Francaisdefrance's Blog

15/11/2011

Bel effort de solidarité de la part de nos députés…

Ils ne se montrent pas très solidaires avec ceux qui leur ont offert des postes grassement payés, nos députés… On en reparle en 2012, après les présidentielles??? Il va y avoir des sièges éjectables, je pense; la France gronde…

FDF

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Nos députés refusent la réduction de 10% de leurs indemnités parlementaires !

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Les députés ont rejeté lundi, après un débat assez bref et dépassionné, la proposition du député UMP Lionnel Luca et d’une trentaine de ses collègues de réduire de 10% leurs indemnités parlementaires pour participer à l’effort de solidarité en ces temps de rigueur budgétaire.

« En ces temps difficiles où un deuxième plan de rigueur va demander des efforts – et rien ne nous permet d’être assurés qu’il n’y en aura peut-être pas un troisième d’ici la fin de la législature – il serait invraisemblable que nous nous exonérions d’un effort relatif », a défendu M. Luca.

Parmi les signataires de cet amendement, figurent des députés UMP membres du collectif Droite Populaire mais aussi du Nouveau Centre comme Philippe Vigier, le non inscrit Nicolas Dupont-Aignan, le villepiniste Jean-Pierre Grand ou encore le député EELV François de Rugy.

Faisant valoir que les députés « font partie de ceux qui sont les moins malheureux dans ce pays », la députée UMP Chantal Brunel a jugé qu' »on doit apporter notre petite pierre à la crise » par souci d' »exemplarité ».

Elle s’est dite surprise par « le double langage du PS » sur le sujet, soulignant qu’aucun député PS n’avait signé l’amendement.

Jean Launay (PS), rapporteur des crédits Pouvoirs publics, a critiqué un « gadget » qui « n’a pas de pertinence juridique » car il faut modifier une ordonnance organique pour pouvoir toucher aux indemnités des parlementaires.

La ministre du Budget, Valérie Pécresse, qui n’est pas tenue de donner un avis sur une affaire concernant les députés, a précisé que « l’enveloppe des indemnités des députés baissera de 1,6% » en 2012. « Il n’y aura aucune baisse d’aucun revenu » des fonctionnaires en général, les salaires des députés étant alignés sur ceux des fonctionnaires, a-t-elle ajouté.

La diminution de 10% des indemnités, actuellement de 5.200 euros net par mois, représenterait sur un an une économie de cinq millions d’euros. Le président de l’Assemblée, Bernard Accoyer (UMP), y était opposé, comme le groupe des députés UMP.

Source: JC JC… via http://actu.orange.fr/

12/11/2011

Les présidentielles; c’est pour élire le président des Français, non ????

C’est du jamais vu. Et c’est d’une bassesse. Pour élire le président des Français, on se bat sur le droit de vote des immigrés…

Les autres pays doivent bien se foutre de nous. Et ils ont raison. Au passage, il est bon de noter que l’UMP calque une nouvelle fois ses pas sur ceux du Front National. Ca a marché en 2007… Mais nous sommes plus en 2007.

FDF

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Le droit de vote des immigrés entre dans la campagne présidentielle



Pas de convention  » nationalité  » pour la Droite populaire.

Lionnel Luca, co-fondateur du collectif de parlementaires, avait pourtant cru obtenir de Jean-François Copé, en juin, l’organisation de l’une des grandes réunions thématiques du parti présidentiel. Mais le patron de l’UMP a réduit , jeudi 10 novembre, le grand raout espéré par la droite de l’UMP à un simple         « atelier » sur la nation. Le parti n’a réuni que quelques parlementaires et intervenants dans une annexe du Parlement. Le maire de Meaux l’avait déclaré le 8 juin : « Il est hors de question de revenir sur la binationalité. »

L’atelier de la Droite populaire a néanmoins été l’occasion, jeudi 10 novembre, pour la majorité présidentielle, d’un tir de barrage contre l’une des mesures phares du projet socialiste pour 2012 : le droit de vote des étrangers aux élections locales. « Le droit de vote sans la nationalité française est inacceptable, a déclaré Jean-François Copé, lors d’un passage éclair à la tribune, Ce n’est pas parce qu’on paie des impôts en France, que cela ouvre le droit à la citoyenneté française. Nous ne sommes pas dans un système censitaire «  a-t-il poursuivi. La patron de l’UMP souligne ainsi le clivage entre la majorité présidentielle et la gauche sur l’une des thématiques électoralement les plus rentables.
En effet, le projet PS prévoit « l’instauration du droit de vote et d’éligibilité aux élections locales pour les étrangers en situation régulière résidant dans notre pays depuis au moins cinq ans. » Selon les socialistes, le droit de vote est un accélérateur d’intégration; il « favorisera la reconnaissance politique et sociale, ainsi que la responsabilité qui l’accompagne. »

« LES IMMIGRÉS SONT LA NOUVELLE CIBLE ÉLECTORALE DU PS »

Selon Thierry Mariani, ministre des transports et co-fondateur de la Droite populaire, la volonté du parti socialiste est dictée par une « seule motivation électorale« . « Le nombre d’ouvriers étant en baisse, les immigrés sont la nouvelle cible électorale du PS avec en ligne de mire les élections municipales », scande le ministre. « Le droit de vote pour les immigrés sera l’objectif de tous les communautarismes et ce genre de mesures est irréversible », menace encore, alarmiste,Thierry Mariani.
Une inquiétude du leader de la Droite populaire relayée par Jean-François Copé : « J’ai demandé en bureau national l’engagement du parti dans la bagarre sans concession qui nous opposera au parti socialiste sur ce thème  » a-t-il déclaré, soulignant l’une des thématiques sur laquelle l’UMP reviendra en force lors de la campagne présidentielle.

Source: http://www.lemonde.fr

05/07/2011

C’est pas bon « l’immigration »…


Il est certain que quiconque se voit attribuer le dossier de l’immigration est assis sans cesse sur des charbons ardents… Et pourquoi? A t’on peur d’aborder le problème? A t’on peur de heurter certaines minorités? A t’on peur de fâcher certaines communautés? C’est vrai qu’un « loupé » en ce domaine pourrait faire perdre bon nombre de voix électorales bien précieuses…

Messieurs les politiques: arrêtez de tourner en rond et prenez des décisions; fermes et définitives !

FDF

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Lionnel Luca quitte son poste à l’UMP

Lionnel Luca, député UMP des Alpes-Maritimes, vient de démissionner de son poste de secrétaire national à l’immigration de l’UMP. «J’ai envoyé ma lettre de démission à Jean-François Copé car je ne suis pas en cohérence avec l’UMP sur ces questions» confie Lionnel Luca au Figaro.

Membre actif du collectif de la Droite Populaire, il déplore «la frilosité» de l’UMP, notamment sur le problème des binationaux ou sur celui de la démarche volontaire pour acquérir la nationalité française. Il regrette aussi de ne pas avoir été associé à la préparation de la convention que tiendra jeudi l’UMP sur l’immigration. «Sur la binationalité, on aurait pu ouvrir un débat, de façon à ce qu’elle soit à géométrie variable. Autant il est normal que des citoyens européens puissent avoir une double nationalité, autant on peut s’étonner que ceux qui ont été colonisés veuillent à tout prix conserver la nationalité de leur colonisateur» ajoute-t-il «sans vouloir stigmatiser personne».

La Droite populaire avait réclamé en vain la suppression de la double nationalité, et le retour à la loi Pasqua de 1993 pour obliger les jeunes immigrés de plus de 18 ans à faire une démarche volontaire pour acquérir la nationalité française, comme cela existe pour les mineurs.

Source: http://www.lefigaro.fr/

09/05/2011

Premier tome de La Tradition de la Liberté.

Le journal de la dépense publique

www.lecri.fr

L’actualité de la dépense publique

Madame, Monsieur,

La Tradition de la Liberté

Le Cri du Contribuable vous propose de recevoir gratuitement l’un des dix exemplaires qu’il détient du premier tome de La Tradition de la Liberté, écrit par le docteur ès philosophie Corentin de Salle. Publié par le Forum libéral européen, avec le soutien du Centre Jean Gol de Bruxelles, ce livre est une synthèse détaillée de textes majeurs de la tradition libérale, parmi lesquels le Second Traité du Gouvernement civil de John Locke, De La Démocratie en Amérique d’Alexis de Tocqueville, Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas de Frédéric Bastiat, etc.

Extrait :

Aux yeux de beaucoup, le libéralisme est l’idéologie dominante.

Cette idée est doublement erronée. Première erreur : le libéralisme n’est pas une « idéologie ». C’est une doctrine. En effet, une idéologie est un système théorique, dogmatique, fermé et figé. Le libéralisme est, au contraire, une doctrine empirique, argumentée, ouverte et évolutive. Cette souplesse explique d’ailleurs sa pérennité. Seconde erreur : le libéralisme n’est pas une idéologie « dominante » : dans le champ intellectuel, c’est probablement la doctrine la plus contestée et la moins défendue.

Si vous souhaitez recevoir l’un de ces dix exemplaires, vous êtes prié(e) d’envoyer vos coordonnées postales à Roman Bernard (romanbernard@contribuables.org), selon le principe du « premier arrivé, premier servi ». À vos claviers !

Nous avons également le plaisir de vous annoncer qu’après le député des Alpes-Maritimes Lionnel Luca, c’est au tour de celui du Vaucluse Jean-Michel Ferrand de déposer une proposition de loi visant à modifier les conditions d’attribution de l’Allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA). Elle va plus loin que celle de Lionnel Luca : en plus de réserver le versement de l’ASPA aux personnes de nationalité française ou ayant travaillé en France, elle prévoit que ses bénéficiaires étrangers devront justifier d’une résidence stable et régulière d’au moins dix années consécutives en France. L’exposé des motifs et la proposition de loi sont à lire sur le site du Cri en cliquant ici.

Merci pour votre soutien.

27/04/2011

Lionnel Lucas et 47 autres députés ont déposé leur proposition de loi !

Communiqué du Cri du Contribuable… Signez. Moi, c’est déjà fait.
FDF

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L’actualité de la dépense publique

Madame, Monsieur,

Comme je vous l’annonçais samedi 16 avril dernier, le député des Alpes-Maritimes Lionnel Luca, sollicité par des signataires de notre pétition « Pas de retraite en France sans y avoir travaillé ! », a déposé une proposition de loi tendant à réserver le versement de l’Allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) de nationalité française ou ayant travaillé en France.

47 députés l’ont rejoint et ont co-signé sa proposition de loi (la liste de leurs noms est à consulter sur le site web de l’Assemblée nationale). Un succès qui doit beaucoup, bien sûr, à vos courriers auprès de vos députés respectifs.

Je tiens donc à vous remercier pour votre soutien. Pour l’instant, la proposition de loi n’est pas encore à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale, et c’est pourquoi nous devons continuer à agir pour forcer nos députés à la voter !

La pétition vient de passer les 90 000 signataires, ce qui nous rapproche chaque jour un peu plus du cap symbolique de 100 000 signatures. Pour l’atteindre, et être encore plus crédibles auprès des hommes politiques et des journalistes, je vous demande donc de transférer le présent courriel à tout votre carnet d’adresses, si vous ne l’avez pas déjà fait. Il suffit qu’un seul des contacts de chaque signataire signe la pétition pour que nous dépassions largement les 100 000 !

Je vous invite par ailleurs à regarder l’interview vidéo de l’économiste Pascal Salin que j’ai réalisée pour LeCri.fr (vidéo accessible en cliquant ici), en marge du séminaire du professeur Philippe Nemo sur la philosophie de l’impôt.

Bon visionnage et merci pour votre soutien.

Roman Bernard, rédacteur en chef du Cri du Contribuable


23/02/2011

La France est notre lieu, notre contexte, notre terre. C’est notre Histoire….

Plein les dents ! Excellent !!!

FDF

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Nous n’avons pas l’intention de nous laisser faire !

Enfin des députés s’indignent de leur gouvernent. Bravo venez renforcer les rangs de Marine Vive le front National.

Aux prochaines Elections une grande victoire nous attends un pour tous et tous pour le parti de MARINE !!!!!!

58 députés condamnent la dérive judiciaire contre la liberté d’expression!

Lionnel Luca, député UMP des Alpes-Maritimes, dans un communiqué signé par 58 députés UMP du « Collectif pour la Liberté d’expression » :

« La condamnation (avec sursis !) d’Eric Zemmour illustre la dérive judiciaire contre la liberté d’expression dans notre pays qui interdit à un journaliste de parler« .

« Dans le même temps, certains rappeurs qui insultent la France et les Français et appellent au meurtre des forces de l’ordre ne sont pas condamnés au nom de la création culturelle. Cherchez l’erreur. Cette dérive judicaire qui précède la dérive totalitaire impose désormais la révision des lois qui la permettent« .

Les personnalités du Collectif pour la Liberté d’expression et Collectif de la droite Populaire sont : Lionnel LUCA, Christian VANNESTE, Elie ABOUD, Yves ALBARELLO, Brigitte BAREGES, Patrick BEAUDOUIN, Gabriel BIANCHERI, Claude BODIN, Jean-Claude BOUCHET, Loïc BOUVARD, Valérie BOYER, Françoise BRANGET, Patrice CALMEJANE, Bernard CARAYON, Bernard DEBRE, Jean-Pierre DECOOL, Nicolas DHUICQ, Eric DIARD, Michel DIEFENBACHER, Jacques DOMERGUE, Paul DURIEU, Jean-Michel FERRAND, Marie-Louise FORT, Sauveur GANDOLFI SCHEIT, Jean-Paul GARRAUD, Jean-Pierre GEORGES, Franck GILARD, Georges GINESTA, Arlette GROSSKOST, Christophe GUILLOTEAU, Françoise HOSTALIER, Jacqueline IRLES, Maryse JOISSAINS-MASINI, Patrick LABAUNE, Jean Marc LEFRANC, Marc LE FUR, Daniel MACH, Richard MALLIE Christine MARIN, Philippe MEUNIER, Jean-Claude MIGNON, Pierre MOREL A L’HUISSIER, Georges MOTHRON, Alain MOYNE BRESSAND, Jacques MYARD, Jean-Marc NESME, Eric RAOULT, Jean ROATTA, Jean-Marc ROUBAUD, Jean-Pierre SCHOSTECK, Daniel SPAGNOU, Michel TERROT, Dominique TIAN, Jean TIBERI, François VANNSON, Patrice VERCHERE, Philippe VITEL, Michel VOISIN.

Face à la pression judiciaire que SOS RACISME met sur les responsables et militants de l’UNI dans le cadre de l’affaire ZEMMOUR, nous suspendons temporairement l’ajout de commentaire.

La France est notre lieu, notre contexte, notre terre. C’est notre Histoire.

Les français sont égaux devant la loi donc il ne faut pas venir revendiquer ce qui n’est pas. La loi de 1905 est déterminante, incontournable et non négociable : elle est le fruit d’une lutte de plusieurs centaines d’années. Et ce n’est pas des intervenants extérieurs et récents qui vont y changer quoi que ce soit. Ils sont tout simplement venus trop tard.

Personne ne les a forcé à venir et s’ils viennent, ils constatent quoi ?

Qu’on n’a pas pensé à eux ? Et alors, ou est le problème ? Après l’heure, c’est plus l’heure :

les français ne sont pas devenus musulmans mais certains musulmans sont devenus français mais il sont venus après 1905, donc pas de troubles à l’ordre public et donc pas de lieux de cultes. Et qu’ils ne viennent pas nous réclamer d’égalité car là il n’y en a pas : on était en France avant vous, excusez du peu !!!

Et on fait ce que bon nous semble chez nous, voilà tout. Et notre patrimoine intègre ces 1905 ans de christianisme, voilà tout, nos églises, c’est notre patrimoine culturel, immobilier. On ne va pas tout raser comme des nihilistes ou par un abrutissement pire que celui que l’on voulait nous imposer.

On a réfléchi à la question des religions et ce, globalement, et on a pensé qu’il valait mieux séparer le religieux du pouvoir car cela nous avait mis en difficulté pendant de nombreux siècles. C’est le problème des français issus de l’émigration musulmane car, refusant l’assimilation, ils veulent changer nos lois.

Impossible, on a payé un lourd tribut pour cette liberté. Et il n’est pas question de recommencer, on a appris de nos erreurs, apprenez des vôtres.

Etre français, c’est simple et évident : nous parlons de nos devoirs pas de nos droits, nous vous laissons ça. Être français, c’est réclamer le devoir de mémoire qui s’impose à nous. La France est ce qu’elle est parce que des français (ses) se sont battus pour cela.

Je revendique l’héritage de Clovis, Charles Martel, Louis XIV, Napoléon et Charles de Gaulle pour ne citer que ceux-là. Je revendique et j’assume car c’est là mon devoir de citoyen français né sur le sol français. Je n’ai nulle part où aller, c’est ma terre, elle vit en moi et son histoire avec. Et je ne partirai pas, moi. Ca ne va pas en France, la situation est pourrie, je ne fuirai pas mes responsabilités : je me battrai pour que la pensée de Voltaire perdure, pour que ma langue vive, pour que mon esprit soit toujours l’esprit des lumières. J’ai un rôle à jouer dans mon monde, le monde contemporain. Si je veux que cela change, que l’honnêteté vainque, que l’honneur retrouve sa place avec la courtoisie et le respect de l’autre alors, je combattrai.

Vous ne passerez pas.

Je résisterai aussi longtemps qu’il le faudra et je vaincrai car j’ai derrière moi 2000 ans d’histoire de France. J’ai dans mon sang de quoi vous affronter et c’est cela qui vous fait peur : nous avons bâti une civilisation qui existe encore et toujours, nous avons dans notre culture des diamants éternels et, non, nous n’attendons pas d’un irréel que le travail soit fait à notre place et non, nous n’attendons pas que d’autres viennent exploiter nos terres pour leur en soustraire le bénéfice.

Nous avons pris notre destin en main depuis bien plus longtemps que vous et nous avons apporté à l’humanité bien plus que vous tous réunis. Que cela vous plaise ou non. Nous sommes non seulement plus anciens mais encore bien plus forts que vous car nous avons appris à pardonner et à tendre la main.

Alors, on arrête là, la coupe est pleine et la démonstration par trop facile : nous avons commis des erreurs, certes mais le gain par rapport aux pertes est sans commune mesure et nous revendiquons tout cet héritage. Je ne cracherai pas sur les tombes de mes ancêtres à cause d’une analyse anachronique, c’est inutile et stérile. Je regarde l’avenir avec bonheur car je sais ce que nous avons fait. Vous avez vendus vos frères, vos avez stigmatisé vos femmes , vous prônez la haine et le mensonge, vous détruisez et voulez réduire à votre mesure le monde mais, non, ça ne marche pas car le monde ne vous a pas attendu, il vous ignore. Vous avez définitivement perdu car vous ne savez pas construire, vous ne savez que détruire, pleurer et attendre que ça tombe.

Ca va tomber…

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En un mot: dégagez !

FDF

01/02/2011

Une commission d’enquête sur la polygamie.

Il était temps… En France, chez nous, la polygamie est interdite par la Loi… Pourquoi cette interdiction ne s’appliquerait elle pas aux « communautés minoritaires »? En France, on se soumet aux lois françaises. De quelque origine que l’on soit.  On ne fait pas de cadeau aux Française de souche (les « sous-chiens »). Pourquoi en ferait-on aux autres?

FDF

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Lionnel Luca vient de demander une commission d’enquête parlementaire sur la polygamie en France. Il explique à Nouvelles de France :

L

« C’est simplement la suite de la mission parlementaire sur le voile intégral. Celle-ci avait évoqué la polygamie dans l’un de ses chapitres et nous avait montré que c’était un domaine sur lequel nous ne savions pratiquement rien ! Ensuite, il y a eu l’affaire de Lies Hebbadj, ce commerçant musulman de Nantes, qui a attiré l’attention des autorités car il vivait très largement des allocations familiales de sa femme et de ses trois « maîtresses », comme il dit. C’était la mise à jour d’une situation polygame de fait… […] Il s’agira de se donner les moyens de saisir les réalités de la France d’aujourd’hui, d’interroger les gens, les services administratifs, de comprendre pourquoi et comment, dans un pays où la polygamie est interdite, celle-ci peut malgré tout prospérer ! […]

Il y a une incompatibilité de logiciel entre le mode de vie polygame et les mentalités françaises, inscrites dans une république laïque aux racines chrétiennes. De ce fait, la polygamie n’a jamais été envisagée par notre loi – pas au-delà en tout cas d’une interdiction de principe. L’adultère existe, évidemment, mais il constitue une anomalie et pas une norme ; en outre, c’est un très fort motif de divorce.

Pour l’instant, en l’absence de loi précise, nous sommes en position de faiblesse par rapport aux polygames qui, chez nous, se doublent souvent de fraudeurs aux aides sociales. En France, on sait déjà que les polygames vivent en exploitant les failles de notre système social, mais pire, en exploitant des femmes […] Cela constitue une forme de proxénétisme, sans parler des abus de biens sociaux. Sans oublier la condition féminine bafouée – ce qui étrangement, ne soulève aucune protestation de la part des féministes professionnelles qui devraient pourtant s’alarmer. Nous pouvons aussi évoquer le problème de l’échec scolaire puis de la délinquance juvénile qui découlent de ce mode de vie incompatible avec nos valeurs, nos usages et nos mentalités. La polygamie est le parfait révélateur d’un échec d’intégration de certaines populations immigrées. « 

Source: Michel Janva

08/12/2010

Le rôle de l’Eglise durant la guerre d’Algérie.

Pillé à José Castano…

FDF

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« Non content qu’un curé ait souhaité publiquement la mort du Chef de l’Etat sans que sa hiérarchie ne le désavoue, c’est maintenant un évêque qui croit utile de comparer le retour volontaire des Roms en situation illégale, en avion et avec une allocation dont bien des Français aimeraient disposer, avec la tragédie de la déportation des juifs dans les camps de la mort pendant la 2ème guerre mondiale.

Cette outrance et cette technique de l’amalgame étaient jusqu’alors l’apanage d’idéologies totalitaires et on est stupéfait que ce soit des religieux qui les utilisent avec intolérance pour créer la confusion dans les esprits.

Qui peut croire sérieusement à cette assimilation intolérable qui compare l’incomparable ?

On aurait aimé que les mêmes consciences morales qui s’expriment aujourd’hui avec violence soient moins discrètes sur les pratiques pédophiles au sein de l’Eglise Catholique.

Quant à la gauche laïque qui s’offusque souvent de l’ingérence des chefs religieux dans le débat public, elle est étrangement silencieuse et montre bien les limites de ses convictions » (Lionnel Luca, député de la Nation)

– Et aussi (cliquez sur) :  Lettre ouverte à Mgr Le GALL Archevêque de Toulouse———————

Cette prise de position d’élus de la République vis-à-vis du Clergé révèle une analogie entre l’attitude d’une certaine église durant le conflit algérien et celle d’aujourd’hui dans la migration des Roms en France.

Comme il se trouve, en 2010, des représentants de l’église pour dénoncer  avec véhémence l’attitude du Gouvernement de renvoyer dans leur pays d’origine –en les indemnisant- ces familles de Roms que la France ne peut accueillir –sans proposer pour autant de les héberger dans leurs presbytères, leurs monastères, leurs couvents (pratiquement vides) et autres infrastructures épiscopales-, de 1954 à 1962, il s’est toujours trouvé, en Algérie et en France, des hommes d’église pour couvrir les excès des écorcheurs, les protéger et les soigner.

L’identité idéologique de ce conflit algérien était avant tout anti-chrétienne. C’est d’une lutte entre la Croix et le Croissant qu’il s’agissait et aux yeux des responsables du FLN, c’est la Croix qui était l’objectif premier à abattre dans ce réduit chrétien sud méditerranéen. Comme Jeanne d’Arc l’avait fait pour la France, l’Eglise de France et celle d’Algérie auraient du brandir à leur tour l’Etendard de la Délivrance contre ceux qui voulaient les soumettre au Croissant. De façon incompréhensible et difficilement explicable, elles allaient leur apporter leur soutien…

Nos évêques, aujourd’hui comme hier, si prompts à défendre les droits de l’Homme tiers-mondistes au détriment de la parole de l’Evangile, sont restés muets devant les crimes, les massacres, les viols et les égorgements du FLN. L’extermination de 150.000 harkis avec leur famille dans d’horribles tortures ne les a pas plus émus. Il est vrai que, probablement blasés par tant de crimes, ils ne pouvaient que demeurer insensibles à ces assassinats en séries que furent les massacres d’El-Halia et de Melouza, la tuerie du 26 mars 1962 à Alger et celle du 5 juillet 1962 à Oran. Dès lors, comment auraient-ils pu réagir à l’énoncé de cet ignominieux appel au meurtre du 14 février 1962 à 20h40 lancé par « La Voix des Arabes » en ces termes : « Frères combattants, combattez-les, luttez contre eux, ils sont tous nos ennemis. Transformez leur vie en enfer, ne les laissez pas échapper au châtiment mérité et contraignez-les à se mettre à genoux devant la volonté du peuple ». Se sont-ils indignés davantage ces honorables évêques –toujours prêts cependant à trouver une excuse aux « actes désespérés » des écorcheurs- quand ils ont pris connaissance de ces conseils donnés par « Aspect véritable de la rébellion algérienne » à ses frères de l’Aurès, extraits du journal « El Zitouna » du 26 aout 1956, organe des étudiants de la Grande Mosquée du même nom de Tunis, une des plus réputées du monde islamique : « Mes frères, ne tuez pas seulement mais mutilez vos adversaires sur la voie publique… Crevez-leur les yeux… Coupez-leur les bras et pendez-les… Soyez certains, mes frères, que les soldats qui verront leurs camarades pendus à un arbre, avec un bras et une jambe en moins et un œil crevé, soyez certains, disais-je, que ces soldats laisseront à l’avenir passer les caravanes d’armes et de provisions et se sauveront comme des rats ».

Mais l’aide de l’Eglise ne s’arrêta pas à sa seule clémence envers les assassins. Sa participation active, en bien des cas, fut de notoriété publique…

Si, à priori, l’Eglise n’a de pouvoir que celui de la parole du Christ, il en est autrement dans les faits. En effet, son influence demeure et nous ne pouvons oublier combien elle a marqué la scène politique de la guerre d’Algérie…

Dès le début des événements, les nationalistes algériens disposaient de sérieuses connivences dans le milieu des intellectuels et ecclésiastiques français qui s’étaient déjà fourvoyés durant le conflit indochinois en apportant leur aide au vietminh. En France, certains journalistes anticolonialistes comme Claude Bourdet, Gilles Martinet, Roger Stéphane de « France Observateur », Hervé Bourges (qui prendra la nationalité algérienne à l’indépendance), Olivier Todd et Georges Suffert de « Témoignage Chrétien », poursuivaient leurs œuvres de destruction contre l’armée française, soutenus en cela admirablement par l’avocate Gisèle Halimi et son confrère Jacques Vergès. En Algérie, le professeur de Lettres Mandouze, cofondateur de « Témoignage Chrétien », le couple Vandervelde, le docteur Chaulet et son épouse Claudine (qui livrera aux rebelles, dans la région de Palestro en Grande Kabylie, une partie de l’armement volé par l’aspirant Maillot, membre du Parti Communiste, lequel armement sera utilisé dans l’embuscade du 17 mai 1956 qui coûtera la vie dans d’atroces conditions à 18 soldats français), Annie Steiner (communiste et membre du réseau bombes de Yacef Saadi), l’abbé Scotto (de Bab el Oued), l’abbé Desrousseau (d’El Biar), l’abbé Bérenguer (de Frenda) et d’autres religieux, avaient favorisé le travail d’un couple de professeurs, les Jeanson, qui aboutira à la parution en 1955, de « l’Algérie hors la loi », pamphlet qui entendait prouver la légitimité du FLN… puis à la mise sur pied des réseaux de « porteurs de valises ».

Cette agitation médiatico-ecclésiastico-intellectuelle allait susciter la création de ce qu’on appellera « la nouvelle gauche », où l’on trouvera chrétiens et marxistes, trotskistes et francs maçons, syndicalistes et communistes. On y rencontrera Robert Barrat, journaliste à « Témoignage Chrétien », ancien secrétaire général du « Centre catholique des intellectuels français », Jacques Berthelet, ancien séminariste, Roger Colas de « l’Action Catholique », le professeur Henri Marrou. Les communistes mettront sur pied, en novembre 1955, un « Comité d’action des intellectuels contre la poursuite de la guerre en Algérie » auquel participeront Mauriac et Sartre qui apporteront un soutien inconditionnel au FLN.

Dès 1956, les aides aux tueurs du FLN se multiplieront sous les formes les plus variées : protection, caches, approvisionnement en argent et en armes… Chez les progressistes chrétiens, journalistes et prêtres fourniront un contingent très important… mais pas seulement. Un exemple parmi tant d’autres : M. Gallice, conseiller municipal de la ville d’Alger, directeur d’une papeterie, rue Horace Vernet, fournira le papier pour des tracts appelant à la révolte des Musulmans… cela, avec l’aval du maître des lieux, le Député Maire Jacques Chevalier, fervent partisan du FLN, qui avait mis sur pied une véritable cellule révolutionnaire algérienne au sein de son conseil municipal et de son personnel administratif.

Des femmes verseront également dans la collaboration en hébergeant des chefs rebelles, les transportant et distribuant les ordres. Les poseuses de bombes, musulmanes et européennes, feront tranquillement retraites chez les Sœurs blanches à Birmandreis ou chez les Clarisses à Notre Dame d’Afrique qui, pourtant, les savaient recherchées par la police. Chez les Pères Blancs, le Père Collet n’ignorait pas les activités de ses hôtes de passage… La police identifiera plusieurs prêtres de la « Mission de France » dont certains prêtres ouvriers, Jean Urvoas et Robert Davezies ainsi que l’abbé Boudouresque qui se feront particulièrement remarquer… Quant à l’abbé Bertal, de cette même mission, il donnera asile à Daniel Timsit et à Salah, alias Oussédik Souali, qui lui avoueront, pourtant, fabriquer des bombes. Ce réseau d’artificiers comprenait, en outre,  Chafika Meslem, agent de liaison entre le FLN, le Parti Communiste Algérien et les libéraux, Denise Walbert et les époux Gautron, militants communistes. L’abbé Barthez sera l’hôte et le protecteur attitré de ce réseau, hébergeant de surcroît, en quasi permanence, la fameuse Raymonde Peschard (la passionaria communiste), (Raymonde Peschard avait placé une bombe dans un car de ramassage scolaire à Diar es-Saada).

En 1957, le passage de terroristes clandestins à la frontière espagnole s’était amplifié. Il s’agissait de « spécialistes » de l’organisation spéciale du FLN, formés aux « actions ponctuelles » et à la manipulation des explosifs dans les camps du Maroc. L’abbé Davezies, Etienne Bolo, Jacques Vignes participeront activement au transport, à l’hébergement, à la mise en place des tueurs envoyés par le GPRA pour intervenir en France. En Algérie, une dizaine de prêtres dont les abbés Scotto, Bérenguer, Desrousseau, Barthez et Cortes, ainsi que des religieux de Notre Dame d’Afrique, seront impliqués dans les réseaux de soutien allant jusqu’à mettre leur presbytère à la disposition des égorgeurs. Assurés de trouver dans la maison du Seigneur l’abri et l’aide leur permettant de continuer leur œuvre criminelle, ces protégés pourront ainsi préparer attentats et exactions sans être inquiétés.

Le 4 Avril 1957, 28 inculpations et 18 mandats de dépôt (préventive) interviendront à Alger dans l’affaire du soutien au FLN apporté par les « libéraux » (on ne dit plus « communistes »). Parmi eux, la poseuse de bombe, Raymonde Peschard… qui s’évadera et rejoindra le maquis. Elle sera tuée les armes à la main dans le Constantinois (ce qui n’empêche pas de la présenter, encore de nos jours, comme torturée et assassinée par les paras). L’abbé Barthez, deux conseillers municipaux et deux médecins feront partie de ces arrestations. Seule la protection papale et gouvernementale dont il est l’objet évitera à Monseigneur Duval, archevêque d’Alger, chef de file des souteneurs du FLN, d’être lui-même inculpé… Pour ces « hommes d’église », les Français d’Algérie n’avaient pas le droit de se défendre contre les actes criminels des terroristes. Selon leur conception de la « charité chrétienne »,  le devoir de ces Français là était, soit de fuir, soit de se laisser tuer, soit de ramper, soit de faciliter l’émergence de la nouvelle république algérienne. Leur argumentation était la suivante : « l’Eglise s’est toujours compromise avec les forces de la réaction ; il est temps qu’elle s’inscrive dans le camp de la révolution prolétarienne ». En réalité, ces traîtres à leur Patrie, s’identifiaient parfaitement à « l’anti-croisé » dont l’une des figures, l’abbé Scotto, n’avait de cesse de rassurer ceux qui pouvaient réprouver les attentats aveugles du FLN. Pour ce curieux directeur de conscience, la cause des terroristes demeurait juste quels que fussent les moyens utilisés…

En octobre 1958, l’affaire du « séminaire du Prado » fit la une des journaux. La police découvrit que des prêtres de la région Lyonnaise couvraient une véritable trésorerie au profit du FLN tout en hébergeant tueurs et clandestins. Plusieurs ecclésiastiques, l’abbé Davezies, l’abbé Carteron, le RP Chaize, le curé Magnin furent inculpés… mais, comme à l’accoutumée, l’affaire fut vite enterrée…

Concernant Monseigneur Duval, tout le monde, à Alger, police comprise, savait que les immeubles de l’Evêché abritaient les chefs du FLN en transit dans la capitale, et même certains terroristes recherchés par la police et l’armée. Arabophile déclaré, il refusera, officiellement, de célébrer un office à la mémoire de soldats français, prisonniers du FLN, assassinés par leurs geôliers «pour ne par heurter les Arabes », osera-t-il préciser de la manière la plus abjecte. Dans son livre « Au nom de la vérité », il s’enorgueillira d’avoir obtenu par les chefs du FLN un satisfecit lors du congrès de la Soummam qui soulignait « l’attitude réconfortante de l’archevêque se dressant courageusement et publiquement contre le courant et condamnant l’injustice coloniale ». A l’indépendance, il fut l’un des premiers chrétiens à prendre la nationalité algérienne (tout comme l’abbé Scotto et l’abbé Bérenguer), ce qui lui valut d’abord le surnom de Mohamed et ensuite la pourpre cardinalice…

Dans sa nouvelle cathédrale, il existait un registre où chacun inscrivait ses intentions de prières. Sur une page il était écrit par l’un des rares Français à demeurer encore sur place : « Pour un disparu que l’on sait vivant et souffrant dans un camp. » Plus loin : « Pour l’amnistie des prisonniers politiques (OAS), dont le seul tort fut de croire à la parole de ceux qui les ont trahis… » Le jour suivant, la page où figuraient ces intentions avait disparu…

A Oran, par contre, l’évêque des lieux, Monseigneur Lacaste, natif d’Accous dans les Pyrénées Atlantiques, en poste à Oran depuis 1945, ne cessait de se prononcer en faveur de l’Algérie française… ce qui avait pour conséquence d’irriter passablement le Haut commandement. Excédé par les prises de position du Prélat, le 11 juin 1962, le général Cantarel, commandant le corps d’armée d’oran, s’en ouvrit au haut-commissaire Christian Fouchet en rapportant que cet évêque, « différent de celui d’Alger », « n’hésitait pas à pactiser avec tous ceux qui s’opposaient à la politique gouvernementale ». Fouchet décida alors de rencontrer le prélat. Invitant l’évêque à s’asseoir, il lui dit : « Que l’Esprit saint nous inspire dans notre conversation ! Puis il lui fit grief de n’avoir jamais eu un mot pour condamner les « excès » de l’O.A.S. « Monsieur le Haut-commissaire, lui répond Mgr Lacaste, la population européenne d’Oran est aujourd’hui menacée dans son indépendance et peut-être dans sa vie même. Je comprends ceux qui luttent pour leur indépendance et laissez-moi vous dire que je n’ai jamais condamné, naguère, le F.L.N. » Fouchet lui répondit qu’il eut tort de ne pas avoir désavoué les crimes du FLN, mais cela n’aurait guère eu de poids, étant donné qu’ils étaient musulmans. En revanche, les Européens étaient des chrétiens. Sur eux, pouvait s’exercer son autorité spirituelle. « Monsieur le Haut Commissaire, lui répondit Mgr Lacaste, je ne saurai accepter de leçon de vous quant à ma façon d’agir dans le cadre de ma mission pastorale. Seul, le Saint-Père peut disposer de l’évêque que je suis ».
Ce que n’a pas ajouté, dans ses Mémoires, Christian Fouchet, c’est qu’après cette digne et cinglante réponse, Mgr Lacaste ajouta : « Toutefois, monsieur le Haut-commissaire, si des paroles incitant la population à la non-violence vous paraissent indispensables, je veux bien les prononcer. A une condition toutefois, que je sois autorisé, au préalable, à déclarer combien le sort de l’Algérie a été indiffèrent de tout temps à la France ».

Parmi les progressistes chrétiens, les protestants ne furent pas en reste… En mars 1958, par exemple, le pasteur Mathiot fut inculpé avec une équipe de fidèles : responsables de boîtes aux lettres, dépôts d’armes, collectes de fonds, hébergement et de complicités diverses avec les terroristes du FLN. Cependant, à l’opposé, bon nombre de prêtres soutenaient l’action de l’Algérie française, mais quand ils n’étaient pas mis au ban de l’Eglise par leur hiérarchie, il arrivait qu’ils fussent purement et simplement éliminés… à l’instar de l’abbé Therrer, curé des Sources, à Birmandreis. Pourquoi donc n’avoir pas dit, dans son éloge funèbre, qu’il avait été assassiné par le FLN, protestèrent ses paroissiens ? Pourquoi donc n’avoir pas rappelé que les derniers mois de sa vie furent un véritable calvaire ? Il vit son église, à peine édifiée, profanée et pillée à deux reprises ; il vit aussi son presbytère entièrement dévalisé, sa voiture lapidée à plusieurs reprises… mais l’Evêché demeura de marbre… Enfin, le soir de son assassinat, son église fut incendiée et l’Eglise ne réagit point. Au cours des mois suivants, plus de quatre cents églises, sur les cinq cent soixante-sept que comptait la Chrétienté d’Algérie, furent désaffectées, profanées, parfois transformées en mosquées ou détruites, ce qui n’émut pas outre mesure ni Clergé, ni Episcopat…

Dès la proclamation du « cessez-le-feu », les enlèvements d’Européens se multiplièrent ; des familles entières originaires du Bled voulant rejoindre les ports et les aérodromes disparurent ; les enfants en bas âge –voire les bébés-, quand ils ne furent pas éliminés avec leurs parents furent élevés dans les écoles islamiques et arabisés par un nouvel état civil ; les femmes et les jeunes filles furent condamnées à vivre dans les maisons closes d’Algérie, ou d’autres pays musulmans ou encore en Amérique Latine. Plus de 6000 Européens disparurent ainsi en quelques mois sans que l’Eglise, qui était au courant de cette tragédie, n’élevât la moindre protestation.

C’est au lendemain de cette guerre que l’on apprit par la bouche même des fellaghas la monstrueuse collusion de certains prêtres français avec les tueurs du FLN. A cet effet, un chef rebelle, Amar Ouzegane écrivit : « Partout des prêtres nous ont secourus, hébergés, soignés. L’Eglise catholique a rompu avec le passé colonialiste ». Et on pouvait lire encore dans « Révolution Africaine » : « Des prêtres catholiques ont prêté assistance aux militants du FLN poursuivis par la police colonialiste ». Et dans ce même message de gratitude, Ahmed Ben Bella, le premier président de la république algérienne, d’ajouter à « Témoignage Chrétien », l’un des journaux les plus anti-français qui fut durant cette période tragique : « Les Algériens savent la part prise par les vrais chrétiens dans notre lutte libératrice. Certains nous ont aidés concrètement, n’hésitant pas à se trouver à nos côtés… »

En septembre 2000, la revue « Monde Diplomatique », p.29, rapportait cette déclaration de ce même Ben Bella : « Je me rappelle des porteurs de valise, des avocats, avec émotion. C’étaient les meilleurs des Français, les meilleurs des Algériens. »
« Avec le temps tout fini par se savoir, même si on ne le presse pas »
(Euripide)

En 1964, un Français eut l’idée d’adresser à 202 pasteurs et 529 prêtres, un texte appelant au pardon en faveur d’autres Français emprisonnés pour s’être opposés, les armes à la main, à l’abandon de l’Algérie française. Il s’agissait là de soldats de tous grades ayant participé au putsch d’avril 1961 et de membres de l’OAS. Ce texte était, mot pour mot, très exactement le même que ces 202 pasteurs et 529 prêtres avaient signé en faveur des Français emprisonnés (les porteurs de valises) pour avoir aidé le FLN quand celui-ci répandait sa terreur à coups de bombes, de fusillades et d’égorgements. 23 pasteurs et 43 prêtres seulement acceptèrent de signer, certains d’ailleurs avec des réserves ; 15 prétendirent n’avoir pas été atteints ; 15 pasteurs et 18 prêtres refusèrent ; 617 ne daignèrent pas répondre. Telle fut la charité chrétienne dont firent preuve ces « pères de l’Eglise » à l’égard de leurs compatriotes français et surtout à tout ce qui se rapportait de près ou de loin à l’Algérie française. Et cette intolérance (condamnée d’autre part par cette même Eglise quand elle s’adresse à des païens) assortie le plus souvent de mesures discriminatoires envers les Français d’Algérie, s’était généralisée dans toute la France. C’est ainsi que l’abbé Emmanuel Grima, de Constantine, fut, en rentrant d’Algérie, aumônier puis chapelain du Pensionnat de l’Assomption à Montpellier, de septembre 1963 à novembre 1973, époque où il dut subir une grave opération qui l’obligea à abandonner son ministère. Or, l’accès de la chapelle et de la salle de réunion de ce Pensionnat lui fut interdit ainsi qu’aux Rapatriés par la Supérieure (peut-être sur ordre, en tout cas avec l’assentiment de Mgr Cyprien Tourel, évêque de Montpellier) parce qu’il avait osé célébrer une messe pour le repos de l’âme du Colonel Godard, l’ardent défenseur de l’Algérie française.

En 1992, le journaliste Français (et marxiste) Georges Hourdin établit un dossier qu’il transmit au Comité d’attribution du Prix Nobel de la Paix en faveur de la candidature de l’Abbé Scotto, ancien curé de Bab-el-Oued, compte tenu des ses « bons et loyaux services » vis-à-vis des terroristes du FLN. Celle-ci ne fut pas acceptée… La charité chrétienne à tout de même ses limites !

En 1950, dans son allocution en la cathédrale Saint Philippe (aujourd’hui devenue mosquée) à l’occasion du centenaire de la consécration de l’Algérie au Sacré-Cœur, Mgr Leynaux évoquait la grande et belle ville, « l’antique cité barbaresque, autrefois riche des dépouilles de la chrétienté … » et il disait au Nonce apostolique, Monseigneur Roncalli (futur Jean XXIII) : « Vous découvrirez avec joie les souvenirs émouvants de l’ancienne Eglise d’Afrique… Cette glorieuse Eglise, vous la retrouverez vraiment ressuscitée. Et si vous pleurez avec nous sur la dévastation séculaire de ses monuments sacrés, vous verrez partout, dans nos villes et dans nos villages, des chapelles et des églises qui attestent sa volonté de ne pas mourir et de continuer de rendre gloire à Dieu en travaillant au bien suprême, au salut de tous ses enfants, toujours indissolublement attachés et unis comme nos ancêtres, les premiers chrétiens, à la Chaire de Pierre ».

Si Mgr Roncalli a pu voir l’ancienne Eglise d’Afrique ressuscitée, le délégué apostolique d’aujourd’hui, en Afrique du Nord, pourra pleurer sur sa ruine… N’a-t-il pas fallu lire dans la « Semaine Religieuse » de Paris (24 septembre 1966), la relation de la rencontre des 325 délégués de « Témoignage Chrétien », à Alger ? Le cardinal Duval a félicité ce journal pour son effort à éclairer les consciences sur le drame algérien… Nous savons dans quel sens et quelle propagande de mensonges haineux à été semée par ce journal.

Mais aussi, dans ces quelques lignes bien incomplètes, je voudrais éclairer les consciences sur le vrai drame de l’Eglise, d’une part en Algérie : effondrement d’une chrétienté dans les larmes et le sang, étouffement par l’erreur, le mensonge et les plus honteuse compromissions, et d’autre part en France, actuellement, où nous retrouvons les mêmes causes dans cette alarmante désertion aux valeurs chrétiennes. C’est de cette façon que mourut, déjà, le christianisme en Algérie…

Et maintenant, sur la terre de Saint-Augustin redevenue un moment chrétienne, les clochers s’écroulent à nouveau et les sables qu’apporte le Vent de l’Histoire recouvrent lentement jusqu’au nom même du Christ…

José CASTANO

02/12/2010

Double peine: le lobbying de la droite populaire…

La droite populaire veut renforcer la «double peine»

Saluant l’adoption par les Suisses de l’expulsion automatique des criminels étrangers, le collectif emmené par le député Lionnel Luca pense à proposer un amendement en ce sens à l’Assemblée.

Les réactions n’ont pas tardé suite à la validation par les Suisses, dimanche, de l’initiative de la droite populiste sur l’expulsion des criminels étrangers, communément appelée «double peine». Première à dégainer, dimanche, Marine Le Pen a salué une «grande victoire du peuple suisse contre les élites». Bruno Gollnisch, l’autre leader du Front national, a quant à lui estimé qu’il s’agissait là d’une «mesure de bon sens». Des termes en partie repris lundi par les députés UMP membres du collectif de la «droite populaire» : «C’est une vraie leçon de bon sens de nos amis suisses administrée à leurs voisins européens confrontés aux mêmes problèmes de délinquance», ont-ils déclaré dans un communiqué.

L’aile droite du parti majoritaire appelle la France à «changer sa législation à ce sujet, si elle veut protéger plus efficacement ses ressortissants et les étrangers qu’elle souhaite accueillir. L’application de ce principe aura également une vertu pédagogique et dissuasive à l’égard de ceux qui seraient tentés de confondre hospitalité et laxisme», soulignent-ils. Contacté par Lefigaro.fr, Lionnel Luca, député fondateur du collectif, ne fait guère de mystère sur ses intentions : «Nous présenterons un amendement pour rétablir l’expulsion automatique des délinquants étrangers dès que l’occasion se présentera, assure-t-il. L’examen de la loi Loppsi 2, le 14 décembre, aurait pu s’y prêter, mais ça me paraît un peu tôt pour trouver une majorité».

Pour rassembler les députés de la majorité autour de ce projet, rien ne vaut un feu vert du gouvernement. A la faveur du remaniement, Thierry Mariani, l’autre membre fondateur du collectif, dispose désormais d’un maroquin – les Transports. «C’est une très bonne chose. Il pourra faire entendre sa position sur le sujet si un tour de table a lieu», assure Lionnel Luca, tout en se satisfaisant de l’action de Brice Hortefeux à la tête d’un ministère qui rassemble désormais Intérieur et Immigration.

Reste que l’opération de lobbying de la droite populaire s’annonce délicate. Car c’est Nicolas Sarkozy lui-même qui a réformé en 2003 le système déjà existant de la «double peine», consacrant certaines catégories d’étrangers comme «protégées» de l’expulsion : les personnes étrangères nées ou entrées en France avant l’âge de 13 ans, les conjoints de Français ou de résidents, les parents d’enfants français et les étrangers résidant en France depuis plus de vingt ans. Le ministre de l’Intérieur de l’époque avait aussi réduit le champ d’application des mesures d’interdiciton du territoire aux auteurs d’actes terroristes ou d’atteintes aux intérêts fondamentaux de l’Etat.

L’électorat frontiste en ligne de mire

«Le contexte était différent et il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, tranche Lionnel Luca. Aujourd’hui, il faut retourner à un texte plus coercitif». Les députés de la droite populaire réclament ainsi l’automaticité de l’expulsion pour les étrangers auteurs de crimes avec préméditation ou de viols. Ils réfléchissent aussi à autoriser le dispositif pour des faits de polygamie ou de fraude fiscale. «Certains étrangers commettent des fautes graves sur notre territoire et se moquent éperdument du pays dans lequel ils se trouvent», lâche le député des Alpes-Maritimes, qui voit aussi dans le projet un «bon moyen de libérer des places dans les prisons». Et quand on lui fait remarquer que l’automaticité de l’expulsion peut se révéler contraire aux textes européens – traités de libre-circulation et Convention européenne des droits de l’homme -, Lionnel Luca n’hésite pas qualifier ces institutions de «fossoyeurs de la paix civile».

Une rhétorique qui peut choquer, y compris à droite. Dans Libération, mardi, le député UMP Etienne Pinte a appelé au respect des conventions internationales en la matière. «Un pays ne peut pas faire n’importe quoi», a fait valoir le parlementaire des Yvelines, qui s’était déjà opposé au texte sur la déchéance de nationalité. Prudent, le porte-parole de l’UMP Dominique Paillé précise que le parti majoritaire n’a pas été informé pour le moment du projet. «C’est le programme du Front national !», s’insurge de son côté Sandrine Mazetier, secrétaire nationale du PS chargée de l’immigration. «Ce projet confirme la dérive de ces parlementaires qui semblent intoxiqués par l’extrême-droite populiste européenne», explique-t-elle au Figaro.fr. La députée socialiste fait remarquer que la procédure de la «double peine» existe déjà dans le code pénal, et que son application est laissée à la libre appréciation du magistrat, sans caractère d’automaticité.

Des critiques que Lionnel Luca balaye d’un revers de la main, tout en assumant la visée électoraliste de la proposition : «Ceux qui ont voté à droite en 2007 attendent une politique de droite. C’est ce que nous leur donnons. Sinon, on peut aussi faire le lit de la gauche en laissant le FN progresser. En 2012, l’UMP sera alors condamnée à être l’alliée d’un gouvernement de gauche».

Source: http://www.lefigaro.fr/politique/

01/12/2010

Les « bons mots »…

Ca change un peu. Mais ça reste en France, tout de même…

FDF

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Le jury du prix « Press club, humour et politique » présidé par Jean Miot
a procédéà la troisième sélection de petites phrases pour l’édition
2010 du prix.

Pour cette dernière sélection, le jury a retenu les meilleures « petites
phrases » collectées depuis avril :

– Eva Joly , députée européenne (Europe Ecologie) : « Je connais bien
Dominique Strauss-Kahn : je l’ai mis en examen. »

– Bernard Kouchner , ministre des affaires étrangères : « J’ai bien pensé à
démissionner, mais je n’ai pas voulu déserter. »

– Lionnel Luca , député UMP des Alpes-Maritimes : « Il n’y a pas besoin
d’être de droite ou de gauche pour dire des conneries. »

– Ségolène Royal , présidente PS de la région Poitou-Charentes : « C’est moi
qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses
intelligentes quand j’ai besoin de les dire. »

– Dominique de Villepin :
« Le Villepin nouveau sera gouleyant, fort en bouche et il aura de la
cuisse. »
Lors de la deuxième sélection, en mars, le jury avait retenu :  – Luc
Chatel , ministre de l’éducation nationale : « Une touche de rose, vert,
rouge : c’est le retour de la gouache plurielle. »

– Georges Frêche , président du conseil régional de Languedoc-Roussillon :
« Des gens intelligents, il y en a 5 à 6 % ; moi je fais campagne auprès des
cons. »

Claude Guéant, secrétaire général de l’Elysée : « Je veux bien qu’on fasse
un remaniement, mais on manque de stock. »

– Frédéric Mitterrand , ministre de la culture : « Quand on m’appelle
monsieur le ministre, j’ai toujours l’impression que Jack Lang va surgir
derrière moi ! »

– Laurent Wauquiez , secrétaire d’Etat chargé de l’emploi : « Il n’a pas
fallu 35 heures à Martine Aubry pour virer sa cuti sur Georges Frêche. »
Pour sa première sélection, en décembre, le jury avait retenu :

– Patrick Balkany , député-maire UMP de Levallois-Perret : « Je suis l’homme
le plus honnête du monde. » >

– Rachida Dati , députée européenne UMP : « Je n’ai jamais cherché à attirer
l’attention des médias. »

– Laurent Fabius , député PS : « Je ne suis pas une pom-pom girl de DSK. »

– Claude Goasguen , député-maire UMP du 16 e arrondissement de Paris : « Une
chose est sûre, ce ne sont pas nos suppléants qui vont nous pousser à nous
faire vacciner contre la grippe A. »
Une mention spéciale avait été attribuée par le jury au villepiniste
François Goulard , député-maire UMP de Vannes, pour sa déclaration :
« François Fillon a tellement de qualités qu’il mériterait d’être premier
ministre. »

Ce prix, décerné par un jury composé d’humoristes et de journalistes,
récompense l’auteur de la phrase la plus « hilarante » de l’année, qu’il
s’agisse indistinctement d’humour volontaire ou involontaire. Il avait été
attribué en 2009 à Bertrand Delanoë , maire PS de Paris, pour sa déclaration
: « Le vrai changement au PS, ce serait de gagner. »

Le prix spécial du jury avait été décerné à Luc Chatel, ministre de
l’éducation nationale et porte-parole du gouvernement, pour la phrase : « Le
chef de l’Etat appelle parfois Brice Hortefeux pour ne rien lui dire. C’est
la preuve de la qualité de leurs relations  » .

Les internautes avaient, eux, consacré Jean-François Copé , président du
groupe UMP à l’Assemblée nationale pour la phrase : « Tu as prévu de filer
les clés de l’UMP à Xavier Bertrand ; tu devrais en garder un double » .

Un prix de l’encouragement avait échu à Guillaume Bachelay, secrétaire
national à l’industrie du PS, pour sa formule : « La présidentielle, Hollande
y pense en nous rasant  » .

Merci à JLB…

06/10/2010

René Galinier reste incarcéré pour des raisons ethniques !

Absurde! On pensait que la connerie avait une limite; ben non… Notre Justice affirme que c’est pour sa sécurité que René Galinier reste en prison… Une autre, s’il vous plait! On sait bien que « plus c’est gros, plus ça passe », mais là, franchement…

FDF

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MONTPELLIER

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La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier a rejeté l’appel déposé par René Galinier, 73 ans, contre le rejet de sa demande de mise en liberté. Le septuagénaire reste en prison. La cour d’appel de la chambre d’instruction a estimé que « le maintien en détention est l’unique moyen de mettre fin au trouble exceptionnel et persistant de l’ordre public, provoqué par la gravité de l’infraction, les circonstances de sa commission et l’importance du préjudice ». Rappelons que l’« infraction » pour laquelle il demeure donc incarcéré est d’avoir tiré le 5 août dernier sur deux cambrioleuses surprises à l’intérieur de son domicile de Nissan-lez-Enserunes (Hérault), lesquelles n’ont pas été tuées.

La cour d’appel a également invoqué cet argument proprement stupéfiant : « Une mise en liberté pourrait aussi susciter l’incompréhension dans l’ethnie d’origine des victimes et faire craindre des représailles à l’égard du mis en examen. » René Galinier reste donc en prison parce que, Français de souche, il a tiré sur des Tsiganes et non sur des Bretonnes ! Et parce que les Gitans ayant le sens de la famille, paraît-il, ils pourraient décider de se faire justice eux-mêmes ! La justice française reconnaît donc qu’elle ne peut pas protéger « Papy Galinier » contre une vengeance ethnique !

Joint par Novopress, Richard Roudier, qui anime le Comité Galinier, créé pour coordonner le soutien national à René Galinier, nous a affirmé être en route pour la maison d’arrêt de Béziers, devant laquelle il va manifester dans les minutes qui viennent son indignation face à cet « acharnement judiciaire » et à cette « inversion des valeurs ». Plus de quarante manifestations ont déjà réuni plusieurs milliers de personnes à travers la France depuis le mois d’août, à l’initiative notamment du Bloc identitaire, et Richard Roudier est fermement décidé à « amplifier le mouvement ». D’autres actions sont déjà prévues pour les prochains jours, en liaison avec le comité de parrainage du soutien à René Galinier présidé par le prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme et en liaison, s’ils le souhaitent, avec tous les parlementaires UMP, comme Lionnel Luca, Christian Vanneste ou Elie Aboud, qui avaient pris position pour la libération de René Galinier.

Source: http://tinyurl.com/36nfkug

25/09/2010

René Galinier: le prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme prend la tête d’un groupe de parrainage.

La résistance s’organise autour de René Galinier. Et elle va certainement s’accentuer jusque que justice soit faite. M. Galinier n’a rien à faire en prison!

FDF

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Alors qu’une nouvelle demande de remise en liberté sera examinée par la justice le mardi 28 septembre, le Comité Galinier entend accélérer ses actions sur le terrain.
A ce jour, une trentaine de manifestations ou de rassemblements se sont déroulés sur l’ensemble du territoire, d’autres vont bientôt avoir lieu comme à Nevers, Lunel, Annecy ou encore Marseille.

Après les prises de position en faveur du « Papy », des députés Christian Vanneste et Lionnel Luca, cette affaire a provoqué un événement peu banal, à savoir la visite du député Elie Aboud au Centre pénitentiaire de Béziers en application de l’article 719 du Code de procédure pénale qui stipule :

« Les députés et les sénateurs ainsi que les représentants au Parlement européen élus en France sont autorisés à visiter à tout moment les locaux de garde à vue, les centres de rétention, les zones d’attente et les établissements pénitentiaires. »

Le Comité Galinier espère que cette démarche sera suivie par un grand nombre de représentants du peuple.

Malgré le silence assourdissant de la classe médiatique, certains journalistes courageux commencent à s’intéresser à cette affaire à l’image d’Eric Zemmour qui a consacré sa chronique à René Galinier, le jeudi 23 septembre sur RTL.

Enfin, le prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme vient de confirmer qu’il acceptait de prendre la tête du Groupe de parrainage René Galinier.Parce que demain cela peut aussi vous arriver, parce que cette « affaire Galinier » est exemplaire du sort réservé au peuple de ce pays, nous invitons tous nos concitoyens, quelles que soient leurs opinions politiques, à nous rejoindre dans ce combat pour la liberté et le droit.

Liberté pour Galinier !

CONTACT : Bloc Identitaire
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06301 NICE cedex 04

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telephone-petit : Permanence : 09 75 41 63 22 (de 09h00 à 20h00)
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18/09/2010

Petite leçon d’immoralité…

On ne vise personne…

FDF

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18 Septembre 2010

« Pour ne pas aller en prison il vaut mieux être un jeune braqueur de 25 ans (avec tentative d’homicide) déjà condamné à 7 reprises, que d’être un retraité de 73 ans, cambriolé à 3 reprises ! »

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Chacun sait bien que le trouble à l’ordre public vient d’abord des retraités qui ont eu une vie de travail honnête que de jeunes voyous armés qui n’ont rencontré le travail que par hasard… chez les autres.

Le maintien abusif du retraité de Béziers en prison ne peut s’expliquer que par des considérations, qui n’ont rien à voir avec l’objet invoqué…

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Lionnel LUCA
Député des Alpes-Maritimes
Vice-Président du Conseil Général
Des Alpes-Maritimes


Source: http://tinyurl.com/2vrvkwf

08/09/2010

Le député Lionnel LUCA défend papy Galinier injustement maintenu en prison…

septembre 8, 2010

Communiqué Lionnel Luca: Justice : 2 poids…

Sans doute vaut-il mieux être un récidiviste braqueur de casino comme à Uriage, que d’être un retraité de 73 ans, détenu en prison à Béziers depuis un mois pour avoir voulu protéger une vie de travail et peut-être …sa vie.

L’argument évoqué de « mettre fin au trouble exceptionnel et persistant à l’ordre public » paraît bien caduc et c’est au contraire son maintien en détention, incompréhensible pour l’opinion comme pour sa famille déjà suffisamment traumatisée, qui va devenir un véritable trouble de l’ordre public.

Monsieur René Galinier ne mérite pas cette indignité au regard d’une vie de travail pour sa famille et pour notre pays qu’il a servi et qui bénéficie du soutien de tout son village et bien au-delà.

Lionnel LUCA

Député des Alpes-Maritimes

Vice-Président du Conseil Général

Des Alpes-Maritimes

Nous rappelons la  lettre ouverte au Président de la République et à la Garde des Sceaux de Chantal Macaire de Riposte Laïque.

lundi 23 août 2010, par Chantal Macaire

Je me permets d’attirer votre attention sur l’affaire René Galinier, qui n’est pas sans soulever de grandes interrogations tant sur la manière dont fonctionne la « justice » française, que sur le droit qu’a l’honnête citoyen de défendre ses biens et sa personne. Mettons en regard ce fait divers avec un autre, qui s’est produit quelques jours plus tard :

- deux jeunes filles s’introduisent chez René Galinier, manifestement pour le voler. Il tire sur les cambrioleuses, et se retrouve en prison.

- des individus pénètrent dans un bureau de tabac à Montpellier, manifestement pour s’emparer de la caisse ; la jeune buraliste n’est pas armée : la malheureuse est tuée à coups de couteau…

Qui peut dire ce qui serait arrivé à René Galinier s’il n’avait pas tiré ? Personne…

Est-il acceptable que le représentant du Parquet général de la cour d’appel de Montpellier, David Charmatz, affirme catégoriquement : « notre société ne peut pas accepter que de simples cambrioleurs, qui n’en veulent pas à l’intégrité physique des personnes, qui viennent pour une rapine de quelques centaines d’euros, perdent la vie parce que quelqu’un …a fait feu à deux reprises sur deux personnes qui ne le menaçaient pas. »

Monsieur Charmatz peut-il ignorer qu’il y a eu des retraités ligotés et torturés pour les contraindre à révéler l’hypothétique cachette de leur argent, que des femmes se sont montrées capables, dans ce genre d’affaires, d’autant de cruauté que les hommes ?

« La rapine de quelques centaines d’euros » ne vaut pas la mort des coupables, certes, mais vaut-elle la mort de la victime du vol, comme à Montpellier ?

J’imagine que, si la jeune buraliste avait tué son (ou ses) agresseur(s), on aurait le même discours : que le contenu d’une caisse ne vaut pas mort d’homme(s). Peut-être serait-elle, elle aussi, en détention pour « trouble à l’ordre public » !

Mais c’est la jeune femme qui est morte pour « quelques centaines d’euros » ! Qu’en dit la justice ? Elle n’en dit rien, parce que tout est « en ordre » : le ou les délinquant(s) vivants et la victime au cimetière !

En tout cas, la détention de René Galinier suggère que l’honnête citoyen n’a pas le droit de se défendre avant d’avoir dûment vérifié que les cambrioleurs en veulent à son intégrité physique, c’est-à-dire, en termes clairs, une fois qu’il est trop tard pour lui…

Il faudrait, Monsieur le Président, une prise de position claire de l’Etat et une réponse précise sur ce point : selon la loi, faut-il que l’honnête citoyen coure le risque de mourir plutôt que de tirer sur un cambrioleur en train de commettre son forfait (et dont il ignore s’il est armé et ses véritables intentions) ?

Par ailleurs, je suis effarée de constater le « 2 poids 2 mesures » dont use la justice, elle qui devrait être d’une équité irréprochable !

Comparons en effet les deux cas suivants :

• en mai 2009, trois individus de 24 et 25 ans tirent à la Kalachnikov -une arme de guerre- sur un fourgon de police lors d’un guet-apens à La Courneuve. Ce n’est pas leur premier délit : ils ont déjà été condamnés pour des vols.

Estimant que leur maintien en détention n’est « plus nécessaire » aux investigations et que les trois prévenus disposent de garanties de représentation suffisantes (sic !), la cour d’appel de Paris les remet en liberté…

en août 2010, un homme de 73 ans, qui n’est pas fiché par les services de police et qui est victime pour la troisième fois d’un cambriolage, tire sur deux voleuses qui se sont introduites chez lui par effraction. Il n’y a pas de risque de récidive, le prévenu offre toutes les garanties de présentation devant la justice ! Mais, pour l’avocat général Laurent Bebon, ces « deux tentatives de meurtre …troublent à l’évidence l’ordre public, parce que notre société ne peut pas accepter que de simples cambrioleurs… perdent la vie » : le papy est donc maintenu en détention !

Scandaleux, à mes yeux et à bon nombre de français qui s’expriment sur Internet, de constater que, pour un avocat général, le délinquant n’est pas celui qui trouble l’ordre !

Car vous admettrez que la conclusion qui s’impose, c’est que, quand on tire à la kalachnikov sur des représentants de l’ordre, quand on vole, il n‘y a pas « trouble à l’ordre public », mais qu’il y en a uniquement quand on tire sur ceux qui ont pénétré par effraction chez soi !

Pourquoi le Ministère de la Justice laisse-t-il toute latitude aux avocats généraux et autres magistrats qui dépendent de lui, et n’exige-t-il pas une certaine cohérence dans l’application de la loi ?

Enfin, que pensez-vous de magistrats qui ne respectent pas le secret de l’instruction puisque le président de la chambre d’instruction, Alain Lienard, se croit autorisé de citer les propos de René Galinier pendant sa garde à vue : « J’étais en danger, j’avais peur… j’étais en danger avec cette sale race, je suis devenu raciste… on est obligé de s’armer… si la justice faisait son boulot… » ; de magistrats qui ne respectent pas la présomption d’innocence et ont déjà jugé René Galinier coupable, puisque David Charmatz déclare : « Nous ne nous trouvons pas, en l’état du dossier, en situation de légitime défense » « notre société ne peut pas accepter que de simples cambrioleurs… perdent la vie ». Ces pratiques, qui remettent en cause le fonctionnement normal de la justice, sont contraires à la déontologie inhérente à la charge de magistrats …

Si la justice française avait à voir avec la Justice, elle remettrait René Galinier en liberté et prendrait des mesures vis-à-vis des magistrats précités…

Chantal Macaire

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Source: Riposte Laïque

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On applique la bonne vieille méthode SITA inspirée par Amnesty International: envoi d’un courrier, dans une enveloppe timbrée, par la poste ( http://tinyurl.com/6r4fsu et http://tinyurl.com/592ezu)

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A qui envoyer les courriers?

A Monsieur Nicolas Sarkozy, président de la république dont l’adresse postale se trouve en bas de cette page: http://www.elysee.fr/ecrire/ . Ce courrier est dispensé d’affranchissement.

A Madame Alliot-Marie, ministre de la Justice et des Libertés dont l’adresse postale est indiquée à cette page:http://lannuaire.service-public.fr/services_nationaux/administration-centrale-ou-ministere_172234.html

ATTENTION: pas d’insultes ni de menaces  dans ce courrier. Ceux qui se laisseraient aller à de telles pratiques le feraient sous leur entière responsabilité.

Vous avez une enveloppe, un timbre alors vous avez le……………… P O U V O I R ………de dire son fait à toute personne publique. C’est la nouvelle façon de voter;c’est efficace:tinyurl.com/C44RVR