Francaisdefrance's Blog

04/12/2011

Austérité…

Français, l’heure est aux restrictions !!!

FDF

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Content, Fredo ?

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Le site du ministère de la Culture vient d’ être refait à neuf, pour la modique somme de 530 000 euros, à la charge des contribuables français.

ministere de la culture site Le site du ministère de la Culture a coûté 530 000 euros

Le ministère de la Culture vient de mettre en ligne son nouveau site internet qui a coûté la bagatelle de 529 065 euros.

C’est la société SILICOMP AQL (devenue IT & L@bs), filiale d’ Orange, qui a osé facturer 530 000 euros au ministère de la Culture pour un site internet.

Selon Orange, 530 000 euros pour un site internet, ce n’est pas « une grosse affaire« . Ben voyons…

Selon le webmaster d’ un site d’e-commerce réputé, le coût du site du ministère de la Culture facturé par la filiale d’ Orange est 10 fois trop cher, estimant le coût d’un tel site « entre 50 000 et 100 000 euros et encore, je suis gentil« . Selon ce webmaster, rien ne justifie le coût démesuré du nouveau site internet du ministère de la Culture, qui ne bénéficie d’aucune fonctionnalité élaborée ni de technologie innovante.

Le gouvernement demande de nouveaux efforts de la part des français, mais dans le même temps, dilapide l’ argent public en dépensant 530 000 euros pour le site internet du ministère de la Culture…

Source: http://www.impots-economie.com/

09/11/2011

Et si on en reparlait, du plan d’austérité ?

Je pense qu’un simple reportage suffira. Ne vous demandez plus pourquoi les places sont tant convoitées. Et puis, tout cela ne nous regarde pas. Ces gens travaillent pour notre bien-être, non ?

Voir (ou revoir) ci dessous.

FDF

« Serrons nous serrez vous la ceinture, merci »

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http://tinyurl.com/69ltwwq

L’ application d’un plan d’austérité drastique demandé auprès des pays membres de l’union pour résoudre la crise financière, devrait en premier lieu,  ( pour respecter un minimum de justice et  d’exemplarité ), être appliqué  par les dirigeants européens eux-même!!!… Nous pourrons constater,  en visionnant cette vidéo, que nous pouvons  et pour longtemps, nous gratter encore, Sauf si nous mettons tout ce joli monde de morpions dehors !!!…

La « dette publique »…

On en entend tous parler mais combien d’entre nous savent ce que c’est exactement? Tout ce qu’on en retient pour l’instant est ce fameux plan d’austérité qui va conduire certains d’entre nous directement à la précarité. C’est comme l’article 123 du Traité de Lisbonne…


Au fait, on nous avait consultés par référendum (pour une fois) sur l’approbation de la création d’une constitution européenne en 2005? Et nous avions répondu ainsi:

Mais nos « hautes instances » n’avaient pas tenu compte de l’avis du peuple en ratifiant deux ans après le Traité de Lisbonne… Voir: http://tinyurl.com/38v4hc

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Explication en vidéo…

FDF

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http://youtu.be/P8fDLyXXUxM

08/11/2011

Honteux ! G20: la nuit à 37 000 € de Sarkozy !

Le plan d’austérité commence bien ! Français: travaillez plus pour qu’il gagne plus ! « Je serai le président du pouvoir d’achat », qu’il promettait, le roi du monde !

Cela devient cynique; et outrageant.


FDF

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En pleine crise économique, et alors que le gouvernement racle les fonds de tiroirs à la recherche des milliards manquants, le prix de la nuit d’hôtel de Nicolas Sarkozy à Cannes, la semaine dernière pour le sommet du G20, frise la provocation.

En dépensant un peu plus de 37 000 € pour une nuit dans une suite de l’hôtel Majestic de Cannes, le Président français se hisse sur la plus haute marche du podium des dirigeants peu regardants à la dépense. Il devance Barack Obama et Silvio Berlusconi, hébergés au Carlton voisin, pour respectivement 35 000 € et 29 000 € la suite. Le président chinois Hu Jintao, objet de toutes les attentions, a payé trois fois moins cher sa chambre au Gray d’Albion, soit 11 600 €. Sans pour autant dormir dans un Formule1, le Premier ministre anglais David Cameron peut s’enorgueillir d’avoir été le plus économe des dirigeants présents à Cannes. Il n’aura déboursé « que » 1950€ pour une nuit au Marriott. C’est toujours 300 € de plus que le salaire mensuel médian en France. On est loin de la « République irréprochable » du candidat Sarkozy en 2007. Il ne suffira pas de geler le salaire du Président et des ministres pour y parvenir.

Source: http://www.ladepeche.fr/

07/11/2011

Ca y est! Nous sommes le « fameux lundi »… Sortez vos mouchoirs !

Bonjour. Non, pas bonjour car ça n’en sera pas un… Fillon va nous annoncer à quelle sauce nous allons être mangés afin de sauver l’Europe ce dont tout le monde ou presque s’en fout maintenant… Sarkö nous a dit l’autre jour qu’il avait sauvé la France, l’Europe et le monde. Quelle homme!

Son exécuteur des basses oeuvres (il n’a pas le choix) est en charge de nous apporter des nouvelles beaucoup moins « populaires » ce lundi. Bon courage, Monsieur Fillon. On sait que vous n’y êtes pour rien. Mais c’est vous qui allez prendre… La Grèce bouillonne, l’Italie fait de l’écume, la France gronde…

Mais peut on lutter contre ces affaires de gros sous ? Oui, on peut. Et, à mon avis, ça va se faire… 1789, ça vous dit?

FDF

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05/09/2011

La rigueur? Oui, mais pour les autres…

Plan de rigueur, plan d’austérité; nous allons encore resserrer nos ceintures d’un cran… Mais pas ceux qui nous imposent ces plans… Ca va durer encore longtemps? C’est incompréhensible et contre-productif à quelques mois des présidentielles de 2012. Suicide programmé ou auto-mutilation?

En tout cas, ceux qui tirent en ce moment les ficelles (et tirent beaucoup trop sur la corde) devraient prendre une baffe monumentale aux prochaines élections. Ce serait de la logique pure, vu leurs agissements. Et ils ne passeront pas pour des martyres…

FDF

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Les faits sont clairs. Après beaucoup de va et vient, le gouvernement Sarkozy-Fillon a abattu les cartes. Cela ne se passe pas sans minauderies, le mot rigueur étant encore tabou alors qu’il s’agit bien de rigueur. En résumé, le projet se traduit par un ouragan d’impôts. Saluons, au passage, les gros mensonges : la presse qualifie d’économies ce qui n’est que des impôts comme le rabotage des niches fiscales. Autre mensonge : les mesures ne casseraient pas la croissance ; c’est faux car tout impôt quel qu’il soit nuit à la croissance.

Rappelons-en quelques-uns, bien que la presse soit inondée de l’énumération.

-Taxation des complémentaires santé ; à l’intérieur de cette pure agression vis-à-vis des malades, se trouve un piège supplémentaire : les contrats jugés « non responsables » seront frappés davantage, la définition d’un contrat responsable étant parfaitement embrouillée et ridicule.

– Hausse des prélèvements sociaux sur les revenus du capital, intégration des heures supplémentaires dans le calcul des allégements de charges, relèvement du forfait social qui frappe déjà abusivement les employeurs versant à leurs employés la participation salariale, augmentation de l’impôt sur les sociétés pour les grandes entreprises.

– Hausse des prix du tabac et taxe « obésité » sur les boissons sucrées, fin des exonérations sur les plus-values immobilières au-delà de 15 ans, taxe sur les très gros revenus.

Nous arrêtons là l’énumération qui confirme que le pouvoir depuis 2007 s’est engagé dans une fiscalité galopante se traduisant en particulier par une inventivité permanente avec la création de nouveaux impôts, car il en a déjà imaginé beaucoup avant ces plus récents.

DES EXPLICATIONS QUI NE SONT PAS DES EXCUSES

Momentanément,une apparence de rigueur peut être payante sur le plan électoral, notamment sous les gros yeux de la « sondagerie », nouvelle forme de traficotage de la prétendue démocratie. C’est une première explication.

S’ajoute la panique devant les agences de notation ; cette panique est telle qu’à Bruxelles certains ont proposé sans rire de leur imposer une réglementation. Quelle étrange idée ! Jouer les Cassandre n’est pas de tout repos avec le risque bien connu de générer le malheur que l’on veut précisément éviter. Ces agences sont d’ailleurs d’une gentillesse fort suspecte ; elles viennent de noter AAA la sécurité sociale française, sous le prétexte que l’État français la garantissait en fait ! La non gestion de ce monstre qu’est la « sécu », source inépuisable de ruine pour le peuple français, est ainsi sacralisée !

Autre erreur : pour réduire les déficits, objectif louable en soi, il faudrait se contenter de taper sur le contribuable et de prendre l’argent où il est, d’où la taxation sur les hauts revenus et les entreprises. Parallèlement et principalement, se trouve comme à l’habitude le refus de tailler vigoureusement dans les dépenses.

LES « FROMAGES » DES POLITIQUES SONT EPARGNES

Un dernier aspect parfaitement essentiel se trouve, à savoir la volonté absolue de ne pas toucher aux avantages extravagants des camarades politiciens : la rigueur, oui, mais pour les autres.

Il y a, en France, un élu pour 100 habitants ce qui nous met au tout premier rang parmi les grands États. Cette surcharge en nombre est accrue d’une façon dramatique par la voracité de ce personnel politique. Ce nombre et cette voracité réunis expliquent en grande partie la panne de croissance et la paupérisation du pays, avec tous les problèmes en découlant, comme l’écroulement des retraites, le chômage, la désindustrialisation, le désastre du logement, etc.

Cette «  République Fromagère (R.F.) » dépasse largement le problème des élus ; par exemple, il y a un certain nombre d’anciens premiers ministres en circulation ; le statut de ces personnages est absolument princier et ils ne sont pas les seuls ; que dire des innombrables camarades logés bien au chaud dans des fonctions inutiles et innombrables ? N’oublions pas une pratique courante, à savoir le droit absolu d’un ministre débarqué à obtenir sa vie durant un autre fromage de la R.F à la hauteur de ses ambitions et créé parfois ex nihilo ; ce droit s’étend aux membres des cabinets quand ils sont licenciés dans la foulée.

En préservant absolument le fromage des camarades et en tapant sur le peuple, le pouvoir a perdu définitivement le peu de crédibilité qui lui restait.

Il aurait pu, au moins, se rattraper sur ce plan de cette crédibilité non seulement en arrêtant le flot des dépenses, mais en les réduisant radicalement. Il n’en n’est rien. En témoigne l’annonce récente de 230 mesures (sic) pour adapter la France au réchauffement. L’explication officielle de ce déluge se réfère à la chimère du réchauffement climatique, nouvelle religion d’État. Ce flot impétueux de mesures déclenchera dans toute l’économie l’effet de ruine habituel.

Le flot de dépenses s’écoule également par le réveil abusif de l’Union pour la Méditerranée, autre chimère ; n’oublions pas les guerres multiples menées d’ailleurs sans les procédures normales pour une déclaration d’une guerre. Également, à signaler les efforts continus pour une gouvernance économique de l’Europe qui alourdira dramatiquement l’économie française.

Dans le rappel de tous ces faits, il ne faut jamais oublier les effets pervers du déluge des lois, qui, en lui-même, est une autre cause majeure et permanente de la paupérisation du pays. Ce que la presse baptise pudiquement du nom de détricotage en désignant l’annulation de lois antérieures, est une illustration de ce phénomène avec toutes les incertitudes en résultant.

VERS UNE NOUVELLE DEGRADATION DE L’ECONOMIE

Le résultat de toute cette rigueur parfaitement abusive qui s’abat sur le peuple français ne peut être que la poursuite de la dégradation de l’économie.

Les économistes connaissent bien la seule méthode qui pourrait sortir le pays de l’ornière. Outre la destruction de l’enrichissement personnel fantastique des prédateurs publics, il faut libérer la création de richesse par les entreprises seules capables de créer cette richesse.

Le problème est que la classe politique tout entière est renfermée dans une bulle idéologique et financière. La bulle idéologique est la croyance erronée que l’État peut créer de la richesse. La bulle financière est le formidable confort financier qui en résulte pour cette classe politique.

Si le « noyau dirigeant » du gouvernement et de la prétendue opposition comprenait tout cela, ce serait la rigueur pour les politiques et la prospérité pour tous.

Au moment même où le plan est enfin officialisé, la réalité le rattrape sans tarder. 87 % des Français toutes tendances confondues pensent qu’il faut tailler dans les dépenses. Les marchés réagissent brutalement montrant le fossé croissant entre la classe politique et les autres. Le chômage se rappelle cruellement au souvenir du pouvoir, les jeunes étant particulièrement frappés.

Le « noyau dirigeant » ferait bien de regarder ce qui se passe au sud, quand les peuples se réveillent brusquement, fatigués d’être à la fois bernés et pillés par une camarilla réduite…

Michel de Poncins

31/08/2011

Nous devons chacun un peu plus de 26 000 euros à l’Etat Français !

J’ai honte. Moi qui ronchonne à chaque fois que je reçois mes impôts à payer. Je ne suis pas un « bon musulman citoyen » ! (Je mélange tout, moi… Déformation informationnelle). Je vais de ce pas (et des suivants) voir mon banquier conseiller financier pour tenter d’obtenir un prêt afin de régler ma dette à l’Etat… Pas gagné, ça… On ne prête qu’aux riches. Et puis, après avoir analysé les causeries de Fillon sur l’effort de guerre qui nous attend, j’ai remarqué que l’on n’allait pas trop embêter les riches… Salauds de pauvres !

FDF

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Les chiffres de la dette française sont sans appel : 1 646,1 milliards d’Euros !

Nous sommes (estimation INSEE) 63 136 000 français !

Donc nous devons chacun : 26 072,19 Euros !

Si on regarde bien ce n’est pas énorme, énorme, mais quand on se pose la question pour savoir en combien de temps on pourra rembourser ??? Rien ne va plus !

Pour rembourser, il faut soit un peu de marge ou bien restreindre notre façon de vivre … il reste bien entendu la baguette magique, mais on a un problème, on ne sait plus où elle est cachée !

l’Etat et la sécurité sociale en sont les principaux responsables. Les administrations publiques locales, c’est à dire les collectivités, se sont désendettées de 4,1 milliards d’euros. Leur dette représente désormais moins de 9,5% de la dette totale de la France. Ce qui bat une nouvelle fois en brèche l’argument selon lequel les élus locaux seraient les responsables du dérapage des comptes de la France. Avec 1286,5 milliards d’euros de dette à rembourser, l’Etat ne donne pas le bon exemple, loin s’en faut.

Nous dit-on !

Donc :

1286.5 + 4.1 = 1290.6 milliards d’Euros donc

1 646,1 – 1290,6 = 355,5 milliards d’euros pour la dette sociale !

Mazette, on est mal parti et pas prêts d’y arriver si on ne change pas sérieusement les règles du jeu !

Les pistes sont simples !

Comme disait un de mes amis et client : « le premier argent que l’on gagne c’est celui qu’on ne dépense pas ! »

Le gouffre de l’Etat ce sont d’abord des dépenses structurelles ! Cette jolie expression décrit les fonctionnaires !

Évidemment les fonctionnaires sont une composante indispensable du fonctionnement de l’Etat ! Mais pourquoi y en a-t-il autant puisque les structures régionales et locales ont repris des charges et devoirs de l’Etat, les doublons devraient, en priorité, être supprimés de la charge de l’Etat donc de la nôtre !

On peut lire dans un article La décentralisation : Acte II :

Les agents fonctionnaires titulaires des services transférés sont en position de « mise à disposition provisoire » à partir de l’entrée en vigueur de la loi (1er janvier 2005). A compter de la publication des décrets de partition définitive des services transférés, ils auront un délai de 2 ans pour choisir l’intégration dans la fonction publique territoriale ou rester en position de détachement. Les agents non titulaires ne disposent pas de ce droit d’option et leur contrat est automatiquement repris par la collectivité d’accueil.

La compensation financière devrait être intégrale, les nouvelles ressources devraient correspondre aux ressources que l’Etat consacrait à l’exercice des compétences transférées. L’évaluation sera effectuée par La Commission consultative sur l’évaluation des charges (CCEC) sur la base des 3 années précédant le transfert. Elle évaluera, à l’occasion de l’examen par le Parlement de la loi de finances, l’évolution des transferts de compétences, les modalités de leur compensation ainsi que l’évolution des recettes fiscales.

Les questions des modalités de transferts des personnels de l’Etat vers les collectivités locales, ainsi que celles concernant la compensation financière des transferts de compétences sont celles qui suscitent le plus d’inquiétudes et de polémiques chez les partenaires sociaux ou les élus locaux. Les syndicats de l’Education nationale, par exemple, contestent la nécessité de procéder au transfert des personnels administratifs des lycées et collèges. De nombreux élus locaux, parmi lesquels la quasi totalité des présidents de régions, mettent en doute le caractère intégral des compensations financières annoncées.

On en est où ? Quelqu’un fait-il le point ? Est-il légitime de penser que tout n’a pas été fait et qu’il y a des doublons voire des triplons dans les charges que nous avons à subir ?

Le but n’est pas désigner des cibles, mais ça serait bien si on commençait un peu à nous rendre des comptes !

Certes le système de démocratie représentative, permet à beaucoup de dormir sur leurs 2 oreilles, mais par les temps qui courent, peut être la recherche d’optimisation devient-elle vitale ?

Allez à la prochaine !

Source: http://notrejournal.info

29/08/2011

Plan d’austérité: Fillon s’attaque à la santé des Français! Mauvais plan…

Ca, fallait pas. Les conséquences de ces décisions devraient tomber en 2012…

FDF

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Le plan d’austérité Fillon taxe la santé à hauteur de 1,2 milliard d’euros

Le chef du gouvernement vient d’annoncer un plan d’économies de 12 milliards d’euros. Alors que la presse remplit ses colonnes des taxes sur les sodas, cigarettes ou sur les plus grosses fortunes, l’annonce de la nouvelle taxe sur les mutuelles reste trop discrète.
Et pourtant. La « taxe sur les riches » rapportera 200 millions d’euros, alors que la nouvelle taxation brutale des garanties santé qui touchera l’ensemble des Français, s’élèvera à 1,2 milliards d’euros cette année et 2,2 en année pleine.
Les contrats « responsables » de complémentaire santé (qui traduisent en actes les efforts de maîtrise des dépenses de santé) voient ainsi leur taxation (qui date tout juste d’un an) passer de 3,5% à 7%.

« Cette mesure annoncée aujourd’hui par le Premier ministre est un très mauvais coup porté à l’accès aux soins quand on sait que les complémentaires financent aujourd’hui 50 % des soins de premier recours », s’insurge Etienne Caniard, président de la Mutualité Française.
« Cette mesure est d’abord d’une grande injustice sociale. Le gouvernement a délibérément choisi de faire peser sur les usagers de la santé une très grande partie de l’effort budgétaire, alors que des secteurs entiers de l’économie en sont totalement exemptés. Si nul ne conteste la nécessité de lutter contre les déficits, comment comprendre le choix de taxer les complémentaires santé, indispensables à tous les Français, y compris les moins favorisés, quand l’effort demandé aux plus hauts revenus ne sera que symbolique », poursuit Etienne Caniard.
Cette mesure est aussi incohérente : elle va conduire de nombreux Français à renoncer à avoir une couverture complémentaire alors que le gouvernement ne cesse de solliciter les mutuelles pour compenser les reculs de la Sécurité sociale.
Enfin, cette mesure sera inefficace à terme car elle va à l’encontre des ambitions affichées par ce même gouvernement d’une meilleure organisation du système de santé. La taxation quasi uniforme des garanties complémentaire santé ne permettra plus de valoriser les contrats solidaires et responsables, accentuant ainsi la dérégulation et l’exclusion par la sélection des risques.

Dans ce même discours, François Fillon a annoncé que la réforme de la dépendance, qui devait être lancée le mois prochain, est une nouvelle fois reportée. « Traiter ce dossier dans le contexte économique et financier que nous connaissons aujourd’hui, dans l’urgence, ne serait pas responsable », a estimé M. Fillon. « L’adaptation de notre modèle social, c’est une nécessité de long terme (…), il nous faudra trouver des ressources adaptées, nous devons y travailler encore d’ici le début de l’année 2012 avec tous les acteurs de ce secteur », a-t-il ajouté. 2012 étant année électorale, on peut penser que la réforme est repoussée aux calendes grecques…

Toutes les mesures annoncées :
www.gouvernement.fr/

La réaction de la Mutualité française :
www.mutualite.fr

Source: http://www.viva.presse.fr/

25/08/2011

Le Président de la dette.

« Président de la dette »… Pas mal vu pour celui qui avait promis d’être le président du pouvoir d’achat. 2012, vite !

FDF

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Allez! Bon courage, le peuple !!!

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Plan d’austérité Sarkozy : le Président de la dette fait payer aux Français sa gestion calamiteuse de la crise

Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National :

Les mesures d’austérité annoncées aujourd’hui sont l’aveu de l’un des plus graves échecs du mandat Sarkozy, l’explosion de la dette. Depuis 2007, la dette publique de la France a déjà augmenté de près de 500 milliards d’euros ! Avec Nicolas Sarkozy il n’y a pas de règle d’or, mais des années de plomb, celles de la sous-croissance et de la dette.

Dans la précipitation, pour complaire aux marchés, le gouvernement annonce des mesures qui accableront les Français à qui on ne cesse déjà de demander des sacrifices : les classes moyennes. La hausse des prix de certains produits de grande consommation est particulièrement mal venue.

Cette nouvelle charge contre les classes moyennes est d’autant plus révoltante et inutile qu’en septembre le parlement, élus UMP et PS réunis, votera un nouveau plan de renflouement de la Grèce qui alourdira notre dette publique de 15 milliards d’euros supplémentaires ! Pour aucun résultat, comme les plans précédents.

Le gouvernement Sarkozy confirme aussi qu’il n’est bon qu’à défaire ce qu’il a fait lui-même : c’est au tour de la défiscalisation des heures supplémentaires d’être remise en cause.
Quant à la dérisoire contribution sur certains hauts revenus, elle n’est qu’un artifice de communication de plus : comme jamais, la France est sous Nicolas Sarkozy un paradis fiscal pour les amis du pouvoir, ultra-riches et grandes entreprises du CAC 40.

Le plan du gouvernement est de toute façon voué à l’échec parce qu’il se fonde sur une hypothèse de croissance farfelue, 1,75% en 2011, alors que nombre d’observateurs annoncent une croissance nulle. Comme d’habitude le pouvoir joue la méthode Coué, c’est irresponsable.

Marine Le Pen, Présidente du Front National, demande qu’on s’attaque enfin sérieusement à la dette sans pénaliser les Français.
Il y a deux décisions à prendre immédiatement pour retrouver l’équilibre budgétaire dès 2013 :
– Annuler le vote en septembre du plan de renflouement de la Grèce, victime de la monnaie unique, qui alourdira notre dette de 15 milliards d’euros. Il est fou de dilapider ainsi l’argent des Français et de leur imposer dans le même temps la rigueur ;
– Voter un plan d’élimination de la mauvaise dépense publique, en ciblant prioritairement le coût de l’immigration, la fraude sociale, les dérives de la décentralisation et l’argent versé aux très grandes entreprises sous forme de niche fiscale, comme la niche Copé.

Source: http://www.frontnational.com/

24/08/2011

Immigration, bling bling et plan d’austérité…

Le coût de l’immigration en France; vaste problème. Mais qui ne va pas en se résorbant.

Sarkö  (Fillon, plutôt, exécuteur des basses oeuvres..) va nous présenter ce mercredi un énième plan de finances pour essayer de sauver les meubles. Vous, moi, les vrais Français, allons morfler. En revanche, dans ce plan, on n’évoque pas le coût effarant de l’immigration. Et le peuple aimerait qu’on lui explique… 2012, c’est demain…

Ce plan de finances est un plan d’austérité; pas pour tout le monde… Ne nous laissons pas leurrer encore une fois. 

FDF

« Air Sarkö One »: 176 millions d’euros

Voir: http://tinyurl.com/242zywz

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Un argumentaire de choix: Mail galaxie._._._._._.ch