Francaisdefrance's Blog

20/02/2012

Maldives: entre niqab et naïades sur les plages…

Le choc de la civilisation avec une idéologie rétrograde. Les Maldives, ce n’est plus ce que c’était. L’islam est passé par là…

FDF

C’est haram, aux Maldives ?

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La face cachée du paradis des Maldives

Les touristes et les habitants gagnés par l’islamisme radical vivent dans deux mondes cloisonnés.

Le paradis maldivien a son envers. Au dos de la carte postale, on pourrait dresser la liste de tous les défis du XXIe siècle, concentrés dans un petit État de 330.000 habitants et de 1192 îles, dont 200 habitées: grand écart entre riches et pauvres, corruption, choc des civilisations, montée de l’islamisme radical, réchauffement climatique, jusqu’à la piraterie…

Contrairement à un autre paradis pour touristes occidentaux, les Seychelles, territoire vierge peuplé au XVIIIe siècle par des colons français, les Maldives ont toujours été habitées. D’abord bouddhistes, ses habitants ont été convertis à l’islam, sans doute au XIIe siècle. Les quelque 900.000 visiteurs annuels qui louent des chambres à 200 euros minimum le savent à peine. Dirigés directement de l’aéroport de Malé, la capitale, vers leur «île hôtel», ils ne rencontrent de maldivien que les serveurs, les femmes de chambre, ou encore celles qui balaient la plage au petit matin.

Frustrations sociales

Le gouvernement veille à ce que les deux populations vivent dans des mondes séparés. L’accès des îles habitées est sévèrement réglementé, le logement chez l’habitant interdit. Les Occidentaux peuvent boire de l’alcool, pas les Maldiviens. L’islam est la seule religion acceptée, les autres sont interdites.

Les visiteuses se prennent des bains de soleil en maillots deux pièces, pas les Maldiviennes. Celles-ci sont fouettées si elles ont des relations sexuelles hors mariage, méthode défendue encore récemment par le gouvernement devant la responsable des droits de l’homme de l’ONU. Les touristes appartiennent aux classes aisées, les Maldiviens se trouvent en général au bas de l’échelle sociale. Le chômage et la drogue sont les deux principaux problèmes de l’archipel.

Les islamistes intolérants ont sans doute puisé dans ces frustrations sociales pour promouvoir une religion encore plus rigoriste. Depuis quelques années, des étudiants vont étudier dans les pays du Golfe ou au Pakistan, souvent grâce à des bourses versées par ces pays, et en reviennent avec des idées extrémistes.

Dans l’autre sens, des prêcheurs pakistanais ou saoudiens sont venus répandre un islam agressif. En 2007, une première alerte avait fissuré l’image idyllique du petit État. Un attentat à la bombe avait blessé 12 touristes de passage dans la capitale.

Des bouddhas détruits

Le coup d’État virtuel du7 février dernier est dû à une alliance entre les forces de sécurité et le parti islamiste Adhaalath, qui soutient le nouveau président. Cette formation avait déjà fait parler d’elle en obtenant brièvement la fermeture des spas dans les hôtels, lieux de débauche supposés.

Mardi, dès la démission du président Mohammed Nasheed, des hommes ont voulu signifier l’avènement d’une nouvelle ère. Ils ont fait irruption dans le Musée national et ont détruit des bouddhas de calcaire et de corail, inestimables témoins du passé bouddhiste de l’archipel.

Le parti islamiste a condamné le saccage, mais refuse dans le même temps le cadeau de trois œuvres bouddhistes ­offertes en novembre par l’Inde, le Sri Lanka et le Pakistan. Cette fureur représente une nouvelle victoire pour le ­courant le plus extrême de l’islamisme, celui des talibans ou des militants saoudiens.


Des élections anticipées

Le président déchu des Maldives, Mohammed Nasheed,  a salué la tenue d’élections anticipées sur l’archipel,  sans toutefois annuler un rassemblement de ses partisans organisé vendredi pour appeler  à la démission de son successeur. L’élection présidentielle devait avoir lieu en octobre 2013.  

Mais la date du scrutin a été avancée et a été acceptée  par le nouveau chef de l’État, Mohammed Waheed, une semaine après qu’il ait pris  le pouvoir aux Maldives dont l’ancien président a affirmé avoir été évincé par un coup d’État.  Cet archipel est en proie  à une crise politique émaillée de violences, après la démission le 7 février de Mohammed Nasheed, dans la foulée, d’une mutinerie  de policiers et de semaines  de manifestations d’opposants.

Source: http://www.lefigaro.fr/

07/12/2011

Sacré Dilem…

Non, non; il n’y a pas de fautes. Il s’agit bien du nom du dessinateur qui sait si habilement nous pondre de véritables oeuvres d’actualité avec un humour hilaro-décapant.

Encore un exemple qui résume bien la situation des pays du Maghreb… Qui se sont bien fait manipuler pour se jeter dans les bras griffes de l’islamisme et de ses « bienfaits »…

Merci à toi, Dilem.

FDF

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14/10/2011

L’Irlande tombe sous les coups de la charia !

Alerte rouge!

L’islam radical s’est installé en Irlande !

Quand on nous parle d’islamisation sournoise… Les Irlandais ne semblent pas l’avoir vur venir, celle-là. Plus que jamais, soyons vigilants et ne cédons pas un seul pouce de terrain!


FDF

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« En août dernier les services d’immigration et de naturalisation irlandais ont refusé d’approuver le visa d’entrée du Sheikh Yousuf al-Qaradawi, cet Imam égyptien, chef spirituel des Frères Musulmans qui est également l’une des figures éminentes  de la TV arabe par satellite, al-Jazeera. Dans ses ouvrages, al-Qaradawi avait pris la défense des bombes suicides non comme moyen terroriste mais comme « résistance » légale. Il avait prôné la peine de mort pour les homosexuels et les apostats, et mis à l’index les pays arabes séculiers considérés comme incroyants.

Les responsables de l’immigration en Irlande semblent lui avoir interdit l’entrée sur le territoire du fait de sa description des bombes suicides  destinées aux israéliens et qualifiées de « martyr fait au nom de dieu ». L’interdiction de l’Irlande vient à la suite d’interdictions semblables pratiquées aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Jusqu’en février dernier, sous le gouvernement du Président égyptien  Hosni Moubarak, il lui était aussi interdit de pénétrer en territoire égyptien.

Le problème est que al-Qaradawi est également  le chef du Conseil Européen de la Fatwa et de la Recherche (ECFR) fondé en mars 1997, et basé à Roebuck Road, 19, Clonskeagh, Dublin – ce qui a conduit les Irlandais à prendre cette décision qui semble quelque peu naïve.

Comme il est établi sur le site officiel du Conseil, ses objectifs principaux sont les suivants :  » Approcher les savants qui vivent en Europe et favoriser leurs rapprochements afin d’unifier leurs opinions sur la légalité et les questions juridiques qui concernent les grandes questions de Droit.  Edicter des Fatwas qui satisfassent les besoins collectifs des musulmans  d’Europe, résoudre divers problèmes et réglementer leurs interactions avec la Communauté européenne, le tout  en tenant compte des règles et des objectifs de la Charia. Publier des études et des compte – rendus de recherches pour résoudre les questions juridiques qui apparaissent en Europe de façon à atteindre et satisfaire les objectifs de la Charia dans l’intérêt de tous en Europe »

En résumé, les lois de la Charia sont déjà installées en Europe mais personne  apparemment ne s’en est rendu compte.

Le Conseil a été fondé à l’initiative de la Fédération des Organisations Islamiques d’Europe (FIOE) idéologiquement  liée aux Frères Musulmans. Il vous suffit de parcourir la liste de ses membres et vous verrez que son Président n’est autre que Yusuf al-Qaradawi; et que l’un de ses membres éminents Rached al-Ghannouchi – le leader du parti tunisien al Nahdha, lié aux Frères Musulmans. – ne manque jamais de formuler des attaques contre Israël et contre les intellectuels libéraux. Le vice-président Faisal Mawlawi, qui en 2004 sur le site http://www.islam-online.net disait que  « Les opérations martyres sont complètement différentes du suicide qui  est interdit.  Quiconque meurt dans une mission suicide est béni de Dieu. J’invite tous les palestiniens à ne pas hésiter à conduire de telles opérations. »

Le Conseil semble aussi se consacrer à publier des Fatwas ou des édits religieux qui ne sont pas encore mis en ligne en anglais sur son site internet. Bien que les Fatwa aient en général une valeur universelle non coercitive pour les musulmans, dans l’esprit de l’islamisme radical, il est clair que quiconque s’adresse à un mufti et lui pose une question, a intérêt à suivre son avis. La première Fatwa concerne l’autorisation pour un musulman de vivre de manière permanente dans un pays non musulman. La Fatwa est la suivante : « Notre avis est qu’un musulman ne devrait jamais vivre au milieu de non -musulmans s’il met en danger son identité islamique, sauf s’il n’a aucun autre choix».  Ainsi si un musulman vit dans un lieu où sa vie, sa religion et ceux dont il a la responsabilité sont en danger, alors il doit émigrer. » On présume que le territoire non – musulman est l’Europe.  

La Fatwa quatre concerne la punition pour ceux qui commettent le crime d’Apostasie et il faut noter que la peine n’est pas toujours la mort, qui devrait seulement s’appliquer quand le musulman qui a abandonné l’Islam l’annonce publiquement et critique son ancienne religion.

 

Actuellement, le site web du « Conseil Européen pour la Fatwa et la Recherche » est uniquement disponible dans sa version arabe et aucun de ses membres n’est européen. Il ressemble davantage à un « gouvernement islamique » en Europe.

Ce qui est plus inquiétant c’est de savoir qu’il existe en Europe une institution juridique islamique qui publie des Fatwas depuis longtemps sans respecter les valeurs éthiques universelles – pour le moins en l’occurence, le respect de la vie humaine – et qui considère que les institutions européennes sont de simples outils qui doivent lui permettre d’accéder au pouvoir.   

Il est grand temps que l’Europe en général et l’Irlande en particulier commencent à interdire l’entrée sur leur territoire respectif non seulement à des Imams, mais aussi à des institutions et des associations liées à ces personnes et qui ne sont pas seulement dangereuses pour les Européens, mais aussi pour une majorité de musulmans qui ne souhaitent pas se radicaliser. »

Traduit de l’anglais par Nancy VERDIER

http://www.hudson-ny.org/2484/radical-islam-ireland

Piqué à Gérard Brazon