Francaisdefrance's Blog

01/07/2011

Pendant que d’autres discutent du sexe des anges…

Reçu par mail.

Lu et approuvé… Et même confirmé: dans une autre vie, je fus journaliste. Et nous avions de semblables consignes: ne pas publier l’Etat Civil (que beaucoup de mairies hésitaient à communiquer, en outre).

FDF

.

« Cher amis,

En règle générale, les journaux et bulletins municipaux, depuis plusieurs années, évitent de publier les rubriques matrimoniales, naissance et décès.

En effet, quand elles sont publiées, on découvre qu’en général 80 à 90% des naissances portent des noms je dirai « nouveaux » sur notre territoire, 70% des mariages également, tandis que 95% des personnes décédées portent, au contraire des noms de français d’origine.

La substitution de population voulue par les gouvernements successifs, éclate au grand jour dans ces bulletins.

D’où les incitations gouvernementales à leur interdiction.

Le génocide des français d’origine, doit se faire dans le plus grand silence…

Amitiés »

B C

02/03/2011

Pakistan: peur et silence sont le quotidien des chrétiens.

Et si on inversait le processus? Faire vivre les muzz dans la terreur dans nos pays occidentaux… Ce ne serait que justice, non? S’il faut faire régner l’intolérance religieuse, on sait faire aussi.

FDF

.

Les chrétiens pakistanais, entre le silence et la peur.

Alors que le ministre pakistanais des minorités religieuses, le chrétien Shahbaz Bhatti a été assassiné mercredi matin et qu’Asia Bibi, condamnée à mort pour blasphème, attend en prison le jugement en appel de la Haute Cour de Lahore, la minorité chrétienne garde profil bas face à la surenchère islamiste

Chrétiens pakistanais réunis dans la cathédrale de Lahore, le 9 janvier 2011, pour une prière à la mémoire de Salman Taseer, le gouverneur du Pendjab assassiné après avoir soutenu la réforme de la loi sur le blasphème (Photo : AFP/Arif ALI).

A l’angle du mur, le portail de fer bleu reste fermé. C’est la maison d’Asia Bibi, la chrétienne condamnée à mort pour blasphème. « Asia a insulté le Prophète, la paix soit avec lui, c’est pour ça qu’elle est en prison », lâche Fakir Mohammed, le voisin d’en face, visage fermé.

« Tout le village s’est réuni pour l’entendre et elle a reconnu les faits. Nous lui avons dit qu’elle serait pardonnée si elle acceptait de devenir musulmane, mais elle a refusé. Pour ce qu’elle a dit, elle doit être punie. »

Drôle d’ambiance à Ittan Wali, un village de 200 familles, perdu au milieu des champs de blé et de canne à sucre, à une heure de route de Lahore, dans la province pakistanaise du Pendjab. Des maisons en torchis, sans eau ni électricité.

Au lieu de baisser la tête, Asia Bibi se défend

Un coin paisible, jusqu’à cette journée du 14 juin 2009, quand une dispute éclate dans un champ, entre Asia Bibi, 38 ans, de son vrai nom Asia Noreen, et trois autres femmes. Elles ramassent des falsa, une baie asiatique. Une des femmes a soif. Asia va chercher de l’eau à la maison. Quand elle revient avec son seau, ses collègues musulmanes refusent de boire du même verre. À moins, disent-elles, qu’elle se convertisse à l’islam. Asia est « impure ».

Au lieu de baisser la tête sans rien dire – comme sont censés faire, en toutes circonstances, les chrétiens pakistanais, des minoritaires « intouchables » parce que descendants d’hindous de basse caste, convertis au christianisme à l’indépendance du Pakistan –, Asia Bibi se défend. « Pourquoi devrais-je me convertir ? Jésus-Christ est mort sur la croix pour les péchés de tous les hommes. Qu’a fait Mohammed ? »

En colère, les trois musulmanes bousculent et frappent Asia, qui se réfugie chez elle. L’une d’elles, la femme du voisin Mohammad Tufail, en veut particulièrement à la chrétienne. Une querelle les a déjà opposées, pour une histoire de mangeoire brisée par une chèvre. Cette fois, elle tient sa revanche et s’empresse de la dénoncer à la femme de l’imam du village.

Sur les trois familles chrétiennes du village, deux sont parties !

Cinq jours plus tard, le 19 juin, c’est la vendetta. Rameutés par le religieux, à l’aide des haut-parleurs de la mosquée, les anciens d’Ittan Wali, accompagnés d’une foule de villageois, se rendent au domicile de l’insolente chrétienne.

Publiquement accusée de blasphème, sommée de se convertir, Asia refuse. Certains veulent la conduire sur un âne à travers le village, la corde au cou, avant de faire justice. La police intervient. « Pour sa propre sécurité », Asia Bibi est incarcérée à la prison de Sheikhupura, chef-lieu du district.

On connaît la suite. Inculpée pour blasphème, en vertu de l’article 295 c du code pénal pakistanais, Asia Bibi se voit condamnée à mort par pendaison, le 8 novembre 2010, par Naveed Iqbal, juge du tribunal de la ville.

Triste bilan. Sur les trois familles chrétiennes du village, deux sont parties. Menacé, Ashiq Masih, le mari d’Asia, vit dans la clandestinité avec ses cinq enfants. Son cousin a vendu sa maison pour s’installer à Faisalabad. Sa sœur Nadjma aimerait en faire autant.

«Il avait jugé “inique” la loi sur le blasphème. Son meurtre est donc justifié»

Trois mois après, le principal instigateur du drame affiche sa bonne conscience. À quelques centaines de mètres de la maison d’Asia, une ruelle défoncée mène à la mosquée du village, récemment agrandie et rénovée. Assis sur le parvis, quatre gamins ânonnent les versets du Coran.

« Le mari d’Asia est parti volontairement. Personne ne lui a rien demandé », affirme l’imam Muhammad Salim, 31 ans, arrivé il y a cinq ans dans le village, après huit ans d’études à la madrasa fondamentaliste Khair-ul-Madaris de Multan, dans le sud du Pendjab. Chaque jour, à l’exception du vendredi, 150 enfants âgés de 4 à 15 ans fréquentent son école coranique.

« Les chrétiens doivent se conformer à la loi pakistanaise qui interdit toute remarque désobligeante à l’égard du Prophète », explique, imperturbable, Muhammad Salim. « Salman Taseer, le gouverneur de la province assassiné le 4 janvier, a tenté de contourner le jugement du tribunal pour faire libérer Asia. Il avait jugé “inique” la loi sur le blasphème. Son meurtre est donc justifié. »

«Sa faute a été largement prouvée»

Barbe noire soigneusement peignée, élégamment vêtu, le jeune qari (celui qui conduit la prière) s’est fait, dans l’affaire, un nom et une réputation. C’est à sa demande que le SSP (senior superintendent of police, officier de police supérieur) a établi le FIR (first investigative report), c’est-à-dire le compte rendu d’enquête, requis par la loi. C’est lui qui a mobilisé des témoins pour le procès, la quasi-totalité des membres du conseil du village.

« Les étrangers soutiennent Asia et proclament son innocence, mais sa faute a été largement prouvée, dit-il. J’ai demandé à chacune des femmes présentes pendant l’altercation si Asia avait bien prononcé des mots insultants contre les musulmans et le Prophète, ce qu’elles ont confirmé.

Asia elle-même a reconnu les faits et s’est excusée. On m’a dit qu’elle avait réitéré ses aveux devant le tribunal de Sheikhupura, qui a mis plus d’un an à rassembler les preuves avant de la condamner. Elle a fait appel devant la Haute Cour de Lahore. Pour moi, il ne fait pas de doute que ce jugement doit être confirmé. »

«La législation devrait être modifiée pour éviter les abus»

À Sheikhupura, Asia croupit dans sa cellule, derrière les murs de briques rouges de la prison, surplombés de miradors. Dans cette ville industrielle d’environ 350 000 habitants au nord-ouest de Lahore, les membres de la communauté catholique font profil bas. Quelque 1800 familles sont dispersées dans le district. La plupart, confinés dans des emplois subalternes – ouvriers, agents de propreté ou employés de maison.

Ce dimanche, une centaine d’entre eux participe à la messe autour du P. Samson Dilawar dans l’église Sainte-Thérèse, construite en 1906 par des missionnaires capucins belges. Dans la salle du presbytère encore décorée de guirlandes de Noël, l’ambiance n’est pas à la fête. Khalid Mattoo, un catholique responsable local du conseil pour l’harmonie interreligieuse, brandit une copie du FIR.

Le document cite les propos litigieux attribués à Asia Bibi sur la santé de Mohammed dans les derniers jours de sa vie et sur son mariage « pour de l’argent » avec Khadija, sa première femme. « J’ai mené ma propre enquête, affirme Khalid Mattoo. Tout cela n’est qu’un nouvel exemple de la façon dont les extrémistes utilisent la loi sur le blasphème contre des innocents. Nous n’avons rien contre cette législation mais elle devrait être modifiée pour éviter les abus. »

«Je dis à mes quatre fils de la fermer quand ils sont à l’école»

Vœu pieux qu’il se garde de formuler publiquement. « Depuis l’assassinat du gouverneur de la province, nous vivons dans la peur. Personne n’ose dire ouvertement ce qu’il pense, souligne Kashif, un catholique de 32 ans, représentant au conseil de la ville et employé dans une ONG locale. La plupart des musulmans sont sous l’influence des extrémistes, y compris dans la police. Ceux qui ne sont pas d’accord préfèrent garder le silence. Quant à l’Église, à part prier, elle ne fait pas grand-chose pour Asia Bibi et sa famille. Elle devrait leur donner une assistance juridique, une protection et un soutien financier. »

Au « pays des Purs », il ne fait pas bon être minoritaire, entre insécurité, discrimination et conversion forcée. En décembre, deux jeunes filles âgées de 17 et 13 ans ont été kidnappées dans le district. Des propriétaires tentent d’expulser quatre familles chrétiennes installées sur leurs terres depuis plusieurs générations, sous prétexte qu’elles ne travaillent plus pour leur compte.

« Chaque jour, raconte Mansha Masi, 40 ans, agent de propreté dans un collège public, je dis à mes quatre fils de la fermer quand ils sont à l’école et de ne pas se mêler dans les bagarres. Je les oblige à poursuivre leurs études en dépit de la discrimination qui sévit dans l’éducation. »

«L’intolérance devient un mode de vie»

Le 20 novembre dernier, le gouverneur musulman du Pendjab s’était attiré la sympathie des chrétiens en rendant visite à Asia Bibi dans sa prison.

« Salman Taseer m’avait demandé de l’accompagner, raconte Samson Dilawar, 47 ans, curé de Sainte-Thérèse. Au nom de tous les chrétiens du district, je lui ai exprimé ma reconnaissance. Malheureusement, la situation s’est fortement détériorée après son assassinat. Des individus armés sont venus, à bord de deux véhicules, tirer des rafales devant l’église. J’ai reçu deux menaces de mort par téléphone. Le plus grave, c’est que la sécurité d’Asia Bibi en prison n’est pas assurée. Tout peut lui arriver à tout moment. »

Dans son bureau de Walton Road, à Lahore, Peter Jacob, directeur exécutif de la Commission nationale Justice et Paix de l’Église catholique pakistanaise, s’inquiète de la faible réaction de la société civile au lendemain de l’assassinat du gouverneur. « L’intolérance devient un mode de vie. Nous ne pouvons pas faire de déclarations publiques sur des questions comme la situation des minorités religieuses au Pakistan et organiser nos activités avec la même facilité qu’avant. »

«Le pays perd sa diversité religieuse»

Selon lui, cette atmosphère répressive affecte le réseau de permanents et de volontaires. « Sept de mes collègues ont été assassinés à Karachi. Face à la dynamique créée par les partis religieux et les extrémistes islamistes sur la question de la loi sur le blasphème, le gouvernement a capitulé, par manque de courage et par stupidité. Le mieux que nous puissions espérer pour Asia Bibi, c’est que sa peine de mort soit commuée en prison à vie par la Haute Cour de Lahore, au mieux d’ici à un an. Sans préjuger, ensuite, d’un ultime recours devant la Cour suprême ou d’une grâce présidentielle. »

Pour ce militant des droits de l’homme, le gouvernement civil sorti des urnes en 2008 n’a rien fait pour s’attaquer aux causes profondes de l’extrémisme religieux. « Les dirigeants civils et militaires ignorent la dimension idéologique de ce combat. Le gouvernement n’a pas réussi à expliquer à la population la nécessité de séparer la religion de la politique. Rien n’a été fait pour changer les dispositions favorisant la discrimination religieuse dans la Constitution, les lois et les politiques de l’État. Résultat, le pays perd sa diversité religieuse. Les minorités sont en voie d’extinction, incapables de se défendre. »

Au centre de Lahore, la cathédrale du Sacré-Cœur reste un havre précaire pour les 100 000 catholiques de la capitale du Pendjab. En mars 2008, dix vitraux ont été détruits dans l’explosion causée par un attentat-suicide contre un immeuble voisin.

«La plupart restent ici sous une énorme pression»

Ordonné archevêque du diocèse le 11 septembre 2001, Mgr Lawrence Saldanha ne cache pas son désarroi. « Je ne sais pas quelle est la solution. Personne ne nous écoute. Le ministère des minorités a disparu dans le nouveau gouvernement. Il faudrait beaucoup d’éducation et de temps pour lutter contre l’extrémisme. La pauvreté et le manque d’éducation n’encouragent pas les gens à penser par eux-mêmes. »

Selon lui, les chrétiens sentent qu’il n’y a pas d’avenir pour leurs enfants. Les rares chanceux qui trouvent le moyen d’émigrer au Canada ou au Royaume-Uni ne reviennent plus. « La plupart restent ici sous une énorme pression. Près de 400 chrétiens se seraient convertis à l’islam en 2010. Il ne nous reste plus que la liberté de prier. »

Chaque samedi, les mariages se succèdent dans l’imposant édifice néogothique en briques rouges, construit en 1907, sur les plans d’un architecte flamand. À la fin de la cérémonie, les couples sortent sous les pétales de roses. Ombre et lumière. La vie continue.

Source: http://www.la-croix.com/

23/01/2011

Servitude, flagornerie, dhimmitude. Les collabos d’aujourd’hui ont de quoi nuire…

Pas mal, cette analyse…

FDF

.

Notre vocabulaire fourmille de termes éloquents et explicites pour exprimer ce sentiment de servitude et de flagornerie à l’égard de nouveaux puissants à caresser dans le sens du poil.

La Rochefoucauld, Rivarol, Joubert, Vauvenargues, La Bruyère, La Fontaine, Chamfort, Cioran, Pascal … Ces auteurs de langue française ont tout écrit sur le sujet. Et sur tous les autres sans doute.

Jusqu’à la Libération les Anglais et les Américains traitaient directement avec l’Etat Français considéré à juste titre comme un allié. Un allié pris en otage. Churchill et Roosevelt ont maintenu jusqu’au bout une relation étroite avec le Maréchal Pétain et avec Pierre Laval qui avaient choisi de demeurer sur place. Le Professeur Louis Rougier fut le lien confidentiel entre les Alliés et Vichy. De Gaulle tenta de faire assassiner Rougier après la Guerre, lequel demeura au Québec le temps nécessaire à sa sécurité. L’ensemble des ouvrages qu’il a publiés ensuite sur ces relations secrètes – aux Editions du Cheval ailé – sont des pièces à conviction très lourdes dans le dossier de réhabilitation du Maréchal. Elles sont implacables pour De Gaulle.

Eh bien, les Alliés qui eurent à traiter du jour au lendemain avec De Gaulle, nouvellement intronisé chef du gouvernement français, ne firent aucun sentiment à l’égard des représentants du gouvernement précédent, fusillés, exilés, embastillés. C’est cela la réalité de la politique. On l’a vu avec Ben Bella reçu comme un Prince après avoir été un terroriste aux mains pleines de sang, avec Yasser Arafat, avec Mao, avec Staline, avec Castro, avec les chefs des mouvements Hagana, Irgoun … A contrario on a assisté aussi au tableau symétrique avec le Shah d’Iran ou avec Ceaucescu ou avec Saddam, ou avec Ben Ali, abandonnés du jour au lendemain par ceux qui les encensaient la veille.

Puisse Monsieur Sarkozy réfléchir à ce qui l’attend et aux conséquences de cette proclamation hallucinante dans sa bouche :

“L’Islam c’est le Progrès, la Civilisation, la Modernité, la Finesse”.

Devant la lapidation publique d’une jeune fille de 16 ans, après l’assassinat par le feu de la petite Sohane à Vitry sur Seine et face au silence … religieux des musulmans prétendument modérés, l’explication de texte est toujours en attente.

Quand le Maréchal donna l’ordre de faire couler la Marine française dans le Port de Toulon plutôt que de la livrer aux Nazis tout le monde comprit pourquoi Hitler n’appelait Pétain qu’en ces termes : “Le vieux renard” et pourquoi Goering déclarait que Pétain était le seul Résistant en France.

Une partie exclusiviste de la communauté juive semble accepter mal de n’avoir pas été l’unique victime des destructions causées par la guerre. La production cinématographique, la littérature, les feuilletons, les propos échangés partout laisseraient facilement à penser que tout fut pensé et mis en oeuvre dans l’intention de leur nuire principalement.

Mon propre père qui combattit comme Radio Navigateur dans les bombardiers de l’US Air Force et qui attaqua l’Allemagne au sein d’escadrilles françaises qui perdirent de très nombreux effectifs sur les ponts du Rhin et sur le territoire allemand mourut, en 1992, dans le dépit que tant de sacrifices n’intéressent pas les réalisateurs de cinéma ni les romanciers ni les plateaux de télévision. Et notre jeunesse est tellement dévoyée que Daniel Cordier qui fut le secrétaire de Jean Moulin, et qui vit encore, déclare, dans l’émission de Pierre Debray, que la Résistance dont il entend parler partout aujourd’hui est totalement étrangère à la réalité de la Résistance qu’il connut et qui ne comptait qu’un Français agissant sur mille. Il est vrai que les raseurs de femmes battirent les Tunisiens à plate couture en se rattrapant dès le départ du dernier vert-de-gris. A l’horizon.

Il est vrai qu’alors qu’il contribuait à la destruction des avions allemands, Monsieur G. Marchais construisait des avions de guerre allemands à Augsboug, comme travailleur volontaire, que Monsieur Doriot revêtait l’uniforme allemand à Paris, que Monsieur Thorez s’enfuyait à Moscou et que ces trois professeurs de morale avaient été et seraient les chefs du Parti Communiste dit français. Je sais et je ne sais que trop bien, par ailleurs, que c’est par la volonté et par les soins de l’Etat français de Pétain que mon père et que les 3000 camarades qui en firent autant, purent rejoindre les forces alliées aux USA par le Maroc et le soutien du Général Noguès. Est-ce aussi grave de dire cela que de prétendre que c’est la Terre qui tourne autour du soleil à la fin du Moyen Age ?

Les Collabos d’hier sont-ils pires que ceux d’aujourd’hui ? Les Collabos d’hier avaient-il invité les Allemands ? Le peuple français qui doit subir depuis 40 ans la présence massive d’une population qui avait lutté pour sa propre indépendance a-t-il été démocratiquement sollicité pour donner son avis ? Et appartient-il à la force injuste de la loi, verrouillée par quelques lobbies fanatisés, de faire taire par la menace, l’amende et le bannissement les Souchiens qui voudraient se donner la permission d’émettre un avis, sachant qu’ils habitent encore chez eux et que l’Etat les a volés et violés dans ces principes démocratiques qui ne sont plus que bouts de papier ?

Au moment où la France est habitée par 10 ou 15 millions de Musulmans (on n’a que le droit de voir mais il est démocratiquement interdit de RECENSER) qui sont l’équivalent de 100 Tchernobyls imminents dans nos propres murs, de quoi est-il quotidiennement question au cinéma, à la télévision, dans les débats ?

A qui Monsieur Bernard-Henri Lévy réserve-t-il ses foudres judiciaires ? A Monsieur Fabrice ROBERT, Président du Bloc Identitaire, pourtant ciblé par les mêmes partisans universels de la conquête des remparts du Mur des Lamentations. Ce serait à désespérer si nous ne nous résolvions pas à cette conclusion biblique que ceux qui coupent avec ferveur aveugle les branches sur lesquelles ils sont assis, “décourageraient les meilleures bonnes volontés”, pour reprendre les propos de Charles De Gaulle, lui-même lassé par tant de parti pris. Mitterrand interpella pour sa part un pape télévisuel un an avant sa mort avec cette interrogation pathétique : “Vous ne voulez tout de même pas que je me convertisse !”.

A se tromper d’ennemis et d’amis avec pareille constance depuis aussi longtemps, à vouloir faire avec d’autant d’application l’unanimité contre soi, la réponse possible doit être celle de la responsabilité et de la connaissance. Prendre en charge à leur bénéfice ceux qui se jettent dans les impasses pour assumer cette charge cosmique que Dieu tient à eux comme à la prunelle de ses yeux, qu’il maudira ceux qui les maudiront et qu’il bénira ceux qui les béniront.

Jusqu’à ce que la tolérance, la raison et l’humilité – voire le Messie espéré – ne finissent par les conduire à résipiscence. On ne peut se dire chrétien sans penser cela, sans vouloir cela. Quant aux autres, qu’ils se souviennent du mot de Drieu La Rochelle : “On ne se débarrasse pas de 2000 ans de christianisme avec un haussement d’épaules”.

Le sort de Zemmour est exemplaire : C’est lui qui, comme le prophète Nathan qui dit les vérités à la face des puissants, se retrouve au tribunal. C’est lui qui, comme le prophète qui a baptisé Jésus dans les eaux du Jourdain et qui ne se dit pas digne de lui lacer les sandales est décapité parce qu’il a agacé avec ses vérités gênantes.

La raison et l’exactitude sont devenues superfétatoires dans un monde où l’argent, la fausseté et les idoles sont devenues les déesses ne tolérant aucun athée. Cet athéisme est de la plus belle eau intégriste. Bien sûr elle est drapée dans les oripeaux du tollé rance.

Si la Tunisie devient demain ce que l’Iran est devenu, on entendra les mêmes imprécateurs tenir un discours inverse sans la moindre retenue. La Tunisie est avec le Maroc la première destination touristique des Français. En attendant que la France devienne la première et la dernière destination de tous les Tunisiens, accablés par la persécution des successeurs de Ben Ali qui pourraient bien – comme le Shah – le faire vite regretter.

Ces mêmes Français, toute honte bue, se mettent à découvrir sans vergogne, que la Tunisie n’était rien moins que la Corée du Nord. Et ce sont les mêmes inconscients et les mêmes salauds qui osent donner des avis catégoriques sur l’Histoire passée récente sans établir les points de ressemblance frappants qui associent ces évènements.

« Les Identitaires sont les seuls Résistants authentiques de l’heure » (FDF: pas les seuls, non…), n’en déplaise au sieur Besancenot tout prêt à dérouler le tapis de prières mahométanes au seuil de ses permanences. Idem pour la prétendue dame Aubry dont les Français découvriront avec effroi un jour qu’elle trafiquait sur son identité comme le bon Monsieur Huchon trafiquait dans le dos des contribuables avec sa face de moine défroqué.

On ne peut devenir Identitaire qu’après un sévère état des lieux. C’est dans le mensonge et l’illusion que les prestidigitateurs de la “démoncratie” veulent maintenir les Français. L’heure des Ben Ali est proche aussi chez nous et Arnaud Gouillon, comme le Roi David, sait qu’on peut abattre le géant Goliath à condition de le viser bien au milieu du front.

Lu sur: http://notrejournal.info/

06/12/2010

Musulmanes:  »Les tabous, les secrets, le silence, la honte et une communauté fermée constituent presque une recette d’abus sexuel ».

Et ça se dit « religion » d’amour, de paix, de tolérance… Ca se dit aussi « exemplaire »…Je soutiens les femmes musulmanes qui n’ont pas eu le choix que d’épouser une autre « religion ». Sincèrement. Et je souhaite la victoire à celles qui ont pu s’en sortir. Et que leur exemple puisse servir à beaucoup d’autres. Le mâle musulman n’est qu’un mâle, après tout. Ce n’est pas un dieu… Et la soumission relève d’autres temps révolus. Mais là, franchement, je ne comprends pas celles (les françaises) qui encore, se convertissent. C’est du masochisme, non ? Chacun sa merde; mais il  ne faudra pas se plaindre, après.

FDF

.

Pays-Bas : l’abus sexuel dans les familles musulmanes invisible dans les statistiques

Ils prétendent pourtant que les moeurs occidentales sont décadentes et corrompues et que l’islam est la solution…

.

Elles s’appellent Zohra, Rabea, Ibtisam et Saïda et elles sont victimes d’abus sexuels. Les auteurs ? Leur propre père, les oncles, neveux ou frères. Et puis un jour, elles ont décidé de rompre le long silence, sachant que bien d’autres femmes musulmanes subissent le même sort. Une assistante sociale témoigne :  »Les tabous, les secrets, le silence, la honte et une communauté fermée constituent presque une recette d’abus sexuel ».

Culture de l’honneur familial oblige, Zohra, Rabea, Ibtisam et Saïda se taisaient. Si elles racontent leur histoire, aujourd’hui, c’est pour rompre le tabou de l’abus sexuel dans les familles musulmanes. Elles ne se considèrent plus comme des victimes. Leur mission : aider d’autres jeunes filles.

Des victimes jeunes
Bien que différentes, leurs histoires ont beaucoup en commun. Elles avaient toutes quatre, cinq ans lorsqu’un parent s’est avisé à leur faire subir les derniers outrages. Les fillettes se sont tues sous la pression des menaces, mais surtout, par crainte de déshonorer la famille… et de risquer que leur famille les inculpe et les rejettent. Porter plainte à la police eût été inimaginable. Ça ne se fait toujours pas, d’ailleurs.

Toute petite, Rabea a été violée par son propre père. Ça lui a valu des problèmes des problèmes psychologiques. Rabea devint récalcitrante :  »C’est tellement contre nature! Si quelqu’un vous frappe à l’école ou dans la rue, on court voir ses parents ou son instit. Mais il s’agit ici de son propre père. C’est contre tout principe. Je ne savais pas comment en parler, j’ignorais à qui me confier. J’aurais pu devenir prostituée. Heureusement, ça ne s’est pas passé. L’aide d’autrui et la foi en Jésus Christ m’ont donné le soutien et la force nécessaires. »

Zohra a gardé son secret pendant des années. Elle raconte que son cousin au Maroc l’a violée alors qu’elle n’avait que cinq ans :  »Je vivais chez ma tante, mon cousin s’occupait de moi. Tout ce qui s’est passé ce jour-là reste gravé dans ma mémoire, il m’a tout pris. Ma tante nous a surpris. Interdiction d’en parler à mes parents ! De toutes façons, ma tante nierait tout. Personne ne me croirait. J’avais perdu toute confiance. L’abus sexuel vous endommage, mais j’ai appris aussi qu’on peut en guérir. »

La recette de l’abus sexuel
Ce n’est pas la première fois que Kristina Aamand entend ce genre d’histoires. Elle travaille dans un centre d’accueil pour jeunes filles au Danemark, un pays qui, comme les Pays-Bas, compte de nombreux migrants musulmans. « Ça arrive aussi bien chez les immigrés que chez les Danois de souche, mais nous n’en avons cure quand il s’agit de musulmans. On m’a dit pendant mes études qu’il était inutile que je lise les chapitres concernant l’abus sexuel dans les pays musulmans. L’islam interdisant l’inceste, ce dernier n’existe pas. Quelle naïveté ! Les tabous, les secrets, le silence, la honte et une communauté fermée constituent presque une recette d’abus sexuel. »

Entre sa sixième et sa douzième année, Ibtisam a été violée presque tous les jours par son frère. « Si j’en avais parlé, on m’en aurait donné la faute. On m’aurait tuée, on m’aurait reniée. Je me sentais sale, j’étais malheureuse et rejetée par ma famille tout entière. Je me sentais très seule. Je ne vivais pas; tout au plus, je respirais.’ Les abus cessèrent un an après que Ibtisam eut menacé son frère de tout raconter.

Saïda a été violée par plusieurs individus. Elle en subit les conséquences aujourd’hui encore.  »Plusieurs hommes m’ont violée entre ma quatrième et ma vingtième année. Ils m’ont détruite, psychologiquement et physiquement. J’étais craintive, je ne peux plus supporter l’intimité des hommes, je suis incapable de tomber amoureuse. Je n’ai pas eu une enfance, une adolescence normale. » Le médecin l’a déclarée folle. Il y a quelques années, Saïda a mis sur pied un projet de  »salon ». C’est là qu’elle s’est aperçue que de nombreuses jeunes musulmanes subissent des abus sexuels et qu’elles ne parlent jamais de leur expérience.

Encore d’autres signaux
Les histoires de Zohra, Rabea, Ibtisam et de Saïda ne sont certainement pas uniques en leur genre. D’autres signes révèlent l’existence d’abus sexuel dans les familles musulmanes. Le centre thérapeutique ‘Fier Fryslân’ accueille des victimes d’actes de violence. Il s’avère que la moitié (45 des 86) des jeunes filles qui ont été accueillies entre 2008 et 2010 ont été violées par un parent. Il s’agissait essentiellement de jeunes filles d’origine marocaine ou turque, mais il y avait aussi des Irakiennes, des Afghanes et des Kurdes.

Aujourd’hui, Zohra, Ibtisam, Saïda et Rabea ont la trentaine. Leur vie est rétablie. Elles voient encore leur famille parfois. Elles exhortent les femmes à raconter leurs histoires à des personnes en qui elles ont confiance.  »Elles ne sont pas seules. Mon expérience prouve qu’il est de plus en plus facile de raconter ce qui est arrivé. J’espère que les victimes trouveront, après nos entretiens, la force nécessaire », dit Ibtisam.

Belinda van Steijn (à Hilversum)

Source : RNW, 3 décembre 2010

.

Via: http://www.postedeveille.ca/2010/12/pays-bas-labus-sexuel-dans-les-familles-musulmanes-invisible-dans-les-statistiques-.html#more

Merci à DG…

05/12/2010

Avez-vous noté l’extrême discrétion des médias du système au sujet du dernier referendum suisse?

RIEN notamment sur les principales chaînes TV!

Les criminels étrangers, dans ce pays, seront désormais renvoyés chez eux. Le peuple en a ainsi décidé, à une forte majorité, par referendum populaire.


Pourquoi ce silence chez nous?

Parce que nos dirigeants savent fort bien que le même referendum, s’il était organisé dans n’importe lequel des Etats membres de l’UE et notamment en France, entraînerait la même réponse qu’en Suisse. Donc, la police de la pensée intervient et impose l’omerta.

Bravo la Suisse!

Lire: Bravo la Suisse