Francaisdefrance's Blog

20/03/2012

Bientôt des footballeuses voilées ?

En complément d’un billet précédent. On dirait que les choses ne s’arrangent pas…

Il va falloir « larder » les poteaux de but pour être sûrs de gagner contre ses équipes… Ou répandre du lisier sur les terrains.

FDF

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Narbonne. Bientôt des footballeuses voilées ?
On voit les mains! Horreur! Malheur!

Plusieurs organisations féministes ont exprimé leur crainte de voir la Fédération internationale de football (Fifa) autoriser le port du voile islamique par les footballeuses. L’affaire fait suite à) un incident, intervenu dimanche, à Narbonne (Aude) sur un terrain de foot. Ce jour-là, la rencontre de promotion ligue régionale féminine entre le FC Narbonne et Montpellier Petit-Bardun a tourné court, l’arbitre refusant de donner le coup d’envoi du match au prétexte que les joueuses visiteuses s’étant présentées sur le terrain la tête recouverte d’un foulard.

Début mars, l’Ifab, organe gardien des lois du foot, s’était dit favorable au port du voile dans les compétitions organisées par la Fifa, qui tranchera sur la question le 2 juillet.

« On espère que la Fifa ne va pas prendre cette décision » qui serait « une régression vis-à-vis des femmes », estiment la Ligue internationale des femmes et l’association « Ni Putes Ni Soumises ».

Asma Guefin, la présidente de Ni Putes Ni Soumises voit derrière la prise de position des instances sportives internationales le poids économique de certains pays du Moyen-Orient, notamment du richissime Qatar, organisateur de la Coupe du Monde en 2022 et qui, via sa chaîne Al-Jazira Sport, a acheté des droits de retransmission de matches de foot.

Certains y voient aussi l’influence du Prince Ali Bin al Hussein (de Jordanie), l’un des vice-présidents de la Fifa.

Source: http://www.ladepeche.fr/

Merci à Henri…

Islam: provocations autour du ballon rond…

Excellent! A la provocation (car dans ce cas ça n’a rien de religieux…),  l’arbitre a répondu par la sanction en application de la loi. Un terrain de foot est un lieu public.

Mauvais point: le match a tout de même eu lieu après le départ de l’arbitre.

Cas de trahison notoire…

FDF

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Match de foot annulé parce qu’elles refusent d’enlever leur voile

Joueuses de foot voilées
Joueuses de foot voilées

La rencontre de promotion ligue régionale féminine entre le FC Narbonne et Montpellier Petit-Bard n’a pas eu lieu. Les deux équipes étaient bien présentes au stade Calixte-Camelle hier à 15 heures, mais plusieurs filles de Montpellier Petit-Bard se sont présentées sur le terrain voilées.

L’arbitre a alors demandé aux jeunes filles d’enlever le tissu lors du contrôle des licences et pour prendre part à la rencontre. Ce qu’elles ont refusé. Devant ce refus, l’officiel a lui aussi refusé de faire débuter le match regagnant alors les vestiaires. La rencontre devra-t-elle être rejouée ? Où alors Montpellier-Petit-Bard aura-t-il match perdu ? C’est la Ligue qui tranchera la question dans les prochains jours. Mais hier, les deux formations en présence ont choisi, après le départ de l’arbitre, et cette fois en amical, de jouer la rencontre. Un match au cours duquel Montpellier Petit-Bard et ses filles voilées s’est imposé sur le score de 7 à 6.

Source: http://www.ladepeche.fr/

Merci à Zenri…

23/08/2011

Narbonne: des « jeunes » blessés au terme d’une course-poursuite avec la police…

Il manque:

-Roulaient sans assurance

-Circulaient dans une voiture volée.

-Sans permis.

-Récidivistes.

-Défavorablement connus des services de police.

-Issus de familles défavorisées.

-Déjà condamnés.

-En liberté surveillée.

-Etc…

Mais non; j’déconne… (Pas tant que ça). Et cessons de les nommer des « JEUNES ». Vous allez voir que des manifestations « pacifiques » de « jeunes » vont avoir lieu et qu’ils vont accuser la police de les avoir envoyés se gaufrer avec leur voiture. Et qu’une enquête va avoir aussi lieu. Et que malgré l’heure, des grappes de témoins à charge contre la police vont apparaître. Et que les familles « vont appeler au calme ».

Est-ce que ça répond aux interrogations par son commentaire de ce jour  de Syrabella de Beauregard sur l’intégration??? Ca devrait…

FDF

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Les faits ont eu lieu mardi à Narbonne lorsque des jeunes ont perdu le contrôle de leur voiture à l’issue d’une brève course-poursuite.

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Au moins deux » jeunes » ont été blessés sérieusement ou grièvement mardi à Narbonne dans l’Aude en perdant le contrôle de leur voiture à l’issue d’une brève course-poursuite avec la police, ont indiqué cette dernière et les pompiers. Deux des quatre jeunes de 17 à 21 ans qui se trouvaient dans le véhicule ont dû être désincarcérés, ont dit les pompiers.

Les quatre « jeunes » auraient été surpris par des policiers vers 6 heures du matin alors qu’ils tentaient de cambrioler un magasin sur une zone d’activités narbonnaise. Ils auraient tenté de s’enfuir en prenant la direction de Perpignan, mais auraient mal négocié un rond-point et seraient sortis de la route.

Source: http://www.lepoint.fr/

24/06/2011

Haute-Garonne: le meurtre d’Élodie (enceinte) maquillé en suicide ! Et son assassin part faire la fête…

Encore une « chance pour la France »… Odieux ! C’est là qu’on aimerait que la peine de mort soit rétablie… Ou la prison à perpétuité, la vraie, au minimum.

FDF

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Tarik Barrahoui, 23 ans, a été mis en examen, hier, à Toulouse, pour le meurtre de sa compagne Elodie, perpétré le 12 juin à Frouzins en Haute-Garonne. Il a ensuite maquillé son crime en suicide avant de rester plusieurs jours auprès du cadavre avec l’enfant qu’il a eu avec Elodie.

En ce dimanche de Pentecôte, la dispute tourne au drame entre Tarik et Élodie, un jeune couple de 23 ans qui réside dans un petit appartement du centre-ville de Frouzins, en Haute-Garonne. Comme souvent, le jeune homme a du mal à se maîtriser. Dans un excès de violence, il attrape une rallonge électrique et la passe autour du coup de la jeune femme. Et il serre. En quelques secondes, Elodie est morte. Dans la chambre juste à côté, leur fils de 4 ans et demi est endormi. Comprenant qu’il a commis l’irréparable, Tarik va alors s’attacher à maquiller son crime en suicide. Il va se saisir d’un objet tranchant pour taillader les veines du poignet gauche de sa compagne. « Le médecin légiste a relevé cinq coupures dont une plus importante », a indiqué, hier, Michel Valet, le procureur de la République de Toulouse.

Puis, Tarik va mettre Élodie dans leur lit et rester trois ou quatre jours avec son fils à côté du cadavre. Pour l’heure, on ne sait pas quelles explications il a donné à l’enfant pour justifier que sa mère ne se réveille pas durant une si long période.

Finalement, mercredi ou jeudi dernier, Tarik quitte les lieux pour déposer son garçonnet chez l’une de ses sœurs qui vit à Toulouse. Ensuite, il se rend à Narbonne pour y faire la fête avec des amis.

Vendredi dernier, à 10 h 45, le père d’Élodie, inquiet de ne pas avoir de nouvelles de sa fille, se rend à l’appartement. « J’ai les clés et j’ai ouvert. Et là, je l’ai trouvée morte. Elle était déjà en état de décomposition ».

Immédiatement alertés, les gendarmes de la section de recherches de Toulouse ne tardent pas à relever des invraisemblances sur la scène du crime. Pour eux, quelque chose cloche. Leur conviction est renforcée par les constatations du médecin légiste qui établi que les entailles au poignet ont été faites après le décès. Dès lors, ils savent qu’ils ont affaire à un meurtre maquillé en suicide. Ils se mettent aussitôt aux trousses de Tarik qui s’est littéralement volatilisé. Ils apprennent que le jeune homme, déjà condamné à quatre reprises pour des violences et des vols aggravés, est extrêmement jaloux. D’ailleurs, les proches du couple ne le cachent pas : « Les scènes de ménage étaient monnaie courante ».

Samedi dernier, vers 15 h 45, les gendarmes l’interpellent enfin dans le quartier de Jolimont à Toulouse. Il n’était rentré de Narbonne que depuis quelques heures.

Lors de sa garde à vue, Tarik aurait reconnu les faits. Sorti de prison en février, il dort à nouveau en cellule depuis hier soir.


« Nous voulons que justice soit faite»

Françoise et Jacques Despons, les parents d’Élodie, se doutaient malheureusement que Tarik avait une responsabilité dans le décès de leur fille. « Il était violent et plusieurs fois je l’avais mise en garde, explique son papa. Nous craignions que cela finisse mal. Il était jaloux et n’avait de cesse de s’en prendre à elle. Et voilà ».

Aujourd’hui, Françoise et Jacques Despons, mais aussi leur fille aînée, la sœur d’Élodie, veulent que justice soit faite. « Nous espérons qu’il va payer pour tout le mal qu’il vient de nous faire ».

Mais, si ces parents demandent justice, ils se tournent aussi vers l’avenir : « Aujourd’hui ce qui compte pour nous c’est de récupérer le petit, le fils d’élodie. Hier, il a été placé dans une famille d’accueil et nous allons engager une démarche pour qu’il vienne vivre avec nous. Nous sommes sa famille et nous voulons l’aider, l’aimer. Il en a bien besoin avec ce qu’il a vécu ».

Depuis le drame, les Despons reçoivent de nombreux témoignages de sympathie : « De se savoir soutenu, de voir que certains pensent à nous ça aide, même si rien ne pourra nous ramener notre fille ».


Le chiffre : 3

Jours > Au moins. Tarik Barrahoui serait resté trois ou quatre jours, avec son fils de 4 ans et demi, dans l’appartement de Frouzins, en présence du corps de sa compagne.

Frouzins. Retrouvée morte à 23 ans : « Élodie était enceinte »

Élodie était heureuse d'attendre son deuxième enfant./Photo repro.Deux jours après la mort suspecte d’une jeune femme de 23 ans, Élodie Despons, domiciliée à Frouzins (Haute-Garonne) et enceinte, son compagnon a été arrêté hier par les gendarmes. Les parents de la victime témoignent.

Le compagnon d’Elodie Despons, cette jeune mère de 23 ans retrouvée morte vendredi à son domicile, à Frouzins, près de Toulouse, était toujours en garde à vue hier soir.

Source: http://www.ladepeche.fr/

01/03/2011

Une chapelle franciscaine vandalisée à Narbonne !

En pleine amorce d’un débat sur l’islam… Non; ne me dites pas que…

FDF

L’église Saint-Bonaventure, située rue Barbès près de l’avenue Anatole-France à Narbonne (Aude), a été la cible d’un acte de vandalisme dimanche.

Les dégâts sont limités, mais la communauté des frères franciscains a été choquée en découvrant le triste spectacle, dimanche après-midi. 6 kg de poudre blanche déversée par un extincteur ont été répandue partout, et l’harmonium a été renversé et endommagé. Les objets de culte ont été épargnés.

Toute une matinée a été nécessaire pour remettre l’église en état.

Une plainte a été déposée au commissariat. La police s’est rendue sur les lieux pour effectuer des relevés d’indices. Les faits ont dû être commis entre 15h30 et 16h30, le lieu de culte étant ouvert au public de 6h45 (prière communautaire) aux vêpres de 19h15.
Le préjudice doit être précisément évalué aujourd’hui.

Source: http://ndpherault.hautetfort.com/


04/02/2011

Musulman intégriste condamné à Narbonne…

Pour l’exemple! Pour qu’ils ne croient que c’est gagné d’avance, leur p….. de charia! Ca leur remettra les idées en place.

FDF

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Un fait divers symbolique. On y retrouve effectivement tous les ingrédients de la dramaturgie islamique (voile, agressivité, discours victimaire) et la trame classique : l’adepte de la religion de tolérance™ refuse les règles communes, crée le problème, se pose en victime, et réclame qu’on joue selon les règles de l’islam.

A Port-Leucate, cet été, deux femmes vêtues d’un pantalon tunique et un voile sur la tête, avaient été interdites de piscine. L’affaire avait fait grand bruit cet été. Il faut dire que l’incident était inédit.

Le 20 juillet 2010, une altercation avait éclaté à la piscine du village de vacances ‘Rives des Corbières’ à Port-Leucate. Deux femmes, musulmanes traditionalistes, avaient tenté de se baigner. Alors qu’elles étaient vêtues d’un pantalon tunique et d’un hijab, le voile islamique. Seuls leurs visages étaient découverts.

Elles ont alors été invitées à se conformer au règlement intérieur qui stipule que la tenue pour la baignade est le maillot de bain. Mais le ton est monté entre l’époux d’une des femmes et un vigile.

Le mari a été jugé, hier, par le tribunal correctionnel pour ‘menace de mort réitérée’. Imadeddine, 25 ans, domicilié en Seine-et-Marne, reconnaît du bout des lèvres avoir saisi deux boules de pétanque et avoir lancé, sous le coup de la colère : « Ça va te coûter le prix d’un pétard et d’une balle ! Je vais te mettre une balle dans la tête ! »

Il assure avoir été frappé par le vigile d’abord mais ne fournit pas de certificat médical et n’a pas déposé plainte. Imadeddine dit aussi avoir été victime de préjugés racistes

Le directeur Michel Tomaso et un maître-nageur se sont constitué partie civile. Leur avocate, Sabine Pépin, réclame 500 de dommages et intérêts pour chacun. Et d’expliquer que ses clients « ne sont pas racistes. Ils voulaient simplement faire respecter les règles : on ne se baigne pas habillé dans une piscine. C’est une question d’hygiène. C’est tout ! » L’avocate insiste : « Le village ‘Rives des Corbières’ est géré par la Faol, Fédération audoise des œuvres laïques. Il accueille des gens de toutes cultures et de religions différentes, et plus de la moitié du coût du séjour est prise en charge par la Caf ! »

Marie-Hélène Vétro dénonce « l’amalgame que tente de faire depuis le début le prévenu ». Le substitut du procureur recadre le débat : « On leur a simplement demandé de faire comme tout le monde. Ça n’a rien à voir avec un quelconque racisme. C’est une question d’hygiène et de santé publique. Et ce n’est même pas le directeur du village de vacances qui décide des règles à appliquer. Mais la Direction des affaires sanitaires et sociales qui impose les mêmes règles dans toutes les piscines de France ». Deux mois de prison avec sursis et une amende de 500 sont requis.

Pour la défense du prévenu, Sébastien Pinet persiste et signe : « Dès qu’on parle de voile, c’est sensible ! Le règlement dit que les shorts et les tee-shirts sont interdits. Pourtant certaines personnes en portaient ! C’est donc bien parce que les deux femmes étaient en pantalon et voilées qu’elles ont été stigmatisées. Et on leur a refusé l’entrée pour cela ! » L’avocat d’Imaddedine demande la relaxe pure et simple.

Le tribunal ne l’a pas suivi. Le jeune homme a été condamné à deux mois de prison avec sursis et devra payer au directeur et au maître-nageur 300 de dommages et intérêts, ainsi que 300 pour leurs frais de justice. « Y’a des règles. C’est comme ça et ça n’a rien à voir avec un quelconque racisme » a insisté le juge, Fabrice Vêtu !

 

 

Source: le Midi Libre