Francaisdefrance's Blog

07/03/2012

Un mollah félicite l’assassin de Theo van Gogh !!!

C’est en Norvège, que ça se passe… Remarquez le regard de fou de l’énergumène en question; rien d’étonnant. Et dire qu’ils veulent diriger le monde…

Réagissons avant qu’il ne soit trop tard! Il devrait être expulsé; mais vers quelle destination? Car « on » pourrait régler le problème plus facilement et discrètement… La loi du Talion; encore et toujours…

FDF

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2004: Theo van Gogh était poignardé à mort par un intégriste marocain.

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 Ce « religieux » subit présentement un procès pour menaces de mort contre une politicienne. Il a également appelé à un deuxième 11-Septembre contre les USA dans une interview télévisée en décembre dernier. 


Le mollah Krekar, un extrémiste musulman, a félicité l’assassin du cinéaste hollandais Theo Van Gogh lors d’une manifestation contre l’incinération de corans.

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Qualifiant l’assassin d’homme «courageux» lors d’une manifestation pacifique contre le geste des militaires américains en Afghanistan, il a déclaré devant une centaine de personnes : «En 2004, Mohammed Bouiri, un jeune marocain courageux, a abattu et poignardé le cinéaste hollandais en pleine rue, en représailles pour le coran et par amour de l’islam.»

Suite à la manifestation de vendredi, plusieurs personnes ont fait valoir que le mollah Krekar, accusé d’avoir proféré des menaces de mort contre Erna Solberg, leader du Parti conservateur, et d’autres, n’aurait pas dû être autorisé à participer à cet événement. «Il est considéré comme une menace pour le pays, et le laisser manifester devant le Parlement est un aveu d’échec. Le mollah Krekar devrait être placé en détention jusqu’à son expulsion de Norvège», a déclaré Ketil Solvik-Olsen du Parti du Progrès à NRK.

Pour le représentant du Parti travailliste, le député Arild Stokkan-Grande, les commentaires de Krekar «devraient être considérés comme une incitation à la terreur car ils ont été faits lors d’une réunion publique.»

Source : Outspoken Norway Muslim praises killer, Foreigner, 4 mars 2012. Extraits traduits par Poste de veille

Source: http://www.islamisation.fr/

06/11/2011

De l’eau au moulin de Charlie Hebdo…

Preuve est que l’attentat chez Charlie Hebdo est bien du fait d’intégristes un peu trop lobotomisés par des « meneurs propagandistes » avide de haine, de sang et avides de conquêtes… Et Dieu sait si ils sont légion parmi nous… Pourtant, il n’y a qu’un islam, qu’un coran…

Interdire de reproduire l’image de Mahomet n’est mentionné nulle part dans le coran. Celui de le tourner en dérision par humour non plus…
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(Au fait, merci à Charlie Hebdo d’avoir imprimé une autre série du numéro « du scandale »; il y a eu autant de demandes…).

FDF

Dessin de Dilem

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Le siège de l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo a été attaqué au cocktail Molotov dans la nuit du mardi au mercredi 2 novembre, à la veille de la publication d’un numéro spécial intitulé «Charia Hebdo», dont la couverture est un dessin représentant Mahomet. Si l’attaque n’a pas été revendiquée, une autre, virtuelle celle-ci, est venue d’un groupe de pirates turcs qui ont affiché sur la page d’accueil du site de l’hebdomadaire un message dénonçant «des dessins dégoûtants». La page Facebook du journal a également été envahie de commentaires s’offusquant de la caricature du prophète.

Au-delà de la question du caractère offensant ou non du dessin, l’incident a remis sur le devant de la scène un sujet qui avait éclaté de manière souvent confuse aux yeux de l’opinion publique mondiale en 2006 avec l’affaire des caricatures de Mahomet parues dans un journal danois, celui de la représentation du prophète musulman. L’islam interdit-il la fabrication d’images de Mahomet?

Les trois grandes religions monothéistes que sont l’islam, le judaïsme et le christianisme ont comme point commun l’acceptation d’un seul Dieu (Allah pour la religion musulmane) et l’interdiction de le représenter. La représentation de Dieu est ainsi restée taboue tout au long de l’histoire de l’islam.

Pas dans le Coran

Si l’interdiction de faire des images de Dieu dans l’islam n’est pas contestée, il n’en va pas de même pour les images de Mahomet, le prophète de la religion musulmane. Aucun passage du Coran n’interdit la représentation des êtres vivants, et donc de Mahomet, qui n’est qu’un homme et non l’incarnation de Dieu comme Jésus. C’est une différence majeure avec la Bible, qui interdit de manière explicite la création d’images dans le second commandement:

«Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.» (Exode XX, 4)

Une interdiction plutôt respectée par les juifs mais vite abandonnée par les chrétiens, qui ont considéré que l’arrivée sur terre de Jésus, la réincarnation de Dieu, permettait de représenter ce dernier de manière figurative et d’en faire un vieux barbu.

Hadiths

C’est dans les hadiths, recueils qui rassemblent l’ensemble des traditions relatives aux actes et aux paroles du prophète et de ses compagnons, que l’on trouve des allusions plus claires à la création d’images. Plusieurs textes y font référence à la fabrication d’images d’Hommes ou d’animaux, et donc de Mahomet lui-même. Le problème théologique ne concerne en effet pas le prophète en particulier mais tous les êtres vivants (les végétaux n’étant pas considérés comme tels).

Dans Al-Bukhârî, LXXVII, 87. Al-Sahîh (L’Authentique), l’un des plus grands et importants recueils de hadiths, compilé au IXe siècle, on peut lire:

«Les anges n’entreront pas dans une maison où il y a un chien, ni dans celle où il y a des images.»

L’image est assimilée à une impureté semblable à celle d’avoir un chien, animal impur par excellence, notamment à cause du risque d’idolâtrie qu’elle entraîne, un des pires pêchés dans l’islam comme dans le christianisme et le judaïsme.

Les images seraient aussi proscrites parce que les Hommes qui créent des représentations d’humains ou d’animaux sont perçus comme voulant imiter Dieu. Plusieurs hadiths affirment que le jour du jugement dernier, ceux qui ont peint des Hommes ou des animaux seront sommés de leur insuffler une âme, de leur donner vie. L’artiste qui dessine les êtres vivants se pose en concurrent du Créateur.

C’est de l’interprétation de ces hadiths que vient le désaccord entre ceux qui estiment que la tradition musulmane interdit et a toujours interdit les représentations de Mahomet et ceux pour qui rien ne permet de l’affirmer. La question n’a pas toujours été aussi taboue qu’aujourd’hui. Tout dépend du climat plus ou moins rigoriste de l’époque à laquelle on se trouve, mais aussi de la région où l’on se trouve.

Images de Mahomet au 13e siècle

L’histoire de l’art apporte des preuves de ce passé où Mahomet pouvait être représenté. A partir du 13e siècle, des représentations du prophète ont circulé dans des miniatures islamiques, turcopersanes d’abord, puis aussi arabes. La Bibliothèque nationale de France a ainsi abrité à l’été 2011 une exposition intitulée «Eluminures en islam» dont une partie était consacrée à l’art figuratif islamique, et qui s’est également intéressée au contexte dans lequel sont apparues les images du prophète.

Aux 14e et 15e siècles, les représentations de Mahomet à visage découvert n’étaient pas problématiques et n’ont pas entraîné de réprobation de la part des autorités religieuses. Si les images figuratives du prophète ont toujours été absentes des lieux de prière et des mosquées, certains ouvrages religieux utilisaient des images de Mahomet comme des illustrations, pour promouvoir la connaissance de l’islam ou même pour transcrire des hadits en image. A partir du 16e siècle apparaissent des images de Mahomet avec le visage vide ou caché par un voile ou des flammes, et les premières fatwas contre les images du prophète ont attendu la fin du 20e siècle.

On retrouve des exemples d’icônes religieuses et de dessins figuratifs de Mahomet jusqu’aux années 2000, comme cette image tirée d’un livre pédagogique iranien:

Aujourd’hui, l’idée selon laquelle le prophète ne devrait pas être représenté est très répandue chez les musulmans, même s’il y a des nuances: les musulmans arabes ont tendance à être plus stricts en matière d’imagerie religieuse, et les chiites sont en général plus flexibles que les sunnites sur la question. Mais on assiste dans l’ensemble depuis quelques décennies à un durcissement et à une simplification sur le sujet, une tendance qui s’est accélérée depuis l’affaire des caricatures de Mahomet en 2006. La carte postale iranienne ci-dessous, qui représente un «jeune Mahomet», a arrêté de circuler en Iran en 2008.

Ce raidissement sur une question qui n’était presque pas débattue avant l’époque coloniale est interprété par certains experts comme une réaction identitaire face à l’acceptation des arts figuratifs dans les sociétés occidentales et chrétiennes.

On observe pourtant la diffusion de toutes sortes d’images figuratives à travers les formes modernes que sont la photographie, la télévision, Internet et les réseaux sociaux dans le monde musulman. Il n’y a qu’à voir le nombre d’images et de portraits géants des chefs d’État dans les rues de tous les pays musulmans, même les plus rigoristes, les cinémas arabes et persan ou encore les images figuratives brandies et dessinées lors des révolutions en Tunisie, en Libye ou encore place Tahrir en Egypte.

Source: http://www.slate.fr/

05/11/2011

Le sale con du jour est…

Jalal !

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Qui nous écrit du Maroc; de Rabat, plus exactement… Ca ne vaut pas le coup de faire le voyage pour lui exploser la g……

Mais là, force est de constater qu’il bat des records dans le domaine de la haine anti-blancs, anti-chrétiens et du fanatisme religieux. Cette ordure se réjouit de l’assassinat de Théo Van Gogh et je suis sûr, regrette de ne pas l’avoir tué lui-même.

Elle est belle, la « religion » d’amour, de paix et de tolérance. Et dire que des types dangereux comme celui-ci, on en croise tous les jours.

Vous voyez une fois de plus les dangers de l’islamisme, là?

FDF

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Jalal commented on Il y a 7 ans, Theo Van Gogh était assassiné au nom du coran !

une fin méritée on rigole pas avec notre Religion .

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04/11/2011

Il y a 7 ans, Theo Van Gogh était assassiné au nom du coran !

Triste anniversaire… C’est ce genre de crimes que les intégristes de la « religion d’amour », de paix et de tolérance doivent payer !!! Pardon; pas que ceux là; tous ! Regrettable que la peine de mort ne soit pas en vigueur aux Pays-Bas… Ce fou d’Allah ( un « bienfait de l’immigration »), Mohammed Bouyeri, n’a pris QUE la perpétuité…


Le film qui a coûté la vie à Thé Van Gogh: http://tinyurl.com/3eocmos

FDF

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Mohammed Bouyeri/Theo Van Gogh


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Le 2 novembre 2004 à Amsterdam, le réalisateur néerlandais Theo Van Gogh est assassiné dans la rue par l’immigré marocain Mohammed Bouyeri. Bouyeri blesse Van Gogh avec une arme à feu, puis l’achève en tirant de nouveau. Au total, huit balles atteignent le réalisateur. Le Marocain l’égorge, le décapitant presque. Puis, il lui plante deux couteaux dans la poitrine.

Au cours de son procès, Bouyeri se dit prêt à recommencer, puisque, selon le Coran, tout bon musulman a le devoir de combattre les ennemis de l’Islam.

Le crime de Theo Van Gogh ? Avoir réalisé deux mois plus tôt, avec Ayaan Hirsi Ali, un court-métrage (vidéo ci-dessous) intitulé « Soumission » sur la situation de la femme en terre d’Islam.

Photo : L’annonce de la mort de Theo Van Gogh dans le journal De Telegraaf . Crédit : Denkbeeldhouwer. Licence CC.

[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine [http://fr.novopress.info/]

15/05/2011

Peine de mort en Europe pour les critiques de l’islam.

Ne riez pas; c’est déjà appliqué…

FDF

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La charia s’instaure dans les faits en Europe, du fait de musulmans militants, mais aussi, du fait de gauchistes militants, d’intellectuels dévoyés, de juges commettant du déni de justice en refusant de prendre en compte tous les éléments de fait, de dirigeants européens peu ou prou corrompus.

Théo Van Gogh, critique de l’islam, a été tué par un musulman militant, et des intellectuels devoyés se sont empressés de le décrire comme un provocateur et un antisémite,
Pym Fortuyn, gay, critique de l’islam, a été tué par un gauchiste.
Anars et gauchistes autoproclamés « antifas » agressent régulierement, de concerve avec les musulmans militants les critiques de l’islam, les opposants à l’islam.

Les intellectuels dévoyés montent des dossiers fallacieux visant à diaboliser les personnes critiquant l’islam, afin qu’elles n’attirent pas la compassion publique, et dans certains cas les dénoncent et facilient le travail des assassins.

Des juges pratiquent régulièrement le déni de justice en refusant, lors qu’il leur est soumis des cas dont un des aspects est lié, de prendre connaissance de cette doctrine, et donc du sens et de la portée, dans ce contextes, des actes qui leur sont soumis.

Des dirigeants corrompus refusent d’ordonner à la force publique d’empêcher les actes illégaux et barbares commis par les musulmans militants et leurs complices, contre les critiques de l’islam.

C’est ainsi que l’on arrive à une situation dans laquelle tous les opposants à l’islam sont en Europe menacés de mort et régulièrement, assassinés : autrement dit, la charia, qui punit de mort la critique de l’islam, s’applique deja en Europe et s’y instaure de plus en plus. Grave…

Source: http://tinyurl.com/27jfcxo

12/04/2011

L’islam est devenu un symbole de peur; consciemment…

Encore un excellent billet du « webrésistant »…

FDF

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L’islam c’est la peur

http://sitamnesty.files.wordpress.com/2011/01/2011_annee_internationale_de_la_verite_sur_l-islam.jpg

Traduction exclusive d’un article de Bob Smith (ici).

Est-ce que vous porteriez un T-shirt avec une caricature de Mahomet ?

Vous pourriez dans le Montana mais n’essayez pas à La Mecque.

Pourquoi ?

Parce que le monde islamique enseigne à un petit nombre de ses croyants les plus dévots qu’il est bien de tuer. Et les tueurs islamiques ont été entraînés à tuer quiconque insulte Allah et/ou Mahomet.

Dans le Montana vous avez de bonnes chances qu’aucun de ces tueurs islamiques ne vous voient.

A La Mecque vous ne dureriez pas cinq minutes. Un des tueurs de l’Islam apparaîtrait de nulle part et vous tuerait, c’est aussi simple que ça.

Vous ne me croyez pas ? Demandez à n’importe quel Musulman !

Cet article traite de ces tueurs islamiques et de la peur qu’ils génèrent.

La société islamique est  prise dans un  cycle infini et auto-réplicateur de violence et de peur, mené par les croyants les plus dévots. Ce cycle fonctionne ainsi:

La Violence

Chaque génération de croyant les plus dévots entraîne la suivante qu’il est bon et licite d’employer la violence au nom de l’islam. Le cycle infini commence ainsi car ces dévots reçoivent aussi l’instruction de tuer quiconque tente de modifier ou arrêter l’enseignement de cette violence.

La Peur

Parce (1) que ces tueurs potentiels sont entraînés partout dans le monde islamique, sont répartis parmi la population islamique (Oumma) et ne sont pas aisément identifiables, cela signifie que n’importe quel dévot musulman, partout dans le monde peut être un de ces tueurs. Tout Musulman est conscient de cette menace potentielle (peur) venant de ces dévots fanatiques. En conséquence tous les Musulmans subissent la peur qui mène le système.

La violence et le peur créée par ces dévots fanatiques a un profond effet sur l’islam. Il est au cœur de ce que l’islam est devenu. Le cycle violence/peur est responsable de tous les aberrations de la société islamique. Cela explique pourquoi les Musulmans semblent si pieux (peur d’une réaction à leur encontre venant des fidèles les plus dévots). Cela explique pourquoi les Musulmans ne quittent pas leur religion et pourquoi ils ne s’intègrent pas quand ils émigrent (les tueurs ont appris qu’il faut tuer quiconque quitte l’islam). Cela explique pourquoi les Musulmans du Maroc ou des Philippines déclenchent des émeutes à propos de caricatures ou d’un simple commentaire du Pape (les tueurs lancent le mouvement et les autres suivent pour avoir l’air pieux aussi).

Fort-Hood-jihadist.jpg

Le cycle violence/peur  crée une profonde cicatrice psychique sur la société musulmane et est responsable de  ce qu’est l’islam. Comprendre ce cycle violence/peur est la clef qui permet de comprendre l’islam. Aucune tentative pour gérer la violence islamique ne pourra jamais aboutir si elle n’attaque pas les causes de ce cycle infernal.

Décrire ce système violence/peur – les tueurs islamiques – et sa nature cyclique est difficile à cause d’un certain nombre de raisons. En premier et principalement, ce système est gigantesque. Alors même qu’il est étalé aux yeux de tous, le côté unique et l’échelle-même de son gigantisme le rend difficile à voir. De plus, la plupart des Musulmans ( et des défenseurs de l’islam) nient l’existence des tueurs islamiques. Parce que ces tueurs, étant répartis plus ou moins partout dans la société islamique, ne sont généralement pas repérés avant d’avoir commis leurs actes de violence, il est difficile de relier ces tueurs indépendants à un  système cyclique spécifiquement islamique. Du fait de son caractère cyclique, le point de départ de ce système est difficile à identifier.

Commençons par  étudier la peur créée par ces tueurs.

La peur islamique

La peur islamique est facile à comprendre et ressentir une fois que vous savez quoi chercher.  Examinons attentivement deux scénarii de peur islamique. Le premier cas est celui du T-shirt portant une caricature de Mahomet évoqué plus haut. Le second est celui du meurtre de Théo Van Gogh à Amsterdam et des publications des caricatures de Mahomet qui suivirent.

Scénario du T-shirt

Il est aisé de comprendre comment une personne vivant dans le Montana peut porter sans peur un T-shirt avec une caricature de Mahomet. Il n’y a presque pas de musulmans dans le département de la Creuse. La chance d’être repéré par un tueur islamique est donc presque inexistante. En conséquence les gens ne sont pas intimidés. Le coefficient de peur islamique dans la Creuse est  faible.

bomb.jpg

Mais à Dearborn dans le Michigan la situation est différente. Dearborn à une population musulmane importante.  Porter un T-shirt avec une caricature de Mahomet peut se révéler risqué. Quelque part dans cette population musulmane, un Musulman dévot peut se sentir offensé et ce sentiment peut mener à un acte de violence. En conséquence,  certaines personnes se sentiront intimidées. Le coefficient de peur islamique à Dearborn est moyen.

Maintenant portons ce scénario dans une population musulmane encore plus importante, disons dans la partie musulmane de Londres. Cet endroit compte plus d’un million de musulmans et vous pouvez être sûrs que quelque part dans cette communauté il y a des tueurs islamiques. Considérant les attaques à la bombe de Londres avec plus de 50 morts ainsi que les différentes tentatives d’attaques déjouées, il est facile d’imaginer un musulman dévot offensé par le T-shirt dans ces zones. En conséquence un grand nombre de personnes renonceront à porter le T-shirt. Le coefficient de peur islamique à Londres est fort.

Et au final imaginons la peur que vous ressentiriez dans une société 100% musulmane ou presque. Imaginez-vous portant le T-shirt dans les rues de La Mecque (2), Le Caire ou Téhéran. La peur serait intense. En fait – comme je l’indiquait plus haut – Vous ne dureriez pas cinq minutes. Un des tueurs islamique apparaitrait comme venu de nulle part et vous tuerait. En conséquence toute personne raisonnable renoncerait à porter un tel T-shirt. Le coefficient de peur islamique à La Mecque, Le Caire ou Téhéran est exceptionnellement fort.

Deux notes : (1) Dans un endroit comme La Mecque, le Caire ou Téhéran, le tueur  ne serait, plus que probablement, même pas inquiété après vous avoir tué, il ne passerait même pas en procès. A la mosquée locale il serait traité avec respect pour avoir défendu l’islam. (2) Si vous êtes un non-musulman  à La Mecque, vous êtes tué – les non-musulmans ne sont pas tolérés dans La Mecque.

J’ai choisi ce scénario du T-shirt pour deux raisons simples. Premièrement, il est vrai ( je défie quiconque de prouver le contraire avec la méthode suivante : Mettez un T-shirt avec une caricature de Mahomet et allez à Téhéran. Faites-alors une vidéo de cela et postez-le sur YouTube) et en deuxième il est facile à comprendre, le Montana – presque pas de Musulmans – pas de peur islamique. La Mecque, Le Caire, Téhéran  -presque que des Musulmans- une peur islamique exceptionnellement forte.  C’est absolument évident – plus grand est le pourcentage de musulmans dans une situation donnée – plus grand est le coefficient de peur islamique.

La chose la plus importante qu’il faut retenir de ce scénario est ici. Qu’est-ce qui provoque cette peur ? La réponse est la suivante : Il y a une peur réelle qu’un musulman vraiment dévot sorti d’on ne sais où vienne vous tuer (Cela a son importance. Gardez-le à l’esprit).

Le meurtre de Théo Van Gogh et les caricatures de Mahomet

Maintenant examinons le meurtre de Théo Van Gogh à Amsterdam et les raisons conséquentes de la publication des caricatures de Mahomet.

Théo Van Gogh a réalisé un film critiquant la manière dont l’islam traite les femmes. Van Gogh fut assassiné par un tueur islamique nommé Mohammed Bouyeri. Selon les rapports publiés, M. Bouyeri déclara à la cour lors de son procès que Van Gogh avait insulté l’islam. « Ce qui m’a décidé à faire ce que j’ai fait, fût uniquement ma foi » déclara M. Bouyeri, « J’ai été motivé par la loi qui me commandait de couper la tête de quiconque insulte Allah et son Prophète.»

van gogh theo 2004

En réalité M. Bouyeri à fait deux choses. Premièrement il a tué Théo Van Gogh. Mais encore plus important, il a contribué à répandre la peur islamique (la peur qu’un musulman dévot profondément fanatique apparaisse, venu de nulle part, et vous tue) dans les parties de l’Europe où vivent maintenant beaucoup de Musulmans (alors même s’ils ne sont que 10% de la population).

La peur islamique provoquée par le meurtre de Van Gogh fût en partie la raison pour laquelle Flemming Rose, directeur de la publication du journal danois Jyllands-Posten,  publia les caricatures de Mahomet.

M. Rose déclara le 19 févier 2006 dans un article du Washington Post qu’il « commanda les caricatures en réponse à plusieurs incidents d’autocensure survenus en Europe, causés par  des peurs grandissantes et des sentiments d’intimidations dès qu’on traite des problèmes liés à l’islam. … Notre but était simplement de repousser les limites auto-imposées à l’expression qui semblaient se resserrer. »

Flemming Rose était en train de décrire le phénomène de peur islamique ( la peur qu’un musulman profondément croyant sorte de nulle part et vous tue). Exactement la même chose que ce qui était décrit dans le scénario du T-shirt.

La peur islamique en chiffres

Regardons maintenant cette réalité de la peur islamique en Europe décrite par Flemming Rose et voyons si cela peut nous aider  à comprendre la peur à l’intérieur d’une société presque 100% musulmane.

Gardez à l’esprit que les Musulmans représentent moins de 10% de la population Européenne. Toutefois, même quand les Musulmans ne représentent qu’un si petit pourcentage de la population générale, la présence potentielle de tueurs islamiques a eu l’effet, selon Flemming Rose,  de créer des «limites auto-imposées à l’expression qui semblaient se resserrer. »

Réfléchissez à propos de ce fait. Les Européens, qui ont été élevés dans la croyance à la libre expression, vivant dans des sociétés libres et ouvertes, ont peur de critiquer l’islam alors que les musulmans ne représentent que moins de 10%  de la population.

Alors maintenant pensez à ce que ce doit être que de vivre dans une société musulmane où à peu près 100% de la population est musulmane. Le facteur de peur musulmane doit être au moins dix fois plus élevé.

Imaginez une société pratiquement 100% musulmane, une société dans laquelle des tueurs religieux invisibles, comme Bouyeri, rôdent littéralement partout. La libre expression et la critique de l’islam à l’intérieur d’une société musulmane est à pas grand-chose près impossible.  Interdites par la peur islamique. Interdites par la peur d’invisibles tueurs religieux.

Cette incapacité à pouvoir critiquer l’islam dans une société musulmane est une des principales raisons pour lesquelles l’islam reste bloqué dans son éternel cycle de violence. Les Musulmans peuvent clairement voir la violence autour d’eux. Mais ils savent très bien que toute critique sur ce sujet peut attirer l’attention d’un tueur comme Mohammed Bouyeri. En conséquence la plupart des Musulmans vivent dans la peur d’un système qui les empêche de réagir. A l’intérieur d’un système sur lequel ils n’ont aucun contrôle.

Maintenant nous commençons à avoir une idée de ce qu’est la peur islamique, voyons à présent qui sont ces tueurs islamiques.

Qui sont les tueurs ?

Avant de commencer à parler des tueurs islamiques, évoquons un trait commun à toutes les religions. Ilya tous les degrés de croyance parmi les fidèles des religions. Certains sont seulement des croyants peu convaincus et d’autre sont très dévots. Par convenance, imaginons une ligne horizontale appelée « échelle de croyance. » Sur celle-ci nous répartirons les croyants du moins dévot au plus dévot.

A l’extrême gauche nous placerons les moins dévots, parmi ceux-ci certains sont si peu croyants qu’ils peuvent presque être considérés comme des athées. A la partie droite se trouvent les croyants les plus dévots.

—————————- échelle de croyance ————————–

Moins dévot ————————————————– Plus dévot

—–1——2——3——4——5——6——7——8——9——10—–

Les tueurs islamique viennent des rangs des croyants les plus dévots de l’islam. Sur l’échelle de croyance ces croyants seraient quelque part entre 9.75 et 10. Ces croyants, quand certains faits et conditions sont rassemblés seraient capables d’accomplir des actes de violence au nom de l’islam.

Ces croyants les plus dévots ont été religieusement entraînés à croire aux nombreux appels à la violence présents dans les enseignements islamiques. Le Coran et la Sunna, les bases fondatrices de l’islam, contiennent de nombreux appels à la violence. De plus, les savants de l’islam, l’infrastructure religieuse, les fatwas et les normes sociétales légitiment l’usage de la violence au nom de l’islam. Les croyants les plus dévots de l’islam acceptent cela comme vrai le fait d’avoir l’autorisation donnée par Allah de perpétrer des actes de violence au bénéfice de l’islam. (Exactement comme M. Bouyeri cité plus haut.)

Numériquement parlant, ces dévots fervents – ceux prêts à agir violemment au nom de l’islam – représentent entre 0.1% et 10 % de la population musulmane générale.  Entre un sur mille et un sur dix.

coupeur_de_tete.jpg

La population musulmane étant actuellement d’environ 1.3 milliard, cela signifie que le nombre potentiel de tueurs se situe entre 1.3 million et 130 millions; Même avec l’estimation minimum, les 1.3 millions de tueurs représentent une menace énorme. A 130 millions, la menace dépasse les bornes de l‘imaginable.

Cette large variation dans le nombre de tueurs potentiels est causée par un certain nombre de facteurs. En premier, la majorité de ces tueurs ne se sont jamais inscrits dans une organisation, il est donc parfaitement impossible de savoir exactement combien ils sont. De plus, la plupart agissent au nom d’une foi religieuse intense qui peut évoluer d’un jour à l’autre.  Il y a aussi le fait que la structure de l’islam n’a pas d’autorité centrale; un croyant dévot peut donc n’importe quand peut décider sur sa seule initiative de passer à l’action. Additionnellement, certains considérations islamiques (telles que la défense de l’islam contre ce qui est ressenti -exemple : l’Iraq – comme des menaces) peuvent persuader un pourcentage plus important de dévots d’aller remplir leurs obligations religieuses.

Pour rendre les choses encore pires, au-delà même du nombre, même limité,  des musulmans dévots fanatiques – ceux capables de commettre des violences au nom de l’islam –  il y a un second groupe qui augmente et amplifie l’effet de ces tueurs. Ce sont les sympathisants et ceux qui approuvent la violence religieuse.

Les sympathisants

sympathisants 2

Ces sympathisants (de 8 à 9.75 sur l’échelle de croyance) agissent de fait comme les yeux et les oreilles des tueurs. Même si les sympathisants et ceux qui approuvent le recours à la violence n’ont pas eux-mêmes la volonté de commettre des actes violents, ils acceptent de les soutenir. Ils acceptent aussi de parler à propos de ce qu’ils voient. Quand les sympathisants et les dévots fanatiques se rassemblent à la mosquée, ils discutent. Ce qui permet aux tueurs de rassembler des informations. Cela permet à la peur islamique d se répandre largement.

sympathisants En simple nombre, la combinaison des sympathisants et des dévots fanatiques représente probablement quelque chose comme 20% de la population musulmane générale. Ce qui veut dire qu’une personne sur cinq est soit un tueur soit un sympathisant.  Parce qu’il est impossible de les identifier, la présence des sympathisants contribue au coefficient de peur islamique.

Imaginez être un Musulman dans le scénario précédent. Chaque fois que vous êtes avec cinq amis ou plus vous pouvez être statistiquement en présence d’un de ces tueurs religieux ou d’un de leurs sympathisants. Est-ce que vous oseriez dans ces conditions parler librement de problèmes religieux sans être «sûrs» de vos amis ?

A cause du principe islamique de Taqiyya (mensonge au nom de la promotion ou de la défense de l’islam) la plupart des  Musulmans refusent de reconnaitre l’existence de ce « groupe » de tueurs. De plus, les tueurs n’hésiteraient pas à tuer ceux qui révèleraient leur existence et les critiqueraient. En général les Non-Musulmans ne se rendent pas compte de l’existence de ces tueurs à cause d’une combinaison d’ignorance et de politiquement correct. Le voile de «légitimité religieuse» drapé autour de l’islam contribue pour une bonne part à une vision confuse du problème.

_40761679_1bouyeriap203c-copie-1.jpg Ces tueurs peuvent être indépendants, sans organisation comme Mohammed Bouyeri, l’assassin de Théo Van Gogh à Amsterdam. Ces tueurs indépendants agissent comme des «agents libres» auto-désignés. Sous la loi islamique ils reçoivent le pouvoir de faire respecter la Charia. Parce qu’ils sont hors de tout groupe organisé,  qu’ils ont la capacité à rester indétectables jusqu’au passage à l’acte, qu’ils sont répartis dans toute la société islamique et à cause de leur nombre, ces tueurs potentiels «indépendants»sont responsables d’une énorme part de la peur dans la société musulmane. Quand ces tueurs «indépendants» agissent dans le monde non-musulman, leurs actions sont habituellement vues comme des actes criminels, déconnectés des appels à la violence islamiques.

airportterrorists 450x300Les tueurs de l’islam peuvent aussi être organisés dans des groupes de toutes tailles et de toutes natures – d’une cellule de deux hommes à une organisation comme Al-Qaïda, le Jihad Islamique, le Hamas, le Hezbollah ou d’autres organisations terroristes. Ces groupes peuvent agir seuls ou conjointement avec d’autres groupes ou individus. Leurs actions ne requièrent aucune autorité centrale mais peuvent être coordonnées avec d’autres groupes. N’importe quel «agent libre» peut créer sa propre organisation. La taille et la capacité d’action ne sont limitées que par les talents d’organisateur des individus impliqués. Tout ou partie de ces groupes peut recevoir de l’aide d’autres groupes. Très régulièrement, des gouvernements musulmans soutiennent discrètement beaucoup de ces groupes en prétendant officiellement n’avoir aucun lien avec eux. (photo: gang terroriste musulman arrêté à Londre en 2008)

Malgré le fait que les tueurs proviennent de l’extrême droite de l’échelle de croyance, certains croyants moins dévots succombent aussi à ce qui est appelé «le syndrome soudain du jihadiste.» Sous certaines circonstances, ils peuvent basculer dans la violence.

Les tueurs de l’islam peuvent agir de manière anonyme.  Comme les tueurs qui posent des bombes dans les endroits publics ou ceux qui à moto, jettent une grenade dans la foule. D’autres tueurs agissent fièrement et commettent leurs méfaits ouvertement, comme Mohamed Bouyeri l’assassin de van Gogh.

Certains tueurs islamiques sont faciles à repérer. On les trouve habituellement dans les journaux télévisés. Les 19 hommes de l’attentat du 11 septembre étaient des tueurs islamiques. Le flot incessant de porteurs de bombes suicides en Iraq et Afghanistan sont des tueurs islamiques. Les hommes qui se firent sauter à Londres dans les transports étaient des tueurs islamiques. Les meurtriers de Belson faisaient partie du groupe aussi.

beheaded_girl.jpg En Thaïlande des tueurs islamiques décapitent des écolières et abattent les ouvriers dans les plantations. Aux Philippines ils placent des bombes dans les ferries et les marchés. En Espagne c’est dans les transports. En Jordanie ils attaquent les mariages et  tuent les professeurs des collèges. En Egypte ils tirent sur les touristes près des pyramides, placent des bombes dans les hôtels et assassinent le président Anwar Sadate.

En Inde, les tueurs ont frappé Mumbai à de nombreuses reprises et ont rendu la vie misérable au Cachemire. En Afrique les tueurs islamiques travaillent au Kenya en mettant des bombes à l’ambassade américaine. Au Soudan ils sont responsables des massacres du Darfour. Au Liban ils envoient des roquettes sur Israël. En Argentine ils attaquent l’ambassade d’Israël.

Même aux USA les tueurs islamiques agissent. Nidal Malik Hasan tue 13 soldats et en blesse 30 à Fort Hood.  John Allen Muhammad tire sur  dix personnes dans la zone de Washington DC. A Salt Lake City Sulejmen Talovic tue  cinq personnes dans un centre commercial. A Seattle Naveed Afzal Haq en tue une et fait quatre blessés. A l’université de Caroline du Nord à Capel Hill, un diplômé iranien Mohammed Reza Taheri-azar, jette sa voiture sur des étudiants. (Note : On voudrait nous faire croire que ces actes sont des actes criminels isolés, mais la réalité est autre : Ces actes font tous partie de ce que vous pouvez attendre du système de violence cyclique de l’islam.)

Partout sur la surface du globe où vous trouvez des musulmans, vous trouverez aussi les tueurs de l’islam. Parce que ces tueurs sont répartis dans toute la société islamique; plus il y a de musulmans, plus il y a de tueurs.

Le type de «travail» accompli par les tueurs islamiques dépends du pourcentage de musulmans présents dans la société dans laquelle ils opèrent.

Dans la société musulmane leur principale tâche est de maintenir l’islam vivant. Ils y travaillent en tuant ceux qui insultent Allah ou insultent Mahomet, critiquent ou tentent de changer l’islam, essayent de quitter l’islam (C’est pourquoi les Musulmans semblent si pieux, ne quittent pas l’islam et que les modérés ne prennent pas la parole.) dans la société musulmane ils ont aussi pour fonction d’améliorer le respect de la Charia et d’en forcer l’application.  En Afghanistan les tueurs plastiquent les écoles de filles pour imposer leur idéal d’état islamique.  En Egypte ils tuèrent Sadate parce qu’il était allé contre la loi islamique en essayant de faire la Paix avec Israël.

Aux endroits où la société musulmane entre en contact avec une société non-musulmane, comme c’est le cas actuellement en Europe, une des premières tâches des tueurs est de s’assurer que les musulmans ne s’assimilent pas dans la société hôte. (maintenir l’islam vivant .) Leurs autres tâches consistent à terroriser les non-musulmans jusqu’à ce qu’ils se convertissent ou acceptent les règles de le Charia. Cette œuvre de terreur peut prendre la forme d’actes criminels ou d’une guérilla perpétuelle de basse intensité.  Des exemples récents de cette dernière méthode sont : le Cachemire, les Balkans, la Thaïlande, Les Philippines, l’Afrique Sub-saharienne, et maintenant l’Europe.

QuranRifle11-1-.jpg Les tueurs sont majoritairement des jeunes hommes, ainsi que quelques femmes récemment, mais en faible nombre. Ils viennent de tous les milieux économiques et sociaux. La pauvreté n’est pas une cause mais est un facteur facilitant pour les croyants dévots cherchant des nouvelles «recrues.»

Ce système trouve même un moyen d’utiliser la puissance destructrice de ses jeunes asociaux en rupture de banc. Ils peuvent pratiquer leurs activités destructrices sur les non-musulmans sous forme de viols, d’agressions et violences diverses tout en recevant des réactions favorables des dévots fanatiques. C’est pourquoi les prisons Européennes ont un pourcentage si haut d’occupants musulmans.

La triste réalité concernant les tueurs de l’islam est la suivante : L’islam parce qu’il revendique continuellement une légitimité religieuse,  peut compter en tant que système, d’un gigantesque soutien gratuit, invisible, composé d’individus hautement motivés, dévots, non organisés , prêts à agir , répandus dans le monde entier, et prêts à tuer pour maintenir l’islam tel qu’il est.

Ces croyants dévots sont en réalité une armée fantôme invisible et non-conventionnelle. Une armée dans laquelle personne n’a besoin d’ordres et tout le monde sait exactement quoi faire. Une armée que personne ne contrôle réellement. Une armée aussi mortelle qu’une armée réelle.

Comment le système entraîne-t-il continuellement les tueurs ?

Nous avons maintenant une idée de ce qu’est la peur islamique et de qui sont certains des tueurs islamiques. Voyons à présent d’où ils viennent et  quelques unes des règles, règlements, traditions sociales et normes sociétales qui créent le cycle éternel et auto-reproducteur de la violence islamique.

(Cette sélection de règles et autres ne représente qu’une infime fraction des directives qui contrôlent l’islam. En réalité, le système islamique est comme une «tempête parfaite» avec, littéralement, des milliers de directives allant toutes dans le même sens pour maintenir l’islam tel qu’il est.  Les directives que j’ai choisi de citer ici sont les plus évidentes à voir et à comprendre.)

L’islam n’est pas qu’une religion. C’est un système social complet (de nombreux auteurs l’ont qualifié de système totalitaire.)

documents ESWLa Charia comprend des règles pour presque tout, de la naissance à la mort. Une large portion de ces règles ont pour fonction de perpétuer l’islam lui-même.

Une règle clef décrète qu’un enfant né de Musulmans est automatiquement Musulman. Cela signifie qu’aucun Musulman (à part les convertis) n’a son mot à dire dans son appartenance à l’islam. Cela signifie aussi qu’aucun parent n’a d’avis à avoir sur le fait que ses enfants soient Musulmans. Cela assure un flot continu de futurs potentiels croyants dévots – les prochaines générations de tueurs islamiques.

Une autre règle importante dit : « L’islam est plus important que la famille. » Parce que les familles musulmanes étendues sont généralement nombreuses, il est difficile d’imaginer une famille sans  un croyant profondément dévot (un tueur potentiel), ou un sympathisant. Cela signifie que dans chaque famille étendue ou presque, le croyant le plus dévot s’assure que le reste de la famille est correctement islamique.  Cela signifie aussi que les parents recevront des pressions de la part d’autres membres de la famille pou être sûr que tous les enfants soient exposés aux dogmes islamiques. En conséquence tous les enfants reçoivent l’endoctrinement islamique depuis la naissance.

Une fois que l’enfant atteint l’âge scolaire, l’endoctrinement devient institutionnalisé,. Cela commence dans la plus petite classe et continue durant toute la scolarité. Malgré que toutes les écoles ne soient pas strictement islamiques, toutes les écoles dans une société islamique obligent tous leurs élèves à étudier des sujets islamiques.

Dans les pays islamiques les plus pauvres dans lesquels l’éducation publique peut ne pas exister, ou ne pas être gratuite, il y a souvent des écoles islamiques. La plupart de ces écoles islamiques sont gratuites. Ce que ces écoles enseignent est beaucoup plus islamiquement intense.

madrasas Il y a aussi les milliers de madrasas (plus de 20 000 rien qu’au Pakistan) enseignant à des millions d’étudiants dispersés dans le monde islamique. Ces madrasas enseignent une forme rigide de l’islam. Cela peut inclure la mémorisation par cœur du Coran , et l’enseignement de textes islamiques appelant les fidèles à user de violence au nom de l’islam.
A l’intérieur du système éducatif, les croyants dévots  et les sympathisants font sentir leur présence.  Quiconque tentant de modérer l’enseignement des textes islamiques risque la colère d’un tueur invisible.
Dans le temps que les enfants mettent à devenir des adultes, un petit pourcentage deviendra les dévots fanatiques de leur génération et environ 20% les sympathisants. Parce que le système éducatif musulman est dispersé dans tout le monde islamique, ces dévots et leurs sympathisants sont, comme précédemment mentionné, présents partout. Et le cycle de Violence/Peur continue.
( Note: C’est bien sût une chose regrettable que les Musulmans enseignent cette haine à l’intérieur de leur propre sociétés, mais certains immigrés enseignent la même haine juste sous le nez de leurs hôtes européens naïfs. Les attaques à la bombe de Londres en 2005 en sont un parfait exemple. Je ne crois pas que les jeunes tueurs islamiques de cet attaque aient reçu leurs motivations à l’intérieur du système éducatif politiquement correct britannique.  La même chose peut être dite à l’occasion de la tentative désamorcée d’attentat de Juin 2006 au canada.  Les terroristes n’avaient pas appris la haine du Canada au sein du système éducatif canadien.  (de nombreux rapports d’enquête confirment ce point.)

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Malheureusement, l’endoctrinement des enfants est seulement le début d’un processus continu qui a pour but l’islamisation complète des individus. A l’intérieur d’une société islamique l’endoctrinement et le renforcement doctrinal est littéralement omniprésent.

Examinons quelques pratiques et croyances communes qui font parties de ce système cyclique. Gardez à l’esprit que ce sont des sujets sensibles capables d’attirer l’attention des tueurs invisibles et que, de peur de ces tueurs, personne ne remet en cause les points suivants.

Cinq fois par jour, les Musulmans sont appelés à la prière. Ces prières agissent comme un rappel constant aux plus dévots qu’ils ont la responsabilité de garder l’islam pur.  C’est aussi un rappel constant aux moins dévots – ne remettez pas en question l’islam –  les tueurs islamiques sont partout.  Ces appels à la prière aident à maintenir le coefficient de peur à un niveau élevé.
Dans une société musulmane, parce que tout le monde est conscient de la présence indétectable des tueurs, pratiquement personne n’ose prendre la parole pour critiquer l’islam. Ce phénomène a lieu dans toutes les couches de la société. De la place du marché au bureau,  de l’épicerie au marchand de chaussures,  de la course de chameau à la course automobile, de la bibliothèque au centre commercial, personne ne parle en mal de quoi que ce soit d’islamique.
Les journaux, radios et télévisions dans les sociétés musulmanes produisent continuellement des histoires véhiculant  une perspective islamiquement correcte.  A cause d’une audience potentielle importante, les reporters des médias risquent des problèmes avec un nombre potentiellement élevé de tueurs anonymes pour chaque petite erreur de jugement; Du coup personne ne veut prendre le risque d’une critique, même minime, d’un sujet islamique.
Pour rendre les choses encore pire, les médias prennent aussi un rôle actif dans la promotion de le doctrine islamique. De nombreuses organisations indépendantes, qui surveillent les médias islamiques, font mention d’articles incitant les Musulmans à la violence et incitant à la haine envers les non-Musulmans.
Voici une liste d’éléments, réaffirmés quotidiennement, que personne ne conteste – à cause de la peur.
Le Coran est « la parole parfaite de Dieu » – cela signifie qu’il ne peut être critiqué ou changé.
Mahomet était l’humain parfait – Le fait qu’il ait été un meurtrier, un bandit, un violeur de femmes et d’enfant est passé sous silence. L’incapacité des Musulmans à parler de ceci rationnellement est la cause de certains comportements étranges.
Tous les humains doivent s’efforcer d’être comme Mahomet. Ceci provoque chez les musulmans dévots des comportements fanatiques et absurdes.
Mentir pour  le bien de l’islam est une bonne chose – Encore des raisons pour des comportements erratiques.
L’islam est la seule vraie religion. Toutes les autres sont « fausses. » – Cette croyance est à tel point martelée dans la conscience collective musulmane que même les croyants peu convaincus l‘acceptent.
L’islam inclue une forme de double langage à la façon 1984 – L’islam est la liberté de Dieu, La Démocratie est la tyrannie de l’homme.

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La supériorité musulmane. Les Musulmans sont de droit supérieurs à tous les autres. Ceci est cru par un large pourcentage des Musulmans, y compris par un bon nombre des croyants peu convaincus.
Les non-musulmans sont inférieurs. Ceci est cru par un large pourcentage des Musulmans. (Bien sûr les non-Musulmans peuvent changer leur état en se convertissant à l’islam.)
Le monde entier doit devenir musulman. Allah l’a dit, ce doit être vrai.
Tout dénigrement de l’islam, de Mahomet ou du Coran  est puni de mort – de la main d’un tueur invisible.
L’islam est parfait – pas de contestation, pas de changement, on ne peut le quitter – Tout le monde est prévenu que si ils font un des trois – ils peuvent être tués.
L’islam est plus important que la famille.
Les membres de la famille doivent tuer ceux qui quittent l’islam.
Les membres de la famille, si ils sont non-croyants, n’ont rien en commun avec vous et doivent être abandonnés ou ignorés.
Tuer et les autres crimes faits au nom de l’islam ne sont habituellement jamais punis.
Les vrais amis ne peuvent être que musulmans – C’est une des raisons pour lesquelles les Musulmans ne peuvent s’assimiler quand ils émigrent  dans des sociétés non-musulmanes.

Tous les Musulmans ont l’obligation de répandre ou d’aider à répandre l’Islam.
Si un Musulman ne peut mener le Jihad, la loi islamique lui fait obligation à aider au Jihad d’une autre manière.
L’islam est une entité politique – L’islam est l’état.
Ce système élève la religion – l’islam – au pinacle de la conscience musulmane.

Et il y a en plus l’infrastructure des mosquées.

Les mosquées et imams ont un important rôle à jouer dans le système cyclique de l’islam. Les mosquées agissent comme un rappel constant de l’islam avec leurs cinq appels à la prière quotidiens.  Les imams sont les points centraux de la majorité des dévots et sympathisants. Ils renforcent la doctrine islamique (y compris tout ce qui précède) et encouragent les dévots à s’assurer de son application.

Un des plus étranges phénomènes de l’islam est le suivant, les mosquées deviennent les cloaques intellectuels de l’islam. Seuls les plus dévots des croyants arrivent aux position de d’autorité.  Ces personnes sont les plus susceptibles de croire aux appels à la violence de l’islam, l’incapacité à rationaliser quoi que ce soit à propos de l’islam atteint son sommet au sein des mosquées. Il y a de nombreux cas d’imams ayant été tués par leurs propres fidèles pour n’avoir pas été assez conservateurs.

Comment la peur, les tueurs et les règles créent un cycle complet.

Tous ces éléments viennent ensemble, l’ordre n’est pas important. Tout le monde est endoctriné lors de l’enfance. L’endoctrinement se poursuit à l’âge adulte. Tout le monde parle toujours positivement de l’islam. Personne ne dit jamais rien de mal à propos de l’islam. Il y a un flot continu de prêche décrivant les tares du monde non-musulman. Il y a un prêche important vantant la perfection islamique.

Les membres des familles s’espionnent les uns les autres. Les amis surveillent les amis. Les imams entretiennent le mouvement cyclique. Les plus dévots des croyants – avec le concours des sympathisants – s’assurent que tous les Musulmans restent dans la norme attendue.  Les questions raisonnables ne sont jamais posées.  Les croyances absurdes sont renforcées. Et constamment une armée de tueurs invisibles s’assure que tout ceci continue.

Ainsi fonctionne le cycle auto-reproducteur. La peur empêche quiconque de contester le système. Personne ne contestant le système cela entraîne l’acceptation de celui-ci. Parce que tout le monde accepte le système c’est que celui-ci doit être bon. Parce que les croyants vantent le système, personne n’entend jamais que des  louanges à l’islam. Personne n’entend jamais de critiques à propos de l’islam. Personne ne le quitte. Personne ne le questionne. Personne ne le critique. Tous les enfants sont intégrés  au système.

Encore, encore et encore, comme un disque rayé. Le système reproduit la même chose, sans fin. L’islam, en tant que société est piégé dans un cycle auto-reproducteur de violence et de peur.

Et maintenant  ?

Ce système cyclique, tel que je l’ai décrit, fonctionne en islam depuis le temps de Mahomet. Et comme la plupart des systèmes il y a un mécanisme de contrôle. La peur qui dirige l’islam, dépend directement de la quantité d’argent  disponible pour l’infrastructure mosquées/imams. Depuis l’embargo des années 70, la quantité d’argent pompée par les producteurs de pétrole a été multipliée des centaines de fois. Ceci a permis aux états producteurs de pétrole de déverser des quantités astronomiques de milliards dans l’infrastructure d‘endoctrinement.

Cet argent a été utilisé pour augmenter  de manière très importante le nombre de mosquées dans le monde musulman. Ceci inclue les milliers de nouvelles mosquées dans le monde occidental. Ces sommes ont aussi été utilisées à former des imams  afin de prêcher la forme la plus conservatrice de l’islam.

Quand vous appuyez sur l’accélérateur il y a un court délai – environ ¼ de seconde – avant que la voiture accélère. Quand les états producteurs de pétrole injectent de l’argent dans l’infrastructure d’endoctrinement musulman – les mosquées – il y a un court délai – environ 20-30 ans – et vous avez plus de super dévots fanatiques.

Alors aujourd’hui nous récoltons la moisson de violence issue des graines de haine et de peur plantées depuis les 30 dernières années.

Bob Smith


Commentaire de VV&D  :

Cet article nous paraît intéressant parce qu’il tente d’exposer une composante de l’islam rarement conceptualisée et exposée en tant que telle alors même qu’elle est perçue de manière plus où moins confuse par tout le monde (on comprend sans explication qu’il est peu raisonnable de porter un T-shirt critiquant l’islam à Téhéran ou à La Mecque).

Cette composante que l’islam, d’une manière ou d’une autre, irradie autour de lui c’est la peur.

Une peur diffuse, un sentiment de menace, parfois difficile à expliquer, ressenti par une majorité de ceux qui ont a côtoyer l’islam ou qui y sont confrontés.
Pour ceux qui ne connaissent pas la doctrine islamique, la Charia, ce sentiment de malaise à propos de l’islam est que «quelque chose ne va pas» avec l’islam.

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Pour ceux qui sont informés et qui savent relier les faits sans connections apparentes (la construction d’une mosquée, une jeune fille portant un foulard islamique, un étalage de viande hallal dans le supermarché local, etc…) l’inquiétude est fondée sur le constat que le cycle «endoctrinement/violence/peur» de l’islam est en train de s’enclencher dans leur voisinage.
Ce que beaucoup de gens ignorent, ou négligent quand ils en ont connaissance, c’est que la doctrine islamique pose comme devoir pour chaque musulman «d’ordonner le convenable et d’interdire le blâmable» (Coran, sourate 3; 114).

Ordonner et interdire, et non pas «suggérer et déconseiller;»

Ordonner et interdire sont des verbes impliquant la coercition.

Or la coercition implique la menace et/ou le recours à quelque forme de rétorsion en cas désobéissance. Tout cela nous ramène finalement à la peur. La peur de ce qui peut se produire si vous ne vous conformez pas à ce que la doctrine de l’islam ordonne ou interdit (un musulman dévot sort d’on ne sais où et vous tue.)

Bien sûr ce Musulman dévot ne va pas toujours vous tuer, il peut -juste- vous agresser physiquement, vous insulter, menacer de brûler votre maison ou votre voiture (Oskar Freysinger, l‘homme qui à fait interdire les minarets en Suisse à eu sa maison incendiée), vous envoyer des insultes et des menaces par téléphone ou par courrier électronique.

Le spectre des «rétorsions» n’a comme limite que l’imagination ou les moyens techniques des dévots fanatiques qui vous ont pris pour cible, mais cela ne change rien au fait qu’ils utilisent la violence pour générer la peur et cela au nom de l’islam.

11 sept

Le père, le frère ou le cousin qui frappe ou menace une femme de sa famille utilise la violence physique ou mentale pour générer la peur au nom de l’islam parce qu’il a appris qu’il fallait le faire, parce qu’il est bon et licite d’utiliser la violence et la peur pour modifier la conduite d’autrui au nom de l’islam.

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La peur est un des constituant principaux de la doctrine musulmane, la Charia. Elle  peut être dirigée en interne, contre les Musulmans eux-mêmes, afin d’en obtenir la soumission (peur de tortures éternelles en Enfer ou peur de châtiments terrestres de la part d’autres Musulmans), mais elle peut aussi être dirigée vers l’extérieur, vers les non-Musulmans, afin d’en obtenir la soumission aux règles de la Charia et une attitude «respectueuse».

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La peur est tissée dans la trame de l’islam parce que la Charia indique que la violence est légitime quand il faut «ordonner le convenable et interdire le blâmable» et que des musulmans dévots un peu partout dans le monde croient cela et le mettent en application avec les résultats qu’on sait.

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Et ton Seigneur révéla aux Anges : « Je suis avec vous : affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts. Ce, parce qu’ils ont désobéi à Allah et à Son messager. » Et quiconque désobéit à Allah et à Son messager… Allah est certainement dur en punition!

(Coran sourate 8; 12 et 13)

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Les vrais croyants sont ceux dont les cœurs frémissent quand on mentionne Allah. Et quand Ses versets leur sont récités, cela fait augmenter leur foi. Et ils placent leur confiance en leur Seigneur.

(Coran sourate 8; 2)

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Nous finirons ce commentaire par un reportage anglais qui illustre parfaitement le cycle « endoctrinement/violence/peur » à l’oeuvre dans nos sociétés avec en prime un bel exercice de Takkiya (mensonge islamique) par l’imam à la fin du reportage.

En effet, pour protéger l’islam il affirme sans sourciller l’exact inverse de la doctrine islamique (Charia). Ce que le journaliste a découvert dans les livres est la doctrine officielle de l’islam, reconnue, acceptée et enseignée par toutes les autorités religieuses musulmanes y compris en France (mais jamais devant les non-Musulmans, bien sûr).

Voici la preuve tirée du manuel de loi islamique certifié (1991) par l’université Al-Azhar du Caire :

Pages 595-96

« Quitter l’islam est la plus hideuse forme de mécréance et la pire… Quand un individu pubère et sain d’esprit apostasie volontairement de l’islam, il mérite d’être tué. Dans un tel cas, il est obligatoire… de lui demander de se repenter et de retourner à l’islam. Si il accepte cela est accepté, mais si il refuse il est immédiatement tué. »

Source: http://webresistant.over-blog.com/

18/12/2010

Espagne: 7 à 12 ans de prison pour 9 recruteurs d’Al Qaeda.

Et pan! L’Espagne participe au grand nettoyage de l’Europe…

FDF

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Les kamikazes étaient envoyés en Irak pour commettre des attentats terroristes

Le Cabinet du Procureur de l’Audience National espagnole a requis hier 7 à 12 ans de prison à l’encontre de 9 présumés islamistes arrêtés en janvier 2006 à Vilanova i la Geltrú, au Sud de Barcelone. Le groupe est accusé d’endoctriner et d’envoyer des mudjahidins en Irak pour y commettre des attentats terroristes. Les délits attribués, révélés par le Ministère Public espagnol, sont une « intégration dans une organisation terroriste » ainsi qu’une « intention de suicide à finalité terroriste » et concernent des recruteurs établis en territoire espagnol. Ceux-ci, qui opéraient depuis deux cellules créées en Catalogne et à Madrid pour organiser le voyage de personnes en Irak, avant qu’elles n’y accomplissent des activités terroristes violentes dirigées par Al Qaeda sur des objectifs civils et militaire, faisaient partie de l’organigramme du Groupe Islamique Combattant Marocain. Le système créé pour sélectionner et convaincre les futurs kamikazes repérait des hommes au profil adéquat dans les rangs d’un autre groupe, « Ansar À l’Islam/Al Sunna », dirigé par un lieutenant du chef d’Al Qaeda, Osama Bin Laden. Le noyau catalan de cette organisation était dirigé par Abdeladim Akoudad, lui-même lié au groupe hollandais « Hofstad », auquel est attribué l’assassinat du cinéaste Theo Van Gogh en 2004.

Arrestation anti-islamiste à Barcelone, 3 février 2009  

Arrestation anti-islamiste à Barcelone, 3 février 2009

Source: http://www.la-clau.net/info/

27/10/2010

Loquendi libertatem custodiamus…

Traduction: gardons la liberté de parler… Lisez bien ce qui suit; c’est grave…

FDF

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Al-Rotterdam: Une ville Hollandaise islamisée en détresse.

À Feyenoord, on voit partout des femmes voilées filer comme l’éclair dans les rues du quartier, évitant tout contact, surtout avec les hommes, même un contact visuel. Feyenoord a la taille d’une ville, 70 nationalités y cohabitent, on y vit de subventions et d’habitat populaire. C’est là que l’on comprend le mieux que la Hollande – avec toutes ses lois anti-discrimination et toute son indignation morale – est une société à ségrégation totale. Bombardée deux fois par la Luftwaffe pendant la Seconde Guerre mondiale, Rotterdam est une ville neuve. Comme Amsterdam, elle est en dessous du niveau de la mer, mais contrairement à la capitale, elle n’a pas de charme libertin. À Rotterdam ce sont les vendeurs arabes d’aliments halal qui dominent l’esthétique urbaine, pas les néons des prostituées. Partout on voit des casbahs-cafés, des agences de voyages qui offrent des vols pour Rabat et Casablanca, des posters de solidarité avec le Hamas et des cours de néerlandais à prix avantageux.

Deuxième ville du pays, c’est une ville pauvre, mais aussi le moteur de l’économie avec son vaste port, le plus important d’Europe. Peuplée majoritairement d’immigrés, elle possède la mosquée la plus haute et la plus imposante de toute l’Europe.

60 % des étrangers qui arrivent en Hollande viennent habiter ici. Ce qui frappe le plus quand on entre dans la ville en train, ce sont les mosquées énormes, fascinantes, dans un paysage verdoyant, luxuriant, boisé, humide : on dirait des corps étrangers par rapport au reste. On l’appelle « Eurabie ». Imposante, la mosquée Mevlana des Turcs a les minarets les plus hauts d’Europe, plus hauts même que le stade de l’équipe de football Feyenoord.

Beaucoup de quartiers de Rotterdam sont sous le contrôle de l’islamisme le plus sombre et le plus violent.

La maison de Pim Fortuyn se détache comme une perle dans une mer de tchadors et de niqabs. Elle se trouve au 11 Burgerplein, derrière la gare. De temps à autre, quelqu’un vient poser des fleurs devant la maison de ce professeur assassiné à Amsterdam le 6 mai 2002. D’autres laissent un papier : En Hollande on tolère tout, sauf la vérité.

Un millionnaire nommé Chris Tummesen a acheté la maison de Pim Fortuyn pour qu’elle reste intacte. Le soir précédant le meurtre, Pim était nerveux, il avait dit à la télévision qu’un climat de diabolisation s’était créé contre lui et ses idées. Et puis c’est arrivé, avec ces cinq coups de feu dans la tête, tirés par Volkert van der Graaf, militant de la gauche animaliste, un jeune maigrelet, calviniste, aux cheveux rasés, aux yeux sombres, habillé comme un écologiste pur – gilet fait main, sandales, chaussettes en laine de chèvre – végétarien absolu, un garçon impatient de changer le monde, disent ses amis.

Depuis peu, on a vu apparaître, au centre de Rotterdam des photos mortuaires de Geert Wilders, placées sous un arbre avec une bougie indiquant sa mort prochaine. Aujourd’hui l’homme politique le plus populaire de la ville est Wilders, héritier de Fortuyn, ce professeur homosexuel, catholique, ex-marxiste, qui avait lancé un parti pour sauver le pays de l’islamisation. À ses funérailles il ne manquait que la reine Béatrice pour que l’adieu au « divin Pim » devienne royal. D’abord présenté comme un monstre (un ministre hollandais l’a traité d’untermensch, sous-homme pour les nazis), il a ensuite été idolâtré. Les prostituées d’Amsterdam ont déposé une couronne de fleurs au pied de l’obélisque des victimes sur la place Dam.

Il y a trois mois, L’Economist, un hebdomadaire éloigné des thèses anti-islamiques de Wilders, qualifiait Rotterdam de « cauchemar eurabe ». Pour beaucoup de Hollandais qui y vivent, l’islamisme est aujourd’hui un danger plus grave que le Delta Plan, le système de digues compliqué qui empêche les inondations venues de la mer, comme celle de 1953 qui fit 2 000 morts. La pittoresque petite ville de Schiedam, à côté de Rotterdam, a toujours été un bijou dans l’esprit des Hollandais. Mais elle a perdu cette aura de mystère il y a trois ans, quand elle est devenue, dans les quotidiens, la ville de Farid A., l’islamiste qui menaçait de mort Wilders et la dissidente somalienne Ayaan Hirsi Ali. Depuis six ans, Wilders vit sous protection policière 24 heures sur 24.

À Rotterdam les avocats musulmans veulent aussi changer les règles de droit, demandant à pouvoir rester assis quand le juge entre. Ils ne reconnaissent qu’Allah. L’avocat Mohammed Enait a refusé de se lever quand les magistrats sont entrés dans la salle, disant que « l’islam enseigne que tous les hommes sont égaux ». Le tribunal de Rotterdam lui a reconnu le droit de rester assis : « Il n’existe aucune obligation juridique imposant aux avocats musulmans de se lever devant la cour, dans la mesure où ce geste est en opposition avec les préceptes de la foi musulmane ». Enait, qui dirige le cabinet d’avocats Jairam Advocaten, a expliqué qu’il considère tous les hommes comme égaux et n’admet aucune forme de déférence envers qui que ce soit. Tous les hommes, mais pas toutes les femmes. Enait est connu pour son refus de serrer la main aux femmes, dont il a dit plusieurs fois qu’il les préférait avec la burqa. Et des burqas, on en voit beaucoup à Rotterdam.

Que l’Eurabie existe désormais à Rotterdam, cela a été démontré par une affaire survenue en avril au Zuidplein Theatre, l’un des plus prestigieux de la ville, moderniste et fier de représenter la diversité culturelle de Rotterdam. Situé au sud de la ville, il est subventionné par la mairie que dirige Ahmed Aboutaleb, musulman et fils d’imam. Il y a trois semaines, le Zuidplein a accepté, au nom de la charia, de réserver tout un balcon aux femmes. Cela se passait non pas au Pakistan ou en Arabie saoudite, mais dans la ville d’où les Pères Fondateurs sont partis pour les États-Unis. Ici les pèlerins puritains débarquèrent du Speedwell qu’ils échangèrent contre le Mayflower. Ici a commencé l’aventure américaine. Ici, aujourd’hui, la charia est légalisée.

À l’occasion du spectacle du musulman Salaheddine Benchikhi, le Zuidplein Theatre a répondu favorablement à sa demande de réserver les cinq premiers rangs aux femmes. Salaheddine, éditorialiste du site Morokko.nl, est connu pour son opposition à l’intégration des musulmans. Le conseil municipal l’a approuvé : Selon nos valeurs occidentales, la liberté de vivre sa vie en fonction de ses convictions est un bien précieux. Un porte-parole du théâtre a aussi défendu le metteur en scène : Il est difficile de faire venir les musulmans au théâtre, alors nous sommes prêts à nous adapter

Le metteur en scène Gerrit Timmers est également prêt à s’adapter. Ce qu’il dit est assez symptomatique de ce que Wilders appelle auto-islamisation. Le premier cas d’autocensure est apparu justement à Rotterdam, en décembre 2000. Timmers, directeur du groupe théâtral Onafhankelijk Toneel, voulait mettre en scène la vie de la femme de Mahomet, Aïcha. Mais l’œuvre a été boycottée par les acteurs musulmans de la compagnie quand il est devenu évident qu’ils allaient être une cible pour les islamistes.

Nous aimons beaucoup la pièce, mais nous avons peur, ont-ils dit. Le compositeur, Najib Cherradi, a déclaré qu’il se retirerait « pour le bien de ma fille ». Le quotidien Handelsblad a intitulé un article « Téhéran sur Meuse », du nom du fleuve qui arrose Rotterdam. J’avais déjà fait trois spectacles sur les Marocains et, pour celui-là, je voulais des acteurs et des chanteurs musulmans, nous raconte Timmers. Mais ils m’ont dit que c’était un sujet dangereux et qu’ils ne pouvaient pas y participer parce qu’ils avaient reçu des menaces de mort. À Rabat un article a dit que nous finirions comme Salman Rushdie. Pour moi, il était plus important de continuer le dialogue avec les Marocains que de les provoquer. Voilà pourquoi cela ne me pose pas de problème si les musulmans veulent séparer les hommes et les femmes dans un théâtre.

Nous rencontrons le metteur en scène qui a introduit la charia dans les théâtres hollandais, Salaheddine Benchikhi. Il est jeune, moderne, orgueilleux, parle un anglais parfait. Je défends le choix de séparer les hommes des femmes parce qu’ici il y a la liberté d’expression et d’organisation. Si les gens ne peuvent pas s’asseoir où ils veulent, c’est de la discrimination. Il y a deux millions de musulmans en Hollande et ils veulent que notre tradition devienne publique, tout évolue. Le maire Aboutaleb m’a soutenu.

Il y a un an, la ville est entrée en ébullition quand les journaux ont rendu publique une lettre de Bouchra Ismaili, conseillère municipale de Rotterdam: « Écoutez bien, freaks fous, nous sommes ici pour y rester. C’est vous qui êtes des étrangers ici, avec Allah de mon côté je ne crains rien ; laissez-moi vous donner un conseil : convertissez-vous à l’islam et trouvez la paix ».

Il suffit de faire un tour en ville pour comprendre que, dans bien des quartiers, on n’est plus en Hollande, mais dans un morceau de Moyen-Orient.

Certaines écoles ont une salle du silence où les élèves musulmans, majoritaires, peuvent prier cinq fois par jour, avec un poster de La Mecque, le Coran et des ablutions rituelles avant la prière. Un autre conseiller municipal musulman, Brahim Bourzik, veut faire dessiner en divers points de la ville des emplacements où s’agenouiller en direction de La Mecque.

Sylvain Ephimenco, journaliste franco-hollandais, vit à Rotterdam depuis 12 ans. Il a été pendant 20 ans correspondant de « Libération » en Hollande et est fier de ses références de gauche. Même si je n’y crois plus maintenant, dit-il en nous accueillant dans sa maison qui donne sur un petit canal de Rotterdam. Non loin de là se trouve la mosquée Al-Nasr de l’imam Khalil al Moumni, qui, au moment de la légalisation du mariage gay, a dit que les homosexuels étaient des malades pires que des porcs. De l’extérieur, on voit que la mosquée, construite par les premiers immigrés marocains, a plus de 20 ans. Moumni a écrit une brochure qui circule dans les mosquées hollandaises, Le chemin du musulman, dans lequel il explique qu’il faut couper la tête aux homosexuels et l’accrocher au bâtiment le plus haut de la ville.

À côté de la mosquée Al-Nasr nous nous asseyons dans un café réservé aux hommes. En face, il y a un abattoir halal musulman. Ephimenco a écrit trois essais sur la Hollande et l’islam ; aujourd’hui c’est un éditorialiste connu du quotidien chrétien de gauche « Trouw ». Il a la meilleure perspective pour comprendre une ville qui, peut-être plus qu’Amsterdam elle-même, incarne la tragédie hollandaise.

Ce n’est pas vrai du tout que Wilders recueille des voix dans les banlieues ; tout le monde le sait même si on ne le dit pas, nous dit-il. Aujourd’hui, les électeurs de Wilders sont des gens cultivés, même si au début c’était la Hollande des classes modestes, des tatoués. Beaucoup d’universitaires et de gens de gauche votent pour lui. Le problème, c’est tous ces voiles islamiques. Derrière chez moi, il y a un supermarché. Quand je suis arrivé, il n’y avait pas un seul voile. Aujourd’hui, à la caisse, il n’y a que des musulmanes en tchador. Wilders n’est pas Haider. Il est de droite, mais aussi de gauche, c’est un Hollandais typique. Ici, il y a des horaires réservés aux femmes musulmanes à la piscine. Voilà l’origine du vote pour Wilders. Il faut arrêter l’islamisation, la folie du théâtre.

À Utrecht, il y a une mosquée où les services municipaux sont séparés pour les hommes et les femmes. Les Hollandais ont peur. Wilders s’oppose au Frankenstein du multiculturalisme. Moi qui étais de gauche et qui aujourd’hui ne suis plus rien du tout, je dis que nous avons atteint la limite. J’ai senti que les idéaux des Lumières étaient trahis par cet apartheid volontaire, je sens que, dans mon cœur, les idéaux d’égalité entre hommes et femmes et de liberté d’expression sont morts. Ici la gauche est conformiste et la droite a une meilleure réponse au multiculturalisme fou.

Tariq Ramadan, le célèbre islamiste suisse qui est aussi consultant spécial de la municipalité, enseigne à l’Erasmus University de Rotterdam. Des déclarations de Ramadan critiquant les homosexuels ont été découvertes par la plus connue des revues gay hollandaises, « Gay Krant », dirigée par un journaliste loquace, Henk Krol. Dans une cassette vidéo, Ramadan définit l’homosexualité comme « une maladie, un désordre, un déséquilibre ».

Dans le même film, Ramadan parle aussi des femmes, dans la rue, elles doivent garder les yeux baissés. Le parti de Wilders a demandé que le conseil municipal soit dissous et l’islamiste genevois chassé, mais ce dernier a vu son contrat renouvelé pour deux ans. Au même moment, de l’autre côté de l’océan, l’administration Obama confirmait à Ramadan que l’accès au territoire des États-Unis lui restait interdit. Dans l’un des films que détient Krol, Ramadan dit aux femmes : Allah a une règle importante: si tu cherches à attirer l’attention par du parfum, par ton aspect ou tes gestes, tu n’es pas dans la bonne direction spirituelle.

Quand Pim Fortuyn a été tué, cela a été un choc pour tout le monde : un homme avait été assassiné à cause de ce qu’il disait, nous dit Krol. Ce pays n’était plus le mien. Je pense encore à quitter la Hollande, mais pour aller où ? Ici nous avons tout critiqué, l’Église catholique et la protestante. Mais quand nous avons critiqué l’islam, on nous a dit : vous êtes en train de créer de nouveaux ennemis. D’après Ephimenco, le secret du succès de Wilders, c’est la rue : A Rotterdam il y a trois mosquées énormes, dont l’une est la plus grande d’Europe. Il y a de plus en plus de voiles islamiques et un élan islamiste venu des mosquées. Je connais beaucoup de gens qui ont quitté le centre-ville pour la banlieue riche et blanche. Mon quartier est pauvre et basané. C’est une question d’identité, dans la rue on ne parle plus néerlandais, mais arabe et turc.

Nous rencontrons l’homme qui a hérité de la rubrique de Fortuyn au quotidien « Elsevier ». Bart Jan Spruyt est un jeune et vigoureux intellectuel protestant, fondateur de la Edmund Burke Society, mais surtout auteur de la « Déclaration d’indépendance » de Wilders, dont il est le collaborateur depuis le début.

Ici, un immigré n’a pas besoin de lutter, d’étudier, de travailler, il peut vivre aux frais de l’État, nous dit Spruyt. Nous avons fini par créer une société parallèle. Les musulmans sont majoritaires dans beaucoup de quartiers et demandent la charia. Ce n’est plus la Hollande. Notre usage de la liberté a fini par se retourner contre nous, c’est un processus d’auto-islamisation.

Spruyt était un grand ami de Fortuyn. Pim a dit ce que l’on savait depuis des décennies. Il a attaqué l’establishment et les journalistes. Il y a eu un grand soulagement populaire quand il est entré en politique, on l’appelait le chevalier blanc. La dernière fois que j’ai parlé avec lui, une semaine avant sa mort, il m’a dit qu’il avait une mission. Son assassinat n’a pas été le geste d’un fou solitaire. En février 2001, Pim a annoncé qu’il voulait que l’article premier de la constitution hollandaise sur la discrimination soit modifié parce que selon lui, et il avait raison, cet article tue la liberté d’expression. Le lendemain, dans les églises hollandaises, en général vides et utilisées pour des réunions publiques, le journal d’Anne Frank a été lu en guise de mise en garde contre Fortuyn. Pim était vraiment catholique, plus qu’on ne le croit ; dans ses livres il critiquait l’actuelle société sans père, sans valeurs, vide, nihiliste.

Chris Ripke est un artiste connu en ville. Son atelier est proche d’une mosquée dans Insuindestraat. En 2004, choqué par l’assassinat du metteur en scène Theo Van Gogh par un islamiste hollandais, Chris a décidé de peindre sur le mur de son atelier un ange et le commandement biblique « Gij zult niet doden », tu ne tueras pas. Les gens de la mosquée voisine ont trouvé le texte « offensant » et ont appelé celui qui était alors maire de Rotterdam, le libéral Ivo Opstelten, qui a ordonné à la police d’effacer la peinture, jugée raciste. Wim Nottroth, un journaliste de télévision, s’est mis devant en signe de protestation. La police l’a arrêté et le film a été détruit.

Ephimenco a fait pareil à sa fenêtre: J’y ai placé une grande toile blanche avec le commandement biblique. Des photographes et la radio sont venus. Si on ne peut plus écrire tu ne tueras pas’ dans ce pays, alors cela veut dire que nous sommes tous en prison. C’est comme l’apartheid, les blancs vivent avec les blancs et les noirs avec les noirs. Il y a un grand froid. L’islamisme veut changer la structure du pays. Ephimenco pense qu’une partie du problème est la déchristianisation de la société. Quand je suis arrivé ici, dans les années soixante, la religion était en train de mourir, un fait unique en Europe, une déchristianisation collective. Et puis les musulmans ont remis la religion au centre de la vie sociale. Aidés par l’élite antichrétienne.

Nous sortons faire un tour dans les quartiers islamisés. À Oude Westen on ne voit que des Arabes, des femmes voilées de la tête aux pieds, des magasins alimentaires ethniques, des restaurants islamiques et des shopping centers de musique arabe.

Il y a dix ans, il n’y avait pas tous ces voiles, dit Ephimenco. Derrière chez lui, dans une zone bourgeoise et verdoyante avec des maisons à deux étages, il y a un quartier islamisé. Partout des enseignes musulmanes. Regardez tous ces drapeaux turcs. Là, il y a une église importante, mais elle est vide, plus personne n’y va. Au centre d’une place se dresse une mosquée avec des inscriptions en arabe. Avant, c’était une église.

Pas très loin, il y a le plus beau monument de Rotterdam, une petite statue en granit de Pim Fortuyn. Sous la tête en bronze brillant, la bouche ouverte pour prononcer le dernier discours en faveur de la liberté de parole, il y a une inscription en latin : « Loquendi libertatem custodiamus », gardons la liberté de parler. Chaque jour quelqu’un dépose des fleurs.

Giulio Meotti

Reportage réalisé à Rotterdam et publié par le quotidien italien « il Foglio » le 14 mai 2009.

Traduction française par Charles de Pechpeyrou.

Piqué à http://puteaux-libre.over-blog.com/

13/10/2010

Pays-Bas : La chef des Verts encourage la gauche à critiquer l’islam !

Ca part d’un bon sentiment, néanmoins…

FDF

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Bravo ! Mais il reste que dans un pays où la critique de l’islam vaut à Geert Wilders d’être inculpé pour incitation à la haine et à la discrimination envers les musulmans, son appel risque de tomber dans l’oreille d’un sourd.

Les médias, qui ont qualifié d’extrême-droite les ardents défenseurs des droits des gays et des femmes Ayaan Hirsi Ali, Pim Fortuyn et Theo Van Gogh, vont-ils soupçonner Mme Halsema de virer à droite ?

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Femke Halsema, chef du parti Vert (GroenLinks), un parti de gauche, estime que les politiciens et penseurs progressistes doivent oser critiquer l’islam. Ceux-ci acceptent trop facilement, dit-elle, la pression exercée par les musulmans radicaux sur la communauté islamique.

Halesema affirme qu’il est grand temps que les politiciens de gauche soient aussi critiques à l’égard du statut des femmes et des homosexuels dans les communautés islamiques qu’ils le sont quand il s’agit du christianisme. Ce n’est pas le cas à l’heure actuelle, a-t-elle expliqué lors d’une conférence sur la liberté de religion à l’église Jacobi d’Utrecht.

Halsema condamne cette perspective. Pour elle, tous sont libres de croire à ce qu’ils veulent, dans la mesure où il s’agit d’un libre choix, ajoutant que «le courant salafiste orthodoxe jouit d’un large soutien au sein de la communauté islamique néerlandaise. (…) Ces vues sont imposées de force d’en haut et ont de graves conséquences, en particulier pour la liberté des femmes et des homosexuels». «L’énergie que nous mettons aujourd’hui à permettre aux homosexuels pratiquants d’avoir accès aux écoles chrétiennes réformées (…) devrait également être déployée en vue d’assurer un libre choix aux lesbiennes et aux homosexuels musulmans», a déclaré Halsema.

Halsema estime que les politiciens de gauche devraient soutenir le conseil d’une école belge qui veut interdire le port du foulard islamique afin de protéger celles qui sont forcées de le porter. Elle croit toutefois que les musulmanes qui choisissent de porter le foulard de leur plein gré devraient être autorisées à le faire.

Source : GroenLinks Calls on Left to Criticize Islam, NIS, 12 octobre 2010

Il n’ y a que les simples d’esprits qui considèrent toujours que l’islam est une « religion » d’amour et de paix…

Je reprends ce billet de Gérard Brazon; réaliste et non dénué d’intérêt… Je vous laisse juges…

FDF

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2010: Une certaine idée de la France!

Il n’ y a que les simples d’esprits qui considèrent toujours, que l’islam est une religion d’amour et de paix qui ne souhaite finalement que s’installer religieusement en apportant toute la science humanistes des « docteurs » et autres « savants » de la foi. Une religion qui souhaite apporter sa modeste contribution à l’édifice de la République laïque française en apportant sa culture généreuse et riche d’enseignements, sa grande mansuétude, son humanisme et toutes ses qualités dévoyées par ces salauds d’islamophobes de France et de Navarre.

Hormis ces simples d’esprits, il y a les faits! Ces faits si têtus, si présents, si actuels. Il y a ces meurtres au nom de l’islam, ces assassinats au nom d’Allah, ces condamnations à mort au nom des docteurs et autres savants de la foi, ces refus de la liberté d’expression au nom de la soumission à Dieu, ces refus de l’égalité de la femme au nom du coran qui considère la femme comme un  champs à labourer, « Vos femmes sont un champ pour vous. Allez-y comme vous l’entendez » (Sourate 2 Verset 223), ses refus de la dignité humaine en mariant des petits filles et les prenant sexuellement dès leur puberté au nom d’un prophète qui le fit lui-même cinquantenaire avec Aïcha qu’il épousa à 6 ans et viola à 9 ans.

Les faits sont têtus disais-je, la réalité si présente. Et que se passe-t’il dans notre beau pays de France? Des intellectuels sensés comprendre, imaginer un avenir, réaliser, mettre des mots sur des malaises et des réalités ne disent rien. Des intellectuels disais-je, se rendent complices alors qu’ils devraient-être des éclaireurs! Des intellectuels se rendent complices d’une religion qui n’est pas seulement une religion mais un système de pensée totalitariste bien pire que le communisme d’autrefois. Des intellectuels redevenus « idiots utiles ». Car enfin, l’islam c’est AUSSI, du politique en organisant la société, c’est du juridique en statuant des décrets religieux contraignants ou non (fatwa), jugements religieux applicables dans la vie civile, privé et intime. L’islam est accessoirement religieux en parlant d’un Dieu et d’un paradis, de son purgatoire et de son enfer comme les autres religions monothéistes qui ont depuis fait la purge de leur démence! L’islam est loin d’en être là. C’est une erreur funeste de croire que l’islam vit à notre époque, en 2010. Certes, des musulmans vivent en 2010 mais l’islam et son idéologie vit au moyen âge à l’échelle du temps.

Les intellectuels français qui refusent de voir l’évidence, qui refusent de mettre les mots, qui refusent de dire la vérité sont les complices de ces attentats contre nos libertés civiles. Ils sont les complices de ces meurtres odieux comme celui de Théo Van Gogh, complices de ces atteintes à la dignité des femmes. Alors quand donc ce se lèvera un Emile Zola, fils d’émigrés Italiens, pour dénoncer dans un grand « J’accuse » ces complicités d’intellectuels, de journalistes à l’eau tiède, de dirigeants politiques inquiets uniquement de leur prochaine élection?

Gérard Brazon


Source: http://tinyurl.com/2dmzsg6

08/09/2010

Voulons-nous que la charia s’installe dans notre pays ?

Une fatwa contre Christine Tasin… Des menaces de mort, en fait. Mais qui sont’ils, ces fous d’Allah, pour oser se donner le droit de vie ou de mort à notre encontre, nous les chrétiens, et ce sur notre sol? Ce sont des malades, à qui le coran a fait perdre la tête… Ah? Vous n’acceptez pas le blasphème? Et bien vous allez être servis! Faites nous confiance… Vous allez devoir acheter du stock de « carnets à fatwas », croyez-moi.

Tout mon soutien à Christine. Je ne publie pas ta photo, bien entendu… On les aura, tous ces cinglés.

FDF

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Aux fatwas, on répond ça!

« J’ai reçu lundi 6 septembre un message sur Facebook m’indiquant qu’une « fatwa » aurait été prononcée contre moi  :  » Une Fatwa a été prononcée contre toi, tous les musulmans de france et de navarre ont le devoir d’exécuter cette dite fatwa où qu’ ils se trouvent , La loi dans le coran dit que celui qui blaspheme l’islam doit etre poursuivi et chatié » (je copie sans le corriger le texte reçu). Le titre du message était clair : « Le blaspheme est un delit dans l ‘islam ! »

Ainsi donc, en France, en 2010, certains individus peuvent délibérément ignorer la loi française (qui permet la liberté de penser et de critiquer et interdit que l’on assassine autrui)  parce que le Coran, qui date du début du Moyen Age, en donne la prescription.

Le fait est tragique et terrible, mais il démontre, par l’exemple, à quel point les apéritifs républicains que nous avons proposés samedi 4 dernier sont justifiés. En effet, nous y demandions que la charia soit  épurée des règles incompatibles avec la loi française. Que ce soit les textes qui encouragent les maris à battre leurs femmes ( le nombre des violences faites aux femmes a augmenté de 30% entre 2004 et 2009 ; nombre qui, en Seine Saint Denis, est trois fois plus élevé que la moyenne nationale… ), ceux qui menacent de mort ceux qui  critiquent l’islam (Theo Van Gogh assassiné,  Redeker condamné à vivre sous protection policière, affaire des caricatures…), ceux qui menacent de mort les homosexuels et tous ceux qui quittent la religion musulmane, etc. Ces règles religieuses sont, hélas, très nombreuses.

Nos détracteurs nous disent souvent que la majorité des musulmans de ce pays sont paisibles et ne songent pas à appliquer tous les éléments de la charia. C’est une évidence et heureusement. MAIS il faut être aveugle, fou ou   assassin en puissance pour ne pas voir que permettre à des individus, isolés ou appartenant à des groupes religieux extrémistes de se croire investis par une mission divine par leur lecture du Coran constitue un risque majeur pour l’ensemble de la population de notre pays, celle des femmes, celles des homosexuels, celle des juifs, celle des athées, celle des adeptes de la liberté d’expression…

Qu’attendent nos responsables politiques pour imposer cette purge indispensable dans les textes ? Pourquoi les musulmans ne pourraient-il pas, comme les Protestants l’ont fait en 1791 en inscrivant la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen dans le premier temple protestant construit à Paris,  reconnaître la suprématie de la loi des hommes ? Pourquoi les musulmans ne pourraient-ils pas, comme les juifs l’ont fait sous Napoléon, expurger de leurs textes sacrés ceux qui n’étaient pas compatibles avec la loi française, condition sine qua non pour devenir citoyens français ?

Samedi dernier, des inconscients –et des criminels-  complices de tous les crimes passés et à venir commis au nom de la charia, ont voulu empêcher nos rassemblements, nous traitant de racistes et de fascistes ? Il est où le fascisme ? Du côté de ceux qui réclament l’application de la loi ou du côté de ceux qui veulent imposer par la violence, la terreur et la mort  une loi soi-disant faite au nom d’un Dieu  qui est pourtant dit d’amour ?

Nous ne cèderons pas à la menace, plus que jamais nous sommes déterminés à nous opposer, de toutes nos forces, à l’instauration d’une société islamiste en France, c’est notre devoir  pour nos enfants et nos petits-enfants qui n’ont pas mérité cela.

Nous demanderons solennellement, par une lettre ouverte au Président de la République, à ce qu’il reçoive les responsables de Résistance républicaine et de Riposte Laïque afin que nous lui exposions l’urgence pour le gouvernement d’imposer la loi française à tous et de refuser en France une charia qui ne serait pas expurgée de ses textes monstrueux au regard de nos valeurs, qui sont des valeurs universelles.

Certains de nos opposants croient utile de faire valoir que les catholiques, comme les juifs, ont mis longtemps à mettre leurs textes en conformité avec les lois des démocraties et qu’il faut donner à l’islam le temps de faire la même chose. Si l’islam n’est pas prêt à cette mise en conformité, nous sommes prêts à lui donner ce temps, qu’il reparte dans les pays musulmans pour faire son aggiornamento, il pourra revenir ensuite ; en l’état actuel de la charia, incompatible, d’ailleurs, avec les textes européens ratifiés par la France,  pour le moment il ne peut pas avoir droit de cité en France.  D’où sa nécessité, pour tous les musulmans qui y vivent, qu’il soit réformé.

Rappel, pour exemple, de l’article deux « droit à la vie » de la Convention européenne de Droits de l’homme. « 1.Le droit de toute personne à la vie est protégé par la loi. La mort ne peut être infligée à quiconque intentionnellement, sauf en exécution d’une sentence capitale prononcée par un tribunal au cas où le délit est puni de cette peine par la loi. »

Nous vous rappelons que Pierre Cassen et moi-même participerons samedi après-midi à la Convention nationale du Rif, consacré, drôle de hasard, à la liberté d’expression. (Auditorium d’Issy les Moulineaux, 11/13 rue Danton, de 13h30 à 18h).

Nous y tiendrons, avec l’accord des organisateurs, une conférence de presse, de 12 heures à 13 heures, où nous proposerons à l’ensemble des citoyens de ce pays, attachés à la défense des principes laïques, à la liberté d’expression et à l’égalité entre les hommes et les femmes (ce que l’islam refuse) des perspectives d’action, dans la continuité du 18 juin et du 4 septembre. »

vu sur http://christinetasin.over-blog.fr/article-condamnation-56675389.html

25/08/2010

Algérie : les fatwas expliquées aux musulmans, en plein ramadan…

Tiens, ça, ca mérite une fatwa… J’attends…

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Vous trouvez ça bizarre? Moi pas. Plus ça continue dans les fatwas, plus l’islam de lui-même s’enfonce dans la caricature de l’absurde … Bon. C’est eux qui voient après tout.  Ah oui, une fatwa, c’est, par exemple, celle qui a été émise sur Théo van Gogh (http://fr.wikipedia.org/wiki/Theo_van_Gogh_(r%C3%A9alisateur), lâchement poignardé en pleine rue:


FDF

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La Banque des Fatwas a fait son apparition la semaine dernière sur la toile en plein mois sacré de Ramadan. L’Etat algérien a décidé d’assurer le contrôle du contenu de la conduite religieuse à tenir pour éviter les risques de confusion et limiter le déferlement extrémiste qui affecte le pays. Chaque jour, en ligne, des imams sélectionnés par le ministère des Affaires religieuses répondent aux questions des citoyens.

http://www.afrik.com/article20629.html