Francaisdefrance's Blog

19/03/2012

Meurtres de Montauban et de Toulouse: les victimes ont tout de même un point commun. Mais ça…

La signature d’extrêmistes islamistes ? Et pourquoi pas ? Aucune piste ne doit être écartée; surtout pas celle-là.

Voyez pourquoi ci-dessous.

FDF

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Les victimes ont un lien capital qui réunit les deux affaires mais que les enquêteurs ne veulent pas dévoiler au grand public.

Que disent les autorités ?

« Quatre militaires français ont été assassinés par un tueur inconnu et, tous, ont reçu une balle dans la tête. »

Il s’avère que, selon les proches de l’enquête, le tueur les attendait.

Ce mode opératoire s’appelle une exécution, dans tous les cas.

Cela pourrait ressembler à un règlement de comptes. Les victimes de Toulouse et Montauban ne se connaissaient pas. Elles ne sont pas connues des services de police.

Le procureur annonce : « aucun lien ne relie les victimes…».

FAUX !

Le lien qui unit les victimes est d’une importance capitale dans l’enquête et surtout quant aux raisons pour lesquelles elles ont été assassinées.

Les deux soldats tués à Montauban sont d’origine maghrébine.

Le soldat tué à Toulouse est d’origine maghrébine.

Le soldat blessé à Montauban est noir.

Tous portaient l’uniforme français !

La piste se dessine donc très facilement.

Mais en cette période électorale, il vaut mieux taire la vérité aux Français encore et toujours !

Merci à Victor…

24/08/2011

Délinquance: faites très attention !!!

Ils kidnappent des automobilistes et les dévalisent !

Photo d’illustration (oui, je sais, le volant est à droite… (-:)

C’est bien beau de rapporter des faits (comme moi, d’ailleurs…). Mais encore faut il en tirer les leçons qui s’imposent… Un homme averti en vaut deux. En attendant d’atomiser cette gangrène de la société, mieux vaut connaître leurs pratiques…

Leçon…

FDF

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A trois reprises, un gang a enlevé des automobilistes dans des parkings souterrains à Paris. Les malfrats séquestrent les victimes, leur soutirent carte bleue et code confidentiel et vident leurs comptes.

Un gang de « jeunes » malfrats, attirés par les cartes bancaires de riches victimes, sévit depuis plusieurs semaines à Paris. Les membres de cette équipe repèrent leurs cibles à leur puissante voiture, avant de les enlever dans des parkings souterrains. Ils n’hésitent pas à les séquestrer pendant plusieurs heures pour leur soutirer leur code confidentiel avant de vider leurs comptes.

Les victimes sont ensuite relâchées, traumatisées, en proche banlieue. Plusieurs services d’enquête parisiens tentent de remonter la piste de ces ravisseurs particulièrement déterminés.
Car ce mode opératoire, jusqu’alors peu répandu, inquiète policiers et magistrats. « C’est une technique quasi imparable, à moins de se trouver à proximité des lieux des faits pour pouvoir intervenir aussitôt ou d’être alerté très vite par des témoins de la scène, confie un haut fonctionnaire. Par ailleurs, recourir à un enlèvement suivi d’une séquestration pour une carte bancaire dénote d’une réelle montée en puissance dans les atteintes contre les particuliers. Ce sont des faits très graves. »

Les ravisseurs se sont emparés de près de 5 000 €

La dernière agression en date remonte au 20 août. Ce jour-là, au volant de sa berline BMW, un automobiliste se dirige vers un parking souterrain rue d’Auteuil, dans le XVIe arrondissement de la capitale. A sa descente de voiture, le conducteur, âgé d’une quarantaine d’années, est surpris par deux inconnus, le visage cagoulé et munis d’une arme de poing. Ces derniers lui intiment l’ordre de remettre ses clefs, sa carte bancaire et son code confidentiel et l’enferment dans le coffre de sa BMW.
Les deux malfaiteurs ressortent du garage en conduisant le véhicule de leur victime et opèrent des retraits avec la carte volée dans des distributeurs d’argent à Paris et en banlieue.
« Il est resté dans le coffre tout le long du périple de ses ravisseurs, qui se sont finalement emparés de près de 5000 €, relate une source proche de l’affaire. La victime a ensuite été abandonnée dans une rue de Châtillon, dans les Hauts-de-Seine. Ce gang n’en était pas à son coup d’essai. »

Source: http://www.leparisien.fr/