Francaisdefrance's Blog

08/01/2012

Tabous…

La force des « tabous » est de mettre celui qui en parle dans la situation d’un criminel (donc punissable par la loi). L’autre est de taire certains comportements et dérives que le peuple n’apprécierait pas forcément de savoir; surtout en périodes électorales et en plein « pressage de citrons »…

FDF

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Quelques sujets tabous en France (par Maurice D.)

Il y a bien des sujets tabous en France.

Celui de la place de l’immigration dans la faillite de l’Etat français en est un.

Le quasi-tabou des revenus réels de certains « pipol » exilés fiscaux et apôtres de la bien-pensance

Le tabou des revenus de la classe politique

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Le tabou de l’immigration et de la faillite de l’état

Par exemple, dire que 40 % des imams qui prêchent en arabe la haine raciale, religieuse et culturelle dans les mosquées françaises sont en réalité des fonctionnaires payés par les impôts des « souchiens » peut valoir des poursuites judiciaires initiées par la Ligue des Droits de l’Homme, la LICRA et le MRAP.

 

En réalité, dans cette affirmation seule l’appellation « fonctionnaires » pourrait prêter à dénégation. Les imams  ne bénéficient pas du statut de la fonction publique. C’est un fait. Mais ils en ont toutes les caractéristiques : ils sont et seront subventionnés à vie par les allocations qu’ils cumulent : chômage, familiales, logement, etc. alors qu’ils n’ont aucune intention de chercher un emploi. De plus, ils perçoivent l’impôt religieux, le zakat, payé par les fidèles musulmans plus, quand ils en ont l’opportunité, l’impôt halal, sans que les contribuables français soient informés de la manière dont ces deux sources de revenus sont déclarées au fisc ni s’il existe le moindre contrôle des services fiscaux pour vérifier l’exactitude des revenus déclarés.

 

Le quasi-tabou des revenus réels de certains « pipol » exilés fiscaux et apôtres de la bien-pensance

Cela dit, les revenus de certaines catégories sociales sont tout aussi tabous bien que paraissent deci-delà des études classant les artistes ou les sportifs par ordre de revenu décroissant.

On apprend ainsi que tel ou telle qui donne des leçons de morale aux Français sur la situation des SDF ou des immigrés gagne 3 ou 4 millions par an et réside fiscalement en Suisse ou aux Etats-Unis. Que tel autre, au même niveau de revenu, touche, en sus, les allocations chômage des intermittents du spectacle dès qu’il se trouve ou repos entre deux tournages de films.


Les revenus des sportifs sont mieux connus, mais néanmoins avec des petits secrets. La presse nous dit bien que David Beckam aurait touché 800 000 euros par mois au PSG s’il y était entré, sans préciser que ce salaire aurait été mineur dans son revenu annuel global qui est de 30,6 millions d’euros.


Anelka gagne en Chine plus d’un million d’euros par mois, un pays où le salaire moyen d’un cadre diplômé d’une grande école est de 250 euros et celui d’un ouvrier agricole de 35 euros.
Carlo Ancelotti, le nouvel entraîneur touchera entre 6 et 7 millions par an, ce qui paraît énorme, mais reste loin derrière les 13, 5 millions de l’entraîneur du Real Madrid, José Mourinho. Mieux cependant que les trois millions que touchait Antoine Kombouaré qui devrait se contenter de 4 millions d’euros d’indemnité de licenciement.


Convenons que ces revenus mirobolants rémunèrent un certain talent, ils n’en restent pas moins absolument scandaleux. Qu’un gamin de 24 ans touche 300 000 euros/mois est choquant, quelle que soit sa capacité à courir en short derrière un ballon. D’autant, d’une part, qu’ils sont souvent fiscalisés hors de France (combien de joueurs de l’équipe de France, tous multi-millionnaires, paient leurs impôts en France ?), d’autre part que les clubs qui les rémunèrent sont la plupart du temps dans des situations financières catastrophiques et doivent être subventionnés par les communes qui les hébergent quand ce n’est pas par l’Etat.

 

Le tabou des revenus de la classe politique

Tabou aussi sur les revenus de la classe politique en France. Jean d’Ormesson déclare qu’il serait démagogique de réclamer une baisse des rémunérations des politiciens, Jean-Marie Le Pen lui-même n’ayant pas été jusque-là.

Plusieurs pays en crise, et parfois moins que nous, l’ont pourtant fait, le record venant d’être battu par Singapour qui a réduit le salaire de son Président de 51%, celui du Premier ministre de 36% et celui des ministres de 37%.


Pas question de réduire les salaires des élus en France a déclaré Jean-François Copé qui pense  qu’à moins de 5 000 euros par mois il ne resterait plus « que des minables » pour briguer une fonction élective. Moi qui pensais que les candidats à une fonction élective l’étaient par souci du bien public et non pour le fric, je suis bien déçu. Admettons que l’on ne touche pas aux salaires nominaux des députés, députés européens, sénateurs et ministres. Avec les exonérations fiscales et les multiples avantages en nature (transports gratuits, personnel, prêts à 0%, etc.) qui vont avec, ces salaires resteraient confortables, largement supérieurs à 5 000 euros/mois et donc recherchés par les meilleurs. D’autant plus que la plupart des élus sont fonctionnaires et peuvent cumuler les avantages de la fonction publique avec ceux du statut électif, ce qui n’est pas (une injustice de plus) possible aux élus venant du secteur privé.

 

Pourquoi, au minimum, ne pas interdire les cumuls de salaires et de pensions qui permettent souvent aux élus de dépasser les 15 000 euros/mois, voire d’atteindre les 30 000 ? 

Comme dans le cas de Mélenchon qui cumule une retraite de sénateur, une de député, une de la Sécu, un salaire de député européen, des indemnités de chef de parti, sans compter les revenus des placements fonciers et financiers que l’on peut aisément imaginer avec un tel revenu global de base.


Pourquoi les textes faisant obligation aux élus de déclarer leur patrimoine sont-ils aussi mal respectés ? Un seul d’entre vous, chers lecteurs, peut-il me donner le revenu réel de son député, de son député européen de son sénateur, de son président de Conseil général, de son maire ? Le plus simple serait de publier leurs déclarations d’impôt, mais ça !!!

J’ai essayé un jour d’obtenir communication de celle de Besancenot dont les revenus dépassaient sérieusement ceux d’un simple facteur, ce fut impossible. « Mais, Monsieur, me répondit une charmante jeune femme de la Direction des Services Fiscaux, les dossiers des personnalités politiques sont dans un coffre, seul le directeur peut décider de leur communication… et encore lui faudrait-il, je pense, une décision de justice et une autorisation signée du ministre ».


Et moi je persiste à croire qu’une personnalité qui est payée à vie et quoi qu’il lui arrive, depuis son entrée à l’ENA ou en politique, qui gagne de 100 à 400 000 euros par an, peut difficilement comprendre, sinon de façon purement virtuelle, les problèmes que rencontrent « les petites gens » comme on dit.

C’est bien pourquoi ceux-là sont tentés de voter aux extrêmes et de préférence à l’extrême droite bien que Marine Le Pen elle-même « habite un hôtel particulier » comme l’a aimablement rappelé cette langue de vipère de Peillon du PS dont j’aimerais aussi voir la déclaration fiscale, de même que celle de François Hollande dont on sait qu’il émarge à l’Impôt Sur la Fortune.

 

Courage, Messieurs, publiez-les de votre propre chef !

 

Parce que ce dont les Français se doutent, sans qu’aucun média ne les éclaire sur le sujet, c’est qu’alors qu’ils s’appauvrissent constamment (par augmentation permanente de leur charge fiscale) depuis trente ans, la tendance est inverse chez nos très chers élus qui sont les maîtres des augmentations salariales et des exonérations fiscales qu’ils se votent généreusement et généralement à l’unanimité, gauche et droite confondues.

La plus scandaleuse étant celle que fit voter Jean-louis Debré sur les parachutes en or des retraites des députés, juste avant de quitter le perchoir de l’Assemblée nationale.


Cette situation privilégiée est semblable aux Etats-Unis où la moitié (250/535) des membres du Congrès sont millionnaires. Le revenu médian des représentants et celui des sénateurs est de 705 000 €/an, dix fois plus élevé que celui des Américains dans leur ensemble (70 000 €).
Ces écarts de richesse entre élus et peuple peuvent passer inaperçus en période de croissance, que ce soit aux Etats-Unis ou en France. En période de crise, ils choquent.

 

Et d’autant plus quand ces millionnaires, comme Mélenchon ou Hollande, se prétendent de gauche, ce qu’ils ne seront jamais, là aussi, que de façon virtuelle.

 

Maurice D.

 source: http://minurne.blog4ever.com/

15/10/2011

Entre l’UMP et le PS, l’immigration a encore de beaux jours devant elle…

Ces tactiques électoralistes vont nous mener tout droit à l’accélération soudaine de l’islamisation de notre France… Nos dirigeants ne s’en rendent même plus compte? L’opposition travaille déjà sur le sujet. Mais malheureusement dans le même sens…

Je crois qu’en 2012, il faudra faire le choix du patriotisme et voter Marine Le Pen. Il ne reste qu’elle qui a encore la tête sur les épaules. Il faut sauver NOTRE Patrie et ne pas la donner en pâture aux intégristes islamistes pour qui travaille l’UMP/S.

FDF

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Copé et Fillon convergent pour augmenter l’immigration algérienne

Les rivalités politiciennes ne pèsent pas lourd à l’égard des vrais enjeux politiques…

Répondant à un journaliste de Tout sur l’Algérie, le secrétaire général de l’UMP Jean-François Copé explique :

« La France délivre près de 140 000 visas par an, pour environ 200.000 demandes. Le taux de refus diminue, nous délivrons de plus en plus de visas de circulation et nous avons fait un effort important pour améliorer les conditions d’accueil, notamment par le recours au prestataire Visa France. L’Algérie bénéficie en outre d’un régime favorable pour les visas de longue durée et pour le séjour, conformément aux accords de 1968 que nous sommes prêts à améliorer encore, pourvu que nos préoccupations soient prises en compte, conformément au principe de réciprocité. D’un point de vue personnel, je pense que la renégociation de l’accord de 1968 doit être l’occasion d’améliorer la mobilité des chefs d’entreprise, des chercheurs, des artistes. »J-F Copé dans TSA

François Fillon lors de son voyage officiel en Algérie de juin 2008 a promis 170 000 visas par an aux Algériens. :

ALGER (AFP) 21/6/2008 :

 — Le chef du gouvernement algérien, Abdelaziz Belkhadem (islamiste notoire!), a interpellé samedi à Alger son homologue français François Fillon, en visite à Alger, sur « la nécessité d’une plus grande fluidité dans la circulation des personnes entre les deux pays« .(…)   La France, régulièrement critiquée par l’Algérie au sujet de la circulation des personnes, fait valoir la progression du nombre de visas, désormais octroyés au rythme d’environ 170.000 par an, contre 57.000 en 1997 (sous Lionel Jospin!)

Source: http://www.islamisation.fr/

12/09/2011

Journées d’été de Marine Le Pen: la provocation de l’UMP.

Si le Front National n’effrayait pas l’UMP, ces derniers n’auraient pas fait une « contre-manifestation » à proximité du lieu où Marine Le Pen avait rassemblé ses troupes ce week-end. Je trouve ça « petit »… Pas de quoi être fier, monsieur Estrosi, vraiment pas… C’est « digne » d’une action cégétiste…

FDF

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« Dimanche, l’UMP tenait un contre-meeting à 800 mètres des universités d’été du FN.

Christian Estrosi n’est pas peu fier de son contre-meeting. Dimanche, le maire de Nice organisait dans sa ville la rentrée la fédération UMP des Alpes-Maritimes, avec comme objectif affiché de concurrencer les «  Journées d’été de Marine Le Pen » qui se sont déroulées, au même moment, dans la même ville.

« Ne laissons pas le FN tromper les Français »

« Comme Marine Le Pen à choisi Nice pour faire sa rentrée politique, chacun pourra mesurer de quel côté se situera la mobilisation », avait ainsi promis Christian Estrosi qui attendait 3.000 personnes au rassemblement de sa fédération. Finalement, 1.500 militants auront fait le déplacement pour écouter les ministres de l’Ecologie et du Travail, Nathalie Kosciusco-Morizet et Xavier Bertrand et le patron de l’UMP Jean-François Copé.

Il faut « se méfier de ceux qui se drapent dans les étendards bleu blanc rouge mais qui ont toujours choisi la politique du pire », a d’abord mis en garde Jean-François Copé. Ils voient « dans chaque tourment un argument de plus pour vendre de l’angoisse et dénoncer des boucs émissaires ». En 2012, « ne laissons pas le FN tromper les Français et faire gagner la gauche comme en 1997 », a-t-il insisté, alors que 800 mètres plus loin, Marine Le Pen et son père tenaient leurs université d’été au palais des congrès.

Le FN parade

« S’ils sont là, c’est parce qu’ils ont peur de nous », a ironisé, de son côté, Marine Le Pen, estimant que l’initiative de Christian Estrosi démontre l’état de « panique » d’une majorité, qui redoute que le FN ne barre l’accès du second tour de la présidentielle à Nicolas Sarkozy.

« Estrosi, par cette manoeuvre, tente de siphonner nos sympathisants, c’est mesquin », a déclaré Bruno Ligonie, secrétaire départemental adjoint du FN, rappelant que son parti a obtenu 49% des voix aux cantonales de mars dernier, menaçant directement les amis de Christian Estrosi dans la perspective des prochaines législatives. »

Source: http://www.europe1.fr/

03/07/2011

Nouvelle convention sur l’immigration en préparation à l’UMP…

Et comme en 2007, « on » re-pompe sur le programme du Front National (à quelques nuances près). Mais je ne pense pas que cela marchera ad vitam eternam. Les Français se sont fait avoir une fois…

FDF

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Terrain glissant. Après le débat sur l’identité nationale, celui sur « la laïcité » et l’islam » et après les nombreux dérapages des ministres de l’intérieur successifs, l’UMP de Jean François Copé organise le Jeudi 7 juillet, une nouvelle convention consacrée « aux nouveaux défis de l’immigration ».

« Les politiques d’immigration des grands pays démocratiques ne sont pas définies une fois pour toutes. Elles font l’objet de débats réguliers et s’adaptent aux évolutions économiques, sociales et géopolitiques. Pourtant, en France, ce thème suscite souvent des réactions irrationnelles » indique l’UMP dans un mail adressé vendredi à ses sympathisants.

« Dans la perspective de 2012, l’UMP ouvre le débat de façon sereine et constructive pour répondre aux défis migratoires et aux attentes des Français » précise t on chez les proches de Copé.

Le programme de cette demi journée de travaux est ainsi programmé :
– Faut-il réduire davantage l’immigration légale ?
– Quelles sont les conditions pour une immigration réussie ?
– Quels sont les droits et les devoirs pour les nouveaux immigrants ?
– Comment rendre l’action européenne plus efficace dans le contrôle des flux migratoires ?- Comment promouvoir le codéveloppement afin de favoriser l’activité dans les pays d’origine ?

Source: http://www.toulouse7.com/

08/06/2011

Les deux-tiers des bénéficiaires du RSA obligés de bosser (un peu)? Ca sent la révolution, ça…

Mais c’est horrible? 5 à 10 heures par semaine alors que ça tombe sans que l’on ai à mettre le réveil le matin? J’en connais (toujours les mêmes) qui brûleraient des voitures pour moins que ça…

FDF

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RSA : l’UMP veut 5 à 10 heures de travail par semaine…

Le parti présidentiel souhaite créer un contrat d’utilité sociale rémunéré pour les deux-tiers des bénéficiaires du RSA, plutôt que le service social obligatoire précédemment évoqué par Laurent Wauquiez.

La majorité repart à l’assaut du RSA. A la veille de l’ouverture de la convention sur le thème de la justice sociale organisée par le parti présidentiel demain, mercredi 8 juin, Jean-François Copé, secrétaire général de l’UMP, expose dans une interview accordée au quotidien La Voix du Nord ses propositions pour que certains bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) travaillent «entre cinq et dix heures par semaine au service de la collectivité de résidence». Dans Le Parisien-Aujourd’hui en France, c’est son adjoint, Marc-Philippe Daubresse, qui assure la promotion de ces mêmes propositions.

«Environ un tiers des 1,15 million de foyers qui perçoivent l’ancien RMI ne sont pas en état de travailler sans un accompagnement social lourd. Mais pour les autres nous allons proposer un contrat d’utilité sociale rémunéré de cinq à dix heures par semaine, dans des collectivités ou des structures d’insertion», explique-t-il. En cas de refus, «le RSA pourra être diminué de manière dégressive», précise le secrétaire général adjoint.

Garder la philosophie de la loi Hirsch

«Laurent Wauquiez a posé des bonnes questions», assure-t-il en référence à la polémique soulevée à la mi-mai par le ministre des Affaires Européennes sur les «dérives de l’assistanat». Marc-Philippe Daubresse -ancien ministre des Solidarités actives- estime néanmoins que Laurent Wauquiez qui souhaitait imposer des heures de service social, n’apportait pas «nécessairement les bonnes réponses pour qui connaît le fonctionnement complexe du RSA».

Selon lui, la crise a atténué le principe novateur du revenu de solidarité active, créé pour permettre à toute personne qui travaille de gagner plus qu’en ne faisant rien, et il souhaite y ajouter un second volet. Cette nouvelle proposition apporte selon lui, des réponses «aux interrogations de Laurent Wauquiez tout en gardant la philosophie de la loi Hirsch».

Créer des guichets uniques

Marc-Philippe Daubresse veut aussi créer des guichets uniques et vérifier que d’un département à l’autre, que les foyers dont la situation est similaires bénéficient des mêmes droits. La mensualisation du RSA activité -aujourd’hui versé chaque trimestre, est aussi envisagée. Afin de traquer la fraude sociale, L’UMP veut également mettre en place une déclaration automatique des revenus par l’Urssaf aux Caisses d’allocations familiales.

Ces propositions ont été élaborées à la demande du président de la République qui, tout en affirmant que le RSA est «une avancée sociale majeure de ce quinquennat», estime qu’il est perfectible.

Source: http://www.lefigaro.fr/

06/06/2011

Brocante politique à l’UMP: on brade les cartes d’adhésion !

C’est vraiment minable, ce genre de propagande électorale. C’est l’UMP au pouvoir qui nous a laissé atteindre (pour beaucoup) le seuil de pauvreté et qui maintenant organise un vide-greniers pour faire des adhésions. Je ne crois pas que l’on ai déjà vu ça en France. Quelle bassesse !

Marine 2012, vite !

FDF

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10 euros l’adhésion à l’UMP, qui dit mieux ?

L’UMP, par la voix de Jean François Copé, vient d’annoncer la baisse du prix de ses adhésions, qui passent de 25 à 10 euros. Et pour ce prix-là, les « parrains » se verront gratifiés d’une rencontre avec ce même Jean- François Copé et d’un certificat signé de sa main. La droite gouvernementale passe donc, à moins d’un an des présidentielles, à l’offensive pour ravitailler ses rangs de citoyens prêts à être accueillis comme des stars.
La situation a donc l’air d’être grave pour l’UMP et en même temps, la mesure prise est à la hauteur de la marchandise qu’il reste dans la boutique, c’est-à-dire, plus grand-chose de nouveau, sans compter les toiles d’araignée qui peuplent les étagères garnies d’idées datant de 2007 et qui ne trouvent plus acheteurs.Malgré les agitations de cette formation politique pour renouveler son stock idéologique et qui n’hésite pas, pour y parvenir, à piller qui elle peut et en particulier sur sa droite, les adhérents n’ont pas l’air de se bousculer pour faire partie de la tribu Sarkozyste. Et bien alors, l’UMP serait-elle en rupture de stock d’humains, de citoyens buveurs de discours avec digestion lente ? C’est à se le demander car pour en arriver à casser les prix jusqu’à plus de 50%, c’est, comme dirait l’autre, « qu’il y a anguille sous roche ».Par ailleurs, il fut un temps où le PS s’était crêpé le chignon (encore une fois) pour une histoire à 20 euros. Vous vous souvenez ? Ségolène pensait aux pauvres tout en criant :
« Ouvrez les fenêtres, les portes, la cave, le grenier et faites entrer le peuple ! »

tandis qu’à Solférino, on redoutait la vague par crainte de voir les caisses se remplir moins vite, et de l’autre côté, les urnes, en période d’élection interne, se bourrer d’un peu de trop bulletins qui pourraient déstabiliser les patrons en place !Le PS vient donc de se faire détrôner dans son commerce militant (certes accouchées dans la douleur et au forceps) dans une ambiance politique où tout est prétexte à concours : l’immigration, l’islam, les pauvres, la laïcité, le sexe même et maintenant, le prix des adhésions !« Allons-y donc citoyens pour 10 euros à l’UMP, qui dit mieux ? » pourrait-on s’imaginer un Copé nous criant cela derrière son étalage !Et le FN ?
C’est sûrement gratuit chez eux, vu qu’ils prennent tous ceux qui cauchemardent à la vue d’un Noir, d’un Arabe ou d’une cité, même s’ils ne les voient que derrière un écran télé. Ou bien, ils ont des adhérents qui paient pour l’espoir d’une France « pure et blanche » promise par leur Cheftaine ! (L’adhésion « classique » est de 50€ au FN, ndlr).(FDF: discrimination politique…)Et au Front de Gauche, c’est combien ?
Eux, ils doivent payer leurs adhérents non ? Car avec un chef qui crie sur tous ceux qui ont plus d’un euro en poche, on l’imagine mal faire payer l’entrée de son officine !Et chez Europe écologie, les verts ?
De ce côté-ci de la galaxie politique, circulez, il y a intérêt à payer pour être certain d’entrer chez les « faux pauvres », enfin, entre « bobos déguisés en smicards ». Parce que chez les verts, on n’a pas besoin d’être beaucoup, mais juste assez pour être une force d’appoint ! et étant donné qu’ils rackettent au PS les mandats, que d’ailleurs les décideurs socialistes, (ou si vous préférez « les autorisés ») pillent aux militants, la question du prix de l’adhésion est donc secondaire. (C’est 10€ aussi chez EELV, ndlr).Quant aux partis du Centre, laissons leur le temps d’organiser leur entreprise en trouvant son PDG, son gérant, ses commerciaux  ; ils auront bien le temps de trouver des clients après 2012. (Chez le MoDem, c’est à partir de 20€, ndlr).Alors, en ces temps de brocantes électorales, où certains vident les greniers, d’autres pillent des caves, tout cela sur fond de grosses soldes du tarif des entrées, il est fortement conseillé aux marchands politiques de faire attention aux chineurs, parce qu’en ces temps de crise, la tentation est grande de chiner les prix…
Et que ce soient ceux des adhésions ou des idées, c’est ambiance brocante politique nationale !

Source: Le Post

26/05/2011

Immigration: une convention qui ne plait pas à tout le monde…

Pleurs et grincements de dents chez Saphirnews.com… Ils ne semblent pas avoir compris que l’immigration, la place de l’islam dans NOTRE société et la laïcité sont très étroitement reliés…

FDF

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Immigration : l’UMP remet le couvert avec un débat en juin…

« Après la laïcité et la place de l’islam dans la société, c’est au tour de l’immigration de faire l’objet d’une nouvelle convention UMP. Le secrétaire général du parti majoritaire Jean-François Copé a annoncé, mardi 24 mai sur France Info, la tenue d’une « convention sur l’immigration » pour le mois de juin.

« On doit pouvoir parler d’immigration légale, illégale, de l’immigration économique ou sociale sans qu’à chaque fois ce soit par des injures (…) sans à chaque fois qu’on nous jette l’anathème, en nous disant que c’est le Front national : ça n’a rien à voir (…) Ce sont des sujets objectifs sur lesquels il faut qu’on travaille », a affirmé le patron de l’UMP.

Cette annonce fait écho aux sorties en règle du ministre de l’Intérieur Claude Guéant, très nombreuses sur la question de l’immigration. Dernièrement, il a réaffirmé sa volonté de réduire l’immigration légale, déclarant que la France n’avait « pas besoin de maçons » immigrés car elle disposait de la « ressource nécessaire » et que « contrairement à une légende, il est inexact que (la France ait) besoin de talents, de compétences » issus de l’immigration.

Plus encore, le ministre a déclaré, dimanche 22 mai, que « contrairement à ce qu’on dit, l’intégration ne va pas si bien que ça: le quart des étrangers qui ne sont pas d’origine européenne sont au chômage, les deux tiers des échecs scolaires, c’est l’échec d’enfants d’immigrés ». Une nouvelle controverse qui met en émoi les principaux syndicats d’enseignants et de parents d’élèves. La victoire aux Y’a Bon Awards est vraiment passé de peu sous son nez. »

Source: http://www.saphirnews.com/

18/05/2011

Près de 70% des Français estiment que la justice française est «trop indulgente» vis-à-vis des récidivistes.

Ca, ça ne date pas d’aujourd’hui. Le laxisme concernant la récidive nous a donné ces temps derniers quelques cas douloureux… Il faut frapper fort! Il faudrait déjà, pour les récidivistes meurtriers ou violeurs, exiger la perpétuité… Le peuple ne vivrait plus tant dans la peur.

FDF

Récidive : les Français réclament la sévérité !

À l’initiative de l’association Institut pour la justice, 300.000 pétitionnaires demandent une loi plus contraignante.

La récidive criminelle est un dossier qui mobilise l’opinion publique. C’est en tout cas ce qu’a décidé de prouver l’Institut pour la justice, une association regroupant de nombreuses victimes et proches de victimes, des avocats et des magistrats. Alors que s’ouvre au Sénat l’examen du projet de loi instaurant les jurés populaires en correctionnelle, l’association monte au créneau, demandant aux pouvoirs publics une sévérité accrue envers les criminels les plus dangereux.

Selon un sondage CSA, 70% des Français estiment que la justice française est «trop indulgente» vis-à-vis des récidivistes. Les sympathisants de droite sont les plus nombreux

à exprimer cette opinion, mais les électeurs de gauche partagent également largement ce jugement – 66% des sondés issus du PS et de l’extrême gauche ont répondu par l’affirmative. Les moins de 30 ans se montrent les plus concernés par le sujet: à 76% ils estiment nécessaire une nouvelle loi plus contraignante. «Car ce sont eux les plus exposés au danger» explique Xavier Bébin, jeune criminologue représentant l’association. Les sondés de droite comme de gauche se disent également très majoritairement favorables à l’instauration d’une peine de perpétuité réelle pour les criminels sexuels les plus dangereux.

Permis à points

Pour montrer l’adhésion des Français à ces sujets, l’association a lancé une pétition qui a recueilli, en pleine affaire Tony Meilhon, 300.000 signatures par Internet. « Le drame de Pornic, défend Xavier Bébin, ce n’est pas celui du suivi après la prison. Ce meurtre souligne la difficulté de la justice française à prendre en compte la dangerosité des condamnés, car tout au long de son parcours, Tony Meilhon avait fait preuve d’une grande violence.» Mardi, les sympathisants manifesteront sur le Champ-de-Mars, espérant sensibiliser les élus à leur demande. Ils espèrent que l’examen de la loi sur les jurés soit l’occasion d’un durcissement législatif visant les prédateurs sexuels.

Une partie des députés de la majorité partagent déjà certaines des préoccupations exprimées. Début mars, lors de la convention de l’UMP consacrée à l’application des peines, Jean-François Copé a défendu l’idée de supprimer les réductions de peine dites «automatiques». Celles-ci fonctionnent sur un principe du permis à points: le détenu bénéficie à son entrée en prison d’un crédit de jours, calculé en fonction de la durée de sa condamnation, qui diminue en cas de mauvaise conduite. Un détenu peut ainsi tabler sur deux mois de prison de moins par année d’incarcération (la première année  rapporte» trois mois). «Il faut que le lien entre la peine prononcée et la peine appliquée soit plus lisible», explique l’élu des Alpes-Maritimes Éric Ciotti. Plusieurs parlementaires ont déjà tenté de combattre ce dispositif. Le député souhaite également que la possibilité d’aménager la peine, étudiée pour toutes les personnes condamnées à deux ans de prison ou moins – et qui permet d’éviter l’incarcération – ne soit à l’avenir ouverte qu’aux condamnés à moins d’un an de détention. La Chancellerie n’est pas favorable à cette mesure, car le dispositif vient tout juste d’être mis en place, mais le débat promet de ressurgir.

Construction de prisons

En contrepartie, dans le rapport qu’il doit remettre dans les jours à venir au président de la République, Éric Ciotti milite en faveur d’un nouveau plan de construction de prisons qui permettrait d’ajouter 20.000 places de détention d’ici à 2015. Les réductions et aménagements de peine sont en effet utilisés pour réduire la surpopulation carcérale. Ils permettent aussi, estiment les cadres pénitentiaires, d’encourager les bons comportements en prison.

L’écart entre la peine prononcée et le temps passé sous les verrous est toutefois régulièrement montré du doigt. Plusieurs amendements en ce sens devraient être défendus à l’Assemblée en juin prochain, avec d’autant plus de vigueur qu’il s’agira alors du dernier grand texte «justice» avant la campagne électorale.

Source: http://www.lefigaro.fr/

15/05/2011

Provocation: Le niqab s’invite au Bristol…

Ils et elles ne peuvent pas s’empêcher… Provocation, encore et toujours. En plus du non-respect de nos lois.

Faut il leur rappeler sans cesse qu’ils sont sur le territoire de NOTRE République? Pas la peine; ils le savent très bien. Et leur souhait le plus cher est que NOTRE république devienne une République islamique. Pas gagné, les gars!

FDF

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Vu sur: http://oumma.com/


Pour la cinquième fois, Rachid Nekkaz fait parler de son association « Touche pas à ma constitution ». Il a choisi cette fois le Bristol pour sa conférence de presse un mois jour pour jour après l’application de la loi interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public. Encore une fois, il sera invité, pas très cordialement, au poste de police. La conférence de presse se termine par un appel au boycott sur les ventes d’armes françaises dans les pays musulmans.

Deux femmes en niqab, Lila et Sarah, attendent depuis 10h dans le hall de l’hôtel. Elles sont arrivées une heure avant le début de la conférence. Leur avance leur permet de passer entre les mailles du dispositif policier, non encore opérationnel. Trois autres femmes en niqab, qui arrivent un peu plus tard avec Rachid Nekkaz, n’ont pas cette chance. Elles sont arrêtées et conduites dans un fourgon de police pour un contrôle d’identité.

Le porte-parole de l’association « Touche pas à ma constitution », Rachid Nekkaz, accueille les participants devant l’hôtel. Apprenant que l’une des femmes arrêtées vient de faire un malaise, il s’élance en direction du fourgon. Il est alors intercepté par une dizaine de policiers qui l’embarquent sans ménagement. Encore une fois, Rachid Nekkaz ne pourra assister à la manifestation qu’il a organisée (comme le 11 avril devant Notre-Dame).

Marie, l’une des femmes interpellée, est libérée après avoir accepté de retirer son voile dans la rue. Elle rejoint Lila et Sarah. Les autres sont conduites au commissariat car elles ne veulent pas céder. La conférence de presse commence avec les trois femmes qui s’installent. Mais elles refusent aussitôt de participer tant que les autres ne sont pas libérées.

Les hommes prennent le relais

Jean-Bruno Roumegoux, président de « Touche pas à ma constitution », et Hassan Ben M’Barek, porte parole du collectif Banlieue respect, prennent la parole : « A ce jour, aucune fille voilée n’a été verbalisée. Nous disons que cette loi n’a qu’un seul but, celui de stigmatiser la communauté musulmane ».

Jean-Bruno Roumegoux commence par rappeler les quatre happenings déjà organisés par l’association : devant l’Elysée le 11 avril, à la terrasse du Fouquet’s (« haut lieu symbolique du quinquennat présent ») le 15 avril, devant l’Assemblée nationale le 20 avril, devant la mairie de Meaux le 5 mai. Ainsi qu’une prière universelle sur le parvis de Notre-Dame. Il rappelle qu’aucune amende n’a été infligée lors de ces happenings, uniquement des rappels à la loi. Seuls des procès verbaux d’audition ont été établis. « On a un réseau de 288 femmes portant le niqab. Aucune n’a eu d’amende à ce jour. »

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Lila, Marie et Sarah commencent la conférence de presse mais l’arrêtent aussitôt. Elle ne veulent pas s’exprimer tant que les autres femmes ne sont pas libérées.

Il développe ses craintes vis-à-vis des musulmans tout en rappelant ses origines chrétiennes. Selon lui : « Il faut toujours défendre les minorités lorsqu’on appartient à la majorité : se battre pour les minorités chrétiennes dans les pays musulmans, se battre pour les minorités juives. La population musulmane est constamment mise à l’index, montrée du doigt. Il faut lutter parce qu’on a eu de mauvaises expériences, il y a quelques dizaines d’années, en France et dans d’autres pays européens. »

Et de poursuivre : « Ce qui est très embêtant dans cette loi, c’est de l’avoir étendue à la rue. Car la rue, c’est le patrimoine de la démocratie et de la liberté. Que la loi touche l’ensemble des lieux publics, on comprend. Pour entrer dans une Poste, il est normal de présenter son visage et son identité. Mais il ne faut pas toucher à la sacralité de la liberté dans la rue. Je reviens de Londres où il n’y a aucun problème. Là-bas une femme sur deux s’habille comme elle veut. En France, c’est un coup de canif dans les traditions qui n’est pas acceptable. »

Des femmes assignées à résidence

Il insiste sur les dérives de la loi : « Le phénomène très inquiétant, ce sont ces jeunes Françaises qui ne veulent plus sortir. Sur la région de Grenoble, environ trente jeunes femmes se cloîtrent chez elles. Elles ne descendent plus. Elles sont assignées à résidence par cette loi. L’effet répressif immédiat de la loi n’a pas eu lieu. Ces femmes estiment que leur foi vaut plus que 150 euros. Ils pensaient que la loi était tellement coercitive qu’une fois appliquée, plus personne ne sortirait avec le voile intégral. Mais ce n’est pas le cas. »

Jean-Bruno Roumegoux rappelle les actes de violence qu’elles subissent : « Les gens se permettent de faire justice eux-mêmes. Hind, l’une des jeunes femmes qui a été arrêtée aujourd’hui, a reçu un coup de poing sur le visage dans la rue. Une autre a pris un caddie dans les jambes au supermarché, devant ses enfants. »

Mohamed Chanaï, membre du collectif Banlieues Respect intervient : « Ça va plus loin que le niqab. C’est aussi le débat sur l’islam. Dans les dangers qui menacent notre pays, il y a cette division de la société, notamment avec la stigmatisation de l’islam. Les actions dans lesquelles je m’investis, c’est pour dire : ça suffit ! On veut une vie citoyenne à part entière avec l’égalité, et basta. »

L’association estime avoir repris intégralement la proposition des socialistes qui approuve la loi dans les espaces publics mais pas dans la rue. Elle estime que Jean-François Copé a franchi les limites en incluant la rue. Son but : « Au moins amender cette loi sous le gouvernement actuel. On insiste sur la liberté de circuler comme on veut dans la rue. »

Boycott sur les ventes d’armes

L’association lance un boycott sur les ventes d’armes françaises dans le monde, et en particulier dans les pays musulmans. Rachid Nekkaz sera en tournée dans les capitales du Golfe du 3 au 10 juin 2011. « Aujourd’hui les pays arabes et musulmans remettent en cause leurs liens avec la France. Un ministre koweitien a appelé au boycott des produits français. »

07/04/2011

Les primaires du PS hors la loi ?

C’est la guerre à l’UMPS ???

C’est Marine Le Pen qui doit bien rire…

FDF
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L’UMP envisage de constituer une commission pour vérifier que l’organisation des primaires socialistes soit conforme à la loi.

Pour certains à l’UMP, les primaires pourraient tourner au « flicage »

Prise de bec constitutionnelle en vue. L’UMP et Jean-François Copé, son patron, doutent de la légalité des primaires socialistes prévues en octobre. Au cours d’un point-presse mercredi, le maire de Meaux a relevé deux dispositions qui selon lui posent problème. Tout d’abord, le fait que le parti socialiste puisse utiliser le fichier électoral de chaque mairie et pas seulement le fichier de ses militants.

« En clair, nous nous inquiétons fortement de l’utilisation qui pourrait être faite par un grand parti politique de ces fichiers ». Plusieurs députés de la majorité seront donc chargés d’examiner cette question afin de conjurer tout risque de « flicage », selon le mot d’un responsable de l’UMP. La CNIL (Commission national informatique et libertés) devra également se pencher sur le problème.

Second pinaillage légaliste, la question de la cotisation d’un euro dont chaque votant devra s’acquitter. La somme, même mineure, s’apparenterait à un suffrage censitaire façon « Monarchie de juillet », selon Jean-François Copé. Valérie Rosso-Debord s’est également fait juriste pour l’occasion. La déléguée générale adjointe de l’UMP a rappelé que la constitution de la Ve république prévoyait un scrutin à deux tours pour la présidentielle. Avec une primaire, « mécaniquement, nous passons à un troisième tour. Donc le dispositif est parfaitement anticonstitutionnel », a t-elle fait valoir.

Pas paniqué, le dirigeant socialiste François Lamy a rétorqué dans un communiqué que « toutes les procédures d’organisation des primaires » avaient été examinées par la CNIL, la Commission nationale des comptes de campagne et de financement des partis politiques, le Conseil constitutionnel et même le ministère de l’Intérieur.

Source: http://tinyurl.com/3dhxde6

03/04/2011

2012: bizarrement « on » oublie Marine Le Pen…

Arrêtez de  faire croire tout et n’importe quoi avec ces sondages rococos.
Bizarrement vous ne parlez plus de Marine !!!  Arrêtez de prendre les gens pour des oies sauvages !
Manipulation des masses par les médias, la télé, ect… on connaît !!! Cela fait plus de 40 ans qu’on a les mêmes navets dans le couscous. On en est gavé  !  Tout cela a pris un très mauvais arrière goût plus que douteux que ce soit la Gauche ou la Droite !  Rien de neuf, pas de programme ! On plonge un peu plus chaque jour !
Après la diabolisation qui ne fonctionne plus très bien (résultats cantonales 2011…), « on » pratique la politique de l’oubli. Mais le Front National n’oubliera pas ses résultats plus qu’encourageants l’an prochain…

Marine; vite !!!

Les électeurs de droite préfèrent Fillon à Sarkozy pour 2012…


Selon un sondage, 57 % d’entre eux souhaitent que le Premier ministre soit candidat.

Les électeurs de droite placent François Fillon en tête de leurs préférences, devant Nicolas Sarkozy, pour concourir à la présidentielle de 2012, selon un sondage Harris Interactive publié dimanche. Selon cette enquête réalisée pour le quotidien Le Parisien, le chef de l’État conserve toutefois la faveur des sympathisants UMP.

Les électeurs se déclarant de droite sont 57 % à souhaiter que le Premier ministre soit candidat et 54 % à préférer Nicolas Sarkozy. Tous deux devancent largement Alain Juppé (41 %), Jean-Louis Borloo (33 %), Dominique de Villepin (29 %) ou Jean-François Copé (22 %). Pour les seuls sympathisants UMP, Nicolas Sarkozy (78 %) devance François Fillon (70 %)…

Suite et source: http://tinyurl.com/3apvbzx

Merci à Babette pour le com…

22/03/2011

Cantonales: Fillon prend ses distances avec la règle fixée par l’UMP pour le second tour du scrutin – ni « front républicain » ni vote PS.

Ils sont « mal »; ils sont « mal »…

FDF

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Élections cantonales 2011 : cacophonie à droite sur l’attitude à adopter face au FN


Quelle attitude adopter face au Front national ? Présent dans 394 cantons au second tour, le parti de Marine Le Pen contraint la majorité présidentielle à se positionner. Et comme attendu, la question d’un front anti-FN divise à droite. Le patron de l’UMP Jean-François Copé a répété, dimanche, la ligne de conduite à suivre : ni alliance avec le FN, ni retrait d’un candidat UMP pouvant se maintenir, ni appel à un « front républicain », c’est-à-dire au vote socialiste en cas de duel FN-PS. « La gauche et la droite, ce n’est pas pareil (…). Je ne vois pas pourquoi on appellerait à voter de façon systématique pour le PS », a-t-il justifié, lundi matin, au micro de RTL. Et de préciser aussitôt : « Je n’ai jamais dit j’interdis de voter pour le PS ; là aussi, j’ai bien expliqué qu’il y avait une liberté de choix, mais pas question de voter pour le FN. » Une stratégie de nouveau confirmée par Nicolas Sarkozy lundi matin lors d’une réunion avec l’état-major de l’UMP.

Mais pour le parti majoritaire, la débâcle est telle que cette ligne de conduite élaborée avant les cantonales semble difficile à tenir. Avec 15,18 % des voix au premier tour du scrutin, le FN talonne l’UMP (17,07 %) et se prépare à affronter en duel le PS dans 204 cantons au second tour, dimanche 27 mars. Tout en laissant les électeurs libres de leur choix, l’UMP joue les équilibristes. « On appelle à faire barrage au Front national », a exhorté le porte-parole du gouvernement François Baroin, tout en refusant la moindre « union » avec le PS. Quant à Henri Guaino, conseiller de Nicolas Sarkozy, il n’y va pas par quatre chemins. « Il y a ce que moi je ferais et il y a ce que j’appellerais à faire. Moi, je voterais pour le candidat qui n’est pas FN (…), mais je suis tout à fait opposé à ce que l’on appelle le front républicain », a-t-il précisé sur RMC. Entre ligne de conduite officielle et posture personnelle, tout est dans la nuance.

Fillon se démarque

Mais dans les rangs du parti majoritaire, certains ne s’embarrassent pas de formules. À commencer par François Fillon. Lors du bureau politique extraordinaire qui s’est tenu lundi après-midi, le Premier ministre a pris ses distances avec la ligne dictée par Nicolas Sarkozy. « Aucune voix de la droite et du centre ne doit se porter sur l’extrême droite. Là où il y a un duel entre le Parti socialiste et le Front national, nous devons d’abord rappeler nos valeurs et nos valeurs ne sont pas celles du Front national », a estimé François Fillon. Et d’enfoncer le clou : « Nous devons appeler nos électeurs à faire le choix de la responsabilité dans la gestion des affaires locales. Tout cela conduit à voter contre le Front national. »

Des arguments développés dès dimanche soir par la ministre de l’Enseignement Valérie Pécresse, qui a clamé haut et fort qu’elle voterait pour la gauche en cas de duel avec le FN. La semaine dernière, le président du Sénat Gérard Larcher et la ministre de l’Écologie Nathalie Kosciusko-Morizet avaient été dans le même sens.

Les centristes, eux aussi, font entendre leur petite musique dans le débat. Jean-Louis Borloo a relayé la consigne approuvée à l’unanimité par le bureau politique du Parti radical. « Il est exclu qu’il y ait une voix de notre famille pour le Front national. Il faut absolument faire barrage au FN et voter pour le PS », a insisté le chef de file des radicaux valoisiens. Même son de cloche du côté du parti d’Hervé Morin. Le président exécutif du Nouveau Centre Jean-Christophe Lagarde a ainsi demandé aux électeurs « attachés aux valeurs de la République » de voter pour « le candidat démocrate restant en lice » dans les duels face au FN.

Sur toutes les lèvres, la question du « front républicain » risque de monopoliser le débat jusqu’à dimanche, à droite comme à gauche. Une querelle qui sera suivie de près au FN. Dans les rangs frontistes, on veut croire que la « vague bleu Marine » peut s’amplifier au second tour. Quoi qu’il en soit, le report des voix de gauche et de droite sur le candidat FN sera examiné à la loupe.

Source: http://www.lepoint.fr/

15/03/2011

Le débat électoraliste sur l’islam, c’est dimanche déjà, qu’il va ressortir des urnes…

Ce premier tour déterminant devrait faire pencher la balance. Pas dans le bon sens pour les muzz ni leurs sympathisants, bien sûr…

FDF

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Les musulmans craignent un débat électoraliste sur l’islam…

Le secrétaire général de l’UMP, Jean-François Copé, a rencontré samedi 12 mars le recteur de la Grande Mosquée de Paris pour l’assurer « des bonnes intentions du débat sur la laïcité » prévu le 5 avril 

Le président du Conseil français du culte musulman, Mohammed Moussaoui, avait déjà fait part de « son inquiétude ». Un collectif d’une dizaine de responsables musulmans (parmi lesquels Azzedine Gaci, recteur de la mosquée de Villeurbanne, Larbi Kechat, recteur de la mosquée Addawa à Paris, ou encore Tareq Oubrou, imam à Bordeaux) a dénoncé le 4 mars dernier, dans les colonnes du Monde , « le débat de trop ».

« Sans aucun doute, le débat sur l’islam, en France, est légitime. En revanche, le calendrier électoral et les termes de la campagne politique à venir risquent de lui porter préjudice, car il pourrait renforcer des amalgames déjà trop ancrés dans l’esprit de nombre de nos concitoyens », expliquent-ils.

Samedi, lors d’une rencontre avec Dalil Boubakeur, le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Jean-François Copé, le secrétaire général de l’UMP, s’est efforcé de calmer le jeu en l’assurant « des bonnes intentions du débat sur la laïcité ».

Abdallah Zekri a déchiré sa carte de l’UMP

Il est vrai que l’opposition d’une partie de la communauté musulmane à l’organisation par l’UMP le 5 avril prochain d’une « convention sur la place des cultes en France et singulièrement l’islam » a pris, la semaine dernière, un tour spectaculaire.

À l’occasion d’une rencontre à la Grande Mosquée de Paris réunissant 150 militants associatifs ou élus de confession musulmane, un militant du Gard, Abdallah Zekri, chargé de mission au Conseil français du culte musulman et aumônier des hôpitaux, a déchiré sa carte du parti majoritaire et appelé « tous les musulmans de l’UMP » à l’imiter.

De son côté, le conseiller technique chargé de l’intégration à l’Élysée, ancien secrétaire national chargé de l’immigration à l’UMP, Abderrahmane Dahmane, aurait – selon l’AFP – qualifié « l’UMP de (Jean-François) Copé » de « peste pour les musulmans » et appelé ses coreligionnaires à « ne pas renouveler leur adhésion » à ce parti tant que le débat n’a pas été annulé.

« Poignée de néonazis »

Après avoir comparé la situation des musulmans en France aujourd’hui à celle des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, il aurait dénoncé la « poignée de néonazis » qui a décidé de lancer le débat. Celui-ci, « voulu par Nicolas Sarkozy pour la défense des musulmans, a été dévié parce qu’à l’UMP il y a des gens très proches du Front national », a déploré ce fervent soutien du président de la République depuis la création en 2003 du Conseil des démocrates musulmans de France qu’il préside.

La réaction ne s’est pas fait attendre. Nicolas Sarkozy a immédiatement mis fin aux fonctions de conseiller technique d’Abderrahmane Dahmane. Une décision officialisée dès samedi par la publication d’un arrêté au Journal officiel.

Par ailleurs, la direction de l’UMP a dénoncé « des propos diffamatoires et dangereux ». Son secrétaire général adjoint, Marc-Philippe Daubresse, a assuré que ce débat sur la laïcité aurait bien lieu, comme prévu, le 5 avril et qu’il était « doublement nécessaire » dans un contexte de montée du Front national et pour réaffirmer « les principes humanistes et républicains fondateurs de la loi de 1905 ».

De son côté, le Collectif Banlieues Respect avait demandé vendredi dans un communiqué adressé à « l’Église de France » « la mise à disposition des églises vides pour la prière du vendredi », estimant que cette mesure permettrait « d’éviter que les musulmans ne prient dans la rue » et ne soient « les otages des politiques ».

Source: http://www.la-croix.com/

13/03/2011

Ces personnes vous inspirent du dégoût? Faites-leur savoir par écrit, c’est la nouvelle façon de voter, c’est la démocratie directe!

Je relaie…
FDF
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Action SITA : imprimer, adresser, poster : la nouvelle façon de voterDémocratie Directe

On applique la bonne vieille méthode SITA inspirée par Amnesty International: envoi d’un courrier, dans une enveloppe timbrée, par la poste ( http://tinyurl.com/6r4fsu ) ou en cas d’absence d’adresse postale envoi d’un courriel.

Un timbre au tarif de base “20 grammes” permet d’envoyer deux feuilles soit 4 pages en tout. Vous pouvez donc compléter votre courrier en imprimant sur les pages encore disponibles des informations  afin de permettre a vos interlocuteurs une meilleure compréhension de l’islam. Au choix à cette page des argumentaires et tracts au format PDF: http://tinyurl.com/ksudr9

Action SITA N°1

Jean-François Copé tient des propos scandaleusement mensongers et s’abaisse jusqu’à l’abjection envers Marine Le Pen

En présentant Marine Le Pen comme une potentielle tueuse d’enfants, Copé atteint le fond du fond de la saloperie politicienne

Lire l’article de Riposte laïque sous la plume de  Djamila Gérard:

http://ripostelaique.com/en-presentant-marine-le-pen-comme-une-tueuse-denfants-cope-atteint-le-fond-du-fond-de-la-saloperie-politicienne.html

Quoi envoyer?

L’article de Riposte Laïque au format PDF, prêt à imprimer sur 2 pages , que l’on trouve à cette page: http://ripostesita.files.wordpress.com/2011/03/ripostelaique-com-en-presentant-marine-le-pen-comme-une-potentielle-tueuse-d-enfants-cope-atteint-le-fond-du-fond-de-la-saloperie-politicienne.pdf

Destinataire:

La mairie de Meaux dont J-F Copé est député maire dont on trouve l’adresse à cette page: http://www.assemblee-nationale.fr/13/tribun/fiches_cir/07706.asp

ou encore à l’adresse du siège parisien de l’UMP dont J-F Copé est le secrétaire général que l’on trouve à cette page: http://www.lemouvementpopulaire.fr/personnalites/ (cliquer sur « nous contacter » en bas de cette page)

Action SITA N°2

Encore un artiste qui se croit obliger de nous dire ce que l’on doit penser pour faire partie du camp des progressistes, du camp du bien, du camp des saints. Je ne sais pas vous mais moi désormais dès que je verrai Richard Berry à l’affiche d’un film je boycotterai.

Richard Berry dans son dernier rôle qui n’est pas de composition: commissaire du peuple

Quelques extraits de l’article suivant publié sur Riposte Laïque: http://ripostelaique.com/richard-berry-aux-grandes-gueules-salaud-de-peuple-francais.html

….D’un bout à l’autre, ce bobo des beaux quartiers bouffi de suffisance a vomi sa haine de la France et des Français avec une morgue non dissimulée. Invité à commenter la « vague bleue » représentée par Marine Le Pen, il la qualifia de vague noire et posa la question essentielle, à savoir s’il fallait se barrer ? Car M. Berry, qu’on se le dise dans la France profonde (et probablement moisie), est un grand résistant. Mieux encore, il « sent » ces choses-là. Oui, Richard Beria nous l’affirme. Selon ses dires, il a toujours senti ça depuis Pétain, cette menace plane toujours au-dessus de la France qui peut toujours basculer dans les extrêmes. C’est donc pour cela qu’il faut de la « résistance », comme « à l’époque » (entendez 1939-1945). La France est donc toujours un pays pétainiste. Incapable de lutter contre ses vieux démons, elle n’a absolument pas changé depuis les années 1930 et l’Occupation, on pourrait même dire que c’est inscrit dans son patrimoine génétique. C’est beau comme du BHL ! Bien sûr, c’est contre cette France qui, « quand elle est mécontente, a tendance à rejeter la faute sur l’Autre (le juif, le noir, l’arabe) » et à « stigmatiser » les minorités qu’il faut résister. Richard Berry, comme on aura tout loisir de le constater par la suite, n’hésite pas à recycler les poncifs les plus éculés pour se glisser dans le costume, beaucoup trop grand pour lui, du Résistant à l’Occupant nazi. Le docte comédien nous met d’ailleurs solennellement en garde : « ce n’est pas une façon d’exprimer sa colère que de voter pour un parti qui exacerbe les choses les plus basses chez l’être humain comme le racisme ou le rejet ». M. Berry reprend ainsi à son compte, en croyant sans doute faire preuve d’une ébouriffante originalité, les slogans creux qui avaient déjà cours il y a vingt ans et que même un militant de SOS-Racisme pris de boisson n’oserait pas écrire aujourd’hui dans un tract….

…De telles inepties, que pourtant personne ne releva sur le plateau de l’émission, méritent que l’on s’y attarde un instant. Car si Mme Le Pen arrivait au pouvoir, ce serait au terme d’un processus démocratique régulier que les pays mentionnés plus haut n’ont jamais connu. Et si le peuple français souverain ne voulait plus de Mme Le Pen, ce serait à lui et à lui seul de défaire par les urnes ce qu’il a fait par les urnes. Au fond, M. Berry nous montre sa curieuse conception de la démocratie. A l’instar d’un Cohn-Bendit, il ne la tolère que quand elle va dans la bonne direction. Le peuple a mal voté ? Insurrection générale ! Le sang peut couler ? Peu importe, puisque c’est pour la bonne cause. Après l’uniforme de résistant, Berry rêve visiblement d’essayer la panoplie de guerillero…

Quoi envoyer?

L’article de RL au format PDF , prêt à imprimer sur 2 pages, que l’on trouve à cette page: http://ripostesita.files.wordpress.com/2011/03/ripostelaique-com-richard-berry-aux-grandes-gueules-salaud-de-peuple-francais.pdf

Destinataire: ce bobo des beaux quartiers bouffi de suffisance qui a vomi sa haine de la France et des Français avec une morgue non dissimulée.

Ecrivez à son agent dont l’adresse se trouve à cette page: http://www.fanmail.biz/89910.html

11/03/2011

Les musulmans appelés à quitter l’UMP…

Et j’irais même plus loin: pas rien que l’UMP.

Car qu’est nous pouvons être emmerdés depuis qu’ils ont commencé leur invasion, leurs « stigmatisations », chaque fois qu’ils se sentent « heurtés », leurs « condamnations », leurs plaintes et pleurnichements, j’en passe et des meilleures… Soit ils s’adaptent à NOTRE culture et respectent NOS lois républicaines dans tous les domaines, soit c’est le salon de muscu pour apprendre à ramer…Ils font des prix pour groupes.

FDF

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Les musulmans appelés à quitter l’UMP !

Lors d’une rencontre à la mosquée de Paris jeudi soir, des représentants de la communauté se sont insurgés contre le débat jugé stigmatisant.

Les musulmans ont été appelés jeudi soir lors d’une rencontre à la mosquée de Paris à quitter l’UMP ou au moins à suspendre leur adhésion au parti pour protester contre le débat qu’il compte lancer le 5 avril sur la laïcité et l’islam.

De son côté, le recteur de la Grande mosquée Dalil Boubakeur a appelé le président de la République à annuler ce débat « qui n’a pas lieu d’être ». « Les citoyens musulmans de France ne doivent pas être les boucs-émissaires d’une situation de crise », a-t-il martelé.

Un militant du Gard, Abdallah Zekri, responsable à la Grande mosquée de Paris, chargé de mission au Conseil français du culte musulman (CFCM) et aumônier musulman des hôpitaux, a déchiré sa carte et appelé « tous les musulmans de l’UMP » à l’imiter.

« L’UMP de Copé, c’est la peste pour les musulmans », a lancé Abderahmane Dahmane, conseiller technique chargé de la diversité à l’Elysée et ancien secrétaire national chargé de l’immigration à l’UMP. Intervenant en tant que président du Conseil des Démocrates musulmans de France (CDMF), il a appelé ses coreligionnaires à « ne pas renouveler leur adhésion » à l’UMP tant qu’il n’aura pas annulé le débat envisagé par son secrétaire général.

Après avoir comparé la situation des musulmans en France aujourd’hui à celle des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, il a dénoncé une « poignée de néo-nazis » qui a décidé de lancer le débat et demandé aux musulmans de l’UMP de « ne pas l’accepter dans les sections s’ils ont une dignité et une fierté ».

« Ce débat, voulu par Nicolas Sarkozy pour la défense des musulmans a été dévié parce qu’à l’UMP il y a des gens très proches du Front National », a déploré M. Dahmane.

« Quel mépris a-t-on des musulmans pour croire qu’on va tomber dans le piège des règlements de comptes l’UMP », a dénoncé Mme Chafia Mentalechta qui s’exprimait au nom d’une association de Franco-algériens.

Quelque 150 personnes étaient présentes à la réunion, militants associatifs ou élus de confession musulmane.

Le chef de l’Etat a longuement évoqué ce débat très controversé, à droite comme à gauche, en recevant pour la première fois à déjeuner, jeudi à l’Elysée, la nouvelle direction nationale de l’UMP conduite par Jean-François Copé. « Il faut traiter la question de l’islam parce qu’il est apparu en France après la loi de 1905 », a dit Nicolas Sarkozy selon plusieurs participants.

07/03/2011

Sortez vos mouchoirs…

Lu sur Oumma.com… Mais eux, on ne va pas les « emmerder »…

FDF

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Lettre au Président

par Kamel Meziti – publié le lundi 7 mars 2011

Monsieur le Président,

Je me présente à vous en tant que citoyen, rempli de consternation Dans un pays où croît l’indignation…

Et l’acte que j’accomplis ici n’est que l’expression d’une citoyenneté que j’entends faire valoir au nom même des valeurs démocratiques qui font la grandeur de notre pays.

La guerre serait la continuation de la politique par d’autres moyens selon Clausewitz mais la formule peut être lue dans l’autre sens eu égard à votre politique de diversion et de division. Je vous accuse Monsieur le Président ainsi qu’une certaine classe politique, « atteinte d’une maladie de la vue et du jugement » (1), coupable et responsable, par action, inaction, ou silence complice face au discours ostracisant à l’endroit de quelque 6 millions de concitoyens de confession ou de tradition musulmane. Même si certains, pour paraphraser un grand auteur, « ne sont pour moi que des entités, des esprits de malfaisance sociale » (2).

La rupture que vous prônez, sous prétexte qu’il faut affronter « les sujets qui fâchent », constitue une imposture intellectuelle en plus d’un danger pour la cohésion nationale : la chasse sur le terrain des idées frontistes et le silence complice ou embarrassé d’une certaine classe politique sont le terreau de la mise à mal de nos valeurs républicaines. La stratégie du « pyromane – pompier » est un exercice très périlleux, dont les plus grands stratèges ne sont pas toujours sortis indemnes et grandis…

Cette mascarade politicienne irresponsable mise en musique par Jean-François Copé, vous en êtes le chef d’orchestre et la caution politique ! Une certaine rhétorique politicienne de type maurassien tend à se banaliser dans le pays des droits de l’Homme, sous couvert du respect de la laïcité. Pratiquée par des politiciens de tous bords au nom de la liberté d’expression, l’islamophobie devient un créneau politique porteur !

Grâce à vous un certain « débat » sur l’identité nationale s’est transformé en stigmatisation d’une religion, votre discours sur « l’échec du multiculturalisme » anglo-saxon a accru appréhension et suspicion à l’endroit de plusieurs millions de nos concitoyens. Enfin, le « débat » que vous avez voulu, rebaptisé récemment « débat sur la laïcité et le vivre-ensemble », a pour reprendre la formule de votre ambassadrice « assigné à résidence religieuse » les musulmans de France et de Navarre, encore une fois pris en otage par un « débat de la honte » ! Aujourd’hui, ce sont les valeurs d’Egalité, de Fraternité et de Liberté qui se débattent sur le terrain de la stigmatisation et de l’inimitié.

Monsieur le Président, c’est justement de « vivre-ensemble » dont il s’agit. Lequel, en tant que garant de la constitution et de la cohésion nationale, vous devriez mettre au cœur de votre projet pour la France ! Pourtant votre politique fait l’économie d’une réflexion en profondeur des problématiques réelles auxquelles sont confrontés au quotidien nos concitoyens de cette « France d’en bas » (chômage, précarité, mal logement, insécurité, sans parler de l’image désastreuse de la France à l’étranger avec une diplomatie mise à mal dans un contexte international houleux et l’esquisse d’un printemps démocratique du monde arabo-musulman.…) : les alchimistes de votre majorité, pour ne pas dire vos apprentis-sorciers, ont ainsi trouvé la pierre philosophale qui transforme l’harmonie sociale en rupture sociale !

Cet énième « débat », motivé essentiellement par des considérations de politique intérieure, sous-tend une stratégie de diversion ! L’islam est ainsi devenu l’épouvantail qui cache la forêt des problèmes sociétaux. Si un « Grenelle de l’islam de France » (3) s’impose, il ne doit pas se décliner dans ce contexte électoral biaisé (4).

Récemment vous déclariez que « protéger notre patrimoine, c’est protéger l’héritage de la France, c’est défendre les signes les plus tangibles de notre identité (…) « Je rappelle souvent Lévi-Strauss » qui disait « l’identité n’est pas une pathologie » et « à tous ceux qui défendent, à juste titre, la diversité, je voudrais dire que sans identité, il n’y a pas de diversité ». (5)

Les musulmans de France sont aussi une composante importante de l’identité française d’aujourd’hui et la diversité fait partie du paysage sociologique français, de facto, multiculturel. En mettant l’accent sur un islam tombant sous une présomption d’incompatibilité avec nos valeurs républicaines, vous confortez la surenchère fantasmatique qui nourrit les peurs et alimente un climat de xénophobie et d’islamophobie ambiants dans notre beau pays. L’islam ne saurait être pris en otage par des manœuvres politiciennes quelconques, et encore moins céder aux rites sacrificiels sur l’autel des logiques électoralistes et des discours politiciens peu scrupuleux.

La République doit reconnaître tous ses enfants car tous, dans leur altérité et leur diversité, sont légitimes. Apporter des réponses politiques aux inquiétudes légitimes des Français (emploi, insécurité, précarité…), promouvoir le vivre-ensemble, la citoyenneté, voire la fraternité qui fait tant défaut aujourd’hui, voilà les priorités auxquelles tout chef d’état doit s’atteler : sans quoi notre beau pays avec ses nobles valeurs républicaines risque de sombrer dans des logiques du pire avant d’entamer un long voyage au bout de la nuit.

Monsieur le Président, « je ne vous connais pas, (….) je n’ai contre vous ni rancune ni haine » (6) ; ce n’est pas à moi de juger les implications désastreuses de votre politique en termes de vivre-ensemble et de cohésion sociale : vous restez comptable devant la Nation et l’Histoire jugera votre action.

Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l’assurance de ma haute considération.

Un citoyen

Notes :

(1) Emile Zola, « J’accuse », in L’Aurore du 13 janvier 1898 lors de l’affaire Dreyfus.

(2)Idem

(3)Voir ma contribution « Islam, cet OVNI (ou Objet Voilant Non Identifié) ? Pour un Grenelle de l’islam de France » in http://www.saphirnews.com/Islam-cet-OVNI-ou-Objet-Voilant-Non-Identifie-Pour-un-Grenelle-de-l-islam-de-France_a11443.html

(4)Selon un récent sondage de l’institut CSA du 21 et 22 février 2011 (avec BFMTV, RMC et 20 Minutes) vous seriez le meilleur candidat pour affronter Marine Le Pen au premier tour des prochaines élections présidentielles ! Cette dernière étant créditée de 22% des votes ! Infantilisation de l’électorat ou « construction » de l’opinion ?

(5)La Croix.com, édition du 03/03/2011

(6) Emile Zola, « J’accuse »

05/02/2011

Copé favorable aussi à l’enseignement de la langue arabe.

Mais qu’est-ce qu’ils ont tous, en ce moment? C’est une fixation sur l’enseignement obligatoire de la langue arabe à l’école? On croit rêver. C’est de la récupération politique. Et évidemment, sans demander aux parents d’élèves « français de souche » si ça leur convient. Pratiques écoeurantes!

Ils pensent, les élections approchant, que faire du lèche babouches leur apportera les voix qui vont leur manquer? On se rabat sur les muzz pour se faire élire, c’est ça? Quelle rabaissement! Quel avilissement! Il est certain qu’avec des projets politiques pareils, les vrais français vont glisser le bon bulletin dans les urnes… Marine Le Pen; vite !!!

FDF

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Vidéo:

28/01/2011

Enterrer la loi de 1905 pour mieux financer les mosquées…

Pour ça, le PS et l’UMP sont « main dans la main »… Cette collaboration est digne de…………………… collabos.

FDF

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Au travers de l’affaire des « prières de rue », Marine Le Pen a réussi à placer le thème de l’islamisation dans le débat politique, et à y entraîner malgré eux ses rivaux socialistes et sarkozystes.


Pourtant, l’UMP avait bien espéré enterrer ce sujet dit sensible avec la « loi sur la burka ». Il faut tout de même se rappeler que lors des débats de la mission parlementaire présidée par André Gérin, les personnes auditionnées et même quelques députés ont largement évoqué toutes les offensives d’islamisation dans nos administrations, nos écoles, nos hôpitaux, nos cantines, nos rues, nos entreprises, nos commerces, etc. Comme je le disais dans un chapitre de notre ouvrage collectif « Résistance républicaine », « derrière l’arbre de la burka » se cache « la forêt des accommodements raisonnables » (1). Tout cela était connu depuis au moins 2004, au travers des rapports Obin (2) et Denécé (3), d’alertes de la part des Renseignements généraux et des préfectures, et évidemment du travail de ré-information de sites internet.

Inutile donc de refaire une fois de plus la liste de toutes ces atteintes à la laïcité et à nos valeurs humanistes et républicaines. Mais que constate-t-on un an (quasiment jour pour jour) après les conclusions de la mission Gérin ? Nos politiques ont fait la loi sur le voile intégral (même pas soutenue par la gauche sauf quelques exceptions) et… rien d’autre, rien de rien sur tout le reste, sur tous les « accommodements déraisonnables ». Silence radio à l’UMP comme au PS, au Modem comme à la gauche de la gauche.


Et pourtant la droite ne cesse de se vanter de « sa » loi sur la burka. Nicolas Sarkozy en parle chaque fois qu’il le peut, y compris dans ses vœux de nouvel an. Jean-François Copé, patron de l’UMP matraque le même refrain à chacune de ses interventions à propos de la laïcité, histoire de dire : voyez, on s’en occupe, on a fait la loi sur le voile intégral !

Le piège que je subodorais dans « Résistance républicaine » est donc confirmé : cette loi a permis à la majorité présidentielle de botter en touche tous les autres problèmes d’islamisation. Et la gauche se garde bien de les raviver.

Jusqu’à ce que Marine Le Pen mette les pieds dans le plat, et pas uniquement sur l’affaire des « prières de rue ». Dans ses meetings, elle a aussi parlé du halal, des cantines, des hôpitaux, des entreprises, etc. Mais comme la gauche a cru bon de faire monter en sauce le mot « occupation » (elle doit s’en mordre les doigts…), l’UMP et le PS se voyaient contraints de prendre position sur cette affaire, tout en continuant d’ignorer superbement les autres « accommodements déraisonnables ».

On remarquera également que les autorités musulmanes comme le CFCM ont arrêté de faire du ramdam sur la burka. On peut se demander : quel marché ont-elles conclu avec le pouvoir politique ? Qu’est-ce que l’UMP et le PS ont pu proposer en échange ? Eh bien tout simplement… l’officialisation du financement public des mosquées, comme nous allons le voir.

Pour cela, l’UMPS utilise sans vergogne… l’affaire des prières publiques. La propagande officielle reprend la thèse mensongère selon laquelle ces gens prient dans la rue par manque de lieux de culte. Par exemple dans un récent reportage de TF1 tourné à Marseille (4), et dans lequel Manuel Valls (PS) nous explique sans rire qu’il y un problème d’« inégalité » de traitement de l’Etat et des collectivités locales entre d’une part « églises et synagogues » (construites avant 1905), et d’autre part « mosquées et pagodes ». Evidemment, les pagodes bouddhistes ne sont là que pour donner le change, puisqu’on ne voit jamais leurs fidèles prier dans la rue ou exiger des maires des terrains et des financements pour leurs lieux de culte.

Et comment Manuel Valls veut-il financer encore plus ouvertement la construction de mosquées avec l’argent des contribuables ? Il l’explique dans l’émission « A vous de juger » jeudi dernier sur France 2 où il reprend sa comparaison entre églises et mosquées (5). Avec un culot incroyable, il nous dit que pour ne pas toucher à la loi de 1905, il suffit que l’Etat finance la Fondation des œuvres de l’islam créée par Dominique de Villepin, et cette fondation peut financer les mosquées. Evidemment, il noie cette trahison de la laïcité républicaine (et donc des Français) dans une logorrhée tortueuse pour masquer la transitivité du financement, mais c’est bien ce qu’il veut dire. Et pour faire passer cette soupe indigeste, il enchaîne immédiatement sur le « livre nauséabond » de Théo Sarrazin qui s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires en Allemagne (vous vous rendez compte, quelle horreur !) et sur la montée de « l’extrême-droite ». Le procédé est grossier : si vous n’êtes pas d’accord avec moi, alors vous êtes des fachos. Se rend-il seulement compte qu’il insulte là une majorité de Français et d’Allemands ?


Ce n’est pas mieux à droite. Les mêmes ficelles sont utilisées par tous les acteurs politiques de l’UMP ayant certainement reçu des « éléments de langage » depuis l’Elysée, tant leurs discours sont tous calqués sur le même moule. Le Président de la république lui-même, par exemple, lors de ses vœux aux autorités religieuses, a lié les prières de rue au manque de lieux de cultes. Jeannette Bougrab, dans une interview au Figaro en ligne (6), reprend la même fable : « Il y a effectivement des problèmes cultuels. Ce n’est pas normal de voir des personnes qui n’ont pas de lieux de culte pour prier, de voir des gens dans la rue… (…) Ce ne sont pas des gens qui vont dans la rue pour manifester de manière ostentatoire. (…)Rue Myrha, c’est un problème de capacité d’accueil. »

Et comme preuve que c’est une stratégie commune à l’UMP, il suffit de constater que ce parti annonce ouvertement qu’il veut faire de « l’exercice des cultes » un sujet essentiel de débat pour 2011 (7). Selon Jean-François Copé, « l’exercice des cultes religieux dans la République laïque avec un point particulier sur l’exercice du culte musulman » sera l’un des trois thèmes majeurs de la campagne présidentielle. On se demande pourquoi il ne parle pas du tout de l’islamisation et des « accommodements raisonnables » et pourquoi la construction de mosquée devrait être l’une des priorités de la République laïque, en contradiction totale avec sa Constitution et ses lois !

Et Jean-François Copé remet le couvert dans le débat sur France 2 face à Manuel Valls, mais plus habilement que celui-ci. Entre deux rappels de « sa » loi sur la burka (il en use et en abuse), le patron de l’UMP dit qu’« il faut mettre le débat sur la table pour 2012 » et qu’il n’y a pas de « sujets tabous » dans son parti. C’est un grand classique chez lui : pour sabrer des acquis sociaux ou des valeurs républicaines, il ne les attaque pas de front mais prépare le terrain en disant qu’on peut toujours en débattre. D’autres se chargent ensuite d’en remettre une couche caricaturale, et Copé apparaît alors comme le chevalier blanc qui trouve une solution du juste milieu, mais qui consiste bien en des reculs sociaux, républicains ou démocratiques.


Valls et Copé, et tout le PS et toute l’UMP, avancent donc masqués pour nous imposer peu à peu l’idée d’un financement officiel de la construction de mosquées, en sautant sur le prétexte des prières de rue.

Certes, les élus de droite et de gauche font déjà payer une grande partie des nouvelles mosquées par leurs contribuables, via des baux emphytéotiques quasiment gratuits et le financement de « centres culturels » adossés aux mosquées mais qui ne sont que des annexes de celles-ci (école coranique, bibliothèque, etc., et même salles d’ablution !). Ou, comme à Drancy (et ailleurs), en construisant en douce une « mosquée municipale » à 2,1 millions d’euros, et en faisant payer à l’association locataire un loyer dérisoire qui ne rembourse même pas les frais d’entretien (y compris le ménage…) entièrement à la charge de la commune.

Mais ça commence à se savoir, toutes ces combines en parfaite contradiction avec notre Constitution et nos lois, et nos élus craignent les foudres des tribunaux administratifs. Alors l’UMPS, sous la pression de soldats de l’islam politique, s’apprête à franchir le cap du sabordage de la loi de 1905. Sarkozy voulait la « nettoyer », l’UMP le fera. Marc-Philippe Daubresse, son vice-président en charge d’une mission de réflexion sur la stratégie à conduire face au FN et au PS, se demande s’il ne faudrait pas « revisiter la loi de 1905 ». Qu’en termes faux-cul tout cela est dit ! Et côté PS, c’est Manuel Valls qui a trouvé une solution géniale : le contribuable finance une Fondation soi-disant d’utilité publique qui finance les mosquées.

Eh bien, qu’ils continuent ainsi, tous ces tartuffes ! Qu’ils continuent à prendre les Français pour des imbéciles ou des fachos ! Ils l’ont déjà largement fait à propos du sondage Ifop/Le Monde sur notre perception de l’islam et des musulmans (8). Et maintenant ils vont remettre le couvert en pensant qu’on va gober le fait que nos impôts, en pleine crise sociale et économique, aillent contribuer à payer des oratoires à Allah et Mohamet ? Ils se fourrent le doigt dans l’œil.

D’ailleurs, pour donner un autre exemple de leur mépris du peuple, dans le débat sur France 2, Valls et Copé ont superbement ignoré les Français, quand un journaliste a fait la synthèse des questions posées par les internautes du Parisien sur le thème de la laïcité : « est-ce qu’on ne fait pas une place privilégiée à l’islam ? » Et apparemment, il y avait nombre de Français qui râlaient dans ce sens, ce qui confirme totalement le sondage Ifop/Le Monde, selon lequel 55% des Français et 49% des Allemands pensent que l’islam est « trop visible » dans nos pays respectifs.


La réponse de Copé à ces internautes ? Nous sommes trop « silencieux » sur les attaques contre les chrétiens… d’Orient. Donc rien à voir avec la question posée. Et Valls, lui, reprend son thème de l’« injustice » envers les musulmans parce que l’Etat entretient les églises et pas les mosquées, et il repart sur la Fondation des œuvres de l’islam. Ni l’un ni l’autre n’ont entendu les internautes, ou alors ils ont fait tous deux mine de ne pas les entendre. Et après cela, ils viennent pleurer parce que Marine Le Pen monte dans les sondages !

Ce sont des minables et des lâches. Ils jouent les autruches sur l’islamisation de la France, laissant ainsi les Français se débrouiller individuellement face aux avancées islamistes dans leur vie quotidienne. Ils se servent d’une atteinte à la laïcité (les prières de rue) pour justifier une autre atteinte à la laïcité (le financement public de mosquées), ils noient le tout dans un verbiage pseudo-humaniste et ils honnissent et insultent le peuple de France. Bref, ils aggravent leur cas de jour en jour, jusqu’à ce que la ficelle casse. Et elle cassera, c’est inévitable, et le plus tôt sera le mieux.


 

 

Source et publication: Roger Heurtebise

 

01/12/2010

Les « bons mots »…

Ca change un peu. Mais ça reste en France, tout de même…

FDF

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Le jury du prix « Press club, humour et politique » présidé par Jean Miot
a procédéà la troisième sélection de petites phrases pour l’édition
2010 du prix.

Pour cette dernière sélection, le jury a retenu les meilleures « petites
phrases » collectées depuis avril :

– Eva Joly , députée européenne (Europe Ecologie) : « Je connais bien
Dominique Strauss-Kahn : je l’ai mis en examen. »

– Bernard Kouchner , ministre des affaires étrangères : « J’ai bien pensé à
démissionner, mais je n’ai pas voulu déserter. »

– Lionnel Luca , député UMP des Alpes-Maritimes : « Il n’y a pas besoin
d’être de droite ou de gauche pour dire des conneries. »

– Ségolène Royal , présidente PS de la région Poitou-Charentes : « C’est moi
qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses
intelligentes quand j’ai besoin de les dire. »

– Dominique de Villepin :
« Le Villepin nouveau sera gouleyant, fort en bouche et il aura de la
cuisse. »
Lors de la deuxième sélection, en mars, le jury avait retenu :  – Luc
Chatel , ministre de l’éducation nationale : « Une touche de rose, vert,
rouge : c’est le retour de la gouache plurielle. »

– Georges Frêche , président du conseil régional de Languedoc-Roussillon :
« Des gens intelligents, il y en a 5 à 6 % ; moi je fais campagne auprès des
cons. »

Claude Guéant, secrétaire général de l’Elysée : « Je veux bien qu’on fasse
un remaniement, mais on manque de stock. »

– Frédéric Mitterrand , ministre de la culture : « Quand on m’appelle
monsieur le ministre, j’ai toujours l’impression que Jack Lang va surgir
derrière moi ! »

– Laurent Wauquiez , secrétaire d’Etat chargé de l’emploi : « Il n’a pas
fallu 35 heures à Martine Aubry pour virer sa cuti sur Georges Frêche. »
Pour sa première sélection, en décembre, le jury avait retenu :

– Patrick Balkany , député-maire UMP de Levallois-Perret : « Je suis l’homme
le plus honnête du monde. » >

– Rachida Dati , députée européenne UMP : « Je n’ai jamais cherché à attirer
l’attention des médias. »

– Laurent Fabius , député PS : « Je ne suis pas une pom-pom girl de DSK. »

– Claude Goasguen , député-maire UMP du 16 e arrondissement de Paris : « Une
chose est sûre, ce ne sont pas nos suppléants qui vont nous pousser à nous
faire vacciner contre la grippe A. »
Une mention spéciale avait été attribuée par le jury au villepiniste
François Goulard , député-maire UMP de Vannes, pour sa déclaration :
« François Fillon a tellement de qualités qu’il mériterait d’être premier
ministre. »

Ce prix, décerné par un jury composé d’humoristes et de journalistes,
récompense l’auteur de la phrase la plus « hilarante » de l’année, qu’il
s’agisse indistinctement d’humour volontaire ou involontaire. Il avait été
attribué en 2009 à Bertrand Delanoë , maire PS de Paris, pour sa déclaration
: « Le vrai changement au PS, ce serait de gagner. »

Le prix spécial du jury avait été décerné à Luc Chatel, ministre de
l’éducation nationale et porte-parole du gouvernement, pour la phrase : « Le
chef de l’Etat appelle parfois Brice Hortefeux pour ne rien lui dire. C’est
la preuve de la qualité de leurs relations  » .

Les internautes avaient, eux, consacré Jean-François Copé , président du
groupe UMP à l’Assemblée nationale pour la phrase : « Tu as prévu de filer
les clés de l’UMP à Xavier Bertrand ; tu devrais en garder un double » .

Un prix de l’encouragement avait échu à Guillaume Bachelay, secrétaire
national à l’industrie du PS, pour sa formule : « La présidentielle, Hollande
y pense en nous rasant  » .

Merci à JLB…