Francaisdefrance's Blog

29/12/2011

Racisme exacerbé en Italie…

On peut dire qu’ils n’y vont pas de main morte, en Italie. Ce sont des « sanguins », comme on dit. Peut-être à t’on commencé à les bassiner avec le « vivre ensemble », « les bienfaits de l’immigration », « les chances pour l’Italie », « la mixité », et tout et tout. Peut-être ont ils commencé à ne plus se sentir chez eux? Peut-être en ont ils eu marre de voir leurs dirigeants les reléguer au second rang en qualité de citoyens de souche italienne?  Peut-être qu’ils en ont eu assez de se faire traiter de « sales ritals » par des étrangers?

Et un jour, ils ont ouvert les yeux; et leurs porte-flingue. Mais c’est en Italie…

FDF

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L’Italie gangrenée par une vague de racisme meurtrier !

(Article & vidéo)

Les meurtres de deux Sénégalais à Florence, mardi, après un pogrom anti-Roms à Turin secouent et inquiètent l’opinion transalpine.

Arrivés du Sénégal il y a quelques années, ils se rendaient chaque jour au marché de la Piazza Dalmazia, dans le centre de Florence, pour y vendre quelques briquets et autres mouchoirs en papier. Samb Modou, 40 ans et Diop Mor, 54 ans vivaient non loin de là, dans une petite maison, à Sesto Fiorentino. Parce qu’ils étaient noirs, ils ont été froidement abattus, mardi midi, d’un coup de Smith & Wesson 357, sous les regards de dizaines de témoins pétrifiés, plongeant la capitale toscane dans l’effroi et l’Italie dans la stupeur. Un autre vendeur ambulant sénégalais, Sougou Mor, 32 ans, a aussi été grièvement blessé. (voir la vidéo)

Habitué des cercles néofascistes, raciste et antisémite, le meurtrier, Gianluca Casseri, un expert-comptable de 50 ans, a ensuite quitté en toute hâte le marché. «Pousse-toi ou je te tue toi aussi !» lance-t-il à un marchand de journaux qui tente de le bloquer. Une heure et demie plus tard, l’assassin, auteur de livres politico-ésotériques, reprend sa terrifiante chasse à l’Africain. Sur un autre marché, celui de San Lorenzo, dans le cœur historique de la cité, il sort à nouveau son arme, poursuit deux autres Sénégalais entre les étals et les blesse. Pour échapper à la police, Casseri gare ensuite sa voiture dans un parking en sous-sol avant de retourner l’arme contre lui et se tirer une balle dans la bouche.

Hier, Florence a rendu hommage aux deux vendeurs ambulants «victime d’une folie xénophobe et raciste», selon les termes du maire, Matteo Renzi. Les commerçants ont baissé leurs rideaux en signe de solidarité avec la communauté sénégalaise et les immigrés africains, qui, mardi soir, ont manifesté jusqu’au Palazzo Vecchio, siège de la municipalité, pour crier leur «rage» et faire part de leurs «peurs». D’autant que les sites d’extrême droite ont immédiatement célébré le «héros» Gianluca Casseri qui «a eu le courage de faire ce que nous devrions faire en masse contre cette immondice nègre».

«Barbarie». Mais, au-delà des manifestations de haine de ces groupuscules fanatiques, l’Italie s’interroge sur la montée dans le pays, en ces temps de crise, d’un vent de xénophobie alimenté par la propagande anti-immigrée de certains partis, à commencer par la Ligue du Nord d’Umberto Bossi. «Les faits de Florence sont le fruit d’un climat d’intolérance envers les étrangers fomenté depuis des années», a dénoncé, l’ancien maire (parti démocrate) de Rome Walter Veltroni.

Pour certains commentateurs, Gianluca Casseri ne serait à l’inverse qu’une sorte de Breivik toscan. Comme le tueur norvégien d’Utoya, l’expert-comptable serait ainsi un fou isolé, introverti, dépressif et abreuvé d’idéologie néonazie, qui, sans raison spécifique, serait passé à l’acte. «Il s’agit d’un acte de barbarie. Mais penser que Casseri serait devenu fou en raison d’un climat de haine raciale est une opération répugnante», a estimé Vittorio Feltri, directeur du quotidien berlusconinen Il Giornale, rappelant que, «bien que plein de défauts, nos compatriotes sont, statistiques en main, parmi les peuples les plus pacifiques et accueillants du monde, y compris avec les clandestins et les extracommunautaires qui vivent d’expédients». Reste que les épisodes de racisme se multiplient.

Viol…

Suite, source et vidéo: http://tinyurl.com/cwnjjvw

29/10/2011

Les délires de l’imam de Brest… Un malade, ce type.

Pour un énergumène émerveillé par la pédophilie de son « prophète » cet abruti a un drôle de discours… Et dire que dans bon nombre de mosquées, c’est pareil…
FDF
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On a beau rappeler que la loi de 1905 n’établit la liberté des cultes qu’à la CONDITION qu’à l’intérieur des édifices des cultes on ne prononce pas de discours contraires à la loi française, le gouvernement continue de tolérer sur notre sol des discours inacceptables, prononcés dans les mosquées et même relayés sur Internet comme celui de l’inénarrable imam de Brest !  Il faut écouter, au hasard des entrées de son site, par hasard celui sur la mixité et la fornication (à partir de 2 minutes, le début étant inaudible entre les imprécations en arabe et les traductions françaises)  : quelle haine de la femme, du plaisir, de la séduction, des rencontres, de l’épanouissement, du bonheur, tout simplement. La femme est essentiellement considérée comme la séductrice qui pervertit l’homme…

Cet imam, comme l’islam, n’ont rien à faire en France, c’est certain.

Source: http://christinetasin.over-blog.fr/

Bonus: http://archives-fr.novopress.info/77990/l%E2%80%99ancien-imam-de-brest-interpelle/

25/01/2011

Les « bienfaits » de l’immigration…

En voici encore une belle. Que l’on arrête de me parler des bienfaits de l’immigration, de la mixité, et j’en passe… « Ils » viennent en France avec leus « coutumes »; on voit ce que ça donne. Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres non connus ou tus par les médias…

FDF

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A 7 ans, la fillette était devenue « l’esclave » de sa famille !


En 2007, cette petite fille âgée de 7 ans a quitté sa mère aux Comores, pour venir suivre sa scolarité en France.

Elle est alors arrivée à Marseille chez son oncle et sa tante, un couple âgé d’une soixantaine d’années qui vit avec sa fille âgée de 34 ans.

Et, dès son arrivée en France, son calvaire a commencé.

Selon une source proche de l’enquête citée par La Provence, qui révèle les faits : « Elle devait se lever à 5 heures tous les matins. Une fois debout, c’était ménage et repassage. Si elle osait refuser, elle recevait des coups de livres sur la tête. En 2008, elle aurait aussi été brûlée avec un fer à repasser. La nuit, elle dormait à même le sol, sur un vieux matelas. »

Un calvaire qui va durer trois longues années.

Et, durant tout ce temps, personne n’a remarqué le moindre signe de cette vie terrible qu’endurait la fillette… A l’école, personne n’avait rien remarqué, mentionne aussi La Provence.

Un calvaire qui a pris fin grâce à l’intervention de la propre sœur de la tante de la fillette.

Indignée par le comportement de sa sœur, elle a porté plainte, précise aussi La Provence.

La brigade des mineurs de la Sûreté départementale a été saisie de l’affaire.

Jeudi, l’oncle, la tante et la cousine ont été entendus par la police.

Toujours selon La Provence, ils ont été mis en examen pour « violences volontaires par personne ayant autorité », avant d’être placés sous contrôle judiciaire.

Vendredi, une information judiciaire a été ouverte.

En attendant que sa mère vienne la récupérer, la fillette a été placée chez sa tante, celle qui a eu le courage de porter plainte.

Source: Le Post