Et si Alex avait raison?
FDF
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Voir:
http://www.youtube.com/watch?v=pN7yFxwxktI&feature-player_embedded
Et si Alex avait raison?
FDF
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Tout ça, il faut le savoir. Et c’est normal, « on » nous a propulsé dans une nouvelle guerre…
Et les inévitables ripostes et retombées, c’est pour qui?
FDF
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Alors que le bâton de commandement du « Protecteur unifié » (nouveau nom de la guerre) passe des mains du général étasunien dirigeant le Commandement Africa à celles de l’amiral étasunien dirigeant de l’Alliance atlantique, l’OTAN annonce que son objectif est de «protéger les civils et les zones peuplées de civils ». Ceci s’accomplit en lançant sur la Libye des centaines de missiles Tomahawk, dont la majorité ont une tête à l’uranium appauvri qui provoque des effets désastreux sur la santé et l’environnement (voir l’étude du professeur M. Zucchetti). Les missiles sont lancés des navires mais aussi depuis des sous-marins nucléaires : parmi lesquels trois étasuniens ( Providence , Floride et Scranton ) qui, après avoir transité par Naples , utilisent comme base le port d’Augusta (en Sicile). Ils ont à leur bord des réacteurs nucléaires, plus dangereux que ceux qui ont provoqué la catastrophe de Fukushima . Ils disposent en effet de systèmes mineurs de sécurité, sont majoritairement sujets à des accidents, et produisent une pollution radioactive dans leur fonctionnement normal. Ces réacteurs nucléaires, qui n’obtiendraient pas de licence de fonctionnement par les autorités civiles, entrent pourtant dans les ports italiens. D’autres têtes à uranium appauvri se trouvent sur les bombes Jdam, d’une tonne. Les bombardiers stratégiques B-2 Spirit, qui partent du Missouri pour attaquer Tripoli (à plus de 10.000kms de distance), en portent chacun 15 : lancées à environ 50kms de distance, les bombes planent sur les objectifs. Elles sont aussi utilisées par les bombardiers stratégiques B-1B Lancer, qui partent de Moròn en Espagne pour lancer chacun des dizaines de Jdam.
AC-130 Specter
S’y ajoutent les projectiles à uranium appauvri que les avions étasuniens A-10 Thunderbolt (Foudre) et A-130 Specter (Spectre) utilisent pour ouvrir la route aux insurgés. Le premier a un canon Avenger (Vengeur) à sept tubes rotatifs de 30mm : il tire 3.900 projectiles à la minute, soit à uranium appauvri, soit incendiaire à capacité explosive élevée [1]. Le second, la « canonnière volante », est le système d’armes aérien le plus complexe au monde : par des systèmes sophistiqués de viseur, il tire simultanément avec 6 canons, dont deux de 105 mm et un, le Vulcan (Vulcain), qui tire 6 mille projectiles à la minute [2]. L’emploi de l’uranium appauvri à but militaire offre de multiples avantages : d’une part, il évite la dépense nécessaire pour le traiter et le conserver comme déchet radioactif après qu’il ait été utilisé dans les réacteurs nucléaires ; d’autre part, il permet de construire des têtes et projectiles avec un matériau à faible coût (quelques dollars au kilo). De plus, il est très efficace pour construire des têtes et projectiles pénétrants, qui percent du ciment armé et des blindages et, en explosant à l’intérieur, développent des températures de plusieurs milliers de degrés. Et c’est justement cela qui va générer les grains de poussière radioactifs qui provoquent des tumeurs et malformations même pour les générations successives. Il n’est pas exclu que l’uranium appauvri des bombes qui sèment la mort en Libye ne provienne aussi des réacteurs de Fukushima , qui sèment la mort au Japon. Le bâton de commandement est toujours celui du «Protecteur unifié ».
http://www.ilmanifesto.it/Quotidiano-archivio/29-Marzo-2011/art20.php3 Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio. Notes de la traductrice :
[1] Il vaut la peine de voir les détails (et photos…) de sa description et historique -sommaire- de son utilisation sur : http://fr.wikipedia.org/wiki/GAU-8_Avenger
[2] Voir par exemple : http://www.avionslegendaires.net/lockheed-ac-130-spectre.php
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Et c’est bien fait pour…
FDF
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A la différence des insurrections qui se sont déroulées et se déroulent encore sur le continent africain (Tunisie, Egypte, Libye), la situation dans le Golfe persique est bien plus alarmante sur le plan international. En effet, deux grands pays s’y opposent depuis des années pour conserver ou asseoir leur influence.
D’un côté l’Arabie saoudite, où la famille Saoud est mise en difficulté, en particulier par la minorité chiite (10%) qui réclame plus de reconnaissance. Cette population est surtout présente dans la province sud-est d’Ash-Sharqiyah et en particulier dans la ville de Qatif, proches du Bahreïn. Le royaume est déjà menacé à ses frontières avec le Yémen et, dans une bien moindre mesure, avec Oman. Le cas du Bahreïn est crucial car la crédibilité de la famille régnante Al-Khalifa, qui est sunnite, est fortement ébranlée par la majorité de la population qui est chiite (70%).
Alors que le parti d’obédience chiite le plus important, le Al Wefaq, acceptait de négocier avec le pouvoir en place, ne remettant pas en cause la constitution du pays, la « Coalition pour la création d’une république » – qui regroupe depuis le début du mois de mars trois formations chiites plus modestes mais plus extrémistes[2] – se montrait intransigeante. Ses militants occupaient la Place de la perle au centre de Manama et menaçaient directement les quartiers d’affaires. L’intervention du CCG emmené par l’Arabie saoudite démontre d’ailleurs que le régime se sent très vulnérable puisqu’il ne parvient plus à maîtriser la situation avec ses propres forces de sécurité.
De l’autre côté, l’Iran trouve là l’occasion d’étendre son influence en soutenant les rebelles chiites. Cela était une constante depuis des années au nord du Yémen, dans la région de Saada, et jusqu’à maintenant d’une manière plus discrète au Bahreïn.
L’intervention des forces du CCG est le prétexte rêvé pour Téhéran afin de prendre toutes les mesures nécessaires pour « défendre ses frères agressés ».
La problématique se complique lorsque l’on sait que l’état-major de la Ve flotte américaine qui couvre l’océan Indien se trouve au Bahreïn.
Pour l’Occident, la situation dans la région du Golfe persique est encore plus sensible que celle qui prévaut en Afrique du Nord[3]. En effet, la majorité de ses approvisionnements en hydrocarbures provient de cette zone. Une déstabilisation durable de la région aurait des conséquences catastrophiques pour l’économie mondiale.
Si un conflit ouvert semble peu probable tant le rapport des forces est défavorable à l’Iran, il est toutefois prévisible que Téhéran va se lancer dans une surenchère de déclarations enflammées sur la scène internationale et intensifier ses opérations secrètes menées par la force Al-Qods des pasdarans et ses services spéciaux, le Vevak. Des démonstrations de force ne sont pas non plus à exclure, en particulier des manœuvres aéronavales dans le Golfe persique et en mer d’Oman. A cette occasion, des incidents dus à des dérapages plus ou moins voulus sont également à craindre.
Enfin, employant une tactique de « contournement » qui lui est chère, Téhéran peut intensifier ses opérations secrètes en Afghanistan, en Irak, au Liban et à Gaza. Les mouvements rebelles et le Hezbollah libanais pourraient voir leurs approvisionnements en armes[4] et instructeurs considérablement augmenter.
Toutefois, les Iraniens savent pertinemment qu’ils ne doivent pas fournir à leur tour le prétexte à une intervention militaire américaine. En gros, sauf accident, ils savent jusqu’où ils peuvent aller.
Il reste l’inconnue de la politique israélienne dont le gouvernement ne rêve que d’une chose : anéantir l’effort nucléaire militaire iranien qui est considéré comme une menace existentielle pour l’Etat hébreu.
Source: http://www.cf2r.org/fr/notes-actualite/bahrein-arabie-iran-risque-un-embrasement.php
FDF
Notre contributeur Edmond Machefer analyse ici le flux de régularisations des clandestins qu’il chiffre à hauteur de 17 000 par an au cours des trois dernières années. Il faut ajouter à ce chiffre les mineurs qui les accompagnent. Et surtout bien comprendre qu’une fois régularisé le clandestin a la possibilité de faire venir sa famille : enfants, conjoints, parents, nouvelle épousée s’il se marie. La régularisation d’un clandestin a donc un effet multiplicateur sur l’immigration familiale et sur l’immigration nuptiale. Il ne faut pas non plus négliger l’effet « cascade » de la régularisation : le travailleur régularisé sort parfois du marché du travail ou change de travail laissant ainsi un poste vacant pour un nouveau clandestin. Nouveau clandestin qui sait à son tour que son parcours peut le conduire à la régularisation et au regroupement familial et nuptial. C’est ainsi que fonctionne le cycle de l’immigration de masse.
(Polémia)
Derrière les postures de fermeté, il y a les faits. En dépit de ses engagements réitérés, comme par exemple à l’occasion de son adhésion au « Pacte européen sur l’immigration et l’asile » en 2008, qui prohibe à ses signataires toute régularisation de masse, le gouvernement continue à mettre en œuvre une politique de régularisation des clandestins au fil de l’eau.
Le gouvernement cède de cette manière aux pressions des associations immigrationistes (GISTI – RESF – LDH -CIMADE..), des syndicats (campagne de la CGT en faveur du mouvement des « grévistes sans papiers » de 2010), des partis de gauche, d’extrême gauche, voire de membres de sa propre majorité, et de certains milieux patronaux qui comprennent tout l’intérêt d’employer des clandestins en situation précaire pour faire du « dumping social »à l’encontre des nationaux.
Ces pressions étant bien sûr savamment entretenues par les médias locaux, régionaux et nationaux, prompts à battre le rappel et à faire monter en épingle des situations individuelles (expulsions) où les préfets ne font pourtant qu’appliquer la loi.
Il faut en effet rappeler ici que les clandestins – ou « sans papiers » selon la logomachie des droits de l’hommiste – sont des étrangers originaires des pays tiers à l’Union européenne qui soit sont entrés sur le territoire sans visa, soit se sont maintenus en France à l’expiration de leur visa sans avoir obtenu de titre de séjour.
Ces clandestins peuvent ainsi travailler (sous une fausse identité), se faire soigner –grâce à l’Aide médicale d’Etat- scolariser leurs enfants (du fait de l’obligation scolaire), et ainsi acquérir progressivement une forme de « droit au séjour », qu’ils pourront faire valoir par exemple devant un juge complaisant pour se faire régulariser, venant ainsi grossir les rangs de l’immigration de peuplement que nous subissons.
Si l’on observe les chiffres des 3 dernières années, on constate, en additionnant les données relatives à la régularisation « de droit » (application de l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme, liée à la reconnaissance de liens personnels et familiaux), et celles de « l’admission exceptionnelle au séjour que ces régularisations sont d’environ 17 000 par an (sans compter les mineurs), ce qui fait tout de même beaucoup pour ce que le Gouvernement qualifie pudiquement de « régularisation au cas par cas ».
Evidemment, chaque régularisation conduite à son terme s’analyse, du point de vue des migrants, comme un aveu de faiblesse et ne peut qu’encourager ceux-ci, toujours plus nombreux, à tenter leur chance.
Source: http://www.polemia.com/
Ca sent mauvais, tout ça, ça sent mauvais…
FDF
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Résultat de l’image de mollesse que projettent les États-Unis sous Obama. Aura-t-on droit à une sorte de remake de la crise des missiles cubains ?
L’Iran projette d’installer des missiles à moyenne portée au Venezuela, selon des sources occidentales mentionnées dans un article de l’édition du 25 novembre 2010 du quotidien allemand Die Welt.
Selon l’article, une entente entre les deux pays a été signée au cours de la visite du président vénézuélien Hugo Chavez à Téhéran le 19 octobre 2010. L’entente, non divulguée auparavant, prévoit l’installation d’une base militaire gérée conjointement et le développement conjoint de missiles sol-sol.
Au moment où les membres de l’OTAN se sont entendus, lors du récent sommet de Lisbonne (19-20 novembre 2010) sur le développement d’une capacité de défense antimissile de l’OTAN pour protéger les populations et les territoires de l’Europe contre des attaques de missiles balistiques provenant de l’Est (à savoir, l’Iran), l’Iran riposte en établissant une base stratégique sur le continent sud-américain, le ventre mou des États-Unis.
Selon le Die Welt, le Venezuela a accepté de permettre à l’Iran d’établir une base militaire tenue par des officiers de missiles iraniens, des soldats de la Garde révolutionnaire iranienne et des agents de missiles vénézuéliens. En outre, l’Iran a autorisé l’utilisation des missiles en cas d’«urgence». En contrepartie, l’accord stipule que le Venezuela peut utiliser ces installations pour ses «besoins nationaux», ce qui augmente radicalement la menace pour ses voisins, tels la Colombie. Le quotidien allemand affirme que selon l’accord, des missiles iraniens Shahab 3 (portée de 1300-1500 km), Scud-B (285-330 km) et Scud-C (300, 500 et 700 km) seront déployés sur la base militaire projetée. Il rapporte que l’Iran s’est aussi engagé à fournir au Venezuela une expertise en matière de technique des fusées, y compris la formation intensive des officiers. […]
Source: http://www.postedeveille.ca/
A quarante-huit heures de pourparlers très attendus entre Iraniens et Occidentaux à Genève, les premiers en quatorze mois, le programme nucléaire iranien continue de progresser à une allure préoccupante. Ce constat, tiré du 31e rapport des inspecteurs de l’AIEA sur l’Iran en huit ans, dévoilé le 23 novembre, a été martelé vendredi lors de la session du conseil des gouverneurs à Vienne, les puissances occidentales exprimant leurs vives inquiétudes face à la détérioration de la situation.
À Natanz, le principal site d’enrichissement d’uranium, situé à 250 km au sud de Téhéran, le rythme mensuel de production d’hexafluorure d’uranium (UF6), ce gaz tiré du minerai éponyme, pouvant théoriquement alimenter en combustible un réacteur ou une ogive nucléaire, s’est accéléré, tandis que le nombre de centrifugeuses alimentées, c’est-à-dire réellement opérationnelles, allait croissant. Les enquêteurs onusiens ont également pu constater que des tests de centrifugeuses de nouvelle génération se poursuivaient. Enfin, le site du réacteur à eau lourde IR-40 d’Arak, jugé proliférant par l’AIEA, reste toujours inaccessible aux inspecteurs, malgré les demandes répétées de Vienne.
«Le refus par l’Iran de se conformer à ses obligations (nucléaires) constitue un défi manifeste pour l’intégrité du régime international de non-prolifération», s’emporte l’ambassadeur américain auprès de l’AIEA, Glyn Davies.
Des pourparlers doivent se tenir lundi et mardi à Genève, en Suisse, entre «E3+3» (France, Allemagne, Grande-Bretagne, États-Unis, Chine, Russie) et Iraniens, sous l’égide de la chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton. Les États-Unis et l’UE se sont félicités de cette apparente volonté de revenir à la table des négociations, mais bien des incertitudes entourent la rencontre de Genève, dont aucun ordre du jour ne semble encore avoir été élaboré, d’après des diplomates proches du dossier.
Jeudi, le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, a précisé avoir confié un mandat très explicite à son envoyé spécial sur les rives du lac Léman, le très austère Saïd Jalili: refuser toute discussion relative aux activités d’enrichissement d’uranium. Celles qui ont justement valu à l’Iran depuis 2006 des sanctions particulièrement sévères de la part du Conseil de sécurité des Nations unies. «Dans ces conditions, la rencontre pourrait se finir aussi vite qu’elle a commencé», ironise un diplomate occidental à Vienne…
…Suite et source: http://www.lefigaro.fr/international/2010/12/03/01003-20101203ARTFIG00649-le-programme-nucleaire-iranien-progresse.php
Aucun lien de cause à effet, mais bon… Après l’invasion islamiste, les Roms, et l’état lamentable de notre pays, nous ne sommes plus à une catastrophe près… Fallait bien que je la place, celle-là…
FDF
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Source: http://tinyurl.com/2asxtxg
Ce fou provoque de plus en plus… Il veut la guerre, il va l’avoir; surtout si c’est lui qui la déclenche en premier, ce qui est probable. On l’a laissé s’équiper en sites nucléaires. « Pour la production d’énergie », qu’il disait… On a été assez cons pour le croire. Bien fait pour notre g…. Maintenant: TOUS AUX ABRIS !!! Une consolation: s’il nous balance des missiles, il y aura aussi de nombreuses victimes adeptes de son idéologie vu qu’ils sont en pleine invasion du monde Occidental. Et je ne pense pas qu’il les préviendra avant d’agir. Mais ils s’en fichent: ils deviendront des martyrs et auront droit aux 72 putes au paradis d’Allah…
FDF
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La France et l’Arabie saoudite ont accompli de « bons progrès » sur la voie d’un accord de coopération dans le domaine de l’énergie nucléaire civile, a annoncé la ministre française de l’Economie Christine Lagarde dimanche.
« Les discussions ont fait de bons progrès et j’espère que nos deux chefs d’Etat seront en mesure de signer un accord prochainement », a dit Lagarde après des entretiens avec le roi Abdoullah, avec le ministre du Pétrole, Ali al-Naimi, et le ministre des Finances, Ibrahim al-Assaf.
« Cela (l’accord) implique une coopération dans l’énergie nucléaire civile en respectant les meilleures conditions de sécurité », a ajouté la ministre française à Ryad.
L’an dernier, le président Nicolas Sarkozy avait proposé au royaume saoudien de l’aider à développer sa production d’énergie nucléaire. Des accords du même type ont été conclus avec d’autres pays producteurs de pétrole comme l’Algérie et la Libye.
Le marché du nucléaire saoudien intéresse plusieurs pays dont les Etats-Unis et la Russie qui ont, eux aussi, fait des offres de coopération et de soutien.
Souhail Karam; version française Pierre Sérisier