Francaisdefrance's Blog

30/01/2012

Et encore de la discrimination !!!

S’il vous plait, les racailles, laissez en aux Français, des actes de délinquance aggravés! Avec vos conneries, nous autres les webmestres, on se trouve en position d’accusés de discrimination sans arrêt rien qu’avec le fait d’en parler. Ou bien, dites aux journalistes de changer vos patronymes et origines! C’est vrai, quoi!

C’est marrant, quand on parle de « jeunes », on pense tout de suite à mal…

FDF

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Un homme, âge de 61 ans, avait perdu la vie jeudi à Limoges alors qu’il venait récupérer la voiture d’un des membres de sa famille, dérobée quelques jours plus tôt par des malfaiteurs.

Les deux principaux suspects seraient en fuite au Maroc, selon le vice-procureur.

Ils auraient réussi à gagner le Maroc en 48 heures, selon le vice-procureur de Limoges. Et ce « malgré l’important déploiement policier et le signalement effectué rapidement » suite à la rixe mortelle spectaculaire qui a eu lieu à Limoges ce jeudi.

Dans les faits, Martunik Aslanian, la victime, s’était rendue dans le quartier du Val de l’Aurence pour récupérer le véhicule de l’un des membres de sa famille dérobé dix jours auparavant. Accompagné de celui-ci et de son fils, la victime âgée de 61 ans avait rendez-vous avec les malfaiteurs.

Les deux voleurs présumés du véhicule s’étaient présentés à l’heure convenue, mais sans le véhicule et en compagnie d’une bande de jeunes.

Le sexagénaire voulait résoudre ce problème qui touchait à sa famille et leur avait assuré qu’il n’irait pas alerté la police s’il récupérait la voiture. Mais les malfaiteurs n’ayant pas tenu leur promesse, très vite, la tension était donc montée. Un jeune avait alors sorti un fusil à pompe, tirant en l’air. Un autre se serait ensuite saisi du fusil blessant légèrement au bras le fils de la victime, âgé de 26 ans. C’est à ce moment là que la victime se serait interposée. Touché à son tour d’une balle dans le dos, le sexagénaire a succombé dans la nuit de jeudi à vendredi au CHU de Limoges où il avait été transporté.

Deux jeunes Limougeauds identifiés
« Grâce aux témoignages, et notamment celui du fils de l’homme décédé, deux jeunes Limougeauds ont pu être identifiés comme étant les auteurs des coups de feu », a indiqué Georges Borg, le vice-procureur de Limoges. Plus de précisions ont également pu être obtenues. Selon le magistrat, c’est un mineur de douze ans qui a d’abord tiré en l’air, avant qu’un jeune majeur (19 ans) ne s’empare du fusil pour viser les deux victimes. Les deux tireurs présumés, d’origine marocaine tous les deux n’auraient aucun lien de parenté. Ils étaient déjà connus de la justice, selon la même source. Les agents de liaison au Maroc ont identifié et confirmé leur arrivée dimanche dans la journée. « Un mandat d’arrêt international va être délivré contre ces deux garçons afin de les faire extrader vers la France, ce qui ne posera aucun problème vu qu’il s’agit de deux citoyens français », a encore poursuivi le procureur. Une information judiciaire devrait également être ouverte dès lundi après-midi et un juge d’instruction « nommé dans la foulée ».

Source: http://www.francesoir.fr/

Merci à JC JC…

16/12/2011

Délinquance ou coup de folie? Un viel homme meurt roué de coups dans un bus à Marseille.

Chronique de la violence ordinaire…

Ca devient gravissime. Voilà le genre de « faits divers » qui me met hors de moi. Ce septuagénaire, très malade, meurt sous les coups d’un folle, déjà connue pour des faits de violence gratuite…

On va encore plaider la folie? Certainement. Le vieux monsieur, lui, n’aura plus rien à plaider…

Au fait, on n’a pas le nom de cette folle? Je demande ça car vu que c’est à Marseille que les faits se sont passés…

FDF

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Photo d’illustration

Les passagers n’en ont d’abord pas cru leurs yeux. Comment cette femme d’à peine 30 ans, accompagnée de sa fille, pouvait-elle à ce point s’acharner, avec une telle violence ? En face d’elle, un homme à l’apparence malingre, âgé de 70 ans, qui venait de s’asseoir, sur une place réservée aux personnes handicapées. Pour une raison que la justice n’a pas encore établie, elle l’a apostrophé, puis l’a frappé, jusqu’à ce qu’il perde connaissance, sur le trottoir.

Les faits se sont produits lundi en fin d’après-midi, dans un bus de la ligne 49, au niveau de la place de Strasbourg (3e). Déjà, en début de semaine (notre édition du 14 décembre), les enquêteurs de la Brigade criminelle de la Sûreté départementale avaient lancé un appel à témoins. Après la stupéfaction, des passagers, au moins deux, étaient intervenus pour mettre fin à cette insoutenable scène de violence. La police cherchait notamment à comprendre comment les faits s’étaient enchaînés dans le bus et pourquoi l’altercation s’était produite.

Ils ignoraient encore que la victime allait décéder des suites de ses blessures. Le septuagénaire a finalement succombé dans la nuit de mercredi à jeudi, à l’hôpital de La Timone, où il n’était jamais sorti de son coma.

Depuis, les témoignages manquent. L’enquête a simplement permis de reconstituer le début de la rixe. Vers 17 h 30, la victime, un homme malade souffrant de troubles respiratoires, monte dans le bus. Il demande à deux personnes assises sur les places réservées aux invalides et aux handicapés de le laisser s’asseoir. Elles s’exécutent. À quelques mètres de lui, une femme l’interpelle. Sa fille de 8 ans et une amie se trouvent à ses côtés. Des insultes sont-elles échangées ? Toujours est-il que la jeune femme sombre dans une colère noire, empoigne l’homme, qui se défend. Des voyageurs, dont l’amie de la mise en cause, tentent de les séparer. Selon d’autres témoignages, c’est même la fillette qui se rend devant la cabine du conducteur pour lui demander d’arrêter son véhicule.

Mais une fois le bus arrêté, la bagarre se poursuit sur le trottoir. Le vieux monsieur commence à suffoquer. Il sort un aérosol de Ventoline mais ne réussit pas à respirer sa dose. Il finit par s’affaler sur le capot d’une voiture, sous les coups incessants de la jeune femme.

Elle est finalement interpellée non loin, après l’alerte donnée par les témoins. Placée en garde à vue, elle a été déférée au parquet mercredi, mise en examen et écrouée pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Elle était ivre au moment des faits et avait déjà été arrêtée pour des violences, en 2009. Elle avait cogné sur sa voisine, avec un extincteur.

Toute personne ayant assisté à la rixe peut contacter la Brigade criminelle au 06 14 08 03 61.

Source: http://www.laprovence.com/