Francaisdefrance's Blog

26/12/2011

Blagounette…

Les qualifications de « halal » et « haram » concernent notamment l’alimentation du musulman : par exemple manger du poisson est halal, alors que manger du porc est harâm. Pour que la viande soit halal, il faut que l’animal égorgé vivant ne soit pas préalablement étourdi et ait la tête tournée vers La Mecque pour qu’il se vide de son sang2. Un musulman doit lui couper la carotide et les jugulaires, tout en prononçant des paroles sacrées (Bismillah allahou akbar: Au nom de Dieu le plus grand).

Ah celle là, elle est pas mal…

Faites suivre.

FDF

.

Un musulman doit se faire opérer de l’appendicite.

On l’emmène dans la salle d’opération et il voit le chirurgien qui vient vers lui avec un grand couteau.

– Hé docteur ! je ne suis pas encore endormi !!!!!!!! 

– Je sais, dit le chirurgien, mais aujourd’hui j’opère halal.

Merci à Babette…

14/02/2011

L’hypocrisie du halal dans les cantines.

Halal pour tout le monde? C’est ce qu’on va voir !

Il faut se mettre une bonne fois dans la tête que aucune « règle religieuse » n’a à « être respectée » dans nos établissements publics!

Nous sommes en République Française, merde !

FDF

.

Un article sur les cantines scolaires publiques de Reims (Marne) me fait bondir. Non pas que l’auteur prenne une position qui me choque : il reste d’une neutralité remarquable en cette époque de grande dhimmitude de certains journalistes Mais il est vrai que la presse de province est moins soumise au diktat politico-médiatique que le microcosme parisien d’idiots utiles. Ce qui me choque dans cet article, c’est qu’une fois de plus l’islam veut imposer sa charia de Bédouins du 7ème siècle dans les services publics de la République, et qu’une fois de plus il y a des fonctionnaires zélés qui sont prêts à trahir nos valeurs et nos lois pour celles de l’islam.

L’article commence par une interrogation forte : « Les cantines rémoises auront-elles leurs menus halal ? » Inutile d’expliquer encore et encore que la réponse républicaine et laïque ne peut être que trois fois non. Non, on ne reconnaît pas une religion dans l’espace public. Non, il n’y a aucune raison de financer ainsi indirectement le culte d’Allah et de Mahomet. Non, il ne faut en rien cautionner la cruauté sadique de l’égorgement halal (ou casher) et les souffrances animales qui en résultent.

L’article dit que derrière le vocable hypocrite de « menus spéciaux » s’abrite le débat du « respect des règles religieuses au sein de l’école de la République ». Là encore, ce n’est même pas à discuter : aucune « règle religieuse » n’a à « être respectée » dans nos établissements publics.

On note une « augmentation considérable des demandes » : « quelques cas isolés au milieu des années quatre-vingt-dix » et 1165 sur 6350 enfants qui refusent aujourd’hui de manger du porc. Ca donne la mesure de l’islamisation de notre pays et du rejet de l’assimilation et de l’intégration des parents de ces enfants.

Sur le faux problème spécifique du porc, l’article ne tombe heureusement pas dans le politiquement correct. Il dit que ces enfants « refusent » de manger du porc (sur l’injonction de leurs parents évidemment) et non pas comme on le lit habituellement, qu’ils ne « peuvent pas » manger du porc…

Suite et source: http://tinyurl.com/6bhnwjc