Francaisdefrance's Blog

15/12/2011

La pétition contre le droit de vote aux étrangers fait des progrès…

Comme il fallait s’y attendre…

Nous sommes en France. Ce sont les Français, les vrais, qui décident de leur sort. Et pas les « pièces rapportées »…

FDF

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Chers amis,

Vous êtes plus de 12 000 à  avoir signé notre pétition contre le droit de vote

Cela prouve, s’il en était besoin, que la France n’est pas morte, malgré les coups que subissent sa souveraineté, son identité, sa culture et sa liberté d’expression.
Sachez aussi que le Comité contre le droit de vote des étrangers a fait beaucoup de choses en un mois de temps :
 il s’est créé 6 comités régionaux ou départementaux dont voici la liste et les coordonnées :

 Paris-Ile de France  idf.non.droitdevote@gmail.com 06 47 01 06 06  Christian Lescornec
 Normandie  comite.citoyen.normandie@gmail.com 06 34 37 15 28  Jean Lucat
 PACA  pacacontrevotedesetrangers@laposte.net 06 03 15 51 37  Jean-Louis Geiger
 Pays de la Loire  vote.tricolore.pdl@gmail.com 07 61 42 27 39  Gérard Benhaim
 Côte d’Or  nondroitdevote.comitecotedor@voila.fr 06 27 74 49 74  Martial Strauss
 Languedoc-Roussillon  LRcontrevotedesetrangers@yahoo.fr téléphone en attente  Jean-Claude Santerre

Sept autres sont en cours de création..

À la tête de ces comités : des volontaires, des citoyens qui ont, pour certains, une expérience politique (toutes les tendances de droite et du centre sont représentées) ; pour d’autres il s’agit de leur premier engagement.
Vous avez dû être contacté par chacun de ces responsables de comités, ou allez l’être très prochainement afin de vous rencontrer et de définir ensemble les actions à mener.
Pour sa part le Comité national a organisé un contre-sondage à celui de BVA (qui donnait 61% de Français favorables au vote des étrangers) auprès des 36 000 Maires de France le 6 décembre dernier, par un mail adressé à chacun des maires et leur demandant de répondre à la question « Êtes-vous favorable au droit de vote et d’éligibilité des étrangers non-Européens ? », répondez par OUI ou par NON.
10 000 maires ont ouvert ce message, environ 1 000 ont répondu de façon claire :

 Résultats  82 % NON  13% OUI  Nuls 5%

Voilà la réalité de la France profonde, la vraie, pas celle de bobos sondés par les instituts de sondage !

Par ailleurs, des centaines de nos amis signataires de la pétition ont organisé un véritable assaut téléphonique, dans les jours qui ont précédé le débat sur le texte de loi, auprès du groupe socialiste de l’Assemblée Nationale, du Sénat, auprès du PS, et des grandes radios et TV nationales.
Résultat :  tous les standards téléphoniques et les messageries saturés !! Bravo !! et le message est passé puisque le président de la République et le premier ministre, ainsi que la droite populaire et même Arno Klarsfeld, président de l’Office Français de l’Immigration,  ont pris position de façon très claire contre ce droit de vote.
Vous savez que malgré tout le texte a été voté par le Sénat à majorité de gauche.
Mais il ne passera pas à l’Assemblée Nationale, sauf s’il n’est soumis qu’après les prochaines législatives et que les Français font passer les socialistes à l’Assemblée.
Quant au  résultat de notre sondage auprès des maires, il  a été transmis à toute la presse, papier, radios et TV. Mais bien sûr ce résultat dérange la bien-pensence journalistique (encore des bobos…………)
Les réponses à ce sondage ne cessant d’affluer chaque jour,  je vous ferai un point actualisé dans 8 ou 10 jours, et alors j’espère que la presse daignera ouvrir les yeux sur la réalité…
Merci, pour les nouveaux qui n’auraient pas encore été contactés par leur comité régional, de prendre contact avec lui au plus tôt. Nous avons besoin de tous !!

A très bientôt et très amicalement

Catherine BLEIN
Porte-parole du Comité contre le droit de vote des étrangers
contredroitdevotedesetrangers@gmail.com

06/11/2011

On y arrive enfin…

A mon avis, ça va se bousculer à l’embauche… Depuis le temps que les citoyens le réclamaient, cet appel. Mais attention! Si on veut du bon boulot, il va falloir laisser carte blanche à ces nouveaux citoyens respectueux de l’ordre et ne pas incorporer « n’importe qui » dans les rangs.

Bon ça risque de friter grave mais les résultats seront là. Et puis, 97 euros non imposables…

Une chose m’inquiète, pourtant: en cas de débordements (car là, il y en aura, depuis le temps que ça les démange, les Français), Guéant va certainement jouer les « c’est pas moi, m’sieur ! »

Petite remarque en passant: il y en a qui n’ont pas attendu cette proposition. Depuis fort longtemps, ils avaient la solution; et depuis un certain temps, elle était en rodage…

Seconde remarque: les forces de police n’ont pas à s’inquiéter. Ce n’est pas une police de substitution; c’est un sérieux coup de main à un corps de métier qui a trop les pieds et poings liés…

On signe où ?

FDF

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Sécurité : Guéant propose aux citoyens de faire la police !

Un récent décret permet à tout un chacun de rejoindre la réserve de la police, jusqu’ici exclusivement constituée de policiers retraités. Pour le moins risqué.

La publication du décret issu de la Loppsi 2, jeudi 27 octobre, était passée presque inaperçue, jusqu’à ce que le ministre de l’Intérieur Claude Guéant propose, lundi 31 octobre à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, l’ouverture de la réserve de la police à tout citoyen souhaitant « servir son pays« . Une mesure parmi d’autres (renfort de CRS, mise en place d’un référent policier, numéro vert pour les habitants) visant, selon le ministre, à renforcer la sécurité et à lutter contre la présence de dealers dans le quartier Zola-Arago. Et qui, aussi surprenante soit-elle, intervient à point nommé, quatre jours seulement après la diffusion, dans le JT de « France 2 », d’un reportage sur le trafic dans le quartier.

Des habitants qui « recevront une formation, un uniforme »

S’ils saluent la présence renforcée de la police depuis vendredi dernier, les habitants du quartier Zola-Arago n’avaient pas attendu le ministre pour se mobiliser. Depuis plusieurs mois, à l’initiative d’une association de locataires, ils redoublent d’énergie (marches, repas de quartiers, rencontres avec le responsable de l’office HLM, le préfet,…) pour faire entendre leur ras-le-bol. Le ministre a saisi la balle au bond, arguant que pour « entretenir (cette) formidable mobilisation citoyenne », la police aura désormais recours à des « habitants volontaires qui recevront une formation, un uniforme et seront indemnisés lors de leurs vacations. » Une proposition qui n’est pas sans rappeler le dispositif voisins vigilants cher au ministre, mais qui suscite indignation, inquiétude, et pose de nombreuses questions : pourquoi, comment, quelle formation, quelles missions, quel encadrement et surtout, quels risques encourus pour les volontaires ?

« Policier n’est pas un métier d’intérimaire »

Si le décret est consultable, l’arrêté précisant ses modalités d’application n’a pas encore été publié. Mais la proposition suscite d’ores et déjà de vives réactions, dont l’incompréhension et l’inquiétude de certains policiers. « Etre policier n’est pas un métier d’intérimaire, ça ne s’improvise pas », tempête le secrétaire général du syndicat SGP Unité police FO Nicolas Comte, qui explique au « Nouvel Observateur » avoir en juin dernier « voté contre » cette proposition qu’il ne voit « pas comme une bonne chose. » Ses craintes sont multiples : « quel sera le profil des volontaires ? Ne seront-ils pas des recalés de la profession d’adjoint de sécurité ou alors essentiellement motivés par l’argent ? » Et le policier d’ajouter « qu’on ne règle pas des problèmes de trafic de drogue avec des réservistes citoyens », avant de rappeler une fois de plus les problèmes d’effectifs rencontrés au quotidien par les policiers.

La différence avec les policiers ? Quelques détails vestimentaires

Le syndicat Alliance police a quant à lui voté en faveur du décret « à trois conditions sinéquanones » qu’explique jeudi 3 novembre au « Nouvel Observateur » son secrétaire général Denis Jacob : « les réservistes qui ne sont pas policiers ne doivent pas être armés, porter un signe distinctif permettant de ne pas les confondre avec les policiers (signe distinctif sur la casquette, chemise de couleur différente, mention ‘réserviste’), et doivent se cantonner aux tâches indues (accueil,…) et aucun cas ne faire du maintien de l’ordre. » Si le syndicat a été entendu sur ces trois points, il est bien difficile d’imaginer que toute confusion sera évitée du fait de ces détails vestimentaires. Comment réagiront ces citoyens volontaires quand ils seront confrontés à une difficulté, quelle qu’elle soit, sur la voie publique ?

Peut prétendre à être « réserviste citoyen » toute personne qui a entre 18 et 65 ans et a la nationalité française. « Un extrait de casier judiciaire, un certificat individuel de participation à la journée d’appel à la défense ou un justificatif du service militaire et un certificat médical » sont également demandés selon Denis Jacob, ajoutant que « tout titre ou diplôme doit être mentionné ». Le préfet examine les dossiers des candidats qui seront ensuite, ou non, convoqués pour un entretien visant « à tester leurs compétences et motivation à exercer leur mission de réserviste ».

La mission de réserviste, rémunérée selon un forfait journalier de 97 euros « non imposable », n’est pas un emploi à plein temps. Si les policiers retraités, qui jusqu’ici composaient exclusivement la réserve de la police, peuvent l’exercer jusqu’à 150 jours par an (210 s’ils partent en mission à l’étranger), les citoyens volontaires ne pourront pas excéder 90 jours de mission chaque année. « Ils ne feront ni police secours ni maintien de l’ordre » répète le secrétaire général d’Alliance police, rappelant leurs missions « d’accueil et de jalonnement » lors « d’événements spéciaux », lors du « Tour de France » par exemple, ou « le 14 juillet, quand les abords des Champs Elysées sont jalonnés d’un policier à chaque mètre ». Interrogé plus précisément sur les missions « d’accueil », Denis Jacob répond que les volontaires pourront, par exemple, « renseigner les gens dans la rue, être en contact avec la population, rassurer… » Autant de missions qui ne s’improvisent pas, loin de là.

Et les 6.000 policiers retraités disponibles ?

La courte formation prévue pour ces citoyens volontaires n’a rien de rassurant non plus. S’ils doivent bénéficier « d’une formation continue » en fonction de « leurs domaines d’intervention », leur formation générale ne durera pas plus de 15 jours, explique aussi le policier. Au programme : « la découverte de l’organisation de la police et son administration, les différentes missions, les règles déontologiques et le savoir-faire professionnel de base. » Suffisant, selon le ministère, pour que le volontaire endosse l’uniforme et exerce la mission. Mais il sera « toujours accompagné d’au moins un policier réserviste », nous dit-on. Cette proposition vient-elle d’un manque de policiers réservistes ? Non, répond le secrétaire général d’Alliance police, qui assure que, sur « les 10.000 policiers volontaires, seuls 4.000, environ, sont actifs ». Pourquoi, dans ce cas, ne pas faire prioritairement appel à ces policiers ? Denis Jacob s’interroge également, avant de suggérer « une volonté d’ouverture de la police. »

« On n’entre pas dans cette combine »

A Saint-Ouen, les membres de l’association de locataires ont été « extrêmement choqués » par le fait que le ministre leur « propose de faire la police », rapporte son président Abdellah Fraygui au « Nouvel Observateur ». Dénonçant des méthodes de « délation et de collaboration rappelant des heures sombres de l’histoire », leur verdict est sans appel : « à chacun ses responsabilités. On n’entre pas dans cette combine. »

Contacté par « Le Nouvel Observateur », le ministère de l’Intérieur n’était pas disponible jeudi soir pour répondre à nos questions.

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Source:  Le Nouvel Observateur