Francaisdefrance's Blog

06/03/2012

Les banlieues: le problème absent dans la campagne électorale… Et pourtant.

Oui; et pourtant… Que de problèmes partent de là… On préfère ignorer ce qui s’y passe? Mais tout le monde le sait. Mais c’est un sujet « hypersensible » qui ferait ressurgir la relation entre la racaille, la délinquance et l’islamisation… Donc, on évite. Quel courage…

FDF

.


Que c’est étrange : le problème des banlieues pourtant significatif est le grand absent de la campagne des présidentielle 2012.

Tout se passe comme si les candidats ou présumés tels avaient la crainte de parler du brasier, de peur qu’il ne s’allume tout seul. Parler des banlieues c’est, à l’évidence, évoquer seulement celles qui ont des problèmes et non les plus paisibles.

Huit millions de personnes vivent dans cinq cent villes ou quartiers échappant à l’autorité de l’État. Cela signifie que, dans le pire des cas, la police ne peut jamais y pénétrer sauf avec des effectifs considérables, médecins et pompiers idem, pharmacies fermées, boutiques en déshérence. Évidemment ce terrifiant tableau varie selon les lieux et dans chaque lieu selon les moments ou les périodes. Il y a la banlieue dont les trafiquants sont les propriétaires et qui se gère totalement comme un territoire indépendant, en passant, au besoin, des « traités » pour le partage de zones avec d’autres territoires ; à côté peuvent exister des quartiers simplement tristounets…. .

Vivre dans la paix, n’importe où, reste l’un des services majeurs que les habitants d’un pays doivent exiger et obtenir de l’État; or dans ces banlieues les habitants vivent baignés dans une sorte de guerre larvée, ceci hormis le groupe des trafiquants qui se réjouissent du désordre et prolifèrent avec lui. Comme existent d’autres zones de non-droit telles que les lignes de RER des environs de Paris ; la vie de milliers de personnes y est gâchée par l’impossibilité de monter tranquillement dans un train bien ! Mais attardons nous dans le sujet des banlieues.

L’HISTORIQUE
L’histoire est compliquée et très ancienne. En 2005, les banlieues s’étaient enflammées ; quelques années avant, la place de la Bastille avait été détruite par une armée de mille malandrins parfaitement entraînés et dirigés.

Tous les gouvernements, qu’ils soient de la vraie gauche ou de la fausse droite, ont allumé ou attisé le feu, comme des pyromanes, tout en jouant les pompiers avec de l’argent dilapidé sans contrôle. L’appel lancé jusqu’au fond de l’Afrique pour attirer toute la misère du monde fut puissant et n’est pas près de s’éteindre. La folie du logement social en croissance permanente et jamais suffisante y aide. Le manque d’argent d’un État toujours impécunieux interdit toute solution comme, par exemple, l’accroissement de la présence policière. La calamité grandit et s’enroule sur elle-même : en témoigne l’échec des politiques de la ville successives qui engloutissent en pure perte de l’argent qui n’existe pas et aggrave à son tour le manque dramatique de moyens financiers. Le prétexte de l’anti-racisme empêche de tenir des statistiques et de prendre ainsi les solutions adéquates. Concernant l’immigration, les politiques se sont enfermés dans le politiquement correct qu’ils ont eux-mêmes créée.

Malgré cette omerta officielle, la police commence timidement à avouer que l’islamisation rapide de la société aggrave les problèmes en créant des territoires ne cherchant pas à s’intégrer ; elle se garde, au nom du politiquement correct, de dire que le refus des traditions chrétiennes historiques de la France, toujours valables même si tout le monde n’en n’a pas conscience, forme un obstacle insurmontable. S’y ajoute le problème des bandes qui, au nombre de 300 recensées par la police, manipulent des armes de guerre : elles sont comme des armées étrangères campant au milieu du territoire national, images lointaines des grandes compagnies ravageant naguère le territoire !

Dans ces banlieues, le chômage, déjà dramatique ailleurs, est pratiquement doublé. Bien sûr la drogue règne ; A quoi peut rêver un jeune désœuvré et inadapté à l’école, qui gagne facilement sa vie à faire le guet ? Tout simplement à devenir lui-même dealer et à rouler à son tour dans des voitures de luxe. Droit de vote ? Pourquoi l’exercer dès lors qu’une sorte de zone d’exclusion existe. Le résultat est que le nombre de non inscrits sur les listes électorales est le double de ce qu’il est ailleurs et qu’il y a davantage d’abstentions dans ces territoires.

QUE FAIRE ?
Certes, l’urgence absolue serait de résoudre les grands problèmes de la société française comme le chômage, la paupérisation, l’illettrisme, le désordre de la justice. Ces problèmes bouchent l’horizon ; ils expliquent le quasi silence de la campagne présidentielle sur le sujet, personne ne sachant vraiment comment faire et les candidats principaux craignant à juste titre de se trouver confrontés à leurs propres turpitudes.

En espérant cette urgence en forme de rêve qu’y aurait-il à imaginer ?

La situation, compte tenu de l’historique, n’est pas facile à appréhender car elle est extrêmement variable. Le trait dominant est la véritable « sécession » de ces territoires, d’où la nécessité d’une « reconquista ». Ce terme est justifié car à des siècles de distance il y a des ressemblances significatives.

Faire des opérations « coups de poing » ? Les dirigeants de la police sont sceptiques. Une opération de ce type ne déstabilise la fourmilière que pendant une demi-journée et les dealers reviennent à nouveau. Ne pas oublier également que, quand la police fait son travail, la justice ne suit pas ; en France, chaque année 90 000 décisions de justice ne sont pas exécutées !

Frapper les dealers au portefeuille ? Ce serait la voie royale ; les moyens et les renseignements existent selon les syndicats de policiers eux-mêmes : ces dealers iraient tout simplement exercer leurs activités dans d’autres pays. Il est surprenant que, sauf quelques timides tentatives, cette méthode n’ait pas eu lieu à grande échelle et cela conduit à imaginer d’étranges complicités éventuelles !

Quelle que soit la stratégie imaginée, il y aurait une règle absolue : pas de « coups de poing », mais reconquête morceau par morceau ; un territoire reconquis ne devant plus jamais être abandonné.

MICHEL DE PONCINS.

Source: Tocqueville Magazine

27/05/2011

Quand la patrie est trahie par la République…

Une petite piqûre de rappel. Ca fait du bien, de temps en temps…

FDF

.

/Article de *Jean RASPAIL* – publié le 29 septembre par Jean-Claude 
Thiodet sur « Notre Journal », média libre d’Info sur Internet de la 
Communauté des Pieds Noirs et Harkis/

http://www.birhakeim-association.org/photos/Raspail%20jean.jpg 
<http://www.birhakeim-association.org/Textes/private/Courrierpetitscos.htm>

J’ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence 
d’un colis piégé. Difficile de l’aborder de front sans qu’il vous 
explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C’est pourtant 
l’interrogation capitale.

J’ai hésité.

D’autant plus qu’en 1973, en publiant / »Le Camp des saints »/, j’ai déjà 
à peu près tout dit là-dessus. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon 
que je crois que les carottes sont cuites . Car je suis persuadé que 
notre destin de Français est scellé, parce qu’« /ils sont chez eux chez 
moi/ » (Mitterrand), au sein d’une « /Europe dont les racines sont 
autant musulmanes que chrétiennes/ » (Chirac), parce que la situation 
est irréversible jusqu’au basculement définitif des années 2050 qui 
verra les « /Français de souche/ » se compter seulement la moitié – la 
plus âgée – de la population du pays, le reste étant composé 
d’Africains, Maghrébins ou Noirs et d’Asiatiques de toutes provenances 
issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de 
l’islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne 
faisant que commencer(1).

La France n’est pas seule concernée. Toute l’Europe marche à la mort.

Les avertissements ne manquent pas – rapport de l’ONU (qui s’en 
réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques 
Dupâquier, notamment -, mais ils sont systématiquement occultés et 
l’Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des 
médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le 
krach démographique de l’Europe des Quinze est l’un des phénomènes les 
plus sidérants de notre époque.

Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis 
regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui 
dans l’incurie des « gouvernances » et qu’il lui faudra affronter dans 
son âge d’homme. Sans compter que les « Français de souche », matraqués 
par le tam-tam lancinant des droits de l’homme, de « l’accueil à 
l’autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un 
arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la 
petite enfance au « métissage » culturel et comportemental, aux 
impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives de 
l’antique charité chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que de 
baisser les bras et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule 
« citoyen » du Français de 2050.

Ne désespérons tout de même pas.

Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de 
puissantes minorités , peut-être une quinzaine de millions de Français – 
et pas nécessairement tous de race blanche – qui parleront encore notre 
langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester 
imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont 
été transmises de génération en génération.

Cela ne leur sera pas facile.

Face aux différentes « communautés » qu’on voit se former dès 
aujourd’hui sur les ruines de l’intégration (ou plutôt sur son inversion 
progressive : c’est nous qu’on intègre à « l’autre », à présent, et plus 
le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute 
institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte – je 
cherche un terme approprié – d’une communauté de la pérennité française .

Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de 
survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même 
ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, 
voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et 
catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore.

Cela ne plaira pas.

Le clash surviendra un moment ou l’autre. Quelque chose comme 
l’élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés.

Et ensuite ?

Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que 
par des bernard-l’ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par 
les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait l’espèce 
française et n’annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose 
génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera 
affublée de ce nom.

Ce processus est déjà amorcé.

Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement 
qu’en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon 
avocat, c’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans 
une sorte de « reconquista » sans doute différente de l’espagnole mais 
s’inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire 
là-dessus.

Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné.

Son auteur n’est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour 
à point nommé, j’en suis sûr.

Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de 
perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et 
tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, 
je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France (évitons 
le qualificatif d’ éternelle qui révulse les belles consciences) sur 
l’autel de l’humanisme utopique exacerbé.

Je me pose la même question à propos de toutes ces associations 
omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, 
ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de 
manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l’Etat (éducation, 
magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires 
innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces 
« intelligents » qui jour après jour et impunément inoculent leur 
substance anesthésiante dans l’organisme encore sain de la nation française.

Même si je peux, à la limite, les créditer d’une part de sincérité, il 
m’arrive d’avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je 
sens poindre le mot renégat, mais il y a une autre explication :ils 
confondent la France avec la République.

Les « valeurs républicaines » se déclinent à l’infini, on le sait 
jusqu’à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la 
France est d’abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui 
n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’idéologie, 
idéologie avec un grand « I », l’idéologie majeure. Il me semble, en 
quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde. Parmi le 
flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui de ce 
bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l 
étendue des dégâts. Elle est extraite d’un discours de Laurent Fabius au 
congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « /Quand la Marianne de 
nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de 
l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre 
pleinement les valeurs de la *République »*/

*/Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : 
« Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée 
constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la 
partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les 
espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête 
de survie »/*

*/(Président Boumediene, mars 1974.)/*

*/Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse :  » Le temps des mille 
ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de 
la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en 
expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des 
saints et la ville bien-aimée »./*

17/04/2011

Geert Wilders, le populiste indispensable au gouvernement des Pays-Bas…

Observez le rapprochement des points de vue, des représentation, des attitudes et des comportements de trois personnes que la « bien pensance » actuelle n’ose plus opposer. Il y a du progrès !

Le mien ! Écologue systémicien, plutôt à droite par allergie à la gauche !

A mon avis, Il n’y a pas photo, la ligne à suivre, le fil rouge c’est bien le chemin prit par Gert WILDERS. Le coeur de cible, c’est l’Islam, TOUT l’Islam, et à un moment donné il faudra bien se déplacer sur le terrain du coeur de cible : en territoire islamique. A moins que comme le suppose Suzanne l’Islam se renouvelle en interne

C’est la raison pour laquelle je pense que notre présence en Afghanistan est utile, mais bien évidemment il faut nous fixer des priorités et, ma foi, il y a le feu à la maison Europe. Conséquences ? Si retour du front Afghan il doit y avoir, ce ne serait pas par antiaméricanisme ; mais faute de moyens suffisants pour lutter sur plusieurs fronts, nous recentrer sur l’essentiel : éteindre le feu en Europe, faire cause commune avec Wilders.

Enfin, permettez moi de vous donnez encore un autre avis : il faut se rassembler au delà de nos divergences apparentes; l’union sacré en quelque sorte et AGIR ensemble à partir d’une finalité clairement précisée, des objectifs, des échéances, et enfin avec des moyens à trouver.

Résistance Républicaine est sur cette ligne de conduite, des comités locaux s’organisent sur l’ensemble du territoire. Certains et certaines d’entre nous ont déjà établis des relais en Europe et même au USA et nous recueillons un accueil enthousiaste.

Le moment de la reconquête des territoires perdus est venu. La Reconquista des esprits, culturelle, économique, sociale, idéologique, politique, démographique, territoriale est enfin venu.

Une nouvelle gouvernance doit se mettre en place. Ne manquons pas cette fenêtre, ce tournant de l’histoire. Sachons encore une fois relever un nouveau défi dont l’enjeu est considérable puisqu’il s’agit tout simplement de la gouvernance du monde dans lequel nos enfants, tous nos enfants, vivront.

Alors singularité islamique ou singularité occidentale ? Encore une fois nous sommes dans l’obligation de  choisir notre camp, car l’islam nous met au pied du mur.

Toujours, dans les moments les plus tragiques de notre histoire, des hommes et des femmes se sont levés, ont combattus et ont vaincus ! Alors sachons « lire » ses enseignements !

Ami (e)s, levons nous dans le calme et la détermination. Maîtrisons nos émotions afin de ne pas tomber dans le piège de la violence que nous tendent nos adversaires et dans lequel ils espèrent nous voir tomber.

Combattons avec les armes de la connaissance et de la raison.  C’est le moment !

La peur doit changer de camp, montrons notre force et notre détermination et si cela ne suffit pas, et bien faisons confiance aux gouvernants que NOUS aurons choisi. Ils auront alors les moyens que, démocratiquement nous leurs aurons donné d’utiliser l’article 16, la légion et autres moyens actuellement en « formation » en Afghanistan.

Celui de Gérard Charollois, écologiste radical.

Sachez que personnellement, je suis, à l’instar de ce que vous écrivez, radicalement hostile à l’islam. Non par  racisme, puisque je considère que tout être sensible mérite respect et protection, mais parce que toute religion est un piège à cons.

Les religions sont des billevesées irrationnelles, des mythes pour petits enfants, des paravents contre la légitime peur de la mort.

Or, si toute religion est un piège à cons, admettons que certaines se trouvent à des phases plus éruptives que d’autres. Ainsi, au Moyen-Âge européen, le catholicisme et son inquisition, ses bûchers, ses ordalies, fut criminogène. Il s’est apaisé et ressemble aujourd’hui à un volcan éteint qui ne fait plus grand mal à quiconque.

En revanche, il est vrai que l’islamisme militant, instrumentalisé par ces dirigeants fanatiques, représente un danger en ce qu’il prétend régir les sociétés, fonder des lois séculières, nier les droits des objecteurs accusés de blasphèmes.

Bref, j’aime les européens, les juifs, les arabes et tous les autres, mais exècre les religieux lorsque quittant la sphère privée ils entendent imposer leur vision obscurantiste du monde.

Ils ont bien évidemment l’entière liberté de pensée  ou de rêver un arrière monde, car la liberté est sacrée, pas leurs idoles farfelues.

Le problème est que par complexe, par « sanglots de l’homme blanc » mes amis en athéisme progressiste n’osent pas dire ce qu’ils pensent de l’islamisme. Pour trop d’entre eux, tout ce qui vient  d’outre-mer est bon bec.

Il est vrai que ces mêmes amis idéologiques refusaient, il y a une quarantaine d’années de voir les crimes de MAO et consorts pour ne pas désespérer la classe ouvrière.

Je m’opposais à eux, en ce temps et n’ai jamais succombé aux charmes du fascisme rouge à la mode dans l’université lorsque j’y étais jeune étudiant.

Présentement, l’esclavage, la colonisation empêchent tout débat critique et au nom de l’Histoire il faut s’auto flageller.

Ils en reviendront, comme ils sont revenus du maoïsme et autres impasses.

Attention, ce combat contre l’islam ne doit pas inversement déboucher sur un racisme quelconque.

Après tout, un arabe, entre autres, n’est pas condamné à croupir dans l’abrutissement religieux, pas davantage qu’un européen n’est voué au christianisme.

La raison peut s’offrir à tous.

Très cordialement.

Gérard  CHAROLLOIS

Celui de Suzanne ! Inclassable !

La fin de l’islam viendra de l’islam.

Djemila de Montréal est un exemple, comme Wafa Sultan, ou Lucien Oulahbib de Lyon, ou Hayan Hirsi Ali et tant d’autres qui risquent leur vie en tant qu’apostats

La vraie question est celle de Joachim Veliocas, dans « ces maires qui courtisent l’islamisme » sur Obs de l’islamisation « nos démocraties peuvent-elles endiguer les totalitarismes » ?

Car 3 totalitarismes en un siècle, ça fait beaucoup quand même

Le totalitarisme de l’islam a 1400 ans, mais que des démocraties discutent du sexe des anges alors qu’il infiltre déjà la société, c’est surprenant.

Il a un lien entre utopie, messianisme et perversité narcissique, mais il faudrait du temps pour en parler

http://www.postedeveille.ca

Et ma réponse à Suzanne ! Je n’ai pas encore répondu à Gérard !

Belle analyse Suzanne et qu’il faudrait développer car elle est au point de convergence des crises du « système  global ». L’intrication est telle que nous avons de la peine à avoir une vue d’ensemble. Pourtant,  l’Islam n’est qu’une singularité qui refuse LE modèle occidental, sinon sa modernité. C’est vrai que celui-ci est infiniment critiquable en l’état, et qu’il mène à une impasse, mais c’est à nous qu’il appartient de le faire évoluer.

Pour que cette singularité ait pu émerger des sables du désert il a fallut la complicité objective du modèle occidental. Après 1968, le grand patronat mondialisé avait besoin d’énergie à faible coût, de consommateurs peu exigeants et d’autre part de travailleurs dociles. De là est venu l’immigration, le regroupement familial et les délocalisations. Nous payons aujourd’hui les fautes commises en toute conscience par nos dirigeants et des peuples « marchandises », aveugles, leur énergie vitale dévoyée et soumise à la dictature des médias et de la « consommation ».

Cet état est parfaitement bien décrit par Oriana Fallaci (La rage et orgueil, La force de la raison)

La guerre qui nous est déclarée se renforce d’heure en heure, et des jours encore plus durs nous attendent.  Nous allons avoir besoin de nous rassembler sur l’essentiel. Nous allons avoir besoin de toute notre raison pour ne pas nous laisser entraîner par nos émotions, mais cela n’exclu en rien que nous devrions faire face avec courage et dignité et commencer par « réveiller » tous ceux qui végètent dans l’aveuglement, dans la surdité, dans l’indifférence, dans la complicité avec l’ennemi.

La fin d’une certaine forme d’islam peut effectivement venir de l’Islam, mais crois moi, il faudra lui donner un bon coup d’épaule et, ce n’est pas ce que nous faisons.

C’est de l’intérieur même de la « forteresse » que naissent toutes les complicités et les peurs dont se nourrissent nos adversaires. Constantinople est tombée car une petite porte de l’enceinte intérieure était ouverte. Cherchons ceux, qui de l’intérieur même de ce qu’il faut bien appeler « la forteresse occident », sont en train de laisser des portes ouvertes, alors écartons les de toutes possibilités de le faire, nous aurons fait la moitié du travail.

Je te remercie pour ta lucidité, ton intelligence intuitive et ton énergie, avec des femmes comme toi et Marie Françoise nous vaincrons, c’est sur !

Source: http://semanticien.blogspirit.com

27/12/2010

Espagne: le mot « jambon » offense… La géographie aussi.

Et ça re-chiale… Un professeur parle de jambon: l’élève musulman se sent « offensé »… Il ne se sent pas stigmatisé, aussi? Car ça marche bien, ça… Il faut que la communauté musulmane arrête immédiatement ce genre de provocations idiotes. Et dire qu’ils nous bassinent avec la tolérance…

FDF

Une affaire a soulevé l’émoi en Espagne ces dernier jours, un rappel gastronomique et donc culturel à l’occasion d’un enseignement sur les climats vaut à un professeur des poursuites judiciaires par les parents d’un élève musulman.  Après la cantine hallal, surgit donc au détour de cette histoire, la requête d’un enseignement « hallal ». Les parents ont dû oublier que la Reconquista a eu lieu et que l’époque de Cordoba (Cordoue) la musulmane est bien terminée !

Un professeur de l’institut Menéndez Tolosa de La Línea de la Concepción (Espagne), a été dénoncé par une famille musulmane, car son fils, élève en 1ère année de lycée, se considère offensé par une leçon de géographie.

L’enseignant a dispensé à une classe une instruction sur les différents climats de la planète et utilisé la ville de Grenade Trevélez comme un exemple de climat froid et sec. Pour l’anecdote, l’enseignant a souligné qu’un tel climat était particulièrement propice au séchage des jambons (les meilleurs d’Espagne). Ensuite, l’élève musulman a réclamé au professeur qu’il ne parle pas de jambons se sentant offensé en tant que musulman.

Le professeur a répondu que c’était juste un exemple et qu’il n’y avait aucune considération religieuse dans cet exemple.

Ce qui n’était qu’une anecdote géographie et gastronomique a pris une toute autre ampleur, car la famille n’a pas hésité à déposer plainte contre l’enseignant auprès du commissariat de police, sans par ailleurs avoir eu la moindre discussion avec le professeur.

Les agents de police se sont rendus à l’école pour entendre le témoignage de l’enseignant. L’enseignant est accusé d’avoir tenu des propos racistes et xénophobes. La délégation provinciale du Ministère de l’Éducation  a seulement indiqué que l’enseignant a été signalé à la police et a refusé de commenter l’affaire.

Les enseignants et les élèves sont scandalisés par la situation faite à un professeur qui jouit d’une expérience de 20 ans, de sorte qu’il a eu des milliers d’élèves et qu’il n’a jamais eu à connaitre un problème de cette nature.

Bien qu’il s’agisse d’une période difficile, l’enseignant continue de dispenser ses cours dans l’école.

Le police maintient l’enquête ouverte sur la base des allégations de la famille de l’enfant et attend la décision de l’autorité judiciaire pour savoir si le délit est constaté ou pas.


Source et commentaires: http://www.nationspresse.info/?p=120027

06/12/2010

L’inquiétude européenne vis-à-vis de l’islam… Pas un hasard ni une mode.

Il faut dire que vu de l’Occident, l’attitude des musulmans en général ne récolte pas que des applaudissements… Charia, exigences, stigmatisations, etc… ne font pas partie de notre culture. Surtout sur nos terres… L’Europe vit en 2010; les musulmans, non. Pouvons nous tolérer que l’on tranche une main pour un vol? Non. Pouvons nous tolérer que les femmes soient enfermées dans des cages (burqua) et n’aient même pas le droit d’émettre un avis? Non. Et la liste est loin d’être exhaustive… Et aux muzz d’en appeler à la stigmatisation et au racisme? Trop facile… L’article qui suit est en faveur de cette « idéologie » qu’est l’islam. On y parle de méconnaissance: faux; on ne connait cette communauté que trop bien. Ne serait-ce que par ses actes…

FDF

.

Islam : l’inquiétude allemande plus forte qu’ailleurs en Europe

Palpable et exacerbée, l’inquiétude européenne vis-à-vis de l’islam a envahi l’Allemagne, au point d’en faire le pays le plus rigide et sectaire à l’égard de la présence musulmane sur le Vieux Continent, selon une récente étude publiée par l’hebdomadaire die Zeit.

L’appréhension teintée de méconnaissance s’est répandue comme une traînée de poudre chez nos voisins, alors même que le Président allemand Christian Wulff, en plein débat houleux sur l’immigration, se dressait témérairement « en président des musulmans », au risque de faire le vide autour de lui…

Mesuré et analysé, le baromètre d’une crainte allemande irrépressible, qui a frémi à la lecture accablante du brulôt islamophobe pondu par Théo Sarrazin, le gros bonnet déchu de la Bundesbank, fait ressortir que deux Allemands sur cinq s’estiment menacés par l’Islam, soit plus que les Français, les Néerlandais, les Danois ou les Portugais.

Cette enquête comparative menée auprès de 1 000 personnes, en Allemagne, en France, au Danemark, aux Pays-bas et au Portugal, démontre que cette peur irraisonnée puise ses racines dans une méfiance séculaire à l’égard des religions étrangères. Selon le sociologue Detlef Pollack, la majorité des allemands ne concède aucun aspect positif à l’islam, une hostilité qui se traduit par des chiffres très significatifs : seuls 28,4% des Allemands de l’ouest et 19,5% des Allemands de l’est estiment que les musulmans doivent avoir le droit de construire des mosquées et des minarets en Allemagne, tandis que 55,4% des Danois, 65,6% des Français, 67,1% des Néerlandais et 73,5% des Portugais sont d’avis que les musulmans doivent y être autorisés.

Quelque 72,6% des Allemands de l’ouest et 70,5% des Allemands de l’est font volontiers rimer islam avec fanatisme, contre 69,2% des Danois, 40,9% des Français, 73,7% des Néerlandais et 54,3% des Portugais.

S’il est indéniable que le vote référendaire suisse contre les minarets a pesé dans la balance, la faisant pencher du côté obscur des fantasmes, une petite note positive se dégage néanmoins : la tolérance populaire française qui, manifestement, fait preuve d’une distanciation notable vis-à-vis de la propagande officielle. »

Lien

17/11/2010

200 signatures contre la construction d’une mosquée à Tournai (Belgique).

Ca a le mérite d’être clair et net…

FDF

.


Plus de 200 personnes, habitant dans l’avenue Elisabeth, la chaussée d’Audenarde et la rue Hautem, à Tournai, ont signé une pétition s’opposant au projet de construction d’une nouvelle mosquée dans leur quartier. Les signataires dénoncent un problème de mobilité. L’enquête publique relative au projet se clôture ce mercredi.

“Que l’on implante une bibliothèque, un hall de sports, une mosquée ou autre chose, le problème est le même. Le projet de mosquée prévoit la construction d’un parking de 90 places. Le flux de voitures sera bien trop important. La rue Hautem est une voirie étroite dans laquelle on ne sait pas se croiser. Le passage est restreint. Nous avons des craintes pour la mobilité mais aussi pour la vue sur nos jardins qui donneront sur la mosquée”, expliquent les habitants de ce quartier.

En octobre dernier, l’Association islamique et culturelle du Tournaisis avait introduit une demande de certificat d’urbanisme pour la construction d’un centre culturel et cultuel sur un terrain de la rue Hautem, une zone de 85 ares propriété de la SNCB. Cette mosquée, qui pourrait accueillir quelque 400 personnes, ne serait pas dotée d’un minaret.

A l’étroit dans sa mosquée de la rue des Récollets, dans le centre-ville de Tournai, la communauté islamique avait envisagé un premier déménagement vers le quartier du Maroc, un projet qui avait été refusé en janvier 2007 par le collège communal. C’est à nouveau au même collège qu’il reviendra d’accorder ou non le certificat d’urbanisme pour le présent projet.

Lien

Lu sur: http://reconquista.blogvie.com/

25/10/2010

Les jeunes identitaires défilent à Paris contre la « racaille » …

MANIFESTATION


Environ 250 jeunes d’associations d’extrême droite réunies au sein du Réseau identitaire ont commencé à défiler, samedi, en début d’après-midi à Paris aux cris de « jeunesse, jeunesse, anti-racaille », exhibant des drapeaux régionaux, français et européens. Le cortège, très majoritairement masculin, s’est ébranlé peu avant 15 heures de la place Saint-Sulpice (6e) en direction du Panthéon, scandant « la jeunesse au pouvoir », jetant des pétards et allumant des fumigènes. En tête de cortège, quelques jeunes filles tenaient une banderole citant Bernanos : « C’est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à une température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents. »

« Le but précis de cette manifestation, c’est de consacrer le réseau Une autre jeunesse, un réseau de groupes identitaires indépendants », a dit Jean-David Cattin, 25 ans, un des responsables de la manifestation. Les jeunes identitaires appartiennent, selon lui, à « une jeunesse enracinée qui défend des convictions patriotes, qui combat l’immigration et la société de consommation ». « Catholique, oui, française, oui, blanche, oui, mais c’est la jeunesse qu’on n’entend jamais, celle qui a trop subi et ne reculera plus », a-t-il ajouté.

« On n’accepte pas qu’il y ait 25 % de chômage chez les jeunes, qu’on subisse l’immigration de masse, qu’on se retrouve en minorité dans les lycées et les collèges face à des gens venus d’autres continents », dit-il encore. « On veut montrer qu’il y a une autre jeunesse que la jeunesse dorée et la jeunesse droguée. Une jeunesse enracinée », renchérit Julien Langella, 23 ans, responsable du groupe identitaire provençal Reconquista.

Vendredi, 150 jeunes gens considérés par la police comme des militants « identitaires » avaient affronté la police dans le centre de Lyon.

.

Halte à la désinformation!

samedi 23 octobre

Les images de FR3 Lyon ne montrent en aucun cas des affrontements entre les policiers et les identitaires. Si cela avait été réellement le cas, FR3 CGT aurait montré les images. Le rôle de la police a été de s’interposer entre eux et des contre manifestants. Ces jeunes identitaires se sont soumis de bonne grâce au contrôle d’identité de la police avant de quitter les lieux sans casse aucune. Messieurs les journalistes, il faut faire votre boulot de manière impartiale même si cela doit vous défriser lorsque cela ne correspond pas à vos opinions. Nous sommes capables de faire la nôtre sans que vous y mettiez votre grain de sel dans la manipulation des faits…

Victor

Pas d’hésitation faites comme moi, la France a besoin de jeunes mais aussi de plus vieux je vais avoir 86 ans et je suis Français avant tout   (défendant notre belle France).

Source:


24/09/2010

Les anathèmes pleuvent sur ceux d’entre nous qui ont l’outrecuidance de critiquer la doctrine, l’idéologie ou les dogmes imposés par les inquisiteurs de la Pensée Unique.

Immigration

Incompréhension ! Peur de l’autre ! Repli sur soi ! Egoïsme ! Intolérance !Les anathèmes pleuvent sur ceux d’entre nous qui ont l’outrecuidance de critiquer la doctrine, l’idéologie ou les dogmes imposés par les inquisiteurs de la Pensée Unique.

Les gourous droits-de-l’hommiste, les khmers verts écolos, leurs alliés du mondialisme effréné et les adeptes du « multiculturel » et du « pluriethnique » à tous les étages, considèrent qu’ils détiennent la Vérité Révélée et ne tolèrent aucune contestation de cette Nouvelle Religion.

Pour étouffer toute velléité du refus de leurs visions sectaires et interdire toute autre opinion, cette mafia a, depuis des décennies, fait adopter des lois, des directives et des arrêtés qui limitent ou interdisent l’exercice des libertés fondamentales (expression, conviction, réunion et presse), à leurs opposants nationalistes. Tout est prétexte à la Culpabilisation de l’homme blanc.

Tous les moyens sont bons pour bâillonner la voix du peuple et discréditer ceux qui tiennent un discours « politiquement incorrect ». Haro sur ceux qui publient des articles transgressant les « tabous » instaurés par ces doctrinaires de la démocratie totalitaire afin de leur permettre de saboter, sans aucune entrave, les valeurs de notre société, les fondements de la civilisation européenne et les acquis de notre culture gréco-romaine.

Un témoignage explicite concernant le « tabou » de l’immigration a été donné par la parution d’un article du 15 mars 2005 dans le journal flamand Het Laatste Nieuws, écrit par la journaliste Hind Fraihi, qui racontait la réalité quotidienne dans la commune bruxelloise de Molenbeek.

Le bourgmestre (maire), Philippe Moureaux, intervenait dans les contrôles de la police fédérale et interdisait à ses patrouilles d’opérer dans les quartiers à forte densité musulmane. Selon Hind Fraihi, les politiciens belges surestimaient la réelle volonté d’intégration ou d’assimilation des immigrés à la société belge. Pour elle, l’islamisation des communes bruxelloises était comparable à une tâche d’huile qui s’étalait lentement, mais sûrement.

Où en est-on 5 ans après ? Bruxelles est-elle plus belle ? Fait-il « bon y vivre » ?

  • 60% de la population bruxelloise est d’origine étrangère.
  • 25% des personnes en âge de travailler sont au chômage.
  • 100.000 analphabètes hantent toujours les statistiques.
  • Depuis 2005, l’insécurité ne cesse d’augmenter et la vente de drogues a explosé.
  • Les tribunaux sont débordés. La police est excédée. Les commerçants sont vandalisés.
  • Dans les écoles, on parle un sabir anglo-arabo-moldave, et à la cantine, c’est «halal »  pour tous !

Mais lorsque, à de (très) rares occasions, on interroge les auditeurs, téléspectateurs ou internautes, il est amusant de constater que 86% des sondés ne veulent plus d’immigration et que 75%, par ailleurs, refusent l’islamisation de nos villes.

Nul doute qu’en période de Ramadan, le tapage nocturne, à Bruxelles, n’a pas verbalisé pour les contrevenants sarrasins.

Reconquista ! Vite !


Pieter Kerstens