Francaisdefrance's Blog

29/08/2011

“Ségolène me fait honte”…

On ne peut ressortir ces propos que maintenant; ils seront « porteurs ».

Désolé, Mme Royal, mais si les mensonges sont devenus des programmes de campagnes électorales, vous en êtes un bel exemple. Mais rassurez-vous, vous êtes loin d’être la seule…

FDF

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Ségolène Royal en « boubou »: vive la mixité !

Article que le général de brigade (c.r) TdM Pierre Royal a fait paraître dans son bulletin de promotion, en mai 1992 :

«Suite aux nombreuses questions qui me sont posées quotidiennement concernant mes liens de parenté avec Ségolène Royal, le nouveau ministre de l’environnement, je tiens à effectuer la mise au point suivante.

Ségolène Royal est ma nièce, fille de mon frère aîné Jacques, qui a terminé sa carrière militaire avec le grade de lieutenant-colonel dans l’artillerie de Marine.
Si je ne partage en aucune façon ses options politiques, l’esprit démocratique me contraint à les suppporter. Par contre, je ne puis admettre que, pour construire sa carrière politique, elle ait sali de façon outrageante la mémoire de son père.

Lors de la sortie de son livre «Le printemps des Grands-parents», titre très cocasse quand on saura qu’elle a été particulièrement odieuse avec mes parents (ses grands-parents), elle a accordé un certain nombre d’interviews d’où il ressortait qu’elle avait eu une enfance très dure du fait de son père, militaire rigide et borné qui la brimait.
Par contre au moment de la guerre du Golfe, dans une interview du jornal «La nouvelle République du Centre», elle disait son soutien aux soldats français, évoquant avec émotion le souvenir du départ de son père pour l’Algérie et sa mort au combat (en réalité mon frère est mort d’un cancer en 1981 !)

Autre article récent, dans le «Courrier de l’Ouest» du 2 mars 1992. Je cite : « On sait moins que son père était militaire et que, petite fille, à la maison, il lui fallait faire, contrainte et force, sa prière quotidienne».
En conséquence, je n’ai aucune relation avec cette jeune femme, résolument mythomane et j’ai honte de voir le nom de ma famille ainsi galvaudé».

Source: http://lyon.novopress.info/

29/06/2011

Sarkö-Fillon: « je t’aime, moi non plus »…

Pas besoin d’aller vous enfermer dans les salles obscures, en ce moment. Tout se joue  en « direct-live », en France. Entre Martine Aubry qui annonce sa candidature à la présidentielle 2012 en occultant les primaires du PS, Europe Ecologie qui fait pitié tant les acteurs sont pitoyables et Sarkö Ier qui normalement devrait emporter le premier prix d’interprétation au prochain festival de Cannes tellement son jeu est évident, nous sommes aux premières loges avec les médias… Quel cinoche!

FDF

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« P….., encore un an ! »

Sarkozy et Fillon jouent l’unité pour contrer le PS

Le chef de l’État s’est affiché au côté de son Premier ministre pour jouer du contraste avec la joute électorale qui s’engage au PS.

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« Nicolas Sarkozy en déplacement dans le fief de François Fillon, ce n’était pas arrivé depuis 2007. Et pour cause, les relations entre le président et son Premier ministre ont longtemps été tendues. Mais mardi matin, les deux hommes affichent une parfaire unité au cours d’un déplacement sur le thème de la sécurité alimentaire à Sablé-sur-Sarthe.

L’occasion est trop belle de parasiter l’entrée en campagne de Martine Aubry. La première secrétaire du PS annonce le matin même sa candidature à la primaire depuis sa ville de Lille. Au moment même où elle prononce son discours, Nicolas Sarkozy et François Fillon visitent un élevage de poulets jaunes de la coopérative de Loué… L’objectif : montrer que l’exécutif est au service des Français quand le PS court le risque d’étaler ses divisions pour départager Hollande, Montebourg, Valls, Royal et Aubry.

Le « sens de l’État de Fillon« 

Lâcher de poulets en dehors de leur abri, caresse d’un poussin, arrêt devant un buffet de produits locaux… l’image est soignée. Nicolas Sarkozy et François Fillon, venus en hélicoptère, se rendent dans l’exploitation dans la même voiture. Tous deux en costume gris, l’un rayé, l’autre uni, s’accordent même un très court aparté, pour mieux scénariser leur entente. « Nous sommes très fiers que la deuxième visite d’un président de la République, après le général de Gaulle, soit celle de Nicolas Sarkozy », déclare un peu plus tard le chef du gouvernement en inaugurant la table ronde sur la sécurité alimentaire qui conclut la visite.

Nicolas Sarkozy, lui, se charge de répondre par avance à ceux qui pourraient s’étonner de voir les deux hommes sur les terres de François Fillon : « Le fait qu’il soit Premier ministre et enfant de la Sarthe, ça ne doit tout de même pas m’empêcher de venir ! » lance-t-il devant 2 000 personnes, dont les quelque 1 030 producteurs de poulets de Loué, success story de la région. Et le chef de l’État de vanter le travail de son Premier ministre : « François Fillon s’est dédié depuis quatre ans au service de la France. » Tonnerre d’applaudissements dans la salle. Alors Nicolas Sarkozy en rajoute : « Ce fut toujours pour moi un grand soutien que de pouvoir compter sur le conseil et le sens de l’État de François Fillon. » Oublié, le temps où il le traitait de simple « collaborateur« …

Tacle à Martine Aubry

Nicolas Sarkozy soigne aussi son image de président au service des Français. Comme lors de sa conférence de presse à l’Élysée la veille, il vante son action en faveur « de l’intérêt général ». « C’est la spécificité du rôle de François Fillon comme du mien : coller aux préoccupations des Français. » Et la préoccupation du jour, c’est l’agriculture. Nicolas Sarkozy n’a pas assez de mots pour vanter la qualité des produits, dont les poulets Label rouge sont érigés en symbole. « Vous ne vous en sortirez que par la qualité (…) c’est encore plus important que le prix », avance-t-il, en appliquant son raisonnement à l’industrie. Pour les y aider, le président se prononce pour réserver une partie du marché de la restauration collective pour « les produits de qualité ». Une volonté déjà affichée le 15 juin dernier par Martine Aubry, lors de son déplacement chez un éleveur de l’Oise. Le chef de l’État dénonce enfin les importations incontrôlées de productions dont la traçabilité n’est pas toujours assurée. Avant d’apostropher la grande distribution : « Partagez la valeur avec les éleveurs ! »

Mais au-delà de l’agriculture, c’est l’ensemble de sa politique que le président défend. « De la sécurité alimentaire à la sécurité routière », le président trace une parallèle. Avec au passage un nouveau tacle à Martine Aubry et les 35 heures. « Le travailler moins (…) on a vu ce que ça a donné, des chômeurs en plus et des salaires en moins. » On ne saurait être plus clair, le président est en campagne sans le dire. Avec le soutien de son Premier ministre. »

Lu sur Le Point.fr

07/06/2011

Peur sur l’école…


Selon VSD, 46% des parents auraient peur d’envoyer leurs enfants à l’école. Voici un extrait de l’article :

Une succession de faits divers ultra-violents frappe le milieu scolaire. ­Policiers, enseignants et parents s’inquiètent.

Mercredi 25 mai, 8 h 40. Un élève de 15 ans est tabassé, coupé au visage et visé par un pistolet électrique devant son collège de Saint-Ouen (93). Il sera transporté dans un état critique à l’hôpital alors que la police recherche ses agresseurs. Une affaire, une de plus, survenue quelques jours après la très violente agression dont a été victime  Love, 14 ans, le 11 mai, à la sortie du collège Pablo-Picasso, à Garges-lès-Gonesse (95) (lire VSD n° 1760). Deux exemples qui s’ajoutent à la longue liste des faits d’ultra-violence en milieu scolaire. Alors que le collégien de Pablo-Picasso est toujours dans le coma, trois mineurs ont été mis en examen pour tentative d’homicide aggravé après leur arrestation. Dans ce même collège de banlieue, le principal avait déjà été sauvagement agressé, en mars 2009, en voulant s’opposer à l’intrusion d’un groupe de jeunes dans les locaux.

Tabassages collectifs entre élèves, insultes, violences contre les personnels enseignants ou des responsables d’établissement. Il n’est pas un jour sans que les synthèses de la police et de la gendarmerie mentionnent de tels faits, parfois d’une extrême gravité. Telle la mort du jeune Hakim Haddi, 18 ans, poignardé en janvier 2010 dans l’enceinte du lycée Darius-Milhaud, au Kremlin-Bicêtre (94).

Plus récemment et parmi de très nombreuses affaires, le commissariat de Laval (53) a été saisi par le parquet d’investigations sur des faits de violences répétées et même d’une agression sexuelle dont auraient été victimes des enfants de 4 à 6 ans, dans une école primaire. D’après le rapport d’enquête, ces brimades d’élèves de CM1 et de CM2 avaient lieu quasi quotidiennement dans les toilettes de l’établissement. Une dizaine d’enfants, ainsi que des parents et du personnel enseignant ont été auditionnés mi-avril par la brigade de sûreté urbaine. Un dossier hors normes, du fait de l’âge des protagonistes, mais qui n’a pu donner lieu à aucune poursuite judiciaire, la majorité pénale étant fixée en France à 13 ans.

Retrouvez sur le site « Souffrance des profs » de nombreux témoignages de professeurs confrontés à la violence.

Source: http://soseducation.wordpress.com/2011/06/06/peur-sur-lecole/