Peut-être pas. Ce n’est pas une nouvelle danse.
Mais voici de quoi satisfaire votre curiosité. Encore un des bienfaits de la religion l’idéologie d’amour, de paix et de tolérance…
FDF
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La sharia, l’islam, le coran ne manquent pas d’idées très originales pour les différentes tortures, et châtiments corporels. Si possibles il faut que ce soit « invisible » par un juge. Après les « conseils » du coran disant de ne pas battre sa femme au visage (parce que ça se voit)
Voici LA FALAKA
PETITE leçon de supplice oriental, jeudi soir, au tribunal correctionnel de Reims. À l’occasion du procès d’un père accusé de mauvais traitements sur sa fille de 10 ans, les juges se sont intéressés à la falaka, technique de punition ancestrale répandue dans le bassin méditerranéen, notamment en Turquie, et qui consiste à donner des coups de bâton sur la plante des pieds.
Son usage a d’ailleurs valu à l’Etat turc quelques condamnations prononcées par la Cour européenne des droits de l’Homme, qui assimile ce châtiment à des actes de « torture ».
« L’avantage de ce châtiment corporel, si j’ose dire, est d’être extrêmement douloureux sans laisser de trace particulière. Les hématomes sont internes. Après avoir soumis une personne à la falaka, on peut la présenter à un juge avec le visage parfaitement lisse »
En l’occurrence, comme à leur habitude, le père tortionnaire est dans le déni total. Il prend quand même 3 mois avec sursis.
La fillette ne vit plus avec ses parents. Elle a fait l’objet d’une ordonnance provisoire de placement.
JC JC…
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Il punit sa fille à coups de bâton sur les pieds
Né en Turquie, un Rémois s’est retrouvé devant le tribunal pour avoir frappé sa fille à coups de bâton sur la plante des pieds. Un mode de punition ancestral très répandu dans son pays d’origine.
PETITE leçon de supplice oriental, jeudi soir, au tribunal correctionnel de Reims. À l’occasion du procès d’un père accusé de mauvais traitements sur sa fille de 10 ans, les juges se sont intéressés à la falaka, technique de punition ancestrale répandue dans le bassin méditerranéen, notamment en Turquie, et qui consiste à donner des coups de bâton sur la plante des pieds.
Son usage a d’ailleurs valu à l’Etat turc quelques condamnations prononcées par la Cour européenne des droits de l’Homme, qui assimile ce châtiment à des actes de « torture ». Ce fut le cas en 2007, sur requête d’un opposant politique qui avait subi le supplice de la falaka en prison.
Nouvelle condamnation en 2008, cette fois-ci à l’initiative d’un adolescent de 17 ans ramené dans un poste de police avec d’autres jeunes après une bagarre. En guise de « bonne leçon », les policiers les frappèrent à coups de matraque sur les mains, à l’exception de l’ado qui leur demanda de ne pas subir pareil traitement en raison d’une opération récente aux doigts. Les policiers l’avaient alors soumis à la falaka, avant de le relâcher sans autre procédure.
« L’avantage de ce châtiment corporel, si j’ose dire, est d’être extrêmement douloureux sans laisser de trace particulière. Les hématomes sont internes. Après avoir soumis une personne à la falaka, on peut la présenter à un juge avec le visage parfaitement lisse », observe le procureur-adjoint Laurent de Caigny.
Devant lui, à l’audience, un Rémois de 32 ans originaire de Turquie. A-t-il puni sa fille en ayant recours à la falaka ? Il s’en défend, mais plusieurs éléments du dossier tendent à penser le contraire.
Courant janvier, la fillette confie à des camarades de classe que son père vient de la frapper à coups de bâton sur les pieds. Le médecin scolaire est informé. Elle lui confirme ses déclarations. A l’examen, le médecin constate des « érosions cutanées » et des « entailles sensibles au niveau de la plante des pieds », ainsi que des traces de coups sur les deux gros orteils.
Les marques sont toutes récentes, et ont d’ailleurs disparu lorsqu’un nouvel examen est pratiqué une dizaine de jours plus tard au CHU à la suite de l’enquête diligentée par le parquet.
Interrogée par les policiers de la brigade départementale de protection des familles, l’écolière précise que le bâton utilisé « sert à faire de la farine » et que les coups sont réguliers depuis 2009. Elle révèle un autre type de sanction : « Il me punit en me demandant de rester debout sur un pied à côté des toilettes. » Trois enfants vivent sous le toit familial. « Quand mon petit frère pleure, ça fait mal aux oreilles de papa et il crie dessus. »
Interpellé mardi puis jugé en comparution immédiate, l’homme affirme qu’il n’a jamais frappé sa fille. Seule la punition consistant à rester debout sur un pied est reconnue. « Elle est peut-être tombée », dit-il à propos des traces constatées par le médecin. Ou bien elle a été frappée par quelqu’un d’autre qu’elle ne veut pas dénoncer.
Déclaré coupable, le père est averti par une peine de trois mois de prison avec sursis. La fillette ne vit plus avec ses parents. Elle a fait l’objet d’une ordonnance provisoire de placement. L’enquête n’a révélé aucune maltraitance sur les deux autres enfants du foyer.
SOURCE : http://www.lunion.presse.fr