Et personne n’avait pensé à lui procurer un âne… Pourtant, maintenant on commence à connaître leurs déviances.
« Couic! », comme dirait Henri…
FDF
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HOMMES, FEMMES (plutôt très jeunes) MÊMES SES CO-DETENUS en prison TOUT EST BON POUR Ahmed El Assioui
« Entre 2005 et 2008, Ahmed El Assioui, 52 ans, a fait 18 victimes, hommes ou femmes, à Noyon, Compiègne et Paris. Son terrain de chasse: le foyer AFTAM de Noyon, et des foyers de jeunes travailleurs en région parisienne. La prison n’avait pas calmé Ahmed El Assioui »
IL ECOPE DE LA PERPETUITE EN 1ERE INSTANCE et OSE FAIRE APPEL.
vous avez dit malade mental??? QUI PAYE LES AVOCATS ET LES FRAIS DE JUSTICE????
JC JC…
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Il versait du GHB (également appelé drogue du violeur) ou des somnifères dans les verres de ses victimes. Certaines n’ont plus aucun souvenir des faits.
Entre 2005 et 2008, Ahmed El Assioui, 52 ans, a fait 18 victimes, hommes ou femmes, à Noyon, Compiègne et Paris. Il risque à nouveau la perpétuité.
Rarement les affaires de viols jugées devant les cours d’assises comportent autant de victimes. Ahmed El Assioui, 52 ans, est de retour à la barre pour s’expliquer.
Son procès, qui se déroule à huis clos, a commencé hier au palais de justice d’Amiens. Le verdict est attendu vendredi.
Ahmed El Assioui avait été interpellé le 24septembre2007 chez sa mère, à Noyon (Oise). L’homme devait savoir ce que les gendarmes lui reprochaient.
Il a tenté de cacher des vidéos accablantes pour sa défense: on y voit des hommes, nus, se faire sodomiser pendant leur sommeil.
Le Noyonnais, déménageur de profession, agissait comme un prédateur. Son terrain de chasse: le foyer AFTAM de Noyon, et des foyers de jeunes travailleurs en région parisienne.
Les enquêteurs ont recensé 18 victimes: douze garçons et six filles. Certains étaient mineurs de moins de 15 ans au moment des faits.
Accusé de viols sur des codétenus
Sa technique: il sympathisait avec les jeunes gens autour d’un verre. Le piège était tendu. Car à leur insu, il versait du GHB (également appelé drogue du violeur), ou des somnifères dans le thé, le whisky ou le Yop de ses victimes. Une fois sa proie assommée par la drogue, il la violait.
La prison n’avait pas calmé Ahmed El Assioui. Il lui est reproché des viols en maison d’arrêt de Compiègne, en 2007 et2008. Shooté aux médicaments, un codétenu s’était réveillé avec le slip baissé.
La longue série de crime avait commencé le 27 décembre 2005 avec le viol à Paris d’un homme handicapé mental qui se prostituait dans les gares. L’ADN d’El Assioui avait été retrouvé sur le caleçon de la victime, mais l’agresseur se défend: la relation était consentie, dit-il.
L’accusé avait déjà été jugé en mars 2011. La cour d’assises de l’Oise l’avait condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté de 18 ans. Il avait décidé de faire appel.
Source: http://www.courrier-picard.fr/