Francaisdefrance's Blog

08/03/2012

(Journée de la femme). Espagne: Un imam appelle à corriger les femmes “déviantes”…

Tarés; de plus en plus tarés… De plus en plus dégénérés, même…

FDF

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Dessin: Bergolix

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Un imam de Terrassa près de Barcelone sous le coup d’une enquête pour incitation présumée à la violence sur des femmes. L’homme conseillait à ses fidèles de corriger par des violences physiques ou psychologiques les conduites qu’il estimait déviantes de leurs épouses. Selon la police espagnole et plusieurs témoignages concordants, l’imam expliquait même la manière dont il fallait frapper les femmes ou les enfermer à la maison.

Selon la police, chaque vendredi, quelque 1.500 personnes assistent aux prêches de cet imam à Terrassa, une ville de 200.000 habitants. Cette région du nord-est de l’Espagne abrite une importante communauté musulmane.

Source et vidéo: http://fr.euronews.com/2012/03/06/un-imam-appelle-a-corriger-les-femmes-deviantes/

10/02/2012

Les chochottes de l’islam…

Ils ont l’air fin, les grands maîtres de l’islam des bacs à sable… Une menace de Guéant et hop, on chiale. De toutes façons, ces gens là chialent tout le temps…

Voilà un imam des plus courageux. Il va peut-être se convertir au christianisme?

Je vais lui apporter un sandwich, pour lui redonner du courage. Un jambon-beurre, sans doute… Allez-y aussi. Il sera content de voir qu’il a encore des amis.

FDF

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Expulsable, l’imam de la mosquée Omar hospitalisé

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Mohamed Hammami, 76 ans, l’imam tunisien de la mosquée de la rue Jean-Pierre-Timbaud (XIe), visé par une procédure d’expulsion, est à l’hôpital. « Les accusations du ministère de l’Intérieur lui ont causé un choc psychologique et physique », a expliqué…

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Un valium, peut être ?

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Source: http://www.leparisien.fr/

16/01/2012

Prison à vie pour un imam terroriste aux USA.

Il ne faut pas dire du mal de l’islam. Mais on peut raconter à quoi il conduit ses adeptes…

Ce n’est même pas « on peut », c’est « on doit »… N’en plaise à Obama et à l’Union Européenne (voir précédent billet).

FDF

Au nom de l’islam, on tue; toujours et encore…

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ET ON VOUDRAIT NOUS FAIRE GOBER QUE L’ISLAM   EST UNE RELIGION DE PAIX  ?????

DITES VOUS BIEN UNE  FOIS POUR TOUTES  QUE CETTE DOCTRINE  POLITIQUE DE HAINE  PRÉSENTÉE SOUS FORME DE RELIGION  DITE « ISLAM »  NE CHERCHE QUE L’INVASION et  LA DESTRUCTION DE TOUS CEUX QUI NE SONT PAS MUSULMANS, sans aucune exception. Ce n’est  pas une religion, mais une doctrine politique de conquêtes et de meurtres.

C ‘EST DE CA  QUE VOUS VOULEZ POUR CHEZ NOUS ????       si oui  VOTEZ UMPSVerts

JC JC…

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Un imam a été condamné à la prison à vie pour  un complot  à la bombe  incendiaire qui avait échoué à  aéroport John F. Kennedy en 2007 en faisant exploser les fournitures de carburant à jet avec l’aide d’un célèbre membre  Al-Qaïda expert en explosifs.


Un imam du Guyana a été condamné vendredi à New York à la réclusion à perpétuité, pour avoir participé à un complot terroriste.

Après un procès de quatre semaines, Kareem Ibrahim, 65 ans, avait été reconnu coupable en mai dernier de complot visant notamment à attaquer un système de transport, à détruire un bâtiment, des avions, et les installations d’un aéroport international, avec trois complices, qui ont tous été arrêtés et condamnés avant lui. Sa condamnation a été annoncée vendredi par le procureur Loretta Lynch dans un communiqué.

«Il avait abandonné les principes de sa religion et comploté pour commettre une attaque terroriste dont il espérait qu’elle pourrait rivaliser avec le 11-Septembre» a commenté Mme Lynch. «Mais la police a déjoué le complot et sauvé des vies».

Egalement connu sous les noms de «Amir Kareem» et «Winston Kingston», Kareem Ibrahim, leader de la communauté chiite à Trinidad et Tobago, selon les autorités judiciaires américaines, avait apporté un soutien et une instruction religieuse à ses trois complices pour préparer cet attentat.

Source: http://www.dailymail.co.uk/

08/01/2012

Tabous…

La force des « tabous » est de mettre celui qui en parle dans la situation d’un criminel (donc punissable par la loi). L’autre est de taire certains comportements et dérives que le peuple n’apprécierait pas forcément de savoir; surtout en périodes électorales et en plein « pressage de citrons »…

FDF

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Quelques sujets tabous en France (par Maurice D.)

Il y a bien des sujets tabous en France.

Celui de la place de l’immigration dans la faillite de l’Etat français en est un.

Le quasi-tabou des revenus réels de certains « pipol » exilés fiscaux et apôtres de la bien-pensance

Le tabou des revenus de la classe politique

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Le tabou de l’immigration et de la faillite de l’état

Par exemple, dire que 40 % des imams qui prêchent en arabe la haine raciale, religieuse et culturelle dans les mosquées françaises sont en réalité des fonctionnaires payés par les impôts des « souchiens » peut valoir des poursuites judiciaires initiées par la Ligue des Droits de l’Homme, la LICRA et le MRAP.

 

En réalité, dans cette affirmation seule l’appellation « fonctionnaires » pourrait prêter à dénégation. Les imams  ne bénéficient pas du statut de la fonction publique. C’est un fait. Mais ils en ont toutes les caractéristiques : ils sont et seront subventionnés à vie par les allocations qu’ils cumulent : chômage, familiales, logement, etc. alors qu’ils n’ont aucune intention de chercher un emploi. De plus, ils perçoivent l’impôt religieux, le zakat, payé par les fidèles musulmans plus, quand ils en ont l’opportunité, l’impôt halal, sans que les contribuables français soient informés de la manière dont ces deux sources de revenus sont déclarées au fisc ni s’il existe le moindre contrôle des services fiscaux pour vérifier l’exactitude des revenus déclarés.

 

Le quasi-tabou des revenus réels de certains « pipol » exilés fiscaux et apôtres de la bien-pensance

Cela dit, les revenus de certaines catégories sociales sont tout aussi tabous bien que paraissent deci-delà des études classant les artistes ou les sportifs par ordre de revenu décroissant.

On apprend ainsi que tel ou telle qui donne des leçons de morale aux Français sur la situation des SDF ou des immigrés gagne 3 ou 4 millions par an et réside fiscalement en Suisse ou aux Etats-Unis. Que tel autre, au même niveau de revenu, touche, en sus, les allocations chômage des intermittents du spectacle dès qu’il se trouve ou repos entre deux tournages de films.


Les revenus des sportifs sont mieux connus, mais néanmoins avec des petits secrets. La presse nous dit bien que David Beckam aurait touché 800 000 euros par mois au PSG s’il y était entré, sans préciser que ce salaire aurait été mineur dans son revenu annuel global qui est de 30,6 millions d’euros.


Anelka gagne en Chine plus d’un million d’euros par mois, un pays où le salaire moyen d’un cadre diplômé d’une grande école est de 250 euros et celui d’un ouvrier agricole de 35 euros.
Carlo Ancelotti, le nouvel entraîneur touchera entre 6 et 7 millions par an, ce qui paraît énorme, mais reste loin derrière les 13, 5 millions de l’entraîneur du Real Madrid, José Mourinho. Mieux cependant que les trois millions que touchait Antoine Kombouaré qui devrait se contenter de 4 millions d’euros d’indemnité de licenciement.


Convenons que ces revenus mirobolants rémunèrent un certain talent, ils n’en restent pas moins absolument scandaleux. Qu’un gamin de 24 ans touche 300 000 euros/mois est choquant, quelle que soit sa capacité à courir en short derrière un ballon. D’autant, d’une part, qu’ils sont souvent fiscalisés hors de France (combien de joueurs de l’équipe de France, tous multi-millionnaires, paient leurs impôts en France ?), d’autre part que les clubs qui les rémunèrent sont la plupart du temps dans des situations financières catastrophiques et doivent être subventionnés par les communes qui les hébergent quand ce n’est pas par l’Etat.

 

Le tabou des revenus de la classe politique

Tabou aussi sur les revenus de la classe politique en France. Jean d’Ormesson déclare qu’il serait démagogique de réclamer une baisse des rémunérations des politiciens, Jean-Marie Le Pen lui-même n’ayant pas été jusque-là.

Plusieurs pays en crise, et parfois moins que nous, l’ont pourtant fait, le record venant d’être battu par Singapour qui a réduit le salaire de son Président de 51%, celui du Premier ministre de 36% et celui des ministres de 37%.


Pas question de réduire les salaires des élus en France a déclaré Jean-François Copé qui pense  qu’à moins de 5 000 euros par mois il ne resterait plus « que des minables » pour briguer une fonction élective. Moi qui pensais que les candidats à une fonction élective l’étaient par souci du bien public et non pour le fric, je suis bien déçu. Admettons que l’on ne touche pas aux salaires nominaux des députés, députés européens, sénateurs et ministres. Avec les exonérations fiscales et les multiples avantages en nature (transports gratuits, personnel, prêts à 0%, etc.) qui vont avec, ces salaires resteraient confortables, largement supérieurs à 5 000 euros/mois et donc recherchés par les meilleurs. D’autant plus que la plupart des élus sont fonctionnaires et peuvent cumuler les avantages de la fonction publique avec ceux du statut électif, ce qui n’est pas (une injustice de plus) possible aux élus venant du secteur privé.

 

Pourquoi, au minimum, ne pas interdire les cumuls de salaires et de pensions qui permettent souvent aux élus de dépasser les 15 000 euros/mois, voire d’atteindre les 30 000 ? 

Comme dans le cas de Mélenchon qui cumule une retraite de sénateur, une de député, une de la Sécu, un salaire de député européen, des indemnités de chef de parti, sans compter les revenus des placements fonciers et financiers que l’on peut aisément imaginer avec un tel revenu global de base.


Pourquoi les textes faisant obligation aux élus de déclarer leur patrimoine sont-ils aussi mal respectés ? Un seul d’entre vous, chers lecteurs, peut-il me donner le revenu réel de son député, de son député européen de son sénateur, de son président de Conseil général, de son maire ? Le plus simple serait de publier leurs déclarations d’impôt, mais ça !!!

J’ai essayé un jour d’obtenir communication de celle de Besancenot dont les revenus dépassaient sérieusement ceux d’un simple facteur, ce fut impossible. « Mais, Monsieur, me répondit une charmante jeune femme de la Direction des Services Fiscaux, les dossiers des personnalités politiques sont dans un coffre, seul le directeur peut décider de leur communication… et encore lui faudrait-il, je pense, une décision de justice et une autorisation signée du ministre ».


Et moi je persiste à croire qu’une personnalité qui est payée à vie et quoi qu’il lui arrive, depuis son entrée à l’ENA ou en politique, qui gagne de 100 à 400 000 euros par an, peut difficilement comprendre, sinon de façon purement virtuelle, les problèmes que rencontrent « les petites gens » comme on dit.

C’est bien pourquoi ceux-là sont tentés de voter aux extrêmes et de préférence à l’extrême droite bien que Marine Le Pen elle-même « habite un hôtel particulier » comme l’a aimablement rappelé cette langue de vipère de Peillon du PS dont j’aimerais aussi voir la déclaration fiscale, de même que celle de François Hollande dont on sait qu’il émarge à l’Impôt Sur la Fortune.

 

Courage, Messieurs, publiez-les de votre propre chef !

 

Parce que ce dont les Français se doutent, sans qu’aucun média ne les éclaire sur le sujet, c’est qu’alors qu’ils s’appauvrissent constamment (par augmentation permanente de leur charge fiscale) depuis trente ans, la tendance est inverse chez nos très chers élus qui sont les maîtres des augmentations salariales et des exonérations fiscales qu’ils se votent généreusement et généralement à l’unanimité, gauche et droite confondues.

La plus scandaleuse étant celle que fit voter Jean-louis Debré sur les parachutes en or des retraites des députés, juste avant de quitter le perchoir de l’Assemblée nationale.


Cette situation privilégiée est semblable aux Etats-Unis où la moitié (250/535) des membres du Congrès sont millionnaires. Le revenu médian des représentants et celui des sénateurs est de 705 000 €/an, dix fois plus élevé que celui des Américains dans leur ensemble (70 000 €).
Ces écarts de richesse entre élus et peuple peuvent passer inaperçus en période de croissance, que ce soit aux Etats-Unis ou en France. En période de crise, ils choquent.

 

Et d’autant plus quand ces millionnaires, comme Mélenchon ou Hollande, se prétendent de gauche, ce qu’ils ne seront jamais, là aussi, que de façon virtuelle.

 

Maurice D.

 source: http://minurne.blog4ever.com/

20/10/2011

Ebrahim Yusuf Kazi; profession: imam pédophile…

Depuis un certain temps, c’est haro sur les curés pédophiles! Mais des imams pédophiles, il en existe plein. Les adeptes de la « religion » de paix, d’amour et de tolérance se sentiraient  stigmatisés et heurtés si on en parlait…

FDF

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Imam pédophile! Cela change des curés! Silence radio en France!

Je propose, pour relancer l’économie et l’emploi des jeunes dans le 93, de créer une usine de caleçons en acier pour imams, avec cadenas, dont les clés seraient déposées dans un coffre-fort à l’association Ni putes, ni soumises! La finance islamique serait bienvenue pour sa participation au projet!

Danielle Moulins

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Ebrahim Yusuf Kazi: pédophile comme « le Prophète »…

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Lu dans Swindon advertiser du 15 octobre:

« Un pédophile qui a abusé trois filles quand il était un imam dans une mosquée du centre ville de Swindon a été condamné par un jury. Ebrahim Yusuf Kazi, 67 ans, a été reconnu coupable de cinq viols sur trois jeunes filles âgées de moins de 13 ans.

Les victimes ont été félicités par la police pour leur bravoure à venir témoigner, et une victime a dit qu’ elle viendra en face-à-face avec lui à la cour le mois prochain pour le voir condamné.

Les crimes de Kazi ont été révélé auprés d’une jeune victime contactée à Wiltshire police.

Aube Simmonds, le policier enquêteur, a déclaré : «Ebrahim Yusuf Kazi a été trouvé coupable de cinq chefs d’attentat à la pudeur sur trois jeunes filles âgées de moins de 13 ans. Les crimes ont eu lieu dans les années 1980 lorsque Kazi était l’imam à la mosquée, rue Broad à Swindon. En tant qu’ imam, Kazi était dans une position de responsabilité et de confiance, une position dont il a abusé . »Non seulement il a soumis ces enfants à ces actes méprisables mais il n’a montré aucun remords pour ses actes.Je voudrais saisir cette occasion pour remercier les victimes qui ont montré un grand courage en venant vers l’avant. Sans leur aide continue, ce procès n’aurait pas été possible. »

source

Merci à Gérard Brazon…

17/08/2011

Le « gentil » imam de Miramas…

Il est sûr qu’avec cette affaire d’un ado séquestré et violenté par sa famille pour non-respect du ramadan, la « religion » d’amour, de paix et de tolérance prend à nouveau un sacré coup dans la tronche. Pour mieux faire passer la pilule, on fait « parler » un imam… Qui « condamne »… Ces gens là aiment bien « condamner »; vous l’aviez remarqué, non ?

Mais là, ils « condamnent » des actes de violence commis par les leurs; moins évident. Ca ne doit pas être facile pour ce religieux…

FDF

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Religion de tolérance: la prière ou la raclée…

Deux jours après la découverte d’un adolescent séquestré par sa famille pour n’avoir pas respecté le jeûne du ramadan, l’imam de la mosquée de Miramas s’est confié à Europe 1.


La communauté musulmane de Miramas, dans les Bouches-du-Rhône, ne cautionne pas les actes commis par la famille de la victime. Interrogé par Europe 1, l’imam de la mosquée a en effet tenu à rappeler l’importance de la tolérance et de l’ouverture d’esprit, avant de condamner ces actes de violence. « Nous sommes dans un pays de droit, dans un pays de liberté où chacun peut vivre sa religion comme il l’entend. Certains prient, d’autres ne prient pas, certains jeûnent le mois du ramadan, d’autres ne jeûnent pas : ce n’est pas à nous de faire la loi », a-t-il ainsi déclaré. Alors la mère de l’adolescent a justifié ces violences par le fait que son fils est « turbulent », l’imam a assuré que « ce sont des faits condamnables ».

« Il fait des choses pas bien »

Découvert dimanche par les pompiers, l’adolescent s’est vu prescrire 15 jours d’incapacité temporaire totale (ITT) par le médecin de permanence qui l’a ausculté. Alors qu’il n’avait pas respecté le jeûne du ramadan, ce jeune homme de 17 ans a été séquestré et violenté par son frère aîné. Les secours l’ont ainsi trouvé avec les poignets et les chevilles entravés. Son corps présentait par ailleurs des traces de coups. Apparemment au courant de ce qui passait, la mère de la victime a indiqué à Europe 1 : « il ne fait pas d’études, il a arrêté l’école : il ne marche pas tout droit et fait des choses pas bien, il vend de la drogue », avant de conclure : « alors son frère l’a ramené à la maison, l’a attaché et l’a frappé ».

Ce sont des voisins, alertés par des gémissements, qui ont appelé les pompiers dimanche soir. D’origine algérienne, la famille de la victime est considérée comme « très stricte » par son voisinage.

Source: http://www.francesoir.fr/

14/03/2011

Montréal: l’imam Saïd Jaziri n’est pas au bout de ses peines…

Un imam voyageur; et sans tapis volant…

Il ont aussi de beaux spécimens, là-bas… Le pire est qu’il a laissé ses « empreintes » chez nous aussi. Gardez le, svp.

FDF

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Selon les documents produits en Cour, Saïd Jaziri... (Photo archives La Presse) 


Selon les documents produits en Cour, Saïd Jaziri a pris l’avion de Tunis vers l’Europe puis l’Amérique centrale avant de rejoindre la ville mexicaine de Tijuana. Il aurait versé 5000$ à un groupe de passeurs pour gagner les États-Unis en pleine nuit.

Photo archives La Presse

L’ex-imam montréalais Saïd Jaziri a été formellement accusé d’être entré illégalement sur le territoire américain, caché dans le coffre de la BMW d’un passeur. Toujours incarcéré, il est passible de jusqu’à six mois de prison ou d’une amende. Ces démêlés risquent de compliquer les démarches qu’il a entreprises pour obtenir le droit de revenir à Montréal.

Saïd Jaziri a été transféré à la fin du mois de janvier à la San Diego Correctional Facility, prison «privée» réservée aux hommes.

L’imam d’origine tunisienne, qui a longtemps prêché à la mosquée Al Qods, rue Bélanger, dans le quartier Villeray, n’est pas au bout de ses peines. Un de ses deux avocats, Me Wayne C. Mayer, a indiqué à La Presse qu’il était aussi détenu en tant que «témoin important» dans une cause «sous-jacente» d’immigration illégale. Or, poursuit Me Mayer, le processus judiciaire est suspendu au motif que l’un des deux défendeurs serait atteint «d’une souche hautement infectieuse de tuberculose».

«Quand ce défendeur sera autorisé par les médecins à venir témoigner – bientôt je l’espère -, je prévois qu’il plaidera coupable et que M. Jaziri sera probablement libéré.» Il faudra toutefois tenir compte de la peine qu’il devra éventuellement purger pour son entrée illégale en sol américain.

Il a été arrêté le 11 janvier dernier près de San Diego alors qu’il se trouvait dans le coffre d’une BMW. Selon les documents produits en Cour, il avait pris l’avion de Tunis vers l’Europe puis l’Amérique centrale avant de rejoindre la ville mexicaine de Tijuana. Il aurait versé 5000$ à un groupe de passeurs pour gagner les États-Unis en pleine nuit.

Requête au Canada

De leur côté, ses avocats montréalais, Mes Julius Grey et Simon Gruda, s’apprêtent à présenter une requête en Cour fédérale afin de faire casser la décision du ministère de l’Immigration, qui refuse d’accorder le pardon à leur client. Il est interdit de séjour à vie au Canada à la suite de son expulsion et devait donc obtenir la permission du ministre de l’Immigration pour pouvoir revenir. Mais les derniers démêlés de M. Jaziri aux États-Unis risquent de compliquer le dossier, craignent maintenant ses avocats.

Saïd Jaziri a été expulsé du Canada en octobre 2007 et renvoyé en Tunisie dans un avion privé affrété par le gouvernement canadien. Il a longtemps invoqué le risque de torture si on le renvoyait à Tunis. À peine débarqué en Tunisie, il a accusé les fonctionnaires canadiens qui l’escortaient de l’avoir torturé physiquement dans l’avion. Immigration Canada lui reprochait notamment d’avoir caché ses antécédents judiciaires en France. Saïd Jaziri avait en effet été condamné en août 1995 à huit mois de prison fermes par le tribunal correctionnel de Nice pour complicité de coups et blessures volontaires ainsi que dégradation de biens. Le président du tribunal l’avait même qualifié d’«intégriste» dans son jugement.

Jaziri a débarqué quelques mois plus tard à Montréal après un court séjour à Londres. Il a rapidement obtenu le statut de réfugié puis de résident permanent. Les choses se sont gâtées en 2005, lorsque le Canada a décidé de lui retirer son statut de résident permanent à cause de ses omissions sur son passé. Saïd Jaziri est connu pour ses prises de position controversées et ses propos enflammés. Il est marié avec une Québécoise et père d’un enfant né après son expulsion. Sa femme est vice-présidente de l’association coranique propriétaire de la mosquée Al Qods, lieu de culte évalué à 1,2 million de dollars par la Ville.

Source: http://www.cyberpresse.ca/

08/03/2011

Les muzz ont les pétoches…

Leurs imams aussi. Et ils ont raison de les avoir…

FDF

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Pétition d’imams contre le débat sur l’islam !

Brèves…

PAKISTAN
Les chrétiens du Pakistan ont observé trois jours de deuil après l’assassinat de Shahbaz Bhatti, le ministre des minorités religieuses. (Catho.be) Ce catholique, militant résolu de la liberté religieuse, est mort comme un « martyr » selon le cardinal Jean-Louis Tauran, en charge du dialogue interreligieux au Vatican, qui s’est dit très ému par la lecture d’un texte présenté comme son testament spirituel. « Je ne cherche pas la popularité, je ne veux pas de positions de pouvoir. Je veux seulement une place aux pieds de Jésus (…) Ce désir est si fort en moi que je me considérerai comme un privilégié si – dans mon effort et dans cette bataille qui est la mienne pour aider les nécessiteux, les pauvres, les chrétiens persécutés du Pakistan – Jésus voulait accepter le sacrifice de ma vie », écrivait Shahbaz Bhatti dans ce texte écrit en 2008.

> Pour le porte-parole du Vatican, le Père Federico Lombardi, la loi pakistanaise sur le blasphème « en soi, est vraiment un blasphème parce qu’elle est la cause, au nom de Dieu, d’injustice et de mort ». (Zenit.org)

> « Je demande au Seigneur Jésus que le bouleversant sacrifice de la vie du ministre pakistanais Shahbaz Bhatti réveille dans les consciences le courage et l’engagement à respecter la liberté religieuse de tous les hommes, et ainsi, de promouvoir une dignité égale pour tous », a déclaré le pape Benoît XVI lors de la prière de l’Angélus dimanche.

ISLAM
> Un collectif regroupant des personnalités musulmanes, dont le grand imam de Bordeaux Oubrou Tareq et le recteur de la mosquée de Villeurbanne Gaci Azzedine, lance une pétition contre le débat sur l’islam annoncé par l’UMP.

> « L’islam est compatible avec les lois de la République, à condition que les musulmans le veuillent » mais soulève des « difficultés objectives », a déclaré le cardinal Barbarin dans un entretien au journal Le Monde.

> La proposition de Jean-François Copé d’interdire les prêches en arabe pour les musulmans est absurde (l’arabe est la langue du Coran) et contraire aux droits fondamentaux, démontre le journaliste Henrik Lindell.

POLITIQUE
Reprochant à Nicolas Sarkozy de se contenter de beaux discours sur l’héritage chrétien et non d’actes concrets, Christine Boutin, présidente du Parti chrétien démocrate, a lancé une pétition pour la reconnaissance des racines chrétiennes de l’Europe. (via StreetPress.com)


BIOÉTHIQUE
Michel Onfray défend sa vision d’une « bioéthique libertaire » qui, si elle « n’a pas grand chose à voir avec le christianisme » s’oppose elle-aussi au « bébé-médicament« . « L’athée laïque que je suis, mais qui aime par-dessus tout les Lumières, ne choisit pas le camp de la laïcité quand elle est obscurantiste, mais celui des Lumières, fussent-elles chrétiennes », conclut le philosophe dans une tribune publiée dans Le Monde ce week-end.

Source: http://www.lavie.fr/

08/02/2011

Le chômage touche, aujourd’hui, tous les secteurs d’activités…

Tous? Ah bon… Voici qu’imam est devenu un métier. Et ces abrutis du Pôle Emploi marchent dans la combine… Ils doivent avoir peur de la discrimination à l’embauche, non? Mais ils ont oublié que cette offre d’emploi paraît au contraire tout à fait discriminatoire envers les autres demandeurs d’emploi. Elle n’a pas lieu de trouver sa place dans un organisme de l’Etat Républicain Français.

FDF

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Le 28 janvier dernier, le Pôle Emploi  de la ville de Brignoles publiait une offre d’emploi pour la fonction d’imam dans le secteur de Brignoles.
Offre proposée dans les normes exigées par cet office national et rédigée comme suit :
QUAND LA RELIGION INVESTIT L’ETAT

Afficher les critères Métier :

Animateur socioculturel / Animatrice socioculturelle

Lieu de travail : BRIGNOLES et dans un rayon de 10 kilomètres

Numéro d’offre 627159Z

Offre actualisée le 28/01/11

Animateur socioculturel / Animatrice socioculturelle
Métier du ROME K1206 – Intervention socioculturelle

ASSOCIATION  CULTUELLE  ET  CULTURELLE DE BRIGNOLES RECHERCHE SON IMAM POUR ASSURER LA TENUE DES 5 PRIERES QUOTIDIENNES. VOUS AUREZ AUSSI EN CHARGE L’APPRENTISSAGE DE LA LANGUE ARABE LITTÉRAIRE AUPRÈS DES ADHÉRENTS DE L’ASSOCIATION OU DES FIDÈLES.

Lieu de travail 83 – BRIGNOLES
Type de contrat CONTRAT A DUREE INDETERMINEE
Nature d’offre CONTRAT DE TRAVAIL
Expérience E XIGEE DE 3 ANS
Formation
Langues -Arabe Courant Exigé  – Français Courant Exigé
Permis
Connaissances bureautiques
Qualification EMPLOYE QUALIFIE
Salaire indicatif HORAIRE 9 Euros (59,04 F)
Durée hebdomadaire de travail 35H / HEBDO
Déplacements
Taille de l’entreprise0                       SALARIE
Secteur d’activité
PROMO.IMMOBILIERE DE LOGEMENTS

01/02/2011

Faut pas trop secouer l’imam…

Ce n’est pas un cocotier et je ne sais pas ce qui peut en tomber, si on le secoue trop fort. Mais celui de Mons, en Belgique, s’est fait atomiser par les siens… « Religion » d’amour, de paix, de tolérance…

FDF

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Un imam harcelé, malmené et empêché d’exercer sa fonction dans sa mosquée, a été admis à l’hôpital.

Résumé du communiqué de presse

Des fidèles de la mosquée Al Fath (rue du moulin n°20 à Flénu) et des mosquées et associations de la région de Mons condamnent l’incident ayant eu lieu au sein de la mosquée le 1er Janvier dernier. L’imam, pourtant nommé et reconnu par les autorités, a été malmené et bousculé alors qu’il s’apprêtait à diriger la prière qu’il n’a pu effectuer. Cet incident fait suite à celui d’aout dernier ou certains membres du comité de gestion l’avaient obligé à descendre de sa chaire lors de son prêche du vendredi. Suite à cet incident, l’imam a été admis à l’hôpital ou il est désormais en incapacité de travail. Des associations et des responsables de Mons et sa région appellent l’exécutif des musulmans de Belgique à prendre des sanctions et encouragent l’imam et ses fidèles à recourir à la voie judiciaire.

Texte du communiqué de presse

Nous avons pris connaissance de l’incident ayant eu lieu ce 1er janvier 2011 au sein de la mosquée Al Fath de Flénu (Mons) situé rue du Moulin n°20. Nous condamnons cet incident ayant lieu dans ce lieu de culte reconnu par les autorités et au sein duquel Monsieur Al Maki Serghini officie comme Imam de premier rang.
Il ressort des nombreux témoignages que Monsieur Serghini a été agressé verbalement avant d’être bousculé et malmené alors qu’il s’apprêtait à diriger la prière, il en a ensuite été empêché par un des membres du comité de gestion de la mosquée avant que celui-ci n’effectue celle-ci à sa place. Cet incident fait suite à celui du Vendredi 13 aout dernier ou l’imam avait été contraint par un membre du comité de gestion de descendre de sa chaire juste avant sa prêche hebdomadaire. Il résulte de cet incident que l’état de santé de Monsieur Serghini nécessite aujourd’hui un séjour à l’hôpital et lui occasionne une incapacité de travail. Nous rappelons que la fonction d’imam est sacrée et que nous ne pouvons, en aucun cas, tolérer l’atteinte à l’intégrité physique et symbolique de celui qui dirige la prière…

Suite et source: http://tinyurl.com/4a2w2vn

30/01/2011

Pôle Emploi recherche des imams !!!

On a du mal d’y croire. Et pourtant…

FDF

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pole emploi  

Nous mettons ci-dessus l’intégralité d’une offre d’emploi parue sur le site internet de Pôle Emploi pour le département du Var. Vous lisez bien : « l’association cultuelle et culturelle [musulmane] recherche son imam pour assurer la tenue des cinq prières quotidiennes ». Ce n’est pas un canular !
Pôle emploi est un établissement public à caractère administratif (EPA), en charge de l’emploi en France. Créé le 19 décembre 2008, il est issu de la fusion entre l’ANPE et les Assedic. Donc tout cela se fait avec NOS impôts !

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Détail de l’offre

Afficher les critères Métier : Animateur socioculturel / Animatrice socioculturelle

Lieu de travail : BRIGNOLES et dans un rayon de 10 kilomètres

Numéro d’offre 627159Z

Offre actualisée le 28/01/11

Animateur socioculturel / Animatrice socioculturelle
Métier du ROME K1206 – Intervention socioculturelle

ASSOCIATION CULTUELLE ET CULTURELLE DE BRIGNOLES RECHERCHE SON IMAM POUR ASSURER LA TENUE DES 5 PRIERES QUOTIDIENNES. VOUS AUREZ AUSSI EN CHARGE L’APPRENTISSAGE DE LA LANGUE ARABE LITTÉRAIRE AUPRÈS DES ADHÉRENTS DE L’ASSOCIATION OU DES FIDÈLES.

Lieu de travail

83 – BRIGNOLES


Type de contrat

CONTRAT A DUREE INDETERMINEE

Nature d’offre

CONTRAT DE TRAVAIL

Expérience

EXIGEE DE 3 ANS

Formation

Langues

Arabe Courant Exigé
Français Courant Exigé

Permis

Connaissances bureautiques

Qualification

Employé qualifié

Salaire indicatif

HORAIRE 9 Euros (59,04 F)

Durée hebdomadaire de travail

35H00 HEBDO

Déplacements

Taille de l’entreprise

0 SALARIE

Secteur d’activité

PROMO.IMMOBILIERE DE LOGEMENTS

Source: http://www.nationspresse.info/?p=122419#more-122419

24/01/2011

Un imam de Londres viole une « infidèle », selon les principes du coran…

Ecoeurant. Sous le couvert des dires d’Allah, ils assouvissent leurs déviations personnelles… Tarés!

FDF

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«Allah ordonne que les musulmans tuent les infidèles et violent leurs épouses et leurs filles. Le prophète pratiquait régulièrement de tels actes sous les ordres d’Allah. Alllah dit que les non-musulmans sont des bestiaux et les plus viles créatures. Pour Allah, les non musulmans ne sont jamais des victimes innocentes». L’imam britannique Abdul Mukin a mis ses enseignements en pratique et brutalement violé une infidèle. Au tribunal, des femmes en burqa ont crié à l’islamophobie et à l’injustice. 

Elles ont maintenant compris qu’il faut importer la charia en Grande-Bretagne, comme l’a suggéré l’archevêque de Cantorbéry, pour que justice soit rendue selon les préceptes de l’islam.

Le prêche de cet imam, qui déshumanise les «non musulmans», s’appuie sur la vision suprématiste du monde enseignée par l’islam. Il n’y a pas de place pour le jugement moral fondé sur la loi naturelle. Si Allah ordonne le meurtre – et que le prophète pratiquait le meurtre et le viol des infidèles – ces exhortations irrationnelles dictent la conduite du musulman d’aujourd’hui. Refuser l’impunité au violeur des femmes infidèles serait raciste!

L’imam Mukin officiait à la East London Mosque, la plus importante de Londres. Cliquez ici pour le site officiel de cette mosquée. Le réseau FOX News a diffusé un reportage sur les démêlés de cet imam avec la justice: Non-Muslims Deserve to Be Punished. Cliquezici pour y accéder.

Au cours d’une session de questions/réponses à la East London Mosque, l’imam prédicateur Abdul Mukin s’est fait poser une question par une musulmane portant le niqab, au sujet d’une récente fatwa d’un imam bien connu.

Musulmane: «L’imam borgne Hamza Mesri a dit que les musulmans britanniques peuvent tuer les infidèles et avoir des rapports sexuels avec leurs épouses et leurs filles. Êtes-vous d’accord avec lui?»

Imam: «Ce n’est pas ce que dit l’imam Hamza qui importe ni la question de savoir si je suis d’accord avec lui. C’est dans le Coran et c’est donc ce qu’ordonne Allah».

Musulmane: «Mais pourquoi Allah dirait-il aux musulmans de tuer et de violer des non musulmans innocents?»

Imam: «Parce que les non-musulmans ne sont jamais innocents, ils sont coupables de nier Allah et son prophète. Si vous ne me croyez pas, l’autorité juridique est ici, c’est le plus haut avocat musulman de la Grande-Bretagne, Anjem Choudhary

Musulmane: «Mais notre prophète a été envoyé comme miséricorde pour toute l’humanité, il n’a jamais fait de mal à quiconque de toute sa vie.»

Imam: «Oui, il n’a jamais fait de mal à un musulman dans sa vie. Mais Allah dit que les non-musulmans sont les bestiaux les plus inférieurs et les plus viles créatures – dans les versets 8.22, 8.55, 95.5 et 98.6 – et les musulmans ont reçu l’ordre de les tuer»…

Suite et source: http://tinyurl.com/4sgzkdd

22/01/2011

L’infanticide des bébés en forte hausse au Pakistan.

Dégueulasse… Ils font des gosses et les tuent. Surtout si ce sont des filles. Bravo, les islamistes !

FDF

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Retrouvés dans une décharge de Karachi, les corps sans vie de deux nouveau-nés sont lavés une dernière fois avant d’être enterrés. Comme des centaines d’autres au Pakistan, « où la crise économique pousse de plus en plus de familles à l’infanticide« .

« Ils n’auront pas vécu plus d’un ou deux jours », explique Mohammad Saleem, en désignant les deux tout petits cadavres essuyés avec soin par ses collègues de la morgue de la fondation Edhi à Karachi, la mégalopole du sud.

L’infanticide ne cesse d’augmenter dans la conservatrice république islamique du Pakistan, où la naissance d’enfants hors mariage est condamnée et où l’adultère est passible de la peine de mort.

1.210 bébés ont été abandonnés ou tués dans le pays en 2010, contre 999 en 2009 et 890 en 2008, selon Edhi, qui tente de contrer cette tendance. La plupart sont âgés de moins d’une semaine.

Des chiffres très partiels car collectés dans les principales villes du pays et n’incluant donc pas la majorité rurale de la société.


Au cours du seul mois de décembre dernier, Edhi dit avoir trouvé 40 bébés morts dans les décharges et caniveaux.

Les récits morbides abondent dans les bureaux de la fondation. Entre autres exemples, son directeur à Karachi, Anwar Kazmi, cite le cas d’un enfant de six jours étranglé puis brûlé, un autre trouvé devant une mosquée après avoir été lapidé à mort à l’appel d’un imam qui a depuis disparu…

« Ne les tuez pas, déposez-les ici », implore un poster affiché devant les locaux de la fondation, où des berceaux ont été installés à cet effet.

« Les gens se débarrassent des enfants car ils les considèrent comme illégitimes, mais ce sont avant tout des êtres innocents qui ne demandent que de l’amour », plaide Abdul Sattar Edhi, créateur de cette ONG aux multiples branches et figure humanitaire la plus célèbre du pays.

La fondation possède dans les faubourgs de la ville un cimetière parsemé de petites tombes anonymes. « Nous avons acheté ce terrain car le précédent était plein, rempli de centaines de corps », précise son gardien, Khair Mohammad.

90% des enfants trouvés morts par Edhi sont des filles, souligne M. Kazmi. « Le nombre d’infanticides de filles a beaucoup augmenté » en raison des difficultés économiques de la population, aggravées par les gigantesques inondations de l’été dernier, explique-t-il.

Au Pakistan, les filles sont considérées comme un fardeau plus lourd pour les familles, la plupart des femmes ne travaillant pas et restant à la charge de leurs parents, puis de leur mari.

Une famille, en outre, peut avoir à dépenser plus d’un million de roupies (près de 8.900 euros) pour marier une fille dans les règles.

Jusqu’à 200 bébés sont déposés chaque année dans les 400 berceaux installés par Edhi à travers le pays, selon la fondation, qui dit avoir reçu plusieurs milliers de demandes d’adoption par des couples sans enfants.

L’avortement est interdit au Pakistan, sauf lorsque la grossesse menace la vie de la mère. Certains estiment que sa légalisation réduirait le nombre d’infanticides et sauverait des femmes qui meurent en accouchant dans la rue.

Une personne reconnue coupable d’assassinat encourt théoriquement jusqu’à la peine de mort. L’abandon d’enfant peut coûter sept ans de prison, l’enterrement clandestin deux ans. Mais ces législations sont rarement appliquées.

« La plupart des commissariats de police n’enregistrent même pas les affaires d’infanticide« , note Abdul Rasheed, un avocat. « Alors enquêter dessus….« 

05/12/2010

L’imam de la mosquée de Munich activement recherché pour violences aggravées envers « une » de ses femmes!

Ahhhhhhhhhh, le saint homme. Il prêchait la non-violence… Des malades, je vous dis; des malades…

FDF

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Allemagne : Un imam de Munich frappe une de ses femmes jusqu’à lui rompre les os

abu

Munich- Il y a seulement quinze jours le prédicateur musulman Abu Adam ( sur la photo)  donnait une conférence à la communauté des fidèles de l’Université Catholique de Munich sur le thème « Un islam qui prend ses distances de la violence » . Et voilà que cette semaine cet imam, d’origine égyptienne, en charge de la mosquée Darul Quran dans la capitale bavaroise, est arrêté et mis en détention pour coups et blessures corporelles infligées à autrui. Ce prédicateur,  aussi connu sous le nom de Hesham S., a tellement frappé avec force une de ses trois épouses que celle-ci s’est retrouvée avec le nez et les os de l’épaule fracturés.

Il y a quelques jours à peine le portrait que l’on aurait pu faire de l’imam aurait au contraire permis de tracer l’image d’un homme doux recherchant le dialogue avec les autres religions, de quelqu’un qui prêchait contre la violence, contre le djihad et contre la terreur. C’est du moins ainsi qu’il était connu dans tout Munich. Le mois dernier le  magazine “Spiegel” lui avait même consacré un article et la chaîne de télé ZDF le décrivait comme « converti au rejet du recours à la violence». Et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle  le doyen Martin Rötting de l’Université Catholique de Munich l’avait invité comme conférencier : «Il était reconnu pour le rejet de la violence » précise-t-il.

Mais comme l’a fait savoir un porte-parole de la police, l’Office de la Protection Civile avait tout au contraire classé cet imam de 40 ans parmi les extrémistes et il était depuis longtemps tenu sous surveillance. Car malgré tout, Abu Adam était en contact régulier tant avec l’administration municipale qu’avec les forces de sécurité puisqu’il faisait partie de ceux qui participaient régulièrement à ces soi-disant “réunions de contact”, ces groupes censés favoriser cette coopération réputée comme une des plus importantes ressources pour l’intégration. Et c’est justement pour encourager l’intégration que l’année dernière la ville de Munich avait mis sur pied une formation pour les imams à laquelle Abu Adam avait pris part, là où normalement il avait tout appris sur l’administration civile et sur les règles de l’état de droit allemand.

Par contre, le fait qu’il n’ait pas réussi à mettre en pratique dans sa vie privée ce qu’il avait appris en théorie, a semé la consternation chez les autres imams de Munich dès qu’ils apprirent les détails de son arrestation. «Ma femme et moi avons été scandalisés quand nous avons lu ça» affirme Benjamin Idriz, l’imam de Penzberg qui pense ouvrir aussi un centre islamique à Munich, «en tant qu’imam, cela me fait honte, selon ma conception de l’islam, la violence contre les femmes n’est nullement autorisée. Le prophète Mahomet a dit : “Les hommes qui frappent leurs femmes ne doivent pas croire qu’il sont des gens bien ou de bons musulmans”. » D’ailleurs l’imam Idriz  en parlera lors de la prière vendredi prochain, le thème de sa prédication sera : « Un homme qui frappe sa femme ne fait pas preuve de force mais d’impuissance.»

Quant à Sidigullah Fadai, imam de la communauté afghane de Obersendling dans la banlieue munichoise, il se montre triste face à cet incident et déclare : « Un imam devrait toujours être un modèle à suivre, à tous les égards. »

L’épouse de 31 ans d’origine syrienne, mère de deux enfants et ne parlant pas allemand, qui malgré ses fractures multiples avait réussi à téléphoner pour demander de l’aide à un avocat, a été libérée par les policiers munichois de l’appartement où elle vivait avec les deux autres femmes et les dix enfants de l’imam. Elle est maintenant placée sous protection policière.

Source : jungefreiheit.de tz-online.de tz-online.de rtl.de

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Source: http://www.lion-ardent.info/

19/11/2010

Premier accroc dans la formation des imams… Ca vous étonne?

Il n’a pas fallu attendre longtemps pour les premiers dérapages…


Prière du vendredi à la Grande Mosquée de Paris. En 2008, l'institution avait sélectionné les premiers élèves, essentiellement algériens, appelés à devenir des «imams à la française».
Prière du vendredi à la Grande Mosquée de Paris. En 2008, l’institution avait sélectionné les premiers élèves, essentiellement algériens, appelés à devenir des «imams à la française». Photo : Le Figaro

Un élève a été exclu la semaine dernière du cursus suivi à l’Institut catholique pour propos antisémites.

Par trois fois, un imam marocain a dérapé. Presque effrontément. En pleine formation dispensée par l’Institut catholique pour transformer des imams étrangers en «imams à la française». Un cursus d’un an, financé par le ministère de l’Intérieur, pour comprendre la laïcité, les institutions, l’histoire de France et les autres religions.

C’est à l’occasion du cours sur le monde juif qu’Abdessamad Merimi, qui prêchait auparavant à Grigny, s’est, semble-t-il, montré antisémite. Le sionisme n’étant à ses yeux qu’un vaste complot contre les musulmans. On évoque encore d’autres sarcasmes, comme «Lévi-Strauss, encore un Juif…». Des propos qu’il nie au­jourd’hui, évoquant un malentendu. Ce sont cependant d’autres imams choqués qui ont porté l’affaire à la connaissance des dirigeants de la Catho. Des semaines de tergiversations ont rendu l’af­faire opaque. Mais il a finalement été «exclu» de la formation, assure le ministère de l’Intérieur. «Il était important de réagir. L’exclusion a une vertu pédagogique. C’est un rappel à la loi.»

Créer un comité de pilotage

Alerté par les autorités, le Rassemblement des musulmans de France, le RMF, émanation de l’islam consulaire marocain, a prié son imam de ne plus paraître en cours. Pour éviter un nouvel incident, le président Anouar Kbibech insiste pour qu’un comité de pilotage veille désormais à la bonne marche de la formation. «Pour construire des réponses dans la concertation.» Car certains imams fraîchement débarqués de l’étranger ne réalisent guère que des propos qu’ils jugent anodins sont en France inacceptables.

La direction de la Catho s’est, elle, partagée entre les tenants de l’exclusion et les partisans de la pédagogie. «Car il relève aussi de notre mission de traiter les dérives.» Depuis, à la demande du directeur des études, Olivier Bobineau, un module interculturel a été spécialement conçu pour déconstruire les préjugés antisémites. «Cela s’est très bien passé. Lors d’un cas pratique, ils ont tous pris le parti d’une famille juive discriminée», s’enorgueillit dans un mail le professeur, Robert Crane. À plus long terme, la Catho sait qu’elle devra faire face dans ses promotions à des fondamentalistes. En 2008, ses premiers élèves, essentiellement des Algériens sélectionnés par la Grande Mosquée de Paris, n’avaient pas posé de problème.

Cette année, sur les 25 élèves finalement retenus, 15 sont des aumôniers militaires, déjà «intégrés, acquis à nos valeurs» et dix sont des imams de terrain, étrangers. «C’est un bon compromis. On ne peut se contenter d’instruire ceux qui pensent comme nous, ni se consacrer uniquement aux extrêmes, car ils se ligueraient», concède-t-on avec prudence à la Catho.

Tous craignent que l’incident ne rallume les critiques qui avaient préludé à la naissance de cette formation. Les musulmans l’avaient perçue comme un contrôle indu de l’État. Et s’étonnaient de se retrouver… à la Catho ! Tandis que certains laïcs pestaient de voir les deniers publics financer un cursus pour imams.

Cette solution ne fut d’ailleurs retenue qu’après avoir vainement tenté durant des années de créer un véritable institut de formation des imams en France. Mais les rivalités entre courants et nationalités qui composent le Conseil français du culte musulman ont fait échouer cette tentative. Il fut donc imaginé ce module citoyen, pour «mettre les imams en conformité avec la République». Sa capacité à répondre aux dérives, à convaincre ou filtrer est un enjeu d’avenir, alors que la majorité des imams en France sont étrangers.

Source: http://www.lefigaro.fr

29/10/2010

Comme le Prophète: un imam de Liège aimait bien les petites filles…

Jusqu’où va l’amour de Mahomet, tout de même… Il va voulu imiter son idole… Mahomet adorait les petites filles… Si, si. Mais lui, l’imam de Liège, il risque deux ans… Chassez le naturel…

FDF

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Liège: l’imam d’une mosquée répond d’attouchements sur deux adolescentes…

Un professeur de religion islamique, Imam d’une mosquée de Liège, a répondu jeudi devant le tribunal correctionnel de Liège de faits d’attentats à la pudeur commis sur deux adolescentes. Ce Pakistanais de 45 ans est poursuivi pour avoir caressé les jeunes filles à l’issue de scènes de prières. Le parquet a requis une peine de 2 ans de prison.

Le prévenu répond de plusieurs faits d’attentats à la pudeur qui se sont déroulés à la mosquée de Liège entre 2001 et 2004 sur deux jeunes filles âgées de moins de 16 ans. Ces jeunes filles suivaient des cours de religion islamique auprès de ce professeur. Après les séances de cours, dans une pièce isolée, il aurait caressé à plusieurs reprises ces jeunes filles sur les cuisses et le bassin. Les jeunes filles n’avaient pas osé dénoncer les faits car elles avaient peur de cet Imam qui avait autorité sur elles. Les faits avaient été dénoncés par l’infirmières d’un centre PMS auprès de laquelle les jeunes filles s’étaient confiées. Elles étaient les élèves les plus âgées du cours d’islam et avaient révélé que l’Imam tentait de les embrasser et les caressaient à travers leurs vêtements sur les parties intimes à l’issue des prières.

Une peine de 2 ans de prison a été requise par le parquet. L’imam nie les gestes déplacés et soutient que tous les actes ont été posés dans le cadre de corrections de positions lors de prières. Il a demandé la suspension du prononcé. Jugement le 18 novembre.

Source: http://tinyurl.com/2d9c2jc

26/10/2010

La formation d’un imam nous coûte entre 7 000 et 8 000 euros !

La dernière: l’Etat Français forme des imams; des prêcheurs de haine envers l’Occident, en fait. Ils sont destinés à être les « futurs cadres de l’islam de France ». L’invasion est bien réelle… Ce qui me met hors de moi, c’est que c’est nous, les souschiens, qui les payons. Faut déjà être maso, non? Mais comme ils ont la bénédiction de nos « Hautes Autorités » et que l’on nous demande jamais notre avis… Ils doivent bien se marrer, les muzz: être payés par ceux là même qu’ils ont ordre de faire disparaître… On ne va quand-même pas laisser passer ça, non?

FDF

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A l’école des imams « à la Francaise »…

La Grande Mosquée et l’Institut catholique de Paris forment peu à peu les futurs cadres de l’islam de France voulu par les pouvoirs publics.

Le geste est ample, la voix est forte. Ils sont une quarantaine, hommes et femmes, à prendre des notes et à l’écouter. Camper à l’extrémité d’une immense table installée au centre de la bibliothèque de la Grande Mosquée, Djelloul Seddiki donne un cours sur l’histoire de l’islam. Il s’adresse à ses élèves, tantôt en arabe, tantôt en français. Sa mission : former les futurs cadres musulmans de l’Hexagone.

« Ici, on est sûr de produire un bon imam francophone ! Avant, nous n’avions pas cette certitude. La personne qui suit notre programme est imprégnée du Coran, mais aussi de la pensée française et occidentale que maîtrisent rarement les prêcheurs qui viennent de l’étranger », assure celui qui dirige l’institut de théologie al-Ghazâli, installé dans les murs de la Grande Mosquée de Paris. Il se dit convaincu que pour guider au mieux ses fidèles, « un imam en France doit aussi connaître Jean-Paul Sartre et Voltaire ».

« La laïcité, c’est une chance pour les musulmans »

En 2005, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, pose dans un livre qui fait grand bruit (*) la question de la formation des imams, invitant ses « compatriotes musulmans » à s’organiser dans le cadre de la laïcité et « à se montrer capables d’inventer un islam de France, un islam intégré à la culture européenne », en mesure de faire front aux courants les plus extrémistes de cette religion. Un an plus tard, répondant aux vœux du futur président de la République, la Grande Mosquée de Paris met en place un cursus universitaire unique en son genre : 800 heures de cours, réparties sur quatre ans, dédiés à la formation des aumôniers (devant travailler dans les prisons, les hôpitaux et les écoles) et à celle des ministres du culte musulman. Jusqu’alors, les imams qui officient sur le territoire français sont, pour la plupart d’entre eux, des étrangers, méconnaissants, dans des bien des cas, la société française, sa culture, ses principes juridiques, ses mœurs, voire sa langue. « La laïcité, c’est une chance pour les musulmans, c’est un espace où l’on peut respirer », estime le Dr Seddiki, ardent défenseur d’un islam à la française. Selon lui, « il faudrait former 200 imams par an », pour répondre aux besoins des 2.200 lieux de culte et de prières musulmans que compte la France.

Pour inculquer les fondements du droit français à ses élèves et perfectionner leur compréhension de notre culture, la Grande Mosquée travaille avec l’Institut catholique de Paris (surnommé, la «  Catho ») qui, lui aussi, participe à cette formation de cadres musulmans souhaitée par les pouvoirs publics. Un clergé « à la catholique » s’indigne encore aujourd’hui certaines organisations et associations musulmanes hostiles à ce projet sacrilège où, selon elles, « les curés enseignent aux imams ». « Nous ne demandons pas à l’Institut catholique de dispenser des cours de religion, mais de donner des cours de philosophie, d’histoire et de sociologie », se défend Djelloul Seddiki. En clair : la « Catho » s’occupe de la formation culturelle, La Mosquée de Paris, quant à elle, de l’enseignement théologique.

« Au départ, je suis venue pour apprendre le Coran et le droit musulman », explique Sonia, 37 ans, étudiante de 2e année à l’institut al-Ghazâli. Française, née en Algérie, mère d’un enfant, elle travaille dans une société qui s’occupe de l’organisation de salons professionnels et souhaite à présent devenir aumônier pénitentiaire. « Je suis sensible au problème des prisons où près de 65 % des détenus sont d’origine musulmane. Je veux aider cette jeunesse égarée, lui transmettre la sagesse de la loi coranique », confie la jeune femme, par ailleurs licenciée en psychologie.

Comment concilie-t-elle le Coran, qui, notamment, autorise la polygamie et le droit français qui, lui, l’interdit ? « Sur le plan légal, nous devons respecter les règles du pays dans lequel nous vivons. Par contre, sur le plan humain, j’observe que dans la société française beaucoup d’hommes ont des maîtresses et font quelquefois des enfants avec elles. Le président Mitterrand lui-même agissait de la sorte. Cela ne l’a pas empêché de devenir chef de l’Etat », relève Sonia, la tête recouverte d’une étoffe de couleur rose. A l’entendre : « Au lieu que les choses se passent dans l’hypocrisie, le Coran légalise, dans des conditions rigoureuses, ce qui en France reste dans l’ombre. La règle dans le droit musulman, c’est que l’on ne doit pas enlever à l’une ce que l’on donne à l’autre. »

Envisage-t-elle de suivre ensuite les cours des professeurs de l’Institut catholique ? « Oui, c’est très intéressant. Je suis musulmane mais je possède aussi l’héritage de Voltaire, de Rousseau, de la Révolution. Je suis française ! », répond, amusée, l’étudiante.

S’intégrer à la société française pour mieux guider les fidèles

« Mon boulot est de former des gens qui puissent être légitimes aux yeux des pouvoirs publics et donc à ceux de l’opinion publique », considère Olivier Bobineau, responsables de l’enseignement à l’Institut catholique de Paris. Il explique que, « beaucoup d’imams ne parlaient pas le français et se retrouvaient en décalage par rapport au pays et, surtout, par rapport aux croyants à qui ils avaient affaire au sein de la communauté musulmane. Le décalage existait aussi par rapport aux autres religions. Un prêtre, un pope, un pasteur, un rabbin, c’est en moyenne six à huit ans de formation universitaire sur le sol français ».

Bref, les ministres du culte musulmans n’étaient pas toujours au niveau de leurs « confrères » chrétiens et juifs. « Notre enseignement est centré sur les valeurs et l’histoire de la République, précise le sociologue. Je donne aussi un cours de rhétorique où je leur apprends à s’exprimer devant un auditoire, un maire, un préfet ou les médias. Je leur apprends aussi à serrer des mains, à s’asseoir, à regarder… »

Mais pourquoi des imams arrivant de l’étranger, échappant à toute forme d’autorité, et qui, le plus souvent, se sont autoproclamés, feraient-ils aujourd’hui le choix d’une formation mise en place par la Grande Mosquée et la « Catho » en concertation avec l’Etat français ? « Parce qu’avoir une légitimité légale est un plus pour ceux qui veulent prêcher, affirme Olivier Bobineau. La légitimité des imams étrangers qui fascinent les jeunes des banlieues par leurs prêches ne dure que quelques mois. Après, quand il s’agit de construire une mosquée, d’organiser un pèlerinage, de gérer les problèmes que posent l’abattage et la distribution de la viande halal, il est nécessaire de fréquenter les institutions françaises et les pouvoirs publics. Si on ne connaît rien aux codes juridiques français, on ne peut rien faire, on repart à l’étranger », conclut le sociologue.

La raison d’être de la formation est donc de permettre aux candidats à « l’imamat » de s’intégrer à la société française pour être en mesure, par la suite, de mieux guider leurs fidèles, de les aider à s’intégrer eux aussi. Qui la finance ? Du côté de la Grande Mosquée, les frais d’inscription sont modiques, 120 € par an. « C’est la Mosquée (financée elle-même à 60 % par l’Etat Algérien, NDLR) qui paie les professeurs », assure Djelloul Seddiki. « En ce qui concerne l’Institut catholique, les cours sont financés par l’Etat (4.500 € par étudiant) », indique pour sa part, Olivier Bobineau.

« D’autres organisations, comme l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), forment des cadres avec leurs fonds propres. Elles ne sont pas estampillées « ministère de l’Intérieur » et attirent de nombreux candidats », reconnaît un étudiant rencontré à la sortie des cours. « C’est vrai que quand on écoute les derniers discours ou les déclarations de Besson et d’Hortefeux sur l’immigration, on peut se poser des questions avant de se décider à franchir la porte de la Grande Mosquée ou celle de l’Institut catholique qui ont passé un accord avec ce gouvernement », juge t-il.

« L’important, c’est de jeter des ponts entre des milieux qui se défient ou se méprisent, tout simplement par ignorance, estime Olivier Bobineau. Aucun théologien n’intervient dans nos cours. Je m’y suis engagé auprès de l’Etat et des représentants musulmans. Tous nos professeurs viennent de l’enseignement public ou du CNRS », précise-t-il, pour bien souligner la différence qui existe entre « sa » formation, « proposée » et financée par les pouvoirs publics, et celles des organisations religieuses comme l’UOIF. « Mon souci, ajoute l’universitaire, c’est qu’au bout de quatre ans nous avons seulement 70 personnes qui ont obtenu notre diplôme universitaire. Il m’en reste encore 3.000 à former. »

(*) La République, les religions, l’espérance, de Nicolas Sarkozy, éd. du Cerf 2005.

En Chiffres

5 à 6 millions de musulmans vivent en France, on estime que 70 % sont nés dans le pays.
Le Conseil du culte musulman français (CFCM) a été créé en 2003.
La France compte près de 2.200 lieux de culte et de prières musulmans.
1.500 imams travailleraient en France, seulement 200 d’entre eux ont été formés « à la française », 700 seraient « autoproclamés ».
On compte seulement 120 aumôniers musulmans pénitentiaires pour une population carcérale de 64.000 personnes où 60 à 65 % des détenus sont d’origine musulmane.

La formation d’un imam coûte de 7.000 à 8.000 € à l’Etat!!!

Source: http://tinyurl.com/2b858k3

02/10/2010

« Les démons m’ont eu »… Un imam condamné pour avoir battu sa femme sous prétexte d’exorcisme !

Ah les cons! Mais c’est pas possible d’être aussi cons! Et dire que ça prêche grave dans les mosquées… Bon, vous me direz, on a bien des curés pédophiles. Mais c’est « considéré » comme une maladie, comme l’alcoolisme.

Mais là, l’imam y a été un peu fort du……………….. bâton. On lui a confisqué, d’ailleurs. Il pourra continuer à frapper sa mousmé avec le coran; ça ne laisse pas de traces… Au fait: il est toujours imam? Parce que si c’est le cas, ça fait peur d’imaginer ce que l’on peut enseigner dans les mosquées…

FDF

TRIBUNAL D’AVESNES-SUR-HELPE

« Imam exorciste », comme l’a présenté son avocat Serge-Marie Agboton, Abdelbaki Assimi n’a jamais dévié de sa version : ce n’est pas sa femme qu’il frappait, mais les démons qu’il avait identifiés en elle, dans une séance de roquiyah qu’il estimait conforme aux préceptes du Coran. « C’est la première fois que j’ai frappé un peu plus fort avec le bâton. Avant, les démons n’étaient pas trop méchants, j’en venais à bout avec des récitations et de l’eau passée sur elle. »

Car depuis seize ans que l’imam pratique la roquiyah, son épouse et sa fille y auraient été soumises à plusieurs reprises, contrairement à ses fils qui n’auraient « pas de problèmes de possession ». Les précédents n’avaient connu aucune dénonciation. L’imam a expliqué que son épouse l’avait accueilli le jour de la séance par une voix sourde et grondante en lui disant : « Aujourd’hui, tu vas nous laisser en paix. »

« Une excuse »

Le président Czech a produit devant le tribunal des photographies, montrant un hématome de seize centimètres de largeur et deux centimètres d’épaisseur sur le bas-ventre de la victime. L’imam a nié toute valeur aux témoignages faisant état de violences conjugales autres que celles de la roquiyah.

Celles-ci ont suffi au parquet pour requérir à l’encontre de cet homme inconnu de la justice un an de prison, dont six mois ferme : « Le Coran est ici une excuse, et ces pratiques, qui rappellent les saignées du Moyen Âge, sont obscurantistes. » Abdelbaki Assimi a été condamné à huit mois de prison, dont six avec sursis et mise à l’épreuve. La défense avait plaidé la relaxe, affirmant la difficulté d’une analyse « cartésienne des frontières de l’irrationnel » en produisant les témoignages de personnes reconnaissant avoir été soignées par la médecine coranique du prévenu. Le bâton de l’imam a été confisqué.

« Je ne m’en servirai plus puisque cela me vaut des ennuis, a-t-il dit à l’audience. Cette fois, les démons m’ont eu. »

Source: lavoixdunord.fr

24/09/2010

Mosquée du 11-septembre: Même Omar est sorti prier dehors!

24 septembre 2010

A l’heure ou, appuyé par toute la bien-pensance et idiotie utile occidentale, l’imam auto-proclamé du projet de mosquée du 11-septembre tente d’imposer a son pays d’adoption, sur le sol meme ou elle fut le plus ignoblement trahie par des coreligionnaires a lui il y a tout juste 9 ans, sa version de la tolérance …

Pendant que de leur coté  nos journalistes donnent apparemment littéralement de leur corps pour « présenter le visage humain des talibans » et qu’avant  le discours annuel du Solutionneur final a l’ONU, nos indépendantistes dénoncent le poison sioniste …

Remise des pendules a l’heure par le politologue libano-américain Fouad Ajami.

Qui rappelle, derriere le pretendu appel a la tolérance y compris contre les sentiments d’une majorité  de ses coreligionnaires dans leurs pays d’origine (ou meme en son temps, selon la légende musulmane, le calife Omar lui-meme !), le véritable ordre du jour de ce pur produit du révisionisme multiculturaliste des années 60 ayant abouti a l’actuelle remilitarisation de l’islam …

Source: http://tinyurl.com/3y2d335

19/09/2010

Mosquée d’Avignon: des coups de feu, une oreille arrachée, des coups qui pleuvent…

Ahhhhhhhhhh, cette « religion » d’amour, de paix et de tolérance. Heureusement que ses fidèles sont là pour nous faire rire… J’oubliais: « religion » de partage. A Avignon, le partage de la mosquée se fait dans la douleur, sur fond de fanatisme et de querelles personnelles… La fréquentation des mosquées, c’est risqué. C’est pour ça que je n’y vais pas (non, j’rigole…).

FDF

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RAPPEL : Le 17 février 2008, la mosquée du Chemin-bas d’Avignon à Nîmes avait été le théâtre de violences.

Ce 17 février 2008, au soir, après plusieurs mois de tension, la mosquée du Chemin-bas d’Avignon a sombré dans la violence pendant la prière. A cette époque, deux groupes de fidèles – les partisans de l’iman et ses détracteurs – se partageaient la mosquée à l’heure de la prière. Dans une ambiance particulièrement délétère.
Hier, deux des principaux protagonistes mis en cause dans cette affaire – Boubaker Slimani, un fidèle proche de Driss Saoudi, l’imam de la mosquée, et Saïd Chibani, un opposant – étaient convoqués devant le tribunal correctionnel. Le premier nommé représenté par M e Romain Floutier a dû s’expliquer sur les coups de feu et sur le pistolet qu’il avait dans la poche ce 17 février dans l’enceinte
de la mosquée. Deux balles avaient atteint le jeune imam du clan des opposants, sérieusement blessé au talon.

Le deuxième prévenu, défendu par M e Jean-Pierre Cabanes, a contesté les coups portés à Boubaker Slimani. « Vous voulez le condamner pour quoi ? proteste M e Cabanes. Parce qu’il a fallu maîtriser Boubaker Slimani qui avait tiré plusieurs coups de feu ? » « J’avais pris cette arme pour me défendre » , a raconté de son côté Boubaker Slimani. « Mais j’ai tiré à terre. Et je demande pardon à la justice pour l’arme . Dans la mosquée, il me regardait comme ça » , mime ce sexagénaire, évoquant les moqueries, provocations des opposants de l’imam… Ou encore des coups qu’il aurait reçus ce 17 février, avant que, ce soir-là, tout dégénère. « C’est un menteur. Et il va le payer très cher devant Dieu » , trépigne Said Chibani qui sera finalement expulsé de la salle.
« La trame de fond de cette histoire, ce n’est pas l’aspect religieux, a relevé M e Romain Floutier, l’avocat de Boubaker Slimani. Il y a derrière tout cela un aspect polito-financier. A cette époque se préparaient les élections du Conseil français du culte musulman (CFCM). » L’avocat évoque alors « l’intervention bienveillante » d’un membre du CFCM qui aurait essayé, selon lui, de rallier à sa cause, l’association cultuelle de la mosquée du Chemin-bas d’Avignon. D’où ces tensions et incidents qui se multiplieront ? « Derrière tout cela, il y aussi les agissements de ceux qui ont voulu prendre le pouvoir de l’association cultuelle », assure l’avocat. Le tribunal a suivi les réquisitions du vice-procureur Patrick Pribile. Boubaker Slimani a été condamné à un an de prison avec sursis ; Said Chibani à 6 mois de prison avec sursis.

Source: http://tinyurl.com/22tuvyv

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