Francaisdefrance's Blog

17/03/2012

Québec : mangez du poulet Olymel, financez une mosquée !

Comme chez nous, en France. Comme partout, d’ailleurs…

FDF

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Le tout halal à votre insu !

Lire aussi sur le site français Observatoire de l’islamisation : Une centaine d’enfants français mourraient chaque année à cause de la viande halal. Extrait : «En refusant d’étiqueter la viande halal et en accordant une dérogation aux normes d’hygiène européennes pour l’abattage, le gouvernement français est responsable de morts qui pourraient être facilement évitées… s’il écoutait les scientifiques plutôt que les islamistes.»

Halal-Quebec-certificat
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[…] L’équipe de l’émission Dumont le midi a révélé mardi que la totalité des poulets Olymel provenant de Saint-Damase sont abattus selon les rites musulmans.

Toutefois, selon l’entreprise, il est inutile de l’identifier sur l’emballage. «Ce n’est pas nécessaire», estime le porte-parole d’Olymel, Richard Vigneault, puisque « ça ne change rien à la nature du produit ». […]

L’Association des viandes halal, qui octroie les certificats d’authenticité, exige que des employés de religion musulmane participent tous les jours aux opérations d’abattage. «On a demandé à ces gens-là de mettre quelqu’un devant la machine avant de la mettre en route, de prononcer le nom d’Allah et de mettre deux ou trois personnes après l’égorgement pour voir s’ils étaient égorgés correctement», raconte le fondateur de l’Association, Abdelhamid Aouchiche. […]  

Sept autres entreprises se seraient ainsi conformées selon la liste fournie par l’Association, dont un autre géant, Maple Lodge. … Le distributeur des Viandes Métropolitain à Montréal, Samih Bahsoun, explique que pour réduire les coûts, les abattoirs qui font du halal convertissent toute leur production …. M. Bahsoun a d’ailleurs convaincu les anciens dirigeants de l’abattoir Avicomax de Drummondville de se tourner exclusivement vers le rituel d’abattage manuel, le plus strict de l’islam. «Ils mettent le logo halal quand c’est nécessaire, mais tous leurs poulets sont halal. Ça coûte moins cher de faire comme ça. C’est comme ça dans la plupart des abattoirs qui font du halal.»

Chez Olymel on nie catégoriquement que la religion soit utilisée comme critère d’embauche à Saint-Damase. … Il a toutefois admis verser chaque année «plusieurs milliers de dollars», de l’argent recueilli par les dirigeants de la Mosquée Abou Bakr Essedik, rue Jean-Talon à Montréal. […] Depuis mai dernier, l’organisme relève de la mosquée Abou Bakr Essedik dirigée par l’imam Mohamed Habib Marzougui. «Nous avons le contrôle de la majorité du marché du poulet au Québec», déclare l’imam, qui collecte des contributions annuelles et mensuelles aux abattoirs certifiés. […]

Source :  La viande halal à votre insu, Huffington Post-Québec, 13 mars 2012

Vu sur: http://www.postedeveille.ca/

17/01/2012

Le résultat de 40 ans de multiculturalisme débridé…

Religion, multiculturalisme et accommodement, une redoutable trilogie dont le Québec n’a pas l’usage exclusif.

Ca se passe outre Atlantique. Mais ça se passe en Europe, aussi. Et nos dirigeants ont fermé les yeux… Ils continuent à le faire.

Ce sont eux qui voient. Nous, nous allons réagir. Une des façon d’agir ne devrait pas être une surprise. On vote bientôt, en France…

FDF

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 CA DEVIENT VRAIMENT GRAVE AU CANADA
  Et dire que pendant ce temps, on retire nos symboles religieux des écoles et des autres lieux publics… et même que certains paliers gouvernementaux comme Ville Mont-Royal, ont décidé de ne pas mettre de décorations de Noël et de retirer les crèches pour ne pas déplaire à certaines communautés culturelles…       

De plus en plus inquiétant…

ALLAH CAFÉTÉRIA ! <http://www.postedeveille.ca/2011/07/allah-cafeteria-.html>

Éric Duhaime du Journal de Québec <http://blogues.canoe.ca/ericduhaime/general/allah-cafeteria/>  traite de la mosquétéria de Toronto. Dans une école publique, la cafétéria sert de mosquée le vendredi durant les heures de classe. Les filles sont jugées indignes de prier à côté des garçons, et celles qui ont leurs règles sont mises à l’écart pour éviter qu’elles ne polluent les autres élèves.   Après avoir injustement accusé les Québécois de equasi-racisme,  le Canada-anglais vient de lancer ce qui pourrait fort bien être un film s’intitulant « Les Accommodements 2″.

     La grande première se déroulait la semaine dernière à Toronto, à la Valley Park Middle School.

   Dans le quartier le plus musulman au pays, l’école publique, financée à 100% par les contribuables ontariens,  « on » décidait de transformer sa cafétéria en mosquée pour la prière du vendredi.

    À la demande de l’imam, les élèves sont installés en rangées, à plat ventre vers la Mecque: les garçons à l’avant, les filles derrière et celles menstruées reléguées tout au fond.

   Au nom de l’ouverture et de l’inclusion des nouveaux arrivants, on nous a d’abord demandé de sortir la religion catholique et protestante de nos établissements publics. Ensuite, il fallut accepter le port du kirpan et du voile. Puis, vinrent les menus hallal.

   L’arrivée de la mosquée dans l’école s’inscrit comme la prochaine étape pour les intégristes islamiques qui souhaitent implanter chez-nous la Sharia.

    Voilà où 40 ans de multiculturalisme débridé nous auront conduit.

NOUS AVONS VENDU NOS CROYANCES ET NOTRE BON SENS POUR ACHETER DES VOIX ET BIENTOT NOTRE BEAU PAYS SERA PLONGÉ DANS L’IGNORANCE ET LA FOLIE.

   IL FAUT FÉLICITER NOS GOUVERNEMENTS.

Merci à RP.S…

07/11/2011

Le multiculturalisme; c’est quoi ?

Ce qui suit va vous éclairer. Je vous préviens, l’accent canadien des intervenants est dur à digérer. Mais suivez bien et écoutez bien. Les types, ils savent de quoi ils parlent…

FDF

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Voir: http://youtu.be/iNMMGVJXw3A

20/08/2011

« Egorge chaque chrétien qui est autour de toi, pas de pitié »…

Ce sont les paroles d’un adepte de la religion d’amour, de paix et de tolérance… Ca fait quand-même froid dans les dos. Ce type est un « Montréalais ». Comme chez nous nous avons de « jeunes Français »… Compris? A mon humble avis, ça, c’est de la VRAIE incitation à la haine. Et ce malade, on va peut-être le libérer… En France, pour le centième de ça, la Justice te massacre, aidée en cela par toutes les associations connues comme pratiquant le racisme anti-blanc; qui lui, est toléré… Dingue!

FDF

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Le Canada délibère sur le sort d’un type que je n’aimerai pas du tout croiser dans la rue, encore moins dans un coin isolé … « prends un couteau et égorge chaque chrétien qui est autour de toi, pas de pitié », ce sont les parole de cet inquiétant personnage qui devrait théoriquement être remis en liberté sous peu
Lu sur Poste de Veille 

Omar Bulphred, jeune Montréalais condamné en 2009 à sept ans de prison notamment pour l’incendie d’une école hassidique et un attentat raté contre un centre communautaire juif au nom du «jihad islamique», devra attendre encore quelques jours pour savoir s’il demeurera incarcéré ou s’il retournera en maison de transition. […] 
 


Le « jeune Montréalais »…

Sa libération conditionnelle a été suspendue en mai alors que le jeune homme de 26 ans né en Géorgie se trouvait dans une maison de transition à Québec. On lui reproche d’avoir poursuivi un codétenu avec un couteau. Fait qui se serait produit une vingtaine de jours à peine après sa sortie de prison. La victime présumée a déclaré peu après que Bulphred l’aurait avertie qu’il savait «où couper, où frapper [avec un couteau] pour vider un individu de son sang». […]

Grâce à un micro caché au domicile de Bulphred, les policiers les auraient entendus planifier le rapt éventuel d’un participant au Bal en blanc qu’ils prévoyaient «attacher et égorger comme un poulet». On a aussi entendu Ibragimov, filmé par Bulphred, déclarer: «Fais tout pour ton pays, prends un couteau et égorge chaque chrétien qui est autour de toi, pas de pitié […].»

Source: http://infos-meconnues.blogspot.com/

14/08/2011

Islamisation du Quebec: toujours plus…

Ils veulent des mosquées, on leur en offre. Ils veulent des parkings pour stationner leurs chameaux autos, on leur en donne. Maintenant, ils veulent d’autres terrains pour arrêter de casser les pieds (et les oreilles) des riverains de leur lieu de culte, on va leur en donner. La tranquillité n’a pas de prix.

FDF

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Après le coucher du soleil, des centaines de... (Étienne Ranger, LeDroit)

Le ramadan, qui se poursuit jusqu’à la fin du mois d’août au sein de la communauté musulmane, cause bien des maux de tête au voisinage et aux fidèles de la mosquée du secteur Hull, où le nombre de stationnements disponibles est largement insuffisant, selon les administrateurs du lieu de culte et des citoyens avoisinants.

Depuis le 1er août, Benoît Leblanc doit fermer les fenêtres de son domicile, alors qu’il fait 30 °C à l’extérieur, et se munir de bouchons pour dormir le soir en raison du bruit causé par les nombreux véhicules qui se stationnent à proximité de sa résidence.

Ce dernier habite à quelques mètres de la mosquée située au 4, rue Lois, dans le secteur Hull, où près de 800 fidèles se rendent quotidiennement pour prier durant le mois du ramadan. En raison du nombre limité de places de stationnement près du lieu de culte, les visiteurs de la mosquée doivent garer leur voiture sur la rue Lois où la capacité d’accueil est, là aussi, restreinte.

« Vers 22 h, c’est un véritable cirque dans les rues avoisinantes et sur la rue Lois elle-même. Des centaines de véhicules arrivent simultanément et cela cause énormément de bruit, mais aussi des odeurs désagréables. Et, en raison du manque d’espaces de stationnement, plusieurs ne respectent pas les règlements », indique Benoît Leblanc.

Plusieurs plaintes

Ce résident du secteur Hull a enregistré plusieurs plaintes au 3-1-1 ainsi qu’auprès de son conseiller municipal, Patrice Martin, la semaine dernière. Lui et ses voisins demandent à la Ville de permettre aux fidèles de la mosquée d’utiliser le stationnement de la Fonderie, actuellement inaccessible en raison d’une barrière érigée au bout de la rue Saint-Jean-Bosco, afin de diminuer l’achalandage sur la rue Lois. Les administrateurs de la mosquée aimeraient eux aussi avoir accès à cette aire de stationnement et songent même à acheter ce terrain qui appartient actuellement à la Ville.

« Nous avons observé le problème de stationnement et, heureusement, nous avons la collaboration des commerces avoisinants qui nous permettent d’utiliser leurs stationnements. Toutefois, la mosquée est appelée à grandir au cours des prochaines années et la problématique du stationnement n’ira pas en s’améliorant si nous n’avons pas accès à un nouveau terrain », explique Amadou Thiam, secrétaire général du conseil d’administration du Centre islamique de l’Outaouais.

La Ville de Gatineau affirme qu’un projet de résolution est en préparation afin d’ajouter de la signalisation dans ce secteur et ainsi réduire toute ambiguïté quant aux emplacements précis où le stationnement est permis ou pas.

« Depuis la fin des travaux de construction de la mosquée, la Ville de Gatineau a été et continue d’être très active dans ce périmètre. La réglementation en vigueur est appliquée et il y a émission de constats d’infraction lorsque les véhicules sont stationnés illégalement », indique la Ville.

Source: http://www.cyberpresse.ca/

18/12/2010

Islamisation: début de prise de conscience au Québec ?

Le ministère québécois de la Famille a publié une directive interdisant l’enseignement de l’islam dans les garderies publiques et privées subventionnées.

Il interdit en fait des activités telles que la récitation répétée de prières, la mémorisation de chants religieux ou l’apprentissage de gestuelles religieuses.

Le mot islam n’est pas prononcé, mais tout le monde voit et sait que c’est de cela qu’il s’agit.

C’est assez étonnant dans ce pays où l’on ne jure que par les « accommodements raisonnables ». Serait-ce un début de prise de conscience ?

On remarque aussi le propos de madame le ministre Yolande James : « Les services de garde sont des lieux de socialisation et d’intégration pour nos tout-petits de 0 à 5 ans. Je veux que les jeunes Québécoises et Québécois qui fréquentent nos services de garde puissent le faire dans une perspective d’ouverture à l’autre et à la diversité. »

Même le mot diversité retrouve son véritable sens…

Source: http://yvesdaoudal.hautetfort.com/

04/12/2010

Québec: subventions allouées à des intégristes musulmans !

Le financement du terrorisme par l’Occident, ce n’est pas du pipo…
FDF

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Québec verse 555 500 $ par année en subventions à une école musulmane controversée de Montréal qui se réclame de la philosophie des Frères Musulmans, un groupe intégriste qui milite pour l’instauration de gouvernements islamistes et qui a donné naissance au Hamas en Palestine. Critiquée par plusieurs pour cette affiliation, l’institution a ouvert ses portes à Rue Frontenac afin de contrer ce qu’elle qualifie de « paranoïa ».

« J’initie mes élèves à la tolérance plus que dans une école publique », déclare avec assurance Lazhar Aissaoui, directeur de l’École Dar Al Iman, à Saint-Laurent.

Le directeur est calme, souriant, dans son complet gris. Il fait visiter son établissement avec plaisir et permet au photographe de Rue Frontenac de multiplier les clichés à sa guise. Les enseignantes, la tête enveloppée d’un foulard islamique, regardent les visiteurs d’un œil amusé.

Lazhar Aissaoui veut montrer qu’il n’a rien à cacher. Il sait que son école a ses détracteurs. Comme elle le précise sur son site Internet, l’école Dar Al Iman est affiliée à la Muslim Association of Canada (MAC), un organisme de bienfaisance musulman. Lazhar Aissaoui siège sur le conseil d’administration de la MAC, qui a déclaré des avoirs nets d’environ 16 millions de dollars et des revenus de 9 millions  en 2009, selon l’Agence du revenu du Canada.

La MAC indique sur son site Web qu’elle trouve ses origines dans « la renaissance islamique du début du XXe siècle, culminant dans le mouvement des Frères Musulmans ».

« Ce mouvement a influencé les activités, tendances et discours intellectuels islamiques à travers le monde, incluant ceux des Musulmans qui sont venus au Canada en quête de liberté, d’éducation et de meilleures opportunités », ajoute la MAC. Or, s’il demeure tout à fait légal au Canada, le mouvement des Frères Musulmans est très controversé au sein de la communauté musulmane.

Interprétation libérale du Coran

Prônant une interprétation littérale du Coran et une islamisation complète de la société, il a donné directement naissance au Hamas palestinien, un groupe qui a multiplié les attentats-suicides et les attaques contre les mouvements palestiniens laïcs.

Le fondateur du Congrès musulman canadien, l’auteur Tarek Fatah, est outré qu’une école se réclamant des Frères musulmans soit subventionnée par l’État québécois. « C’est malheureux que les dollars des contribuables les financent. Nous devrions être inquiets. La MAC n’est pas une organisation religieuse, c’est une organisation politique. Ils sont contre la civilisation occidentale et l’essentiel de leur philosophie est antisémite, anti-gais et anti-femmes », s’insurge-t-il.

« Ils ont pris la religion et en ont fait une affaire politique, dénonce de son côté Salma Siddiqui, vice-présidente du Congrès musulman canadien. Ils croient à une idéologie islamiste très forte et ils veulent l’importer ici. »

En entrevue, le directeur de l’école, Lazhar Aissaoui, répond du tac au tac à ce qu’il considère comme des accusations injustes et paranoïaques du Congrès musulman canadien.« Nulle part au monde les Frères Musulmans ne sont considérés comme des terroristes, sauf par Tarek Fatah », s’indigne-t-il.

Il ajoute que son organisation n’entretient aucun lien « organisationel » avec les Frères Musulmans, même si elle partage leur philosophie et leur vision de la religion. « Nous ne sommes pas les Frères Musulmans, mais ça ne veut pas dire qu’on a quelque chose contre eux », résume-t-il Lazhar Aissaoui condamne le terrorisme en précisant que les attentats du 11 septembre étaient un crime horrible et que « le crime n’a pas de religion ».

Lorsqu’on l’interroge sur sa volonté d’un État et de tribunaux islamiques, il se montre plus agacé. « Pourquoi avancer cette question ici ? Il n’est pas question d’appliquer ou de transposer cela au Canada. Ça, c’est pour les pays musulmans », dit-il. « Ce qu’on dit à nos membres, c’est commencez par être de bons musulmans, vous et votre famille. Comme la société est formée d’un ensemble de familles, la société va devenir musulmane », explique le directeur.

Permis du ministère de l’Éducation

Il explique que les 238 élèves de l’école Dar Al Iman suivent rigoureusement le programme pédagogique du ministère de l’Éducation, qui prévoit 25 heures de classe par semaine. L’école y rajoute deux heures de langue arabe, une heure d’études islamiques, une heure d’étude du Coran.

Le ministère de l’Éducation confirme que l’établissement a été agréé comme école privée admissible au financement de l’État depuis 2006-2007 pour le cours primaire, et depuis 2007-2008 pour le préscolaire. Elle reçoit un peu plus d’un demi-million de dollars par année.

« C’est important de savoir que la MAC n’est pas titulaire d’un permis du ministère pour l’enseignement privé. Le titulaire du permis est vraiment l’Institut pour l’enseignement Dar Al Iman, et c’est au titulaire du permis que le ministère verse la subvention, pas à la MAC », précise le porte-parole Simon Fortin.

Avant d’être accrédité, l’institut qui gère l’école au nom de la MAC a dû démontrer son respect des normes pédagogiques québécoises, ajoute le porte-parole. Mais les fonctionnaires devraient pousser plus loin leurs vérifications, suggère l’ancien cadre du Service canadien de renseignement de sécurité (SCRS) Michel Juneau-Katsuya.

« J’imagine qu’ils sont quand même surveillés par le SCRS qui ne fera pas abstraction du passé des Frères musulmans. Ils ne représentent peut-être plus une perspective aussi dure et radicale qu’avant, mais ils continuent de préconiser une perspective très islamiste de la société. Le fait qu’ils reçoivent de l’argent pour une école, cela devrait interpeller les fonctionnaires », dit-il.

• À LIRE SUR RUEFRONTENAC : Le financement de l’école Dar Al Iman, une conséquence logique du modèle d’éducation québécois, selon deux professeurs.

 

source : ruefrontenac.com
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Et merci à JLB pour cette info…

30/11/2010

Puisque le niveau de nos élèves est devenu une telle honte pour notre pays… interdisons les notes !

Que faire quand un système scolaire devient tellement mauvais que parents et citoyens menacent de se rebeller, parce qu’ils comprennent que l’avenir de leurs enfants est en grand danger ?


Arrêter les expériences pédagogiques désastreuses ?
Revenir au bon sens et aux méthodes éprouvées ?
Restaurer une ambiance de travail dans les classes ?
Cesser de dévaloriser les bons élèves et d’excuser les cancres ?

Non. Tout au contraire. Puisque le niveau de nos élèves est devenu une telle honte pour notre pays… interdisons les notes !

Cette catastrophe, que les membres de SOS Éducation n’osaient même pas imaginer dans leurs pires cauchemars, est en train d’arriver dans nos écoles.

Une association qui bénéficie du soutien du Ministère de l’Éducation national, l’AFEV, a lancé l’offensive peu après la rentrée scolaire.

Comme au Québec il y a vingt ans, ils veulent interdire les notes. Ainsi, selon eux, il n’y aura plus ni bons, ni mauvais élèves dans nos écoles !! Et tant pis si, comme au Québec, le niveau d’illettrisme dans la population monte en flèche (l’orthographe française a quasiment disparu du Québec suite à cette réforme ; peu de jeunes Québecois connaissent encore les bases de l’orthographe, y compris en faculté de médecine).

Tous les pays qui ont pratiqué ce genre d’utopie reviennent dessus : la Suisse, le Danemark, la Suède et même les États-Unis remettent progressivement les notes au goût du jour dans leurs pratiques.

Quand l’AFEV a lancé sa proposition en septembre 2010, personne n’a voulu y croire.

Mais le 11 novembre 2010, ils ont publié dans Le Nouvel Observateur un appel pour la suppression des notes à l’école élémentaire, signé par vingt personnalités, dont Eric Debarbieux, un des principaux conseillers du ministre de l’Éducation Luc Chatel !!!

Et là, stupeur : toutes les fédérations de parents d’élèves se sont déclarées favorables à cette mesure pourtant suicidaire.

Ainsi, la FCPE, dont la direction parisienne est depuis longtemps acquise aux pédagogistes les plus radicaux, mais aussi la PEEP, plus modérée, et même l’APEL, la fédération des parents du privé, se sont toutes liguées derrière l’AFEV.

Il est donc quasiment certain que nos enfants au primaire vont avoir droit à cet ultime coup de rame sur la tête, qui risque de les noyer définitivement par dizaines de milliers.

Comment sauront-ils s’ils progressent, s’ils ne peuvent plus comparer leurs notes avec celles du trimestre précédent ? Comment se motiver le soir pour repasser ses leçons ? Comment prendre au sérieux les interros écrites… si elles ne sont plus notées ? Comment être fier d’avoir bien travaillé… si le professeur ne marque pas l’effort, et si donc les parents ne peuvent pas savoir ?

Ceux qui veulent casser le système des notes les accusent d’être « stigmatisantes », et même « traumatisantes ». Ils veulent, disent-ils, « mettre fin à l’élitisme et à la sélection ». Supprimer les notes, c’est aussi un moyen d’éviter de voir si un établissement se casse la figure.


Mais si, parmi eux, il y en a un seul qui a des enfants à l’école, ils devraient savoir qu’il n’y a plus aucun classement (c’est interdit), et qu’il n’y a plus aucune sélection avant le bac !! Ce qui pose d’ailleurs de graves problèmes !!!

Actuellement, la plupart des écoles ne donnent déjà plus de notes, mais des A (acquis), B (en cours d’acquisition) ou C (non acquis). Tout se passe comme si les enfants ne pouvaient supporter que des 20, 15 ou 10 ! Le zéro et le 5 sont de toute façon totalement proscrits, trop stigmatisants, même quand l’enfant se conduit mal.

Ce système, totalement flou, fausse de façon dramatique l’évaluation des enfants. Plus personne ne sait au juste comment ils se situent par rapport aux exigences des programmes. Des livres entiers ont été écrits à ce sujet, par des instituteurs affolés !

Et on voudrait aggraver encore la situation en passant un décret interdisant définitivement les notes dans toutes les écoles ???

Ici à SOS Éducation, c’est la mobilisation générale.

Nous sommes en train de réunir toutes nos forces pour empêcher que l’irréparable ne soit commis.

Aidez-nous. Faites circuler la pétition à Luc Chatel à tous vos amis. En dix ans de mobilisation, nous n’avions jamais eu à faire face à une menace aussi grave.

Il est capital que vous agissiez très très vite. Cliquez-ici pour signer la pétition au ministre.

Un grand merci d’avance,

Vincent Laarman
Délégué général

Pour signer la pétition au Ministre de l’Éducation :

>

SOS Education est une association qui oeuvre à la défense de l’école. L’association mène tout type d’actions pour promouvoir une éducation de qualité, fondée sur des programmes cohérents, des méthodes d’enseignement, éprouvées, l’autorité des professeurs, la reconnaissance du travail et du mérite des enseignants, le respect de la neutralité de l’école.

SOS Education – 120 boulevard Raspail – 75006 Paris – 01 45 81 22 67 – www.soseducation.comcontact@soseducation.com

06/11/2010

Québec : Oui aux éducatrices en burqa !

Ispices di counasses…

FDF

 


La Fédération des femmes du Québec a dit que le projet de loi 94, qui vise notamment à interdire le port du voile intégral dans les services publics, ne devrait pas s’appliquer aux éducatrices des services de garde en milieu familial.

 

FFQ-niqab


Une autre raison de retirer tout financement public à cette organisation, devenue porte-voix de l’extrémisme islamique.

Les femmes qui portent le voile intégral font le choix de s’exclure de la société, elles doivent assumer les conséquences de leur piété extrême. Accommoder ces pratiques barbares et misogynes a pour effet de les institutionnaliser.

Et qui pense à l‘intérêt des enfants qui sont pris en charge par des femmes sans visage, sans sourire, et qui respirent la mort ?

Niqab-glasses2

 

Les éducatrices des garderies en milieu familial devraient avoir le droit de porter le niqab ou la burqa, selon la Fédération des femmes du Québec (FFQ).

La présidente de l’organisation, Alexa Conradi, a défendu cette position mardi devant l’Assemblée nationale. La FFQ demande au gouvernement Charest d’exclure les services de garde à domicile dans l’application de la loi 94 sur les accommodements raisonnables. […]

Le projet de loi risque de marginaliser encore davantage des femmes victimes d’exclusion sociale, soutient Mme Conradi.


Source : Radio-Canada, 2 novembre 2010

 

12/10/2010

Sa fille refuse de « faire ses prières ». Son musulman de père la tue… Ca se passe au Québec, en 2010…

Québec : Un père tue sa fille de 13 ans. Crime d’honneur ?

Le père est musulman et, selon des voisins, sa fille refusait de faire ses prières, ce qui le mettait en colère. (voir reportage video sur LCN)

La police n’a pas voulu discuter de la possibilité d’un crime d’honneur alors que tout pointe dans cette direction. Pourtant, pour d’autres types de meurtres, la police qui a procédé à l’arrestation d’un suspect n’hésite pas à parler du mobile présumé, par exemple un crime passionnel ou un règlement de comptes.

Nouténé

Nouténé Sidimé, tuée pour « l’honneur de l’islam »…

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Détenu depuis mercredi dernier, un homme de 71 ans de Longueuil aurait  sévèrement battu sa fille.  L’adolescente de 13 ans a succombé à ses blessures ce week-end. Une voisine qui connaissait la jeune fille s’est confiée à Claude Poirier lors du Vrai négociateur.

La femme qui préfère ne pas être identifiée a appris la mort de Nouténé Sidimé hier matin. «Plus d’une trentaine de personnes entraient dans l’appartement du père [domicilié au 3075, chemin de Chambly à Longueuil]. Comme ce sont des amis de mes filles, je suis allée voir ce qui se passait. On m’a dit de prendre mes filles dans mes bras et de leur expliquer qu’elle était décédée.»

La voisine explique que la petite était une adolescente très joyeuse. «Elle avait toujours le sourire aux lèvres. Elle était très polie. Nous sommes sous le choc», laisse-t-elle tomber. Elle a été témoin de l’arrestation du père. «Il avait un gros smile. Il riait. On dirait qu’il n’avait aucun remords, bien que je ne sois pas experte là-dedans.»

La femme a décidé d’aller offrir ses sympathies à ses voisins. «Ils étaient six dans l’appartement. Je leur ai demandé où était le père? Ils m’ont dit qu’il était là et qu’il était innocent. Je leur ai dit que c’était impossible, et là ils m’ont lancé des injures». [elle a dit à l’émissoin de Claude Poirier qu’elle s’était fait dire « putain va te faire enculer ma salope »]

Lire la suite « Québec : Un père tue sa fille de 13 ans. Crime d’honneur ? » »

Source: http://www.postedeveille.ca/

03/10/2010

« Nous devons questionner l’objectif du mouvement des Frères Musulmans au Québec ».

Lettre ouverte signé par un ancien ministre Québécois.

Lettre publié le 22 septembre 2010 dans le Suburban

Les signataires:

Germain Belzile, HEC
Jean-Charles Chebat, HEC
Pierre Brassard, Montréal
Jacques Brassard, ancien ministre du Québec

Une conférence intitulée « Nos familles, nos fondations » (se tiendra le 25 septembre) au Palais des congrès à Montréal. La conférence parrainée par Islamic Relief Canada, une organisation connue, qui a son siège social en Grande-Bretagne, est issue de la vaste mouvance des Frères musulmans. Les Frères musulmans sont rappelons-le, une organisation politico-religieuse panislamiste née en Égypte en 1928 dont le but est d’étendre son idéologie politique par l’introduction de la charia comme source ultime et exclusive du droit. En Occident, cette mouvance des Frères s’emploie à tisser ses réseaux, ses alliances, à renforcer ses think tanks, à faire avancer ainsi sa cause. Même au Québec.

Le profil idéologique des instigateurs de cette conférence (dont M. Jamal Badawi qui était encore récemment rattaché à la Muslim Association of Canada, une organisation islamiste qui ne cache pas son affiliation avec l’idéologie des Frères musulmans), est un motif d’inquiétude. Nous sommes en droit de nous demander: voulons-nous vraiment un renforcement de cette mouvance au Québec ? Comme société libre, on doit se questionner sur cette implantation, dont l’activisme n’aide en rien à l’intégration des musulmans au Québec. Cette conférence a un double objectif: un militantisme en serre chaude pour les participants qui doivent évidemment évités trop ouvertement les sujets sensibles et discordants qui divisent l’organisation (pour la couverture médiatique) et une campagne de séduction faites sur mesure pour la « société ouverte » et les non-initiés à la façon du prédicateur islamiste Tariq Ramadan pour « désamorcer les tensions ». Les milieux islamistes dans le monde observent le déroulement de l’activité. Est-ce rassurant ? Qu’en pensent nos élus ?

Montréal, ville ouverte

Nos démocraties libérales/pluralistes sont menacées par l’idéologie islamiste. La tentation totalitaire du 21e siècle irriguée par les Frères musulmans utilise les moyens de communication modernes pour renforcer sa présence, son prestige, son agenda. S’afficher à Montréal, sans trop de discrétion devrait pourtant poser problème à nos consciences assoupies. Les « bonnes vérifications » des invités ne suffisent pas à notre avis à dissiper les malentendus parce que la vérité est évidente. Mais allons plus loin. Ceux qui ouvrent leurs portes à ce groupe exercent-ils suffisamment de jugement faisant honneur à leur crédibilité ?

Le politologue et historien des idées Pierre-André Taguieff soulignait très justement cette curieuse apathie de nos élites intellectuelles et politiques à faire face à la menace et à la présence islamiste dans nos sociétés modernes. Pourquoi ce manque de discernement si brutal ? C’est là, dit-il, rêver les yeux ouverts. Faudrait-il encore rappeler que le Hamas a conquis Gaza, le Hezbollah a totalement phagocyté l’appareil étatique libanais, l’opposition islamiste gagne toujours du terrain en Égypte en vue des élections législatives du 29 novembre prochain, Al-Qaida est aussi bien présente dans les pays du Maghreb et les talibans s’imposent toujours en Afghanistan ?

En 2010, l’idéologie spécifique des Frères musulmans prospère dans ce contexte international multiforme et défaitiste. Sur ce plan, la mouvance des Frères musulmans est fort habile et nous ne pouvons pas nous permettre de rester dans l’expectative. Taguieff, souligne « la puissante volonté de ne pas savoir qui entraîne les hommes, alors même qu’ils sont menacés et peut-être d’autant plus qu’ils se sentent menacés, à fermer les yeux devant le réel ». En sommes-nous arrivé là ?

En 2007, Tawfik Hamid, un ancien membre de l’organisation islamiste égyptienne Gama’a al-Islamiyya et qui avait déchanté, dénonçait vivement dans le Wall Street Journal ces Occidentaux qui (par naïveté, par indolence ou par manque de lucidité) « trouvent des excuses politiquement correctes à l’islamisme ». Selon Hamid, si les musulmans dits éclairés prennent position contre l’islamisme, les non-musulmans doivent montrer autant de courage intellectuel. La complaisance de ces Occidentaux envers les islamistes est le meilleur levier de leurs actions en Occident.

Problème d’image ?

Sommes-nous bien outillés pour décrypter le message des Frères musulmans qui se situe tout à la fois dans le discours religieux, politique, culturel et associatif comme une « pragmatique de l’action » ? Aujourd’hui les Frères travaillent finement les paramètres de l’offre communicationnelle sur un registre tout à fait particulier sur trois plans. 1- Les préoccupations de dénonciations de l’invasion impérialiste occidentale sont vues sur un mode plus mineur (mais sans l’occulter totalement). 2- Une affirmation identitaire individuelle et collective, fière du système de pensée islamique (vu comme plus juste légitime et équilibré) appelée à se faire connaître le plus efficacement possible avec le minimum « d’effet collatéral ». 3- Une meilleure quête de reconnaissance comme acteurs positifs de la part de la société qui l’environne en vue d’un faire-valoir institutionnel.

Cette stratégie de communication est très utile afin de passer pour un interlocuteur sérieux, ouvert et crédible, éloigné du wahhabisme de l’Arabie Saoudite. Car les Frères (et leurs sympathisants) n’affichent plus aussi ouvertement l’application pure et simple de la charia dans le système juridique étatique européen (a fortiori en Amérique du Nord). Ils se limitent, là où il le peuvent, à une pédagogie de l’exemple qui met en sourdine un moment le projet mythique islamiste global pour faire bloc sur des concessions venant de l’Occident en apparaissant plus fermement comme la référence en matière islamique au sein des communautés musulmanes d’Occident.

Nous nous inquiétons pour les musulmans résolument anti-islamistes qui vivent au milieu de nous. Le raffermissement du courant islamiste fait reculer leur liberté d’action. Il faut pourtant insister: en Occident, tant qu’il y aura des musulmans démocrates qui s’opposeront à ces organisations d’esprit totalitaire, nous pourrons dire que ce combat n’est pas perdu. Mais pour le moment, et par le levier de cette conférence, les groupes s’inspirant des Frères musulmans aspirent à une notoriété qui contribuera à encercler et bâillonner leurs adversaires dans la communauté musulmane. Cela devrait être une source d’inquiétude.

Source: Point de Bascule

27/09/2010

Islam: dans la ligne de mire du Parti Indépendantiste du Québec…

Ca se réveille aussi au Québec…

FDF


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Stopper l’islam radical pour préserver la démocratie québécoise et la paix sociale…


Le Parti indépendantiste met en garde la Nation québécoise contre la montée de l’Islam radical au Québec, plus particulièrement dans la région de Montréal. Aujourd’hui, le 25 septembre 2010, une conférence organisée par United for Change, un organisme islamiste basé aux États-Unis, avec la collaboration de l’Association des musulmans du Canada (MAC), a lieu au Palais des congrès de Montréal. Tariq Ramadan, petit-fils d’Hassan al-Banna, fondateur des Frères musulmans, mouvement islamiste extrémiste prônant le djihad contre l’Occident et les régimes amis dans le monde musulman, ainsi que l’instauration progressive de gouvernements basés sur la Charia dans l’ensemble du monde, prononcera une allocution par téléconférence.

Il est impérieux pour notre Nation occidentale de comprendre le danger que représente l’Islam radical pour notre démocratie. Ce nouveau totalitarisme du 21e siècle aux valeurs archaïques, rétrogrades et barbares, comme la polygamie, la lapidation des femmes et l’obligation pour celle-ci de porter le voile islamique, le nikab ou la burka, est responsable de nombreux attentats terroristes, non seulement en Occident comme en 1995 dans le métro de Paris, en 2001 contre le World Trade Center et le Pentagone, en 2004 dans les trains de Madrid et en 2005 dans le métro de Londres, mais dans les pays musulmans comme l’Afghanistan, le Pakistan, l’Irak, l’Algérie, le Maroc, etc. Dans le monde musulman, il n’y pas une semaine qui passe sans que la barbarie terroriste des islamistes ne sème la terreur, la mort et le chaos au nom d’Allah. Ben Laden et Al-Qaïda, les Talibans, Al-Qaïda au Maghreb islamique (responsable de l’enlèvement de 7 personnes dont 5 Français au Niger la semaine dernière) et les groupuscules islamistes de tout acabit, financés par un réseau international présent aussi en Occident ne sont pas seulement les ennemis de nos démocraties libérales, mais les ennemis du genre humain.

Nous devons prendre conscience de la menace que représente l’Islam radical pour nos droits fondamentaux et nos libertés fondamentales. Là où l’Islam radical progresse, la démocratie, la laïcité et l’égalité des hommes et des femmes régressent au profit de la Charia sanctionnée par les tribunaux islamiques. Pour un islamiste, la Loi de Dieu (Charia) prédomine la Loi des Hommes (Constitution et lois adoptées par le Parlement). Une des forces du double discours sournois et hypocrite des islamistes réside dans sa capacité à nous convaincre de leur accorder des accommodements religieux au nom de la liberté religieuse garantie par la Charte à Trudeau. Ce n’est qu’une instrumentalisation visant progressivement l’instauration de la Charia, la légalisation de la polygamie et l’imposition généralisée du port du voile islamique. Il est de notre devoir de rejeter toutes leurs demandes au nom de nos valeurs fondamentales telles la dignité de la femme et l’égalité des hommes et des femmes. Nous devons protéger nos femmes et les immigrantes venues s’installer au Québec pour fuir la terreur islamiste…

Suite et source: http://tinyurl.com/2ax7lj6

18/09/2010

Québec : interdire le voile intégral dans l’espace public ? Un « OUI » cinglant !

18/09/2010

Réponse nette et sans bavure…

FDF

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Ce sondage cyberpresse n’est pas scientifique, mais l’échantillonnage est impressionnant : 33488 personnes ont répondu à la question suivante :

La France est le premier pays européen à interdire la burqa et le niqab dans l’espace public. Le Québec devrait-il faire de même ?

Cyberpresse-burqa

OUI : 89 % NON : 8 % JE NE SAIS PAS : 2%

Source : cyberpresse : Question du 16 septembre 2010

05/09/2010

Conférence « bidon » à Montréal: « dehors les islamistes ! ».

Nouvelles (bonnes…) du Québec: « Il faut se débarrasser de ces fanatiques ! ».

FDF

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Une conférence de l’organisation islamiste Islamic Relief Foundation, sous le paravent d’un insipide « United for Change » (Unis pour le changement) doit avoir lieu, en anglais, au Palais des congrès de Montréal le 25 septembre prochain. Au programme, plusieurs orateurs reliés à l’organisation des « Frères musulmans », une nébuleuse encourageant le djihadisme, la violence et désirant renverser nos sociétés laïques pour les remplacer par une sorte de califat mondial basé sur la charia. Il est inacceptable que le gouvernement du Québec, qui finance le Palais des congrès, accepte qu’une telle activité puisse avoir lieu.

Source de l’image

En effet, si nous plions encore une fois devant les fanatiques, quel message leur lançons-nous, sinon que le Québec, ce territoire qu’ils méprisent à un tel point qu’ils n’ont même pas daigné utiliser sa langue commune dans leur propagande, constitue une terre fertile et une porte d’entrée pour implanter leurs réseaux islamistes?

Ce ne sont pas des enfants d’écoles qui doivent se présenter à cette conférence:

  • Tariq Ramadan est le petit-fils du fondateur de l’organisation des Frères musulmans, que même le Congrès musulman canadien aimerait voir sur la liste canadienne des organisations terroristes.
  • Jamal Badawi est membre de l’Islamic Society of North America (ISNA) et est le leader des Frères musulmans en Amérique du Nord.
  • Zainab Al-Alwani du Fiqh Council of North America (une organisation veillant à promouvoir une vie musulmane en accord avec la charia, en Amérique du Nord), est une proche parente de Taha Al-Alwani du réseau américain des Frères Musulmans;
  • Abdalla Idris Ali est membre de l’Islamic Society of North America (ISNA);
  • Yasir Qadhi a été impliqué dans une controverse pour avoir qualifié l’Holocauste de supercherie;

On pourrait également ajouter:

  • Navaid Aziz, un parfait exemple de non-intégration à notre société, lui qui est né à Montréal, a étudié au cégep Champlain en anglais et fait maintenant la promotion, toujours dans cette langue, de l’islam.
  • Salam Elmenyawi, porte-parole du Islamic Center of Quebec, est en faveur de l’application de tribunaux islamiques au Canada et il a déjà déclaré qu’il serait prêt à se battre si le Canada suivait l’exemple de la France et interdisait le voile islamique.

On le constate: sous le paravent d’une conférence unificatrice se retrouve une véritable organisation de propagande cherchant à recruter de nouveaux membres prêts à prier Allah aujourd’hui, mais peut-être également à renverser notre démocratie demain matin. Et le tout – évidemment – en anglais, dans une institution payée avec nos taxes et nos impôts.

Il faut se débarrasser de ces fanatiques

Récemment, le Marriott de Chicago a annulé, à une semaine de pré-avis, une conférence semblable. Nous devons faire la même chose. Il faut que le gouvernement du Québec, ou la direction du Palais des congrès, réitère que nos valeurs fondamentales ne sont pas à prendre à la légère et qu’il est hors-de-question que l’État québécoise participe, même de loin, à une conférence méprisant à la fois le caractère francophone de la nation québécoise et notre démocratie laïque…

Suite et source: http://tinyurl.com/2vq8fx4

07/08/2010

Piège à cons au Québec: la plus grande conférence islamique de l’histoire à Montréal!

Une nouvelle organisation des Frères Musulmans annonce la tenue de « la plus grande conférence islamique de l’histoire de Montréal »

6 Août 2010

Original English version: Click [HERE]

Note de PdeB: Cette nouvelle a été originalement publiée en anglais le 5 août 2010 par le Global Muslim Brotherhood Daily Report.

Une nouvelle organisation affilée au réseau des Frères Musulmans a annoncé la tenue de « la plus grande conférence islamique de l’histoire de Montréal» le 25 septembre prochain. Dans l’annonce de l’événement, on mentionne notamment la participation des conférenciers suivants associés au réseau des Frères Musulmans (Que du « beau linge…) :

– Tariq Ramadan, le petit-fils du fondateur des Frères Musulmans ;

– Jamal Badawi de l’Islamic Society of North America (ISNA) et leader des Frères Musulmans en Amérique du Nord ;

– Zainab Al-Alwani du Fiqh Council of North America (FCNA), sans doute la fille ou une proche parente de Taha Al-Alwani du réseau américain des Frères Musulmans;

– Abdalla Idris Ali (ISNA).

Yasir Qadhi, un autre des conférenciers annoncés, a été impliqué dans le passé dans une controverse après avoir nié l’Holocauste. Selon le Sunday Telegraph (Londres) du 3 janvier 2010, Qadhi a décrit l’Holocauste en 2001 comme une supercherie. Il affirma que « jamais Hitler n’avait eu l’intention d’éliminer les Juifs massivement » et que « tout cela n’était que de la propagande ». Bien qu’il ait affirmé plus tard avoir été induit en erreur lorsqu’il formula ces remarques, il n’en afficha pas moins des hyperliens vers des articles écrit par un négationniste notoire de l’Holocauste sur un forum islamique accessible sur internet, selon le Centre for Social Cohesion.

L’organisation United for Change (Unis pour le changement) se décrit de la façon suivante :

« La mise sur pied de l’organisation United for Change résulta d’un voyage récent organisé au Mali. United for Change fut mise sur pied pour contribuer à la réalisation d’un monde où les principes les plus nobles de l’islam sont appliqués pour unir les musulmans et pour alléger la souffrance humaine directement attribuable à la négligence humaine, à l’insensibilité et aux mauvaises conduites. United for Change veut favoriser l’unité des organisations musulmanes d’Amérique du Nord pour que puissent être entreprises des tâches monumentales qui exigent plus de ressources humaines et matérielles que celles que peuvent mobiliser des groupes isolés. À travers cet effort, nous visons à encourager l’unité, la coopération et la bonne volonté entre les groupes et les organisations participants, à promouvoir la compassion et l’empathie et à contribuer au soulagement de la misère des communautés pauvres et marginalisées en Amérique du Nord et à l’étranger. »

Une des membres et co-fondatrice de United for Change est Asma Mirza. Elle fut identifiée comme la présidente de la Muslim Student Association (MSA) en 2008. Des photos et d’autres documents laissent présumer qu’Asma Mirza est la fille ou une proche parente de Yacub Mirza, l’ancien vice-président d’origine pakistanaise de la Fondation SAAR. La Fondation SAAR (aujourd’hui démantelée) regroupait plusieurs organisations islamiques basées dans le nord de la Virginie qui furent perquisitionnées par la police en 2003. La Fondation SAAR fut établie en 1983 par des individus qui établirent d’autres courroies de transmission des Frères Musulmans aux États-Unis, notamment la Muslim Student Association (MSA), l’Islamic Society of North America (ISNA) et l’International Institute of Islamic Thought (IIIT).

On considère généralement que SAAR était financée par la famille al-Rajhi d’Arabie saoudite. Jusqu’à récemment l’organisation faisait l’objet d’une enquête pour déterminer si elle avait financé des activités terroristes. En août 2007, Mirza participa à un panel lors d’un congrès de l’ISNA en compagnie de Zaki Barzinji, vraisemblablement un parent de Jamal Barzinji, un autre personnage important au sein du réseau SAAR. Le leadership de plusieurs organisations affiliées aux Frères Musulmans est progressivement transféré aux descendants des fondateurs. Jamal Barzinji fut l’un des fondateurs de la Muslim Student Association (MSA) au début des années ’60.

La conférence de Montréal est commanditée par Islamic Relief Canada. L’organisation-mère Islamic Relief Worldwideadministrateurs est Ibrahim el-Zayat, un leader des Frères Musulmans en Allemagne et pour toute l’Europe. El-Zayat est également un administrateur de la section britannique de l’IRW. L’IRW est une compagnie enregistrée au Royaume-Uni et des documents officiels indiquent que le Dr Ahmed al-Rawi, l’ancien dirigeant de la Fédération des organisations islamiques d’Europe (FOIE) et le président de la Muslim Association of Britain (MAB), compte parmi ses directeurs. (IRW) a son siège social en Grande-Bretagne. Un de ses

Un autre directeur de la compagnie IRW est Issam al-Bashir, un ancien ministre des Affaires religieuses du Soudan. Dans le passé, des articles du GMBDR élaborèrent sur les différentes positions occupées par al-Bashir au sein d’organisations contrôlées par les Frères Musulmans. Dans plusieurs pays européens, la section locale de l’IRW est associée à la section locale des Frères Musulmans.

Source: Point de Bascule

03/08/2010

Hijab: déjà, en 2009, au Québec…

« Pour régler la question du hijab dans la fonction publique, il faut d’abord faire reculer l’islam politique… »

Publication originale de cette chronique, le 22 mai 2009

Le Québec est à nouveau mobilisé autour de la question du voile, la Commission Bouchard-Taylor n’ayant rien réglé. Certains parlent d’un nouveau « débat ». En réalité, il n’y a pas de débat, il n’y a jamais eu de débat. Il n’y a qu’une nouvelle confrontation due à une nouvelle provocation islamiste, qui nous plonge de force dans des problèmes causés par l’islam radical.

La question du voile ne peut être abordée sans examiner l’islam politique dont il est l’étendard. Pour régler le problème du voile, il faut d’abord faire reculer l’islam politique et l’évacuer de notre société, de la même manière que durant la Guerre froide, la gauche et la droite, qui comprenaient l’importance de la Liberté, l’ont défendue contre la menace du totalitarisme communiste

Un débat suppose que l’on puisse discuter ouvertement d’une question sans crainte de menaces de mort, de manifestations violentes, ou de poursuites.

Les discussions sur l’islam politique, qui avance furtivement sous couvert de religion partout dans le monde, y compris au Québec – faisant reculer la liberté d’expression, les droits des femmes, et notre sécurité – sont étouffées. Nos dirigeants se contentent de réagir aux provocations, ils sont constamment sur la défensive, ils sont pris au dépourvu à chaque nouvelle provocation. Pourquoi? Parce qu’il n’y a jamais eu une discussion ouverte sur l’islam radical et la menace qu’il fait peser sur notre société. Il n’y a jamais eu une prise de position claire et ferme par nos gouvernants démontrant qu’ils sont conscients de la menace et qu’ils ont à cœur le mieux-être de la nation. Nos élus s’en remettent lâchement à des Bouchard-Taylor ou à la commission des droits de la personne!

La question dépasse largement le voile, mais c’est souvent par le voile qu’elle nous arrive.

La dernière provocation nous vient par le biais de la Fédération des femmes du Québec qui, le 9 mai, a adopté, en assemblée générale spéciale, « la position proposée par leur conseil d’administration sur les signes religieux. En même temps qu’elles s’opposent à l’obligation qui est faite aux femmes de porter des signes religieux ici et ailleurs dans le monde, elles s’opposent également à l’interdiction du port de ces signes au sein de la fonction et des services publics québécois.»

Mme Djemila Benhabib, auteur du livre Ma vie à contre-Coran, était présente à cette assemblée et a diffusé une déclaration dénonçant cette dérive de la FFQ, sous le titre: «J’accuse la Fédération des femmes du Québec de trahir le combat des femmes». La déclaration a été affichée sur le site Sisyphe.org et publiée dans divers médias :

Voici des extraits :

Fortement épaulée par des représentantes du Conseil islamique canadien et de Présence musulmane, la Fédération des femmes du Québec (FFQ) vient d’adopter une résolution banalisant le port du voile islamique dans les institutions publiques québécoises lors d’une assemblée générale spéciale qui s’est déroulé à l’université Laval, le 9 mai dernier, et à laquelle j’ai assisté en qualité d’observatrice.

Il y a des alliances et des prises de position qui minent les principes. Avec cette dernière, la crédibilité de la FFQ est sérieusement entachée. Pour une poignée de militantes islamistes, la FFQ a sacrifié des millions de femmes musulmanes qui se battent au péril de leur vie. Aujourd’hui, il n’y a qu’un verbe qui tourne en boucle dans ma tête : j’accuse !

J’accuse la FFQ de compromission avec des mouvements politiques des plus rétrogrades tels que le Conseil islamique canadien qui a mené une campagne acharnée pour l’instauration des tribunaux islamiques en Ontario ou encore Présence musulmane qui fait la promotion des thèses de Tarik Ramadan qui prône un « moratoire » sur la lapidation des femmes adultères, un châtiment préconisé par la charia islamique. Un moratoire… ???
Bien qu’il ait été beaucoup question des femmes arabo-musulmanes lors de cette rencontre, seule la propagande des femmes islamistes dominait. Quel bel exemple de diversité et de pluralité ! C’est à croire que la pensée unique est devenue la norme à la FFQ. Quelle tristesse.. Combien de Aqsa Parvez faudra-t-il encore pour qu’enfin la FFQ comprenne que la bataille pour la liberté se déroule aussi, ici même, dans notre pays au sein de nombreuses familles musulmanes ? Que vaut le sang de ces jeunes filles et de ces femmes ? Pour la FFQ, certainement pas grand chose…

INTIMIDATION

Présence musulmane Montréal a envoyé une mise en demeure à Sisyphe.org, intimant ses éditrices de publier sa réplique au texte de Mme Benhabib, vraisemblablement sous peine d’une poursuite en diffamation en cas de défaut d’obtempérer à son arrogant diktat.

Les poursuites et menaces de poursuites sont une tactique fréquemment employée par les islamistes pour punir leurs critiques ou les réduire au silence. Ils manipulent les systèmes juridiques démocratiques pour réprimer la liberté d’expression, abolir le discours public critique de l’islam, et faire progresser furtivement l’établissement des principes de la charia.

Il faut condamner sans réserve ces stratégies d’intimidation qui limitent le droit des citoyens de participer au débat public, et pointer un doigt accusateur en direction des islamistes qui abusent de nos lois.

La Cour suprême du Canada a jugé que «nous vivons dans un pays libre, où il est permis d’énoncer des opinions outrancières et ridicules tout autant que des vues modérées», et que «la controverse publique a parfois de rudes exigences, et le droit doit respecter ses exigences». Pour la Cour suprême, «l’important dans un débat sur des sujets d’intérêt public est que tous les aspects de la question sont présentés avec force». Ce jugement établit le droit pour l’ensemble du pays. Comme dit Tarek Fatah, les islamistes qui ont des problèmes avec la liberté d’expression devraient quitter le Canada.

Aucun autre groupe religieux ou ethnique au Québec n’utilise la stratégie de la guérilla juridique pour intimider les critiques. Les médias, les politiciens et les citoyens pratiquent d’ailleurs l’auto-censure, directement par le silence, ou indirectement en s’exprimant par «amalgames». Il faut dénoncer «tous les extrémismes» avec la même vigueur, disent-ils, pour éviter de «stigmatiser» injustement l’islam. Allons… l’intégrisme bouddhiste et hindou exige une mobilisation nationale… Il faut demeurer vigilants face au risque d’atteintes graves aux droits à l’égalité des chrétiennes, et ne pas baisser la garde face à la menace d’attaques terroristes par des témoins de Jehovah! Ce faisant, on détourne l’attention du véritable problème, celui de l’islam radical. On sème la confusion, on se perd dans des discussions absurdes sur la croix du Mont-Royal et les sapins de Noël. On ne règle jamais rien, on éteint des feux, et tout est toujours à recommencer, parce qu’inévitablement, il y aura d’autres provocations! C’est comme ça que l’islam politique avance.

INFILTRATION

Une autre tactique est celle de l’infiltration. Ici, des islamistes ont infiltré la Fédération des femmes du Québec et, en détournant le vocabulaire de la liberté et de l’égalité pour le rendre charia-compatible, elles ont réussi à faire progresser leur agenda d’islamisation de nos institutions. Voilà maintenant que le voile dans la fonction publique est l’instrument de choix favorisant l’émancipation de la femme musulmane! Les mollahs, les ayatollahs et les talibans rient dans leurs barbes. La Fédération des femmes du Québec est leur alliée!

DISCOURS VICTIMAIRE

Michèle Asselin, présidente de la FFQ, reprend le discours victimaire des musulmans qui se plaignent d’être l’objet de préjugés liés aux attaques du 11 septembre 2001. Et pourtant…

Les femmes voilées sont présentes partout, et en grand nombre, même dans les emplois les plus sensibles du point de vue de la sécurité. Plusieurs d’entre nous avons fait l’expérience de fouilles à l’aéroport par des femmes voilées, et avons eu affaires à des femmes voilées dans nos transactions avec diverses agences gouvernementales.

Elles vont et viennent en toute liberté, et en nombre croissant, dans les rues de Montréal et ailleurs au Québec. Les musulmans, hommes et femmes, bénéficient de la pleine liberté de conscience, ils ont leurs lieux de culte et centres culturels, ils jouissent des mêmes droits et libertés que les autres citoyens.

Les vraies victimes du 11 septembre, c’est l’ensemble de la population. Nous devons attendre des heures dans les aéroports en raison des lourds dispositifs de sécurité, nous devons financer des services de renseignement et de police pour nous protéger des fous d’allah. Nos libertés reculent à cause du refus des musulmans d’assumer leurs responsabilités et de collaborer pleinement avec les forces de l’ordre.

PRÉJUGÉS?

Les minorités musulmanes sont les seules à continuellement critiquer la majorité et à réclamer des restrictions à nos libertés, en particulier notre liberté de les critiquer, eux. Ils sont les seuls à proférer des menaces de mort ou de poursuites pour faire taire la critique. D’ailleurs, nos médias pratiquent l’auto-censure, par peur, et réservent aux musulmans un traitement privilégié par rapport à toutes les autres communautés et religions, sur lesquelles ils n’hésitent pas à s’acharner.

Des auteurs progressistes du Golfe persique écrivaient récemment sur le mal que font les musulmans à l’Occident tout en profitant de ses libertés et de ses services. L’un d’eux écrit que les musulmans en Occident «crachent dans le puits dans lequel ils puisent leur eau». Il reproche aux islamistes de «contrôler la vie des musulmans» et de favoriser «l’isolement, le repli et, à terme, le terrorisme djihadiste contre l’Occident». Il déplore que les musulmans «se retournent contre la société qui les a accueillis, leur fournit le toit, du travail et l’assurance santé.» Il trouve curieux de voir certains imams «maudire et insulter l’Occident dans les prêches qu’ils font dans des mosquées occidentales, et appeler de leurs vœux la destruction des pays occidentaux, alors même qu’ils sont placés sous la protection de la police de ces pays». Un autre auteur observe, parlant des islamistes, que la tolérance des Occidentaux envers les musulmans ne les a pas conduits à «reconnaître que le choix de la religion est une affaire personnelle. … Au contraire, ils sont devenus de plus en plus agressifs, parce qu’ils ont compris que l’Occident cédait à leurs exigences et les traitait avec tolérance. Ils ont donc gagné du terrain et de la popularité, et leur arrogance est devenue sans limites».

Les minorités islamiques sont les seules à se comporter de cette manière et à retourner nos lois et nos institutions contre nous, érodant la liberté de tous les autres citoyens. À titre de comparaison, les Sikhs du Canada ont aussi leurs extrémistes, mais ils ont des leaders qui les confrontent, parfois au prix de leur vie. Wally Oppal, un Sikh qui a été ministre de la Justice de la Colombie-Britannique, s’est servi de sa position de pouvoir pour combattre ces extrémistes et permettre à l’ensemble de la communauté indo-canadienne de s’émanciper à l’intérieur des valeurs canadiennes de liberté et d’égalité, au lieu de s’auto-isoler et de s’enfoncer dans l’impasse du discours victimaire infantilisant. Ainsi, en 2006, à la suite de deux crimes d’honneur, il a convoqué des états généraux de la communauté indo-canadienne pour discuter de la violence contre les femmes et des éléments culturels qui la fondent. Il n’a pas eu peur de dire que les crimes d’honneur « ont leur origine dans des concepts dépassés sur le traitement des femmes », qui sont enracinés dans des traditions culturelles.

Les groupes islamistes, quant à eux, ont plus à cœur de défendre la réputation de l’islam que d’assurer la protection des musulmanes. Les médias et les bien-pensants jouent le même jeu, au nom d’une conception de l’anti-racisme que Tarek Fatah dénonce comme un «racisme de la moindre attente». Pourtant, selon une étude britannique, la plus grande crainte des musulmanes «n’est pas l’islamophobie ou d’être attaquées par des racistes ou arrêtées pour suspicion de terrorisme. Elles craignent avant tout leur propre famille».

LES QUÉBÉCOIS ONT RAISON DE SE MÉFIER DE L’ISLAM

Les Québécois ont raison d’être inquiets face à l’islam. Un sondage récent démontre leur résistance tenace face à cette religion, et leur opposition, dans une proportion de 74%, aux accommodements religieux. On peut avancer avec quasi-certitude que le taux de 74% serait largement inférieur si l’islam ne faisait pas partie de l’équation.

Voici quelques exemples, parmi tant d’autres, de situations qui expliquent sans doute leur résistance tenace face à l’islam:

Un cheikh machiste, ancien grand mufti de Jérusalem, a été invité à Montréal par IRFAN-Canada pour une levée de fonds. Ce cheikh pourfend les lois occidentales qui criminalisent le viol par le conjoint. Nous étions présents à cette soirée, à laquelle ont assisté environ 500 personnes, dont une centaine de femmes. La FFQ n’a pas dénoncé cet événement, ni les autres féministes, musulmanes ou pas.

– «Souhaiter Joyeux Noël ou Bonne année aux mécréants est interdit. C’est un acte répugnant» – c’est l’attitude à l’égard des «mécréants» que recommandait à ses fidèles la mosquée Masjed Essuna Nabawiya en décembre dernier. Cette mosquée se décrit, sur oumma.com, comme la plus grande mosquée salafiste de Montréal, avec une capacité d’accueil évaluée entre 2500 et 3000 fidèles. Aucun musulman n’a dénoncé ce discours méprisant, suprématiste et peu propice au «vivre-ensemble».

– Au moins quatre prédicateurs radicaux ont été invités par l’Association étudiante musulmane de l’Université Laval (AEMUL), le 9 mai, pour marquer leur 20e anniversaire, au théâtre de la Cité universitaire. Ces prédicateurs comprenaient le machiste ancien grand mufti de Jérusalem, l’imam de la mosquée suprématiste Masjed Essuna Nabawiya de Montréal, ainsi que le Cheikh Ahmad Shehab. Personne n’a réagi.

– Un imam propage ouvertement la doctrine de l’islam radical suprématiste, misogyne et haineux, sans être inquiété par la commission canadienne des droits. Personne dans la communauté musulmane, ou chez les féministes, ne l’a dénoncé ouvertement. Il continue de propager ses enseignements en toute impunité, et à gagner de nouveaux adeptes à ses vues abjectes. La communauté musulmane démontre ainsi sa complète irresponsabilité, et son incapacité à faire le ménage dans ses rangs. Elle est la première responsable de la résistance tenace des Québécois face à l’islam. Le sort du voile dans la fonction publique n’y changera absolument rien.

Khaled Mouamar, le président de la Fédération canado-arabe qui soutient ouvertement des groupes terroristes, a siégé à la Commission de l’immigration et du statut de réfugié, ce qui est incroyable. Cet exemple extrême démontre l’incurie de nos dirigeants, pour qui les droits des extrémistes passent avant la sécurité et le bien-être de l’ensemble de la population. Le résultat, c’est qu’on se méfie de tous les musulmans.

Sondage: Reason to Fear, par Salim Mansur, Western Standard, 26 mai 2007 – 12 % des musulmans interrogés – un chiffre qui s’élève à 84 000 sur une population de 700 000 musulmans canadiens – se sont identifiés comme des extrémistes qui soutiennent le terrorisme. Même si l’on prend en compte la marge d’erreur de 4,4%, le chiffre arrondi à 7% de la population, le nombre des musulmans qui s’associent idéologiquement aux extrémistes est de 49 000. Pour mettre un peu de perspective, il y a deux fois plus d’extrémistes que de soldats canadiens au pays…

Sondage: Glad to be Canadian, Muslims say
Dans ce rapport, on occulte les différences idéologiques entre canadiens musulmans et non musulmans pour faire un portrait à l’eau de rose. Pourtant, il démontre que 53% des canadiens musulmans sont en faveur de l’adoption de tribunaux de la charia pour régler les litiges familiaux, que 27% des musulmans trouvent que les attaques planifiées à Toronto étaient justifiées (ou du moins ne disent pas qu’elles étaient injustifiées).

DÉNONCER L’ISLAMISME ET L’EXTIRPER DE LA SOCIÉTÉ

Discuter du foulard, c’est s’intéresser à l’arbre qui cache la forêt. C’est ignorer l’idéologie de l’islam radical qui progresse chez nous comme un cancer, et s’attarder à un symptôme sans jamais oser prononcer le mot « cancer », et l’extirper.

L’islam politique n’est pas une race, une ethnie ou une culture, pas plus que le fascisme ou le nazisme. Cette idéologie n’a pas sa place au Québec et au Canada. Il n’y a pas lieu d’en débattre, pas plus qu’on ne débattrait du nazisme. Cette idéologie doit être nommée, discréditée, et éradiquée de la société.


Nous avons tenu une conférence à Montréal en septembre dernier sur le thème: L’islam politique menace nos libertés, à laquelle 200 personnes ont assisté, ce qui confirme l’inquiétude des citoyens et leur intérêt pour le sujet. Les trois conférenciers, des musulmans, sont menacés de mort par des musulmans canadiens. Tout comme la députée Fatima Houda-Pépin, ils sont traités de traîtres par leurs coreligionnaires – souvent des membres influents de leur communauté -, parce qu’ils militent contre la charia et défendent avec acharnement la démocratie et nos libertés fondamentales, particulièrement la liberté d’expression. On a tout lieu de s’inquiéter du profond conflit d’allégeance des musulmans canadiens qui menacent leurs compatriotes, et du fait que ce genre de personnes puisse occuper des emplois donnant accès à des renseignements personnels sur les citoyens.

Tant que nos gouvernements ne s’attaqueront pas avec courage à l’islam politique qui menace la société, musulmans compris, tant que la communauté musulmane ne prendra pas ses responsabilités et ne fera pas le ménage dans ses rangs, tant que les médias persisteront à nous endormir avec un discours rose bonbon sur l’islam, tant que nous ne serons pas rassurés que la politique d’immigration est gérée de manière responsable et ne sert pas à transporter cette idéologie chez nous à dos d’hommes et de femmes… nous aurons toujours des « crises » à gérer, et le cancer finira par nous emporter.

Il faut combattre l’islam politique, et le vaincre. Voici des conseils tirés du manuel L’art de la guerre écrit par Sun Tzu il y a plusieurs siècles:

Ne différez pas de livrer le combat, n’attendez pas que vos armes contractent la rouille, ni que le tranchant de vos épées s’émousse. La victoire est le principal objectif de la guerre.
S’il s’agit de prendre une ville, hâtez-vous d’en faire le siège; ne pensez qu’à cela, dirigez là toutes vos forces; il faut ici tout brusquer; si vous y manquez, vos troupes courent le risque de tenir longtemps la campagne, ce qui sera une source de funestes malheurs.
Ceux qui possèdent les vrais principes de l’art militaire ne s’y prennent pas à deux fois. Dès la première campagne, tout est fini.
Si vous faites exactement ce que je viens de vous indiquer, les succès accompagneront tous vos pas, partout vous serez vainqueur, vous ménagerez la vie de vos soldats, vous affermirez votre pays dans ses anciennes possessions, vous lui en procurerez de nouvelles, vous augmenterez la splendeur et la gloire de l’État, et le prince ainsi que les sujets vous seront redevables de la douce tranquillité dans laquelle ils couleront désormais leurs jours.
L’essentiel est dans la victoire et non dans les opérations prolongées.
Le général qui s’entend dans l’art de la guerre est le ministre du destin du peuple et l’arbitre de la destinée de la victoire.

Citoyens… à vos armes! Vos ordinateurs sont vos kalashnikovs. Mobilisez-vous, écrivez aux députés, aux médias, et demandez-leur des comptes! Nous sommes à préparer un Manifeste, qui proposera des objectifs et un plan d’action.



Source : pointdebascule.canada.ca 9 Octobre 2009 par Annie Lessard, Marc Lebuis

29/07/2010

Sondage Québec et Canada: La majorité d’accord pour bannir le voile intégral des lieux publics !

La sagesse des foules.. Les sondeurs se disent surpris : « C’est le Canada. Nous n’interdisons rien » disent-ils. Pourtant, nous interdisons la cigarette dans les lieux publics, nous interdisons le téléphone portable au volant, la circulation à vélo sans casque de sécurité, etc etc etc  Et nous avons des polices de la pensée qui interdisent les discours offensants.

Selon CAIR-CAN il faut davantage de sensibilisation des citoyens pour les ouvrir aux vertus de la charia et du vêtement qui symbolise l’apartheid des femmes, la barbarie, la haine et la mort…

Sondage-burqa-2


Suite et source : LCN canoe, 28 juillet 2010 (via postedeveille.ca)