Francaisdefrance's Blog

20/02/2012

Les printemps arabes sont devenus des hivers morbides régis par des islamistes intégristes.

Tant pis pour ceux qui y avaient cru. Dommage pour eux; tous ces morts pour rien. Que cela serve au moins de leçon à d’éventuels futurs révolutionnaires »…

Que Dieu sauve l’Europe de tout ça.

FDF

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Un an de révolte dans le monde arabe: triste bilan…

le « déclencheur » et première victime: Mohamed Bouazizi

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27/12/2011

Révolutions arabes: islamistes: 1 Démocratie:0…

Abdelilah Benkirane, le visage de la haine..
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Ce mec me donne des nausées. Et ça ne vient pas des retombées du réveillon de Noël.
Prochaine étape: l’Occident! Soyons prêts à les recevoir dignement… Nous ne pouvons laisser l’hiver arabe atteindre l’Europe!
FDF
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À la faveur de leurs succès électoraux du Maroc à l’Égypte, ils vont diriger des gouvernements.

D’Alexandrie à Tanger, une vague islamiste submerge l’Afrique du Nord. Après la victoire d’Ennahda en Tunisie et le succès du Parti de la justice et du développement (PJD) au Maroc, les formations se réclamant de l’islam triomphent en Égypte. Le phénomèxne était attendu. L’ouverture des vannes démocratiques a libéré un mouvement qui était, jusqu’au printemps arabe, cadenassé. Mais son ampleur dérange. Les islamistes sont majoritaires en Égypte, un pays qui a toujours joué un rôle d’incubateur dans le monde arabe. Deux électeurs sur trois ont voté pour leurs candidats. Si les Frères musulmans tiennent le haut du pavé, ils devront d’une manière ou d’une autre composer avec les salafistes d’al-Nour, ces ultra-orthodoxes qui rêvent d’instaurer un État théocratique régi par la charia. Alors que les Frères tentent de rassurer laïques et chrétiens, les salafistes font savoir haut et fort qu’ils feraient bien du Caire un nouveau Kaboul taliban.

Transnational, le mouvement des Frères musulmans déborde sur la Libye en irriguant Benghazi, la ville d’où est partie la révolte contre Kadhafi. Il apparaît, ici aussi, comme une force qui, sur les décombres de la dictature, présente un visage plutôt modéré.

Attentisme en Algérie 

Structuré et présent sur le terrain, ce courant s’est ancré dans une société profondément conservatrice pratiquant un islam coutumier aux antipodes du djihadisme. Il devra composer dans sa course vers le pouvoir avec des facteurs régionaux, tribaux et personnels qui ont pris le pas sur les idéologies.

En Algérie, l’autre superpuissance pétrolière de la région, l’attentisme est de mise. Le régime en place depuis cinquante ans se sent pris dans un étau. Usé par la maladie, le président Bouteflika a lancé de timides réformes. Les islamo-conservateurs du Mouvement de la société pour la paix (MSP), qui ont depuis plus de dix ans des ministres au gouvernement, pourraient voir leur participation revue à la hausse après les législatives prévues en mai prochain. Mais le poids véritable des islamistes indépendants laminés par l’armée dans les années 1990 reste une énigme. Attentifs, les Algériens observent les expériences en cours chez leurs voisins avant de rejoindre une improbable «Union du Maghreb islamique».

Moins dogmatiques que les Frères musulmans égyptiens, les dirigeants tunisiens d’Ennahda et marocains du Parti de la justice et du développement (PJD) n’ont pas les moyens de gouverner seuls. Ils vont devoir s’allier avec des partis éloignés de leur mode de pensée, vont être confrontés avec la crise sociale aux principes de réalité et sont contraints de composer avec une société sécularisée, en Tunisie, et avec le roi, au Maroc. Leurs adversaires tablent sur une érosion qui devrait prendre des formes différentes selon les pays et les hommes. Ils se fient non plus aux saisons -qu’il s’agisse du printemps ou de l’automne arabe- mais aux années pour que les tendances s’inversent.

Source: http://www.lefigaro.fr/

25/10/2011

La Tunisie bientôt victime du « double discours » des islamistes intégristes…

Rappel: le « double discours » est une des fourberies de l’islam… Sourire par devant; charia par derrière… (Henri, pas de commentaires inappropriés !)

FDF

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Rached Ghannouchi: spécialiste en la matière…

Le probable vainqueur des élections tunisiennes de dimanche, le parti islamiste Ennahda (en français, «la renaissance») refuse d’être considéré comme un parti religieux.

Depuis la fuite de Ben Ali le 14 janvier dernier, Ennahda a retrouvé le droit d’exister en Tunisie. Longtemps interdit, il apparaît aujourd’hui comme la principale force politique d’un pays en reconstruction.• Origines. Ennahda trouve ses origines au début des années 1970. Il est le fruit de la rencontre de Rached Ghannouchi, admirateur de Nasser converti aux thèses controversées des Frères Musulmans depuis son séjour en Egypte, Abdelfattah Mourou, juriste, et Hmida Enneifer, lui aussi proche des Frères Musulmans. Ensemble, ils fondent le Mouvement de la Tendance Islamique (MTI) qui prendra le nom d’Ennahda en 1989.• Son interdiction Le président Ben Ali prend peur face à la force du mouvement lors des élections législatives de 1989. Ennahda obtient officiellement 14% des voix. Certains annoncent des résultats frôlant les 30%. Sous le prétexte de lutter contre l’extrémisme religieux, Ben Ali fait alors interdire le parti et engage une répression qui jettera des milliers de militants et dirigeants en prison. Rached Ghannouchi quitte la Tunisie et rejoint Londres en 1991, où il obtiendra l’asile politique. En 1992, il est condamné à la prison à vie au pays. Les pays occidentaux, dont la France, laisseront faire, érigeant Ben Ali en rempart contre l’islamisme. Ennahda est légalisé en mars 2011 après la Révolution de jasmin et le retour de Ghannouchi en Tunisie le 30 janvier, quelques jours seulement après le départ de Ben Ali.• Son programme Issu du travail de 182 experts, universitaires ou hommes d’affaires, le programme en 365 points d’Ennahda se veut un projet de société «pour la renaissance de la Tunisie». Le parti cherche à rassurer et se veut le garant des libertés, du système républicain, de l’économie de marché et de la séparation des pouvoirs. D’un point de vue purement politique, Ennahda se dit favorable à la constitution d’un régime parlementaire doté d’une Assemblée unique chargée d’élire le président de la République, responsable devant elle.• La religion et la place des femmes Ennahda se défend d’être un parti religieux. Son modèle politique est l’AKP, le parti au pouvoir en Turquie. L’idéal de société qu’il préconise est un Etat basé sur un Islam adapté à la vie moderne. Ennahda se refuse en outre à imposer la charia, la loi coranique qui régit la vie de certains Etats musulmans. Le parti veut également assurer les droits des minorités religieuses. Il affirme enfin vouloir défendre le statut de la femme tunisienne, généralement considéré comme le plus avancé du monde arabe. Mais Ennahda est accusé par ses détracteurs de tenir un double discours, démocratique en façade et intégriste en son sein. Ceux-ci craignent que sous le prétexte de l’Islam, Ennahda remette en cause la laïcité, un sujet à propos duquel le parti ne s’est pas prononcé officiellement, et fasse régresser la société tunisienne. Mais le mouvement a su calmer les craintes au sein de la population par son discours rassurant dont il faudra attendre l’éventuelle confirmation dans les mois à venir.• Un financement remis en question Si aucun chiffre officiel n’est communiqué quant au nombre d’adhérents que compte le parti, sa propension à quadriller le territoire est une preuve de sa force. Ennahda a mené une campagne de grande envergure. Distribution massive de tracts, réunions publiques très suivies : le parti a été plus présent que ses adversaires aussi bien en Tunisie qu’à l’étranger, en France notamment. Mais pour assurer une telle présence, un parti a besoin de fonds. Hamadi Ghebali, un cadre du mouvement, assure qu’Ennahda bénéficie de dons «de quelque 100.000 adhérents». Ses adversaires parlent de financements en provenance du Qatar mais n’ont jamais été en mesure d’apporter des preuves concrètes. »Source: http://www.lefigaro.fr/

23/10/2011

Mahinur Özdemir prête serment au parlement bruxellois avec…son voile islamique !

C’est beau, l’Europe; c’est tolérant…

FDF


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Lettre ouverte à Mahinur Ozdemir, parlementaire belge voilée

Les symboles religieux islamistes, introduits au parlement bruxellois, par Mahinur Ozdémir, parlementaire bruxelloise turco-belge, nuisent à la sauvegarde de la démocratie.

Madame la parlementaire,
L’islam nous apprend que le voile et le foulard islamique symbolisent la pudeur, la soumission à Allah et l’appartenance à la communauté musulmane (1).
Conformément à cette doctrine islamique, vous avez prêté serment au parlement bruxellois le 23.6.2009, revêtue de votre foulard islamique politico-religieux, symbole de l’obscurantisme religieux, symbole de l’infériorité de la femme (2), de l’oppression de la femme, de la soumission de la femme, de la communautarisation religieuse, du rejet de la communauté belge et européenne, du rejet de la démocratie.
Vous avez voulu montrer que vous n’êtes pas une citoyenne parmi les citoyens, une parlementaire parmi les parlementaires, mais une militante islamiste, exhibant par des signes extérieurs ostentatoires, que vous faites partie de l’oumma, qui est la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes, selon le Coran. L’iman, Nordine Taoui, président du Conseil musulman, n’a-t-il pas déclaré que « le sang musulman est le meilleur du monde » . (3) On sait aussi que l’islam veut mettre fin à la laïcité, à la démocratie, partout dans le monde, et que la laïcité est qualifiée de vaine, improductive et paralysante sur Oumma.com (4).
Vous montrez ostensiblement, à l’aide du foulard politico-religieux islamique, que l’islam prime sur la « Res publia, la chose publique » que la loi divine prime sur les lois du parlement, que l’appartenance à la communauté musulmane l’emporte sur la communauté belge ou européenne.
Vous représentez au parlement bruxellois, la communauté musulmane, dont vous portez ostentatoirement le drapeau islamique, mais pas tous les citoyens. Le parlementaire est le représentant du peuple tout entier et pas uniquement de la communauté musulmane. Tout le monde n’est pas encore musulman, Mme Ozdémir. Tout parlementaire, digne de ce nom, ne porte pas des signes religieux, s’il comprend bien le mot « démocratie » et ne le confond pas avec « théocratie ». Vous confondez le parlement et la mosquée.
Vous êtes parvenue à briser les principes et les règles non écrites de « la laïcité et de la neutralité » des institutions publiques belges, que tous les autres parlementaires respectaient jusqu’à présent, par déférence envers la « démocratie », par déférence envers les institutions publiques, par déférence envers un autre principe non écrit dans la constitution, mais considéré comme indispensable, la séparation des Églises et de l’État. Trois partis : le C.D.H, (tendance catholique) auquel vous appartenez, le PS (socialiste) et les Ecolos, approuvent l’amalgame que vous faites, entre religion et politique, dans le parlement et votre choix de mettre le « spirituel » au-dessus du « temporel », la loi divine au dessus des lois humaines, comme le prescrit l’islam. Tous ces principes que j’ai énumérés et que l’islam ne reconnaît pas, vous les avez publiquement bafoués sans vergogne.
Vous avez la double nationalité turque et belge. Vous avez dit que vous êtes fière d’être belge, mais en Turquie vous déclarez le contraire en disant que la Turquie est votre « mère patrie » et la Belgique votre « seconde patrie ». (5)
Je n’ai aucune objection à votre élection au parlement bruxellois, comme parlementaire musulmane, mais je m’oppose à votre propagande islamique, dans l’assemblée parlementaire à l’aide de votre foulard politico-religieux, ce qui est intolérable. Je m’oppose aussi à votre double nationalité.
Le parlement n’est pas une mosquée et les signes religieux ostensibles n’y ont pas leur place. Que deviendront les assemblées parlementaires, si tous les parlementaires devaient exhiber publiquement leur appartenance à l’une ou l’autre religion ou philosophie ? Avec la religion dans l’enceinte parlementaire, va-t-on exhiber bientôt aussi le Coran ou la Bible pour faire valoir « sa Vérité » ? Voulez-vous faire du parlement bruxellois, un parlement théocratique, où chaque groupe parlementaire exhibe sa religion ?
La religion et la politique sont deux concepts qui doivent rester séparés dans un état démocratique, mais en quatre années de sciences politiques à l’ULB, vous n’avez pas compris l’importance de cette séparation.
Je trouve personnellement inadmissible qu’on soit parlementaire belge et qu’on ait en même temps aussi la nationalité turque. On ne peut servir loyalement deux pays. Si vous aimiez la Belgique, dans laquelle vous êtes née, et dans laquelle vous occupez déjà deux postes politiques, l’un comme conseillère communale et l’autre comme parlementaire bruxelloise, vous abandonneriez votre nationalité turque. Ce serait la preuve que vous avez fait un choix en faveur de notre pays, qui ne viendrait plus en « deuxième position ».
Dans tous les pays islamiques, l’islam fait des femmes des êtres inférieurs, totalement soumises, pratiquement sans droit, à cause des lois coraniques. L’islam est une torture pour les femmes, dit Talisma Nasreen. (6) Votre foulard politico-religieux est le symbole de ce que le Coran affirme, quant à la soumission et à l’infériorité de la femme : « Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises. Vous réprimanderez celles dont vous aurez à craindre la désobéissance, Vous les reléguerez dans des lits à part. Vous les battrez, mais aussitôt qu’elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. » (Sourate IV, 38)
Des femmes musulmanes risquent leur vie dans les pays musulmans, pour essayer de se débarrasser de leur « costume islamique » (foulard, voile, hijab, niqab, tchador, burqa), qui les assujettit, les emprisonne, les collectivise, les dépersonnalise, les déféminise, et les rend toutes identiques, dans la Oumma. Les femmes qui se plaignent de cette misogynie sont menacées ou tuées si elles ne parviennent pas à fuir, comme Ayaan Hirsi Ali, Talisma Nasreen, Waha Sultan, Chahdortt Djavann, etc. N’avez-vous jamais lu le moindre écrit de ces femmes courageuses et éminentes, qui ont porté le voile pendant des années, qui ont été excisées au nom de la « pudeur » ? Je vous conseille pour commencer à lire « Bas les Voiles » de Chahdortt Djavan, « L’insoumise » (Zoontjesfabriek – fabrique de garçonnets), de Ayaan Hirsi Ali, « Femmes, manifestez-vous », de Talisma Nasreen.
Vous faites du prosélytisme islamique, en abusant de vos mandats dans deux assemblées politiques, où vous confondez le temporel et le spirituel, qui doit rester dans la « sphère privée ».
Vous appartenez à la oumma, définie comme la communauté des musulmans, au-delà de leur nationalité, de leurs liens sanguins et de la parcellisation des pouvoirs politiques qui les gouvernent (7).
Vous n’ignorez pas que le Coran dit : « Vous êtes certes la meilleure communauté suscitée pour les hommes ». C’est sans doute cette prescription coranique qui vous pousse à exhiber votre appartenance à la meilleure communauté, plutôt qu’à la communauté belge, qui ne prétend aucunement être la meilleure.
Centre islamique de Genève de Hanni Ramdan, explique le rôle de la femme musulmane engagée, on y lit : « La femme musulmane peut être appelée à intervenir dans sa société, à participer à certaines activités, afin de faire connaître sa religion et prouver sa présence dans son espace géographique. Avant de quitter son domicile, il faut être bien sûr qu’elle a toutes les capacités physiques et intellectuelles lui permettant de relever ce défi. Le voile est une tenue qui symbolise la pudeur, il témoigne de l’appartenance à l’islam comme religion » (8).
Dans une interview (La Libre.be) vous allez dans le même sens que le Centre islamique de Genève. Vous expliquez ce que le foulard islamique représente pour vous : « Il fait partie de mon identité. C’est une question de pudeur. Moi, je porte un foulard. Mais certains ont un voile de préjugés. Ils se voilent les yeux. Car moi, je suis un exemple d’émancipation. » (9) Vous avez également dit : « Sans mon foulard, je ne suis plus moi-même, le foulard fait partie de mon identité, sans mon foulard, je ne suis pas Mahinur. Oui, il m’arrive d’enlever ce foulard, mais à la maison et seulement dans la sphère privée. » (10)
Non Madame Mahinur Ozdémir, vous n’êtes aucunement un exemple d’émancipation, mais un exemple de femme musulmane engagée, endoctrinée, servile, intégriste et soumise à l’islam et à la supériorité de l’homme, tel que le Coran le prescrit. Comment un morceau de tissu peut-il être votre identité ? Comment ce morceau de tissu peut être un symbole de « vertu » ? Vous avez fait 4 ans de sciences-Po, pour venir nous raconter que le foulard islamique est « votre identité », que le foulard islamique, c’est votre « pudeur ». Comment pouvez-vous dire des niaiseries pareilles ?
N’avez-vous jamais lu sur la 1re page de vos syllabus à l’ULB ce qu’a dit Henri Poincaré : « La pensée ne doit jamais se soumettre, ni à un dogme, ni à un parti, ni à une passion, ni à un intérêt, ni à une idée préconçue, ni à quoi que ce soit, si ce n’est qu’aux faits eux-mêmes, parce que, pour elle, se soumettre ce serait cesser d’être ». (11).
La devise des Lumières selon Emmanuel Kant « Aie le courage de te servir de ton propre entendement ou “Sapere aude ”, ne semble pas avoir pénétré votre esprit, et vous vous contentez à répéter ce qu’on vous a appris dans l’islam au sujet du voile et du foulard islamiques. Vous avez le droit de pratiquer une religion misogyne, elles le sont toutes, mais exhiber les symboles de l’inégalité entre les hommes et les femmes, au parlement bruxellois, est inacceptable et insultant pour les femmes libres et émancipées et pour celles qui se battent dans les pays musulmans contre leur prison « ambulante », c’est-à-dire le voile, la burqa, etc.
Si vous voulez savoir ce qu’est une femme émancipée, lisez les écrits de Ayaan Hirsi, Ali, de Talisma, Nasreen, de Chahdortt Djavann, Afshin Ellian Salman Rushdie (12), peut-être ne répéterez vous plus des sottises aussi énormes au sujet de l’identité et de la pudeur, et du voile qui n’empêche soi-disant pas l’émancipation, etc.
Vous auriez voulu devenir avocate, mais vous dites y avoir renoncé parce que vous ne pouviez pas plaider voilée. (13) N’est-ce pas encore un signe évident de votre manque d’émancipation, de votre intégrisme religieux aveugle, vous empêchant de réfléchir. Croyez-vous vraiment qu’Allah soit préoccupé de la manière dont les femmes musulmanes doivent être habillées, lui qui laissait courir Adam et Eve, nus au paradis ? Plus d’un milliard d’êtres humains qui crèvent de faim, est-ce que cela ne serait pas plus important, comme préoccupation, pour Allah ?
Votre aveuglement religieux atteint le sommet de l’intégrisme islamique et de l’approbation de l’esclavage de la femme musulmane, lorsque vous déclarez : « Il est normal qu’une école puisse autoriser le voile sous certaines conditions : l’obligation pour l’élève de suivre l’ensemble des cours, le port du voile doit se présenter de manière raisonnable (le visage doit rester visible) et enfin ce choix ne doit pas enfreindre de quelque manière que ce soit le projet pédagogique de l’établissement. Le port du voile n’empêche pas l’émancipation de la femme musulmane. Ce qui lui permet de s’ouvrir au monde, c’est justement de pouvoir accéder à l’éducation et à l’enseignement. Cette émancipation passe également par le travail et la vie en société » (14).
Comment osez-vous dire qu’à l’école publique, les filles doivent pouvoir porter le voile, l’emblème de l’ignorance et de l’infamie, le signe de la plus profonde oppression comme dit Talisma Nasreen, du moment que le visage reste visible ? Le port du voile est donc raisonnable selon vous pour les jeunes filles mineures à l’école, du moment qu’on aperçoit encore le visage ?
« Voiler une mineure relève de la maltraitance », dit la gynécologue Chardort Djavan. Elle sait de quoi elle parle : « Habiter, dix ans durant, un corps enfoui sous le noir, un corps condamné à l’enfermement, laisse des marques indélébiles. Quoi de plus injuste, de plus aliénant, que d’infliger à une adolescente l’enfermement sous le noir et la honte de son corps parce qu’il est féminin. Le voile n’est pas moins grave que l’excision. Il n’y a pas de jour avec et de jour sans, la jeune fille devient un être sous le voile. Ça fait partie de son être social, psychologique, sexuel, personnel. En voilant une fille, on lui inculque son infériorité, la culpabilité de sa sexualité et, surtout, on lui dit qu’elle n’est pas dans le droit, qu’elle n’a pas le droit. » (15)
Comment osez-vous, Mme Ozdémir, affirmer que le voile n’empêche pas l’émancipation de la femme musulmane ? Aucune étudiante musulmane n’est discriminée dans l’enseignement, comme vous essayez de le présenter, la seule exigence imposée, c’est qu’elle respecte les règlements en vigueur dans ce pays, comme tous les autres élèves, au lieu de vouloir imposer partout la loi islamique, et de se dire victime, si l’autorité ne se soumet pas à la volonté des islamistes intégristes. L’islam doit se soumettre aux lois de la Belgique et non pas la Belgique aux lois de l’islam.
Vous trouvez donc que les femmes musulmanes voilées, déshumanises, déféminisées, dépersonnalisées, collectivisées, uniformisées, anonymisées, portant le symbole islamique de leur infériorité, de leur soumission, de leur esclavage à l’islam, à Allah, sont des femmes « émancipées », qu’un employeur puisse engager sans perdre sa clientèle ? Ces femmes voilées sont une insulte à toutes les femmes du monde, ce sont des femmes qui n’existent pas, des femmes qui n’ont pas d’identité, leur seule identité c’est le « voile », elles n’en ont pas d’autre. Elles sont victimes de l’islam misogyne, barbare et rétrograde, qui empêche la femme de s’émanciper et de vivre dignement. Vous parlez d’ouverture au monde ? Est-ce que la femme voilée serait donc un exemple d’ouverture au monde ?
Vous dites qu’on s’occupe plus de ce que vous portez sur la tête que ce que vous avez dans la tête, mais vous avez dans la tête exactement ce que vous portez sur la tête. Un endoctrinement intégriste islamique. Vous seriez adepte du courant islamique Nurcu, ce n’est donc pas étonnant que vous ayez refusé de donner votre opinion sur le créationnisme, puisque le leader de cette tendance musulmane prône le créationnisme dans son fameux « Atlas créationniste » envoyé partout dans les écoles et les universités. (16)
Il n’y a aucun doute, qu’aux Assises de l’Interculturalité de 2009, vous allez plaider que les filles puissent fréquenter les écoles publiques, voilées. On ne va tout de même pas enlever l’identité à ces jeunes filles.
Dans la plupart des pays musulmans, dit Talisma Nasreen, « les femmes sont sous le joug de sept cents ans de charia (loi coranique). Des millions de femmes endurent de terribles souffrances. Elles sont enfermées, brûlées, lapidées à mort. Venant d’une famille musulmane, je me sens la responsabilité de dénoncer l’islam, car les femmes qui y sont soumises n’ont ni les droits ni la liberté qu’elles devraient avoir. On leur a inculqué depuis des siècles qu’elles étaient des esclaves pour l’homme, qu’elles devaient suivre le système que les hommes ou Dieu ont créé. Sous la charia, les femmes sont considérées non pas comme des êtres humains, mais comme des objets sexuels, des êtres de seconde classe. Nous n’avons pas besoin de cette loi, il faut la combattre ». (17)
Lorsqu’on vous demande si l’islam prescrit le port du foulard, vous répondez « Je ne suis pas théologienne », et lorsqu’on vous demande si vous êtes pour ou contre le créationnisme, vous esquivez également la question en répondant « c’est une question qui me dépasse ». (18) C’est ce qu’on appelle, la langue de bois pour ne pas devoir répondre, peu courageux et peu intelligent, et indigne d’une licenciée en sciences-Po. Je croyais que quatre ans d’université vous auraient appris à penser par vous-même, au lieu de tenir un langage d’ignorante, à moins que cette ignorance ne soit feinte que pour ne pas devoir exprimer votre opinion, ce qui est alors lâche et hypocrite.
De vos réponses on peut conclure que vous portez le « foulard islamique », sans jamais vous être posée vraiment la question « pourquoi » et quel en est la signification. Vous le portez par « conviction ». Quelle conviction ? Pourquoi les femmes doivent-elles cacher leurs cheveux et pas les hommes ? Est-ce que les hommes ne pourraient pas montrer leur « pudeur » et leur « soumission à leur créateur » en cachant aussi leurs cheveux, au lieu de porter des vêtements modernes, des jeans collants, etc. ? Est-ce que les femmes ne pourraient pas être excitées par la chevelure masculine ?
Vous dites : « Je montre que je suis de confession musulmane, mais je ne fais pas de prosélytisme ». Vous savez pertinemment que cela est faux, et que vous avez fait sciemment une propagande islamique énorme en abusant de la tribune du parlement. Votre propagande islamique au parlement a dépassé largement nos frontières. Pourriez-vous me dire pourquoi vous devez montrer aux autres votre confession musulmane, en quoi cet exhibitionnisme est-il nécessaire ?
Vous êtes dans le parti C.D.H, qui se dit humaniste, mais est resté catholique comme auparavant, et bien que le Coran dise que l’islam est la religion de Dieu, votre présidente catholique aurait quand même dû vous soumettre le verset suivant de l’Évangile de Matthieu, auquel elle croit je suppose, pour vous faire comprendre que le « foulard islamique » est une affaire de la sphère privée : « Et quand vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites, qui aiment à prier debout dans les synagogues et aux coins des places publiques, pour être vus des hommes. Mais toi, quand tu pries, entre dans ta chambre, et, après avoir fermé la porte, prie ton Père dans le secret. » (Matt. 6,5 -6)
Alors, madame la parlementaire, ne soyez pas hypocrite, en faisant de la propagande publique, en exhibant votre accoutrement islamique, au parlement bruxellois, pour être vue ainsi de tous, dans le but de montrer à quelle communauté vous appartenez, mais pratiquez votre foi discrètement, en « entrant dans ta chambre, après avoir fermé la porte ». Vous dites que vous n’enlevez votre foulard, qu’une fois à la maison, mais c’est là que vous devriez seulement le mettre, dans la sphère privée et quand vous allez à la mosquée. La foi doit être intérieure, dans le cœur et l’esprit, et cela n’a aucun sens de l’extérioriser publiquement, pour montrer ostentatoirement à quelle religion vous appartenez, sauf si on veut faire du prosélytisme. La foi n’a pas à être exhibée, elle doit être vécue. Vos croyances ne nous intéressent pas, tant que vous ne les exhibez pas au parlement.
Au lieu de vous battre contre le voile imposé à des filles mineures, vous exigez que ces filles puissent entrer voilées à l’école, du moment qu’on voit leur visage. Ces filles sont mineures jusqu’à 18 ans, et devraient être protégées à l’école publique, contre leur enfermement dans une « prison ambulante », dont elles ne parviennent plus à se débarrasser plus tard, parce qu’elles se sentent alors « nues ». Vous collaborez à les marquer pour le restant de leur vie.
Aider les femmes musulmanes à s’émanciper et à trouver du travail : c’est leur dire de jeter à la poubelle : le foulard islamique, le hidjab, le tchador, le niqab, l’abaya, le quadri, la burqa, le burkini etc. et la dernière invention islamique « la burqa chirurgicale » déjà en vigueur ne Angleterre.
Aider à l’émancipation de la femme musulmane ici en Belgique, en Europe et ailleurs dans le monde : c’est se battre contre l’esclavage de la femme vivant sous la « charia à domicile », contre les crimes dits d’honneur (qui sont des crimes de déshonneur), contre les mariages forcés, contre les violences sur les femmes musulmanes, autorisées par le Coran, contre la polygamie musulmane, autorisée par le Coran. Rien qu’à Anvers, il y a 45 musulmans qui ont épousé plusieurs femmes dans leur pays d’origine, ce qui est permis selon le droit national islamique de leur pays. Ils ont plusieurs enfants avec ces épouses, et celles-ci sont enregistrées à l’État civil. Ainsi même la polygamie est importée en Belgique, alors que la bigamie est un crime selon le Code pénal, sauf lorsqu’on possède une double nationalité. Qu’en est-il de la pudeur chez les hommes musulmans, autorisés à pratiquer la polygamie par le Coran ? Quand allez-vous dénoncer tout cela ?
Dénoncer cela, Mme Mahunir, Ozdémir, c’est aider les femmes musulmanes à être l’égale de l’homme, à être vraiment émancipées, à vivre dignement, à ne plus être esclaves de l’homme et de l’islam misogyne.


Source: http://www.fairelejour.org/spip.php?article2038

19/06/2011

Wafa Sultan: toujours en vie, mais pour combien de temps ?

Il est en effet étrange que Wafa Sultan soit, suite à ses propos qui ne datent pas d’hier, toujours en vie. Les islamistes intégristes en ont égorgé pour moins que ça…

FDF

 

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Reçu par mail: 

Quelle est selon vous l’espérance de vie de Madame Wafa Sultan?
 
Ecoutez-la, transmettez son message, c’est bien le moins que nous puissions faire.  
 

Ici:http://www.youtube.com/watch?v=RFN8ahYN1b0

 
Si ce lien n’est pas actif, le copier-coller sur le bandeau http d’internet explorer.
 
 
Merci de ce rappel à A.K….

15/02/2011

L’intégrisme s’empare de la Tunisie.

Ca, c’était à prévoir. Et ce n’est que le début. Les fous d’Allah avaient tout fomenté depuis longtemps. La ré-islamisation de ce pays est en cours. Avec tous les ingrédients nécessaires: charia, écoles coraniques, enseignement de la haine de l’Occident, etc… Les autres pays où les intégristes ont lancé la révolution ne vont pas tarder à suivre… Pas bon pour nous, ça; pas bon…

FDF

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Première manifestation d’islamistes à Tunis


Plusieurs centaines d’islamistes ont manifesté vendredi après-midi à Tunis pour réclamer notamment la libération des détenus condamnés en vertu de la loi antiterroriste jugée anticonstitutionnelle par la société civile.

Des partis d’opposition ont longtemps accusé le gouvernement de se servir de cette loi pour porter atteinte aux droits de l’Homme et condamner des centaines de jeunes pour des « motifs fallacieux » dans des « procès inéquitables ».

« Non à la loi sur le terrorisme », « non à l’interdiction de la barbe », « non à l’interdiction du voile », pouvait-on lire sur des pancartes brandies par les manifestants qui parcouraient l’avenue Bourguiba, la principale artère de la capitale, en entonnant des chants religieux et en scandant « Allahou Akbar » (Dieu est le plus grand).

C’est la première manifestation d’islamistes à Tunis depuis la dissolution du mouvement Ennahdha en 1992 et également depuis le retour du chef de ce mouvement Rached Ghannouchi après 23 ans d’exil en Angleterre.

« Ce n’est pas à l’appel d’Ennahdha que nous sommes là. C’est une manifestation spontanée partie de la mosquée Zitouna » distante d’environ un kilomètre, a tenu à préciser Ismaïl Hammami, 25 ans, qui se dit néanmoins Nahdhaoui.

« On ne veut pas que la politique interfère dans la religion. On veut que les mosquées soient ouvertes sans interruption, que le port du voile soit libre. Pourquoi nous imposer la monogamie alors que l’islam nous autorise à prendre jusqu’à quatre épouses? » revendique Mokhtar Yacoubi, un moniteur de sport, la quarantaine.

Sous le régime de l’ancien président Zine El Abidine Ben Ali, les mosquées n’ouvraient qu’aux heures de prière, alors qu’auparavant elles étaient accessibles aux fidèles sans discontinuer. Les autorités justifiaient cette mesure en accusant les partisans d’Ennahdha d’utiliser ces espaces religieux pour tenir des « réunions politiques« .

Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/