Francaisdefrance's Blog

11/03/2012

Chances pour la France: 4,3 kg de cannabis, plus de l’argent liquide et deux voitures, saisis par les policiers, il accuse ceux-ci de maltraitance.

Et encore un bel exemple d’intégration… Et un bel exemple de récidive…

Dans les caves d’un « quartier » ou bien en université, une racaille reste une racaille.

FDF

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Très utiles pour certains, les bourses universitaires…

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Larbi Aitoubelk,  possède  un compte banque   s’élevant à 10 000 euros   et   provenant des bourses universitaires,    DONC DIRECTEMENT DE NOS IMPÔTS !!!

JC…

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En récidive, Larbi Aitoubelk, 23 ans le mis en cause, âgé de 23 ans a été placé en détention, hier soir

 
Cette saisie fait suite à un travail de fond mené par les policiers, ces six derniers mois sur la Croix des Oiseaux.

L’arcade explosée, l’épaule démontée, Larbi Aitoubelk, 23 ans, qui soutient son bras droit plaqué sur le ventre avec sa main gauche est apparu épuisé, hier, dans le box du tribunal correctionnel d’Avignon.

Cet étudiant en économie-gestion, qui a abandonné les bancs de la faculté pour se consacrer à un trafic de stupéfiants, dénonce des violences policières.
Alors qu’il était menotté dans le dos, il aurait été frappé par un policier. Une version qui est bien différente de celle des policiers qui évoquent une rébellion lors d’une interpellation mouvementée mercredi au petit matin et qui fait suite à près de deux mois d’enquête de la brigade des stups.

Condamné en décembre dernier à 30 mois de prison dont deux ans avec sursis et mise à l’épreuve, il s’est lancé dans un nouveau trafic, une semaine à peine après sa libération.

Il explique que sa voiture, qui n’était pas encore payée a été saisie. Il devait rembourser la dette… Sauf que l’enquête révélera plus tard que le mis en cause dispose d’un compte en banque avec une somme de 10 000 ¤ provenant essentiellement des bourses universitaires.

Le 6 mars au soir, les policiers assistent à une transaction en flag. Deux clients sont interpellés. Le lendemain, les enquêteurs se rendent au domicile de la petite amie de Larbi à la Barbière.

Le mis en cause se serait énervé lorsque les policiers ont commencé à fouiller la cuisine.

Les enquêteurs trouvent près de 4,3 kg de résine de cannabis et un peu plus de 2020 ¤ d’argent liquide. Dans la foulée, une perquisition est faite chez les parents du jeune à La Croix des Oiseaux où un peu plus de 260 g de cannabis sont retrouvés dans la cave.
Deux véhicules, une C1 et une Clio, dont se servait Larbi sont saisis. Il apparaît que Larbi gagnait entre 250 et 300 euros par jour avec une trentaine de clients réguliers auxquels il faut ajouter ceux qui venaient « par hasard » dans le quartier.

Déféré dans le cadre d’une comparution immédiate, Larbi Aitoubelk, assisté de Me Jacquemin, sollicite un délai pour préparer sa défense. La substitut Dorlhac estime qu’au vu des procès-verbaux, la rébellion est établie mais dans le même temps, elle déplore que le prévenu n’ait pas eu un bandage pour soutenir son bras. Le tribunal décerne un mandat de dépôt et renvoie l’affaire à l’audience du 30 mars, en sollicitant un examen médical dès sa rentrée en détention.

Source: http://www.laprovence.com/

24/02/2012

Marseille: la cité Phocéenne en passe de devenir le Chicago français.

Mais qu’est-ce qu’ils ont fait de cette ville, qu’encensaient Fernandel, Raimu, Marcel Pagnol, Marius et bien d’autres?  J’ose espérer qu’ils ne voient pas ce qui s’y passe…

Bonus: http://www.dailymotion.com/video/x718tk_marseille-de-fernandel-a-la-bonne-m_news

FDF

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Marseille. Nouveau règlement de comptes : un « jeune » de 21 ans abattu…

Les semaines passent et se ressemblent à Marseille où un énième règlement de comptes a coûté la vie à un jeune homme de 21 ans hier en fin de soirée. L’un de ses amis est quant à lui légèrement blessé.

Tout s’est déroulé dans l’un des quartiers nord de la ville : un homme seul et casqué a fait irruption dans un snack de la cité « Le Mail » dans le 14ème arrondissement avant de faire feu sur la victime à l’aide d’un pistolet-mitrailleur.

Touché à deux reprises à la tête, le jeune homme de 21 ans n’a pu être sauvé. Celui-ci était connu de la justice pour de « petits délits » mais le préfet de police Alain Gardère a précisé qu’il était « prématuré » d’évoquer la piste du trafic de stupéfiants, qui semble « étonnante » dans ce quartier.

16 morts en 2011

Après une série noire de fusillades fin 2011, il s’agit du premier règlement de compte depuis le début de l’année. En décembre, des tirs de kalachnikov avaient fait plusieurs morts dans l’agglomération et quatre cadavres avaient été retrouvés dans des voitures en flamme. Fin novembre, un policier avait été tué dans une course-poursuite et les forces de l’ordre avaient abattu un braqueur qui leur tirait dessus à la sortie d’un magasin, en plein jour.

L’année dernière, 20 règlements de comptes ont été recensés dans les Bouches-du-Rhône (29 victimes dont 16 décédées), dont 15 à Marseille (23 victimes dont 13 décédées), selon les chiffres de la préfecture.

Source: http://www.ladepeche.fr/

Merci à Henri…

19/02/2012

Vous etes franchement usants, les mecs !

Et encore un qui s’est pris dans les filets. Il faut dire aussi que j’ai appâté gros… Je relaie simplement un fait désormais divers où l’un de ses « cousins » est impliqué, et cet immonde personnage me traite de  raciste. Mais lui, non; il ne l’est pas, raciste, c’est clair dans ses propos.

En outre, il nous explique bien le fonctionnement du le trafic de drogue et le devenir de ceux qui se font prendre. Ca veut dire: « prenez ça dans les gencives, les souchiens »…

Pauvre souad. Tu ne fais que donner de précieuses informations supplémentaires à nos autorités pour qu’ils puissent mettre un gros frein à vos faits de haute délinquance; et sans t’en rendre compte, en plus. La police anti drogue te remercie. La justice aussi. Ils vont pouvoir s’intéresser de plus près à vos trafics qui tuent notre jeunesse. Vous êtes des meurtriers: mais ça, vous en êtes conscients. Et je pense que derrière les barreaux, les dealers vont devenir l’objet d’une plus grande surveillance. Grâce à toi. Tes « frères » et « cousins » devraient aussi te remercier comme il se doit… Si tu vois ce que je veux dire…

Allez; bon courage, saouad !

Ps: Au fait, souad, c’est un prénom de fille, non ? Non; je te demande ça, c’est pour aider nos policiers à t’identifier. Mais je pense que c’est déjà fait.

FDF

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New comment waiting approval on Francaisdefrance’s Blog  
  souad commented on Association de malfaiteurs, trafic de stupéfiants, de fausse monnaie et évasion pour cette « chance pour la France »…

je préfère un dealer qu’un pédophile refoulé!!!!! bande de raciste vous survivez en tout cas lui il est MILLIARDAIRE à sa sortie bande de con


 
 
More information about souad

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10/02/2012

Sharia4Belgium. Fouad BELKACEM: 2 ans de prison pour incitation à la haine à l’égard des non-musulmans !

Prenez en de la graine, les enturbannés de Forsane Alizza !

FDF

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Connu sous le pseudo d’Abou Imran, le leader du groupe salafiste « Sharia4Belgium », arrêté le 9 avril dernier à Paris, lors d’une manifestation contre le voile intégral, aurait été relâché le même jour en dépit du mandat d’arrêt international lancé par le Maroc, révèle, aujourd’hui, jeudi 28 avril, le site belge le vif.be.

Abu Imran, de son vrai nom Fouad Belkacem, a été condamné à 10 ans de prison pour trafic de stupéfiants, au Maroc.  La Belgique refusant d’extrader les personnes de nationalité belge, mais la France aurait pu le faire.

http://www.yabiladi.com/articles/details/5374/france-d-extradition-belgo-marocain-imran.html

IL ETAIT TEMPS    ET ENCORE CE N’EST PAS ASSEZ    mais parions qu’il fera appel   IL A L’HABITUDE      IL AVAIT DEJA 14 CONDAMNATIONS

NOTEZ  QUE CET INDIVIDU  EST   « ATTENDU »  AU MAROC     OU IL A ETE CONDAMNé

JC JC…

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Sourcehttp://www.rtl.be/info/belgique/faitsdivers/855774/sharia4belgium-2-ans-de-prison-pour-incitation-a-la-haine-a-l-egard-des-non-musulmans

Le porte-parole haine de Sharia4Belgium a été condamné à deux ans de prison par le tribunal correctionnel d’Anvers.

Le tribunal correctionnel d’Anvers a condamné vendredi Fouad Belkacem (29 ans), porte-parole du mouvement islamique radical Sharia4Belgium, poursuivi pour incitation à la violence et à la haine à l’égard des non-musulmans, à deux ans de prison ferme et 550 euros d’amende. Fouad Belkacem peut encore interjeter appel de sa condamnation.

Présent lors du jugement

Le prévenu était absent durant l’étude de l’affaire, mais a finalement souhaité être présent lors du jugement. Il a été interpellé vendredi matin sur la Sint-Jansplein lors d’un contrôle de police, mais a finalement pu se rendre au palais de justice pour assister à l’audience.

L’intéressé a diffusé régulièrement ces dernières années des vidéos sur internet dans lesquelles il incitait à la haine et à la violence contre les non-musulmans, réclamant en outre la fin de la démocratie. Il s’en prenait également aux homosexuels.

Harcèlement

Il était également poursuivi pour avoir harcelé les proches d’un femme politique flamande, Marie-Rose Morel, après son décès. Il avait d’ailleurs qualifié sa mort de punition divine.

Déjà 14 condamnations

L’individu a déjà écopé de quatorze condamnations devant le tribunal de police et de plusieurs condamnations correctionnelles pour vol avec violence, rébellion, diffamation, menaces et infraction à la loi contre le racisme

Source: http://www.rtl.be/

06/02/2012

Beau coup de filet à Toulouse. Ceux-ci ne sont pas passés entre les mailles.

Encore des « frères »… Ca change des « cousins ». Et puis encore et toujours: « c’est pas moi, m’sieur »…

FDF

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Près de 1 000 cartouches et des armes saisies à La Reynerie

La police avait interpellé les deux mis en cause la semaine dernière.

Les policiers ont mis la main sur un véritable arsenal lors d’une descente, la semaine dernière à La Reynerie. Deux personnes ont été incarcérées.

La descente réalisée en début de semaine dernière cheminement Auriacombe, dans le quartier de la Reynerie à Toulouse, a permis aux enquêteurs du SRPJ de mettre la main sur des armes mais aussi sur un stock de produits stupéfiants.

Deux frères, âgés de 19 ans et 22 ans, ont été arrêtés. Ils ont été incarcérés après leur garde à vue. Le plus jeune est soupçonné d’avoir participé, en août 2010, à une tentative de meurtre sur les policiers de la BAC Mirail. Il est la quatrième personne mise en cause dans cette affaire. Reste à déterminer qui était le tireur. Cette nuit-là, une patrouille était tombée dans un véritable guet-apens. Les policiers avaient été caillassés et ils avaient essuyé des tirs de fusil de chasse.

11 kg de cannabis

Au cours de la perquisition, les policiers ont mis la main sur un véritable arsenal. Un fusil à pompe et plusieurs armes de poing ont été retrouvés ainsi qu’un gilet pare-balles. Près de mille cartouches ont également été découvertes. Une centaine de cartouches de chasse, des balles de 9 millimètres pour armes de poing et fusil-mitrailleur et des balles du calibre civil de certaines armes de guerre qui peuvent être utilisées, par exemple, pour des répliques de kalachnikov.

Beaucoup s’interrogent sur la provenance des armes dans ces cités. Si certaines viennent des pays de l’Est, la majorité n’a pas autant voyagé. « Il ne faut pas tomber dans le fantasme, glisse un policier. Régulièrement, des armes sont dérobées dans des cambriolages chez les particuliers. Après il suffit de scier le canon et la crosse. »

En plus du trafic d’armes, les policiers sont tombés, à la Reynerie, sur des stupéfiants : 11 kg de résine de cannabis et 8 000€.

Les deux frères nient leur implication dans les faits qui leur sont reprochés. Le plus âgé, mis en examen pour trafic de stupéfiants, « conteste absolument, indique son avocat, Me Parra-Bruguière. Je plaiderai sa remise en liberté ce lundi. »

Soupçonné d’avoir participé à la tentative de meurtre contre les policiers, son frère clame lui aussi son innocence. « Mon client nie farouchement. Il y a très peu d’éléments à sa charge », estime Me Périé. Les trois dossiers, trafic de stups, trafic d’armes et tentative de meurtre ont été disjoints.

En visite la semaine dernière à Toulouse, Frédéric Pechenard, le directeur général de la police nationale, a félicité la PJ. « Vous venez de boucler une belle affaire », a-t-il souligné.

Source: http://www.ladepeche.fr/

01/02/2012

Réactions malheureusement trop connues…

Et très significatives. On se comprendra à demi-mots… (Pas trop « raciste, là, ça va?).

FDF

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Les suspects d’un trafic de drogue en prison, incidents au tribunal

À l'issue d'une audience houleuse, des incidents ont éclaté entre proches des prévenus et policiers./Photo DDM C. L.

À l'issue d'une audience houleuse, des incidents ont éclaté entre proches des prévenus et policiers./Photo DDM C. L.
À l’issue d’une audience houleuse, des incidents ont éclaté entre proches des prévenus et policiers./Photo DDM C. L.

Le procès de dix hommes interpellés vendredi pour trafic de stupéfiants dans le quartier de La Faourette a donné lieu, hier, à une explosion de colère au tribunal. Huit d’entre eux resteront en prison en attendant d’être jugés le 4 avril.

Dix des 19 personnes interpellées vendredi matin, place Anthonioz-De-Gaulle, dans le quartier de La Faourette à Toulouse, dans le cadre du démantèlement d’un trafic de stupéfiants (notre édition de samedi), ont comparu hier devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Ces 10 hommes, âgés de 18 ans à 32 ans, n’ont pas été jugés, près de la moitié ayant demandé un renvoi. L’enjeu de l’audience résidait donc dans le maintien ou non en détention des prévenus. Dans la salle bondée du tribunal, l’ambiance était électrique. Des proches et de nombreux « supporters » des prévenus avaient fait le déplacement et espéraient bien les voir ressortir libre.

Si le procureur Coquisart a requis le maintien en détention pour 9 des 10 personnes concernées, leurs avocats, arguant de la « faiblesse du dossier » et de l’ampleur « très limitée » du trafic présumé ont tous plaidé la libération sous contrôle judiciaire. « Deux mois de détention provisoire, c’est énorme alors que vous n’avez rien objectivement », a souligné Me Chorier.

Insultes et cannettes volent

Après la suspension d’audience, huit d’entre eux sont repartis en prison. De quoi faire exploser la salle déjà bouillante. Les insultes ont fusé à l’égard des magistrats et de la procureur. Une femme s’est mise à hurler tout en se roulant par terre. Les policiers ont dû faire évacuer la salle mais la colère a continué de se déchaîner dans la salle des pas perdus où cris et insultes ont résonné. Une cannette de soda a été lancée en direction des forces de l’ordre.

L’affrontement a continué à l’extérieur, devant le tribunal où de nouvelles cannettes ont été jetées sur la police avant que les auteurs de la rébellion ne s’échappent en courant en direction de la bouche de métro poursuivis par les fonctionnaires. « C’est injuste, expliquait une jeune femme. On n’a rien trouvé et on les laisse en prison. Une femme qui a perdu son mari il y a 6 mois voit ses trois fils mis derrière les barreaux. » La garde à vue des prévenus avait été tout aussi agitée ce week-end. L’un d’entre eux est poursuivi pour avoir détruit deux cellules de garde à vue. L’affaire sera jugée le 4 avril.

Toulouse

Coup de filet anti-drogue : 19 interpellations

Au total, ce sont 19 personnes interpellées dans le cadre d'un trafic de stups. Photo DDM./archives, T. Bordas.

Les policiers de la sûreté départementale sont intervenus hier matin dans les quartiers de La Faourette et Bagatelle, à Toulouse. Objectif : mettre un terme au trafic de rue, sur une place commerçante. Riverains et commerçants de la place commerçante Anthonioz de Gaulle, dans le quartier de La…Publié le 28 Janvier 2012

Source: http://www.ladepeche.fr/

02/07/2011

Nouvel exemple de la baisse des chiffres de la délinquance…

Mais seraient-ce encore des « chances pour la France »? On ne va pas être médisants…
FDF
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Suite à la vengeance au couteau de vendredi soir à Rayssac, quatre jeunes Albigeois, dont un mineur, ont été déférés au parquet hier. Trois ont été placés sous mandat de dépôt.La tension était palpable hier, aux abords du palais de justice d’Albi. Dans la matinée, quatre des sept jeunes interpellés par la police suite à l’affaire des coups de couteau de Rayssac (lire nos éditions précédentes) ont été déférés au parquet. Si un majeur de 20 ans a été laissé libre (au grand soulagement de sa mère qui avait peur qu’il perde son emploi), mais placé sous contrôle judiciaire par le juge des libertés et de la détention, les trois autres ont été placés sous mandat de dépôt : les deux majeurs ont rejoint, avant 14 heures, la maison d’arrêt d’Albi alors que le mineur de 17 ans et demi, en état de récidive, était transféré plus tard dans l’après-midi sur l’EPM de Lavaur. Le transfèrement des deux majeurs a donné lieu à un incident regrettable, place du Palais, quand la police a dû faire usage de gaz lacrymogène.

Cette affaire, qui semble avoir pour toile de fond un trafic de stupéfiants, est loin d’avoir livré toute sa vérité. Ainsi, l’auteur des deux coups de couteau qui ont blessé un homme de 37 ans (toujours hospitalisé à Albi, il sera entendu plus tard par les enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine) n’est toujours pas identifié. Les mères et sœurs des quatre jeunes déférés hier devant le parquet croient savoir de qui il s’agit. Mais la justice a besoin de preuves formelles. Hier, le vice-procureur Pascal Suhard a ouvert une information judiciaire pour « violences volontaires en réunion et avec préméditation », une autre information étant ouverte contre X s’agissant des violences avec armes.

Les trois autres mineurs placés en garde à vue depuis mercredi ont quitté le commissariat libres hier matin, mais ils ne sont pas mis hors de cause pour autant.

Ils seront bientôt convoqués par la juge d’instruction qui va désormais conduire cette enquête. Cette magistrate aura la lourde tâche de démêler le vrai du faux.

«On n’existe même pas»

Hier, à écouter ce qui se disait aux abords du palais de justice, on saisissait tout le mal être qui ronge certains quartiers d’Albi. « On n’est pas du tout écoutés, on n’existe même pas. Les jeunes, ils ont pété les plombs, ils se sentent délaissés », témoigne la sœur d’un mis en cause, qui vit à Lapanouse. Ces derniers mois, c’est dans ce quartier qu’on a le plus constaté une hausse des délits, en particulier des feux de poubelles. Toutes ces mamans et sœurs, solidaires (elles ne se sont pas quittées de la journée) conviennent quand même que l’expédition punitive de Rayssac est allée trop loin. « Ce jeune n’avait pas à donner ces deux coups de couteau alors que l’autre était déjà à terre. Maintenant, ce sont les grands qui paient l’addition. » En espérant qu’elle ne soit pas trop salée.

Source: http://www.ladepeche.fr/

05/11/2010

C’est vraiment pas de bol: Le frère de Rachida Dati écroué en Belgique pour « importation de drogue »!

Récidiviste, le frangin… Toujours pas compris…

Rachida et ses frères. Pour l’ex-garde des sceaux, la « pilule » doit être dure à avaler… C’est comme pour Fadéla Amara: la famille, c’est pas trop ça… « C’est pas moi, m’sieur » !

FDF

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Jamal Dati, un frère de l’eurodéputée et ancienne garde des Sceaux française Rachida Dati, a été écroué à Liège après avoir été interpellé par la police belge au retour des Pays-Bas en possession d’héroïne et de marijuana, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Il a été interpellé mercredi à 15 heures alors qu’il rentrait en voiture de Maastricht aux Pays-bas. Quelque 30 grammes d’héroïne et 5 grammes de marijuana ont été saisis, a-t-on précisé de même source.

Jamal Dati, 38 ans, a été déféré jeudi au parquet de Liège puis placé sous mandat d’arrêt et écroué pour « importation de drogue ». Le cadet de l’ex-garde des Sceaux avait déjà été condamné en août 2007 à 12 mois de prison par la cour d’appel de Nancy (est de la France) pour trafic de stupéfiants dans la région. Il avait publié l’an dernier un livre d’entretiens, « A l’ombre de Rachida », dans lequel il racontait ses relations difficiles avec sa sœur, à qui il reprochait de ne plus lui adresser « directement la parole ».

Un autre frère de Mme Dati, Omar Dati, avait été condamné en décembre 2007 à 8 mois de prison ferme pour trafic de stupéfiants en récidive, et en 2001 à 4 mois avec sursis pour trafic d’héroïne. Mme Dati, membre du parti UMP du président français Nicolas Sarkozy, est aussi aujourd’hui maire du 7e arrondissement de Paris.

L’un des frères de Rachida Dati, Jamal Dati, a été écroué à Liège après avoir été interpellé, mercredi 3 novembre, par la police belge. En provenance des Pays-Bas, il avait en sa possession de l’héroïne et de la marijuana, selon des sources judiciaires.

Une des sources: http://tinyurl.com/33rknzn

24/09/2010

Communiqué de presse : oui à l’ouverture de salles de shoot .

Je relaie. Excellent communiqué, bien argumenté…

FDF

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« Ces dix dernières années, la société française a assisté à la démocratisation de la consommation des drogues dures.

Plusieurs facteurs sont la conséquence directe de la banalisation des drogues dures :

– Le prix de la dose de cocaïne s’est effondré en 15 ans, passant de 150 euros à 30 euros le G (le gramme). Cette baisse du prix a entraîné une relance très importante de la consommation de cette drogue autrefois réservée aux « classes riches et aux peoples ». Bon marché, facile à acheter et à transporter, la cocaïne est désormais accessible au plus grand nombre et attire une clientèle qui s’identifie au travers de sa consommation à « ses stars ».

– L’héroïne, la drogue du pauvre, a elle aussi suivi la baisse des prix sur le marché des drogues dures. Certains trafiquants « cassent les prix » pour attirer de nouveaux clients, on peut ainsi acheter 1 dose de Brown Sugar pour le prix d’une simple petite barrette de résine de cannabis. La consommation d’héroïne est un véritable fléau. Cette drogue peut accrocher en la sniffant ou en la fumant. Mais rapidement ces effets par ce mode de prise se font insuffisants obligeant les consommateurs à passer à une prise par injection.

Le marché de la drogue reste très fragile. Il est soumis, comme le marché boursier, a des spéculations. On a assisté dans plusieurs pays déjà aux effets dévastateurs de ces fortes fluctuations des prix sur le marché de la drogue. Si les prix de la cocaïne ou de l’héroïne augmentent subitement, de nombreux consommateurs ne sont plus en mesure de financer leur addiction. Deux solutions s’offrent alors à eux : soit sombrer dans la délinquance ou la prostitution pour générer des revenus capables de permettre de continuer à se droguer avec un produit devenu très cher ou alors passer à des dérivés de drogues dures moins cher.

C’est à ce moment là qu’on voit arrivé sur le marché des drogues très dures et très dévastatrices telles que le « crack », dérivé de cocaïne et de bicarbonate.

La France perd chaque jour un peu plus la guerre contre le narcotrafic. La police lève de belles affaires mais force est de constater que les peines prononcées contre les dealers par la justice sont de moins en moins sévères, cette absence de sanction encourage la prolifération du trafic de stupéfiants, activité très lucrative.

Dans un tel contexte, il est indispensable de permettre aux victimes de ce trafic (oui les consommateurs de ces drogues sont des victimes) de se droguer dans des conditions compatibles avec la dignité humaine. Il faut également minimiser les risques pour le reste de la population qui, elle, ne se drogue pas.

Les salles de shoot remplissent plusieurs objectifs capitaux :

– Permettre aux toxicomanes de se droguer à l’écart de la vue du public dans des locaux propres et avec du matériel stérile. On évite ainsi de se retrouver avec des seringues usagées jetées sur la voie publique.

– Assurer la présence de personnel de santé pour « encadrer » la prise du produit et assurer le suivi médical du toxicomane. Éventuellement, aider le toxicomane à décrocher si ce dernier le souhaite. Le sevrage doit toujours être souhaité par le consommateur.

– Permettre aux toxicomanes de garder un lien avec le tissu social en rencontrant du personnel médical et social.

La création de ces salles de shoot est une nécessité absolue dans une société où la consommation de drogues dures est entrain d’exploser.

Certes, la création de ces lieux où l’on peut en toute impunité commettre un acte illégal, consommer de la drogue, est un aveu d’échec de la politique de lutte contre le trafic de drogue. Mais face à la réalité, celle où n’importe qui peut, du jour au lendemain, tomber dans la toxicomanie tant l’offre est forte et les prix attractifs, les pouvoirs publics doivent garantir à nos concitoyens un minimum de sécurité autour de cette question.

Si demain un enfant se pique dans un jardin public avec une seringue usagée, les pouvoirs publics porteront sur leurs épaules le poids de la responsabilité d’une éventuelle contamination de l’enfant par le virus du VIH ou de l’hépatite, faute de n’avoir pas pris de mesure de salubrité publique.

Créer des salles de shoot n’est en rien encourager la consommation de drogue, c’est simplement répondre à un problème de santé publique qui peut toucher n’importe qui et, surtout, les jeunes générations très attirées par la consommation de drogues.


Demain, l’évolution du marché de la drogue et une augmentation soudaine des prix peut faire arriver sur le marché des drogues plus dures et dangereuses encore que l’héroïne ou la cocaïne. Ces centres seront très précieux en cas d’apparition de ces dérivés d’une très haute toxicité pour la prise en charge de ces toxicomanes. »

Michel THOORIS, secrétaire général du SYNDICAT FRANCE POLICE, tel : 06 42 18 37 52.

Source: http://tinyurl.com/2wvnl5c