le Pen devance les fossoyeurs de la France aux présidentielles. C’est pas moi, c’est l’autre…

La machine de guerre est en route. Ils se tapent tous dessus, entre eux, même. Ils se rejettent les uns les autres la situation déplorable dans laquelle ils ont mis le peuple de France. Nous n’entendons plus « d’appel à l’unité »… La France se soulève. La France a enfin compris. La France va reprendre son identité nationale et manifester son patriotisme.  Elle a déjà commencé, d’ailleurs. Il y a des signes qui ne trompent pas… Par exemple:

Sondage : Marine Le Pen à 23% au premier tour !


Ouf. Nous allons récupérer notre légitimité et notre fierté d’être Français.

FDF

Criminel mépris…

Un sondage du Parisien donne Madame Le Pen en tête au premier tour de l’élection présidentielle.

Tout ce que trouvent à dire Mme Aubry et M. Fabius: « c’est la faute au débat sur la laïcité annoncé par le Président de la République ». La vérité, c’est qu’ils prennent les gens pour des imbéciles, incapables de penser par eux mêmes. Aveuglés par leurs dogmes idéologiques sur l’immigration bienfaitrice et le multiculturalisme, ils ne se rendent absolument pas compte des inquiétudes et des préoccupations des Français liées, entre autre, au risque d’un flux migratoire massif en provenance du Maghreb déstabilisé.

Dans le même temps, Harlem Désir, le numéro du PS traite le ministre de l’Intérieur de « petit douanier » parce qu’il s’est rendu vendredi sur la frontière franco-italienne pour renforcer les contrôles sur les personnes en provenance d’Italie. Et l’ancien président de SOS racisme déclare que la seule politique valable est « d’accueillir les migrants qui fuient leur pays ». Il se garde bien de préciser ce qu’il ferait d’eux par la suite,  alors que le taux de chômage des étrangers est de près de 25% et qu’il manque dans notre pays un million de logements sociaux.

Partout dans les journaux, les média, on ne voit que le mot « peur ». Les « Catholiques sont rongés par la peur » déclare monseigneur Barbarin, le Monde rapproche  dans sa Une de vendedi « l’espoir  dans les pays arabes » à la   »grande peur de l’Europe ». Madame Aubry accuse le gouvernement de faire « peur ». Le mot peur est ainsi brandi comme une marque de mépris, avec le message sous entendu que si les gens ont peur, c’est parce qu’ils ne sont pas éclairés et qu’ils sont froussards. Or, les élites, l’établissement, les corps intermédiaires bien pensants ( médias, Université, hautes sphères de l’Etat) parlent de peur là où il n’y a rien d’autre qu’une légitime inquiétude de la population, du bons sens et de la lucidité.

La peur, le spectre du 21 avril 2002, la pétoche, c’est eux qui l’ont au ventre, la grande frousse des bien pensants. Ces élites de la gauche caviar, la gauche la plus autiste, la plus méprisante,  la plus bête et la plus méchante du monde, méprisante à un point qui dépasse l’entendement, responsables de la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui, ne méritent rien d’autre qu’une belle claque.


Source: http://maximetandonnet.wordpress.com/2011/03/05/quel-mepris-quel-aveuglement/

02/03/2011

Pakistan: peur et silence sont le quotidien des chrétiens.

Et si on inversait le processus? Faire vivre les muzz dans la terreur dans nos pays occidentaux… Ce ne serait que justice, non? S’il faut faire régner l’intolérance religieuse, on sait faire aussi.

FDF

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Les chrétiens pakistanais, entre le silence et la peur.

Alors que le ministre pakistanais des minorités religieuses, le chrétien Shahbaz Bhatti a été assassiné mercredi matin et qu’Asia Bibi, condamnée à mort pour blasphème, attend en prison le jugement en appel de la Haute Cour de Lahore, la minorité chrétienne garde profil bas face à la surenchère islamiste

Chrétiens pakistanais réunis dans la cathédrale de Lahore, le 9 janvier 2011, pour une prière à la mémoire de Salman Taseer, le gouverneur du Pendjab assassiné après avoir soutenu la réforme de la loi sur le blasphème (Photo : AFP/Arif ALI).

A l’angle du mur, le portail de fer bleu reste fermé. C’est la maison d’Asia Bibi, la chrétienne condamnée à mort pour blasphème. « Asia a insulté le Prophète, la paix soit avec lui, c’est pour ça qu’elle est en prison », lâche Fakir Mohammed, le voisin d’en face, visage fermé.

« Tout le village s’est réuni pour l’entendre et elle a reconnu les faits. Nous lui avons dit qu’elle serait pardonnée si elle acceptait de devenir musulmane, mais elle a refusé. Pour ce qu’elle a dit, elle doit être punie. »

Drôle d’ambiance à Ittan Wali, un village de 200 familles, perdu au milieu des champs de blé et de canne à sucre, à une heure de route de Lahore, dans la province pakistanaise du Pendjab. Des maisons en torchis, sans eau ni électricité.

Au lieu de baisser la tête, Asia Bibi se défend

Un coin paisible, jusqu’à cette journée du 14 juin 2009, quand une dispute éclate dans un champ, entre Asia Bibi, 38 ans, de son vrai nom Asia Noreen, et trois autres femmes. Elles ramassent des falsa, une baie asiatique. Une des femmes a soif. Asia va chercher de l’eau à la maison. Quand elle revient avec son seau, ses collègues musulmanes refusent de boire du même verre. À moins, disent-elles, qu’elle se convertisse à l’islam. Asia est « impure ».

Au lieu de baisser la tête sans rien dire – comme sont censés faire, en toutes circonstances, les chrétiens pakistanais, des minoritaires « intouchables » parce que descendants d’hindous de basse caste, convertis au christianisme à l’indépendance du Pakistan –, Asia Bibi se défend. « Pourquoi devrais-je me convertir ? Jésus-Christ est mort sur la croix pour les péchés de tous les hommes. Qu’a fait Mohammed ? »

En colère, les trois musulmanes bousculent et frappent Asia, qui se réfugie chez elle. L’une d’elles, la femme du voisin Mohammad Tufail, en veut particulièrement à la chrétienne. Une querelle les a déjà opposées, pour une histoire de mangeoire brisée par une chèvre. Cette fois, elle tient sa revanche et s’empresse de la dénoncer à la femme de l’imam du village.

Sur les trois familles chrétiennes du village, deux sont parties !

Cinq jours plus tard, le 19 juin, c’est la vendetta. Rameutés par le religieux, à l’aide des haut-parleurs de la mosquée, les anciens d’Ittan Wali, accompagnés d’une foule de villageois, se rendent au domicile de l’insolente chrétienne.

Publiquement accusée de blasphème, sommée de se convertir, Asia refuse. Certains veulent la conduire sur un âne à travers le village, la corde au cou, avant de faire justice. La police intervient. « Pour sa propre sécurité », Asia Bibi est incarcérée à la prison de Sheikhupura, chef-lieu du district.

On connaît la suite. Inculpée pour blasphème, en vertu de l’article 295 c du code pénal pakistanais, Asia Bibi se voit condamnée à mort par pendaison, le 8 novembre 2010, par Naveed Iqbal, juge du tribunal de la ville.

Triste bilan. Sur les trois familles chrétiennes du village, deux sont parties. Menacé, Ashiq Masih, le mari d’Asia, vit dans la clandestinité avec ses cinq enfants. Son cousin a vendu sa maison pour s’installer à Faisalabad. Sa sœur Nadjma aimerait en faire autant.

«Il avait jugé “inique” la loi sur le blasphème. Son meurtre est donc justifié»

Trois mois après, le principal instigateur du drame affiche sa bonne conscience. À quelques centaines de mètres de la maison d’Asia, une ruelle défoncée mène à la mosquée du village, récemment agrandie et rénovée. Assis sur le parvis, quatre gamins ânonnent les versets du Coran.

« Le mari d’Asia est parti volontairement. Personne ne lui a rien demandé », affirme l’imam Muhammad Salim, 31 ans, arrivé il y a cinq ans dans le village, après huit ans d’études à la madrasa fondamentaliste Khair-ul-Madaris de Multan, dans le sud du Pendjab. Chaque jour, à l’exception du vendredi, 150 enfants âgés de 4 à 15 ans fréquentent son école coranique.

« Les chrétiens doivent se conformer à la loi pakistanaise qui interdit toute remarque désobligeante à l’égard du Prophète », explique, imperturbable, Muhammad Salim. « Salman Taseer, le gouverneur de la province assassiné le 4 janvier, a tenté de contourner le jugement du tribunal pour faire libérer Asia. Il avait jugé “inique” la loi sur le blasphème. Son meurtre est donc justifié. »

«Sa faute a été largement prouvée»

Barbe noire soigneusement peignée, élégamment vêtu, le jeune qari (celui qui conduit la prière) s’est fait, dans l’affaire, un nom et une réputation. C’est à sa demande que le SSP (senior superintendent of police, officier de police supérieur) a établi le FIR (first investigative report), c’est-à-dire le compte rendu d’enquête, requis par la loi. C’est lui qui a mobilisé des témoins pour le procès, la quasi-totalité des membres du conseil du village.

« Les étrangers soutiennent Asia et proclament son innocence, mais sa faute a été largement prouvée, dit-il. J’ai demandé à chacune des femmes présentes pendant l’altercation si Asia avait bien prononcé des mots insultants contre les musulmans et le Prophète, ce qu’elles ont confirmé.

Asia elle-même a reconnu les faits et s’est excusée. On m’a dit qu’elle avait réitéré ses aveux devant le tribunal de Sheikhupura, qui a mis plus d’un an à rassembler les preuves avant de la condamner. Elle a fait appel devant la Haute Cour de Lahore. Pour moi, il ne fait pas de doute que ce jugement doit être confirmé. »

«La législation devrait être modifiée pour éviter les abus»

À Sheikhupura, Asia croupit dans sa cellule, derrière les murs de briques rouges de la prison, surplombés de miradors. Dans cette ville industrielle d’environ 350 000 habitants au nord-ouest de Lahore, les membres de la communauté catholique font profil bas. Quelque 1800 familles sont dispersées dans le district. La plupart, confinés dans des emplois subalternes – ouvriers, agents de propreté ou employés de maison.

Ce dimanche, une centaine d’entre eux participe à la messe autour du P. Samson Dilawar dans l’église Sainte-Thérèse, construite en 1906 par des missionnaires capucins belges. Dans la salle du presbytère encore décorée de guirlandes de Noël, l’ambiance n’est pas à la fête. Khalid Mattoo, un catholique responsable local du conseil pour l’harmonie interreligieuse, brandit une copie du FIR.

Le document cite les propos litigieux attribués à Asia Bibi sur la santé de Mohammed dans les derniers jours de sa vie et sur son mariage « pour de l’argent » avec Khadija, sa première femme. « J’ai mené ma propre enquête, affirme Khalid Mattoo. Tout cela n’est qu’un nouvel exemple de la façon dont les extrémistes utilisent la loi sur le blasphème contre des innocents. Nous n’avons rien contre cette législation mais elle devrait être modifiée pour éviter les abus. »

«Je dis à mes quatre fils de la fermer quand ils sont à l’école»

Vœu pieux qu’il se garde de formuler publiquement. « Depuis l’assassinat du gouverneur de la province, nous vivons dans la peur. Personne n’ose dire ouvertement ce qu’il pense, souligne Kashif, un catholique de 32 ans, représentant au conseil de la ville et employé dans une ONG locale. La plupart des musulmans sont sous l’influence des extrémistes, y compris dans la police. Ceux qui ne sont pas d’accord préfèrent garder le silence. Quant à l’Église, à part prier, elle ne fait pas grand-chose pour Asia Bibi et sa famille. Elle devrait leur donner une assistance juridique, une protection et un soutien financier. »

Au « pays des Purs », il ne fait pas bon être minoritaire, entre insécurité, discrimination et conversion forcée. En décembre, deux jeunes filles âgées de 17 et 13 ans ont été kidnappées dans le district. Des propriétaires tentent d’expulser quatre familles chrétiennes installées sur leurs terres depuis plusieurs générations, sous prétexte qu’elles ne travaillent plus pour leur compte.

« Chaque jour, raconte Mansha Masi, 40 ans, agent de propreté dans un collège public, je dis à mes quatre fils de la fermer quand ils sont à l’école et de ne pas se mêler dans les bagarres. Je les oblige à poursuivre leurs études en dépit de la discrimination qui sévit dans l’éducation. »

«L’intolérance devient un mode de vie»

Le 20 novembre dernier, le gouverneur musulman du Pendjab s’était attiré la sympathie des chrétiens en rendant visite à Asia Bibi dans sa prison.

« Salman Taseer m’avait demandé de l’accompagner, raconte Samson Dilawar, 47 ans, curé de Sainte-Thérèse. Au nom de tous les chrétiens du district, je lui ai exprimé ma reconnaissance. Malheureusement, la situation s’est fortement détériorée après son assassinat. Des individus armés sont venus, à bord de deux véhicules, tirer des rafales devant l’église. J’ai reçu deux menaces de mort par téléphone. Le plus grave, c’est que la sécurité d’Asia Bibi en prison n’est pas assurée. Tout peut lui arriver à tout moment. »

Dans son bureau de Walton Road, à Lahore, Peter Jacob, directeur exécutif de la Commission nationale Justice et Paix de l’Église catholique pakistanaise, s’inquiète de la faible réaction de la société civile au lendemain de l’assassinat du gouverneur. « L’intolérance devient un mode de vie. Nous ne pouvons pas faire de déclarations publiques sur des questions comme la situation des minorités religieuses au Pakistan et organiser nos activités avec la même facilité qu’avant. »

«Le pays perd sa diversité religieuse»

Selon lui, cette atmosphère répressive affecte le réseau de permanents et de volontaires. « Sept de mes collègues ont été assassinés à Karachi. Face à la dynamique créée par les partis religieux et les extrémistes islamistes sur la question de la loi sur le blasphème, le gouvernement a capitulé, par manque de courage et par stupidité. Le mieux que nous puissions espérer pour Asia Bibi, c’est que sa peine de mort soit commuée en prison à vie par la Haute Cour de Lahore, au mieux d’ici à un an. Sans préjuger, ensuite, d’un ultime recours devant la Cour suprême ou d’une grâce présidentielle. »

Pour ce militant des droits de l’homme, le gouvernement civil sorti des urnes en 2008 n’a rien fait pour s’attaquer aux causes profondes de l’extrémisme religieux. « Les dirigeants civils et militaires ignorent la dimension idéologique de ce combat. Le gouvernement n’a pas réussi à expliquer à la population la nécessité de séparer la religion de la politique. Rien n’a été fait pour changer les dispositions favorisant la discrimination religieuse dans la Constitution, les lois et les politiques de l’État. Résultat, le pays perd sa diversité religieuse. Les minorités sont en voie d’extinction, incapables de se défendre. »

Au centre de Lahore, la cathédrale du Sacré-Cœur reste un havre précaire pour les 100 000 catholiques de la capitale du Pendjab. En mars 2008, dix vitraux ont été détruits dans l’explosion causée par un attentat-suicide contre un immeuble voisin.

«La plupart restent ici sous une énorme pression»

Ordonné archevêque du diocèse le 11 septembre 2001, Mgr Lawrence Saldanha ne cache pas son désarroi. « Je ne sais pas quelle est la solution. Personne ne nous écoute. Le ministère des minorités a disparu dans le nouveau gouvernement. Il faudrait beaucoup d’éducation et de temps pour lutter contre l’extrémisme. La pauvreté et le manque d’éducation n’encouragent pas les gens à penser par eux-mêmes. »

Selon lui, les chrétiens sentent qu’il n’y a pas d’avenir pour leurs enfants. Les rares chanceux qui trouvent le moyen d’émigrer au Canada ou au Royaume-Uni ne reviennent plus. « La plupart restent ici sous une énorme pression. Près de 400 chrétiens se seraient convertis à l’islam en 2010. Il ne nous reste plus que la liberté de prier. »

Chaque samedi, les mariages se succèdent dans l’imposant édifice néogothique en briques rouges, construit en 1907, sur les plans d’un architecte flamand. À la fin de la cérémonie, les couples sortent sous les pétales de roses. Ombre et lumière. La vie continue.

Source: http://www.la-croix.com/

15/02/2011

L’intégrisme s’empare de la Tunisie.

Ca, c’était à prévoir. Et ce n’est que le début. Les fous d’Allah avaient tout fomenté depuis longtemps. La ré-islamisation de ce pays est en cours. Avec tous les ingrédients nécessaires: charia, écoles coraniques, enseignement de la haine de l’Occident, etc… Les autres pays où les intégristes ont lancé la révolution ne vont pas tarder à suivre… Pas bon pour nous, ça; pas bon…

FDF

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Première manifestation d’islamistes à Tunis


Plusieurs centaines d’islamistes ont manifesté vendredi après-midi à Tunis pour réclamer notamment la libération des détenus condamnés en vertu de la loi antiterroriste jugée anticonstitutionnelle par la société civile.

Des partis d’opposition ont longtemps accusé le gouvernement de se servir de cette loi pour porter atteinte aux droits de l’Homme et condamner des centaines de jeunes pour des « motifs fallacieux » dans des « procès inéquitables ».

« Non à la loi sur le terrorisme », « non à l’interdiction de la barbe », « non à l’interdiction du voile », pouvait-on lire sur des pancartes brandies par les manifestants qui parcouraient l’avenue Bourguiba, la principale artère de la capitale, en entonnant des chants religieux et en scandant « Allahou Akbar » (Dieu est le plus grand).

C’est la première manifestation d’islamistes à Tunis depuis la dissolution du mouvement Ennahdha en 1992 et également depuis le retour du chef de ce mouvement Rached Ghannouchi après 23 ans d’exil en Angleterre.

« Ce n’est pas à l’appel d’Ennahdha que nous sommes là. C’est une manifestation spontanée partie de la mosquée Zitouna » distante d’environ un kilomètre, a tenu à préciser Ismaïl Hammami, 25 ans, qui se dit néanmoins Nahdhaoui.

« On ne veut pas que la politique interfère dans la religion. On veut que les mosquées soient ouvertes sans interruption, que le port du voile soit libre. Pourquoi nous imposer la monogamie alors que l’islam nous autorise à prendre jusqu’à quatre épouses? » revendique Mokhtar Yacoubi, un moniteur de sport, la quarantaine.

Sous le régime de l’ancien président Zine El Abidine Ben Ali, les mosquées n’ouvraient qu’aux heures de prière, alors qu’auparavant elles étaient accessibles aux fidèles sans discontinuer. Les autorités justifiaient cette mesure en accusant les partisans d’Ennahdha d’utiliser ces espaces religieux pour tenir des « réunions politiques« .

Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/

15/01/2011

Un quartier de Tarbes pour le moins « agité ».

Quartiers, délinquance, voitures brûlées, caillassées, « jeunes »… Chutttttttttttttttttttt. On ne doit pas donner les chiffres… Et bien si; on va les donner et inviter les victimes à témoigner. Il faut que la population sache, au moins, ce qu’on lui cache… Et la peur des « représailles », on va laisser ça de coté. De toutes façons, elle va changer de camp, la peur… On va les mettre à genoux, les sous-merdes. Ce n’est pas une poignée de cloportes « issus de l’immigration » qui vont continuer de faire LEUR loi sur NOTRE territoire. Il est temps de réagir. Et si il faut en aligner deux/trois « pour l’exemple », ce ne sera pas un problème. Ce ne sont pas les « bonnes volontés » qui manquent…

FDF

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Tarbes. Trois voitures incendiées

Trois voitures ont été incendiées dans le parking de cette résidence, sans doute en guise de représailles…/Photo DDM, Joël Boyé
Trois voitures ont été incendiées dans le parking de cette résidence, sans doute en guise de représailles…/Photo DDM, Joël Boyé

Depuis quelques jours, le quartier Laubadère est pour le moins agité. Ce week-end, une ambulance des pompiers a été « caillassée », sans mal pour les hommes du feu, fort heureusement. Et puis, la nuit dernière, s3 voitures ont été incendiées, dans le parking des nouvelles résidences, rue de la Gascogne. L’origine criminelle ne fait aucun doute car, si deux des voitures étaient garées côte à côte, la troisième était garée à une dizaine de mètres. La « propagation naturelle » est donc exclue.

En outre, les deux affaires semblent liées, comme le subodore le préfet des Hautes-Pyrénées, René Bidal. « Le caillassage d’un VSAB de pompiers est, fort heureusement un acte exceptionnel dans une ville comme Tarbes, et bien que ses conséquences soient faibles, aucun pompier n’a été blessé, il a tout de même une portée symbolique très importante, et cet acte isolé et rare ne doit pas rester impuni. Aussi, j’ai demandé aux services de police de tout mettre en œuvre pour confondre les auteurs et deux jeunes mineurs ont été placés en garde à vue dans le cadre de l’enquête. »

Toujours selon le préfet Bidal, les incendies de cette nuit sont en quelque sorte des « représailles » après ces arrestations. « Certaines personnes doivent être contrariées par l’activité policière. Il est dommage que dans ce quartier, où l’effort de l’État et des collectivités locales est très important, financièrement et en moyens humains, soit l’objet de telles exactions qui jettent l’opprobre sur l’ensemble de la population, alors qu’elles ne sont le fait que de quelques-uns. À ce sujet, je souhaite insister sur le devoir de témoignage. Il est excessivement difficile d’en recueillir. C’est pourtant un devoir citoyen, encore plus important dans une zone où des jeunes se livrent à de telles dégradations, dont les victimes sont également des habitants du quartier. »

Source: http://www.ladepeche.fr/

16/12/2010

« Il faut partir d’ici le plus vite possible ! » hurlent les commerçants des banlieues.

Fini de rire…

Non seulement ils occupent nos rues mais ils nous chassent de chez nous. On ne va tout de même pas se laisser faire, si? Alors que la résistance s’amplifie! Réveillez-vous !

FDF

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Banlieues de l’immigration : l’exil forcé des commerçants continue…


Exercer normalement une activité commerciale dans l’une des zones de non-droit que sont devenus les banlieues de l’immigration est désormais devenu impossible.

Ainsi, à Thiais (Val-de-Marne), après les départs de la boucherie, du pressing, de l’auto-école, du magasin Franprix, c’est au tour des  boulangers, victimes d’un braquage à main armée, de chercher à quitter le quartier des Grands-Champs. « Il faut partir d’ici le plus vite possible ! » est désormais le cri de ces artisans lassés de vivre dans la peur et la violence.

Cela fait huit ans que la famille Chariot tient la boulangerie du quartier des Grands-Champs dont elle a pu observer la progressive dégradation.

Aujourd’hui, seule la boulangerie et la pharmacie voisine survivent malgré un chiffre d’affaires en baisse, au milieu des stores baissés et des grues de chantier dans ce quartier de 2000 habitants.

Les derniers commerçants n’ont pas d’autre but que de quitter ce cauchemar. Mais à quel prix ? Car dans un tel contexte les repreneurs ne se bousculent pas ou proposent des prix dérisoires.
Une vie de travail et un patrimoine se voient ainsi sacrifié sur l’autel de l’impunité des bandes ethniques.


Source: Novopress.info

14/12/2010

Si si, les chiffres baissent… Mais certains collègiens ont peur d’aller en cours.

Ahhhhhhhhhhh, ces jeux d’enfants dans les cours de récréation… Les espaces ludiques des établissements scolaires deviennent des rings et des lieux d’affrontements. La violence y règne…Tout le monde le sait. Personne n’ose trop bouger… Et la discipline, dans tout ça?
FDF

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Les jeux dans la cour de  récréation ne sont pas tous sans dangers./Photo DDM, Roger Garcia.
Les jeux dans la cour de récréation ne sont pas tous sans dangers./Photo DDM, Roger Garcia.

Peur d’aller au collège par peur d’être tabassé sans retenue par des dizaines de camarades. ça s’appelle «le jeu d e l’abattage». Enquête au collège Chénier.

Ce jour-là, jour de son anniversaire, cet élève demi-pensionnaire du collège Chénier ne mangera pas à la cantine. Sa maman raconte : « Mon fils a peur. Il m’a dit qu’il n’allait pas y couper. La prochaine victime de l’abattage, c’est lui ».

Le jeu de l’abattage serait le dernier passe-temps à la mode des collégiens dans les cours de récréations. De quoi s’agit-il ? D’un engrenage aussi bête que méchant. Une élève est pris à partie. On commence à lui donner quelques tapes amicales. L’espace de quelques secondes, un groupe se forme autour de l’enfant auquel ses camarades de plus en plus nombreux infligent une pluie de coups, de plus en plus en forts. L’an passé l’adolescent cité plus haut a déjà subi ce traitement. Il est rentré chez lui avec un œil au beurre noir. Le père avait déposé plainte. « La blessure n’était pas gravissime, cependant mon garçon a été choqué, raconte la mère. Nous sommes à quelques jours de son anniversaire, je sens que mon fils a la pression ».

L’anniversaire n’est pas la seule motivation de ces agressions. Les bons élèves sont des cibles privilégiées de ces bizutages. Une élève de troisième, au collège Chénier, témoigne : « Dans ma classe, c’est mal vu d’être bon, c’est presque la honte d’avoir des bonnes notes. On se fait insulter. Alors, on garde le silence pendant les cours ». Se taire, se fondre dans le moule seraient devenus la seule issue de secours pour les collégiens bien notés. Le principal du collège Chénier, Yannick Callat, ne nie pas l’existence de ces rituels qui ont toujours existé dans les cours de récréation à la pré-adolescence et à l’adolescence. « Se faire remarquer n’est pas dans les codes à ces âges là, déclare ce chef d’établissement. C’est vrai de la tenue vestimentaire comme du comportement en classe ». La différence avec les générations précédentes, note Yannick Callat, tient dans le comportement des plus jeunes. « Je ne connais pas la raison qui pousse nos élèves en classes de 6e et 5e à être plus violents que leurs aînés. Nous en voyons qui titillent sans crainte les plus grands, et ce n’est pas un jeu. C’est une évolution qui interroge notre communauté éducative, ces gamines ne se font pa de cadeaux ».

Après le jeu du foulard, les jeux de strangulation, le jeu de l’abattage a fait son entrée dans les cours de récréation. Pas partout si l’on en croit les réactions (ci-dessous) des principaux des autres établissements secondaires à Carcassonne. « Le collège est le reflet de la société, le tri se fait chez nous », observe quant à lui Yannick Callat.


Des jeux plus ou moins bêtes et méchants

«Des jeux bêtes, nous en avons plein les rayons, mais nous ne vivons pas dans le neuf-trois». Valérie Desmaretz, principale du collège Emile Alain partage le sentiment de sa collègue Monique Renaudeau à Varsovie. A Grazailles, Alix Barrio est témoin de temps à autre de violences sans conséquences. «On se poursuit, on se bouscule, il arrive que l’on se fasse mal involontairement». Rien de comparable avec les motivations et les blessures qui peuvent être in fligées par le jeu de l’abattage. Au collège du Bastion, Bernard Valet a été obligé d’intervenir pour interdire cette pratique. «L’abattage, dit-il, est un jeu à risque, il ne faut pas nier l’existence. Ce n’est pas courant mais ça se peut se produire. A chaque fois nous essayons de répondre de façon juste et éducative». Le règlement intérieur des collèges ne résout pas tous les problèmes. Au collège Chénier, celui-ci est modifié chaque année, il insiste particulièrement sur la tenue vestimentaire à telle enseigne que les récalcitrants sont priés de rectifier leur «costume» en enfilant un tee-shirt XXL imposé par le collège.

Source: http://www.ladepeche.fr/

04/12/2010

Eric Besson a décidé, vendredi 3 décembre, d’engager la bataille contre WikiLeaks!

L’action de Besson contre l’hébergeur de WikiLeaks constitue une « situation inédite »

La « voix de son maître »… Sarkö se mêle des présidentielles en Côte d’Ivoire. A peine nommé, Besson emboîte le pas et celui des Etats Unis… Il est vrai que le peuple risque d’apprendre de vrais informations. Et là, le risque est majeur. Les sièges éjectables sont amorcés et ce n’est pas le moment, vraiment pas: 2012, c’est demain. Donc, « on » préfère prendre les devants… On « serre les fesses », semble t’il.

FDF
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Après les Etats-Unis, le ministre de l’industrie, de l’énergie et de l’économie numérique, Eric Besson, a décidé, vendredi 3 décembre, d’engager la bataille contre WikiLeaks, en étudiant les recours possibles contre l’hébergement en France du site qui a « violé » le secret diplomatique en publiant, depuis le 28 novembre, des centaines de documents confidentiels américains en collaboration avec Le Monde et d’autres grands titres de la presse mondiale. Le ministre de l’économie numérique a ainsi chargé, dans une lettre, le Conseil général de l’industrie, de l’énergie et des technologies (CGIET) de lui indiquer « dans les meilleurs délais possibles quelles actions peuvent être entreprises afin que ce site Internet ne soit plus hébergé en France« . Dans la foulée, l’hébergeur OVH a annoncé, dans un message sur le forum de sa société, sa décision de « saisir le juge en référé afin qu’il se prononce sur la légalité ou pas de ce site sur le territoire français ».

« Une situation inédite« , ont estimé les avocats Anthony Bem et Etienne Papin, spécialisés en droit des nouvelles technologies, qui reviennent sur les moyens légaux dont pourraient disposer le ministre et les services de l’Etat pour faire interdire l’hébergement de WikiLeaks par la société roubaisienne OVH et d’autres hébergeurs sur le territoire français.

  • La démarche entreprise par le ministre Eric Besson est-elle courante ?

Non, selon Me Etienne Papin, qui estime que « ce n’est pas tous les jours que le ministre s’interroge sur la légalité d’un site et saisit le CGIET ». Selon l’avocat, la question se pose de savoir pourquoi le ministère demande « un conseil juridique » au CGIET, qui « a des fonctions uniquement consultatives et est chargé dans certains domaines technologiques de formuler des avis pour les pouvoirs publics ». « Ce n’est pas totalement illogique », commente-t-il, bien que « curieux », dans la mesure où le CGIET réalise davantage des enquêtes de fond, sur la durée.

Circonspect sur l’issue de la démarche du ministre, Me Anthony Bem y voit toutefois des aspects politique et juridique positifs. « C’est positif de faire avancer le débat politique sur la question de la responsabilité sur Internet et de la responsabilité des sites, car il y a un grand contentieux et un défaut de règles légales, un vide juridique. Il faut organiser et fixer les procédures », estime-t-il.

  • De quels moyens légaux dispose le ministre ?

« A minima, le ministre dispose des mêmes moyens que tout un chacun, particulier ou entreprise, qui, par la loi pour la confiance dans l’économie numérique (LCEN) de 2004, permet de notifier à l’hébergeur le caractère illicite du contenu et demander le retrait« , en faisant une requête auprès du président du tribunal de grande instance, explique Me Papin. « En tant que prestataire technique, OVH n’est pas responsable juridiquement du contenu des sites », précise Me Bem.

Selon l’article 6 de la LCEN, le seul à traiter de la question de la responsabilité des sites, « il y a un distinguo entre hébergeur et éditeur pour dire si un site est responsable ou pas », explique Me Bem. « Dans la jurisprudence, l’éditeur est identifié comme l’auteur du contenu, alors que l’hébergeur est le prestataire technique. Ce sont deux notions très importantes : l’éditeur est responsable automatiquement de plein droit et l’hebergeur a, lui, une responsabilité atténuée : il ne devient responsable qu’après avoir reçu notification de retrait qu’en bonne et due forme », précise-t-il. La notification doit comporter des indications très précises, telles que l’URL des pages litigieuses, la nature des propos litigieux, le nom de la victime et le fondement légal.

« Ce n’est qu’après avoir reçu notification de retirer un contenu et n’avoir rien fait dans les quarante-huit heures que l’hébergeur est tenu responsable », conclut Me Bem. « Quasi quotidiennement, des hébergeurs reçoivent des notifications. Généralement, ils ne se posent pas de questions et assurent le retrait pour ne courir aucun risque », note Me Papin.

  • Pensez-vous qu’une action puisse être engagée contre le site WikiLeaks sur la base des qualifications avancées par Eric Besson dans sa lettre au CGIET ?

« A ma connaissance, la violation du secret en France concernant un étranger ou un autre Etat ne constitue pas une infraction pénale », estime Me Bem. Par ailleurs, « la qualification de ‘site Internet criminel’ n’existe pas en tant que telle, seul un contenu pourrait revêtir une telle qualification pénale susceptible d’entraîner des infractions pénales », ajoute-t-il, en précisant qu’une action en justice par une personne privée ou morale est nécessaire au préalable.

Le droit reconnaît tout de même « toute une gamme de contenus illicites : atteinte du droit d’auteur, à la vie privée, diffamation, violation du secret… », note Me Papin. Toutefois, pour juger du caractère illicite des contenus trouvés sur WikiLeaks ou de l’existence d’une infraction pénale au sens du droit pénal français, il faudrait analyser l’intégralité du contenu. En règle générale, note-t-il, « il n’est pas difficile de trouver une infraction pénale comme la mise en danger de la vie d’autrui »

Suite et source: http://tinyurl.com/32bm625

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Merci à JJ pour l’info…

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