Francaisdefrance's Blog

13/12/2011

Procès Sadia : la cour d’assises évacuée par précaution face aux menaces…

« Sadia avait 20 ans, elle croquait la vie à pleines dents et était pleine d’ambition, elle était comme toutes les jeunes filles de son âge, elle vivait à l’occidentale sans pour autant avoir abandonné sa culture. Face à un mari qu’on voulait lui imposer, elle prit son courage à deux mains et quitta le domicile familial. Sadia vivait sa vie comme elle l’entendait même si la séparation familiale était douloureuse. C’est d’ailleurs pour cela que après énormément d’insistance de la part de ceux-ci, elle retournait leur rendre de petites visites. Mais hélas alors qu’elle s’attendait à un bon repas familial le 22/10/2007 c’est face à l’arme de son frère qu’elle se trouva. Sadia, forte et courageuse s’est alors battue jusqu’au 24/10/2007, jour où elle est décédée… »

Même dans les tribunaux, « ils » faut qu’ils répandent leur haine. Rassurons-nous, si l’on peut dire, en France, c’est pareil…

Des « Allah Akbar« , on en entend trop souvent, dans les salles d’audience.

FDF

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QUI EST CE QUI FAIT TOUJOURS CHIER LE MONDE ?????     EH BIEN TOUJOURS LES MÊMES !!!!!!!!!!  
Les menaces  et  la violence meurtrière de la religion d’amour de paix et de  tolérance

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UN CRIME  DIT D’HONNEUR ET POURTANT CES GENS OU LEURS AMIS MENACENT QUAND MÊME LES AUTORITES !

Selon la police, il s’agit d’une mesure de « précaution » à la suite d’un nombre important de menaces parvenues aux autorités


L’avocat général a requis la perpétuité pour les parents et le frère de Sadia Sheikh et une peine entre 20 et 30 ans pour Sariya, la soeur cadette

Selon la police, il s’agit d’une mesure de « précaution » à la suite d’un nombre important de menaces parvenues aux autorités

Le taux de vigilance a été accru et le service d’ordre a profité d’une interruption d’audience pour fouiller la salle. Le procès des assassins de Sadia Sheikh devrait reprendre à 14H15.

La cour d’assises de Mons a poursuivit ce lundi le procès à charge de quatre parents de Sadia Sheikh. En matinée, le parquet général a requis la perpétuité pour les parents et le frère de Sadia Sheikh et une peine entre 20 et 30 ans pour Sariya, la soeur cadette. Les plaidoiries sur les peines ont débuté avant une interruption d’audience, vers 11H.

C’est à ce moment que la salle a été évacuée. Une cinquantaine de personnes ont été priées de rejoindre le couloir adjacent à la salle de la cour d’assises. Les journalistes présents dans la salle ont dû sortir, laissant leur matériel sur les lieux.

Dans la matinée, une nouvelle menace est parvenue au palais de justice de Charleroi. L’auteur a fait état du « respect des coutumes« , selon la RTBF.

Une fouille a été ordonnée mais le palais de justice de Charleroi n’a pas été évacué. Cette menace a, semble-t-il, été prise au sérieux à Mons où le service d’ordre a décidé, à quelques heures de l’arrêt, d’accroître le taux de vigilance.

L’avocat général a requis la perpétuité pour les parents et le frère de Sadia Sheikh et une peine entre 20 et 30 ans pour Sariya, la soeur cadette

La cour d’assises du Hainaut a reconnu les quatre membres de la famille Sheikh coupables d’assassinat avec la circonstance aggravante qu’il a un motif discriminatoire. Le père et le frère sont également reconnus coupables de tentative de mariage forcé.

Après avoir rappelé que les accusés pourraient éventuellement prétendre à une libération conditionnelle au tiers de leur peine, l’avocat général Alain Lescrenier a souligné à l’intention des jurés que leur rôle n’était ni le pardon, ni la pitié mais la justice.

« Un père et une mère qui n’ont pas hésité, pour un motif d’honneur, à faire exécuter leur fille qui refusait de se plier à leur volonté. Un frère, Mudusar, un bourreau qui a exécuté froidement sa soeur sans même qu’elle ait eu le temps de réagir. Un traître, un espion, qui l’a houspillée pendant des mois et qui décidé de la mort de sa soeur au sein du conseil familial. Ce sont des actes odieux qui ne peuvent bénéficier d’aucune circonstance atténuante », a-t-il asséné.

A Sariya, l’avocat général a reconnu une circonstance atténuante, son immaturité, et le fait qu’à 18 ans -son âge au moment du crime- elle était soumise à l’autorité familiale. L’avocat général a requis une peine moins lourde, 20 à 30 ans de réclusion.

Alain Lescrenier a souligné que la famille a poussé l’infamie jusqu’à faire enterrer Sadia, dans un cimetière au Pakistan, sur la parcelle de Abbas, ce cousin auquel elle a été mariée virtuellement, lui refusant jusqu’au bout le droit à la liberté qu’elle réclamait.

Source: http://www.lalibre.be/

24/11/2011

Mohamed Bouhalfaya: déjà condamné pour viol, il est jugé pour meurtre…

On n’a pas su l’aider à s’intégrer. Honte sur nous!

Encore une « chance pour la France » qui aurait pu relever le niveau de notre patrie intolérante…

FDF

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Photo d'archives et d'illustrationPhoto d’archives et d’illustration

Mohamed Bouhalfaya, 36 ans, doit comparaître ce matin devant les assises du Bas-Rhin pour le meurtre de sa petite amie en 2008. Il avait déjà purgé une peine de prison pour viol.

Toute la famille de Monique Tarteret sera ce matin dans la salle d’audience de la cour d’assises de Strasbourg. Ses parents, bien sûr, son frère et ses sœurs, son beau-frère et aussi ses proches. Ils ont promis de ne pas lâcher du regard l’homme qui sera dans le box, Mohamed Bouhalfaya, 36 ans, accusé du meurtre de sa petite amie.

Le corps sans vie et partiellement brûlé de Monique Tarteret, 32 ans, a été découvert le 2 novembre 2008, sous un pont longeant la Bruche, dans le quartier de la Montagne Verte à Strasbourg. La victime a succombé à un étranglement.

C’est une apprentie pâtissière de 19 ans qui a découvert le corps mutilé de Monique Tarteret, le lendemain, en se rendant à son travail.

Un viol en 2000

L’enquête de police a permis d’identifier rapidement le meurtrier présumé. Il a été confondu par son ADN.

Mohamed Bouhalfaya habitait le même immeuble que sa victime. Il connaissait bien ses parents qui le recevaient « comme un fils » se souvient Christian Tarteret, le père de Monique.

Bouhalfaya n’est pas un inconnu pour la justice. En mars 2003, il a été condamné à dix ans de prison  (FDF: 2003-2011, ça fait 8 ans, pas 10… ) par la cour d’assises de Seine-et-Marne pour viol et extorsion. Il avait obligé sa victime à lui remettre une forte somme d’argent. Après avoir purgé sa peine, Bouhalfaya s’est installé à Strasbourg, il a vécu de petits boulots et avait sympathisé avec la famille Tarteret qui l’invitait parfois à sa table.

Mohamed Bouhalfaya qui aurait agi par jalousie, nie les faits qui lui sont reprochés. Il sera défendu par M e Guy Bénichou. Il risque la perpétuité.

Source: http://www.fdesouche.com/

04/11/2011

Il y a 7 ans, Theo Van Gogh était assassiné au nom du coran !

Triste anniversaire… C’est ce genre de crimes que les intégristes de la « religion d’amour », de paix et de tolérance doivent payer !!! Pardon; pas que ceux là; tous ! Regrettable que la peine de mort ne soit pas en vigueur aux Pays-Bas… Ce fou d’Allah ( un « bienfait de l’immigration »), Mohammed Bouyeri, n’a pris QUE la perpétuité…


Le film qui a coûté la vie à Thé Van Gogh: http://tinyurl.com/3eocmos

FDF

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Mohammed Bouyeri/Theo Van Gogh


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Le 2 novembre 2004 à Amsterdam, le réalisateur néerlandais Theo Van Gogh est assassiné dans la rue par l’immigré marocain Mohammed Bouyeri. Bouyeri blesse Van Gogh avec une arme à feu, puis l’achève en tirant de nouveau. Au total, huit balles atteignent le réalisateur. Le Marocain l’égorge, le décapitant presque. Puis, il lui plante deux couteaux dans la poitrine.

Au cours de son procès, Bouyeri se dit prêt à recommencer, puisque, selon le Coran, tout bon musulman a le devoir de combattre les ennemis de l’Islam.

Le crime de Theo Van Gogh ? Avoir réalisé deux mois plus tôt, avec Ayaan Hirsi Ali, un court-métrage (vidéo ci-dessous) intitulé « Soumission » sur la situation de la femme en terre d’Islam.

Photo : L’annonce de la mort de Theo Van Gogh dans le journal De Telegraaf . Crédit : Denkbeeldhouwer. Licence CC.

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