Francaisdefrance's Blog

21/06/2011

Egypte: après les chrétiens, ils massacrent les élevages de porcs des Juifs…

Mais ces gens sont de véritables malades ! Irrécupérables ! Et ça veut instaurer la charia en Occident?

Qu’ils continuent ainsi; il y a de la monnaie à rendre…

FDF

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Charia

 Vidéo choc du quotidien indépendant Al-Masri Al-Yom sur le massacre des porcs appartenant aux chrétiens en Égypte:

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L’abattage systématique des porcs ordonné par le gouvernement égyptien a été qualifié de mesure aux relents anti-coptes par une célèbre militante égyptienne pour la protection des animaux.

Sheikh ‘Othman, du ministère égyptien des biens religieux, est l’auteur d’une fatwa déclarant que les porcs qui vivent aujourd’hui originent des Juifs, et doivent par conséquent être abattus. Les télévisions arabes relaient fréquemment des enseignements affirmant que les Juifs sont les descendants des singes et des porcs.

 

 

 

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LE CAIRE  – Vidéo choc sur le massacre de porcs en Egypte

 

Jugé inutile pour lutter contre la grippe porcine, le massacre des porcs se poursuit en Égypte et avec cruauté, comme le montre une vidéo choc diffusée sur internet.

 

C’est par centaines que des cochons sont jetés dans des bennes, tassés à coups de barres de fer, puis tués chimiquement avant d’être enterrés dans la chaux, selon cette vidéo du quotidien indépendant Al-Masri Al-Yom. Vidéo ci-dessous:

 http://youtu.be/jwMIlw7rCSc

Mises en ligne ce week-end sur YouTube, ces images ont déjà été vues par 25.000 internautes, suscitant des opinions horrifiées et des réactions indignées de dignitaires musulmans ou coptes.

 

Alors qu’aucun cas de grippe porcine n’a été recensé sur son territoire, l’Égypte est le seul pays au monde à avoir décrété début mai l’élimination d’un cheptel d’environ 250.000 porcs.

 

Cette mesure n’affecte que la minorité chrétienne copte, les musulmans ne consommant pas la viande de porc jugée impure par l’Islam. Pour l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), elle n’est pas scientifiquement justifiée.

 

Des intellectuels arabes, chrétiens ou musulmans, ont accusé le régime de Hosni Moubarak d’avoir composé avec l’opposition islamiste des Frères musulmans qui faisait campagne contre les élevages de cochons « en terre d’Islam« .

 

« Les Coptes victimes de la grippe sans avoir été contaminés », a écrit l’écrivain marocain Tahar Ben Jelloun, pour qui le gouvernement égyptien a clairement agi « sous la pression des islamistes« .

 

Pour Salama Ahmad Salama, l’un des plus célèbres éditorialistes égyptiens, c’est « la stupidité humaine davantage qu’une maladie des porcs » qui explique cette décision du pouvoir en Egypte face à une crise virtuelle.

 

A ce débat sur une mesure que le gouvernement a justifiée en invoquant le principe de précaution, alors que sévit la grippe aviaire en Egypte, s’ajoute désormais une controverse sur l’extermination cruelle des porcs.

 

Dans la vidéo, le maire adjoint de Kachkous, près du Caire, Mohamed el-Mougharbil, précise que des produits chimiques sont déversés sur les animaux entassés dans des camions, provoquant lentement leur mort.

 

Ali Chaabane, le chef de la décharge où ils sont enfouis, le confirme. « Les cochons sont recouverts de produits chimiques, on les laisse pendant 30 à 40 minutes jusqu’à ce qu’ils meurent puis on les jette dans la fosse ».

 

Mais au ministère de l’Agriculture, on dément la mort par voie chimique. « Ce sont des désinfectants, les cochons sont égorgés avant d’être enterrés« , affirme à l’AFP Saber Abdel Aziz Galal, chef du département des maladies infectieuses.

 

Pourtant, dans la vidéo d’Al-Masri Al-Yom, les cochons jetés dans la chaux ne présentent aucune trace de sang. D’autres photos obtenues par l’AFP montrent des cochons ensanglantés, éviscérés mais non égorgés.

 

Interrogé par l’AFP, le cheikh Salim Mohammed Salim, chef du conseil des fatwas de l’université Al-Azhar, estime que tuer ainsi un animal est « strictement interdit par l’Islam ». « Quel qu’il soit, y compris un porc! ».

 

Un reportage publié dans l’hebdomadaire gouvernemental Al-Ahram Hebdo dénonce la pagaille qui règne à Bassatine, le grand abattoir du Caire où les porcs doivent être mis à mort, au rythme de 1.200 par jour.

 

« Seuls les mâles sont tués conformément aux règles », note la journaliste Heba Nasreddine, alors que « les petits porcs et les truies sont assommés avec une barre de fer et on les laisse saigner jusqu’à ce qu’ils meurent ».

 

Une pétition pour demander au gouvernement égyptien de mettre fin « à la tuerie brutale » des porcs a aussi été mise en ligne sur « Care2 ».

Source: http://www.pointdebasculecanada.ca/

13/11/2010

Islamisation: nous devons faire front devant les atteintes à la neutralité de l’Etat.

 

Quelles relations avec la minorité musulmane ?

Par Aldo-Michel Mungo


Lundi dernier à Bruxelles, le Comité de pilotage des Assises de l’Interculturalité présentait, à la demande du gouvernement belge, ses « propositions pour une société ouverte », véritable catalogue de revendications des musulmans radicaux. Dès l’introduction, on peut lire cette phrase stupéfiante : « Les principes d’égalité entre citoyens, de lutte contre le racisme et la xénophobie et d’égalité de l’homme et de la femme ne sont pas absolus, ils coexistent avec d’autres principes, ce qui parfois entraîne la nécessité d’une mise en balance ». Ce samedi 13 novembre aura lieu un colloque à l’Institut de Sociologie de Bruxelles intitulé « Bruxelles musulmane en 2030 ? » et qui fait suite à une enquête parue au début de l’année dans le magazine Le Vif / L’Express. Tout comme Karl Marx posait la « question juive » au 19ème siècle, désormais nous devons nous demander s’il existe une « question musulmane » dans l’Europe du 21ème siècle. Incontestablement l’article de Daniel Pipes (directeur du Middle East Forum et membre de l’Institut américain pour la paix), paru en mars 2007, sous le titre « Les options peu engageantes de l’Europe », pose la vraie question : « À long terme, l’évolution la plus décisive du continent européen, celle de ses relations avec sa minorité musulmane croissante, suivra l’une de ces trois voies: intégration harmonieuse, expulsion des Musulmans ou prise de pouvoir islamique ». Le scénario d’une capitale européenne, Bruxelles, devenant une ville musulmane dans à peine 20 ans n’est pas de la politique fiction. Pourquoi ce scénario est-il inquiétant ? Pas parce qu’il faut s’opposer aux religions, notamment à l’islam. Pour ma part, les croyances des gens, leur spiritualité, je ne m’en soucie guère. Chacun est libre de croire ou de ne pas croire. Il existe en Belgique deux principes qui règlent cette question : la liberté religieuse et la neutralité de l’Etat. Cela veut dire que la religion est libre de s’exprimer tant qu’elle n’interfère pas dans le fonctionnement des institutions, et tant que le prescrit religieux ne s’impose pas aux autres citoyens. Notre cohésion sociale repose en grande partie sur ce  socle égalitaire. C’est un contrat social qui garantit la neutralité de l’Etat dans le traitement égal de chaque citoyen. Dans nos états occidentaux, la religion n’a pas à intervenir dans la vie de la Cité. Aucune loi, aucune norme ne peut être dictée par une autorité ou une pratique religieuse et s’imposer aux autres citoyens. La neutralité de l’Etat n’a pas été facile à obtenir : souvenons-nous des conflits qu’il a fallu régler pour que l’Eglise catholique se retire du champ politique. Mais dans le même temps, les chrétiens ont conservé le droit de croire et de pratiquer en toute liberté leur religion, dans la sphère privée. Le problème est ailleurs. Il n’est pas religieux, il est politique. Ce qui est en cause, ce n’est pas la religion musulmane, c’est l’islam politique qui veut introduire la charia dans notre société. Car tout nous démontre que l’islam politique veut transformer la façon de vivre des habitants de notre continent. Et n’ayons pas peur des mots : l’islam politique est une idéologie d’extrême droite, fascisante, qui instrumentalise la religion pour parvenir au pouvoir et régir la Cité de manière totalitaire. Le problème n’est pas religieux, il est politique. ET SOCIAL. J’insiste sur le mot : social. Car que se passera-t-il si nous continuons à faire des concessions aux nouveaux bigots barbus ? Nous vivrons tout simplement une vaste régression sociale. Nous reviendrons sur plus d’un siècle de conquêtes sociales: l’émancipation de l’individu face au clergé, l’égalité hommes-femmes, la laïcité, la séparation de l’Eglise et de l’Etat, la mixité, le droit à l’enseignement pour tous, le droit au travail, la fin des prescrits religieux, la liberté d’expression et de pensée. En un mot, la fin des dogmes imposés par les clercs. C’est cela qu’une minorité de musulmans tente de remettre en question. Je parle d’une minorité de musulmans. Mais hélas, ce sont les plus actifs, les plus visibles et les plus nuisibles. Je dirais aussi: les plus malins. Car les politiques actuelles, qui acquissent aux revendications des nouveaux piétistes, conduisent au communautarisme et au repli sur soi identitaire. Et il faut rompre avec cette politique qui multiple les concessions à l’islam rigoriste. C’est l’attitude la plus humaniste, la plus sociale, la plus progressiste car c’est le combat des Lumières. Que constatons-nous dans certains quartiers de nos grandes villes ? Une atmosphère étouffante, des pressions et des injures visant les femmes qui ne portent pas le voile, l’interdiction de fait des commerces qui ne sont pas halal. C’est-à-dire la disparition de tout commerce vendant de l’alcool, du porc et tout ce qui est « illicite » aux yeux des nouveaux inquisiteurs religieux. Des écoles où les enseignants ne peuvent plus parler du darwinisme, des croisades ou de la Shoah sans se faire insulter. Des mosquées qui dictent leur volonté à des dirigeants de gauche qui, par électoralisme, ont tourné le dos à la laïcité. Par actions disséminées, les islamistes transforment nos villes et introduisent petit à petit des éléments de la charia pour tenter d’en faire des villes musulmanes. Mais il faut oser le dire : la charia est contraire aux valeurs de notre civilisation gréco-chrétienne. D’ailleurs, la plus haute juridiction du continent, la Cour européenne des Droits de l’Homme, a dit pour droit le 31 juillet 2001 que la charia est incompatible avec le régime démocratique. Il faut donc cesser de discutailler avec les islamistes sur leurs revendications. Il faut cesser d’accepter leurs coutumes qu’ils tentent de nous imposer. Car il faut être sot ou lâche pour ne pas admettre que l’islam est à l’assaut de l’Europe et de sa capitale. Mais il y a plus grave : un nouveau racisme, qui s’identifie aux vociférations des rappeurs, se manifeste de manière effrayante. Des nouveaux barbares, au vocabulaire limité, crient leur haine contre « les fils de pute » que sont les Français, les Belges, les juifs, les femmes, les homosexuels et les blancs en général. Cela se traduit de plus en plus souvent par des agressions gratuites ultra-violentes. Dont sont victimes en premier lieu les homosexuels et les juifs. Il est intolérable que, dans nos villes, les enfants juifs ne puissent plus aller à l’école publique et doivent se terrer dans des blockhaus gardés par la police. Comment sommes-nous arrivés à une telle situation ? La Belgique est une société d’accueil. Il est vrai que les contingents d’immigrés musulmans, à partir des années ’60, ont été recrutés pour servir les intérêts de l’industrie belge, nous ne l’oublions pas. Mais aucun ouvrier n’a été déporté de force, chacun a été payé et personne n’a été retenu contre son gré en Belgique. Ils ont été accueillis comme l’ont été les immigrés polonais, italiens, espagnols, portugais, et bien d’autres avant eux. Comme l’a été mon père. Comme l’ont été vos pères, mères ou grands-parents. Car cette terre est depuis toujours une terre d’immigration et nous sommes tous des descendants d’étrangers. Nous avons ensuite permis à ces nouveaux immigrés de s’établir et de faire venir leur famille; nous leur avons octroyé les droits et les avantages acquis par nos aïeux ; nous avons accordé la nationalité belge à ceux qui la demandaient. Nous avons ouvert nos dispositifs sociaux à des dizaines de milliers de réfugiés conformément aux conventions de Genève ; nous avons régularisé massivement les sans-papiers, nous avons financé la formation des arrivants et l’instruction de leurs enfants pour permettre leur intégration. Pour éviter la concentration des enfants d’immigrés, nous avons même perdu la liberté d’inscrire les nôtres dans l’école de notre choix. Tout cela, les Belges l’ont fait par souci de responsabilité sociale. Nous l’avons fait avec un esprit universaliste, croyant de bonne foi que ces immigrés musulmans souhaitaient vraiment partager nos valeurs et notre style de vie. La société belge a accepté ces efforts parce que l’on a cru que « ça allait prendre », que l’apaisement viendrait, que le « creuset » finirait par fonctionner comme avec les Italiens ou les Espagnols intégrés depuis belle lurette. Mais il faut bien constater que, pendant ce temps, l’ensemble des citoyens belges a dû supporter au quotidien les débordements violents d’une partie de la jeunesse édifiant une culture de la haine qui n’a plus de limites aujourd’hui. Il faut bien constater aussi que certains musulmans radicaux tendent maintenant à revendiquer la non-intégration comme un droit. Nos dirigeants politiques n’ont pas eu le courage d’identifier les signes de l’échec. Ils n’ont pas osé prendre les mesures indispensables pour préserver la cohésion sociale quand il devenait évident qu’elle était en péril … et quand il était encore temps ! Ils ont préféré taxer ceux qui ne se plaignent pas pour apaiser à coups de subsides ceux qui se plaignent sans arrêt. Les nains ont regardé leurs chaussures dès que les problèmes ont surgi. Paralysés par le « politiquement correct », les politiciens ont abandonné le principe – pourtant parfaitement légitime – qui commandait aux immigrés de s’intégrer dans la société d’accueil en assimilant sa culture. Quelques associations antiracistes ont réussi à imposer le droit à la différence pour les immigrés musulmans et l’obligation de s’adapter pour le reste de la population. Les politiciens au pouvoir sont allés jusqu’à entériner le « multiculturalisme », cette idéologie hasardeuse selon laquelle des patrimoines de valeurs complètement différents peuvent former une société cohérente. Ce multiculturalisme n’a jamais été un projet politique examiné démocratiquement ; il a été imposé par quelques associations qui ne représentent pas le peuple belge. Et les politiciens au pouvoir, à quelques exceptions près, n’ont pas eu le courage de s’y opposer. Les nains à nouveau ont regardé leurs chaussures. Aujourd’hui, la multiculturalité est désormais rebaptisée interculturalité, un nouveau concept qui signifie essentiellement que toute croyance – aussi ridicule ou ignoble soit-elle – est correcte et acceptable au nom de la diversité. Ce qu’il aurait fallu c’est fixer l’intégration sociale comme mesure de notre capacité d’accepter de nouveaux arrivants. En d’autres mots : au moment où l’intégration est tombée en panne, il aurait fallu arrêter l’immigration et consacrer l’effort public à intégrer ceux qui se trouvaient déjà là. Au lieu de cela, on continue à ouvrir nos frontières à des pauvres gens que nous ne sommes pas en mesure d’intégrer, pour lesquels nous n’avons ni logement, ni travail. Evidemment, il aurait fallu prendre des mesures impopulaires ; il aurait fallu être ferme ; affronter les gémissements de la gauche bourgeoise et les accusations de racisme des Bobos. Les politiciens n’ont pas eu ce courage ; ils se sont laissé intimider par l’Inquisition antiraciste; ils ont préféré soigner leur image, assurer leur carrière… Et regarder leurs chaussures. Mais il faudra un jour mettre les pieds dans le plat en posant la question fondamentale : à qui doit-on la radicalisation des musulmans en raison du laxisme et de l’instauration du tabou autour de l’intégration ? Pour résoudre le bien-vivre ensemble, il faudra davantage que cinq minutes de courage politique. Il faudra faire le choix de la parole vraie, de la rigueur intellectuelle. Que faire, me demanderez-vous ? Que proposer face à ce défi ? Il n’y a pas de solution miracle mais il y a un passage obligé : nous devons faire front devant les atteintes à la neutralité de l’Etat. Nous devons refuser catégoriquement les privilèges qui sont réclamés pour des raisons religieuses, en dérogation à nos lois démocratiques. Il nous revient le droit de contraindre à respecter notre contrat social quiconque prétend le violer. Le vivre ensemble implique un changement radical d’attitude de la part de chacun. D’une part, il faut cesser de voir en étranger tout homme dès lors qu’il n’est pas blanc: le sens de la citoyenneté n’a pas de couleur. Mais il faut être intraitable avec ceux qui escomptent violer les valeurs du contrat social sous prétexte de leur propre origine. A cet égard, la tolérance n’est pas de mise, et la contrainte est de rigueur. Le mérite de l’Etat moderne est d’avoir aboli les privilèges ; nous ne devons pas tolérer qu’ils soient rétablis, au nom d’un dieu hypothétique. Nous devons refuser toute concession au communautarisme. Et attention, aux soi-disant « accommodements raisonnables » qui ne sont rien d’autre, absolument rien d’autre, que des privilèges religieux, des lois particulières édictées pour quelques-uns. Si nous en admettons le principe, il sera impossible de faire marche arrière ensuite. Il faut refuser ces revendications déjà acceptées par les ECOLOS et le CDH. Des revendications qui tendent à instaurer le développement séparé des différentes composantes de notre société. Ceux qui prônent ces « accommodements raisonnables » vont dresser définitivement des murs infranchissables. En effet, si chacun obtient satisfaction sur des particularismes identitaires, que restera-t-il du « vivre-ensemble » ? Rien. Il restera une société fondée sur le développement séparé. Une société ségrégationniste. Une société fondée sur le principe de l’apartheid. Il faut dire non aux accommodements raisonnables qui sont la porte ouverte à la scission de la société sur des bases uniquement religieuses et qui vont organiser la société dans l’hystérie piétiste du « pur » (le Halal) et de l’ « impur » (le Haram). Nous ne pouvons nous accommoder de différences religieuses essentiellement revendiquées par des idéologues fondamentalistes et rétrogrades. Car, dans notre société, aucun groupe ne peut se prévaloir de privilèges : tout le monde est sur le même pied. Ces revendications se fondent sur le postulat que plusieurs civilisations peuvent coexister sur le même sol. Cela est faux car cela mène à la guerre civile. Et, c’est évident, seule la position laïque est à même d’assurer la paix civile. Les seuls « accommodements vraiment raisonnables » sont ceux qui s’imposent aux derniers arrivants, comme l’exige la plus élémentaire courtoisie. Ce que nous proposons à nos concitoyens musulmans, en plus de toute notre assistance, de toute notre solidarité sociale, à côté de tous les avantages qu’il y a à vivre en Belgique, c’est simplement qu’ils s’accommodent de nos institutions, de notre mode de vie et de nos traditions. Ce que nous leur proposons – amicalement, avec tout le respect qui leur est dû, avec toute la considération pour les circonstances parfois difficiles qui les ont amenés à émigrer – c’est de devenir partenaires de notre contrat social et de devenir belges à part entière. Mais nous ne pouvons accepter l’ingérence de considérations religieuses, ni donner une légitimité institutionnelle quelconque à cet effet, et encore moins considérer des financements pour de tels agencements. Un contrat, c’est un accord par lequel chacune des parties obtient un droit qui est assorti d’un devoir. En l’occurrence, le devoir est de se soumettre aux mêmes règles que les autres citoyens. Le rejet de ce devoir doit être compris comme un rejet de la citoyenneté belge. Et de cela, chacun doit tirer les conséquences qui s’imposent. Nous devons être intraitables sur la liberté de conscience et d’expression; sur le pluralisme philosophique ; sur l’égalité des droits entre les individus, hommes et femmes ; sur la neutralité de l’Etat ; sur le respect de toutes les minorités ; sur la soumission au processus démocratique ; sur la soumission aux lois nationales ; et sur le respect des traditions et des usages qui sont les nôtres. Les valeurs de la démocratie bénéficient à tous, y compris aux ennemis de la démocratie. Ces valeurs sont notre force. Prenons garde à ce qu’elles ne deviennent pas notre faiblesse. Nul n’entend renoncer à l’Etat de droit ; ce serait renoncer à nous-mêmes. Mais si notre droit est impuissant à faire respecter notre mode de vie, changeons-le ! Mais que constatons-nous encore ? Une vaste régression sociale que beaucoup refusent de voir. Je veux parler de la relégation d’un nombre croissant de femmes musulmanes à la maison parce que leurs maris rétrogrades ne veulent pas qu’elles travaillent avec des hommes. D’une dégradation sanitaire parce que des hommes qui pensent encore vivre au Moyen-âge interdisent à leurs femmes de se faire soigner par d’autres hommes. Des organisations islamistes sont arrivées en très peu de temps à mettre en place une société parallèle, avec son propre ordre, ses propres lois. Pourquoi accepterait-on des imams ce qu’on a dénoncé chez les curés ou chez les rabbins ? Pourquoi cherche-t-on à se rendre sympathique auprès de ceux qui considèrent nos filles comme des putes parce qu’elles ne sont plus vierges ? Lors des prochaines années, de nouvelles revendications vont surgir et contrarier notre droit. Elles seront influencées par les nouveaux bigots et piétistes qui seront appuyés et financés par des organisations et des pays du Moyen-Orient. Parmi ces organisations, celle des Frères Musulmans, la plus dangereuse, a déjà infiltré divers mouvements, associations et partis politiques ; ici en Europe, dans tous les pays d’Europe. Aujourd’hui, nous sommes confrontés à un vaste chantier d’endoctrinement sur l’infériorité des femmes mené par des prédicateurs, via les télévisions par satellite, les cassettes audio et les prêches dans les mosquées de certains imams autodidactes. Que cela soit clair : nous nous opposerons de toutes nos forces à toute volonté d’imposer dans notre pays les lois tribales des bédouins du septième siècle ! Le regroupement familial, qui n’a jamais été sérieusement régulé, aboutit à l’arrivée en grand nombre de femmes et de jeunes femmes sévèrement voilées. Ces femmes sont les victimes d’un endoctrinement politique dispensé sous couvert de la religion. Mais c’est clair : elles ne peuvent pas s’intégrer, elles ne s’intégreront jamais dans le marché du travail. Leur famille, leur mari, ne le veulent d’ailleurs pas. La Belgique en est donc réduite à ne plus être qu’un vaste guichet de CPAS. Une machine à distribuer l’assistanat. Ce n’est pas tenable. Ce n’est pas digne. Ni pour ces femmes, ni pour leurs enfants, ni pour les travailleurs belges ou immigrés installés de longue date et qui, eux, se sont intégrés. Pour résoudre de manière efficace et rapide ces problèmes, il faut que les populations immigrées soient coupées des Etats étrangers qui tentent d’influer sur notre territoire. Il faut réguler plus strictement le regroupement familial et les régularisations. Il faut réformer l’accès à la nationalité. Ce stop migratoire permettra aux ghettos de se dissoudre dans l’ensemble de la population et de refonder le contrat social qui est le socle du vivre ensemble. Mais il faut aller vite, on ne peut plus attendre des décennies pour renverser la vapeur. Il faudra déplaire, il faudra mettre absolument les points sur les « i ». Ce sera un combat quotidien et le résultat dépendra des électeurs qui, conscients de la situation actuelle, décideront de nous suivre. Car dans une démocratie, ce sont les électeurs qui ont le dernier mot. Quels sont les principales victimes d’une immigration mal ou pas régulée, et qui est majoritairement, c’est un fait, d’origine musulmane ? Les études sont formelles, à cet égard : ce ne sont pas les grands patrons qui sont pénalisés ! C’est le peuple, bien sûr ! Les victimes sont les travailleurs qui ont un petit salaire, et parmi eux beaucoup de Belges d’origine immigrée qui bossent, vivent paisiblement et refusent que l’islam politique contrôle leur vie. Lorsque nous disons « Bruxelles, ville musulmane rétrograde, non merci ! ». Lorsque nous disons « immigration non contrôlée, non merci ! ». Lorsque nous disons « les passe-droits pour les partisans de l’islam politique et les barbus, non merci ! ». Lorsque nous nous battons pour défendre nos valeurs, notre mode de vie. Lorsque nous dénonçons cette gauche irresponsable qui renie la laïcité et noue des alliances avec les représentants les plus bigots des mosquées. Lorsque nous nous opposons aux ECOLOS et au CDH qui font élire des femmes voilées ou les nomment dans l’administration. Lorsque nous tenons ce discours pour que notre société se ressaisisse et relève la tête, Nous sommes à la pointe d’un combat qui est profondément social. Nous sommes les remparts de la démocratie. Pendant trop longtemps, le politiquement correct imposé par la gauche a malmené notre liberté d‘expression. Une petite caste d’intellectuels gauchistes et des staliniens rabiques  comme Philippe Moureaux, l’homme qui a transformé certains quartiers de sa commune Molenbeek en vitrine du Hamas, nous ont muselés durant trop d’années. Tous ces gens nous ont interdit de tenir un langage de vérité. Ils nous ont interdit, tout simplement, de décrire les faits. Je crois que ce temps là est révolu. Ils ne nous feront plus taire ! Leurs insultes, plus personne ne les écoute. Ils sont pathétiques quand ils nous accusent d’être « racistes » ou « xénophobes ». Ils ne sont pas seulement odieux. Ils sont surtout ridicules. Voilà pourquoi j’affirme que les conservateurs, ceux qui organisent la régression sociale pour les femmes, les travailleurs et les jeunes, ce sont les leaders de gauche. C’est particulièrement clair, à Bruxelles, où le gouvernement de l’Olivier montre son aveuglement et son incompétence face à la volonté d’islamisation de certaines zones de la ville où nos valeurs, nos priorités, notre conception de la démocratie, n’ont plus droit de cité. Cette gauche liberticide nous dit « ce débat est nauséabond » ! Et je leur demande pourquoi ne peut-on en débattre ? Parce qu’il y est question d’immigration et d’islam ? Quelle surprise ! En 50 ans, la composition ethnique, culturelle et religieuse de nos villes et campagnes a changé plus vite et plus profondément qu’au cours des 10 derniers siècles, mais il ne faudrait surtout pas en parler ? L’islam identitaire de nos villes a progressé en même temps que le djihad mondial mais ceux qui posent des questions sont des salauds. Que des « jeunes en colère » revendiquent leur citoyenneté en proclamant leur haine de l’Occident, rien de plus normal. C’est de l’amour déçu – une déception dont nous serions largement fautifs. Sur tout cela, silence radio parce qu’on risque de déraper, c’est-à-dire de sortir des clous tracés par la coalition de l’aveuglement. Il faut comprendre ces bons esprits : quand on n’a à sa disposition qu’un bouton pour dire oui et un autre pour dire non, ou un seul pouce qu’on peut lever ou baisser, toute question est un piège affreux. Soit l’immigration est une chance, soit elle est une catastrophe. Ange ou salaud, nuance interdite. Citoyens, n’ayons plus peur ! Ne restons plus sur la défensive. Nous sommes animés par la seule volonté que l’Europe ne bascule pas dans une autre civilisation ! Affirmons sereinement, mais avec détermination : Le refus du communautarisme, c’est nous ! La volonté de vivre mieux, dans une ville plus conviviale, qui ne peut plus  être ouverte à une immigration non régulée, c’est nous ! Le refus de la loi de la jungle, où les plus radicaux font la pluie et le beau  temps et écrasent les faibles, c’est nous ! La solidarité avec ces jeunes filles qui refusent  de porter le voile islamique et sont persécutées par les « grands frères », les extrémistes et les adeptes du double discours de Tariq Ramadan, c’est nous ! Vous aussi devenez des Résistants. Ensemble, résistons à l’injustice, à l’obscurantisme, à la remise en cause de l’égalité hommes-femmes. A la négation de notre identité. Citoyens, RESISTONS et partons à la reconquête de nos valeurs. Ce combat, c’est celui de la démocratie au service de la liberté. C’est le combat de la démocratie au service des droits individuels dans une société dont l’Etat garanti aussi la sécurité de chacun. Ensemble, ayons la passion de convaincre autour de nos idées et de nos projets. Citoyens, les seuls combats que l’on perd sont ceux que l’on ne mène pas ! Menons ensemble celui-ci.

04/11/2010

Massacre dans la cathédrale de Bagdad: un fait divers ?

Le relais de cette info par les médias est tout simplement HONTEUX !!! Des extrémistes musulmans massacrent des chrétiens en prière dans leur cathédrale et ça devient un fait divers. En revanche, taguer une mosquée en France est un crime… Cherchez l’erreur.

FDF

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Bagdad


Dimanche 31 octobre, 17 heures, heure locale. Un groupe d’hommes lourdement armés pénètre en pleine messe dans la cathédrale Notre Dame du Perpétuel Secours. Un prêtre qui tente de s’interposer est abattu de sang froid. Sept fidèles qui tentent de s’enfuir sont stoppés par une grenade. Bilan final 52 morts et 67 blessés, en majorité des femmes et des enfants, sans compter 5 « moudjahidines »…

Avez-vous remarqué combien les medias Français sont restés discrets sur ce massacre ? Rien par exemple dans le Monde.fr de lundi. Un article en bas de page dans la plupart des journaux papier. Pour les radios, l’information arrivait bien après le mauvais temps, le réapprovisionnement des stations services ou les embouteillages de la Toussaint. Quant aux télés, elles se sont contentées du minimum syndical, quelques images de la Cathédrale, et le pape filmé à sa fenêtre au Vatican, avec en commentaire « off » une prière pour les victimes, et c’est à peu près tout… A croire que 52 chrétiens assassinés et 67 blessés ne sont que remplissage de fin de journal à côté d’une information aussi vitale que le dérapage d’un Jean-Paul Guerlain, qui eut naguère l’honneur de la une de tous les médias de France et de Navarre.

Et je ne vous raconte pas les médias Arabes. Sur Al Jazeera, l’information défilait plus vite qu’un TGV en rase campagne, et aussi rarement que les mêmes TGV un jour de grève générale à la SNCF.

Quant aux politiques, Français ou Moyen-Orientaux, ils se sont empressés pour la plupart de ne rien dire, ou, s’ils étaient acculés à parler, à exprimer leur tristesse, ça n’engage à rien et ça fait plaisir aux familles !

Maintenant que vous avez lu ce qui précède, fermez les yeux, respirez profondément, et imaginez un scénario identique, mais nous serions en Europe, l’église serait une mosquée, et les victimes des musulmans surpris en pleine prière du vendredi… Vous vous souvenez du barnum après les caricatures de Mahomet ? Et encore, là, il n’y avait pas eu mort d’homme, de femme ou d’enfant.

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Alors quelles leçons tirer du traitement médiatico-politique de ce massacre ?

Au moins trois, pour faire court :

Primo, pour les médias arabes, qui ne font qu’exprimer la sensibilité de leurs pays respectifs, il est clair que des Arabes Chrétiens ne sont pas vus comme des citoyens comme les autres. Dans les pays Arabes, ce n’est ni le droit du sang, ni le droit du sol qui font la nationalité. Pour être un citoyen Arabe à part entière, il faut être musulman. Sinon, on vous offre trois choix : vous convertir, déguerpir, ou mourir. D’ailleurs, pour ceux qui en douteraient, à part au Liban où une forte minorité chrétienne maronite résiste tant bien que mal, il n’y a quasiment plus de Chrétiens ni de Juifs (en dehors d’Israël, évidemment) au Moyen Orient.

Secundo, il est clair que nos médias et nos politiques Français, pris dans le piège du Droit de l’Hommisme à sens unique, de la honte et de la repentance coloniale, sont tétanisés dès qu’il s’agit de s’exprimer sur un événement qui pourrait de près ou de loin avoir un rapport avec une « minorité visible » : comment informer ou condamner le massacre de chrétiens par des musulmans, fussent-ils Islamistes, sans être accusés de mettre dans un même sac islamo-xénophobe l’immense majorité pacifique des musulmans Français et une infime minorité Islamiste sanguinaire et irresponsable ?

Tercio, l’Islam des Lumières que l’on essaie de nous vendre en Occident, c’est un roman à l’eau de rose. La réalité d’aujourd’hui, n’en déplaise à nos éternels « concons la joie », elle est bien visible et mesurable au Moyen-Orient, et l’on ne peut que constater qu’ il n’y a pas un seul pays musulman qui pratique aujourd’hui la tolérance, l’acceptation de l’autre, la réciprocité… La réalité de l’Islam d’aujourd’hui, c’est l’Islam des « Ténèbres », inscrit dans les lois, us et coutumes de tous les pays musulmans…

Je ne dis pas pour autant que tous les musulmans sont extrémistes, je crois au contraire qu’une immense majorité de musulmans n’aspire qu’à vivre paisiblement sa vie et sa foi, à côté des chrétiens, des juifs, des bouddhistes et même des incroyants. Mais la réalité de tous les jours, c’est qu’il y a une minorité de musulmans qui veulent la guerre, jusqu’à l’extermination des infidèles. Et l’Histoire nous montre depuis la nuit des temps que les majorités molles ne gagnent pas devant les minorités dures.

Toute la question est là : allons-nous être assez mous, et quand je dis « nous », j’inclus les musulmans de France, pour laisser une minorité fanatique et obscurantiste nous asservir ?

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