Francaisdefrance's Blog

16/12/2011

Non au blasphème: les catholiques sont de retour !

En général, le blasphème dénoncé à outrance est une spécialité musulmane, comme le couscous. On s’offusque, on condamne, on chiale, on se sent « heurté » au moindre tag sur le mur d’enceinte d’une mosquée et les élus du coin viennent faire un petit tour sur les lieux du « crime », histoire de récupérer quelques voix. Les caricatures du « prophète » sont punies de mort, souvent, et font l’objet de fatwas.

En revanche, les blasphèmes anti-chrétiens sont beaucoup moins médiatisés. Et pourtant, ils sont légions. Alors, les catholiques prennent les choses en main pacifiquement; eux-même… La chrétienté a le droit aussi de se sentir « heurtée »; surtout sur ses terres…

FDF

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« Je ne suis pas croyant, ce n’est pas mon affaire », direz-vous? Erreur!  Outrager le Christ, couvrir son image d’excréments comme cela se passe désormais en plein Paris, dans des spectacles dits « culturels » subventionnés avec nos impôts, est intolérable.
Les catholiques fidèles à la tradition rejoignent enfin les « indignés » de la bonne cause, celle de la France et de l’Occident, contre la décadence de nos valeurs. 
L’inquiétude, qui est le commencement de la sagesse, commence à gagner la classe politique. Enfonçons le clou!

Institut Civitas
17, rue des Chasseurs – 95100 Argenteuil
01.34.11.16.94 – secretariat@civitas-institut.com
www.civitas-institut.com – www.francejeunessecivitas.com


La marche organisée dimanche dernier par l’Institut Civitas a rencontré un vif succès. Près de sept mille catholiques ont eu à cœur de faire passer un message à leurs élus et compatriotes en affirmant leur volonté de ne plus voir l’image de Dieu traitée de la manière la plus ordurière qui soit. Quelle découverte pour les journalistes que cette foule jeune, porteuse d’espérance, décidée à ne pas déserter le débat dans les mois qui viennent. L’automne catholique est devenu une réalité.

Cette détermination à faire entendre la voix catholique porte des fruits immédiats. Ce sont aujourd’hui 60 députés qui se rangent derrière une déclaration condamnant la christianophobie et faisant explicitement référence à nos manifestations. Et ce sont encore d’autres élus qui s’ajoutent pour remettre en cause les subventions publiques accordées au Théâtre du Rond-Point qui accueille « Golgota picnic ».

Bien sûr, les sources d’inquiétudes restent nombreuses. Noël est déchristianisé, les églises sont abandonnées, les institutions sont paganisées,… Mais, désormais, il faudra compter avec nous, les catholiques. Nous ne manquerons pas, dans les prochaines semaines, de nous organiser avec votre aide pour que 2012 soit l’année du réveil catholique.

Entretemps, je fixe rendez-vous à ceux qui le peuvent ce samedi 17 décembre à 20h, à Paris, à l’angle de l’avenue Franklin Roosevelt et de la rue Jean Goujon (métro : Alma/Marceau) pour le dernier rassemblement devant le Théâtre du Rond-Point. Jusqu’au dernier moment, nous aurons à cœur de venir réparer publiquement le blasphème promu sur cette scène.

Alain Escada, secrétaire général de l’Institut Civitas

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Les vidéos de la manifestation contre la christianophobie du 11 décembre :

jeunesse militante : http://fr.gloria.tv/?media=228486

FX Peron, représentant de Civitas à l’émission « Ce soir ou jamais »

Signez la pétition www.defendonslechrist.org Plus de 40.000 signataires !

30/05/2011

Le « printemps français » montre son nez…

Je m’interroge. Ceux du « printemps arabe » vont toucher des milliards d’euros. Et nous?

FDF

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Nouveau rassemblement à Paris en solidarité avec les « indignés » espagnols

Un millier de jeunes, selon la police et les organisateurs, se sont rassemblés dimanche place de la Bastille à Paris pour protester, sur le modèle des « indignés » espagnols, contre « le chômage, la précarité et la corruption », ainsi que contre les « dérives de la démocratie« .

Alors qu’une grande banderole portant « démocratie réelle maintenant » est déployée au dessus des marches de l’Opéra-Bastille, une autre déposée sur le parvis proclame « Paris, réveille-toi », formant du même coup une sorte de no man’s land entouré par des jeunes écoutant les orateurs.

Des slogans comme « Paris debout, soulève-toi » ont été scandés par les manifestants sous la surveillance discrète des forces de l’ordre à quelques mètres de la place.

Les manifestants brandissaient également des pancartes invitant la population au soulèvement comme « Mai 1968 demandait l’impossible, mai 2011 réalisera l’impossible » ou encore « Le peuple uni, jamais il ne sera vaincu ».

« Il faut changer les structures économiques pour un meilleur partage des ressources mondiales, car si on continue comme ça dans l’injustice et dans la misère, ça risque de mal se terminer », a averti Chantal Piganau, une enseignante venue manifester pour la « Faim de vivre en paix ».

« Le souverain c’est vous, ce n’est pas les élus qui adoptent les directives européennes sans se poser de questions, encore moins les dirigeants de la BCE (Banque centrale européenne, ndlr) et du FMI que personne n’a élus », a lancé sous un tonnerre d’applaudissements Céline Meneses, venue d’Espagne pour soutenir le mouvement.

La mobilisation parisienne a débuté le 19 mai faisant écho au mouvement de contestation spontané, né le 15 mai à la Puerta del Sol à Madrid, les jeunes Espagnols exprimant leur ras-le-bol face à la crise économique et au chômage, qui touche près de la moitié de 25 ans.

A Toulouse, une trentaine de personnes et une douzaine de tentes ont assuré la permanence des « indignés » toulousains place du Capitole avant de tenir une assemblée générale en début de soirée comme ils le font régulièrement tous les soirs depuis une semaine.

A Bayonne, sur la côte basque, une centaine de personnes, essentiellement des jeunes, ont continué dimanche d’animer un « village des indignés » installé depuis mercredi sur un terrain public au bord de la Nive.

Une trentaine de tentes ont été plantées autour d’une yourte collective, et une vingtaine de camping cars sont installés sur cette place publique, située en face des bâtiments du conseil général, sans susciter d’incidents.

Des grands panneaux ont été dressés aux abords du « village » : « On a tous des raisons de s’indigner…. rejoignez-nous », « L’oligarchie ça suffit, vive la démocratie ».

Source: http://www.ladepeche.fr/