Francaisdefrance's Blog

23/03/2012

Des inscriptions antisémites et glorifiant le tueur au scooter Mohamed Merah trouvées à Sartrouville !

J’ai l’impression que ce n’est que le commencement, avec cette affaire. Tenons nous prêts à subir l’onde de choc et à riposter (du moins à demander à nos dirigeants de le faire). On ne doit pas laisser passer de telles choses!

FDF

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Des inscriptions antisémites et glorifiant le tueur au scooter Mohamed Merah ont été découvertes en fin de matinée à Sartrouville (Yvelines) , a-t-on appris de source policière.

Ces tags à l’encre noire ont été découverts sur un muret extérieur, sur lequel on pouvait notamment lire « Vive Merah« , « Vengeance« , « Nique la kippa » et des inscriptions insultantes à l’encontre de Nicolas Sarkozy et de Marine Le Pen.

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Le tueur au scooter Mohamed Merah a abattu lundi trois enfants et un enseignant juifs devant une école juive de Toulouse, après avoir tué trois militaires dans les jours précédents à Toulouse et Montauban. Le jeune homme de 23 ans est mort jeudi sous les balles du Raid après plus de 32 heures de siège de son appartement.

Source: http://www.lefigaro.fr/

16/03/2012

Yvelines: une jeune musulmanne prise d’un délire intégriste .

Ca devient grave, chez les momos… L’ islamisme rend fou. Provocations, stigmatisation, crises. Mais ça, tout le monde l’avait déjà remarqué.

FDF

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UNE FOLLE D’ALLAH !!!!!!!   ils ne savent même plus comment faire chier le monde avec leur allah, et celle -là  est en récidive
« Fatigués, les locataires avaient alors appelé la police pour mettre fin au tapage. En arrivant sur place, les fonctionnaires ont été accueillis par une volée d’insultes et la résidante leur a lancé plusieurs objets depuis son appartement.
L’an passé, elle avait été, malgré elle, à l’origine d’une polémique. Appelée par les policiers pour récupérer sa fille arrêtée après un vol à l’étalage, elle s’était présentée au commissariat vêtue d’un niqab, ce voile qui recouvre intégralement le corps et le visage. Ce type de vêtement étant interdit dans l’espace public, elle avait écopé d’une amende… ce qui déclencha chez elle une crise de folie. »
(JE VOUS ENVOIE LA COPIE DU PROCES VERBAL  EN PJ  –  LISEZ LE  CA VAUT SON PESANT DE COUSCOUS  –   LISEZ LE C’EST EDIFIANT )

JC JC…

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Une femme de 35 ans devait être présentée hier soir devant les magistrats du tribunal correctionnel de Versailles.

Dimanche, en fin de journée, elle avait importuné ses voisins d’une façon assez singulière : elle avait placé les enceintes de sa chaîne hi-fi dans la cage d’escalier de son immeuble et avait diffusé, le son réglé à fond, des versets du Coran.

Fatigués, les locataires avaient alors appelé la police pour mettre fin au tapage. En arrivant sur place, les fonctionnaires ont été accueillis par une volée d’insultes et la résidante leur a lancé plusieurs objets depuis son appartement.

Finalement, celle-ci a été interpellée lundi matin et immédiatement placée en garde à vue. Au commissariat, elle s’est montrée tout aussi violente en s’attaquant à une policière lors de la fouille de sécurité, lui assénant des coups et la griffant violemment au visage.

Lors de son audition, elle a reconnu les faits, sans pouvoir cependant expliquer son comportement totalement irrationnel. Plus tard, dans sa cellule de garde à vue, elle s’est mise à réciter à haute voix des versets du Coran.

Cette jeune femme, décrite comme fragile, a une réputation difficile. « Dans son quartier, les habitants n’en pouvaient plus. Elle faisait régner la terreur auprès de ses voisins, qui étaient littéralement terrorisés », détaille un enquêteur. Elle est aussi défavorablement connue des services de police.

L’an passé, elle avait été, malgré elle, à l’origine d’une polémique. Appelée par les policiers pour récupérer sa fille arrêtée après un vol à l’étalage, elle s’était présentée au commissariat vêtue d’un niqab, ce voile qui recouvre intégralement le corps et le visage. Ce type de vêtement étant interdit dans l’espace public, elle avait écopé d’une amende… ce qui déclencha chez elle une crise de folie.

Elle avait alors tenu des propos hostiles à la France. Par on ne sait encore quel canal, le procès verbal relatant cette affaire s’était alors retrouvé sur Internet. Des médias traditionnels mais aussi des sites d’extrême droite qui avaient récupéré la polémique, au grand dam de la hiérarchie policière.

Source: http://www.leparisien.fr/

27/12/2011

Les madrassas: écoles coraniques où l’on enseigne par la terreur !

Vive l’enseignement « libre » !

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Vous savez tous ce que sont les écoles coraniques (madrassa)? Ce sont ces écoles islamistes où l’intégrisme a un coef 10 (par exemple)…

A noter que nous en avons, en France. Et elles bénéficient parfois souvent des mansuétudes financières des élus du coin (et oui, ce ne sont pas des mosquées et donc ne tombent PAS sous le coup de la loi de 1905).

Mais dans ces écoles, les enseignants tiennent plus du bourreau que de l’instit… La preuve en images.

FDF

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http://youtu.be/2qLJzDPU8b8

Source: http://prophetie-biblique.com/

28/10/2011

Petite vidéo, histoire de vous réveiller (les esprits)…

Ca ne mange pas de pain et ça a le mérite d’être clair, net et précis. La charia, c’est ça.

Pauvres de nous; si nous ne nous réveillons pas…

Attention! Âmes sensibles, évitez de regarder…

FDF

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Voir: http://youtu.be/SKbdjkpv19k

25/10/2011

Printemps arabe, chute des dictateurs, hiver islamiste… Un processus inévitable.

L’hirondelle n’annonce plus le printemps. Le jasmin non plus. La charia s’occupe de tout… Je plains tous ces peuples qui on cru à une démocratie à laquelle ils ne seront jamais prêts. Et à laquelle les islamistes les ont fait croire.

La Tunisie sombre dans le chaos régi par les intégristes; la Libye et l’Egypte suivent. Si ça pouvait faire réfléchir les autres… On peut toujours rêver.

Ci-dessous un excellent billet de Christophe Barbier (L’Express).

FDF

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« C’est une peur qui chemine alors que les armes se taisent et que s’élève le brouhaha des urnes. Une peur un peu honteuse, tant l’irénisme est de rigueur, et tenace aussi, le remords d’avoir si longtemps soutenu des dictateurs, avec, pour seule raison, cynique mais valable, d’être en sécurité sur nos rives. Une peur nourrie par les cris des coptes massacrés en Egypte, les premières élections en Tunisie et l’engagement du Conseil national de transition libyen à faire de la charia la « source première de la loi ». Cette peur, c’est celle de l’islamisme, celle d’un pouvoir barbu et liberticide, dont les imams psychopathes remplaceraient les militaires d’opérette et les despotes débauchés d’hier. 

Jamais cette crainte n’a abandonné les esprits occidentaux, même si le vacarme de la fête droits-de-l’hommiste l’a reléguée depuis janvier dans l’arrière-boutique de la foire-fouille sondagière. Elle ressort aujourd’hui parce que nous sommes dans un marécage idéologique, un entre-deux politique où les potentats sont déchus, mais les démocraties, pas encore installées. Balbutiantes et vacillantes, elles sont comme un enfant effrayé par ses premiers pas dans un monde vertigineux. Arabes et Occidentaux, tous épris de paix et de liberté, nous sentons que quelque chose a gagné, qui était juste, mais qu’autre chose aujourd’hui menace, qui est terrible. Et si rebelles et révoltés avaient oeuvré, à leur insu, pour préparer le règne des imams? Et si nous avions fourni, enfants béats de Danton et de Rousseau, le moteur démocratique au véhicule islamiste? S’imposer par une révolution ou une guerre civile n’est rien à côté d’élections gagnées: l’islamisme pourrait bien, demain, affirmer être légitime selon les critères mêmes de l’Occident. Que répondrons-nous?  

Craintes d’un nouveau scénario algérien

Aujourd’hui, les sirènes de l’optimisme chantent à tue-tête qu’il n’y a rien à craindre, que c’est un islam modéré, « intermédiaire », qui donne le la des nouveaux régimes, qu’il ne s’agit que d’invoquer des principes sans corseter la vie quotidienne ni bâillonner les libertés au berceau. Elles n’ont à la bouche que l’exemple de la Turquie, où islamisme et démocratie barbotent en harmonie dans le bain de miel de la prospérité économique. C’est oublier la cure de laïcité imposée jadis à son peuple par Kemal Atatürk, ce vaccin longue durée. Plutôt que le modèle turc, c’est le scénario algérien qui risque d’advenir. Il y a vingt ans, l’Algérie faillit tomber dans l’intégrisme par la fente des urnes, il fallut interrompre le processus électoral et engager la bataille armée. 

En Libye, la situation est la plus inquiétante. Le chef du CNT, Moustafa Abdeljalil s’est engagé à faire de la charia la « source première de la loi ».

C’est en Libye que la situation est la plus inquiétante, parce que l’on y touille un explosif cocktail de pétrole, de trafic d’armes et de bédouinisme, sous l’oeil avide et la griffe déjà sortie d’Aqmi la terroriste. Que feront de leur révolution réussie les héros de Misrata et de Benghazi? L’égout de Syrte a vomi un Kadhafi sanguinolent comme dernier déchet de la tyrannie: puisse le régime qui sortira des discussions tribales et des élections promises nous éviter la nostalgie de l’ordre tyrannique. »

Source: http://www.lexpress.fr/

24/10/2011

Charia: Tunisie, aussi !!!

On a presque envie d’en rire… Le printemps arabe organisé par les islamistes porte ses fruits. C’était, il est vrai, « gros comme une maison ». Porté par une liesse indescriptible à jouir du fait de se débarrasser de Ben Ali et de sa meute, le peuple Tunisien (avide de révoltes, de massacres et assoiffé de sang comme tous les peuples du coin) a bien joué le rôle que voulait lui faire jouer les intégristes musulmans. Et croyant à une bien inespérée démocratie, est tombé les deux pieds dedans. Au lieu de la démocratie rêvée, ils ont obtenu la charia et ses bonheurs… Qu’ils se démerdent, maintenant.

Ce qui fait peur, c’est que ça risque de faire augmenter de façon sensible l’immigration clandestine…

FDF

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La nouvelle démocratie en Tunisie…

Le parti islamiste est crédité de 40 à 60% des voix, ce qui réjouit certains électeurs, mais en inquiète de nombreux autres…

« Les Tunisiens sont toujours dans le flou. Les résultats définitifs des élections de dimanche n’ont pas encore été officiellement annoncés, et ne devraient pas l’être avant mardi. Cependant, les tendances donnent toutes le parti Ennahda en tête, avec une avance plus ou moins large sur les autres partis.

Le parti islamiste était, avant le scrutin, crédité d’une trentaine de pourcents des voix. Ce lundi, ce chiffre oscillerait davantage entre 40% et 60% des suffrages, selon les sources, soit la majorité absolue.

«Je ne m’inquiète pas pour les libertés des femmes»

Comme avant l’élection, l’avis des Tunisois diverge toujours autant à propos du parti de Rached Ghannouchi. Rafika, 30 ans, est «heureuse» que le parti pour lequel elle a voté soit en tête. «C’est un espoir. Ils sont, plus que les autres, capables de laisser les libertés s’exprimer, après ce qu’ils ont vécu sous Ben Ali», explique-t-elle.

Zied, 25 ans, est lui aussi ravi de ce résultat. «Leur programme économique va nous permettre d’avancer. Et je ne m’inquiète pas pour les libertés des femmes. Dans l’un de ses livres, Rached Ghannouchi a expliqué qu’il y était favorable.»

«Nous avons peur que tout change en Tunisie, et que les femmes perdent leurs droits» 

Car la question des libertés, c’est ce qui inquiète le plus les Tunisois anti-Ennahda, principalement des femmes libérales. Amel, Monia et Oum Rafat, la petite cinquantaine, sont toutes trois institutrices. Si Oum Rafat porte le hijab, les deux autres se promènent avenue Bourguiba la tête nue. Pourtant, elles sont d’accord: Ennahda en tête du scrutin, c’est très inquiétant.

«Nous sommes pratiquantes, mais nous avons peur d’Ennahda. Ils sont agressifs et leur programme est flou sur les libertés. Nous avons peur que tout change en Tunisie, et que les femmes perdent tous les droits qu’elles possèdent aujourd’hui.»

Contrepoids

Beaucoup espèrent surtout que les autres partis pourront faire contrepoids en cas de politique liberticide des islamistes.

Akil, qui voit passer beaucoup de cadres et de femmes inquiets de ce résultat dans sa pharmacie, s’interroge. «Leur crainte est-elle justifiée? Je ne pense pas. Tout va dépendre des résultats définitifs. Ils ne feront pas tout ce qu’ils voudront, les autres partis seront là pour équilibrer les choses.»

Wassila, la cinquantaine, qui a «peur des extrémistes», est d’accord: «Ca me rassure de penser qu’ils ne seront pas seuls à décider.» Sauf si Ennahda rafle la majorité absolue à l’Assemblée. »

Source: http://www.20minutes.fr/

10/04/2011

Arrêtez de nous pomper l’air avec la « stigmatisation » !!!

Et c’est au tour des Algériens de chialer, de se plaindre de leur sort de « mal aimés », de la stigmatisation, etc…

Mais ce n’est quand-même pas de notre faute, à nous les Français, d’avoir à subir sans arrêt des actes de plus en plus nombreux de délinquance dont les auteurs sont issus de l’immigration algérienne! Il fallait les surveiller, vos mômes. Mais il est vrai que la pédagogie, ce n’est pas votre fort. C’est bien beau de faire des gosses sans cesse. Il faut les assumer, ensuite. Et ne pas les laisser tomber dans le piège de l’intégrisme musulman. Les gosses, ça ne sert pas qu’à profiter des allocs…

FDF

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Communauté Algérienne en France
Comment fédérer les actions des associations

Troisième voyage en France pour le secrétaire d’État chargé de la Communauté nationale à l’étranger en huit mois. Tout comme le premier en plein Ramadhan, le dernier déplacement intervenu jeudi a été largement consacré à la question du culte.

Halim Benatallah est arrivé dans une France plongée dans un indésirable débat sur l’islam, poliment rebaptisé sur la laïcité après les nausées que son annonce a provoquées. Dans ce climat qui laisse craindre de mauvais jours pour les musulmans devenus trop nombreux dans l’Hexagone, selon le sous-entendu de Claude Guéant, la Grande Mosquée de Paris est appelée à jouer un rôle important pour que cessent les stigmatisations par des dirigeants politiques qui ont décidé de faire de l’islam un sujet majeur de la campagne électorale. La droite extrême est désormais concurrencée par la droite populaire sur ces thèmes qui sentent le souffre. Mais la vénérable institution historiquement liée à l’Algérie semble bien en peine. Avec un souffle spirituel déjà diminué, elle n’a pas les ressources nécessaires à la mission qu’on veut lui confier. Après le réquisitoire dressé en août dernier sous ses propres yeux, M. Benatallah a pu encore observer le désamour entre la communauté nationale en France et l’institution dirigée par Dalil Boubakeur.
À cause du rayonnement qu’elle peut avoir, la Grande Mosquée, édifiée en 1926 en hommage aux musulmans morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale, est convoitée par les autorités marocaines qui n’hésitent pas à subventionner les associations cultuelles acquises à leur influence. Elles mènent un activisme qui risque de rendre vain les efforts algériens qui se traduisent notamment par un envoi d’imams. Même cette contribution ne trouve pas grâce aux yeux des Algériens puisque ces religieux, sans maîtrise du français, ne sont pas préparés à officier devant un public jeune, éduqué dans le culte de la laïcité. Du coup, la Mosquée de Paris n’exerce pas son influence sur les émigrés de la dernière génération plus sensibles au discours de Tariq Ramadan.
Malgré les attaques de grands intellectuels français qui le visent, le petit-fils de Hassan Al-Bana exerce une attraction sur les jeunes musulmans qu’on peut déplorer mais qu’on ne peut pas nier. Son débat avec Éric Zemmour a fait le miel de ses admirateurs, nombreux parmi les jeunes Algériens de toutes les catégories.
C’est dire le défi qui attend M. Benatallah. “Le temps de l’écoute est fini, place maintenant aux décisions”, a-t-il dit, annonçant pour le mois de juin un congrès des associations cultuelles algériennes, un rassemblement qui sera élargi à l’ensemble des représentants d’associations cultuelles établies en Europe.
La communauté nationale en France “doit donner une image de rassemblement, d’unité et de présence positive”, a espéré M. Benatallah à l’issue de sa tournée. “La relation de confiance avec la Grande Mosquée de Paris, son rôle et son rayonnement en France et en Europe, sont un atout important à mettre au bénéfice” de cette communauté, a-t-il dit. “Ce projet sur lequel nous travaillons aura une dimension européenne et sera, à son tour, un point de départ pour d’autres initiatives de ce type avec les différentes compétences et catégories socioprofessionnelles, de manière à créer une série de réseaux de solidarité et d’entraide au sein de la communauté algérienne à l’étranger”, a expliqué M. Benatallah.
De son côté, Dalil Boubakeur a tenté de minimiser les problèmes. Il a estimé que le rassemblement des expressions variées des musulmans d’origine algérienne en France “permettra de comprendre que les vieilles visions discordantes et injustes nous concernant n’étaient qu’une illusion et qu’en réalité il y a un lien fédérateur identitaire au sein de la communauté algérienne”.

Source: http://www.liberte-algerie.com/

03/10/2010

Islam, islam fanatique, islam radical, islamisme, extrémisme islamique, intégrisme, etc.…

« Telles sont les différentes expressions pour qualifier la religion de Mahomet et ses variantes idéologiques dans les médias. Et on peut multiplier les variations : extrémisme islamiste, fanatisme musulman, extrémisme radical, intégrisme extrémiste, islam intégriste, etc.

D’autres parlent également d’islam politique, d’islamisme conquérant, d’islam prosélyte, d’islam prosélyte, et que sais-je encore. Si on essayait d’y voir plus clair ?

Mes vieilles encyclopédies déclinent, quant à elles, deux entrées sur le sujet :

1. le mot « islam » (avec une minuscule quand on parle de la religion et une majuscule quand on parle de la civilisation, ce que peu de rédacteurs connaissent ! l’islam est au christianisme ce que l’Islam est à la Chrétienté…) ;

2. les mots « islamisme », « mahométisme » et « mahométanisme », qui sont des synonymes de « islam ».

Le mot « islamisme » n’avait pas du tout le même sens que de nos jours. Islam vient de la racine arabe S-L-M et signifie « soumission ». Cette racine S-L-M a donné également le mot « salam », (le « shalom » des hébreux), qui veut dire « paix ». On en dérive aussi le mot « musulman », qui désigne un adepte de l’islam.

On utilisait aussi le mot « mahométan », qui fait hurler les musulmans, et je me demande pourquoi, parce qu’il est bien plus exact sémantiquement. En effet, « musulman » veut dire « soumis » (sous-entendu à Allah), et l’islam n’est pas la seule religion où les adeptes se soumettent à une ou plusieurs divinités.

D’ailleurs les adeptes de Mahomet jouent sur l’ambiguïté de cette définition pour prétendre qu’Abraham, Moïse ou Jésus étaient « musulmans », sous prétexte qu’ils étaient soumis à leur Dieu, mais c’est idiot au sens commun du mot musulman, puisqu’ils vécurent bien avant Mahomet, qui a fondé l’islam.

De même, des falsificateurs sémantiques, de Nicolas Sarkozy à Tariq Ramadan en passant par Mouloud Aounit, appellent « musulman » tout « né musulman », toute personne de « culture musulmane », de « famille musulmane », niant ainsi à la plupart des Maghrébins le droit élémentaire à changer de religion (ce qu’interdit d’ailleurs l’islam sous peine de mort).

Ce fascisme linguistique et religieux que n’aurait pas dédaigné Savonarole s’appelle tout simplement du totalitarisme idéologique, et là encore les musulmans jouent sur les mots, et en particulier leurs représentants autoproclamés, pour se prévaloir abusivement de 5 ou 6 millions de « fidèles » en France, et d’1,3 milliard dans le monde. (Au Maroc, par exemple, vous êtes compté comme musulman si vous n’êtes ni chrétien ni juif, et cette étiquette affecte tous vos enfants, vos petits-enfants, etc.). C’est aussi stupide que si Nicolas, Tariq ou Mouloud appelaient (presque) tous les occidentaux des chrétiens !

Le mot « mahométan » me semble bien plus juste, comme je l’ai dit. Il désigne un adepte de la religion fondée par Mahomet, tout comme un chrétien est un adepte de la religion fondée par Jésus (le Christ) ou un bouddhiste un adepte de la religion fondée par Bouddha.

On essaie donc de trouver des variantes au mot « islam », et surtout aux « musulmans » : islamistes, intégristes, fondamentalistes, extrémistes, radicaux, etc. Et même des sous-variantes : islamistes modérés (hum !), musulmans intégristes, etc.

Ce qui permet de faire des analogies avec par exemple les « catholiques intégristes » ou les « juifs orthodoxes » (avec une minuscule à « juif » dans ce cas).

Quelle idiotie ! Non seulement il n’y a pas des « christianistes » ou « juifistes » comparables aux « islamistes », mais en plus les adeptes de Monseigneur Lefebvre ou les « juifs à papillotes » de Mea Shearim n’appellent pas à convertir la terre entière, à égorger des mécréants ou à se faire sauter les entrailles, et de plus ils posent assez rarement des bombes.

D’ailleurs, à propos des juifs, la plupart des gens confondent sionisme et orthodoxie religieuse, alors que les Juifs (avec la majuscule cette fois) sionistes ne sont pas majoritairement des piliers de synagogues, loin de là. Dans les kibboutz, on vénérait plutôt Marx et Proudhon que Yahvé, et je n’ai jamais vu Ariel Sharon avec des bouts de ficelles à la ceinture. Mais là encore, les journalistes essaient de nous faire croire à une « guerre de religion » au Proche-Orient, alors que ce n’est pas du tout le cas, du moins pour l’un des camps, et même si Israël est loin d’être un pays laïque.

Au moins, ces digressions montrent que sous des vocables erronés ou mal définis, on peut manipuler les esprits et même exercer un terrorisme intellectuel, tout comme on peut le faire avec des anathèmes comme « sioniste » ou « islamophobe ».

On distingue « islam » de ses variantes « extrémistes » : islam radical, islam politique, islamisme, fondamentalisme, salafisme (au sens propre du terme : les Frères Musulmans et leurs disciples, de Ramadan à l’UOIF, sont aussi « salafistes » dans leur doctrine que les Bouziane et Benchellali). Mais qu’est-ce que l’islam ?

L’islam est la religion fondée par Mahomet. Selon les musulmans, Allah lui-même aurait révélé à Mahomet le Coran par l’intermédiaire de l’archange Gabriel. Le Coran est donc, pour les musulmans, la parole d’Allah, leur dieu, lui-même. Là encore le Coran lui-même raconte des absurdités quand il fait dire à Allah : « J’ai donné la Thora aux juifs, l’Evangile aux chrétiens et le Coran à vous, les meilleurs ».

En effet, les chrétiens savent bien que les Evangiles racontent la vie de Jésus et ont été écrits par des hommes (les quatre évangélistes Jean, Luc, Marc et Mathieu) bien après la mort de Jésus, et non par le Dieu des chrétiens lui-même. En quelque sorte, si on pouvait faire une comparaison, le Verbe Incarné du Dieu chrétien serait Jésus, tandis que le Verbe Incarné d’Allah serait le Coran.

Et cette différence est fondamentale. En effet, les chrétiens peuvent « contextualiser » les Evangiles, en relativiser le sens, et même admettre des contradictions (qu’ils nomment pudiquement « mystères »). Quant aux juifs, c’est encore pire ! Mettez deux rabbins en face de trois versets bibliques, et ils passeront la journée à vous trouver mille sens différents.

Ce qui a l’énorme avantage d’une part de les occuper, et d’autre part d’éviter tout dogmatisme stupide, et de faire évoluer l’interprétation avec la modernité. De même chez les chrétiens, les prêtres vous expliquent aujourd’hui davantage le sens métaphorique des passages d’Evangile que leur sens « littéraliste » (comme dirait Tariq Ramadan dans certaines de ses « postures »).

Il en est tout autrement avec le Coran. Comme c’est la parole même d’Allah selon les musulmans, toute interprétation due à une « contextualisation » du rédacteur est nulle et non avenue. Le Coran lui-même, dans l’une de ses admirables tautologies, le dit lui-même ! Et il est interdit d’en changer un iota ! Mais il y a une autre différence fondamentale d’avec les textes sacrés des juifs et des chrétiens.

Le Coran, c’est un « manuel », une sorte de « user’s guide » sans aucune spiritualité originale. De nombreux islamologues pensent d’ailleurs que le Coran aurait été une sorte de « commentaire » de la Thora aux premiers temps de Mahomet, d’où ses références nombreuses au livre sacré des Juifs (voir l’islam ou le plagiat du judaïsme par Djinn Al Nader). Le Coran contient donc des recommandations très pratiques pour plaire à Allah, ainsi que de nombreuses interdictions souvent d’origine juive (ainsi l’usage du porc).

Le Coran : un conglomérat hétéroclite de récits et de mythes d’autres religions

Le Coran consiste ainsi en une conglomération hétéroclite de récits et de mythes d’autres religions qui s’étaient répandues dans l’Arabie préislamique (judaïsme, zoroastrisme, christianisme, paganisme…). D’ailleurs le programme des cours dispensés dans les écoles coraniques (par exemple à l’institut de formation des imams de l’UOIF dans le Morvan), la plupart des matières traitent de jurisprudence (« fiqh » et « charia ») et pas du tout de théologie, d’exégèse, de morale, etc.

En conséquence, l’islam est une religion composée de règles à suivre. Ceux qui les suivent vont au Paradis (en première classe s’ils se tuent au combat contre les mécréants), et les autres vont en Enfer, pour brûler dans d’atroces souffrances que le Coran se complaît à détailler avec un sadisme et une cruauté inimaginables.

Les non musulmans vont, quant à eux, systématiquement en Enfer, même s’ils ont eu une conduite exemplaire : si vous n’avez pas respecté les cinq piliers, et en particulier la profession de foi (« chahada ») et les cinq prières quotidiennes (« salate »), vous avez beau avoir donné tous vos sous aux pauvres et fait, en bon idiot utile, toutes les manifs du MRAP et des collectifs pro-voile, ça ne compte pas. Sauf pour Abraham, Moïse, Jésus, et compagnie, bien sûr, réputés être musulmans avant la lettre, comme nous l’avons vu plus haut.

Les règles coraniques ne laissent guère de place à l’interprétation

Ces règles coraniques ne laissent guère place à l’interprétation, puisqu’elles sont très terre-à-terre et pragmatiques. On peut d’ailleurs penser que Mahomet ou ses proches les ont inventées au fur et à mesure de leurs besoins, pour administrer leurs troupes, motiver leurs combattants, partager le butin (sourate ainsi que les femmes captives. S’ajoute au Coran la Sunna, c’est-à-dire des centaines de « hadith » qui parlent de la vie quotidienne de Mahomet. Et tout ça nous donne la « charia ».

Ainsi l’âge légal du mariage en Iran est fixé à 9 ans ( !) en référence à la petite Aïsha que Mahomet avait mis dans son lit alors qu’il atteignait la cinquantaine… Je ne vais pas entrer plus en détails dans la jurisprudence islamique. Disons seulement qu’elle est bétonnée et surtout intangible par sa nature et ses fondements.

D’ailleurs, vous pouvez aisément déstabiliser n’importe quel musulman prétendument « réformiste » ou « réformateur » à la sauce Tariq Ramadan qui prétend « relire », « ré-interpréter », « contextualiser » le Coran : demandez-lui comment il faut interpréter les versets qui disent qu’on peut prendre quatre épouses (mais pas quatre maris), qu’on peut enfermer et battre sa femme si « on craint » qu’elle ne désobéisse (sourate 4), ou qu’il faut exterminer les mécréants : je n’ai jamais entendu aucun Ramadan (qui se contente de moratoires sur la lapidation pour esquiver les questions) ni aucun Bencheikh, ni aucun Boubakeur répondre à ce genre de question.

Tout au plus ils changeront de conversation ou vous expliqueront pour la centième fois qu’il faut replacer ces versets dans leur contexte. Depuis 14 siècles, d’autres ont essayés, Averroès et Ar Razi en premier. On a brûlé leur bouquin, quand ce n’est pas les intellectuels eux-mêmes qu’on brûlait.

Une petite anecdote révélatrice de cette impossibilité à sortir des ornières coraniques. Lors d’une émission de télévision, le pamphlétaire Jack-Alain Léger houspillait le vénérable Dalil Boubakeur, lui citant un verset sexiste du Coran. Le recteur de la Mosquée de Paris esquivait, et, excédé par l’insistance du trublion islamophobe, finit par lâcher un « mais je me fous de ce qu’il y a écrit dans le Coran » qui restera dans le bêtisier du CFCM. Il en a fait d’autres dans le genre, et pourrait rivaliser avec Fouad Alaoui. Par exemple, lors de l’affaire Houllebecq, Dalil Boubakeur s’est époumoné devant micros et caméras avec un sophisme mémorable (je cite de mémoire) : « J’apprends que les musulmans sont des cons. Nous sommes un milliard de musulman sur Terre. Donc nous serions un milliard de cons ? »

Remettre en cause un seul des commandements coraniques, qui ne laissent guère de place à l’interprétation, c’est remettre en cause un commandement divin, donc remettre en cause le Coran, qui est le fondement même de l’islam, et par conséquent l’islam lui-même.

En effet, si tel verset était « faux », alors lesquels seraient vrais et lesquels seraient faux ? Tout s’écroulerait comme un château de cartes, et c’est d’ailleurs le thème des redoutables « Versets sataniques » de Salman Rushdie : ce n’est pas seulement parce qu’il blasphémait qu’on l’a pourchassé de fatwas, mais c’est qu’il appuyait sur le talon d’Achille. Et comme il n’y a pas de « support spirituel » ou de possibilité d’interprétation métaphorique (comme dans les Evangiles) qui apportent autre chose au disciple que cet ensemble de croyances terre-à-terre et binaires (« hallal » / « haram »), cela sonnerait le glas de l’islam.

De plus, une réforme de l’islam ne peut aller que dans le sens du durcissement. En effet, comparons encore avec le christianisme. Quand on étudie les différentes « réformes » chrétiennes, depuis « la » Réforme de Luther et Calvin jusqu’à Vatican II, on constate que, outre des considérations politiques et sociales, celles-ci se sont opérées par un retour aux Ecritures, et aux commandements fondamentaux du christianisme. En gros : « tu aimeras ton prochain comme toi-même ».

Appliquez la même chose à l’islam : c’est la multiplication assurée des Ben Laden ! Par exemple, savez-vous que le mot « amour » et ses dérivés (aimer, etc.) au sens « amour entre êtres humains » ou « amour entre homme et femme » (et non amour d’Allah ou du bétail) n’apparaît pas une seule fois dans les 114 sourates du Coran ?

Les divisions entre islam, islamisme, etc., sont relativement artificielles

Tout cela pour dire que les divisions entre islam, islamisme, etc., sont relativement artificielles. D’abord il y a un continuum entre les pratiques et les dogmes parmi les musulmans : on peut lapider avec des cailloux plus ou moins gros, ou éviter de battre sa femme sur la figure, comme le conseille l’imam de Vénissieux. On peut respecter plus ou moins tel commandement. Mais à vrai dire, on ne peut pas respecter l’islam quand on vit dans un pays occidental. Ne serait-ce que le jeûne du Ramadan, qui est une véritable torture (et la plupart des musulmans trichent), et les cinq prières quotidiennes à heures précises et variables selon les saisons. D’ailleurs le jeu des islamistes (UOIF et Cie) est bien de dire : nous avons le droit de pratiquer nos absurdités, donc il faut tout aménager pour nous : horaires, piscine, etc.

Après, est-ce que les gens croient qu’ils iront en enfer s’ils ne respectent pas telle ou telle règle ? Je n’en sais rien, mais mon expérience du monde musulman m’a appris à résumer l’islam en deux qualificatifs : hypocrisie et violence. Allah reconnaîtra les siens. Je crois aussi que les leaders musulmans sont surtout des malins qui, suivant l’exemple de Mahomet, ont su comment ils peuvent manipuler les foules en utilisant cette idéologie.

Je ne crois pas que les dirigeants des pays arabes et maghrébins, par exemple, croient un seul instant à toutes ces débilités. Ou alors, ils sont masochistes étant donnée leur conduite personnelle bien peu orthodoxe ! Je suis aussi convaincu qu’un Al Qadawari ou un Thomas Milcent (« Docteur Abdallah ») sont également des manipulateurs. L’islam est aussi un bon refuge pour tous les fachos refoulés, du taliban de banlieue à Mohamed Latrèche. Il peut cependant y avoir des gens « sincères » et naïfs, profitant néanmoins plus ou moins de la situation, et je pense même que l’imam de Vénissieux était dans ce cas.

Donc le bon musulman, ce n’est peut-être pas Ben Laden (il exagère un peu et à mon avis on devrait pouvoir trouver un ou deux versets contre lui), mais c’est au moins Bouziane et Benchellali qui respectent bien plus le Coran que les « innovateurs » à la Bencheikh ou que votre voisin de palier. Les autres se contentent de faire plus ou moins semblant, et aussi… de respecter la loi républicaine, soit parce qu’ils ont tout de même un peu de morale qui leur dit que tuer les mécréants ce n’est quand même pas très correct, soit par simple peur du gendarme.

Alors islam ou islamisme ? Disons, comme le dit d’ailleurs très bien des gens comme Fethi Benslama quand il ne se perd pas dans une vaine interprétation psychanalytique du Coran (et je ne parle pas de Malek Chebel qui confond Coran et Mille et Une Nuits), « ce n’est pas une question de différence de nature, mais de degré ». Certains poussent la « logique » jusqu’à faire sauter des statues de Bouddha millénaires ou des gratte-ciel, d’autres se contentent de terroriser les beurettes de banlieue et de caillasser la police en hurlant « vive Ben Laden ! » D’ailleurs Benslama récuse complètement le terme « islamisme », et je suis tenté de le suivre. Le problème est qu’il n’a pas trouvé d’autres mots pour le remplacer.

L’islam est une idéologie et non une religion

En résumé l’islam c’est une idéologie et non une religion, fabriquée par un (ou sans doute plusieurs) bédouins chefs de guerre pour leurs besoins militaires, politiques et familiaux (et sans doute sur une période qui dépasse le vivant de Mahomet). Il y a des versets dans le Coran qui sont révélés juste au bon moment pour « arranger le coup » à Mahomet, par exemple pour prendre la femme de son propre fils Zaib contre toute morale, même à l’époque.

Si le calendrier lunaire musulman se décale par rapport au cycle des saisons à cause de l’absence des « mois surnuméraires » qu’on retrouve dans tous les calendriers lunaires du monde, c’est parce qu’un jour ça a arrangé Mahomet de faire supprimer un mois surnuméraire – pendant lequel on devait respecter la trêve des combats – afin de finir une bataille en cours.

L’islam est une idéologie totalitaire, débile, primaire et violente, et non une « religion » au sens commun du terme. Pour citer Jack-Alain Léger dans son livre « Tartuffe fait Ramadan » quand il répond à l’accusation stupide d’islamophobie, l’islam est « athéophobe, éleuthériophobe, apostasiophobe, gynophobe, homophobe, judéophobe, hétérophobe, exogamophobe, érotophobe, hédonophobe, eidolophobe, oenophobe, et j’en passe ».

Pour faire plus simple, Michel Houellebecq dit : « la religion la plus con, c’est quand même l’islam ». Cependant, cette assertion lapidaire (et non lapidatoire) oublie un aspect capital de l’islam : il n’est pas seulement bête, mais en plus méchant.

Un « musulman modéré », c’est soit un apostat qui n’ose pas le dire, soit un croyant qui ne respecte pas complètement sa religion (et tant mieux pour lui et nous), soit un mixte des deux. Et ils sont légions, ces « nés musulmans » qui ne le sont plus que par tradition, par suivisme, ou tout simplement par peur du qu’en dira-t-on, avec une croyance en Allah plus ou moins bricolée.

Selon des auteurs comme Abdelhak Serhane ou Karim Labidi, ils vivent dans une espèce de schizophrénie plus ou moins enfouie, entre islam et modernité. Il n’y a que trois portes de sorties : l’apostasie d’un côté, et le jihad de l’autre. La troisième est l’hôpital psychiatrique, où curieusement on rencontre de plus en plus de jeunes musulmanes. Etrange, non ?

Mais un « bon musulman », je veux dire un musulman appliquant l’islam, est jihadiste. Après, il y a des jihads violents (les terroristes), et les jihads plus sournois (Tariq Ramadan, UOIF), le but final étant – et c’est également un commandement coranique – de convertir à l’idéologie mahométane tous les êtres humains, de gré ou de force.

Mes livres d’Histoire des religions prévoyaient la mort lente de l’islam au milieu du siècle passé. Mais pour des raisons conjoncturelles trop longues à détailler, il a eu un regain depuis une trentaine d’année (principalement pour des raisons purement démographiques), et évidemment des chefs de guerre ont relancé les différentes formes de jihad partout dans le monde, puisque le jihad est fondamental dans l’islam. »

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Cet article a été publié à l’origine en 2007 sur le site Bafweb. Le texte provient d’un forum où un intervenant  faisait cette remarquable synthèse. Nous la soumettons de nouveau à votre appréciation.


Source: http://tinyurl.com/28ujx7v

26/09/2010

Intoxication mentale: la preuve par l’image…

Vous pourrez voir ci dessous la motivation de ces islamistes intégristes que l’ ON a bien remontés à bloc avec une propagande fort bien dirigée. Et l’on s’étonne que ces gens bavent leur haine sur nous…Et dire que ces gens, nous les croisons tous les jours. Avez vous déjà vu leur regard? Prêtez y attention… Cela ne vous étonnera plus… Restez assis et mettez vous en mémoire cette vidéo

FDF

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Islam : une religion bonne pour la poubelle

25/09/2010

2010: le code de l’humour. Approuvé par l’intégrisme musulman…

Sans commentaires mais fortement d’actualité…

FDF

12/09/2010

The Ramadan Brothers Circus…

Ahhhhhhhhhh, les frères Ramadan, élite des intellectuels intégristes auto-proclamés… Foutez nous ça hors Occident! Et vite! Qu’ils aillent prêcher leur haine anti-Europe ailleurs, et vite!!!

Mon blog est surveillé par nos « hautes autorités », mais j’arrive à m’en sortir (pour l’instant… Les roues de secours, ça a le mérite d’encore être accessibles…). Je me permets de dire des vérités (vous l’avez remarqué..) pas toujours bonnes à entendre ou à lire et surtout à diffuser. La censure ne devrait pas tarder à frapper… Les visites des-dites « hautes autorités » se faisant de plus en plus fréquentes… Mais pour l’instant, j’en profite… Profitez-en aussi. De toutes façons, le Phénix renait toujours de ses cendres. C’est prévu… Le « Phénix » est très présomptueux… Puisse ma modeste contribution servir d’avertissements…

A propos de blog, ceux des frères Ramadan ne le sont pas, censurés; et pourtant…. La préférence non-Occidentale bat son plein. Ecoeurant!


FDF

C’est de bonne guerre: les frères Ramadan s’en donnent évidemment à cœur joie après la votation des Suisses sur les minarets.

Ce qui m’embête un peu, en tant que pseudo-intellectuel, ce n’est pas tant leur pensée unique (démentie d’ailleurs par Tariq Ramadan qui s’est fait une spécialité de dire tout et le contraire de tout dans tous les débats où il est convié, et cela jusque devant une commission de l’Assemblée nationale française où il était invité à s’exprimer sur la burqa), mais plutôt leur pensée unilatérale que je peux facilement résumer ainsi: « Tout ce qui est musulman est bien, tout le reste est à jeter ».

Ces belles rhétoriques peuvent être résumées ainsi:

Tous ces derniers jours, Hani Ramadan nous livre sur son blog des témoignages venus de tous les horizons – jeunes, moins jeunes, femmes, hommes, musulmans, chrétiens, Suisses – qui condamnent unanimement la Suisse, l’UDC, Oskar Freysinger, les crétins suisses en général et les crétins appenzellois en particulier, bref toutes celles et ceux qui ont voté en faveur de l’interdiction de construire des minarets.

J’ai essayé à deux reprises – sans succès – de poster un commentaire sur son blog pour expliquer qu’il fallait peut-être aussi chercher les raisons de ce résultat si navrant pour les culs-bénits et les bien-pensants dans les comportements quelque peu discutables de Muammar Al Islam Kadhafi et de son clan, ainsi que dans les activités terroristes des islamistes intégristes: chaque bombe, chaque attentat a bien dû apporter quelques milliers de OUI à l’initiative contre les minarets.

Cela il semblerait que personne – et surtout pas les frères Ramadan – ne veut le voir.

Tout ce cirque serait finalement très amusant s’il ne servait à creuser davantage le fossé entre gens de bonne foi prêchant la liberté de culte et la tolérance, et cyniques cherchant à mettre à profit cette situation pour nous diviser davantage.

Source: http://tinyurl.com/37wyu32


07/09/2010

Idéologie politique mondiale de l’islamisme…

07 08 2010

Ce sont vraiment des tarés… Encore une preuve. De tolérance, qu’elle est, cette « religion »…

FDF

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Un groupe musulman demande à l’armée de refuser le statut d’objecteur de conscience réclamé par un GI musulman

Ce soldat est un « traître » et un « lâche », selon le Dr Zuhdi Jasser, ancien commandant de la marine américaine et fondateur de l’American Islamic Forum for Democracy.

Abdo

Lire aussi :  Un ayatollah influent dit que les musulmans ne sont pas autorisés à servir dans l’armée des infidèles

L’islam n’autorise pas le respect pour un hymne ou un drapeau national

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Une organisation musulmane américaine demande à l’armée des États-Unis de refuser d’accorder le statut d’objecteur de conscience réclamé par un soldat musulman, qu’elle accuse de trahison, et demande qu’il soit puni dans toute la mesure prévue au Code unifié de justice militaire.

Naser Abdo, un fantassin de 20 ans qui a joint l’armée il y a un an, a revendiqué le statut d’objecteur de conscience en juin pour motif d’incompatibilité entre sa foi et le service militaire. «En tant que musulman, nous nous élevons contre l’injustice et la discrimination, et j’estime qu’il est de mon devoir en tant qu’individu de le faire», a déclaré Abdo à FoxNews.com. L’armée a reporté son déploiement prévu en  Afghanistan.

Mais l’American Islamic Forum for Democracy (AIFD) affirme que les prétentions d’Abdo  sont «manifestement fausses». Le Dr M. Zuhdi Jasser, président de l’AIFD, a déclaré: «Le comportement d’Abdo est un affront à tous les musulmans américains qui ont fièrement porté l’uniforme de l’armée des États-Unis. Ses affirmations ne se fondent pas sur les enseignements islamiques mais sur une vile adhésion à l’idéologie politique mondiale de l’islamisme qui menace notre sécurité et radicalise notre jeunesse musulmane.»

Abdo prétend qu’en plus d’entrer en conflit avec ses croyances religieuses, ses devoirs militaires occupent tout son temps et interfèrent avec ses obligations religieuses. «Je savais que si j’allais en Afghanistan et que, Allah m’en préserve, quelque chose devait m’arriver, ma foi était si faible que je ne serais pas admis au paradis», a-t-dit.

Vendredi, l’AIFD a toutefois déclaré que les prétentions d’Abdo contredisent l’expérience religieuse de la grande majorité des soldats musulmans-américains qui ont trouvé le temps d’accomplir leurs rituels religieux, et a qualifié ses prétentions de lâche tentative d’instrumentaliser sa foi à des fins politiques.

«Les critères fixés par l’armée pour le statut d’objecteur de conscience sont extrêmement clairs, de sorte que les soldats, les matelots et les Marines ne peuvent abuser du système et échapper à leur responsabilité militaire», a déclaré Jasser, un ancien commandant de la marine US.

L’AIFD espère que l’armée rejettera la demande d’Abdo et le punira dans toute la mesure prévue au Code unifié de justice militaire. Le groupe demande également que d’autres organisations musulmanes américaines déclarent haut et fort qu’aucun Américain musulman loyal ne devrait revendiquer le statut d’objecteur de conscience.

Source : Islamic Group Asks Army to Deny ‘Traitor’ GI’s Request for Conscientious Objector Status, FoxNews, 2 septembre 2010. Traduction partielle

24/08/2010

Le ramadan, c’est de l’intégrisme… Ce ne sont pas les marocains qui diront le contraire…

En ce quatorzième jour du ramada, j’invite ceux qui sont peu férus en la matière à visionner la vidéo ci-après. Un exemple parmi tant d’autres: au Maroc, ce n’est pas le mois du jeûne, c’est le mois de l’intégrisme à outrance et de la suspicion… Certains marocains jouent même le jeu de la police islamiste afin de dénoncer celles et ceux qui ne se plient pas à la règle… Dingue. Pour une « religion » d’amour, de paix et j’en passe. Tiens,  je vais aller m’enfiler un jambon-beurre.

FDF

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Lire: http://www.dailymotion.com/video/xeji9j_maroc-pas-facile-de-ne-pas-faire-le_news

Ci-dessous, une affiche posée sur la devanture d’un Mac’Do au Maroc…

10/05/2010

Fête des mères, fête des pères: interdit en islam! C’est Allah qui l’a dit, alors…

On n’en attendait pas moins de la religion d’amour, de paix et de tolérance. Lisez le texte ci-dessous piqué chez http://tinyurl.com/33kcpvz

Quand on sait comment les musulmans traitent la gente féminine…  « Niktamère », que « certains » disent… Allez comprendre… Et ne rigolez pas trop fort des phrases en vert (pas en vers…), ce sont des incantations à Momo…

FDF

Le jugement de la fête des mères et des pères en Islam!!

9/5/2010

« L’article parle de la fête des mères mais c’est la même choses pour la fête des pères.

As-Salâmu ‘alaykoum wa rahmatoullahi wa barakatouh. Bismillâhi r-Rahmâni r-Rahîm. Louange à Allah le Seigneur de l’Univers ! Que le Salut et les Prières d’Allah soient sur le maître des premières et des dernières générations, notre maître et notre Prophète Mouhammad, ainsi que sur sa famille, ses Compagnons, et tous ceux qui suivent leur voie et qui s’accrochent à leur tradition jusqu’au Jour du Jugement Dernier ! Voici un article publié sur le site Sunna.com par le frère Abou Abdillah (Hafidhahullahou ta’ala  wa jazahullahu khayran) concernant la fête des mères et son jugement en Islam. Il est clair qu’une telle fête par à l’origine d’une bonne intention mais celà ne suffit pas. Puisqu’il est bon de savoir qu’en Islam pour qu’un acte sois accepté d’Allah subhanna wa ta’ala et bien il ne suffit pas seulement qu’on ai une bonne intention « niya»  en effet il faut également que l’acte qu’on veut pratiquer sois légiféré dans Le Qur’an Al-Karîm et la Sunnah Authentique. Je vous laisse donc lire l’article ci-dessous.

« Nous avons jugé opportun de faire connaître à l’ensemble de nos frères et soeurs une fatwa importante ayant trait à ce qui s’appelle « la fête des mères» . Est-elle légiférée ? Même si cela part d’une très bonne intention, est-ce suffisant pour que cet acte soit accepté auprès d’Allah ? Enfin, nos mères, qu’Allah les préserve, ne méritent-elles pas plus de considération que ce simple jour de fête qui n’a rien à voir avec notre religion ? La Louange est à Allah, il nous a été ordonné d’être obéissants envers nos parents et en particulier envers nos mères. Il ne s’agit pas de lui faire plaisir un jour et de l’oublier une fois ce jour passé. Certaines personnes, qu’Allah nous en préserve, leur rendent visite qu’à ces occasions innovées (fêtes des mères, de Noël, anniversaires et autres) puis c’est tout. Sans parler des maisons de retraîte !. Est-ce celà le message de l’Islam ? Bien sûr que non, au contraire. Pour terminer cette introduction, nous allons évoquer un hadith de notre prophète, sala Allah ’alayhi wa salam, qui met en évidence la place de la mère en Islam, celle qui nous a enfantés dans la douleur, qui ne dormait pas quand nous ne dormions pas, qui ne mangeait pas quand nous ne mangions pas, qui nous préservait quand nous ne la préservions pas, qui nous protégeait quand nous ne la protégions pas, qui s’inquiétait quand nous nous inquiétions pas d’elles, qui, qui…, la liste est longue tant son amour pour nous est indéfini par la grâce d’Allah. Qu’Allah nous pardonne notre mauvais comportement envers elles, ne serait-ce un « ouf»  ou un visage triste en face d’elles, qu’Il leur récompense de la meilleure des récompenses :

« Un homme vint chez le prophète, صلى الله عليه وسلم, et lui demanda :
– « Ô messager d’Allah, quelle est la personne qui mérite le plus ma bonne compagnie ?»
– »  ta mère »
– »  ensuite, qui ? »
– »  ta mère »
– »  ensuite, qui ? »
– »  ta mère »
– »  ensuite, qui ? »
– »  ton père »  »

Voici la question qui a été posée à Cheikh Al-Uthaymîn, qu’Allah lui fasse miséricorde, lisons ce qu’il répondit et Allah est le détenteur du succès :

Question :

Quel est le statut religieux en ce qui concerne « la fête des mères»  ?

Réponse  :

Certes, toutes les fêtes qui ne sont pas en conformité avec les fêtes légiférées par Allah relèvent des fêtes innovées. Elles n’étaient pas connues à l’époque de nos pieux prédécesseurs (As-salaf Assâlih).
Il se peut même que leurs origines proviennent des non-musulmans, auquel cas viendrait s’y ajouter l’innovation de la volonté de ressembler aux ennemis d’Allah, Exalté soit-Il.
Les fêtes légiférées par Allah sont connues auprès des gens de l’Islam :

1. « ’idu-l-fitr » (fête suivant la fin du mois de ramadhan).
2. «
’idu-l-adha » (jour du sacrifice de la bête).
3. «
’idu-l-ousbou’ » (fête hebdomadaire soit le vendredi).

et en dehors de ces trois fêtes-là, il n’exite aucune autre fête.

Toutes les fêtes innovées en dehors de ces fêtes-là sont donc rejetées à la face de celui qui les a initiées et n’ont aucune valeur (fausses) dans la religion d’Allah, Exalté soit-Il, conformément à la parole du prophète, صلى الله عليه وسلم : « Celui qui a initié un acte innové ne faisant pas partie de notre religion est rejeté»  [1], rejeté signifiant non accepté auprès d’Allah et dans une autre version : « Celui qui fait un acte ne faisant pas partie de notre religion est rejeté» .

Suite à celà, il est donc interdit de célébrer la fête qui est mentionnée dans la question, à savoir la fête des mères. Il n’y est pas autorisé d’exprimer des sensations propres aux fêtes, tels que la joie, le fait d’offrir des cadeaux et tout ce qui ressemble à celà.
Il est obligatoire à tout musulman d’être fier de sa religion, et de s’arrêter aux limites qu’Allah, le Très-Haut, ainsi que Son messager, صلى الله عليه وسلم, lui ont fixées. Rien ne doit être ajouté, ni enlevé dans cette noble religion qui est agréee auprès d’Allah, le Très-Haut. Il est également du devoir de tout musulman de ne pas se comporter comme une girouette qui se dirige en fonction du vent comme il est de son devoir de former sa propre personnalité en fonction de ce qu’implique la religion d’Allah, le Très-Haut, de sorte qu’il soit suivi et non pas un suiveur, qu’il soit un exemple et non pas un imitateur car la religion d’Allah, et la louange est à Lui, est parfaite à tous les égards.
Allah, Exalté soit-I
l, nous dit dans le Coran :

« Aujourd’hui, j’ai parachevé pour vous votre religion et accompli sur vous Mon bienfait. Et j’agrée l’Islam comme religion pour vous » [2].

S’il y a une personne qui mérite qu’on lui accorde plus qu’un seul jour de fête dans l’année, c’est bien la mère. Plus encore, les mères ont des droits sur leurs enfants, notamment le fait qu’ils doivent prendre soin d’elles, se préoccuper d’elles et de leur obéir quand ceci ne mène pas à la désobéissance à Allah, et ceci quelque soient le temps ou le lieu.

Source : Fatawa arkân al-islâm, Question 90, Page 174.
Auteur : Sheikh Al-’Uthaimîn ; qu’Allah lui fasse miséricorde.
Traduction : Abou Abdillah.
Notes :
[1] Bukhâri, 1297
[2] Sourate Al-Mâidah, verset 3″