Francaisdefrance's Blog

28/02/2012

Alain Juppé à Tunis avec un chèque… Avec notre argent, plutôt…

Ca date de 2011, mais bon.

Ce genre d’actes reste d’actualité…

Et encore une forfaiture! Il est vrai qu’en France, tout va bien au niveau pouvoir d’achat. Le chômage explose, de nouvelles taxes, hausses et impôts nous attendent, le seuil de pauvreté touche les abysses, mais bon. De quoi se poser de sérieuses questions.

Un jour, proche, la France deviendra un pays pauvre. La Tunisie nous aidera, c’est sûr… Pour l’instant, plus besoin que les Tunisiens viennent en « demandeurs d’asile » chez nous. On leur amène ce qu’il faut sur place.

L’électorat français en tirera bientôt les conclusions qui s’imposent…

FDF

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Le chef de la diplomatie française Alain Juppé est arrivé mercredi 20 avril en Tunisie, avec en poche une aide de 350 millions d’euros, pour raccommoder une relation bilatérale mise à mal par plusieurs couacs français avant et depuis la chute du régime Ben Ali.

03/07/2011

Tunisie: le film ‘‘Ni Allah ni maître’’ indigeste pour les islamistes…

C’était certain, ça… Il fallait pratiquer la politique de la « terre brûlée » après avoir viré Ben Ali…

FDF

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Tunisie. Les défenseurs de l’islam font de la voix

Vendredi, des tracts ont été distribués par un groupe de jeunes dans certaines mosquées de Bizerte condamnant la campagne menée contre l’islam, annonce l’agence Tap.


Le film ‘‘Ni Allah ni maître’’ de Nadia El Fani, jugé blasphématoire pour l’islam, continue à faire du bruit. Les déclarations inattendues de Mohamed Talbi sur les mœurs de Aïcha, l’épouse du prophète Mohamed, en direct sur Shems FM n’ont pas arrangé les choses. Des manifestations ont eu lieu à Tunis, Sfax et, vendredi, à Bizerte pour condamner ce qui est considéré comme des provocations.
Dans les tracts distribués à Bizerte, on s’en prend à ceux qui s’attaquent à l’islam et  aux musulmans. Plusieurs, selon toujours la même source, «n’hésitent pas à pactiser avec l’étranger et à violer le sacré pour atteindre des objectifs vils et montrer leur haine pour la religion».
Plusieurs citoyens parmi ceux qui n’appartiennent pas aux mouvements religieux ou salafistes ont répondu favorablement à cet appel. Ils disent qu’ils sont avec la liberté d’expression et contre le terrorisme intellectuel, d’autant plus que «la Tunisie ne tolère pas, en cette conjoncture, une telle polémique» qui s’inscrit, de leur point de vue, «dans le cadre de la provocation du peuple tunisien qui a rejeté, de tout temps, toute forme d’extrémisme».

Source: http://www.kapitalis.com/

29/06/2011

Ouf! Il reste des islamistes en Tunisie…

Ils ne sont pas (encore) tous chez nous. La preuve: des barbus saccagent un cinéma à Tunis au nom d’Allah. Quelle bande de tarés…

FDF

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  • Tunisie: des islamistes attaquent le cinéma Afric’Art et agressent les organisateurs de « Touche pas à nos créateurs »

  • Des scènes dignes du Moyen Âge ont été observés dimanche 26 juin 2011 vers 17 heures autour et dans la salle de cinéma Afric’Art en plein cœur de Tunis.
    Des individus barbus, brandissant des drapeaux sur lesquels sont mentionnés des slogans religieux, ont pénétré de force la salle de cinéma Afric’Art, à quelques mètres de l’avenue Habib Bourguiba à Tunis, pour défoncer les portes, saccager le matériel et menacer les organisateurs et participants de l’événement « Touche pas à nos créateurs » programmé au même moment dans cette salle.
    En pleine hystérie, ces individus ont multiplié les slogans religieux criant que le peuple tunisien est musulman et n’abandonnera jamais la lutte.

    L’événement en question n’a pourtant rien d’anti-religieux ou de provocant.
    Il a été programmé par le collectif Lam Echaml, en collaboration avec l’Institut Arabe des Droits de l’Homme, pour « crier son refus de toute censure, pression, agression… à l’encontre de toute personne qui veut s’exprimer, quelle que soit la forme de cette expression ».
    Le programme prévoyait la projection de deux films : Ni Allah ni maître de Nadia El Fani et En attendant Abou Zayd de Mohammed Ali Attassi. Des artistes témoigneront, chacun à sa manière (une chanson, un poème, un sketch…) des agressions qu’ils ont subies.
    Programmation qui a totalement déplu à ces Islamistes qui se sont autoproclamés avocats de Dieu et défenseur de la religion dans un pays où la majorité des citoyens est musulmane et où les non-musulmans ont toujours été respectés.

    Bien que le ministère de l’Intérieur se trouve à quelques mètres seulement, il a fallu attendre quelque temps pour que la police intervienne, à force de gaz lacrymogène, pour procéder à l’arrestation de ces barbus.
    En attendant, on croit savoir qu’il y a plusieurs blessés dont Habib Belhédi, directeur de la salle

Source: http://www.businessnews.com.tn/

14/03/2011

Montréal: l’imam Saïd Jaziri n’est pas au bout de ses peines…

Un imam voyageur; et sans tapis volant…

Il ont aussi de beaux spécimens, là-bas… Le pire est qu’il a laissé ses « empreintes » chez nous aussi. Gardez le, svp.

FDF

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Selon les documents produits en Cour, Saïd Jaziri... (Photo archives La Presse) 


Selon les documents produits en Cour, Saïd Jaziri a pris l’avion de Tunis vers l’Europe puis l’Amérique centrale avant de rejoindre la ville mexicaine de Tijuana. Il aurait versé 5000$ à un groupe de passeurs pour gagner les États-Unis en pleine nuit.

Photo archives La Presse

L’ex-imam montréalais Saïd Jaziri a été formellement accusé d’être entré illégalement sur le territoire américain, caché dans le coffre de la BMW d’un passeur. Toujours incarcéré, il est passible de jusqu’à six mois de prison ou d’une amende. Ces démêlés risquent de compliquer les démarches qu’il a entreprises pour obtenir le droit de revenir à Montréal.

Saïd Jaziri a été transféré à la fin du mois de janvier à la San Diego Correctional Facility, prison «privée» réservée aux hommes.

L’imam d’origine tunisienne, qui a longtemps prêché à la mosquée Al Qods, rue Bélanger, dans le quartier Villeray, n’est pas au bout de ses peines. Un de ses deux avocats, Me Wayne C. Mayer, a indiqué à La Presse qu’il était aussi détenu en tant que «témoin important» dans une cause «sous-jacente» d’immigration illégale. Or, poursuit Me Mayer, le processus judiciaire est suspendu au motif que l’un des deux défendeurs serait atteint «d’une souche hautement infectieuse de tuberculose».

«Quand ce défendeur sera autorisé par les médecins à venir témoigner – bientôt je l’espère -, je prévois qu’il plaidera coupable et que M. Jaziri sera probablement libéré.» Il faudra toutefois tenir compte de la peine qu’il devra éventuellement purger pour son entrée illégale en sol américain.

Il a été arrêté le 11 janvier dernier près de San Diego alors qu’il se trouvait dans le coffre d’une BMW. Selon les documents produits en Cour, il avait pris l’avion de Tunis vers l’Europe puis l’Amérique centrale avant de rejoindre la ville mexicaine de Tijuana. Il aurait versé 5000$ à un groupe de passeurs pour gagner les États-Unis en pleine nuit.

Requête au Canada

De leur côté, ses avocats montréalais, Mes Julius Grey et Simon Gruda, s’apprêtent à présenter une requête en Cour fédérale afin de faire casser la décision du ministère de l’Immigration, qui refuse d’accorder le pardon à leur client. Il est interdit de séjour à vie au Canada à la suite de son expulsion et devait donc obtenir la permission du ministre de l’Immigration pour pouvoir revenir. Mais les derniers démêlés de M. Jaziri aux États-Unis risquent de compliquer le dossier, craignent maintenant ses avocats.

Saïd Jaziri a été expulsé du Canada en octobre 2007 et renvoyé en Tunisie dans un avion privé affrété par le gouvernement canadien. Il a longtemps invoqué le risque de torture si on le renvoyait à Tunis. À peine débarqué en Tunisie, il a accusé les fonctionnaires canadiens qui l’escortaient de l’avoir torturé physiquement dans l’avion. Immigration Canada lui reprochait notamment d’avoir caché ses antécédents judiciaires en France. Saïd Jaziri avait en effet été condamné en août 1995 à huit mois de prison fermes par le tribunal correctionnel de Nice pour complicité de coups et blessures volontaires ainsi que dégradation de biens. Le président du tribunal l’avait même qualifié d’«intégriste» dans son jugement.

Jaziri a débarqué quelques mois plus tard à Montréal après un court séjour à Londres. Il a rapidement obtenu le statut de réfugié puis de résident permanent. Les choses se sont gâtées en 2005, lorsque le Canada a décidé de lui retirer son statut de résident permanent à cause de ses omissions sur son passé. Saïd Jaziri est connu pour ses prises de position controversées et ses propos enflammés. Il est marié avec une Québécoise et père d’un enfant né après son expulsion. Sa femme est vice-présidente de l’association coranique propriétaire de la mosquée Al Qods, lieu de culte évalué à 1,2 million de dollars par la Ville.

Source: http://www.cyberpresse.ca/

15/02/2011

L’intégrisme s’empare de la Tunisie.

Ca, c’était à prévoir. Et ce n’est que le début. Les fous d’Allah avaient tout fomenté depuis longtemps. La ré-islamisation de ce pays est en cours. Avec tous les ingrédients nécessaires: charia, écoles coraniques, enseignement de la haine de l’Occident, etc… Les autres pays où les intégristes ont lancé la révolution ne vont pas tarder à suivre… Pas bon pour nous, ça; pas bon…

FDF

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Première manifestation d’islamistes à Tunis


Plusieurs centaines d’islamistes ont manifesté vendredi après-midi à Tunis pour réclamer notamment la libération des détenus condamnés en vertu de la loi antiterroriste jugée anticonstitutionnelle par la société civile.

Des partis d’opposition ont longtemps accusé le gouvernement de se servir de cette loi pour porter atteinte aux droits de l’Homme et condamner des centaines de jeunes pour des « motifs fallacieux » dans des « procès inéquitables ».

« Non à la loi sur le terrorisme », « non à l’interdiction de la barbe », « non à l’interdiction du voile », pouvait-on lire sur des pancartes brandies par les manifestants qui parcouraient l’avenue Bourguiba, la principale artère de la capitale, en entonnant des chants religieux et en scandant « Allahou Akbar » (Dieu est le plus grand).

C’est la première manifestation d’islamistes à Tunis depuis la dissolution du mouvement Ennahdha en 1992 et également depuis le retour du chef de ce mouvement Rached Ghannouchi après 23 ans d’exil en Angleterre.

« Ce n’est pas à l’appel d’Ennahdha que nous sommes là. C’est une manifestation spontanée partie de la mosquée Zitouna » distante d’environ un kilomètre, a tenu à préciser Ismaïl Hammami, 25 ans, qui se dit néanmoins Nahdhaoui.

« On ne veut pas que la politique interfère dans la religion. On veut que les mosquées soient ouvertes sans interruption, que le port du voile soit libre. Pourquoi nous imposer la monogamie alors que l’islam nous autorise à prendre jusqu’à quatre épouses? » revendique Mokhtar Yacoubi, un moniteur de sport, la quarantaine.

Sous le régime de l’ancien président Zine El Abidine Ben Ali, les mosquées n’ouvraient qu’aux heures de prière, alors qu’auparavant elles étaient accessibles aux fidèles sans discontinuer. Les autorités justifiaient cette mesure en accusant les partisans d’Ennahdha d’utiliser ces espaces religieux pour tenir des « réunions politiques« .

Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/

31/01/2011

Le chef des islamistes est de retour à Tunis !

Rached Ghannouchi, le chef du mouvement islamiste tunisien Ennahda (au centre), salue la foule venu l'accueillir dimanche à l'aéroport de Tunis-Carthage.
Rached Ghannouchi, le chef du mouvement islamiste tunisien Ennahda (au centre), salue la foule venu l’accueillir dimanche à l’aéroport de Tunis-Carthage. Crédits photo : FETHI BELAID/AFP

Rached Ghannouchi rentre chez lui, après vingt-trois ans d’exil. Dans le Boeing de British Airways, le leader islamiste à la barbe blanche, âgé de 70 ans, dit adieu à la Grande-Bretagne, où il avait obtenu l’asile politique. Le fondateur du parti Ennahda («la renaissance»), interdit par Ben Ali, contemple son passeport vert tout neuf, obtenu en quelques minutes à l’ambassade tunisienne de Londres. «On m’a même offert le café. C’était intéressant de découvrir l’intérieur d’un bâtiment devant lequel j’ai manifesté pendant tant d’années…» Une pointe d’humour britannique prononcée en arabe et traduite par Soumeya, l’une de ses filles, docteur en philosophie coiffée du hidjab, le voile islamiste. «Oui, continue Ghannouchi, j’ai été surpris par l’ampleur et la rapidité du changement.» Mais pas par le changement lui-même, qu’il avait « prévu ».

La fête dans l’avion

Sa femme, trois de ses quatre filles et ses deux fils l’accompagnent, ainsi que deux douzaines de militants, hommes portant la barbe courte et femmes en hidjab. L’ambiance hésite entre la fête et le recueillement. On s’embrasse, on sort de leur enveloppe les drapeaux tunisiens commandés sur Internet.

Tous sont membres d’Ennahda. La plupart viennent pour toucher le sol de la patrie et embrasser leur famille. Ils comptent revenir en Grande-Bretagne, comme Mansour, chauffeur de taxi. «Mes enfants vont à l’université anglaise. Je dois rester avec eux jusqu’à ce qu’ils aient terminé leurs études.»

Rached Ghannouchi, pour sa part, a bien l’intention de s’installer. Les jeunes révoltés tunisiens attendent-ils le retour de cet exilé au long cours ? Quelle place occupera le parti islamiste dans des élections ouvertes ? Rached Gannouchi se dit prêt à affronter une situation inédite. «Les dirigeants d’Ennhada en Tunisie, sortis de la clandestinité, ont préparé le dossier de demande d’enregistrement de notre parti ; il sera soumis aux autorités lundi ou mardi.»

Ghannouchi a cependant déjà exclu de se présenter lui-même à la présidentielle, et il ne prévoit pas la candidature d’un autre membre d’Ennahda. «Nous soutiendrons celui qui nous paraîtra le mieux à même de diriger la Tunisie dans ce moment exceptionnel de son histoire.» Le mouvement présentera «peut-être » des candidats aux prochaines législatives, ajoute-t-il. Ennahda, un parti «normal» ? Rached Ghannouchi a jadis exprimé son intérêt pour les régimes du Soudan ou de l’Iran, tout en les qualifiant d’«expériences» et non de modèles. Est-il prêt à intégrer dans son propre pays un éventuel système politique démocratique ? «Nous allons former un parti politique comme tous les autres», assure le vieux dirigeant, qui se réfère aujourd’hui à la formation islamiste élue en Turquie, l’AKP. «C’est d’eux que nous nous sentons le plus proche intellectuellement.» Les destins de la Tunisie et de la Turquie sont similaires, explique-t-il. «Ces deux pays ont été soumis à une laïcité imposée, une laïcité qui n’était pas neutre, mais qui cherchait à exclure une partie de la population. Les mouvements nés en Tunisie et en Turquie dans les années 1980 ont cherché à réconcilier l’islam et la modernité.»

Hommes barbus et femmes voilées

Chez les islamistes arabes, cependant, un élément identitaire, l’arabité, vient se mêler aux constructions idéologiques et inquiète les démocrates laïques. Comment trouver l’équilibre entre arabité, islam et démocratie ? «Nous ne faisons pas de l’arabité un dogme ni une idéologie. C’est simplement une composante de l’identité tunisienne. Nous nous sommes par ailleurs engagés publiquement en faveur de la liberté, de la démocratie et de l’égalité de tous, y compris l’égalité entre hommes et femmes.»

L’avion touche le sol. À peine débarqué, Rached Ghannouchi embrasse le tarmac. Dès sa sortie de la zone internationale, il lance un vibrant «Allaho Akbar» (Dieu est le plus grand) répété en boucle par les quelques milliers de personnes qui l’attendent, hommes barbus et femmes voilées. Un homme pleure. Kamel Benromdhan, ingénieur membre d’Ennahda, a passé douze ans en prison. «Les islamistes sont une des composantes de la société tunisienne. Nous ne voulons pas imposer la charia, nous voulons seulement que notre identité islamique soit respectée.» Après le départ de Ghannouchi, des débats s’improvisent entre ses opposants, qui craignent de se voir imposer la charia, et ses partisans qui cherchent à les convaincre que le dirigeant est en faveur de la pluralité politique.

Source: http://www.lefigaro.fr/international/

30/01/2011

La famille de Ben Ali jetée aux lions…

Et ça épure, ça épure… La soif de sang des islamistes se précise…

FDF

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Belhassen Trabelsi, dans son bureau du siège de Karthago, à Tunis, en août 2010.
Belhassen Trabelsi

Le beau-frère de Zine el-Abidine Ben Ali, Belhassen Trabelsi, a fui vers le Canada après la chute du régime avec sa famille. Les autorités d’Ottawa ont décidé d’accéder à la requête de la Tunisie de l’arrêter. Sauf surprise, il devrait ainsi être extradé prochainement vers Tunis.

Le Canada va répondre favorablement aux demandes de la Tunisie qui réclame Belhassen Trabelsi, beau-frère de l’ex-président tunisien Ben Ali, qui réside au Canada, a déclaré vendredi 28 janvier le chef de la diplomatie d’Ottawa Lawrence Cannon, cité par Radio-Canada.

« On ne veut pas d’un criminel comme lui au Canada et on va obtempérer à la demande de la Tunisie », a dit M. Cannon à la presse, lors d’une visite à Val-d’Or, dans le nord-ouest du Québec, a précisé la chaîne publique sur son site internet. Ottawa « va déployer toutes les mesures possibles et nécessaires pour que Trabelsi quitte le Canada le plus rapidement possible », a ajouté le ministre, cité par la radio publique.

Jeudi, la Tunisie a formellement demandé à Ottawa d’arrêter Belhassen Trabelsi, frère de l’épouse de Ben Ali, riche homme d’affaires, considéré comme le parrain d’un clan ayant détourné des fonds publics en Tunisie. Il est sous le coup d’un mandat d’arrêt international. Une demande d’extradition devrait suivre.

Exfiltration  ?

Vendredi, la police canadienne aurait déjà « exfiltré » le beau-frère de Ben Ali de l’hôtel de luxe de Montréal dans lequel il séjournait avec sa famille. Les journaux locaux avaient d’abord conclut à une arrestation, avant que les autorités d’Ottawa ne démentent. Elles ont déclaré savoir où se trouvait Belhassen Trabelsi et être en contact avec son avocat.

Par ailleurs, les services canadiens de l’immigration ont retiré jeudi le statut de résident permanent au Canada à la famille…


Suite et source: http://www.jeuneafrique.com/