Francaisdefrance's Blog

19/12/2011

Haine anti-chrétienne en Malaisie: ça tourne au ridicule.

C’est comme chez nous, il fallait que les muezzins demandent la permission d’hurler du haut de leurs minarets plusieurs fois par jour pour appeler les « frères » à la prière. Mais nous n’en sommes pas encore là… Heureusement.

FDF

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Pour chanter des « Noëls » chez soi en Malaisie, il faut l’autorisation de la police…

Dans le chapitre des persécutions antichrétiennes avec entonnoir sur la tête et promenant sa brosse à dents au bout d’une laisse, la Malaisie, pays où l’islam est la religion d’État, tient le pompon ! Voyez cette information publiée par l’Agence Fides aujourd’hui. Ce serait à se tordre si derrière ces tracasseries policières ne se dissimulaient pas une haine antichrétienne prête à prendre un tout autre tour…

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Deux églises de Klang, un faubourg de Kuala Lumpur, ont reçu une note de la police demandant les noms et des détails concernant les personnes qui chantent les chants de Noël (les traditionnels “carols”) parce que, selon les auteurs, une autorisation préalable des forces de l’ordre est nécessaire pour pouvoir les exécuter dans les églises et dans les maisons. Ainsi que le remarquent des sources locales de Fides au sein de la communauté chrétienne, les croyants qualifient de telles requêtes « d’absurdes et inadmissibles ». Le Père Lawrence Andrew, jésuite et directeur de l’hebdomadaire diocésain « Herlad » explique à Fides : « Il s’agit d’une interprétation restrictive des normes existant en matière d’exercice de l’activité de culte et de liberté de religion. La police est en pleine confusion. Après les protestations des chrétiens, les représentants du gouvernement ont démenti la nécessité de telles autorisations ».
Dans une note envoyée à Fides, S.E. Mgr Paul Tan Chee Ing, évêque de Melaka-Johor et président de la Conférence épiscopale, affirme que de telles restrictions rendraient le pays « presque un État policier » si les agents devaient continuer à prétendre « de telles procédures bureaucratiques ».
Des sources de Fides estiment qu’il y aurait des motifs politiques et électoraux derrière les épisodes de ce genre. Le Premier Ministre Najib Razak avait fait naître des espoirs au sein de la société civile en ce qui concerne l’avènement d’une nouvelle ère de réformes du fait de sa décision d’abroger une série de lois particulièrement détestées comme la loi sur la sécurité intérieure (ISA) introduite en Malaisie après l’indépendance de la Grande-Bretagne en 1957. La loi en question permet la détention sans procès et impose des limites à la presse et aux droits de réunion. Le document aurait dû, selon la promesse du gouvernement, être remplacé par une nouvelle loi en 2011, loi qui aurait été conçue pour aligner la Malaisie sur les normes internationales. Le gouvernement, notent des sources de Fides en Malaisie, s’était prononcé dans ce sens afin de rassurer la population après les manifestations du mouvement « Bersih 2.0 » (dont le nom signifie nettoyage) qui ont eu lieu à Kuala Lumpur en juillet dernier et réclamaient « transparence et droits ».
Un nouveau projet de loi dénommé « Peaceful Assembly Bill » qui règlemente l’exercice du droit de réunion et de manifestation, déjà approuvé au cours de ces dernières semaines par la Chambre basse du Parlement, attribue en revanche plus de pouvoirs de contrôle préventif à l’exécutif et aux autorités de police et a suscité des protestations au sein de la société civile ainsi que parmi les minorités religieuses, rassemblées au sein du « Malaysian Consultative Council of Buddhism, Christianity, Hinduism, Sikhism and Taoism ». La mesure spécifie en effet expressément que « les lieux où ne pourront pas non plus se tenir d’attroupements sont également les lieux de culte ». Selon Teresa Mok, Secrétaire national du Parti d’Action démocratique, les nouvelles règles constituent « un abus de pouvoir de la part des autorités » et « une tentative de violer la liberté religieuse ».

Source: http://www.christianophobie.fr/

28/10/2011

En Malaisie, Elton John est « haram »…

Christianophobes, homophobes, racistes anti-blancs, fêlés, momophiles, massacrophiles, (liste non-exhaustive…) je me demande bien qu’est-ce qui ne tourne pas rond chez ces gens là…

Et ça, ce n’est pas corrompre la jeunesse ?

http://sitamnesty.files.wordpress.com/2009/09/presentation_ecole_coranique.pdf

FDF

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Malaisie: un parti islamique veut faire interdire un concert d’Elton John

Le parti Se-Malaysia (PAS) estime que par son homosexualité, le chanteur britannique prône «l’hédonisme».

Après Ricky Martin, dont le concert au Honduras a été interdit aux moins de 15 ans, c’est au tour d’Elton John de voir un de ses spectacles menacé en raison de son homosexualité. Des membres d’un parti islamique d’opposition en Malaisie ont en effet réclamé l’interdiction du concert du chanteur prévu le 22 novembre prochain dans un centre de vacances proche de la capitale Kuala Lumpur.

«De l’hédonisme»
«Ce n’est pas bon. Dans l’islam, l’homosexualité est interdite», a expliqué un représentant du parti Se-Malaysia (PAS). «Ce que fait Elton John est de l’hédonisme. L’hédonisme n’est pas bon pour l’islam», a-t-il ajouté, indiquant que le concert du chanteur serait source de corruption pour la jeunesse malaisienne.

Malgré la demande du PAS, le concert d’Elton John, qui est actuellement en tournée mondiale dans le cadre de son «Greatest Hits Tour», devrait se dérouler comme prévu au casino du centre de vacances de Genting Highlands. Le parti islamique d’opposition a l’habitude de protester lorsque des artistes occidentaux se produisent en Malaisie, affirmant qu’ils font la promotion d’un style de vie «aux mœurs légères» et corrompent la jeunesse. Malgré ces protestations, la quasi-totalité des concerts visés se sont déroulés sans incident, même si les artistes sont parfois contraints de respecter certaines règles strictes, comme ne pas trop se dénuder sur scène ou ne pas s’embrasser.

Source: http://www.tetu.com/

18/04/2011

Retour sur la lâcheté des Occidentaux qui accordent plus d’importance à la profanation d’un livre qu’à la destruction de vies humaines…

Il est vrai que nous sommes en droit de nous poser des questions…

FDF

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Qu’est-ce qui est plus grave : détruire un coran ou tuer plusieurs chrétiens ?

Raymond Ibrahim revient sur l’hypocrisie du monde musulman et la lâcheté des Occidentaux qui accordent plus d’importance à la profanation d’un livre qu’à la destruction de vies humaines.

Muslim protesting
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L’autodafé du coran par le pasteur Terry Jones de Floride a suscité une réaction hystérique dans le monde musulman.

En Afghanistan seulement, une vingtaine de personnes, y compris des employés de l’ONU, ont été tuées et décapitées aux cris de «Allahu Akbar ! » Des leaders occidentaux à travers le monde, y compris Obama et des membres du Congrès, ont condamné sans équivoque les actions de Jones (sans prendre la peine de souligner que la liberté d’expression est une liberté américaine prisée). Plusieurs personnes tiennent même Jones pour directement responsable des morts en Afghanistan. Bill O’Reilley a dit qu’il avait « du sang sur les mains ».  

Jetons maintenant un coup d’oeil sur ce que beaucoup de musulmans ont fait subir à beaucoup d’êtres humains chrétiens dans le monde islamique, dans l’indifférence des médias et sans condamnation de l’Occident, pendant que les leaders occidentaux se précipitaient pour exprimer l’horreur que leur inspire ce qu’un Américain a fait à un livre :

Afghanistan: Un musulman converti au christianisme a été arrêté et il est en attente d’exécution, conformément aux prescriptions de la charia sur l’apostasie.

Arabie Saoudite: Un chrétien érythréen a été arrêté pour avoir partagé sa foi avec des musulmans, et il fait face à la peine de mort ; d’autres missionnaires continuent de croupir dans les prisons saoudiennes.

Bangladesh: Un chrétien a été arrêté pour avoir distribué des bibles à proximité de musulmans. Depuis mercredi, des milliers d’émeutiers musulmans manifestent, et des dizaines de personnes ont été blessées : ils ne protestent pas contre Jones, mais contre les droits des femmes.  

Égypte: Une foule de musulmans a brûlé une autre église copte et des dizaines de maisons de chrétiens : quand les chrétiens ont protesté, l’armée a ouvert le feu aux cris d’«Allahu Akbar», tuant neuf d’entre eux. Une autre foule a coupé l’oreille d’un chrétien « en application de la charia ».

Éthiopie: Des musulmans ont incendié près de 70 églises, tuant au moins un chrétien, et jusqu’à 10.000 chrétiens ont été déplacés. Ceux qui vivent dans les régions à majorité musulmane ont été avertis qu’ils avaient le choix entre se convertir à l’islam, abandonner leur maison, ou mourir.  

Malaisie: Les autorités ont saisi et profané des milliers de bibles.

Pakistan: Deux chrétiens ont été abattus en sortant de l’église; un chrétien condamné à la prison à vie pour « blasphème » est mort dans sa cellule, et on soupçonne qu’il a été assassiné.

Somalie et Soudan: Récemment, des jeunes chrétiennes, dont une mère de quatre enfants, ont été enlevées, violées puis tuées pour avoir embrassé le christianisme.

Il convient de garder à l’esprit qu’aucune de ces atrocités n’a été commise en réaction à l’autodafé du coran par Jones : c’est tout simplement la routine dans le monde musulman. En outre, la liste ci-dessus n’est qu’un échantillonnage rapide et superficiel des dernières souffrances infligées aux chrétiens sous l’islam. Si l’on tenait compte des persécutions infligées au cours des derniers mois, on pourrait aussi parler de l’attaque djihadiste contre une église de Bagdad où 52 chrétiens ont été tués ; de l’attaque contre une église copte la nuit de la Saint Sylvestre qui a fait 21 morts ; des émeutiers musulmans qui ont détruit plusieurs églises en Indonésie, au Nigeria et aux Philippines ; des rafles, en Iran, de 70 chrétiens qui priaient dans leur maison ; et du refus du Koweït – un pays qui doit son existence au sacrifice de soldats américains – de permettre la construstion d’une église.

Il y a aussi les innombrables atrocités qui ne sont jamais rapportées – les histoires de détresse silencieuse et persistante que seules les victimes et les chrétiens locaux connaissent.

On aurait pu penser que tous ces faits auraient mérité la même attention des médias qu’un coran brûlé, et une condamnation de l’Occident. Et cela d’autant plus que seul Jones est responsable de ses actes, alors que plusieurs de ces atrocités – l’arrestation et l’exécution de missionnaires chrétiens et d’apostats de l’islam, la destruction d’églises ou le fait de les rendre illégales, la confiscation et la profanation non pas d’une, mais de milliers de bibles –  sont commises par des autorités et des gouvernements musulmans censés être des « amis et alliés » des États-Unis.  

Tel est le monde surréaliste et de plus en plus irrationnel dans lequel nous vivons :  les musulmans enragés et les Occidentaux soumis sont obsédés par la destruction d’un livre, tout en ignorant la destruction de nombreuses vies humaines ; un droit garanti et acquis de haute lutte – la liberté d’expression – est méprisé par ceux-là même qui sont censés le protéger, et des comportements meurtriers et barbares – en un mot, diaboliques – sont pieusement ignorés.

Source: http://www.postedeveille.ca/

11/02/2011

L’obscur voile islamique qui recouvre notre 21e siècle…

Pas mal… A lire et re-lire.

FDF

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1- Le Pasteur Jones va juger le Coran. Nos médias vont donc dire qu’il est un « évangélique américain fondamentaliste ».

2- Deux églises incendiées en Indonésie. Tout le monde s’en tape. Le régime islamiste turc est lié au terrorisme. Le sujet est tabou.

3- Massimo Introvigne prend position sur les musulmans ‘modérés’ et ‘pas modérés’.

4- La chronique de Ulf Laessing, correspondant en Arabie saoudite de l’agence de presse britannique Reuters.

1- Je tombe aujourd’hui sur une information qui va faire grimper aux murs nos islamophiles de service. Le Pasteur Jones va juger le Coran, peut-on lire sur Nouvelles de France (extraits adaptés) : « Nous allons organiser le 20 mars prochain le ‘Jour de jugement du Coran’ (site). Cela s’effectuera de la même manière qu’un procès organisé aux Etats-Unis. Nous allons poursuivre le Coran qui est accusé d’inciter au meurtre, au viol, aux activités terroristes ainsi que d’être responsable de la mort de millions de personnes. Il y aura un juge, nous ne savons pas encore qui, il y aura également un jury composé de personnes ayant un bagage chrétien mais d’autres ayant également un passé musulman ».

Le Pasteur Jones : « Nous avons également un procureur, Monsieur Abaza, converti de l’islam au christianisme à un jeune âge et qui a été torturé (brûlé, battu et électrocuté) par son père et son frère à cause de sa conversion et emprisonné parce qu’il avait refusé de dénoncer sa foi chrétienne. Le Coran aura-t-il quelqu’un qui assurera sa défense ? Oui, il y aura un avocat de la défense. Nous essayerons tant que possible d’agir selon les formes régulières des tribunaux américains. Nous avons lancé un défi à la communauté musulmane, ils peuvent nous envoyer leur meilleur expert qui pourra assumer cette charge. Beaucoup de gens aux Etats-Unis disent que le Coran est un livre de paix, nous ne le pensons pas, nous pensons au contraire qu’il conduit à la violence ».

2- Un groupe de musulmans en Indonésie (pays mahométan le plus peuplé de la planète avec 200 millions de musulmans) a incendié deux églises et pillé une troisième lors d’affrontements avec la police, en réclamant la peine de mort pour un chrétien condamné pour blasphème de l’islam. Ce n’est qu’un fait divers comme il s’en produit tous les jours en terre d’islam. Et puis, de toute manière, le seul problème, c’est le Pasteur Jones. L’IHH turque, habituée à soutenir des groupes terroristes, entretient des liens étroits avec le gouvernement de l’AKP de Turquie. Le régime turc lui a ainsi fourni un soutien gouvernemental, y compris logistique et politique, pour la flottille du Mavi Marmara, vous savez, la satanée flottille pseudo-humanitaire pour Gaza, alias Hamastan (http://www.terrorism-info.org.il/malam_multimedia/fr_n/pdf/ipc_f161.pdf).

3- Béatrice Bohly, sur Benoît-et-moi a traduit un article de l’excellent Massimo Introvigne, article concernant les musulmans ‘modérés’ et ‘pas modérés’ (extraits adaptés) : « A proprement parler, il n’y pas de musulmans modérés. Parcourant en long et en large des pays à majorité musulmane, du Maroc à la Malaisie, je n’en ai jamais rencontré un. À l’inverse, en Italie, j’ai eu beaucoup de difficultés à rencontrer un musulman qui n’ait pas la prétention d’être ‘modéré’, au point que, quand j’en rencontre un qui nie ouvertement l’être, j’en arrive à le prendre en sympathie. Les musulmans vivant en Italie ont compris que pour vivre en paix chez nous et se faire inviter à des talk-shows à la télévision, ils doivent se présenter comme modérés. Par exemple, un membre des Frères musulmans se présentera comme ‘modéré’ à la télévision en Italie, mais n’utiliserait jamais ce mot en Egypte ou en Jordanie ».

Massimo Introvigne : « La faute n’en revient pas seulement aux musulmans. Une grande partie de la presse divise les partisans de l’islam en deux catégories : ‘terroristes’ et ‘modérés’. Non sans une certaine logique, de nombreux musulmans en concluent que s’ils ne s’auto-définissent pas ‘modérés’, ils seront étiquetés comme ‘terroristes’, avec toutes les conséquences que cela implique. Ainsi, si on décode son discours, un membre des Frères musulmans peut simplement tenter de tromper l’interlocuteur italien en se présentant comme ‘modéré’. Mais si cela signifie ne pas être un terroriste et n’avoir aucune sympathie pour Ben Laden – même s’il en a pour le Hamas – ce n’est pas, à proprement parler, un mensonge. Le phénomène potentiellement le plus trompeur est la présentation comme ‘musulmans modérés’ d’intellectuels qui sont modérés, mais ne sont pas musulmans ».

Massimo Introvigne : « Certains de ces intellectuels pourront être de très intelligents observateurs de la réalité musulmane, nationale et internationale, de bons journalistes, des consultants précieux : mais ce ne sont pas des ‘musulmans modérés’ parce qu’ils n’atteignent pas le niveau d’orthodoxie et l’orthopraxie minimum pour les définir comme ‘musulmans’. Ainsi – même si l’islam n’a pas de pape pour le certifier, mais pas non plus pour certifier le contraire – ne sont pas musulmans ceux qui ne croient pas dans le caractère divin du Coran et ne pratiquent pas les droits fondamentaux de la foi, qui, dans une religion sans hiérarchie et sans une théologie partagée sont plus réglementés que dans le catholicisme : alors qu’il y a des ‘catholiques non-pratiquants’, il est difficile de concevoir des ‘musulmans non-pratiquants’ dans le sens où ils ne prient ni ne pratiquent le jeûne ».

4- Ulf Laessing, correspondant en Arabie saoudite pour l’agence de presse britannique Reuters, écrit (extraits adaptés) : « Si l’Arabie saoudite craint une possible contagion des soulèvements populaires en Tunisie et en Egypte, elle redoute plus encore que l’effacement du président Hosni Moubarak lui fasse perdre un allié clé dans ses efforts pour contenir l’influence croissante de l’Iran au Moyen-Orient. Disposant de caisses débordant de devises, le premier exportateur mondial d’or noir est en mesure de distribuer à l’envi ses pétrodollars pour apaiser d’éventuelles tensions sociales et désamorcer ainsi toute révolte sociale. Mais la monarchie wahhabite assiste avec inquiétude à ce qui apparaît comme un « lâchage » dans les formes par les Etats-Unis du chef de l’Etat égyptien qui, tout comme les souverains qui se sont succédé sur le trône, a été depuis trois décennies leur allié fidèle dans la région ».

Ulf Laessing : « « Les Saoudiens sont préoccupés par ce qu’ils considèrent comme la faute diplomatique des Etats-Unis consistant à paraître lâcher trop facilement Moubarak », comme ils l’avaient fait, il y a plus de 30 ans, avec le Shah d’Iran, note Simon Henderson, observateur des affaires saoudiennes basé à Washington. Ryad, qui partage la crainte de Washington de voir Téhéran se doter de l’arme atomique, a dû se résigner à être privé d’un allié de poids contre l’influence croissante de l’Iran chiite dans la région, maintenant que Moubarak a accepté sous la pression de la rue de ne pas briguer un nouveau mandat. « Coupez la tête du serpent », avait déclaré au général David Petraeus, chef des forces américaines dans la région, le roi Abdallah d’Arabie saoudite au sujet de l’Iran, selon Adel al Djoubeïr, ambassadeur d’Arabie à Washington. La monarchie wahhabite, gardienne des lieux saints musulmans de La Mecque et Médine, se présente comme le bastion du sunnisme face à l’influence croissante de la branche religieuse rivale chiite ».

Ulf Laessing : « Elle craint que l’effacement imminent ou dans les huit mois qui viennent de Hosni Moubarak ne conduise à une période d’incertitude et d’instabilité durable en Egypte, qui lui ferait supporter l’essentiel des efforts de résistance à l’influence iranienne, souligne le politologue saoudien Tourad al Amri. Ryad s’inquiète de voir maintenant des pays comme la Turquie et l’émirat du Qatar, qui entretiennent de bonnes relations avec Téhéran et sont en quête d’un plus grand rôle régional, combler le vide diplomatique laissé par le pays arabe le plus peuplé (ndmg – l’Egypte, 80 millions d’habitants, musulmans à une écrasante majorité), explique un diplomate en poste dans le Golfe. Ryad devra alors rechercher d’autres alliés pour remplacer l’Egypte au sein de l’axe anti-iranien qu’elle anime. Ne pouvant compter sur la Syrie et le nouvel Irak, qui entretiennent des liens solides avec l’Iran, elle pourrait jeter son dévolu sur la Jordanie ».

Ulf Laessing : « Selon l’analyste américain Barak Barfi, l’Arabie pourrait décider d’accroître son aide au royaume hachémite, autre bastion du sunnisme, lui aussi en proie à des manifestations de rue, où les islamistes jouent un rôle moteur. Les bouleversements actuels dans le monde arabe surviennent à un moment délicat pour la monarchie saoudienne. Âgé de 87 ans, le roi Abdallah est souffrant et a encore subi en décembre un traitement médical. Le prince héritier Sultan, presque aussi âgé, est également en mauvaise santé. Leur frère le prince Nayef, ministre de l’Intérieur, est un possible successeur. Le roi a mis sur pied un conseil royal pour régler les problèmes de succession. Si on ignore comment celle-ci se déroulera, il est certain que le trône va échoir in fine à une nouvelle génération princière ».

Ulf Laessing : « Abdallah a été l’un des rares dirigeants arabes à exprimer ouvertement son soutien à Moubarak. Ce soutien « instinctif » traduit à quel point la diplomatie saoudienne est dépendante de relations personnelles éprouvées par le temps. Les princes Sultan, Nayed et Saoud al Fayçal, chef de la diplomatie, ont eu, eux aussi, affaire de longue date à Moubarak. Pour ces tenants de l’ordre établi arabe, les appels des Etats-Unis à un « changement immédiat » en Egypte, sonnent comme un avertissement. « Si les Etats-Unis poussent au changement en Egypte, la famille royale saoudienne sentira très bientôt la pression sur elle », prédit Asma Alcharif, professeur de science politique à l’université américaine de Beyrouth ».

Conclusion – Primo, il faut cesser d’appréhender, d’une part, l’islam en terre d’islam ; et d’autre part, l’islam en Occident. Car il s’agit, dans les deux cas, du même islam et du même coran. Le discours islamophile ne changera rien à cette réalité. Secundo, en Occident, l’islam doit respecter l’ordre constitutionnel et laïc. Les zones de non-droit sont à remettre au pas, par la force légale et par le droit. Tertio, l’alliance de l’Occident avec tel ou tel pays musulman, cette alliance doit être considérée comme une alliance tactique à court terme, même si elle est renouvelable pendant un certain laps de temps.

Quarto, l’Occident doit admettre, une bonne fois pour toutes, que l’islam est imprévisible ; et que par conséquent, la stratégie globale à moyen et long terme de l’Occident, face à l’islam, reste, essentiellement, un ensemble de tactiques à court terme, modifiables à tout instant. Quinto, l’Occident a tout intérêt à maintenir un équilibre des forces entre islam sunnite et islam chiite. Et si les deux branches de l’islam, la branche sunnite et la branche chiite sont en guerre, l’Occident doit apprendre à en tirer profit.

Car le temps que ces deux branches consacrent à se combattre signifie un temps de répit pour l’Occident. Cette stratégie en cinq points ne poserait aucun problème à l’Occident, s’il s’agissait de l’appliquer à une forme contemporaine de fascisme ou de national-socialisme. Il n’y a donc aucune raison de ne pas appliquer cette stratégie au monde musulman, aussi longtemps que celui-ci restera un obscur voile islamique qui recouvre notre 21e siècle.

Source: Michel Garroté (source : drzz)

06/12/2010

Pédophilie: on ne peut pas forçer les muzz à vivre au XXI ème siècle…

Photo d’archives mariages en Palestine…

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Malaisie: mariage d’une fille de… 14 ans

Un débat s’est ouvert en Malaisie sur le mariage des mineurs après la célébration publique hier d’un mariage entre une jeune fille de 14 ans et un enseignant de 23 ans. 

Samedi, une collégienne de 14 ans, Siti Maryam Mahood, a épousé Abdul Manan Othman, dans une mosquée de Kuala Lumpur, après le feu vert à leur mariage donné par un tribunal religieux.

« Mon mari est un instituteur à l’école primaire et un ami de la famille », a expliqué la jeune fille, citée dimanche par le journal New Sunday Times.

En Malaisie, pays à majorité musulman, les musulmans de moins de 16 ans qui veulent se marier doivent obtenir une permission d’un tribunal religieux. Ceux de religion différente et de moins de 17 ans doivent obtenir une autorisation des autorités civiles.

« Nous devons modifier les aberrations juridiques. Il y a des exceptions et elles devraient disparaître », a déclaré Ivy Josiah, directrice générale de l’assiaction féministe Women’s Aide Organisation, pour qui « le mariage avec des enfants s’apparente à de la pédophilie ».

Pour Mme Josiah, « le gouvernement doit fixer à 18 ans l’âge minimum pour se marier (…) Nous devons protéger les enfants ». « J’espère que cela va contribuer à ouvrir un débat, il ne doit pas y avoir d’obstacles » à la discussion, a-t-elle ajouté.

En Malaisie, les musulmans représentent 60% des 28 millions d’habitants. Le droit de la famille relève en partie des tribunaux islamistes.

En juillet, Shahrizat Abdul Jalil, ministre des femmes, de la famille et du développement communautaire, avait estimé que le mariage des mineurs était « moralement et socialement inacceptable ».

Source: http://www.lefigaro.fr/flash-actu/

01/10/2010

Clandestins: la Malaisie à trouvé une solution…

En Malaisie, on ne prend pas de gants avec les clandestins.. Ils les ont laissé entrer librement voici une trentaine d’années. Ce pays a été aussi une « terre d’accueil », vers les années quatre vingt. A ce jour, ils sont obligés de prendre des mesures drastiques pour s’en débarrasser… Ca ne vous évoque rien?

FDF

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Bastonnades, harcèlements, arrestations arbitraires, meurtres… : la milice gouvernementale chargée de débarrasser le pays des clandestins ne recule devant rien. Dans les années 80, la Malaisie a ouvert ses portes aux travailleurs indonésiens, népalais, puis aux réfugiés politiques sri lankais et birmans. Aujourd’hui, elle compte 2,5 millions d’immigrés pour 25 millions d’habitants…

Lire: http://www.cannafarmers.com/videos/milice-charia-malaisie/milice-charia-malaisie-video_827fd59f3.html