Francaisdefrance's Blog

13/03/2012

Communiqué du Mouvement NATION (Belgique).

Amis Belges, nous sommes solidaires avec vous ! D’autant plus que nous connaissons les mêmes problèmes en France…

FDF

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Une fois de plus, le pouvoir socialiste a foulé aux pieds les beaux
principes de démocratie et de liberté dont pourtant, il se revendique sans
cesse.
 
Alors que les  terroristes kurdes du PKK manifestent quand ils veulent,
alors que les casseurs  du quartier africain du Matonge peuvent se
rassembler autant de fois qu’ils le veulent, alors que des islamistes
radicaux peuvent défiler à leur guise dans les rues de la capitale, les
solidaristes européens de NATION, eux, sont interdits de cortège par le
bourgmestre socialiste de Bruxelles : Freddy Thielemans.
 
Qu’il l’ait fait par haine idéologique ou pour nous tendre un piège en
espérant des incidents, le bourgmestre de Bruxelles a démontré qu’il avait
clairement choisi le camp des poseurs de bombe du 11 mars, en interdisant
que l’on rende hommage aux victimes de ces attentats.
 
Malgré tout et malgré le très court laps de temps (puisque l’annonce de
l’interdiction  a été faite le vendredi après-midi), NATION  a réagi de
diverses manières : dépôt d’une requête devant le conseil d’état
(malheureusement rejetée), organisation d’un meeting dans une salle à Forest
(réunissant plus de 150 personnes) et action surprise devant la grande
mosquée de Bruxelles…sans oublier un dépôt de fleurs place d’Espagne en
soirée.
 
Très bientôt, plus de détails et d’images.

Les premières photos sont sur notre site : http://www.nation.be/web/

17/12/2011

Algérie: eux aussi ont des « jeunes »…

Image d’illustration

En fait, les « jeunes » sont ceux qui ne sont pas (encore) arrivés retrouver les « cousins » en France. Mais ils se forment sur leurs terres pour « agir » ensuite chez nous… Mais la police algérienne a des consignes plus strictes à leur intention. C’est aussi la raison pour laquelle ils viennent se réfugier chez nous. Leurs grands parents immigrés ne nous ont jamais causé de problèmes; eux, les « jeunes », rattrapent le retard… Vous aviez remarqué?

FDF

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MÊME CHEZ EUX  ILS ONT LEUR PROPRES RACAILLES, LEURS PROPRES VOYOUS   vous pourrez voir dans l’article que les méthodes de ces voyous   sont les mêmes que celles qu’ils emploient chez nous.   EN ALGÉRIE ILS SONT CHEZ EUX.
SURTOUT QU’IL Y RESTENT NOUS EN AVONS ASSEZ  dans tous les sens du terme !

JC JC

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ALGER  :   La brigade d’intervention rapide et de répression du banditisme, mise en place par la DGSN, a arrêté plus de 500 jeunes.

Logo El Watan

De jeunes délinquants de Sidi M’hamed s’organisent

Affrontements entre policiers et dealers

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La brigade d’intervention rapide et de répression du banditisme, mise en place par la DGSN, a arrêté plus de 500 jeunes.

Des affrontements ont opposé, dans la soirée de mardi, des jeunes de la cité Mahieddine, à Sidi M’hamed, aux policiers. Les jeunes du quartier Chaâba, postés en haut d’un talus surplombant la salle Harcha, ont lancé des cocktails Molotov sur les éléments de la police judiciaire, qui ont été obligés d’arrêter la circulation durant quelques minutes. Selon des indiscrétions, les jeunes dealers de Chaâba avaient été filés par des policiers et, pour les semer, leurs complices du quartier ont pris à partie les policiers. Des jeunes ont été arrêtés, après les échauffourées, dans certains quartiers de Belouizdad. La lutte engagée contre la délinquance dans cette cité populaire et les quartiers alentour n’a guère réussi à stopper la petite criminalité.


En effet, les jeunes n’hésitent plus à attaquer les policiers avec toutes sortes d’objets et à se replier ensuite dans les immeubles. Des incidents sont signalés dans cette partie de la ville, surtout à la sortie du stade. «Des jeunes de la cité Mahieddine déboulent la nuit dans le quartier sans se soucier de personne. Ils arborent des sabres qu’ils confectionnent eux-mêmes. Ces jeunes, à l’accoutrement spécial, ne craignent personne, ni les notables du quartier, ni les policiers du coin et encore moins le maire. Même cette section de la PJ qu’a mise en place la DGSN n’a donné aucun résultat sans le soutien de la population», souligne un résident de la rue Necira Nounou, qui affirme qu’il est presque plus possible de sortir la nuit.


Des jeunes du chantier «Titanic» désaffecté détroussent les piétons et même les automobilistes qui ne connaissent pas le danger qu’ils encourent en empruntant, passée une certaine heure, la rue Belouizdad ou dans les rues adjacentes des quartiers des communes de Sidi M’hamed et de Belouizdad. La brigade d’intervention rapide et de répression du banditisme, mise en place par la DGSN, ne peut, semble-t-il, pas combattre une délinquance qui prend de plus en plus d’ampleur. Des jeunes des quartiers de Belouizdad s’organisent en gangs armés de sabres ; une fois leur forfait accompli, ils se replient dans les barres d’immeubles.


«Les éléments de la brigade criminelle de la division Centre de la police judiciaire d’Alger, engagés dans les quartiers, ont fort à faire pour espérer en finir avec la petite criminalité. Ils sont obligés de poursuivre les jeunes jusque dans les bâtiments, ce qui engendre des incidents. Même les femmes se mettent de la partie en jetant des objets hétéroclites sur les policiers, parfois en civil», constate une source, qui parle de plusieurs policiers blessés lors des poursuites. «Ces jeunes ont de véritables chefs auxquels ils obéissent au doigt et à l’œil ; la police en a arrêté plus de 500 avec un attirail de guerre (sabres, couteaux, chiens). Un grand travail reste pourtant à accomplir pour la BMPJ», poursuit notre interlocuteur qui signale, contrairement au discours rassurant de la DGSN, une propagation des incivilités et un accroissement des actes délictueux dans les quartiers populaires où des jeunes se comportent comme de véritable caïds et délimitent leur territoire sans que les autorités locales s’en soucient.
«Il arrive à des élus locaux d’utiliser de nouveaux baltaguia pour chahuter une manifestation politique ou même soutenir le Président, en visite dans la capitale. La dernière fois, la police a arrêté des délinquants à la rue Hassiba. Un élu bien inspiré a voulu gonfler les rangs de ses sympathisants avec des voyous du quartier», affirme un résident la rue Belouizdad, qui trouve indigne que des élus du peuple «utilisent des délinquants pour imposer leurs choix politiques.»
Source: http://www.elwatan.com/

22/08/2011

L’Union Européenne doit réviser sa politique d’immigration collective.

Dessin « piqué » chez François Dessouche…


Enfin; on y réfléchi? Il est bientôt temps… C’est au bord du gouffre que l’on vient de se rendre compte des nuisances économiques des différentes politiques d’immigration…

FDF

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Gros plan sur le Maghreb  →   L’immigration illégale d’Afrique en Europe et une « tolérance zéro ».

Photo: EPA

L’Europe politiquement correcte emprunte aux Etats-Unis une formule de lutte sans pitié contre les désordres publics: une « tolérance zéro ». Le premier ministre britannique David Cameron a déclaré dix jours après les pogromes ayant déferlé sur Londres et d’autres villes:

« Nous n’avons pas assez parlé le langage de la tolérance zéro. Mais le message est en train de passer. Une critique à peine voilée des forces de l’ordre est le rappel d’un concept sécuritaire vieux de près de 30 ans ».

Scotland Yard a identifié les meneurs de troubles en quelques jours. Quelque trois mille de participants aux désordres comparaîtront devant le tribunal. La majorité absolue d’entre eux sont les ressortissants des pays africains et asiatiques.

D’après les résultats des sondages publiés dans le Sunday Express, 70% des Britanniques approuvent les mesures appliquées par le gouvernement pour réprimer et punir les coupables des désordres et des pogromes. Cela traduit, d’une part, qu’une « tolérance zéro » enfonce un coin entre les Britanniques autochtones et les migrants et de l’autre – l’échec du « multiculturalisme ». Ce phénomène a été signalé en premier lieu par la chancelière allemande Angela Merkel, ensuite par le président français Nicolas Sarkozy. 

« La première génération de migrants des anciennes colonies d’outre-mer des métropoles européennes n’a pas encore oublié pourquoi cela s’était produit et déployaient les efforts pour raffermir les positions dans les pays où ils se sont installées », dit l’ethno-politicien russe Emil Païne.

«  Leurs enfants reçoivent déjà gratuitement la citoyenneté, les droits et les biens sociaux sérieux et ne sont pas contraints de s’adapter à la société qui les a assimilés… Les Européens accordent les moyens pour maintenir l’originalité culturelle des quartiers et des communautés d’immigrés », continue Païne.

Or, le nombre d’immigrés augmente graduellement en modifiant l’image de la société européenne. L’identité des Européens est menacée par une d’autres culture, religion, mode de vie importés par les immigrés. Les migrants finissent pas exiger le respect de leurs droit ce qui n’arrange pas une grande partie de la société européenne.

Les mécontents deviennent de plus en plus nombreux ce qui se répercute sur le rapport des forces politiques, en premier lieu sur la popularité et, par conséquent, de l’électorat de plus en plus grands de droite et de l’extrême droite, des partis nationalistes. D’autant plus aujourd’hui lorsque l’UE se heurte aux problèmes financiers et économiques sérieux. D’oû l’intolérance de plus en plus prononcée envers les migrants et les adeptes d’autres confessions.

Il est clair que l’Europe recule peu à peu dans la lutte pour l’intégration culturelle des migrants à la société, en premier lieu des musulmans et endure aujourd’hui de nouvelles épreuves. Le « printemps arabe »: les révolutions en Tunisie et en Egypte, la catastrophe humanitaire en Somalie et enfin – l’ingérence armée des Européens dans la guerre civiles en Libye ont entraîné un brusque afflux d’immigrés illégaux d’Afrique  en Europe. Près de deux mille illégaux maghrébins et subsahariens débarquent dimanche 14 août à Lampédouse située entre l’Afrique et la Sicile. Les experts estiment à juste titre que le rapprochement de l’opposition libyenne soutenue par l’aviation de l’OTAN de Tripoli et d’éventuels combats cruels pour la crise de la capitale promettent l’afflux de réfugiés, notamment libyens, à Lampédouse ou sur le littoral italien. Le Malien Cisse le confirme dans une interview accordée à la RFI à Rome.  

L’UE devra, semble-t-il, réviser pour la nième fois sa politique d’immigration collective qu’il faudra, le plus probablement, durcir. Or, il est possible que le modèle de « tolérance zéro » essayé en Grande-Bretagne, soit invoqué.

Source: la Voix de la Russie

Lien: http://tinyurl.com/3z2nekd

29/10/2010

Visites de Besson et Amara: les sous-merdes s’interrogent… Ca les occupe.

Aller plaider la loi anti-voile chez les muzz, faut déjà oser…

Lu sur un blog « des quartiers »… Que je mets un point d’honneur à ne pas citer. Ca leur ferait de la pub gratuite. Et pourtant, c’est l’image de la France que l’on nous cache… Celle qui nous attend au virage, nous les souschiens. Amara et Besson vont « rallumer le feu »… Sûr. C’est évident: ils sont tous deux shootés à la préférence non-nationale, et à l’islam… Mais bon, ils vont défendre, à la veille des présidentielles, une cause chère à Sarkö. Et puis, à l’approche du remaniement ministériel, mieux vaut être dans les bons papiers du patron… En fait, ils vont plaider une cause à contrecoeur: celle de la loi anti-voile… Mais leur place en dépend. On peut lire, dans les lignes qui suivent, que la racaille l’a bien compris; et ils vont bien s’amuser…

FDF

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Amara et Eric Besson font le tour des quartiers pour expliquer les bienfaits de la loi contre le voile !

« Le duo n’est pas surprenant car tous deux ont un point commun : ministres de l’ouverture ! Et l’on peut ajouter de la rupture au regard de l’appropriation des idées de l’UMP dans lesquelles ils excellent.

A la veille des 5 ans des violences urbaines, Fadéla AMARA aidé de son camarade BESSON, nous propose de faire le tour des quartiers accompagnés de 15 ambassadrices de Ni Putes, Ni Soumises pour expliquer aux habitants les bienfaits de la loi contre le voile !

Madame AMARA met enfin en œuvre sa fonction de secrétaire d’état à la politique de la ville et celle-ci commence maintenant avec une action d’une très grande importance..

Cette initiative, attendue par les banlieues, va sûrement être déterminante dans l’amélioration de la situation de milliers d’habitants des quartiers populaires et en particulier des jeunes.

Quant à Monsieur Besson, venu lui prêter main-forte dans cet exercice périlleux, il ne fait que poursuivre avec acharnement l’idée, qu’en banlieue, le problème, c’est d’abord l’islam et rien d’autre.

Heureusement qu’une poignée femmes s’est promenée en Burqa dans notre pays pour donner enfin à Fadéla AMARA un brin de réjouissance dans sa fonction de Ministre.

“Je suis très fière que mon pays ait été l’un des premiers pays à porter cette loi, qui est une loi juste, une loi qui protège les femmes, notamment les femmes des quartiers et les femmes les plus fragiles de notre pays, sans distinction aucune” nous dit-elle ! Et son seul regret, ajoute-t-elle, reste que certains représentants de l’Assemblée nationale n’aient pas eu le même courage que nos sénateurs plus unanimes dans la défense des valeurs de la République.

Ce n’est peut-être qu’une histoire de remplissage d’agenda car il fallait trouver une occupation à la secrétaire d’Etat qui voit la préparation des obsèques de la politique de la ville se profiler. Sans compter qu’à défaut d’un plan Marshall, un plan d’explication de la loi contre le voile peut faire l’affaire. L’important est d’occuper le terrain médiatique et nourrir ses camarades d’actions susceptibles de rassasier les électeurs un peu plus à sa droite de l’UMP.

Mais de qui se moque-t-on ?

Chômage des jeunes, formation professionnelle, lutte contre l’échec scolaire, désenclavement des quartiers, renforcement des transports, prévention de la délinquance, soutien à la parentalité, accès aux soins, discriminations… : cliquez, poubelle ! C’est ainsi que l’on peut lire à quel point les difficultés que connaissent nos banlieues sont prises au sérieux.

Comme si dans les quartiers la population attendait de pied ferme des explications sur la loi contre le voile. En plus, le thème a non seulement un goût de réchauffé et ne concerne qu’une minorité.

A court d’actions significatives, le gouvernement nous promet une révolution ; voter des lois et faire le tour de la France pour en expliquer les bienfaits.

Peut-être que pour la réforme des retraites, le planning est établi ; nous allons voir débarquer dans nos villes, des soldats de l’UMP, venir nous expliquer pourquoi cette réforme est bonne pour eux.

On fait, on discute après ! Ça, ça s’appellerait de la dictature participative !

Quant aux banlieues, on ne fait pas, on ne discute pas ; ça s’appelle du mépris ! »

24/10/2010

Les dix stratégies de manipulation des masses…

Avec ça, vous allez comprendre bien des choses… à lire, à méditer, à afficher, à faire passer, à diffuser…

FDF

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1/ La stratégie de la distraction

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3/ La stratégie de la dégradation

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes. »

Par Noam Chomsky

01/09/2010

Halal: Al-Kanz exige que l’Etat Français réglemente l’appellation Halal, avec des contrôles.

Vous avez le droit d’y croire, mes frères… Y’en a marre, avec le halal! On entend plus parler que de ça. Ca va tourner en eau de boudin, cette propagande. La résistance s’organise. « Cochon qui s’en dédit »…
FDF

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Quick Halal : les ennuis ne font que commencer !

Plusieurs groupes islamiques dénoncent déjà le caractère faussement halal de certains magasins ou produits, les mosquées de Paris et d’Evry n’étant pas considérées comme fiables…

Ainsi Fateh Kimouche, responsable de Al-Kanz, une sorte de « 60 millions de consommateurs » musulman, exige que l’Etat réglemente l’appellation Halal, avec des contrôles.

Vous avez compris que l’Etat se trouve désormais pris dans une « béchamel infernale »…

A force de modifier sa loi pour s’adapter à la Charia, par exemple en matière de finance, nos élus républicains, chantres de la laïcité (et catholiques pour certains), vont de nouveau devoir intégrer une partie du Coran dans la réglementation républicaine et créer un corps de fonctionnaires (payé avec nos impôts) dédié au contrôle de l’application de rites religieux dans l’abattage des bêtes !

Trop bon trop con ! dirait l’autre, mais trop tard ! Voilà comment au nom de la « tolérance » on construit un état religieux.

Alors à tous les gogos qui disent « Ça ne fait rien, il n’est pas interdit à un chrétien de manger halal » ou « ce n’est pas grave », et le stupide « cela a le même goût », je rappelle que la certification Halal a un coût, que l’argent sert à rémunérer les Mollahs en charge de la vérification, donc des organisations islamiques, dont on ignore où vont les fonds.

Et que le musulmans ne me disent pas que je chipote, en la matière avec la finance islamique, je n’ai pas de leçons à recevoir d’eux.

Ce coût est bien entendu répercuté dans le prix du produit, sur le principe de la TVA – soit une dîme versée aux autorités cultuelles islamiques.

A noter que les Juifs régulent très bien, et très discrètement la certification casher, qui est toujours clairement affichée, et n’ont jamais fait d’histoires à ce sujet.

Cette affaire est peut-être l’occasion de reprendre pied pour :

1) Rappeler que pour un état laïque, « Halal » ou  » Casher » n’ont aucune signification et ne saurait faire l’objet d’une quelconque réglementation.

2) Obliger des commerçants qui reversent une partie du prix de vente à des groupes religieux qu’ils l’affichent à l’entrée du magasin.

Mais le plus triste dans tout cela, c’est que personne ne réagit… les élites incultes applaudissent (cf Demorand et Askolovitch hier soir sur Europe 1), les Frères se frottent les mains. Esprit collabo quand tu nous tiens…

Pillé chez: http://www.agoravox.fr