Francaisdefrance's Blog

15/01/2012

Vous avez tout faux, M. Montebourg, lorsque vous parlez de l’Algérie !

Petite mise au point reçue par mail…

FDF

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« Kabyle.com : Que vous apporte cette double culture dans votre vie de tous les jours ?

Dixit Arnaud Montebourg   « je crois nécessaire de refonder les relations avec l’Algérie. Il faut revisiter ensemble l’histoire et réparer les erreurs commises de part et d’autre. L’Algérie du temps de la colonisation était un pays d’apartheid et d’une rare violence. Ma famille était au milieu de cette histoire. Toute mon enfance fut travaillée par ces questionnements. Cela a beaucoup compté dans l’acquisition de ma confiance en la République ».

Vous êtes avocat, M. Montebourg, vous connaissez le poids des mots et le libellé des phrases alors pourquoi baignez-vous dans la désinformation volontaire ?, ouvertement vous insultez la population Pied noir en critiquant aussi clairement la colonisation et en nous accusant d’avoir pratiquer l’apartheid, je suppose que vous ne connaissez pas ce que cela veut dire sinon vous auriez déjà fait amende honorable.

Ou avez-vous pu constater un système d’apartheid d’une rare violence en Algérie, M. Montebourg ?, certainement dans vos rêves.
Y avait-il des lois concernant la division spatiale du pays imposant des zones de résidence géographiquement séparées et racialement déterminées ? : NON,
Y avait-il un système qui limitait dans la vie quotidienne des européens leur rapport avec les musulmans ? Je réponds NON !, pas du tout puisque personne n’a interdit qui que ce soit
Y avait-il des foyers nationaux systématiquement séparés comme en AFS ?, NON dans les villages ou les villes les populations étaient mélangées hormis naturellement les quartiers  à prédominance européenne ou musulmane (comme en France actuellement) mais vous-même, côtoyez-vous des musulmans autres que les membres de votre famille dans votre entourage ??, cela m’étonnerait.
Y avait-il des attributions différentes dans le droit à la propriété suivant que vous étiez européens ou musulmans ? , NON ! la loi était la même pour tout le monde
Y avait-il un enseignement différent entre l’une et l’autre des deux communautés ?, encore NON, le système éducatif était le même pour tous les scolarisés
Y avait-il, dans les écoles françaises des interdits concernant les enfants musulmans ?, NON
Y avait-il dans les transports M. Montebourg, des règles concernant leur utilisation ? encore une fois NON.
Y avait-il une exclusion des arabes du paysage politique ? NON, le président de l’assemblée algérienne comme le maire d’Alger était arabe, comme beaucoup d’autre maires et députés.
Y avait-il au niveau religieux des interdits de prêche? NON, NON et toujours NON, tous les villages possédaient leur mosquée comme leur église  ou leurs temples et chacun était libre de pratiquer le cultede son choix.
Imaginons M. Montebourg qu’il y ait eu un régime d’apartheid en Algérie : Dans ce cas :
comment se fait-il ? que 60 à 70 % de la population algérienne souhaitait que l’Algérie reste Française.
comment se fait-il ? que des villages entiers de musulmans ont vu leurs habitants défiler en Juillet 1962 avec drapeaux français, initiative d’ailleurs sévèrement réprimés par vos amis du FLN
comment se fait-il ?, actuellement, qu’une majorité d’algériens en Algérie regrettent amèrement leur indépendance et surtout le départ des Pieds Noirs sans parler de ceux, très nombreux qui souhaiteraient les voir enfin revenir réalisant que leur vie était bien plus prospère en ce temps-là, leur niveau de vie ayant régressé depuis.
Votre démagogie va au-delà de tout raisonnement, comment pouvez-vous citer d’un côté un système d’apartheid d’une rare violence et d’un autre, assurer que la famille de votre grand-père maternel (arabe non !!! Kabyle), jouissait de riches patrimoines ?, comment a-t-elle fait pour le devenir ? que penserait votre grand père Khermiche Ould Cadi de ce que vous aliénez, M. Montebourg ?, je ne suis pas sûr qu’il soit du même avis que vous pour la colonisation ; Si il aimait comme vous dites la France c’est que justement en Algérie il devait avoir des amis Pieds Noirs comme beaucoup d’arabes d’ailleurs à cette même époque.

En parlant d’Apartheid, pourquoi M. Montebourg ne parlez-vous pas de tous les pays Arabes sans exception qui ne tolèrent aucune autre religion sur leur sol et qui discriminent les chrétiens, coptes en Egypte, chrétiens Kabyles en Algérie, Chrétiens au soudan au Nigéria, en Somalie en arabie Saoudite etc etc etc ce n’est même plus de l’apartheid, mais bien de l’inquisition? Voir détail en pièces jointes (Explosif M. Montebourg)

Les Pieds Noirs n’ont pas à rougir de leurs aïeuls, travailleurs infatigables, car ce qu’ils ont faits, était constructif et a propulsé votre famille, de la préhistoire à la prospérité, ne vous en déplaise M. Montebourg. Peut-être que si la France n’avait pas eu une présence en Algérie seriez-vous aujourd’hui comme une multitude « d’Harragas » essayant de traverser la méditerranée vers la terre promise, malgré la richesse supposée de votre famille.

Vous affirmez publiquement que l’immigration est une chance  pour la France, et la régularisation des sans-papiers  la diversité, la discrimination positive et vous défendez bec et ongles le droit à porter la burqa ?

Le port du voile islamiste ou autre hijab constitue un refus d’intégration et une marque évidente de provocation et d’affirmation ultra islamiste.

 De quelle immigration parlez-vous ? L’arabo musulmane qui coute à la France 30 à 50 Mlds € annuel (1/3 du déficit public) celle des franco et quelque chose pas vraiment français et jamais intégré parce qu’ils ne le veulent pas et surtout parce que l’islam le leur interdit

Accueillir des migrants en surnombre auxquels nous n’avons à proposer que l’assistanat, l’économie parallèle et la délinquance, au nom de la compassion et du rachat de nos fautes présumées, est un faux argument auquel nos compatriotes cèdent trop facilement. L’alibi de la solidarité et de l’aide au tiers-monde ne tient pas

L’immigration, conséquence du sous-développement et d’une décolonisation ratée, ne saurait en constituer le remède. Faire appel aux bons sentiments d’une opinion publique manipulée, mal informée et indûment culpabilisée, pour lui faire accepter l’intrusion sur son territoire d’une immigration envahissante qui tend à ruiner notre économie et à détruire notre identité, sans bénéfice décelable pour les pays d’origine des migrants, constitue une supercherie mortelle

Les intellectuels, politiques, magistrats, gens d’église, de media, de lettres et du spectacle, belles âmes en quête de valorisation personnelle ou électorale, qui jouent de la corde sensible pour instrumentaliser la pitié des Français, se trompent ou nous trompent.

Nous n’avons, à ce titre, aucune leçon de générosité à recevoir d’apprentis sorciers et d’idéologues toujours prêts à dénigrer la France, pour soigner leur image politique et promouvoir leur vision d’une humanité hors-sol, grise, déculturée et amnésique

Si nous devions vous écouter M. Montebourg alors nous courons sans souci dans le précipice, après que nous ayons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir, la véritable maladie de la France M. Montebourg est la Bi nationalité qui confère à certains un plus, surtout ne parlez plus d’égalité de droit français

La double nationalité est un rempart à l’intégration… »

Pièces jointes: L’Apartheid dans les pays musulmans

Et: Les chiffres de l’immigration arabo musulmane

Source: A.S.

30/07/2011

Le « pélerinage » à Alger ou l’acte de soumission suprême…

Et pan ! Ca fait mal, ça…


FDF

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ALGER REDEVIENT LA CAPITALE DE LA FRANCE OCCUPEE….

PAR LES ALGERIENS !

Après Giscard et Chirac, Sarkozy remet Alger sur la sellette, comme l’interlocuteur incontournable de la politique française.

Une véritable hystérie gagne nos ministres passés, présents… et à venir.

« Se rendre à Alger devient le pèlerinage obligé pour tout ministre ou présidentiable français. » (PB)

Après ALLIOT-MARIE et VILLEPIN, hier, RAFFARIN, aujourd’hui, c’est HORTEFEUX qui décide d’aller brosser le burnous du Bouteflika, demain.

On a le droit de se poser des questions à les voir, tous, se presser auprès de « son éminence » pour faire les salamalek d’usage en pays oriental.

Certains vous diront que négocier avec l’Algérie est indispensable pour « décrocher » des marchés qui redresseraient l’économie française.

Rien n’est plus faux et les français l’ont très bien compris.

D’ailleurs, la très indépendante Algérie s’est déjà rapprochée, de très près, des américains (les nouveaux colons) et ils ont décidé d’un commun accord, qu’il n’y aurait  «aucun pays étranger » qui interviendrait ni dans le Sahara ni en Afrique subsaharienne. Exit la France.

Ca veut dire que la France ne pourra plus compter sur l’uranium convoité du Niger. Quant au reste des ressources africaines, appelées « richesses », elle n’avait plus que l’avantage de payer très cher leurs produits. Dans les marchés de demain, l’Amérique, partenaire de l’Algérie, préemptera et la France paiera encore plus cher.

Le nouveau gouvernement (très gaulliste) de Sarkozy met trop d’empressement à se prosterner devant Bouteflika, pour que les seuls intérêts financiers de la France en soient la véritable raison.

Ces gens-là pensent-ils que les français ont perdu leur bon sens légendaire ? Que nenni !

Nous savons à quel point la France est endettée puisque nous supportons les restrictions rigoristes qu’elle nous impose, à nous, pour sortir d’une crise que nous pourrions éviter.

En appliquant des mesures très simples et de bon sens, la France pourrait dès demain, remplir à nouveau, ses caisses vides sans devoir mendier d’hypothétiques marchés à une Algérie exsangue dont le seul but est de coloniser la France.

Pour cela, il faudrait, qu’avec fermeté, la France cesse d’importer une main d’œuvre algérienne dont l’employeur principal est, chez nous, L’ASSEDIC.

Car, si la France veut faire des économies, elle doit impérativement revoir sa politique immigrationniste suicidaire.

Et, comme les français ont oublié d’être idiots, ils ont compris que toutes ces allées et venues en Algérie n’augurent rien de bon pour leur avenir face à ce problème essentiel qu’est devenue l’immigration dans notre pays.

On se demande, donc, avec inquiétude :

– Quelles concessions vont encore faire les gaullistes à l’Algérie après qu’Alliot-Marie ait déjà promis à Bouteflika, plus de visas et une libre circulation, à sens unique, des immigrés algériens ?

– Quel paquet-cadeau, offert par la France, transporte Raffarin dans ses valises ?

– Quelles promesses, au nom de la France, aura faites un Villepin à Bouteflika, pour obtenir les voix des algériens en France ?

– A quel prix Hortefeux rachètera sa repentance pour avoir tenu des propos « racistes » ?

Quand on sait qu’un Azouz Begag ou une Fadela Amara, gens de gauche, introduits dans les gouvernements de droite sous Chirac et Sarkozy, militent pour la république algérienne dans l’espoir de voir – comme Montebourg le fait, aujourd’hui, au Parti socialiste – des algériens de souche à la tête de l’Etat français.

Alger capitale de la France ? Oui, si nous ne nous décidons pas très vite à condamner ces partis en place qui vendent la France à l’Algérie. Et la seule manière de les condamner est de nous investir dès aujourd’hui, dans les élections de demain.

A qui ferez-vous confiance en 2012, alors que vous savez, déjà, que ceux en place, vous trahissent en 2010 ?

On entend dire de ces Résistance Républicaines, Blocs identitaires et autres francaisdefrance, formations nationalistes qui voient, de jour en jour, grossir leurs rangs, que ce sont des partis extrémistes parce qu’ils se révoltent.

Ils ont raison de se révolter. Ils voient clairement notre pays aller à la faillite par la faute des politiques français, toujours prêts à faire les yeux doux à un pays fantôme, l’Algérie, continuant, en cela, la politique menée depuis son indépendance par De Gaulle.

Car ces groupes ou associations ou partis politiques ont compris que notre passé de français en Algérie, ressemble à leur présent et ils appréhendent leur avenir. Et, tout comme nous nous sommes dressés, en Algérie française, contre le pouvoir en place, ils sont bien décidés, aujourd’hui, à faire de même pour conserver à la France, son territoire.

Notre combat d’hier est devenu le leur mais il demeure, toujours, le nôtre. Nous devons leur apporter tout notre appui et notre expérience pour éviter les écueils que nous avons rencontrés et rencontrons encore, dans la politique pro algérienne du pouvoir en place.

Nous savons, d’ores et déjà, que notre vote n’ira jamais à la gauche pro arabe et pro immigrationiste.

Mais nous ne devons pas laisser cette droite asservie recommencer les erreurs du passé.

Regardez donc tous ces ministres RPR-UMP qui se sont bousculés pour décrocher un maroquin (comme ça porte bien son nom !), se précipiter pour ce prosterner aux pieds d’un algérien qui hait la France.

Allons-nous les laisser vendre la France à l’Algérie comme ils l’ont fait par le passé ?

Pourrions-nous faire confiance à un Mariani qui parlait de « reconnaissance de génocide sur les français d’Algérie » il y a quelques jours et qui, pour une place de ministre, vend son honneur à une équipe qui nous raye de la France ?

Car, c’est bien de cela qu’il s’agit. Vous êtes-vous demandé qui a été nommé, dans ce nouveau gouvernement, au  « secrétariat aux rapatriés » ?

Personne ! Pourquoi ? Parce qu’il a disparu, purement et simplement, de la liste des ministères constitués.

Comment voulez-vous qu’ils soient en train de lècher la poire au Bouteflika et, en même temps, nous reconnaître en nous faisant exister sous une forme quelconque dans leur politique gouvernementale ?

Non. C’est incompatible. Alors, comme toujours, ils choisissent les algériens d’abord !

Pendant 50 années de notre vie en France métropolitaine, nous nous sommes battus pour que l’Etat reconnaisse son implication dans l’abandon de notre peuple et dans notre exode forcé au profit des algériens.

En réponse à nos revendications, pendant 50 ans, la droite et la gauche ont continué de favoriser les algériens, à notre détriment, faisant tout pour nous désavantager, pour nous faire taire, pour nous refuser toute reconnaissance légitime. H. Falco ayant été le dernier en date à nous avoir trahis dans le texte de loi concernant le mémorial du quai Branly.

Pendant 50 ans, avec un mépris affiché, ils nous ont collé une étiquette d’extrémiste, ne se souciant de notre passé qu’au moment des élections.

Et bien, oui. Nous acceptons d’être des extrémistes. Au même titre que le sont les patriotes de Résistance républicaine, des Ligues du Sud ou du Midi, de l’Alsace d’abord ou du Bloc identitaire et bien d’autres encore.

Comme eux, nous voulons la France aux français. Peut-être, plus qu’eux, parce que nous avons souffert, jusque dans notre chair, de l’abandon par la France des fervents patriotes que nous étions et que nous sommes restés.

Alors, il n’est plus question de nous tromper. Dans 18 mois, nous devrons choisir ceux qui nous rendront notre fierté de rester français. Et, ceux-là, n’appartiennent ni à L’UMP, ni au PS, ni aux Verts.

Trop de noms de traîtres à notre cause résonnent comme un glas dans notre mémoire. De Gaulle, Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy…

Nous avons le devoir de nous unir à tous ceux qui, comme nous, rejettent les partis de la droite UMP/UDF/MoDem et, avec plus de force encore, les partis de la gauche PS/PCF/VERTS.

Avec les partis républicains, nationalistes et patriotes, nous serons plus forts pour ébranler, dès aujourd’hui, l’édifice qu’ils se sont bâti et qui doit impérativement tomber demain, si nous voulons conserver la France aux français.

C’est dans l’union avec toutes ces forces vives profrançaises, qui comptent une jeunesse forte et révoltée contre les apparatchiks au pouvoir, que nous retrouverons notre dignité de français.

Source: http://www.petitsechodoran.com/

29/06/2011

Sarkö-Fillon: « je t’aime, moi non plus »…

Pas besoin d’aller vous enfermer dans les salles obscures, en ce moment. Tout se joue  en « direct-live », en France. Entre Martine Aubry qui annonce sa candidature à la présidentielle 2012 en occultant les primaires du PS, Europe Ecologie qui fait pitié tant les acteurs sont pitoyables et Sarkö Ier qui normalement devrait emporter le premier prix d’interprétation au prochain festival de Cannes tellement son jeu est évident, nous sommes aux premières loges avec les médias… Quel cinoche!

FDF

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« P….., encore un an ! »

Sarkozy et Fillon jouent l’unité pour contrer le PS

Le chef de l’État s’est affiché au côté de son Premier ministre pour jouer du contraste avec la joute électorale qui s’engage au PS.

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« Nicolas Sarkozy en déplacement dans le fief de François Fillon, ce n’était pas arrivé depuis 2007. Et pour cause, les relations entre le président et son Premier ministre ont longtemps été tendues. Mais mardi matin, les deux hommes affichent une parfaire unité au cours d’un déplacement sur le thème de la sécurité alimentaire à Sablé-sur-Sarthe.

L’occasion est trop belle de parasiter l’entrée en campagne de Martine Aubry. La première secrétaire du PS annonce le matin même sa candidature à la primaire depuis sa ville de Lille. Au moment même où elle prononce son discours, Nicolas Sarkozy et François Fillon visitent un élevage de poulets jaunes de la coopérative de Loué… L’objectif : montrer que l’exécutif est au service des Français quand le PS court le risque d’étaler ses divisions pour départager Hollande, Montebourg, Valls, Royal et Aubry.

Le « sens de l’État de Fillon« 

Lâcher de poulets en dehors de leur abri, caresse d’un poussin, arrêt devant un buffet de produits locaux… l’image est soignée. Nicolas Sarkozy et François Fillon, venus en hélicoptère, se rendent dans l’exploitation dans la même voiture. Tous deux en costume gris, l’un rayé, l’autre uni, s’accordent même un très court aparté, pour mieux scénariser leur entente. « Nous sommes très fiers que la deuxième visite d’un président de la République, après le général de Gaulle, soit celle de Nicolas Sarkozy », déclare un peu plus tard le chef du gouvernement en inaugurant la table ronde sur la sécurité alimentaire qui conclut la visite.

Nicolas Sarkozy, lui, se charge de répondre par avance à ceux qui pourraient s’étonner de voir les deux hommes sur les terres de François Fillon : « Le fait qu’il soit Premier ministre et enfant de la Sarthe, ça ne doit tout de même pas m’empêcher de venir ! » lance-t-il devant 2 000 personnes, dont les quelque 1 030 producteurs de poulets de Loué, success story de la région. Et le chef de l’État de vanter le travail de son Premier ministre : « François Fillon s’est dédié depuis quatre ans au service de la France. » Tonnerre d’applaudissements dans la salle. Alors Nicolas Sarkozy en rajoute : « Ce fut toujours pour moi un grand soutien que de pouvoir compter sur le conseil et le sens de l’État de François Fillon. » Oublié, le temps où il le traitait de simple « collaborateur« …

Tacle à Martine Aubry

Nicolas Sarkozy soigne aussi son image de président au service des Français. Comme lors de sa conférence de presse à l’Élysée la veille, il vante son action en faveur « de l’intérêt général ». « C’est la spécificité du rôle de François Fillon comme du mien : coller aux préoccupations des Français. » Et la préoccupation du jour, c’est l’agriculture. Nicolas Sarkozy n’a pas assez de mots pour vanter la qualité des produits, dont les poulets Label rouge sont érigés en symbole. « Vous ne vous en sortirez que par la qualité (…) c’est encore plus important que le prix », avance-t-il, en appliquant son raisonnement à l’industrie. Pour les y aider, le président se prononce pour réserver une partie du marché de la restauration collective pour « les produits de qualité ». Une volonté déjà affichée le 15 juin dernier par Martine Aubry, lors de son déplacement chez un éleveur de l’Oise. Le chef de l’État dénonce enfin les importations incontrôlées de productions dont la traçabilité n’est pas toujours assurée. Avant d’apostropher la grande distribution : « Partagez la valeur avec les éleveurs ! »

Mais au-delà de l’agriculture, c’est l’ensemble de sa politique que le président défend. « De la sécurité alimentaire à la sécurité routière », le président trace une parallèle. Avec au passage un nouveau tacle à Martine Aubry et les 35 heures. « Le travailler moins (…) on a vu ce que ça a donné, des chômeurs en plus et des salaires en moins. » On ne saurait être plus clair, le président est en campagne sans le dire. Avec le soutien de son Premier ministre. »

Lu sur Le Point.fr

12/12/2010

Bien sûr que les prières dans la rue, les voiles, le halal et les mosquées sont des symboles d’occupation et de conquête !

Et Riposte Laïque d’engranger… Merci à vous!

FDF

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La bien-pensance politico-médiatique française nous joue depuis samedi un de ces grands numéros de lynchage qui font partie des armes du politiquement correct, depuis plus de vingt ans. La cible désignée, cette fois : Marine Le Pen. La cause : la fille à son père a osé parler « d’occupation » en évoquant les prières musulmanes illégales qui se multiplient dans les rues de France.

http://videos.tf1.fr/infos/2010/propos-de-marine-le-pen-sur-les-prieres-de-rue-indignation-au-ps-6183821.html

C’est bien évidemment immédiatement la curée ! Les Montebourg, Mrap, Mennucci, Lozes et autres Copé, relayés par des journalistes aux ordres, défendent à qui mieux mieux leur fonds de commerce, et participent activement au lynchage. Marine Le Pen, la fille à son père, est forcément nostalgique de l’Occupation, c’est une méchante fasciste, et elle insulte gravement les musulmans qui auraient – le ridicule ne tue pas – libéré Marseille, si on en croit Mennucci, et elle incarnerait un courant de pensée qui s’est vautré dans la collaboration !

http://www.youtube.com/watch ?v=O46G4bfnOMw

Riposte Laïque, qui dénonce, grâce aux vidéos de Maxime Lépante, depuis plus d’un an, les prières musulmanes illégales dans les rues de Paris d’abord, et d’autres villes de France, ne peut que se réjouir qu’une personnalité politique présidentiable relaie cette dénonciation. Certes, les républicains de droite préféreraient que cela vienne de l’UMP ! Certes, les Républicains de gauche préféreraient que cela vienne du PS ou du Parti de Gauche. Mais force est de constater que ceux-ci, non seulement sont silencieux sur ce scandale, mais, pire, le cautionnent, par la politique de Delanoé-Vaillant ou celle des différents ministres de l’Intérieur de Nicolas Sarkozy.

Nous affirmons que l’islam n’est pas une religion, mais un projet politico-religieux totalitaire, et qu’il ne sait exister que par la conquête. Il faut aujourd’hui être aveugle, sot ou complice pour ne pas voir, dans le quotidien, cet esprit de conquête, en France et dans nombre de pays européens…

Suite et source: http://www.ripostelaique.com/Bien-sur-que-les-prieres-dans-la.html