« Sadia avait 20 ans, elle croquait la vie à pleines dents et était pleine d’ambition, elle était comme toutes les jeunes filles de son âge, elle vivait à l’occidentale sans pour autant avoir abandonné sa culture. Face à un mari qu’on voulait lui imposer, elle prit son courage à deux mains et quitta le domicile familial. Sadia vivait sa vie comme elle l’entendait même si la séparation familiale était douloureuse. C’est d’ailleurs pour cela que après énormément d’insistance de la part de ceux-ci, elle retournait leur rendre de petites visites. Mais hélas alors qu’elle s’attendait à un bon repas familial le 22/10/2007 c’est face à l’arme de son frère qu’elle se trouva. Sadia, forte et courageuse s’est alors battue jusqu’au 24/10/2007, jour où elle est décédée… »
Même dans les tribunaux, « ils » faut qu’ils répandent leur haine. Rassurons-nous, si l’on peut dire, en France, c’est pareil…
Des « Allah Akbar« , on en entend trop souvent, dans les salles d’audience.
FDF
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QUI EST CE QUI FAIT TOUJOURS CHIER LE MONDE ????? EH BIEN TOUJOURS LES MÊMES !!!!!!!!!!
Les menaces et la violence meurtrière de la religion d’amour de paix et de tolérance
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UN CRIME DIT D’HONNEUR ET POURTANT CES GENS OU LEURS AMIS MENACENT QUAND MÊME LES AUTORITES !
Selon la police, il s’agit d’une mesure de « précaution » à la suite d’un nombre important de menaces parvenues aux autorités
L’avocat général a requis la perpétuité pour les parents et le frère de Sadia Sheikh et une peine entre 20 et 30 ans pour Sariya, la soeur cadette
Selon la police, il s’agit d’une mesure de « précaution » à la suite d’un nombre important de menaces parvenues aux autorités
Le taux de vigilance a été accru et le service d’ordre a profité d’une interruption d’audience pour fouiller la salle. Le procès des assassins de Sadia Sheikh devrait reprendre à 14H15.
La cour d’assises de Mons a poursuivit ce lundi le procès à charge de quatre parents de Sadia Sheikh. En matinée, le parquet général a requis la perpétuité pour les parents et le frère de Sadia Sheikh et une peine entre 20 et 30 ans pour Sariya, la soeur cadette. Les plaidoiries sur les peines ont débuté avant une interruption d’audience, vers 11H.
C’est à ce moment que la salle a été évacuée. Une cinquantaine de personnes ont été priées de rejoindre le couloir adjacent à la salle de la cour d’assises. Les journalistes présents dans la salle ont dû sortir, laissant leur matériel sur les lieux.
Dans la matinée, une nouvelle menace est parvenue au palais de justice de Charleroi. L’auteur a fait état du « respect des coutumes« , selon la RTBF.
Une fouille a été ordonnée mais le palais de justice de Charleroi n’a pas été évacué. Cette menace a, semble-t-il, été prise au sérieux à Mons où le service d’ordre a décidé, à quelques heures de l’arrêt, d’accroître le taux de vigilance.
L’avocat général a requis la perpétuité pour les parents et le frère de Sadia Sheikh et une peine entre 20 et 30 ans pour Sariya, la soeur cadette
La cour d’assises du Hainaut a reconnu les quatre membres de la famille Sheikh coupables d’assassinat avec la circonstance aggravante qu’il a un motif discriminatoire. Le père et le frère sont également reconnus coupables de tentative de mariage forcé.
Après avoir rappelé que les accusés pourraient éventuellement prétendre à une libération conditionnelle au tiers de leur peine, l’avocat général Alain Lescrenier a souligné à l’intention des jurés que leur rôle n’était ni le pardon, ni la pitié mais la justice.
« Un père et une mère qui n’ont pas hésité, pour un motif d’honneur, à faire exécuter leur fille qui refusait de se plier à leur volonté. Un frère, Mudusar, un bourreau qui a exécuté froidement sa soeur sans même qu’elle ait eu le temps de réagir. Un traître, un espion, qui l’a houspillée pendant des mois et qui décidé de la mort de sa soeur au sein du conseil familial. Ce sont des actes odieux qui ne peuvent bénéficier d’aucune circonstance atténuante », a-t-il asséné.
A Sariya, l’avocat général a reconnu une circonstance atténuante, son immaturité, et le fait qu’à 18 ans -son âge au moment du crime- elle était soumise à l’autorité familiale. L’avocat général a requis une peine moins lourde, 20 à 30 ans de réclusion.
Alain Lescrenier a souligné que la famille a poussé l’infamie jusqu’à faire enterrer Sadia, dans un cimetière au Pakistan, sur la parcelle de Abbas, ce cousin auquel elle a été mariée virtuellement, lui refusant jusqu’au bout le droit à la liberté qu’elle réclamait.
Source: http://www.lalibre.be/