Francaisdefrance's Blog

20/03/2012

Passage à tabac pour non-respect du ramadan à Lyon: prison ferme pour les « justiciers » d’Allah !

Et pan dans la tronche, les fanas de l’idéologie d’amour, de paix et de tolérance! J’espère qu’en prison on leur servira du non-halal sans leur dire; tout de suite, du moins…

FDF

.

Dessin: Dilem

.

Deux hommes de 24 et 25 ans ont été condamnés hier à des peines de cinq et trois ans de prison pour avoir passé à tabac un quadragénaire d’origine sénégalaise sous prétexte qu’il ne respectait pas le ramadan.

« Vous avez détruit la vie » d’Amarra Diarra, a lancé le substitut du procureur de la République de Lyon réclamant devant le tribunal correctionnel 6 ans de prison à l’encontre d’Idriss Zamor et Abderrezak Khakled. Tous deux étaient poursuivis pour « violences volontaires en réunion ayant entraîné une ITT de plus de 8 jours », « avec la circonstance aggravante de l’appartenance supposée à une religion ». Un troisième prévenu, mineur au moment des faits, sera jugé ultérieument.

L’après-midi du 13 août 2010 à Lyon, Amarra Diarra buvait un café à la terrasse d’un snack dans un quartier populaire de Lyon lorsqu’il a été violemment pris à parti par trois « jeunes » lui reprochant de fumer une cigarette pendant le ramadan.

Resté plusieurs semaines entre la vie et la mort, Amarra Diarra avait subi une « ablation du crâne » (?) pendant dix mois pour réduire l’hématome, « l’obligeant à porter un casque en permanence », et souffre toujours d’»importantes séquelles physiques et neurologiques ».

Source: http://www.estrepublicain.fr/

08/09/2011

Le short interdit aux filles à Alger !!!

Hummmmmmmmmmmmmmmmm

.

Et le port du voile est interdit en France. Ce n’est pas pour autant que…

Je ne sais plus si je vous l’avais déjà envoyée, celle-là… Si oui, il n’est pas inutile de se le rappeler…

Quel tas de demeurés!

Bon; en France, c’est un « motif » (circonstance atténuante devant la justice…) de viol et ils ne se privent pas, dans les « zones sensibles ». Le vol est un devoir prétexte afin de punir ces « femmes infidèles ». Et ils invoquent le coran pour se justifier…

FDF

.

 L’Inquisition est-elle de retour?

La jeune fille porte une tenue vestimentaire légère: un short court et c’est l’ire des passants…

En cette soirée du 27e jour de Ramadhan, Alger-centre est noir de monde. Chacun vaque à ses occupations, profitant des dernières soirées mouvementées de cette année. Les terrasses des cafétérias de la place Audin sont pleines à craquer. Impossible de trouver une place pour s’attabler. L’ambiance était à son comble et tout le monde semble satisfait. Mais subitement, tout a failli basculer et l’ambiance festive gâchée. Un couple de jeunes atterrit à la place Audin. Il est 23h40. La jeune fille porte une tenue vestimentaire légère: un short court.
Cette tenue a aussitôt provoqué l’ire des passants. Le couple est d’abord, chahuté, puis une meute de plus de 60 personnes s’est formée derrière lui. Le malheureux couple presse le pas. Mais mal lui en prit. La foule suit le couple et prend de l’ampleur au fil des mètres. Arrivé en face de la Fac centrale, le couple est totalement assiégé. Après avoir essuyé les insultes des mécontents de cette tenue vestimentaire, il a frôlé le passage à tabac et le lynchage. Il n’a dû son salut qu’à l’intervention rapide des policiers.
«Qu’est-ce qui se passe ici?», s’interroge un passant. «Tu ne vois pas ce qu’elle porte?», lui répond un autre. Cette foule était constituée pour la majorité, de jeunes et d’adolescents dont la moyenne d’âge ne dépassait pas la vingtaine. Aucun parmi eux ne porte une barbe ou un quelconque signe ostentatoire d’ordre religieux. Mieux, certains portaient des shorts courts comme celui de la jeune fille.
«Ils sont en train d’exprimer une frustration, car ne supportant pas de voir une fille porter une telle tenue», estime un curieux.
Entre-temps, le couple toujours assiégé a été sauvé in extremis par les agents de l’ordre.
Ces derniers ont installé le jeune homme dont l’âge ne dépasse pas 20 ans et la jeune fille, environ 17 ans, à l’intérieur du fourgon de la police, posté au niveau de la place Audin, en face du siège d’Air Algérie. Les policiers, pour la plupart en civil, ont intimé l’ordre aux «protestataires» de se disperser. Peine perdue, puisque ces derniers sont toujours aux aguets.
En premier lieu, on a donné un pantalon à la jeune fille, à l’intérieur même du fourgon. Mais le pire était à craindre. Finalement, on a dépêché un autre véhicule de la police qui a procédé à l’évacuation du couple, sifflé par la foule. Il est minuit. Le couple a été transporté au commissariat de police du 8e arrondissement, sis rue Didouche-Mourad.
Quelques minutes plus tard, un couple, certainement européen, a échangé un baiser, publiquement sans s’attirer la foudre des passants. Comme si de rien n’était. Certains mécontents, devinant la destination du couple évacué par la police, se sont déplacés sur ce commissariat, attendant la sortie du couple qui aurait trop tardé. A minuit donc, alors que le 28e jour du mois sacré venait juste de commencer, le pire a été évité de justesse à la place Audin, au coeur d’Alger.

Source: http://www.lexpressiondz.com/

01/09/2011

Délinquance: un passage à tabac d’une violence inouïe à Toulouse !

La méthode ne laisse planer aucun doute sur le « genre » d’agresseur dont il s’agit… Nous nous comprendrons à demi-mots…

FDF

.


Photo d’illustration.

.

Massacré à coup de pieds, un jeune est entre la vie et la mort !

.

Un jeune homme de 22 ans est dans le coma après avoir été violemment battu, dans la nuit de mardi à mercredi, dans le quartier de Lardenne à Toulouse. Son agresseur est activement recherché.

Que s’est-il passé, vers 0 h 30, dans la nuit de mardi à mercredi, rue Miguel-Pascual, dans le quartier de Lardenne à Toulouse ? Un jeune homme de 22 ans a été retrouvé inanimé par la police. Il se trouvait entre la vie et la mort et a dû être pris en charge par le SAMU. Hier encore, il était dans le coma et n’avait pu être entendu par la police.

D’après les premières constatations, ce jeune homme a été très violemment battu à coups de poings et de pieds, en pleine rue, par un autre homme. Selon les témoins, « il avait le visage massacré ».

Des coups violents avant de disparaître

Ce sont des riverains qui, apeurés face à un tel déferlement de violence, ont donné l’alerte auprès des services de police lorsque l’altercation a dégénéré entre les deux hommes.

Le passage à tabac, qui n’aurait pas duré très longtemps, a été d’une violence inouïe de sorte que quelques coups ont suffi à l’agresseur pour laisser sa victime complètement KO avant de prendre la fuite et de disparaître. Il n’aurait utilisé contre sa victime ni couteau, ni arme de poing. Mais la seule force de ses coups, précis et répétés, a suffi à le laisser agonisant sur le bitume.

Les enquêteurs mettaient tout en œuvre, hier, pour identifier cet homme qui aurait agi seul. Toutes les hypothèses étaient explorées. Les deux protagonistes se connaissaient-ils ? Est-ce un vol de téléphone portable qui aurait mal tourné ? L’assaillant voulait-il de l’argent ? Est-ce une agression gratuite ? Est-on face à un règlement de comptes ?…. Dans cette affaire, le mobile reste à déterminer. Aucune piste n’est écartée par les enquêteurs.

À l’heure où l’agression s’est produite, les températures étaient encore agréables et des personnes se trouvaient toujours dans la rue ou à leur fenêtre dans cette petite rue truffée d’immeubles. Des témoins ont assisté à la scène. Les habitants du quartier ont été entendus.

L’état de santé du jeune homme de 22 ans était particulièrement préoccupant hier. Son pronostic vital était engagé. Une enquête a été ouverte.


Coup de feu en pleine ville

Le 27 juillet, en plein après-midi, un jeune homme de 25 ans avait été tabassé, menacé et touché à la cuisse par un coup de feu en plein centre-ville de Toulouse. Il avait été retrouvé couvert de sang et emmené à l’hôpital de Rangueil où il avait dû subir une opération chirurgicale.

Là encore, le mobile du passage à tabac était flou même si la piste du règlement de compte est désormais privilégiée.

Le service régional de la police judiciaire avait pris en charge l’enquête.

Source: http://www.ladepeche.fr/