Francaisdefrance's Blog

09/06/2011

Au programme de l’UMP: Grandes mosquées, appels du muezzin dans les zones colonisées… Et bientôt l’application « républicaine » de la charia !

Exemple: je suis réveillé un matin par l’appel du muezzin; il n’y en aura pas un second…
FDF

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L’appel du muezzin amplifié au Puy-en-Velay

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Interrogé dans le cadre d’une émission de Public Sénat du 30 mai sur la ville UMP de Laurent Wauquiez, l’imâm du Puy-en-Velay (un Lybien …) est content de la tolérance du maire  :« on a des hauts-parleurs qui donnent à l’extérieur pour l’appel à la prière, les voisins ne se sont pas plaints de ce côté là »

mosquée puy-en-velay mosquée puy-en-velay

Laurent Wauquiez a dans l’émission excellé dans l’exercice de relativisme obligé ( il y a des intégristes partout etc.) et de langue de bois, oubliant sciemment que la charia est source de loi en Egypte :

« j’ai vécu en Egypte (…) l’Islam n’est pas une religion qui est intégriste. Comme dans tout groupe vous avez des gens qui sont extrémistes et qui cherchent à détourner les choses. Mais l’islam est parfaitement conciliable avec la république française » (minute 13)

Apparemment, Wauquiez n’a aucune idée de ce qui est enseigné à l’Université islamique d’Al-Azhar, la référence en Egypte quant à l’enseignement de l’islam (préconisant djihad, meutre des apostats et des homosexuels, voir mon livre révélant les textes enseignés). Il ne doit pas être au courant non plus du rapprochement amical entre les Frères Musulmans et Al-Azhar…

Les électeurs UMP connaissent donc déjà une partie du programme de la « majorité » : Grandes mosquées, appels du muezzin dans les zones colonisées… et bientôt l’application « républicaine » de la charia ? C’est déjà le cas dans les restaurants Quick, propriété de l’Etat via la Caisse des dépôts !

Source: http://www.islamisation.fr/

08/06/2011

Les deux-tiers des bénéficiaires du RSA obligés de bosser (un peu)? Ca sent la révolution, ça…

Mais c’est horrible? 5 à 10 heures par semaine alors que ça tombe sans que l’on ai à mettre le réveil le matin? J’en connais (toujours les mêmes) qui brûleraient des voitures pour moins que ça…

FDF

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RSA : l’UMP veut 5 à 10 heures de travail par semaine…

Le parti présidentiel souhaite créer un contrat d’utilité sociale rémunéré pour les deux-tiers des bénéficiaires du RSA, plutôt que le service social obligatoire précédemment évoqué par Laurent Wauquiez.

La majorité repart à l’assaut du RSA. A la veille de l’ouverture de la convention sur le thème de la justice sociale organisée par le parti présidentiel demain, mercredi 8 juin, Jean-François Copé, secrétaire général de l’UMP, expose dans une interview accordée au quotidien La Voix du Nord ses propositions pour que certains bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) travaillent «entre cinq et dix heures par semaine au service de la collectivité de résidence». Dans Le Parisien-Aujourd’hui en France, c’est son adjoint, Marc-Philippe Daubresse, qui assure la promotion de ces mêmes propositions.

«Environ un tiers des 1,15 million de foyers qui perçoivent l’ancien RMI ne sont pas en état de travailler sans un accompagnement social lourd. Mais pour les autres nous allons proposer un contrat d’utilité sociale rémunéré de cinq à dix heures par semaine, dans des collectivités ou des structures d’insertion», explique-t-il. En cas de refus, «le RSA pourra être diminué de manière dégressive», précise le secrétaire général adjoint.

Garder la philosophie de la loi Hirsch

«Laurent Wauquiez a posé des bonnes questions», assure-t-il en référence à la polémique soulevée à la mi-mai par le ministre des Affaires Européennes sur les «dérives de l’assistanat». Marc-Philippe Daubresse -ancien ministre des Solidarités actives- estime néanmoins que Laurent Wauquiez qui souhaitait imposer des heures de service social, n’apportait pas «nécessairement les bonnes réponses pour qui connaît le fonctionnement complexe du RSA».

Selon lui, la crise a atténué le principe novateur du revenu de solidarité active, créé pour permettre à toute personne qui travaille de gagner plus qu’en ne faisant rien, et il souhaite y ajouter un second volet. Cette nouvelle proposition apporte selon lui, des réponses «aux interrogations de Laurent Wauquiez tout en gardant la philosophie de la loi Hirsch».

Créer des guichets uniques

Marc-Philippe Daubresse veut aussi créer des guichets uniques et vérifier que d’un département à l’autre, que les foyers dont la situation est similaires bénéficient des mêmes droits. La mensualisation du RSA activité -aujourd’hui versé chaque trimestre, est aussi envisagée. Afin de traquer la fraude sociale, L’UMP veut également mettre en place une déclaration automatique des revenus par l’Urssaf aux Caisses d’allocations familiales.

Ces propositions ont été élaborées à la demande du président de la République qui, tout en affirmant que le RSA est «une avancée sociale majeure de ce quinquennat», estime qu’il est perfectible.

Source: http://www.lefigaro.fr/

20/04/2011

Islamisation de la France: qui l’aurait cru, il y a quelques décennies,

Lu dans la presse : Neutralité laïque ou racines chrétiennes ?

 


Fallait-il, ou pas, organiser au sein de l’UMP, à l’instigation de Nicolas Sarkozy, un débat sur la laïcité et la place de l’islam ? A priori, la question n’aurait pas dû se poser : pourquoi un parti politique, quel qu’il soit, s’interdirait-il de débattre d’un quelconque sujet de société ?

Si la querelle a été si vive, c’est précisément parce qu’il ne s’agissait pas d’un sujet quelconque : derrière la laïcité, ce dont il s’agissait de débattre, c’était de l’islam et de sa place dans la société française. Or l’implantation de la religion musulmane en France métropolitaine est une conséquence de l’immigration de peuplement et du regroupement familial légalisé en 1976 par Valéry Giscard d’Estaing et son premier ministre JacquesChirac. Auparavant existait, certes, la Grande mosquée à Paris, depuis 1920 ; mais n’importe quel Parisien aurait haussé les épaules si on lui avait alors prédit que trente-six ans plus tard, la capitale compterait pas moins de 75 mosquées, pour s’en tenir à celles que recense le Guide des mosquées de France (1). Et cependant, des musulmans transforment encore certaines rues parisiennes en mosquées à ciel ouvert !

Deux articles, publiés sur le site ou dans le magazine Valeurs Actuelles, reviennent sur ce débat tronqué en développant une réflexion intéressante sur ce que le journaliste Eric Zemmour appelle « l’autre versant du débat sur l’islam », à savoir les racines chrétiennes de la France, qu’il n’aurait pas été inutile de mettre en avant pour éviter l’accusation d’« islamophobie », qui sont venues aussi bien de la gauche que de la droite, observe le journaliste, où François Fillon, Alain Juppé, Rama Yade, Jean-Louis Borloo ou encore le conseiller à la « diversité » de Nicolas Sarkozy, Abderrahmane Dahmane, ont dénoncé les risques de « dérapage »d’un débat qu’ils jugeaient « inutile ».

A l’exception du chef de l’Etat, qui a osé rappeler que « les racines de la France sont essentiellement chrétiennes » (au Latran, le 20 décembre 2007) et célébrer « l’apport de la chrétienté à notre civilisation » (au Puy-en-Velay, le 3 mars 2011), la droite semble réticente à aborder ce thème, alors que « chez les croyants comme chez les incroyants, chaque jour plus nombreux sont ceux qui s’irritent du déni de mémoire dont est victime le christianisme en France comme en Europe », observe encore Laurent Dandrieu. Cette réticence est d’autant plus surprenante que « l’apport décisif du christianisme à la civilisation européenne relève de l’évidence historique », constate le journaliste, qui souligne que le christianisme est « la matrice de laquelle sont nées les grandes valeurs dont se réclame la République, à commencer par la laïcité, mais aussi l’égalité, la démocratie, les droits de l’homme (…) Toute la question est de savoir, s’il ne s’agit pas, comme le disait Chesterton, de valeurs chrétiennes « devenues folles »pour avoir été coupées de leur source originelle. »

Or, « la meilleure preuve de l’ambiguïté de ces références aux racines chrétiennes qui n’irriguent plus vraiment la pensée, écrit Laurent Dandrieu, est la difficulté de la laïcité française à trouver sa juste distance par rapport à l’islam. »

Le christianisme exclu du débat public ?

Ainsi Nicolas Sarkozy lui-même, partisan d’une une laïcité « positive » ou « ouverte », « ne cesse de parler de l’apport « des religions »à la vie publique, laissant entendre que toutes les religions seraient équivalentes à cet égard », poursuit Laurent Dandrieu. « Ce concept “des religions” empêche de penser l’islam dans sa spécificité. Alors qu’en 1990, le RPR et l’UDF concluaient à une « incompatibilité entre l’islam et nos lois« (…), aujourd’hui la classe politique dans sa quasi-totalité préfère conclure comme Nicolas Sarkozy le faisait dans son livre [La République, les Religions, l’Espérance, publié en 2004, ndlr] qu’ »il est évident que l’islam est conciliable avec la République » (Laurent Wauquiez). »

« Mais cette cécité volontaire conduit à mettre sur le même plan un christianisme qui a inventé la laïcité et un islam pour qui la séparation du temporel et du spirituel est au moins problématique », commente le journaliste. Et le débat risque vite « de réactiver, malgré les discours théoriques sur les racines chrétiennes et la « culture majoritaire », un laïcisme pur et dur qui aboutirait à exclure toute expression religieuse, y compris chrétienne, de l’espace public. »

On le voit bien « quand Marine Le Pen, au congrès de Tours, déclare : « Aucun culte ne doit empiéter sur la sphère publique ; la foi doit rester une affaire strictement privée » ; ou quand Claude Guéant souhaite que ni les usagers ni les agents du service public ne portent de « signes religieux », comment la laïcité-neutralité empêcherait-elle que de telles règles soient opposables également aux chrétiens ? »

« Pis : comment les catholiques n’auraient-ils pas le sentiment d’une duperie quand on leur parle, comme récemment le secrétaire d’État au Logement Benoist Apparu, d’utiliser ou d’assouplir la loi de 1905 pour permettre aux musulmans de disposer de mosquées, alors que cette même loi fut conçue et utilisée pour restreindre l’influence de l’Église ? (…) Les catholiques pourraient voir une forme de double langage dans la coexistence d’un discours sur les racines chrétiennes parallèlement à des actes qui, eux, viseraient uni que ment à permettre à l’islam d’effectuer son « rattrapage »sur la religion chrétienne, suivant l’expression utilisée par Nicolas Sarkozy dans son livre de 2004, qui préconisait une forme de discrimination positive en faveur du financement de l’islam. »

Laurent Dandrieu rappelle que, dans une tribune contre le financement public des mosquées publiée dans Valeurs actuelles en 2007, Paul-Marie Coûteaux réclamait quant à lui une « préférence religieuse »pour le catholicisme : « Au regard de ce qui a fait la France et les Français, il n’y a pas égalité des religions. Conséquemment, il ne saurait y avoir d’égalité de devoirs de l’État envers les cultes. » »

La laïcité, religion d’Etat

Le deuxième article publié par Valeurs Actuelles est signé par Chantal Delsol et s’intitule « L’hypocrisie de la laïcité ».

« Le débat est surréaliste pour savoir si nous devons affirmer ou infirmer nos racines chrétiennes. Comme si cela n’était pas tout simplement de l’Histoire, pour commencer ! » On peut, certes, refuser d’en parler. « On peut tenter de les noyer (ainsi un ancien président avait prétendu que l’Europe était aussi musulmane que chrétienne). Mais on ne peut empêcher que nous en soyons pétris. Or mieux vaut être conscients de ce dont nous sommes pétris : cela nous rend plus intelligents et plus prêts à affronter l’avenir. »

Au contraire, la laïcité à la française, constate Chantal Delsol, « participe d’un espoir de déracinement général, visant à faire des individus des citoyens à l’état pur, nourris exclusivement d’universel. Il faut que les enfants des provinces cessent de parler le patois et il faut aussi taire l’appartenance religieuse. Comme si nous pouvions n’appartenir qu’à la République, une et indivisible ; comme si nous n’avions pas (et en premier lieu !) des origines familiales, un lieu de naissance, une province sur terre et peut-être une autre au ciel. Il faut être idéologue comme un Français pour défendre un rêve si loufoque, qu’aucun peuple ne nous envie, même si naturellement nous souhaiterions l’exporter partout. »

« Pour être de vrais citoyens, il nous faut nous débarrasser de nos appartenances particulières ou faire comme si elles n’existaient pas ». Cette volonté de déraciner en « arrachant les signes visibles d’appartenance » est en effet une triste exception française : il ne faut pas s’étonner, poursuit Chantal Delsol, « que la France ait été le seul pays à refuser radicalement la mention des racines chrétiennes dans la Constitution européenne ». Nos voisins européens distinguent le spirituel du temporel sans vouloir à toute force étouffer le premier au profit du second…

Suite et source: http://tinyurl.com/3hfgrfl

13/03/2011

Ca tombe bien: l’UMP ne veut ni alliance avec le FN, ni front républicain.

Effectivement. Cette annonce est encore de la récupération politique nauséabonde. Les loups sortent du bois…

Marine Le Pen, comme son père, ne veut aucune alliance. Et cette politique du Front National ne date pas d’aujourd’hui. Au FN, il y aura Marine contre les  autres; pas avec les autres… Quand on pense que les partis politiques français s’organisent à coup d’alliances après s’être massacrés entre eux entre deux scrutins; la crédibilité n’est pas leur fort… Comme quoi, l’UMP/S n’est pas un leurre…

Le premier tour des cantonales sera « parlant »…

FDF

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La stratégie du parti présidentiel sera arrêtée entre les deux tours des cantonales.

«Aucune alliance avec le FN.» L’avertissement de Nicolas Sarkozy devant l’équipe dirigeante de l’UMP jeudi a été clair. Les cantonales 2011 ne verront pas l’UMP répondre aux sirènes du Front national. Le secrétaire général de l’UMP, Jean-François Copé, avait déjà précisé que toute alliance était exclue mais le président va plus loin en annonçant, d’une part, que des exclusions seront prononcées contre ceux qui dérogent à cette règle. Il a précisé, d’autre part, «qu’on ne va pas commencer à appeler à voter pour la gauche» là où le second tour verrait s’affronter un candidat de l’opposition et un du FN. La question sera au menu du bureau politique de l’UMP mercredi.

Déléguée générale de l’UMP et députée des Alpes-Maritimes, Michèle Tabarot s’avoue «très réservée sur l’idée d’un front républicain». «Cela finit toujours par faire le jeu du FN», explique-t-elle en reconnaissant qu’il peut y avoir des exceptions locales. «En 2009, le président et l’UMP avaient appelé au front républicain à Hénin-Beaumont pour faire battre Marine Le Pen», rappelle-t-elle.

Candidate à sa succession dans le canton de Fère-en-Tardenois, Isabelle Vasseur est catégorique : «Je n’ai jamais appelé et n’appellerai jamais à voter FN», explique la conseillère générale UMP de l’Aisne qui, arrivée troisième derrière le FN et le PS en 2004, avait réussi à emporter la victoire au second tour. «Cette année, c’est la gauche qui part divisée et pourrait se voir éliminée, explique Vasseur. Mais si j’avais à choisir entre le FN et le PS, je serais très tentée de m’abstenir.»

La députée de Seine-et-Marne Chantal Brunel, au cœur de la polémique, ne le conçoit pas autrement. «Là où le FN menace, il faut le battre et le battre dès le premier tour», explique-t-elle. «Complètement hostile» à l’idée qu’un candidat UMP appelle à voter FN au second tour, Brunel se rangera à «l’avis du bureau politique». Mais, précise-t-elle, «il faudra qu’on nous laisse le temps de débattre». «Nos électeurs le souhaitent», explique-t-elle en avançant pour preuve «les tonnes de courriers envoyées à l’Assemblée et les centaines de commentaires» de soutien qu’elle a reçus sur son site après avoir proposé «de remettre dans les bateaux» les immigrés venant de Méditerranée.

«Que celui qui appelle à voter FN soit sanctionné me paraît tout à fait normal», explique pour sa part le député du Nord, Christian Vanneste. «Mais il faudra avoir la même sévérité avec ceux qui appellent à voter pour le Parti socialiste, ajoute-t-il. Je suis tout à fait favorable à l’exclusion d’un certain nombre de ministres.» Dans son collimateur, Nathalie Kosciusko-Morizet, qui s’est prononcée, avant la mise au point de Nicolas Sarkozy, en faveur d’un front républicain. Ou Laurent Wauquiez qui, dans un entretien à Libération vendredi, «assume» voter pour le candidat qui peut battre le FN, «qu’il soit de droite ou de gauche». Sans préconiser ouvertement d’alliance, Vanneste brandit l’exemple de l’Italie, «où Silvio Berlusconi n’a plus d’ennemi sur sa droite depuis qu’il a su intégrer dans son giron les troupes de Gianfranco Fini».

Vendredi, c’est Marine Le Pen qui s’est offert le luxe de lancer un appel aux «électeurs de l’UMP afin qu’ils nous rejoignent». En extrapolant les résultats des régionales de 2010, l’Ifop a dressé une liste de 150 cantons où le FN serait en mesure de se maintenir au second tour. Au premier tour, en mars 2010, le Front national avait recueilli 11 % des suffrages au niveau national. Moitié moins que ne lui prêtent aujourd’hui les sondages dans le cadre de leurs études pour la présidentielle 2012.

Source: http://www.lefigaro.fr/


Le collabo du jour est…

… Laurent Wauquiez !

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Dont on peut constater l’intégrité politique car il appelle à voter tout et n’importe quoi sauf Front National. C’est « petit », comme on dit. Il est de Droite, de Gauche, des Verts? Il semble ne pas le savoir lui-même. Encore un diabolisateur du FN… J’ai horreur de de genre de mecs qui se revendiquent d’un parti et qui n’y font pas honneur. Incrédible, en fait.

Eh bien, il fera comme les autres: il s’adaptera…



Laurent Wauquiez ne veut pas du débat sur la laïcité et l’islam.

Ses propos sur les racines de DSK avaient fait polémique (lire notre article). Ce ne devrait pas être le cas de l’interview que Laurent Wauquiez a donnée à Libération (parue aujourd’hui). 

Le maire du Puy-en-Velay et ministre des affaires européennes refuse le débat sur l’islam et la laïcité, que le président de la République avait pourtant annoncé. « Il n’y a pas de débat à avoir sur l’islam, il est évident que l’islam est conciliable avec la République. Il n’y a pas de place, non plus, pour un débat sur la laïcité, car la laïcité n’est pas en débat, c’est le socle du contrat républicain. Il y a, en revanche, un vrai débat à avoir sur l’intégration » affirme-t-il dans les colonnes du quotidien.

Dans le cas d’un duel PS-FN, Laurent Wauquiez se montre également très clair : « Il faut battre le FN. Je vote pour celui qui est en face. Qu’il soit de droite ou de gauche « .

Source: http://www.lamontagne.fr/

01/12/2010

Les « bons mots »…

Ca change un peu. Mais ça reste en France, tout de même…

FDF

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Le jury du prix « Press club, humour et politique » présidé par Jean Miot
a procédéà la troisième sélection de petites phrases pour l’édition
2010 du prix.

Pour cette dernière sélection, le jury a retenu les meilleures « petites
phrases » collectées depuis avril :

– Eva Joly , députée européenne (Europe Ecologie) : « Je connais bien
Dominique Strauss-Kahn : je l’ai mis en examen. »

– Bernard Kouchner , ministre des affaires étrangères : « J’ai bien pensé à
démissionner, mais je n’ai pas voulu déserter. »

– Lionnel Luca , député UMP des Alpes-Maritimes : « Il n’y a pas besoin
d’être de droite ou de gauche pour dire des conneries. »

– Ségolène Royal , présidente PS de la région Poitou-Charentes : « C’est moi
qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses
intelligentes quand j’ai besoin de les dire. »

– Dominique de Villepin :
« Le Villepin nouveau sera gouleyant, fort en bouche et il aura de la
cuisse. »
Lors de la deuxième sélection, en mars, le jury avait retenu :  – Luc
Chatel , ministre de l’éducation nationale : « Une touche de rose, vert,
rouge : c’est le retour de la gouache plurielle. »

– Georges Frêche , président du conseil régional de Languedoc-Roussillon :
« Des gens intelligents, il y en a 5 à 6 % ; moi je fais campagne auprès des
cons. »

Claude Guéant, secrétaire général de l’Elysée : « Je veux bien qu’on fasse
un remaniement, mais on manque de stock. »

– Frédéric Mitterrand , ministre de la culture : « Quand on m’appelle
monsieur le ministre, j’ai toujours l’impression que Jack Lang va surgir
derrière moi ! »

– Laurent Wauquiez , secrétaire d’Etat chargé de l’emploi : « Il n’a pas
fallu 35 heures à Martine Aubry pour virer sa cuti sur Georges Frêche. »
Pour sa première sélection, en décembre, le jury avait retenu :

– Patrick Balkany , député-maire UMP de Levallois-Perret : « Je suis l’homme
le plus honnête du monde. » >

– Rachida Dati , députée européenne UMP : « Je n’ai jamais cherché à attirer
l’attention des médias. »

– Laurent Fabius , député PS : « Je ne suis pas une pom-pom girl de DSK. »

– Claude Goasguen , député-maire UMP du 16 e arrondissement de Paris : « Une
chose est sûre, ce ne sont pas nos suppléants qui vont nous pousser à nous
faire vacciner contre la grippe A. »
Une mention spéciale avait été attribuée par le jury au villepiniste
François Goulard , député-maire UMP de Vannes, pour sa déclaration :
« François Fillon a tellement de qualités qu’il mériterait d’être premier
ministre. »

Ce prix, décerné par un jury composé d’humoristes et de journalistes,
récompense l’auteur de la phrase la plus « hilarante » de l’année, qu’il
s’agisse indistinctement d’humour volontaire ou involontaire. Il avait été
attribué en 2009 à Bertrand Delanoë , maire PS de Paris, pour sa déclaration
: « Le vrai changement au PS, ce serait de gagner. »

Le prix spécial du jury avait été décerné à Luc Chatel, ministre de
l’éducation nationale et porte-parole du gouvernement, pour la phrase : « Le
chef de l’Etat appelle parfois Brice Hortefeux pour ne rien lui dire. C’est
la preuve de la qualité de leurs relations  » .

Les internautes avaient, eux, consacré Jean-François Copé , président du
groupe UMP à l’Assemblée nationale pour la phrase : « Tu as prévu de filer
les clés de l’UMP à Xavier Bertrand ; tu devrais en garder un double » .

Un prix de l’encouragement avait échu à Guillaume Bachelay, secrétaire
national à l’industrie du PS, pour sa formule : « La présidentielle, Hollande
y pense en nous rasant  » .

Merci à JLB…