Francaisdefrance's Blog

16/02/2012

Endettement: les « motivations » de Sarkö… Sachez que « la dette » est une arme de guerre…

Un excellent billet que je soumets à votre appréciation…

FDF

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On ne résout  pas les conséquences de l’endettement par toujours  davantage d’endettement !

 Alors, la question se pose de savoir pourquoi depuis cinq années le président creuse allègrement le

 déficit de la France et des Français. Quelles sont ses motivations ?           

 JD.CATON   

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La dette une arme de guerre …

12/02/2012

Précarité, chômage, etc…

Et l’on nous assène encore des hauses de toutes part (sauf des revenus)… On nous demande ENCORE de nous serrer la ceinture… De toutes façons, nous sommes obligés de le faire.

Les « fins de mois » tombent le 10 pour les mieux nantis de la France d’en bas. Le seuil de pauvreté est si proche que l’on a honte de compter sa monnaie avant d’aller faire ses courses.

Mais ça ne concerne que la « France d’en bas »…

Ca ne durera pas longtemps…

FDF

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Questions sans réponse,     MAIS QUESTION DE CAMPAGNE PRÉSIDENTIELLE,  tout de même

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Les États-Unis = 300 millions d’habitants, n’ont besoin pour les diriger que de 435 députés et 100 sénateurs.

La France = 65 millions d’habitants, a besoin de 577 députés et 350 sénateurs pour la conduire au bord de la faillite.

L’Europe, aujourd’hui à deux doigts de l’implosion, s’est dotée de 735 députés qui se roulent les pouces et nous ruinent.

N’y a-t-il pas comme une contradiction dans ces exemples ?

Qui a décidé qu’il fallait un nombre aussi important de « politiques » pour que la démocratie fonctionne ? Et Pourquoi ?

Soit salaire d’un député net mensuel, 5 189,27 € . Ecrêtement, de telles indemnités sont actuellement ainsi plafonnées

pour un député à 2 757,34 € par mois.
La pension moyenne pour un député est actuellement, de 2 700 euros nets par mois
Pour les sénateurs :   Au 1er  février 2012 , brut mensuel de l’indemnité parlementaire s’élève à 7 100,15 €

ON COMPRENDRA MIEUX POURQUOI ILS SE BATTENT,  QUITTE à RETOURNER LEURS VESTES,  ET RACONTER DES

MENSONGES, tenir de propos en   LANGUE DE BOIS   ETC ETC ETC …..  POUR SE FAIRE  ÉLIRE  ou RÉÉLIRE

JC JC…

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http://www.senat.fr/role/senateurs_info/statut.html

L’indemnité parlementaire
Document à jour en février 2012

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Mode de calcul
L’ordonnance portant loi organique n° 58-1210 du 13 décembre 1958 relative à l’indemnité des membres du Parlement distingue trois éléments constitutifs de cette indemnité :

l’indemnité parlementaire de base, équivalente à la moyenne du traitement le plus bas (lettre A) et du traitement le plus haut (lettre G) des fonctionnaires classés dans la catégorie hors échelle (Conseillers d’Etat, Préfets, Directeurs d’administration centrale) ;
l’indemnité de résidence, également accordée à tous les agents de la fonction publique, qui représente 3 % du montant mensuel brut de l’indemnité parlementaire de base ;
enfin, l’indemnité de fonction, égale à 25 % des deux précédentes.
Au 1er  février 2012 , le montant brut mensuel de l’indemnité parlementaire s’élève à 7 100,15 € et se décompose de la façon suivante :

indemnité parlementaire de base : 5 514,68 €
indemnité de résidence : 165,44 €
indemnité de fonction : 1 420,03 €

http://www.assemblee-nationale.fr/connaissance/fiches_synthese/fiche_17.asp

Les fiches de synthèse de l’Assemblée nationale

Points-clésDate de mise à jour : Janvier 2012

Le libre exercice du mandat de parlementaire ne saurait être garanti par sa seule indépendance juridique. Facteur essentiel de la démocratisation des régimes politiques, l’indemnité parlementaire est destinée à compenser les frais inhérents à l’exercice du mandat. Elle permet à tout citoyen de pouvoir prétendre entrer au Parlement et garantit aux élus les moyens de se consacrer, en toute indépendance, aux fonctions dont ils sont investis.
Le principe de l’alignement de l’indemnité parlementaire sur la rémunération des hauts fonctionnaires a été retenu en France depuis 1938 ; ce mode d’indexation a été confirmé en 1958 (ordonnance portant loi organique n° 58-1210 du 13 décembre 1958).
Par ailleurs, la nécessaire autonomie financière du parlementaire, longtemps symbolisée par le versement de l’indemnité parlementaire, a été confortée, parallèlement au développement des moyens du pouvoir exécutif, par différentes facilités et dotations en moyens matériels individuels ou collectifs. Cette tendance traduit une professionnalisation croissante du mandat parlementaire.

I. – L’INDEMNITÉ PARLEMENTAIRE
1. Les différentes composantes de l’indemnité
L’indemnité comprend trois éléments : l’indemnité parlementaire de base, l’indemnité de résidence et l’indemnité de fonction.
L’indemnité parlementaire de base est fixée par référence au traitement des fonctionnaires occupant les emplois les plus élevés de l’État. Elle est égale à la moyenne du traitement le plus bas et du traitement le plus haut des fonctionnaires de la catégorie « hors échelle ».
En outre, les parlementaires reçoivent, par analogie avec le mode de rémunération des fonctionnaires, une indemnité de résidence. Celle-ci représente 3 % du montant brut mensuel de l’indemnité parlementaire de base.
À ces indemnités vient s’ajouter une indemnité de fonction égale au quart de leur montant.
Depuis le 1er juillet 2010, les indemnités mensuelles brutes sont les suivantes :
– Indemnité de base 5 514,68 €
– Indemnité de résidence (3 %) 165,44 €
– Indemnité de fonction (25 % du total) 1 420,03 €
Soit brut mensuel 7 100,15 €
Sur le plan fiscal, l’indemnité parlementaire de base majorée de l’indemnité de résidence, à l’exclusion de l’indemnité de fonction, est imposée suivant les règles applicables aux traitements et salaires.

2. – Les retenues sur indemnités
Il s’agit, pour l’essentiel, de prélèvements obligatoires liés aux assurances sociales.
Doivent être déduites du brut mensuel diverses retenues :
– cotisation à la caisse des pensions pendant les 15 premières années de mandat : 1 258,50 €
– contribution exceptionnelle de solidarité : 56,80 €
– contribution sociale généralisée et contribution au remboursement de la dette sociale : 568,01 €
– cotisation au fonds de garantie de ressources : 27,57 €
Soit net mensuel, 5 189,27 € .

3. – L’écrêtement des indemnités liées à l’exercice d’un mandat local
S’agissant du cumul de l’indemnité parlementaire avec des indemnités allouées au titre d’autres mandats, le principe du plafonnement général des indemnités en cas de cumul des mandats a été introduit par la loi organique n° 92-175 du 25 février 1992. Le député titulaire de mandats ou fonctions électorales locales ne peut cumuler les indemnités afférentes à ces mandats ou fonctions avec son indemnité parlementaire de base que dans la limite d’une fois et demie cette dernière. De telles indemnités sont actuellement ainsi plafonnées pour un député à 2 757,34 € par mois.

II. – LES MOYENS MATÉRIELS MIS À LA DISPOSITION DES PARLEMENTAIRES
Des moyens individuels ont été créés pour permettre aux parlementaires d’exercer leur mandat, conformément à leurs propres besoins.

1. – Les frais de mandat et de secrétariat
– Pour faire face aux diverses dépenses liées à l’exercice de leur mandat qui ne sont pas directement prises en charge ou remboursées par l’Assemblée, les députés bénéficient d’une indemnité représentative de frais de mandat dont le montant est revalorisé comme les traitements de la fonction publique. Depuis le 1er juillet 2010, le montant mensuel de cette indemnité est de 6 412 € brut.
– Les députés disposent en outre d’un crédit affecté à la rémunération de collaborateurs. Calculé en principe pour trois collaborateurs, il peut toutefois, au gré du député, être versé au profit d’un nombre de personnes variant de un à cinq. Le député a la qualité d’employeur : il recrute, licencie, fixe les conditions de travail et le salaire de son personnel.
Le crédit ouvert pour chaque député est revalorisé comme les traitements de la fonction publique. Au 1er juillet 2010, le montant mensuel du crédit est de 9 138 €.
En cas de non emploi de la totalité du crédit, la part disponible demeure acquise au budget de l’Assemblée nationale ou peut être cédée par le député à son groupe politique pour la rémunération d’employés de ce groupe.

2. – Les facilités de circulation
– Pour les déplacements sur l’ensemble du territoire national par voie ferroviaire, l’Assemblée nationale délivre à tous les députés qui en font la demande une carte nominative qui permet l’accès gratuit :
. à l’ensemble du réseau SNCF en 1ère classe ;
. aux prestations de couchage (couchettes et voitures-lits), liées aux déplacements à l’intérieur des frontières de la métropole.
– S’agissant des déplacements à Paris et dans la région parisienne, l’Assemblée dispose d’un parc d’une vingtaine de voitures avec chauffeur que les députés peuvent utiliser, dans la mesure de leur disponibilité, pour leurs déplacements liés à leur mandat parlementaire et effectués à partir du Palais-Bourbon dans Paris ou à destination des aéroports. Ces véhicules sont également employés pour les déplacements des délégations officielles et les déplacements imposés par les travaux législatifs. En outre, l’Assemblée nationale fait appel aux taxis parisiens lorsque le parc n’est pas en mesure de répondre à toutes les demandes des députés. Les frais afférents aux déplacements en taxis effectués par les députés dans Paris ou à destination des aéroports parisiens et directement nécessités par l’exercice de leur mandat parlementaire sont remboursés dans la limite d’un plafond annuel, sur présentation des justificatifs de dépenses. Enfin, sur demande du député, l’Assemblée nationale fournit une carte nominative lui donnant l’accès gratuit au réseau de transport parisien de la RATP.
– S’agissant des déplacements aériens, l’Assemblée nationale prend en charge chaque année :
. pour les députés métropolitains :
– 80 passages entre Paris et la circonscription lorsqu’elle est desservie par une ligne aérienne régulière ;
– 12 passages pour toute destination hors circonscription, en France métropolitaine.
. pour les députés d’outre-mer :
– un crédit annuel égal, pour les députés des départements d’outre-mer et de Mayotte, au coût de 26 passages en classe « club-affaires » entre Paris et la circonscription et, pour les députés d’outre-mer élus dans une collectivité du Pacifique, au coût de 16 passages en première classe entre Paris et la circonscription ;
– 8 passages pour toute destination en France métropolitaine.

3. – Les moyens de bureautique et de communication
Les parlementaires bénéficient, par ailleurs, de certains appuis matériels destinées à faciliter l’exercice de leur mandat.
a) Bureau
Chaque député dispose d’un bureau individuel dans l’enceinte du Palais Bourbon ou ses dépendances.
b) Informatique
Les députés disposent d’un droit à la formation et d’une dotation micro-informatique. Ils bénéficient d’un accès à Internet, à la messagerie électronique et à un certain nombre de bases de données juridiques et économiques.
c) Téléphone et télécopieur
Les communications, à destination de l’ensemble du réseau métropolitain et d’outre mer, des pays membres de l’Union européenne et des réseaux de mobiles, passées à partir du poste téléphonique installé dans le bureau des députés, au Palais Bourbon, sont prises en charge par l’Assemblée nationale. Les messages transmis par les télécopieurs mis à la disposition des députés sont également pris en charge.
Les députés peuvent aussi bénéficier, sur demande, d’un forfait global de communication qui permet de prendre en charge, dans la limite du forfait téléphonique parlementaire, les frais relatifs à cinq lignes téléphoniques (fixes ou mobiles) et un abonnement d’accès à Internet, ou à quatre lignes téléphoniques et deux abonnements d’accès à Internet.
d) Courrier
Les correspondances de nature parlementaire, c’est-à-dire écrites par un député pour l’accomplissement de son mandat législatif, sont affranchies aux frais de l’Assemblée nationale.
En revanche, les correspondances d’ordre privé ainsi que les correspondances présentant un caractère général ou collectif (invitations, faire-part, cartes de visites, imprimés, tracts, appels à des souscriptions, journaux) ne bénéficient pas de cet affranchissement.

4. – Les dépenses de restauration
Deux restaurants sont à la disposition des députés. L’un leur est strictement réservé, l’autre leur permet de recevoir des invités. Les prestations sont à la charge des députés.

5. – Les autres prestations
a) Les prestations familiales
Les députés peuvent percevoir des prestations familiales, celles-ci sont équivalentes à celles du régime général des salariés.
b) L’allocation d’assurance mutuelle, différentielle et dégressive de retour à l’emploi des députés
Cette allocation est un dispositif spécifique d’assurance chômage à l’instar de ce qui existe pour les salariés du secteur privé, les députés ne relevant pas, en effet, du régime des Assedic.
Ce dispositif d’allocation comporte cinq caractéristiques :
1. Cette allocation est versée aux députés non réélus à la recherche d’un emploi, ce qui exclut les fonctionnaires et tous ceux qui ont retrouvé un emploi. Les anciens députés qui ont atteint l’âge d’ouverture du droit à pension de député ne peuvent prétendre au bénéfice de cette allocation.
2. La durée de versement est limitée à 6 semestres (3 ans) au maximum.
3. L’allocation est dégressive : montant maximum égal à 100 % de l’indemnité parlementaire le 1er semestre (5.514,68 euros), puis 70 % (3.860,28 euros) le 2ème semestre, 50 % (2.757,34 euros) le 3ème semestre, 40 % (2.205,87 euros) le 4ème semestre, 30 % (1.654,40 euros) le 5ème semestre et 20 % (1.102,94 euros) le 6ème semestre.
4. L’allocation est différentielle : sont déduits de son montant tous les revenus que peut percevoir l’ancien député (mandats locaux, revenus du patrimoine, etc.).
5. L’allocation est financée uniquement par les cotisations versées chaque mois par les députés en exercice (27,57 euros) dans un fonds, le Fonds d’assurance mutuelle, différentielle et dégressive de retour à l’emploi des députés.
Sur proposition du Président de l’Assemblée nationale, le Bureau de l’Assemblée a décidé, le 6 avril 2011, que la gestion administrative, comptable et financière de ce fonds serait confiée, à compter du 1er janvier 2012, à la Caisse des dépôts et consignations.
Les demandes d’attribution de l’allocation sont donc désormais instruites par la CDC, qui assurera également le versement des allocations.
A ce jour, il n’y a plus aucun bénéficiaire de cette allocation, dont le nombre avait décru rapidement, passant d’une trentaine à l’issue des élections de juin 2007 (de juillet à décembre 2007) à deux seulement deux ans plus tard (de juillet à décembre 2009).

III. – LE RÉGIME DE SÉCURITÉ SOCIALE ET DE PENSION
1. – Sécurité sociale
Les députés sont obligatoirement affiliés au fonds de sécurité sociale de l’Assemblée nationale, régime spécial créé par le Bureau de l’Assemblée nationale en 1948 et géré par un comité de gestion composé des trois questeurs et d’un représentant de chacun des groupes politiques. Ce fonds fournit des prestations maladie et maternité en nature et attribue un capital (ou des allocations) en cas de décès.

2. – Pensions
La caisse de pensions des députés, créée par une résolution de la Chambre des députés du 23 décembre 1904, est alimentée par une cotisation prélevée sur l’indemnité parlementaire et par une subvention inscrite au budget de l’Assemblée.
La dernière réforme date du 3 novembre 2010 : le Bureau de l’Assemblée nationale a pris plusieurs décisions tendant à aligner le système des pensions sur celui de la fonction publique et à mettre fin à certaines particularités, notamment le régime des cotisations doubles.
Un dispositif facultatif de pension vieillesse complémentaire est instauré à compter de juillet 2012.
Le taux de cotisation augmente désormais chaque année pour atteindre 10,55 % en 2020.
L’âge d’ouverture du droit à pension passe progressivement de soixante ans à soixante-deux ans en 2016. La pension est calculée au prorata des annuités acquises, sans minimum de durée de mandat et dans la limite d’un plafond élevé progressivement pour atteindre quarante et une annuités en 2012 et 41,25 annuités à compter de 2013.
La pension moyenne pour un député est actuellement, de 2 700 euros nets par mois. L’âge moyen auquel les députés font liquider leur pension est de 65 ans.

05/02/2012

Triste constatation… Tous inégaux devant la précarité…

Selon que vous soyiez Français ou clandestin…
FDF
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Un homme de 56 ans est décédé sur le palier d’un immeuble de Champigny-sur-Marne et une femme de 46 ans a perdu la vie dans l’Oise.

Un sans domicile fixe (SDF) de 56 ans a été retrouvé mort, samedi, sur le palier d’un immeuble de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), un décès « probablement » dû à une hypothermie, a-t-on appris dimanche de sources policières. Il s’agit du cinquième décès lié à la vague de froid touchant actuellement la France et du deuxième sans-abri à succomber, après la mort d’une femme de 46 ans samedi à Compiègne (Oise).

Cet homme a été découvert inanimé samedi en fin de matinée sur le palier de l’escalier de secours d’une tour de Champigny. Alertés, les services de secours n’ont pu que constater son décès. « Il y a une forte probabilité que sa mort soit due à une hypothermie », a indiqué une source policière, précisant toutefois que le corps ne ferait pas l’objet d’une autopsie. « On ne peut pas établir avec certitude si c’est le froid qui l’a tué. Sa santé devait de toute manière être très fragile », a ajouté une autre source policière. Selon ces sources, cet homme avait l’habitude de contacter le Samu social ou l’association des Petits Frères des pauvres. « Il lui arrivait de disposer d’une place en hébergement d’urgence, mais il renonçait parfois à s’y rendre », a précisé l’une d’entre elles.

Depuis plusieurs jours, la France est traversée par une vague de froid intense, qui a conduit à placer dimanche 75 départements sous vigilance orange.

Source: http://www.lepoint.fr/

Et pendant ce temps…

Click here to find out more!

26/01/2012

Un homme s’est suicidé devant l’hôtel des impôts de Créteil !

Centre de rétention des CONtribuables Français…

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Là, ça devient très grave… Après ces pauvres gens (ou nouveaux pauvres) qui meurent dans la rue par faute d’une précarité à laquelle ils ne s’attendaient pas, un contribuable Français se donne la mort pour ne pas avoir à subir les effets désastreux d’une politique que l’on nous promettait salvatrice en 2007 (« Je serai le président du pouvoir d’achat »…)… Quel gâchis. Et j’ai bien peur que ce ne soit pas fini…

FDF

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Créteil: un homme se suicide devant l’hôtel des impôts

Selon les premiers éléments de l’enquête, il aurait d’abord donné au guichet une note sur laquelle était écrit « Vous voulez ma peau, vous l’avez », avant de se tirer une balle dans la tête

Nouveau drame du surendettement? Un quinquagénaire s’est suicidé d’une balle dans la tête jeudi devant le centre des impôts de Créteil. Selon les premiers éléments de l’enquête, cet homme s’est rendu vers 14H30 au guichet du centre des impôts pour y remettre un mot sur lequel était écrit: « Vous voulez ma peau, vous l’avez ». Il est ensuite ressorti du bâtiment, a sorti un revolver et s’est tiré une balle dans la tête.  

Il y avait six balles dans le revolver, a indiqué une des sources. Le périmètre a été bouclé pour les constatations médico-légales d’usage. 

Source: http://www.lexpress.fr/

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Hors sujet: @BVK; excuses moi pour ton gosse, je payerai les frais de psy… 

(-: FDF

11/12/2011

Huit millions de Français n’ont plus les moyens de se chauffer !

Et ceux-ci ne vont pas aller au Secours Catholique ni aux Restos du Coeur pour chialer comme les « nouveaux Français » qui n’y arrivent plus malgré toutes  les allocations qui leurs sont généreusement attribuées pour pouvoir nourrir leurs nichées.

C’est tout simplement une HONTE !

Au fait, le prix du gaz va augmenter de 5% en janvier…

FDF

Et en outre:

ALORS QUE NOTRE PRESIDENT  DISTRIBUE DES MILLIARDS D’€uros  à LA GRECE, A LA TURQUIE,  AU MAROC (TGV), etc etc etc etc ,  ALORS QUE CE MÊME PRESIDENT  SE PAYE DES VOYAGES  TRÈS ONÉREUX ,  ET UNE SUITE à 37000 € LA NUIT lors du sommet de  CANNES,  ALORS QUE LES DÉPUTÉS  de droite comme de gauche,  REFUSENT DE BAISSER LEURS  GRAS SALAIRES DE 10%  en ces temps de crise, QUAND « CERTAINS POLITIQUES »  perçoivent des retraites faramineuses, tandis que nos députés européens  émargent au Parlement,  parfois juste pour leur gras salaire,   et j en passe,
LA FRACTURE SOCIALE  et la PAUVRETÉ NE CESSENT  DE PROGRESSER DE FAÇON  TOTALEMENT PRÉOCCUPANTE  DANS NOTRE PAYS .

JC JC

Il n’y a rien d’étonnant à ce que plus de 80%  des français fassent  preuve d’une grande défiance à l’égard de  leurs politiques.


La Fondation abbé Pierre lance aujourd’hui une campagne de sensibilisation au problème de la précarité énergétique. Aujourd’hui, 8 millions de Français n’ont pas suffisamment les moyens de chauffer leur logement.

Spectaculaire lancement, jeudi, à Paris, de la campagne hivernale de la Fondation Abbé-Pierre : deux militants ont passé toute la journée dans un appartement de trois mètres sur quatre, avec des trous béants à la place des fenêtres, reconstitué devant la fontaine des Innocents. Leur but ? Sensibiliser l’opinion à la précarité énergétique dont souffrent 8 millions de personnes, dans 3,7 millions de logements qualifiés de « passoires énergétiques ».

La Fondation abbé Pierre lance aujourd'hui une campagne de sensibilisation au problème de la précarité énergétique. Aujourd’hui, 8 millions de Français n'ont pas suffisamment les moyens de chauffer leur logement.

La Fondation abbé Pierre lance aujourd’hui une campagne de sensibilisation au problème de la précarité énergétique. Aujourd’hui, 8 millions de Français n’ont pas suffisamment les moyens de chauffer leur logement.

Un chiffre qui fait froid dans le dos. Près de huit millions de personnes en France n’ont pas les moyens de chauffer leur logement. La Fondation Abbé Pierre veut frapper fort pour le lancement de sa campagne d’hiver. En dressant ce nouveau bilan de «précarité énergétique», la Fondation diffuse un peu partout en France des affiches où l’on peut voir notamment deux personnes âgées dans leur appartement aux murs défraîchis, enroulées sous une couverture ou encore une femme avec son fils dans un lit, qui ont froid.

Avec dessous, ce message : «Ils s’aiment mais ce n’est pas ce qui les rapproche. Huit millions de personnes souffrent du froid parce qu’elles n’ont pas les moyens de chauffer leur logement. Agissons!».

En menant cette nouvelle campagne de sensibilisation, la Fondation Abbé Pierre veut surtout interpeller les pouvoirs publics sur la création d’un «bouclier énergétique», capable d’assurer à tous «une capacité minimum à se chauffer»
«En France, aujourd’hui, 3,8 millions de ménages souffrent de précarité énergétique, soit un ménage sur six, soit 8 millions de personnes. Ce sont des gens qui ne peuvent se chauffer et s’éclairer normalement, et parfois qui ne peuvent pas se chauffer du tout», détaille Emmaüs dans un communiqué.

Un million de propriétaires occupants aussi concernés

Parmi ces précaires «énergétiques», il y a même des ménages modestes qui vivent dans des maisons individuelles. Parmi eux, «plus d’un million de propriétaires occupants sont aussi concernés par cette forme de précarité», rapporte encore la fondation sur le mal-logement.

Si le phénomène n’est pas nouveau, la précarité énergétique, elle, explose depuis maintenant quelques années. En cause, une inflation des loyers «de près de 50 % en 10 ans», ainsi qu’une «hausse dramatique des charges de gaz, d’électricité ou de fuel».
Mêmes les mesures actuelles (tarifs sociaux, aide aux impayés…) ne suffisent plus. «Elles n’allègent qu’une partie du public concerné et ne compensent pas les diverses augmentations subies par les familles les plus modestes», plaide la Fondation Abbé Pierre.

Le gouvernement avait révélé au printemps dernier que 800 000 ménages sont éligibles au tarif social du gaz mais que seulement 300 000 en bénéficient réellement.

Quant aux litiges sur les factures énergétiques, le nombre de dossiers traités par le médiateur de l’énergie a explosé en 2011.

Source: http://www.leparisien.fr/

09/11/2011

La « dette publique »…

On en entend tous parler mais combien d’entre nous savent ce que c’est exactement? Tout ce qu’on en retient pour l’instant est ce fameux plan d’austérité qui va conduire certains d’entre nous directement à la précarité. C’est comme l’article 123 du Traité de Lisbonne…


Au fait, on nous avait consultés par référendum (pour une fois) sur l’approbation de la création d’une constitution européenne en 2005? Et nous avions répondu ainsi:

Mais nos « hautes instances » n’avaient pas tenu compte de l’avis du peuple en ratifiant deux ans après le Traité de Lisbonne… Voir: http://tinyurl.com/38v4hc

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Explication en vidéo…

FDF

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http://youtu.be/P8fDLyXXUxM

15/06/2011

L’Apocalypse !

Une blague, pour changer. Je la trouve pas mal…

FDF

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Dieu en a ras le bol de l’humanité, de ses péchés, de ses vanités et des politiciens. Il décide de mettre fin à l’expérience. Il réunit tous les chefs d’états et leur annonce qu’il détruira la race humaine dans 24 heures. – Je vous laisse le soin de l’annoncer vous-même à vos peuples respectifs !

Le premier à parler est Barack Obama : – Peuple bien-aimé, j’ai une bonne nouvelle et une mauvaise nouvelle pour vous. La bonne est que Dieu existe. Il m’a parlé. Mais nous le savions déjà. La mauvaise nouvelle, c’est que cette grande nation, notre grand rêve n’existera plus dans 24 heures. Ceci est la volonté de Dieu…

Fidel Castro a réuni tous les Cubains et dit : – Compatriotes, peuple cubain, j’ai deux mauvaises nouvelles. La première est que Dieu existe, il s’est adressé à moi. Oui, je l’ai vu. La mauvaise nouvelle c’ est que cette merveilleuse révolution pour laquelle nous nous sommes battus sera finie. C’est la volonté de Dieu.

Nicolas Sarközy intervient au 20h de TF1 : – Aujourd’hui est un jour très spécial pour nous tous. Pourquoi ? Je vais vous le dire. J’ai deux bonnes nouvelles à vous annoncer. La première est que je suis le messager choisi de Dieu, car il m’a parlé en personne. La seconde bonne nouvelle, c’est que dans moins de 24 heures, oui vous avez bien entendu, dans moins de 24 heures, le problème du chômage sera résolu, la crise financière sera résolue, il n’y aura plus de licenciements, plus de reconduites aux frontières, plus de bouclier fiscal, ni de parachutes dorés, plus de népotisme, plus de précarité, plus de pauvreté… Je dis ce que je fais et je fais ce que je dis. Les promesses seront tenues !

08/02/2011

Samira refuse une relation sexuelle. Mohamed lui arrache les yeux…

J’ai déjà publié cette info. Je vous la soumet à nouveau; rien que pour les commentaires (voir source)… A noter que si cette affaire s’était passée dans leur pays d’origine, lui aurait été relaxé et elle peut-être condamnée à mort pour avoir enfreint la charia et les enseignements du « saint » coran…

(Sourate II, verset 228 : « Vos femmes sont pour vous un champ de labour. Allez à votre champ comme vous voudrez. »)

FDF

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Le procès en appel d’un homme accusé d’avoir énucléé son épouse en 2003 débute ce lundi, devant la cour d’Assises du Vaucluse, dans le sud de la France. L’homme avait été condamné à 30 ans de prison en première instance.

«Ce mercredi-là, je ne l’oublierai jamais, témoigne Samira, dans les colonnes du Midi Libre. Il a commencé par l’œil droit. La douleur était épouvantable, mes yeux tombaient, je ne voyais plus, je ne sentais plus mes veines, ma tête.»

La vie de cette jeune femme a basculé un jour d’été 2003. Sa relation avec son mari Mohamed, depuis six ans son époux, est consommée. Et cet après-midi-là, Samira se rend une dernière fois dans l’appartement où ils ont vécu, dans un quartier populaire de Nîmes, pour y récupérer ses affaires, raconte France-Soir.

Mohamed est présent et semble énervé. L’homme, aujourd’hui âgé de 34 ans, désire avoir une dernière relation sexuelle avec son épouse. Mais Samira s’y refuse. Puis il explose, ne supportant pas d’entendre que sa femme entretient une relation avec un autre homme. C’est alors qu’il arrache les deux yeux de sa femme, qui perd définitivement la vue.

Mohamed n’a jamais réellement pu expliquer son geste. En première instance, ses avocats avaient plaidé l’accès de folie. La défense parle, elle, d’un acte de barbarie. Elle espère donc que le procès en appel qui débute ce lundi à Avignon confirmera le verdict de la première instance, à savoir une peine de 30 ans de réclusion criminelle assortie d’une interdiction définitive du territoire français, l’accusé étant d’origine marocaine.

Source et commentaires: http://tinyurl.com/69tgh3o

T’es pas d’accord, « cousin » ?

Pas l’habitude, hein ?

 

Voilà pourquoi « ils » n’ont plus de limites dans la violence, en France. La répression est timide. Voci aussi pourquoi « ils » redoutent tant de se faire renvoyer au bled… La bande de couards que nous sommes bien obligés de parquer dans des « zones sensibles » n’ont pas assez de c……. pour aller chez eux défendre leurs « cousins ». Courageux mais pas téméraires… Ca, pour brûler nos voitures, ils se sentent fort. Mais au vu des évènements qui se passent dans leurs terres d’origine, ils font profil bas, en ce moment… Ils rasent les murs; au lieu de les tenir comme habituellement… T’es pas d’accord, « cousin » ? Wesch, wesch!

FDF

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Alger : des jeunes chômeurs tabassés…

Les forces de l’ordre ont durement malmené dimanche une centaine de chômeurs qui se sont rassemblés à partir de 11 H devant les portes du ministère du Travail pour crier leur rage contre leur marginalisation. Les policiers ont passé à tabac plusieurs manifestants venus observer pacifiquement un sit-in à Alger. Un autre chômeur originaire de la wilaya d’Ain Defla a tenté, quant à lui, de s’immoler pour exprimer sa détresse.

Une fois encore, la répression policière a frappé à Alger. Des chômeurs sont venus des quatre coins du pays pour manifester pacifiquement devant le ministère du Travail. Ils ont tenu à organiser un sit-in pour dénoncer leur précarité et le manque d’implication des pouvoirs publics dans la création de l’emploi.

Mais à cette initiative pacifique, les forces de l’ordre ont opposé un traitement policier des plus sévères. Deux jeunes ont été blessés et plusieurs autres se sont évanouis par terre, confient à elwatan.com Tahar Belabbes, coordinateur au comité national de défense des droits des chômeurs. « Nous sommes venus pour dire Barakat El-Hogra et ils nous ont répondu par des bâtons sur la tête ! », s’indigne notre interlocuteur.

Selon plusieurs témoignages des jeunes chômeurs présents lors de ce rassemblement, les policiers ont continué pendant au moins une demi-heure à tenter de disperser les manifestants. Ces derniers ont résisté jusqu’à ce que des représentants de la presse nationale arrivent sur les lieux.

A ce moment-là, les autorités donnent leur accord pour accueillir au ministère du Travail deux représentants des chômeurs afin qu’ils présentent leurs revendications. « Nous avons rencontré des cadres du ministère qui ont reconnu que nos exigences sont légitimes. Nous voulons du travail et de la dignité. Nous réclamons l’arrêt des licenciements abusifs et des mauvais traitements auxquels sont confrontés les chômeurs Algériens », déclare Tahar Belabbes.

Face à ces revendications, les représentants du ministère du travail n’ont, toutefois, fait aucune promesse. Ils se sont juste contentés de les prendre en compte pour les étudier. A signaler enfin qu’un chômeur originaire d’Ain Defla a semé la panique dans ce rassemblement lorsqu’il a tenté de s’immoler devant les policiers.

Ces derniers sont intervenus rapidement pour l’empêcher ce jeune de commettre l’irréparable après s’être aspergé d’essence. Embarqué de force dans une ambulance, le jeune chômeur infortuné, âgé d’une trentaine d’années, marié et père d’un enfant, n’a pas cessé de crier sa colère contre « la hogra »…

Lu sur: http://oumma.com/

02/11/2010

Cahors. Des logements pour les « gens du voyage »… Ben voyons…

« Gens du voyage »: http://fr.wikipedia.org/wiki/Gens_du_voyage

Et nos vrais français, ceux qui payent des impôts mais vont passer l’hiver dans la précarité la plus extrême, on les aide comment?

C’est quoi ce boxon ?
Nous avons assez de pauvres en France (bien français ceux là) qui méritent beaucoup plus les aides sociales :
-Jeunes en chômage
-Retraités avec pensions de tiers monde
-Filles mères n’arrivant pas à joindre les deux bouts
-Plus de cinquante ans licenciés,sans travail.
-Certainement bien d’autres que j’oublie.
Mais pas des gens qui viennent en France pour s’accrocher comme une tique sur un chien en refusant de s’intégrer ;mais voulant tous les privilèges…(CAF,allocs, médecine gratuite etc…)
Et tout cela pris sur des impôts qui seraient mieux utilisés ailleurs.
Marre d’être pris pour des c*

FDF (sur un tuyau de Zenri…).

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À l'aire de Port Saint-Mary, les familles sédentarisées sont sur le qui-vive à la moindre alerte météo./Photo DDM, archives.
À l’aire de Port Saint-Mary, les familles sédentarisées sont sur le qui-vive à la moindre alerte météo./Photo DDM, archives.

L’évacuation en urgence des familles de l’aire de Saint-Mary lors de la crue du Lot en 2003 a déclenché, après maintes tergiversations, un plan de construction de nouveaux logements sur le site de Cap Nau.

L’aire de Port Saint-Mary, durant les périodes de pluie, fait toujours craindre le pire aux gens du voyage.

Ces familles et leurs enfants n’ont pas oublié la terrible crue de 2003 qui avait balayé leur campement, emportant les caravanes.

Depuis, même si beaucoup estiment que le site est viable, la majorité espère déménager au plus vite pour s’installer sur une terre moins hostile. Le schéma départemental, qui planifie l’aménagement d’aires sécurisées pour cette frange de la population, prévoit la construction de 17 logements sur le site de Cap Nau. Mais ce déménagement annoncé s’accompagne de plusieurs conditions.

« L’office Lot Habitat, maître d’ouvrage de l’opération, a souhaité l’élaboration d’une convention permettant de définir clairement les responsabilités respectives des signataires au titre d’un bail de 55 ans », explique Geneviève Lagarde, première adjointe au maire.« Dans le souci de lutter contre des impayés de loyer, il sera demandé aux familles de solliciter des aides sociales avant l’entrée dans les lieux. La conseillère en économie sociale et familiale du Lot pourra accompagner les familles dans leurs démarches », ajoute-t-elle. Ces logements devraient accueillir leurs locataires dans le courant de l’année 2011. La convention, qui doit déterminer les droits et devoirs de chacun fera l’objet de plusieurs réunions in situ. Le projet est désormais bien ficelé, mais sa concrétisation en est encore à ses balbutiements.


Un projet avorté puis relancé

La genèse de ce projet remonte à l’année 2004. Mais il a fallu six longues années, six ans d’hésitation politique et de revirements pour finalement entériner la décision de construire ces logements très à Cap Nau. Par délibération du 23 septembre 2004, le conseil municipal de Cahors actait le projet sommaire d’aménagement de l’aire de Cap Nau et autorisait les acquisitions foncières nécessaires à l’opération et approuvait le partenariat avec Lot Habitat.

En août 2007, coup de théâtre : la municipalité informait Lot Habitat de sa décision de renoncer à la réalisation de ce programme. En 2010, la nouvelle municipalité réactivait de projet et le conseil municipal a approuvé son intérêt général relatif à la sédentarisation des gens du voyage. Dans le même temps, la révision simplifiée du PLU (Plan local d’urbanisme) était adoptée par le conseil municipal de Cahors.


Le chiffre : 55

La commune met à la disposition de Lot Habitat un foncier viabilisé destiné à la construction des nouveaux logements. Lot Habitat est gestionnaire de cet ensemble au titre d’un bail de 55 ans.

« La commission se réunira au moins deux fois par an pour faire le point sur le fonctionnement de cette résidence et suivre son évolution sociale et technique ».

Source: http://tinyurl.com/2vxbpam